De la réponse adaptative à la mémoire immunologique et à la vaccination
|
|
- Cécile St-Louis
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 De la réponse adaptative à la mémoire et à la vaccination IMMUNOLOGIE FONDAMENTALE (2/2) Chloé JOURNO
2 De la réponse adaptative à la mémoire et à la vaccination Médiation cellulaire Médiation humorale La réponse adaptative Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan Propriétés Mécanismes moléculaires et acteurs cellulaires Cahier des charges Composition : le compromis efficacité / sûreté Adjuvants Corrélats s et développement rationnel de vaccins
3 Médiation cellulaire et médiation humorale La réponse adaptative
4 Médiation cellulaire Médiation humorale Observations : Reconnaissance et lyse de la cellule cible Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan
5 Médiation cellulaire Mécanisme de lyse de la cellule cible Médiation humorale Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan Goldsby et al.: Kuby Immunology
6 Médiation cellulaire Médiation humorale Mécanisme de reconnaissance de la cellule cible Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan Un récepteur, le TCR (T-cell receptor) Spécifique d un épitope antigénique Présenté dans le contexte du CMH-I (complexe majeur d histocompatibilité)
7 Médiation cellulaire Médiation humorale Répertoire de récepteurs Observations : Formation d un complexe antigène - anticorps Réaction d agglutination lymphocytes T lymphocytes B Réaction de précipitation Bilan
8 Médiation cellulaire Médiation humorale Mécanisme de neutralisation, d opsonisation et d activation du complément Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan
9 Médiation cellulaire Médiation humorale Mécanisme de cytotoxicité médiée par les anticorps Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan
10 Médiation cellulaire Mécanisme de reconnaissance de l antigène Médiation humorale Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Un récepteur, l anticorps forme soluble du BCR (B-cell receptor) Spécifique d un épitope antigénique Reconnu sous sa forme native Bilan
11 Médiation cellulaire Structure des récepteurs antigéniques Médiation humorale Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan
12 Médiation cellulaire Médiation humorale Identification des région hypervariables, à l origine de la diversité du répertoire antigénique Répertoire de récepteurs lymphocytes T FR = framework region HV = hypervariable region lymphocytes B Bilan
13 Médiation cellulaire Médiation humorale Identification des région hypervariables, à l origine de la diversité du répertoire antigénique Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan Définition du paratope FR = framework region CDR = complementary- determining region HV = hypervariable region
14 Médiation cellulaire Origine génétique du répertoire Médiation humorale Répertoire de récepteurs Chr N lymphocytes T 2 2 lymphocytes 2 B Bilan 14
15 Médiation cellulaire Médiation humorale La diversité du répertoire, propriété de la réponse adaptative Diversité combinatoire Diversité jonctionnelle Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan Immunité innée : Récepteurs codés dans la lignée germinale Modèle déterministe Diversité limitée Immunité naturelle, non spécifique Immunité adaptative: Récepteurs issus de recombinaisons somatiques Modèle probabiliste Diversité +++ Immunité acquise, spécifique
16 Médiation cellulaire Médiation humorale De la diversité du répertoire à «l adaptabilité» de la réponse Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan Goldsby et al.: Kuby Immunology
17 Médiation cellulaire Médiation humorale Coopération entre cellule présentatrice de l antigène et lymphocyte Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan Dans les organes lymphoïdes secondaires Sélection des clones lymphocytaires spécifiques de l antigène (multiples épitopes) : réponse polyclonale La double signalisation assure un contrôle de la réponse : Signal 1 : TCR Signal 2 : co-stimulation et cytokines
18 Médiation cellulaire Médiation humorale Coopération entre cellule présentatrice de l antigène, lymphocyte T auxiliaire et lymphocyte T CD8 + Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Abbas et al: Cellular and Molecular Immunlogy Bilan
19 Médiation cellulaire Médiation humorale Coopération entre lymphocyte T auxiliaire et lymphocyte B Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan Dans les organes lymphoïdes secondaires Sélection des clones lymphocytaires spécifiques de l antigène (multiples épitopes) : réponse polyclonale La double signalisation assure un contrôle de la réponse : Signal 1 : BCR Signal 2 : co-stimulation et cytokines
20 Médiation cellulaire Médiation humorale Coopération entre lymphocyte T auxiliaire et lymphocyte B Etape 1 : Le LB internalise le complexe BCR-antigène et présente les épitopes sur le CMH Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan Etape 2 : Le LB présente l antigène au LT CD4 +, qui est activé et qui en retour active le LB Dialogue moléculaire Contrôle de la réponse
21 Médiation cellulaire Médiation humorale Coopération entre cellule présentatrice de l antigène, lymphocyte T auxiliaire et lymphocyte B Répertoire de récepteurs Etape 1bis : Un LB ne peut activer un LT que si le LT a été préalablement pré-activé par une CPA. lymphocytes T lymphocytes B Bilan
22 Médiation cellulaire Médiation humorale Coopération cellulaire au cours de la réponse adaptative Répertoire de récepteurs lymphocytes T lymphocytes B Bilan Goldsby et al.: Kuby Immunology,
23 Réponse humorale mémoire La réponse adaptative APBG
24 La réponse adaptative Propriétés cinétiques et quantitatives La réponse secondaire est : Mémoire : propriétés plus rapide les lymphocytes B prolifèrent et se différencient plus vite quantitativement plus importante la fréquence de lymphocytes B spécifiques est plus grande ils prolifèrent plus Mémoire : Acteurs cellulaires Fréquence des lymphocytes B spécifiques de l antigène Réponse primaire Réponse secondaire 1:10 4-1:10 5 1:10 2-1:10 3
25 Affinité (M -1 ) La réponse adaptative Propriétés qualitatives Titre d anticorps Affinité moyenne Mémoire : propriétés Mémoire : Acteurs cellulaires immunisation (semaines) Réponse primaire immunisation (semaines) Réponse secondaire Isotype de l anticorps IgM>IgG IgG, IgA Affinité de l anticorps faible haute Hypermutation somatique faible haute
26 La réponse adaptative Bilan : propriétés quantitatives et qualitatives de la réponse mémoire Mémoire : propriétés Mémoire : Acteurs cellulaires
27 La réponse adaptative Hypermutation somatique Représentation schématique d un centre germinatif Cellule B activée Mémoire : propriétés Hypermutations somatiques des régions V Mécanismes moléculaires et acteurs cellulaires Ig mutées de faible affinité Pas de signaux activateurs Ig mutées de haute affinité Signaux activateurs Mort par apoptose Mémoire Plasmocyte
28 La réponse adaptative Commutation isotypique Mémoire : propriétés Mécanismes moléculaires et acteurs cellulaires Activation du complément Réponse du phagocyte dépendante du récepteur de Fc Activation du complément Immunité contre les helminthes Dégranulation des mastocytes Immunité des muqueuses
29 Fonctions effectrices La réponse adaptative Acteurs cellulaires de la réponse B mémoire Mémoire : propriétés Cellule B exprimant des Ig de haute affinité IgG de haute affinité Cellule B mémoire Plasmocyte à longue durée de vie Mécanismes moléculaires et acteurs cellulaires Capacités prolifératives Localisation Fonction Cellule B mémoire Organes lymphoïdes secondaires Prolifération et différenciation rapide sans aide T Plasmocyte à longue durée de vie Localisation Fonction Moelle osseuse Sécrétion continue d anticorps en l absence de stimulation antigénique
30 Fonctions effectrices La réponse adaptative Acteurs cellulaires de la réponse B et T mémoire Mémoire : propriétés Mécanismes moléculaires et acteurs cellulaires Capacités prolifératives Nom de la population Localisation Fonction Nom de la population Mémoire B Cellule B mémoire Mémoire T Cellule T mémoire centrale Organes lymphoïdes secondaires Prolifération et différenciation rapide sans aide T Plasmocyte à longue durée de vie Prolifération et différenciation rapide sans aide T Cellule T mémoire effectrice Localisation Moelle osseuse Périphérie Fonction Sécrétion continue d anticorps en l absence de stimulation antigénique Fonctions effectrices (production de cytokines, cytotoxicité) induites immédiatement après stimulation
31 Vaccination et réponse mémoire La réponse adaptative APBG
32 La réponse adaptative Un vaccin doit être sûr Le vaccin ne doit pas induire de pathologie Cahier des charges Composition : le compromis efficacité / sûreté protecteur à long terme Le vaccin doit protéger de la pathologie qui résulterait de l exposition au pathogène virulent La protection doit être efficace pendant plusieurs années, voire toute la vie Adjuvants Corrélats s et développement rationnel de vaccins pratique Faible coût, stabilité, facilité d administration, effets secondaires limités
33 Sûreté La réponse adaptative Du micro-organisme atténué aux protéines recombinantes Cahier des charges Composition : le compromis efficacité / sûreté Protéines recombinantes Fragments Vaccin inactivé Vaccin atténué «Sophistication» du vaccin Immunogénicité Adjuvants Corrélats s et développement rationnel de vaccins
34 La réponse adaptative Du micro-organisme atténué aux protéines recombinantes Vaccins atténués - variole, polio (oral, Sabin), rougeole, oreillons, rubéole, adénovirus (oral), fièvre jaune - BCG (bacille de Calmette et Guérin) Cahier des charges Composition : le compromis efficacité / sûreté Adjuvants Corrélats s et développement rationnel de vaccins Vaccins inactivés - grippe, rage, polio (injectable, Salk) - typhoïde, choléra, coqueluche Fragments de microorganismes - Anatoxines : diphtérie et tétanos - Sous-unités polysaccharidiques : infections à pneumocoques, à méningocoques, Haemophilus influenzae type B Protéines recombinantes - Sous-unités protéiques : Hépatite B, coqueluche, papillomavirus
35 La réponse adaptative Atténuation et inactivation Cahier des charges Composition : le compromis efficacité / sûreté Adjuvants Méthodes empiriques - atténuation spontanée ou par passage répété en laboratoire - inactivation par la chaleur, les UV, un traitement chimique Méthodes de génie génétique Isoler le virus pathogène Isoler le gène virulent virulence Muter le gène de virulence protéine de liaison au récepteur capside Déléter le gène de virulence Corrélats s et développement rationnel de vaccins le virus peut entrer dans les cellules, est immunogène, mais est avirulent
36 La réponse adaptative Production de protéines recombinantes Production d antigènes purifiés par clonage Exemple : virus de l hépatite B Production de pseudoparticules virales par autoassemblage de protéines virales Exemple : Papillomavirus Cahier des charges Composition : le compromis efficacité / sûreté Pseudoparticule virale de papillomavirus Adjuvants Corrélats s et développement rationnel de vaccins
37 La réponse adaptative Perspectives : vaccination à ADN injection dans le muscle gène d intérêt inséré dans un plasmide Cahier des charges Composition : le compromis efficacité / sûreté Adjuvants Corrélats s et développement rationnel de vaccins
38 Besoin d adjuvant La réponse adaptative Immunogénicité et adjuvants Cahier des charges Protéines recombinantes Fragments Vaccin inactivé Vaccin atténué «Sophistication» du vaccin Immunogénicité Composition : le compromis efficacité / sûreté Adjuvants Adjuvant Adjuvant de Freund Composition Emulsion d huile dans l eau relargage de l antigène progressif prise en charge par les CPA améliorée Corrélats s et développement rationnel de vaccins Alun Gel d hydroxyde d aluminium réponse innée plus efficace
39 La réponse adaptative Immunogénicité et adjuvants Cahier des charges MF59 : émulsion d huile dans l eau dérivée du squalène grippe AS03 : émulsion d huile dans l eau dérivée du squalène grippe AS04 : alun + dérivé de LPS hépatite B, papillomavirus Flagelline, poly(i:c), CpG Composition : le compromis efficacité / sûreté Adjuvants Corrélats s et développement rationnel de vaccins
40 La réponse adaptative Perspectives en vaccinologie Cahier des charges Signalisation par les lectines Signalisation par les TLR Signalisation par les lectines Signalisation par les TLR Composition : le compromis efficacité / sûreté Induction d une réponse innée de qualité différente Adjuvants Corrélats s et développement rationnel de vaccins Activation d effecteurs spécifiques B, T C, T H 1, T H 2, T H 17, T reg Plus ou moins efficaces selon l infection
Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailOptimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels
Optimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels Mokhtar GHARBI Professeur encadrant : Vincent RODIN CERV : Centre Européen de Réalité Virtuelle EA 3883 EBV Ecosystémique et Biologie Virtuelles
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailL assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013
1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailLA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE
ANNEE 2006 THESE : 06 TOU 3 4103 LA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE MECANISMES IMMUNOPATHOLOGIQUES ET APPLICATIONS THERAPEUTIQUES THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR VETERINAIRE DIPLOME D ETAT
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailVaccins et chimiothérapies chez l adulte
Vaccins et chimiothérapies chez l adulte 1 1 Coordination Pr Odile LAUNAY (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris), Dr Pierre LOULERGUE (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris) Membres du groupe de travail
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2004-2005 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2009-2010 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailSYNDICAT NATIONAL DE L ENSEIGNEMENT PRIVE
SYNEP Le «+ santé» Le «+ santé» est une mutuelle santé réservée aux adhérents de la CFECGC, à des conditions préférentielles négociées par la CFECGC en décembre 2007. Le «+ santé», mis à disposition des
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailObserver : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS
4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailPARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins
PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailLes biothérapies II L3 : UE Immuno-pathologie et Immuno-intervention
Les biothérapies II L3 : UE Immuno-pathologie et Immuno-intervention Dr Cédric Ménard, MCU-PH Service ITecH INSERM U917 Rennes Dr Florian Lemaitre, AHU Service de Pharmacologie Centre d'investigation Clinique
Plus en détailLa politique vaccinale de la France
COMMUNICATION A LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES DU SENAT ARTICLE LO. 132-3-1 DU CODE DES JURIDICTIONS FINANCIERES La politique vaccinale de la France Octobre 2012 SOMMAIRE Avertissement... 5 Résumé...
Plus en détailGreffe de Cellules Souches Hématopoïétiques (CSH) auto-renouvellement et différenciation
Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques (CSH) auto-renouvellement et différenciation reconstitution d un système hématopoïétique (anormal ou détruit après conditionnement) Origine : Moelle osseuse
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailMutuelle santé. Vous pourrez. toujours compter. sur votre mutuelle! Activance TNS
Mutuelle santé Activance TNS Vous pourrez toujours compter sur votre mutuelle! Activance TNS Le haut de gamme pour les professionnels! Les Produit Prise en charge maximale pour l hospitalisation dès la
Plus en détailSTRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE
STRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE d'après le cours de Jean-Louis VIRELIZIER, Unité d'immunologie Virale, Institut Pasteur, Paris. INTRODUCTION L'étude des moyens de défense de l'organisme
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailProgramme National d Immunisation
Programme National d Immunisation Aspects pratiques de la vaccination Manuel de formation 2013 Direction de la Population L élaboration de ce guide a été coordonnée par le Service de Protection de la Santé
Plus en détailplan Transplantation d organe 2 types de donneurs 05/05/2015 1 Le don d organe 2 Prise en charge immunologique 3 Le rejet
plan Transplantation d organe 1 Le don d organe 2 Prise en charge immunologique 3 Le rejet 2 types de donneurs Activité de prélèvement en France Donneurs décédés:+++++ Donneurs vivants: Apparenté Non apparenté
Plus en détailContacts Presse Leem : Stéphanie Bou-Fleurot - Tél : 01 45 03 88 38-06 60 46 23 08 - sfleurot@leem.org Virginie Pautre - Tél : 01 45 03 88 87 -
50 QUESTIONS SUR LES VACCINS Contacts Presse Leem : Stéphanie Bou-Fleurot - Tél : 01 45 03 88 38-06 60 46 23 08 - sfleurot@leem.org Virginie Pautre - Tél : 01 45 03 88 87 - vpautre@leem.org 1 Les vaccins,
Plus en détailPlan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire
ORIGINAL : ANGLAIS DISTR. : GÉNÉRALE Plan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire DÉPARTEMENT VACCINS ET PRODUITS BIOLOGIQUES Organisation mondiale de la Santé
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailTout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner
Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans Mikalou se fait vacciner Récit Mikalou n a peur de rien Dans le jardin, Mikalou s assoit sur la balançoire. Il n est pas une poule mouillée, et pourtant, il
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES. MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT
MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Science de la vie et de la terre MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT Pour l obtention du diplôme de l Ecole Pratique des Hautes Etudes
Plus en détailR 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21.
0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE INSTITUT NATIONAL DE LA. PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE 0 N de publication : 2 615 623 là n'utiliser que pour les commendes de reproduction) N d'enregistrement national : 87 07263 PARIS
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3283 Convention collective nationale IDCC : 2021. GOLF AVENANT N 58 DU 12 FÉVRIER
Plus en détailLA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE?
LA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE? La CPAM (sécurité sociale) permet d être remboursé entre 15 et 100% en fonction des soins donnés. Une mutuelle peut prendre en charge le
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailMécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.
Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détail1) Immunothérapie non spécifique. 3) Immunothérapie spécifique «adoptive» 4) Vaccination thérapeutique
Immunothérapie du cancer 1) Immunothérapie non spécifique 2) Immunothérapie par anticorps monoclonaux 3) Immunothérapie spécifique «adoptive» 4) Vaccination thérapeutique Marie-Alix Poul Institut de recherche
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailVaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques
Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Collection Avis et Rapports Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Rapport 2012 Haut Conseil
Plus en détailTHÈSE. Docteur. l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (Agro Paris Tech) Leïla Périé. le 14/10/2009
THÈSE pour obtenir le grade de Docteur de l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (Agro Paris Tech) Spécialité : Immunologie présentée et soutenue publiquement par Leïla Périé
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailPeut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?
Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,
Plus en détailMODULE DE VIROLOGIE 2010 IMMUNITE INNEE ANTIVIRALE CHEZ LES VERTEBRES
MODULE DE VIROLOGIE 2010 IMMUNITE INNEE ANTIVIRALE CHEZ LES VERTEBRES Marc DALOD CIML Téléphone 04-91-26-94-51 email: dalod@ciml.univ-mrs.fr INTRODUCTION BRAINSTORMING PAR PETITS GROUPES (10 MIN) 1) Qu
Plus en détailQuantiFERON TB Gold in tube
Qu est-ce que le QuantiFERON? Test sanguin de dépistage de l infection tuberculeuse. QuantiFERON TB Gold in tube Test ELISA qui mesure la réponse immunitaire à médiation cellulaire à l infection tuberculeuse.
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailINSTITUTS PASTEUR ET GRANDS PASTORIENS À TRAVERS LA PHILATÉLIE (*)
153 Bull. Soc. Pharm. Bordeaux, 2006, 145, 153-172 INSTITUTS PASTEUR ET GRANDS PASTORIENS À TRAVERS LA PHILATÉLIE (*) Étienne JOUZIER (1) Les Instituts Pasteur Introduction Peu après la vaccination de
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détail82 collaborateurs 52 millions
Édito Chiffre d affaires à fin Septembre 2007 Assemblée générale du 26 juin 2007 Réponses aux questions des actionnaires * Actualité R&D et produits I 2 : la science d Innate * Innate Pharma et ses actionnaires
Plus en détailDiplôme d Études Approfondies en Biochimie/Biologie Moléculaire. Spécialité : Biologie Moléculaire
UNIVERSITE DE OUAGADOUGOU Unité de Formation et de Recherche en Sciences de la Vie et de la Terre (UFR/SVT) BURKINA FASO UNITE - PROGRES - JUSTICE 3678 THESETH Département de Biochimie-Microbiologie Mémoire
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailRANDRIAMAHEFA SUIVI ET EVALUATION DU PROGRAMME ELARGI DE VACCINATION AU CSB2 AMBAHIKILY - MOROMBE (2000-2001) Thèse de Doctorat en Médecine
RANDRIAMAHEFA SUIVI ET EVALUATION DU PROGRAMME ELARGI DE VACCINATION AU CSB2 AMBAHIKILY - MOROMBE (2000-2001) Thèse de Doctorat en Médecine UNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DE MEDECINE ANNEE : 2003 N
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailNotre système. Immunitaire
Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l
Plus en détailAurélia Chambaz 47 ème volée ESSanté Stage d immuno-hématologie à l UMT, BH-18 CHUV SRTS VD Lausanne 05.11.07-11.04.08 Responsable accompagnante :
Aurélia Chambaz 47 ème volée ESSanté Stage d immuno-hématologie à l UMT, BH-18 CHUV SRTS VD Lausanne 05.11.07-11.04.08 Responsable accompagnante : Mme Jocelyne Conne Résumé Ce travail en immuno-hématologie
Plus en détailPetit Vademecum Dr Pierre Vereecken Services de Dermatologie Erasme/Bordet/Brugmann
Traitement du mélanome Petit Vademecum Dr Pierre Vereecken Services de Dermatologie Erasme/Bordet/Brugmann Le mélanome est une maladie mortelle Quels outils thérapeutiques? EPIDEMIOLOGIE du mélanome Incidence
Plus en détailvaccinale en France Mesure de la couverture Bilan des outils et des méthodes en l an 2000
Mesure de la couverture vaccinale en France Bilan des outils et des méthodes en l an 2000 Document préparé par le Comité de pilotage sur la couverture vaccinale en France sous la coordination de l InVS
Plus en détailImportance de la Vaccination
VACCINER! Importance de la Vaccination VACCINER! «La vaccination complète de l enfant avant son premier anniversaire constitue son premier passeport pour la vie. Il est de notre devoir de nous assurer
Plus en détailGARANTIE Naturelle Pour aborder vos missions l esprit tranquille, vous devez vous sentir bien protégé. Naturelle a été pensée pour vous apporter
GARANTIE Pour aborder vos missions l esprit tranquille, vous devez vous sentir bien protégé. a été pensée pour vous apporter les garanties adaptées à vos attentes. La protection de votre famille est assurée
Plus en détailImpact de la maladie du greffon contre l hôte sur la reconstitution immunitaire suite à une greffe de moelle osseuse allogénique
Université de Montréal Impact de la maladie du greffon contre l hôte sur la reconstitution immunitaire suite à une greffe de moelle osseuse allogénique par Simon-David Gauthier Département de Microbiologie
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détail