Interprofession Laitière. Ovine Caprine Corse. La filière laitière. Corse. Ovine...
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- Adeline Brousseau
- il y a 7 ans
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1 Corse La filière laitière Ovine... Synthèse des diagnostics réalisés sur les exploitations suivies Décembre 2010
2 Afin de dresser un portrait des exploitations ovines corses en 2010, l'ilocc et les Chambres d'agriculture ont réalisé un diagnostic sur l'ensemble des élevages suivis en contrôle laitier ou en appui technique. La filière laitière ovine en Corse A l'échelle de la Corse, ce sont ainsi 170 exploitations professionnelles qui ont été enquêtées, 57 en Corse du Sud et 113 en Haute Corse, par les dix techniciens des différents organismes techniques. L'échantillon est constitué majoritairement d'apporteurs : 121 pour 49 fermiers. Le schéma de sélection est par ailleurs bien représenté dans cet échantillon puisque 58 exploitations sont en CLO Les données recueillies permettent ainsi de décrire la diversité des exploitations suivies, tant aux niveaux structurels, fonctionnels que productifs, les élevages non suivis n'ayant pu être interrogés. Bien que près de la moitié des exploitations professionnelles corses ait été concernée, les enseignements tirés ne peuvent être généralisés à l'ensemble des exploitations. En effet l'échantillon ne prend en compte que les élevages en suivi technique et/ou en contrôle de performances, ces élevages ayant à priori une meilleure structuration technique. Cet échantillon n'est donc pas représentatif de la totalité des élevages ovins de Corse. Moyens humains Les élevages suivis sont essentiellement organisés en exploitation individuelle, avec des chefs d'exploitations de 47 ans en moyenne. Moins de 10% sont des jeunes agriculteurs et près de la moitié des éleveurs a plus de 50 ans. Les problèmes de transmission ou de cessation d'activité devraient donc se poser pour près de la moitié des exploitations dans les 10 ans à venir. La moitié des éleveurs a reçu une formation agricole qui s'est arrêtée, dans 90% des cas, au niveau bac ou avant. La moitié des exploitants a recours à de la main d'œuvre supplémentaire, qu'elle soit bénévole ou salariée. Cependant ce surplus de main d'œuvre est dans la plupart des cas limitée à une personne sauf sur les exploitations les plus importantes. Seulement un tiers de cette main d'œuvre supplémentaire est salariée, les deux tiers restants étant bénévoles, ce qui peut poser des problèmes de pérennité de cette source de travailleurs. Cheptels Les élevages suivis se composent en moyenne de 298 brebis, ce qui représente au total, plus de brebis, soit la moitié du cheptel corse. En moyenne, cela correspond à 200 brebis par Unité de Main d'œuvre (UMO) comprenant les chefs d'exploitations ou les salariés éventuels. Cependant ce chiffre varie fortement d'une exploitation à l'autre, notamment en fonction de la présence d'autres ateliers. La pluriactivité concerne près d'un tiers des exploitations. 24% des éleveurs interrogés possèdent des bovins (25 têtes en moyenne) et 6%, quasiment tous producteurs fermiers, ont un atelier caprin sur l'exploitation avec un troupeau moyen de 80 chèvres. Matériel et bâtiments Un éleveur sur trois n'a pas accès à l'eau potable via le réseau communal. Ceux-ci accèdent à l'eau soit par captage, soit par forage, soit via l'office hydraulique. Ces sources d'approvisionnement ne garantissent pas une eau de qualité tout au long de l'année, ce qui peut poser des problèmes sanitaires sur l'élevage ou affecter la qualité du lait et du fromage. A contrario, seuls 5% des élevages ne disposent d'aucune source d'électricité, 84% ayant accès au réseau électrique et 11% utilisant des groupes électrogènes. Différents types de bâtiments sont utilisés par les bergers : près de la moitié ont un bâtiment construit en dur et 6% ont un tunnel. Les autres n'ont pas accès à un véritable bâtiment : > 30% des éleveurs suivis ont un abri en tôles et/ou bois > 17% des éleveurs suivis n'ont aucun bâtiment d'élevage, ceci s'expliquant pour la moitié d'entre eux par l'absence de terres en propriété. Ainsi ce sont, en cumulé, 47% des éleveurs enquêtés qui sont pénalisés par leur bâtiment. 80% des éleveurs utilisent une machine à traire, les autres utilisent un pot trayeur ou pratiquent la traite manuelle. L'état du matériel utilisé pour la traite (machine et/ou cornadis) n'est pas satisfaisant pour un éleveur sur cinq. Le refroidissement du lait se fait dans la plupart des cas par un tank (66% des éleveurs) ou un refroidisseur (20% des éleveurs). Les autres éleveurs n'utilisent pas de matériels procurant un refroidissement satisfaisant: chambre froide, cours d'eau avoisinants ou ne refroidissent pas le lait.
3 Surfaces La surface agricole utile (SAU) totale de l'ensemble des 170 exploitations enquêtées représente hectares, soit en moyenne 88ha par exploitation. Par convention, les parcours sont incorporés dans la SAU. En moyenne, un tiers des surfaces exploitées le sont en propriété Suivant l'assolement décrit ci-dessous, le rapport SFP/SAU moyen est de 61%. Cependant ces chiffres ne sont, là encore, que des moyennes et ne représentent pas fidèlement la forte diversité des exploitations. Les prairies temporaires représentent 17% de la SAU, soit au total un peu plus de 2500ha. Sur ces prairies temporaires, les espèces annuelles représentent 58% des surfaces semées, alors que les espèces pérennes n'en n'occupent que 42%. L'espèce annuelle la plus semée est le Ray Grass Italien, sur près de 850ha au total. A l'échelle de l'exploitation cela représente 5ha. Les espèces pérennes les plus semées sont les associations pérennes et la luzerne. A l'échelle de l'échantillon, cela représente respectivement 470ha d'associations et près de 400ha de luzernières. Les pratiques d'utilisation et d'entretien des terrains sont également hétérogènes : > 2/3 des éleveurs broient régulièrement leurs parcelles. > 43% des exploitants ont recours à l'irrigation sur une partie de leurs terres. Cela concerne 15 ha soit les 2/3 de leurs prairies temporaires. > L'utilisation des parcelles par les brebis se fait essentiellement par parcage. A noter que 20% des éleveurs laissent l'accès libre aux parcelles, ce qui pose d'évidents problèmes d'optimisation du pâturage. > Le critère de changement de parcelles est la hauteur d'herbe pour les 2/3 des éleveurs. La production de foin concerne un élevage sur deux, l'essentiel de la production étant du foin de graminées, le foin de luzerne n'étant produit que par un tiers des éleveurs. 80% de cette production de foin est destinée à l'autoconsommation. La production de céréales est marginale, ce qui ne permet pas de limiter les achats pour des systèmes qui utilisent beaucoup la complémentation, notamment en maïs. Alimentation Là encore, les systèmes d'alimentation sont tellement variés à l'échelle régionale qu'il est difficile de les analyser finement sans passer par une typologie. On peut cependant noter quelques grandes tendances. > 98% des éleveurs complémentent leurs brebis au cours de la campagne. La ration moyenne annuelle distribuée par brebis : Types d'aliments Quantité moyenne Minimum Maximum Moyenne distribuée (kg/ brebis/an) par exploitation Céréales + aliment complet t Foin t Autres observations : > L'incorporation dans la ration de luzerne déshydratée est une pratique employée par moins d'un éleveur sur 10. > 40% des éleveurs utilisent un aliment spécial pour l'élevage des agnelles. La consommation moyenne s'élève à 45kg/agnelle/an. Globalement, les charges d'alimentation moyennes s'élèvent à 35 par brebis : 26 de concentrés et 9 de fourrages. Et ces charges varient entre 10 et 90 selon les éleveurs. Pour 80% des éleveurs, elles sont comprises entre 20 et 60 (cf base de données régionale SIEOL, campagne 2009). Les éleveurs sont globalement très dépendants des achats extérieurs pour l'alimentation de leur troupeau. Or les coûts de transports importants engendrés par l'insularité ne permettent pas aux éleveurs d'avoir accès à des fourrages ainsi qu'aux aliments concentrés à des prix raisonnables. Cela les pénalise à la fois sur leurs charges d'alimentation et en oblige certains à limiter les quantités distribuées au détriment de la production laitière. Ainsi, la production d'herbe et de fourrage en Corse est un levier important pour favoriser une meilleure alimentation du cheptel tout en améliorant la rentabilité de l'exploitation. Reproduction et conduite du troupeau Le taux de fertilité moyen est de 88%. 1/3 des éleveurs suivis synchronisent la lutte des brebis ou agnelles à l'aide de traitements hormonaux, essentiellement les éleveurs qui sont dans le schéma de sélection. Les taux de renouvellement et de réforme sont d'environ 16%. Malgré cela, on constate une diminution globale des effectifs à l'échelle de la Corse, notamment due auc différentiel entre le nombre d'installations et celui des cessations d'activité. Quelques éleveurs, 10% de l'échantillon, ne pratiquent aucune gestion particulière des béliers, ceux-ci restants en permanence avec les brebis n'ayant pas mis bas, au risque d'avoir des naissances en fin de campagne et plus globalement de désynchroniser le troupeau. Avec un bélier pour 26 brebis en moyenne, le ratio mâles/femelles apparait légèrement supérieur à celui préconisé en monte naturelle en race Corse qui est de un bélier pour trente brebis. Mais, la diversité des situations montre qu'il reste encore beaucoup d'élevages qui ont 2 à 3 fois trop de béliers. La présence de béliers plus âgés freine la participation des jeunes béliers à la lutte et diminue ainsi l'amélioration génétique. La gestion de la reproduction est pénalisée par l'absence de tenue de carnet d'agnelage dans les deux tiers des exploitations. Ce type de carnet permet pourtant une observation plus fine et individualisée des performances en reproduction ainsi que d'avoir une vision sur l'ensemble de la carrière des brebis en laissant une trace d'une année sur l'autre. L'âge moyen d'abattage des agneaux est de 36 jours, mais ce chiffre ne traduit pas la variabilité des situations : certains élevages pratiquent l'abattage à 3 jours et à l'opposé, d'autres à 60 jours. Le sevrage précoce des agnelles n'est pas une pratique ancrée dans les habitudes des éleveurs suivis puisque seulement 30% des 88% de fertilité sur le troupeau 16% de renouvellement 16% de réforme éleveurs sèvrent leurs agnelles à 35 jours, la majorité des éleveurs préférant attendre une dizaine de jours supplémentaires. (59% sèvrent à 45 jours et moins). En revanche, le tarissement long, c'est-à-dire sur plus de 10 jours, est pratiqué dans des élevages, et ce malgré les avantages du tarissement court.
4 Sanitaire 2/3 des éleveurs corses suivis adhèrent au GDS dont 1/3 est inscrit au Plan Sanitaire d'elevage et 15 % participent au Réseau d'epidémiosurveillance. En Corse, le piétin demeure la problématique sanitaire la plus répandue. Il est présent dans une exploitation sur trois. Vient ensuite le problème des mammites chroniques qui concerne 11% des éleveurs. En moyenne, les éleveurs réalisent deux traitements antiparasitaires par an mais seulement un sur trois le fait après une analyse coprologique. Environ 10% des éleveurs ne réalisent aucun traitement antiparasitaire, essentiellement pour des raisons économiques et donc indépendamment du statut sanitaire du troupeau. Ces deux pratiques opposées, peuvent être dommageables pour la santé et donc pour la productivité du troupeau, soit par la favorisation du développement de résistances soit par l'absence de lutte contre les parasites. La production moyenne est de litres par exploitation pour la campagne Ce qui représente, litres par chef d'exploitation ou salarié. Les performances individuelles moyennes s'élèvent chez les 170 éleveurs interrogés à 110 litres par brebis et agnelle ayant mis bas. Ce chiffre est logiquement inférieur à la moyenne du schéma de sélection qui est d'environ 133 litres, et supérieur à la moyenne des élevages en appui technique hors schéma de sélection qui est de 103 litres. La traite en estive semble être en réelle perte de vitesse, puisque seuls 6 éleveurs sur 170 la pratiquent encore. Certaines données économiques comme les ventes d'agneaux ou de fromages ont également pu être étudiées. Les ventes d'agneaux notamment, se partagent entre : alimentaire. Cela montre bien la marge de manœuvre existante sur ce poste de charge, même si cette variabilité est à mettre en relation avec la diversité des situations géographiques et des systèmes d'exploitation. Réglementation Les élevages qui ont participé au diagnostic, qui bénéficient pourtant d'un conseil sur la réglementation, ont du mal à être totalement en phase avec la réglementation. Par exemple, bien que ceci soit obligatoire du point de vue réglementaire ou de la conditionnalité, un éleveur sur cinq n'a pas de registre d'élevage, près d'un éleveur sur trois ne fait pas appel au service d'équarissage, deux éleveurs sur cinq ne tiennent pas un carnet sanitaire à jour et près des deux tiers des éleveurs n'ont pas de carnet d'agnelage. plusieurs thèmes de travail pour la campagne 2010/2011. La reproduction apparaît donc comme le premier élément de travail puisqu'il est souhaité par près 2/3 des éleveurs. Viennent ensuite la conduite du troupeau (sevrage, tarissement etc), les questions d'alimentation et du sanitaire. Aides et subventions Productions 110 litres / brebis et agnelle ayant mis bas 1,20 / litre de lait collecté 14 / kg de fromage Vente de viande : 3 / kg de poids vif pour les agneaux Coût alimentaire : 0,31 / litre de lait produit Marge sur coût alimentaire : 100 / brebis La moitié seulement des brebis de réforme est vendue: les différents circuits de commercialisation se partageant quasi équitablement le marché avec cependant une légère prépondérance des structures collectives. Le prix moyen de la brebis de réforme vendue est de 3. Quant aux fromages, les producteurs fermiers valorisent en moyenne le kilo de fromage à 14 alors que le Brocciu se négocie lui aux alentours de 12 /kg. Le prix moyen du lait collecté est d'1,20 en moyenne avec un différentiel important suivant la qualité du lait: jusqu'à 40 centimes en (cf Observatoire Interprofessionnel de l'ilocc). Au final, la production de lait par brebis représente 135. Le coût direct d'alimentation étant de 35 par brebis soit 28% du produit, la marge sur coût alimentaire est donc de 100 par brebis. Cela signifie qu'en moyenne, un éleveur corse dispose de 100 pour provisionner ses charges de structure, ses charges opérationnelles autres que l'alimentation et se pourvoir un salaire. Par litre de lait produit ce coût alimentaire représente 0,31. (cf base de données régionales SIEOL, campagne 2009) Les écarts peuvent être importants d'une exploitation à l'autre, de 30 à 370 par brebis de marge sur coût La moitié des éleveurs ont mobilisé une aide agri-environnementale (MAET ou PHAE) : c'est le système d'aides le plus utilisé. En revanche, au niveau des aides à l'investissement, 59% des éleveurs n'ont jamais fait appel aux aides ODARC (hors JA). Le nombre de demandes d'aides déposées par des éleveurs ovins et caprins sur les deux dernières années auprès de l'odarc, est de 93, ce qui représente 14% des éleveurs ovins et caprins. Dans ce même registre, l'aide Lait Montagne a réalisé un joli démarrage puisque de septembre 2009 à juin 2010, 18% des éleveurs suivis y ont eu recours. Certains éleveurs ne bénéficient cependant d'aucun système de subvention types MAE ou aides à l'investissement : 15% des éleveurs jugent en effet les démarches et la mise en œuvre trop compliquées. Il faut ajouter à ce chiffre les éleveurs ayant déjà bénéficié de subventions mais qui ont décidé de ne plus y recourir devant la complexité du montage de dossier et surtout du délai trop important entre le début de la démarche et le paiement effectif. Orientation de l'appui technique Afin d'améliorer ses résultats technico-économiques et/ou son cadre de travail, chaque éleveur a choisi en collaboration avec son technicien référent, en fonction des points à améliorer sur son exploitation, un ou 46% des éleveurs ont plus de 50 ans 50% sans formation agricole 47% pénalisés par leur bâtiment 30% n'ont pas accès au réseau d'eau 16% ne sont pas raccordés au réseau électrique 14% ne refroidissent pas correctement le lait 29% des élevages touchés par le piétin 50 % des éleveurs hors schéma < 100 l/brebis 3 / réforme vendue
5 Corse La filière laitière Ovine... L'ILOCC tient à remercier les éleveurs et les techniciens qui ont pris de leur temps et de leur énergie pour mener à bien ces diagnostics. Cette synthèse est une première étape et ne porte que sur les exploitations suivies et qui, a priori, sont les plus structurées techniquement et les plus modernes. Une analyse par typologie d'exploitation permettra aux éleveurs de mieux se situer en lien avec les spécificités de leur propre exploitation.. - Station expérimentale d Altiani Altiani ilocc@orange.fr -
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