Conjoncture laitière mondiale et développements récents des politiques laitières européennes
|
|
- Noël St-Hilaire
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Conjoncture laitière mondiale et développements récents des politiques laitières européennes Symposium FIL-IDF Canada Perspectives Laitières Montréal, mai 2013
2 Conjoncture laitière mondiale 2
3 RESUME Progression de la production laitière en 2012 mais ralentissement récent de l offre, susceptible de garder les marchés sous pression Niveaux élevés d exportations tout au long de l année 2012 pour les principaux fournisseurs du marché mondiale Déclin des stocks Rebond des cotations dès le milieu de l année 2012; très bonnes perspectives de marché pour les mois à venir Mais des niveaux de coûts de production qui mettent en péril les comptabilités des exploitations Un risque de pénurie sur les marchés laitiers en ? 3
4 La production mondiale de lait (toutes espèces confondues) Répartition géographique de la production mondiale en 2012 (estimation ; millions de tonnes) Am. du Nord 99 13% Etats-Unis 90 Canada 8 Europe % UE à Russie 32 Ukraine 11 Belarus 7 Am. centrale 17 2% Mexique 11 Am. du Sud 71 9% Brésil 33 Argentine 12 Colombie 8 Afrique 43 6% Soudan 8 Egypte 6 Kenya 4 Total monde : 760 millions de tonnes Asie % Inde 132 Chine 45 Pakistan 33 Turquie 17 Océanie 29 4% N Zélande 20 Australie 9 FAO Food Outlook Novembre 2012, IDF-DCANZ pour NZ
5 L Asie, zone la plus dynamique Evolution de la production laitière par continents entre 2007 et 2012 Am. du Nord et centrale + 6 Mt Europe + 6 Mt Asie + 44 Mt Amérique du Sud + 15 Mt Taux de croissance moyen annuel mondial + 2.4% CNIEL / IDF, FAO Food Outlook Afrique + 8 Mt Océanie + 4 Mt Total monde : + 84 millions de tonnes Mt: millions de tonnes 5
6 Dynamiques de croissance dans les principaux pays producteurs (1/2) Millions de tonnes USA Millions de tonnes UE 25, % / an % / an % (e) 12(p) (e) 12(p) Millions de tonnes Pakistan Millions de tonnes Nouvelle-Zélande % / an - 4.3% / an % / an % / an (e) 12(p) (e) 12(p) CNIEL / FAO Food Outlook 6
7 Dynamiques de croissance dans les principaux pays producteurs (2/2) Millions de tonnes % / an Brésil Millions de tonnes Russie + 0.4% / an + 1.1% / an - 0.6% / an (e) 12(p) (e) 12(p) Millions de tonnes Chine Millions de tonnes Inde % / an + 11% / an + 1.1% / an + 4.9% / an % / an (e) 12(p) (e) 12(p) CNIEL / FAO Food Outlook 7
8 Dynamiques de croissance dans les millions de tonnes Etats-Unis millions de tonnes UE à principaux pays producteurs 12 mois glissants millions de tonnes Nouvelle-Zélande millions de tonnes Japon millions de tonnes Russie milliards de litres Argentine milliards de litres Australie NB : collectes au Japon et en Europe CNIEL / USDA, ZMB, PZ, Alimentos argentinos, DCANZ, Dairy Australia
9 Tendances de production en 2012 et début 2013 Tendances de production au sein des principaux fournisseurs du marché mondial Etats-Unis Production 3 mois 2013 : + 0,1% 12 mois 2012 : + 1,8% UE à 27 Collecte 2 mois 2013 : - 0,6% 12 mois 2012 : + 0,6% Argentine Collecte* 2 mois 2013 : -10,9% 12 mois 2012 : + 0,8% Australie Production 3 mois 2013 : - 6,1% 12 mois 2012 : + 2,3% NB : mois de février 2012 ramené à 28 jours * : sondage sur 20 laiteries représentant les 2/3 de la collecte CNIEL / USDA, Dairy Australia, Commission, Alimentos argentinos, ZMB N-Zélande Collecte 2 mois 2013 : + 1,2% 12 mois 2012 : + 8,1% 9
10 Variations géographiques de la consommation de produits laitiers Niveau de consommation apparente de produits laitiers en 2012 (kg par habitant) Canada 242 Russie 245 Etats-Unis 276 UE 287 Chine 38 Japon 71 Mexique 108 Algerie 153 Iran 90 India 105 Philippines 10 Moyenne mondiale 108 kg/habitant Brésil 173 Argentine 237 Moins de 50 kg 50 à 100 kg Indonésie à 200 kg Plus de 200 kg Australie 309 CNIEL / IDF, FAO Food Outlook, PRB
11 Variations géographiques de la consommation de produits laitiers Consommation apparente de produits laitiers par habitant (kg en équivalent lait) % Monde Asie Afrique Amérique latine Russie + Ukraine + Belarus UE + Amérique du Nord + Australie + N Zélande CNIEL / IDF, FAO Food Outlook, PRB
12 Les échanges mondiaux de produits laitiers Structuration des échanges mondiaux* de produits laitiers en 2012 (en équivalent lait liquide méthode FAO) 53 millions de tonnes 7% de la production mondiale Principaux pays fournisseurs (%) Nouvelle-Zélande 32 Union Européenne 24 Etats-Unis 10 Australie 6 Argentine 4 Biélorussie 4 Top 2 : 56 % Top 5 : 76 % * Hors échanges intra-ue CNIEL / FAO Principaux pays débouchés (%) Chine 12 Russie 6 A. Saoudite 6 Mexique 5 Algérie 5 Indonésie 3 Top 2 : 18 % Top 5 : 34 % 12
13 La demande est soutenue sur les principaux marchés Tendances d importation au sein de quelques grands débouchés Etats-Unis Import janvier 2013 / 12 mois 2012 Fromages : - 1% / + 8% Caséines : + 15% / - 3% Russie Import* 2 mois 2013 / 12 mois 2012 Beurre : + 60% / - 8% Fromages : + 12% / + 7% Japon Import 2 mois 2013 / 12 mois 2012 Fromages : + 1% / + 9% Brésil Import 2 mois 2013 / 12 mois 2012 Poudre de lait entier : - 37% / + 29% Fromages : - 22% / - 29% Algérie Import 11 mois 2012 Poudre de lait écrémé : - 12% Poudre de lait entier : - 8% Chine Import 2 mois 2013 / 12 mois 2012 Poudre de lait écrémé : - 34% / + 29% Poudre de lait entier : + 50% / + 27% Lactosérum : - 6% / + 10% * : les importations russes ne comptabilisent pas les flux en provenance du Belarus NB : évolution des exportations sur base volume CNIEL / Ubifrance, douanes nationales 13
14 Présence sur le marché mondial Tendances d exportation au sein des principaux fournisseurs Etats-Unis Export janvier 2013 / 12 mois 2012 Poudre de lait écrémé : - 19% / + 2% Fromage : + 13% / + 16% UE à 27 Export 12 mois 2012 Poudre de lait écrémé : + 1% Poudre de lait entier : - 1% Beurre : + 8% Fromage : + 14% Lactosérum : + 7% Argentine Export janvier 2013 / 12 mois 2012 Poudre de lait entier : - 27% / - 1% Fromage : - 10% / - 10% Australie Export janvier 2013 / 12 mois 2012 Poudre de lait écrémé : + 4% / + 21% Poudre de lait entier : - 54% / - 3% Fromage : + 5% / stable NB : évolution des exportations sur base volume CNIEL / USDA, Dairy Australia, Commission, ZMB, Ubifrance, douanes nationales N-Zélande Export 2 mois 2013 / 12 mois 2012 Poudre de lait écrémé : + 17% / + 9% Poudre de lait entier : + 21% / + 15% Beurre : - 14% / + 8% Butter oil : + 26% / + 33% Fromage : + 17% / + 25% 14
15 Envolée des cours mondiaux Prix FOB Océanie en USD / tonne - jusqu à avril Poudre de lait écrémé 4 3 Beurre Poudre de lait entier 3 Cheddar 1 2 CNIEL / USDA 15
16 Les prix du lait à travers le monde / 1000 litres 2013 Russie / 1000 litres 2013 Argentine jan fev mar avr mai jun jul aout sep oct nov dec 220 jan fev mar avr mai jun jul aout sep oct nov dec / 1000 litres 2013 Etats-Unis / 1000 litres 2013 Chine jan fév mar avr mai jun jul aou sep oct nov déc 300 jan fév mar avr mai jun jul aou sep oct nov déc NB : la composition des laits diffère d un pays à l autre. CNIEL / Alimentos argentinos, ZMB, USDA, Institut de l élevage, China Dairy 16
17 A comparer avec des coûts / tonne Blé fourrager Prix de marché - Moyenne Europe d intrants élevés / tonne Maïs fourrager Prix de marché - Moyenne Europe USD / tonne USD / baril Tourteau de soja Brésil FOB 45-46% protéines 50 0 Pétrole Brent spot FOB Eurostat, USDA, CLAL 17
18 Des stocks de produits laitiers épurés Evolution des stocks européens de beurre et de poudre de lait écrémé jusqu en mars tonnes tonnes Stocks d'intervention de poudre de lait écrémé Stocks privés de beurre Stocks d'intervention de beurre CNIEL / Commission Européenne 18
19 Récents développements en Europe 19
20 RESUME L Europe laitière et ses multiples visages Une région présente sur le marché mondial et dotée d un bon potentiel de croissance Mais confrontée à des incertitudes: une volatilité nouvelle, la fin des quotas, une réforme des politique laitières avec des impacts différenciés selon les zones 20
21 Le nombre d exploitations laitières Les détenteurs de quotas au 31 mars 2011 (en milliers) Total UE : exploitations Plus de exploitations De à De à Moins de , , ,2 21
22 Echanges de l UE avec les pays tiers Ensemble des produits laitiers en équivalent lait liquide Import Export 1,4 millions de tonnes en ,0% de la collecte UE 13,6 millions de tonnes en ,8% de la collecte UE 4 millions de tonnes équivalent lait liquide UE à millions de tonnes équivalent lait liquide UE à 15 UE à 25 UE à 27 3 UE à UE à CNIEL / Eurostat 22
23 Echanges de l UE avec les pays tiers Solde commercial pour les produits laitiers (milliards ) Excédent > 1 milliard Excédent de 0 à 1 milliard Déficit de 0 à 1 milliard 0,1 Déficit > 1 milliard -0,5 0,1 2,0-1,9 1,6 3,4,-0,1 2,9 0,9 0,4 0,1 0,1-0,0 3,7-1,3 0,4-0,0-0,2 NB : boissons lactées non comptabilisées -0,2-0,9-0,1-0,4 CNIEL / Eurostat -0,0 (Malte) -0,0 (chypre) 23
24 Echanges de l UE avec les pays tiers Principaux produits exportés par l UE à 27 et principaux débouchés sur les pays tiers en 2012 Total millions Fromages Lait infantile Poudre de lait écrémé Poudre de lait entier Lactosérum 793 Caséines 542 Beurre & mgla 510 Lait concentré 466 Lait fermenté, pdre babeurre 288 Lactose 258 Lait liquide 232 Crème 212 Composants naturels du lait 100 Russie Chine 911 Etats-Unis 863 Hong-Kong 586 Algérie 535 Arabie saoudite 515 Suisse 374 Japon 362 Nigéria 265 Indonésie 262 EAU 261 Egypte 252 Libye 241 CNIEL / Eurostat 24
25 La collecte de lait de vache millions de tonnes Collecte de lait de vache UE à 15 UE à 25 UE à 27 Année 2012 Total UE à 27 : 140,7 millions de tonnes 4,9 2,9 2,3 0,7 0, ,4 Plus de 15 millions de tonnes De 5 à 15 13,6 24,5 11,7 3,3 0,3 30,2 10,9 2,4 3,0 0,5 9,8 0,9 1,4 1,4 0,9 De 1 à 5 Moins de 1 1,9 6,0 0,7 0,5 Cniel / Eurostat, ZMB 0,04 (Malte) 0,2 (chypre) 25
26 Irlande, Allemagne, Pays-Bas et France parmi les pays laitiers les + dynamiques Evolution de la collecte de lait de vache entre 2007 et 2011 Fortes ambitions d expansion: +6,0% Irlande (+ 50% entre 2010 et 2020) +8,3% Allemagne (+ 10 Mt d ici ans) +1,2% +6,4 % +7,4% Pays-Bas (+ 1 Mt après fin des quotas chez FrieslandCampina) +6,0% -3,2% Autriche (+ 25% après fin des quotas) -16% +7,1% -11%. -22% - 0,1% Forte progression (> 5%) Progression modérée (0 à 5%) Faible diminution (0 à -5%) Forte diminution (< -5%) +4,1% -34% Cniel / Eurostat, ZMB Chypre 26
27 La réalisation du quota L Irlande, les Pays-Bas et l Allemagne sont pour l instant bridés par les quotas. La France se positionne (ou se positionnait jusqu à peu) différemment millions de tonnes Pays-Bas dépassement +0,5% millions de tonnes Irlande Livraison dépassement +1,1% 11.2 Livraison 5.2 Quota Quota /01 02/03 04/05 06/07 08/09 10/ /01 02/03 04/05 06/07 08/09 10/11 millions de tonnes 30 Allemagne dépassement 26 millions de tonnes France sous-réalisation +0,1% 29 Livraison Livraison -3,6% 28 Quota 27 00/01 02/03 04/05 06/07 08/09 10/11 Cniel / Commission Européenne 23 Quota 22 00/01 02/03 04/05 06/07 08/09 10/11 27
28 Sous-réalisation et dépassement du quota laitier en Europe Situation pays par pays en 2011/12 Dépassement Sous-réalisation limitée (< 3%) Sous-réalisation importante (3 à 6%) Sous réalisation très importante (> 6%) 150 millions de tonnes UE sous-réalisation globale 140-4,7% Livraison 130 Quota /01 02/03 04/05 06/07 08/09 10/11 UE à 15 à 23 à 25 à 27 Chypre Malte 28
29 La collecte de lait de vache dans les principaux pays de l UE Evolution sur 12 mois glissants jusqu en février millions de tonnes Allemagne milliards de litres France milliards de litres Royaume-Uni millions de tonnes Pays-Bas 7 6 millions de tonnes Irlande millions de tonnes UE à CNIEL / ZMB, FAM, PZ, DairyCo
30 La volatilité s amplifie sur le marché mondial et s invite sur le marché intérieur européen / tonne Prix mondial Beurre / tonne Prix européen Beurre / litres 400 Prix du lait à la ferme en Allemagne / tonne Prix mondial LEP / tonne Prix européen LEP CNIEL / FranceAgriMer, ZMB NB : cotations européennes mesurées en France 30
31 La mise en place du Paquet Lait Règlement n 261/2012 du Parlement européen et du Conseil Modifiant l OCM unique (1234/2007 ) avec un volet spécifique «lait et produits laitiers». Adopté le 14 mars 2012 application 2 avril 2012 jusqu en 2020 Principales lignes : La relation entre le producteur de lait et son collecteur peut être précisée dans un contrat écrit Pouvoir de négociation: Possibilité de créer des Organisations de Producteurs et associations de producteurs (OP/AOP) avec ou sans transfert de propriété du lait, sans préjudice pour les coopératives existantes qui gardent leurs spécificités Taille max : 3,5% du lait de l UE soit 5 milliards de litres Ces OP doivent être déclarées auprès de l état membre Transparence : les transformateurs doivent déclarer tous les mois à l état membre les quantités collectées Possibilité pour les états membres de reconnaître des interprofessions Possibilité pour les AOP/IGP de mettre en place une gestion collective des 31 volumes
32 Paquet Lait : les interprofessions Possibilité pour les états membres de reconnaître des interprofessions Elles doivent représenter une part significative de l activité Missions Amélioration de la connaissance de la production et du marché, au moyen, notamment, de la publication de données statistiques relatives aux prix, aux volumes Etudes sur les perspectives d évolution du marché aux niveaux régional, national et international Promotion du lait et des produits laitiers. Elaboration des contrats types Recherches pour orienter la production vers des produits plus adaptés aux besoins du marché, ainsi qu aux goûts et aspirations des consommateurs, notamment en matière de qualité des produits et de protection de l environnement, et améliorer la sécurité alimentaire et la santé animale Promotion de l agriculture biologique ainsi que la production de produits en appellations d origine, labels de qualité et indications géographiques 32
33 Paquet Lait : Gestion volumes AOP Un «encadrement de la croissance et de l ouverture de la production» filière par filière autorisé (fromage uniquement) Doit s appuyer sur des indicateurs de marché fiables (volumes, ventes, stocks ) Doit permettre l accueil de nouveaux opérateurs 33
34 Paquet Lait : Gestion volumes AOP Ex. la filière Comté 34
35 Paquet Lait : Gestion volumes AOP Ex. la filière Comté 35
36 Processus de réforme de la PAC Une PAC plus verte % des aides conditionnées à des mesures environnementales Une distribution des subventions plus équitable Paiement unique à l hectare par Etat membre Rééquilibrage modéré des enveloppes nationales Plafonnement des aides / exploitation Agriculteurs actifs seuls éligibles Davantage de fonds pour les jeunes et les petits agriculteurs Une agriculture européenne plus compétitive et apte à garantir la sécurité alimentaire Mesures d urgence en cas de crise : intervention, fonds de mutualisation Aides au développement rural cofinancées par les Etats et l Europe Des procédures plus simples 36
37 L évolution des dépenses de la PAC ( ) Notes: = Budget; 2012 = Budget prévisionnel; = Sous plafonds FEAGA pour paiements direct et dépenses de soutien des marchés + engagements pilier 2. Les montants développement rural 2013 inclus la modulation volontaire UK et Article 136 montants non dépensés. Comme ceux-ci s arrêtent fin 2013, les montants correspondant sont intégrés dans les aides directes à partir de (Source: DG AGRI) 37
38 Merci Thank pour you votre for your attention attention
Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *
Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données
Plus en détailAnalyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays
Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailInstitut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2015-01
Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2015-01 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent
Plus en détailTHESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES
THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications
Plus en détailBOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER
BOURSES SCOLAIRES au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER ÉTABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL À CARACTÈRE ADMINISTRATIF SOUS
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailModèle de budget mensuel
Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailModèle de budget mensuel
Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailPOURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR
POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre
Plus en détailInstitut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2012-12
Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2012-12 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailLA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI»
LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» La SOPARFI n'est pas régie par une loi spécifique, mais se définit comme une société de capitaux luxembourgeoise soumise à une fiscalité tant directe
Plus en détailInstitut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2013-04
Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2013-04 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailLes Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION
Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION S.M.A.R.T. Production 2004-2005 - Tous droits de reproduction réservés. Par les mêmes organisateurs : 40 ateliers gratuits sur
Plus en détailRégion Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie
Région Haute-Normandie Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Novembre 2013 ! "# $"% &%'' $ (')#!*+,*'-#&+,./ 0 $1&/2+,(.'1&/2+,(.'' 3,/,// 4 (553 5#+' 2 '+ 0 6 #
Plus en détailLes facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux
Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailAtlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris
Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES
Plus en détailComité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil
Comité Coproduits Situation des marchés (V e quartier) juin 21 Montreuil LE MARCHE DES PRODUITS TRIPIERS Production de produits tripiers tonnes Evolution sur mois 21/21 Abats de bovins : + 2,2 % Abats
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ
Plus en détailL AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE
L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique
Plus en détailLa réforme de l assurance prospection s articule autour de 5 axes principaux :
MESURE 1 REFORME DES PROCEDURES FINANCIERES PUBLIQUES DE LA COFACE La réforme concerne particulièrement deux procédures : l Assurance Prospection et l Assurance Crédit. L objectif est de simplifier et
Plus en détailPays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile
ANNEXE 1 Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile Pays Pays où il y a un Pays exigeant Pays exigeant risque de transmission la vaccination
Plus en détailROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015. www.robertwalters.fr CHIFFRES CLÉS
ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015 Pour mieux comprendre les attentes des candidats, Robert Walters référence mondiale du recrutement spécialisé a diffusé une enquête au début de l année 2015, auprès
Plus en détailPourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailRevue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16
9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur
Plus en détailL IMMIGRATION AU SEIN DE L UE
L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailOffice de Développement de l Économie Agricole d Outre-mer Recueil statistique Banane 2012
Recueil statistique Banane 2012 Découvrez les principaux chiffres de l économie bananière mondiale dans ce nouvel opus du recueil statistique «banane», fruit de la collaboration entre l ODEADOM et le CIRAD.
Plus en détailVADEMECUM COMMERCE EXTÉRIEUR DÉCOUVREZ L APP DE S-GE!
Edition 2015 VADEMECUM COMMERCE EXTÉRIEUR DÉCOUVREZ L APP DE S-GE! Sommaire LE MOT DU DIRECTEUR 3 SERVICES DE SWITZERLAND GLOBAL ENTERPRISE 4 Export Promotion 4 Import Promotion 4 Invest Promotion 5 RÉSEAU
Plus en détailL Épargne des chinois
L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48
Plus en détailLes concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»
Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches
Plus en détailMSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE
2014 RELAIS EXPAT L ASSURANCE SANTÉ EN COMPLÉMENT DE LA POUR EXPATRIÉS MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE L ASSURANCE SANTÉ SANS FRONTIÈRES Le contrat Relais Expat de l ASFE : pourquoi vous couvrir?
Plus en détailLe gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I
Le gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I CLUB DE NICE 5/12/2012 Le gaz naturel dans l Union Européenne
Plus en détailSous classe 10.51. Exploitation de laiteries et fabrication de fromage
Sous classe 10.51 Exploitation de laiteries et fabrication de fromage Chiffres clés 2012...2 Faits marquants...4 Présentation générale du secteur...4 Qualité, innovation, normalisation...11 Organismes
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION
REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION Regards sur l éducation Rapport intermédiaire Mise à jour des indicateurs relatifs
Plus en détailLe marché du lait de consommation en France. Assemblée Générale SYNDILAIT-IPLC 2 mai 2012
Le marché du lait de consommation en France Assemblée Générale SYNDILAIT-IPLC 2 mai 2012 Un survol en 8 temps La collecte de lait La transformation La commercialisation La montée du bio Le lait local La
Plus en détailGlobal WorkPlace Solutions. Créer un avantage concurrentiel
Global WorkPlace Solutions Créer un avantage concurrentiel Prêt pour le business? Etre un business international profitable n est pas chose facile. Le maintenir en tête requiert pensée innovante, courage
Plus en détailLe Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:
1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence
Plus en détailL industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014
L industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014 Introduction L économie canadienne est tributaire des exportations, en particulier dans les secteurs agricoles et
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailCatalogue des aides financières à l international
Catalogue des aides financières à l international Février 2012 SOMMAIRE SOMMAIRE Un Pôle à vocation mondiale 3 COFACE 5 Assurance prospection 6 Soutien de trésorerie 7 Assurance caution risque exportateur
Plus en détailNote relative à l investissement direct étranger dans le monde et au Maroc
Royaume du Maroc Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation Direction de la Politique Economique Générale Note relative à l investissement direct étranger dans le monde et au Maroc
Plus en détailtouristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs
Sport, loisirs et développement touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation internationales Marie Solange BUREAU AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs 1 Normalisation
Plus en détailCULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes
CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes L exemple du Comité de Bâle Julien Benomar Culture d entreprise et
Plus en détailLa BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière
La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède
Plus en détailJournée des partenaires de la filière laitière
Journée des partenaires de la filière laitière Grands troupeaux : comment accompagner les éleveurs? Réseau bovins lait Poitou-Charentes 23 Juin 2015 Programme Grands troupeaux : état des lieux en Poitou-Charentes
Plus en détailTarif des paiements internationaux, des opérations de change et des opérations documentaires
Tarif des paiements internationaux, des opérations de change et des opérations documentaires Vous trouverez dans cette brochure un aperçu des tarifs concernant: 1. Paiements internationaux 2 2. Opérations
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détailLes réformes de la PAC
www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées
Plus en détailÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance
ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance Définition Un accident corporel (mortel ou non mortel) de
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailBienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell
Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Table des matières Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell...
Plus en détailSITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE
LE CONSEIL AGRICOLE : UNE NOUVELLE STRATÉGIE DE SERVICE POUR LES AGRICULTEURS DOSSIER ROYAUME DU MAROC SITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE N 9 Novembre 2011 SITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE N 9 Novembre
Plus en détailENTITÉS MIXTES ISSUES D ACCORDS INTERNATIONAUX 2004
ENTITÉS MIXTES ISSUES D ACCORDS INTERNATIONAUX 2004 JOINT ENTITIES RESULTING FROM INTERNATIONAL AGREEMENTS 2004 La présente liste regroupe les entités et sous entités issues d accords internationaux actives
Plus en détailPrésentation de la réforme de la PAC 2014-2020
Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA
Plus en détailCréer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011
Créer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011 PRESENTATION Le groupe ALTIOS International Une société leader dans le conseil et le développement opérationnel
Plus en détailMontpellier. 24 mai 2011
Montpellier 24 mai 2011 SOMMAIRE Le Groupe AXA Retour sur 2010, une année charnière Performance en 2010 et indicateurs d activité 2011 Priorités pour 2011 et après Christian RABEAU Directeur de la Gestion
Plus en détailAssociation nationale de la meunerie française
Association nationale de la meunerie française LA MEUNERIE FRANCAISE : ses entreprises, ses marchés t tla t structure des entreprises de la meunerie française La meunerie française est composée de 373
Plus en détailEstimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur
Estimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur Marchés concernés Rejoignez la tendance Si vous êtes activement impliqué sur le marché des tôles
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailCommission des finances
Autorité internationale des fonds marins ISBA/21/FC/5 Commission des finances Distr. limitée 4 juin 2015 Français Original : anglais Vingt et unième session Kingston (Jamaïque) 13-24 juillet 2015 État
Plus en détail11 848 milliards de $EU. Statistiques du commerce international 2014 TOTAL MARCHANDISES. milliards de $EU PRODUITS MANUFACTURÉS
Statistiques du commerce international 2014 Voyages 1 185 milliards de $EU Exportations mondiales 2013 TOTAL SERVICES COMMERCIAUX 4 645 milliards de $EU Transport 905 milliards de $EU Autres services commerciaux
Plus en détailIntroduction. I. Évolution du commerce mondial. II. Commerce des marchandises
Introduction 1. Remerciements 2 2. Message du Directeur général 3 3. Comprendre les statistiques du commerce international 4 4. Membres et observateurs de l OMC 6 Composition des régions géographiques
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détail11 511 milliards de $EU. Statistiques du commerce international. total. milliards de $EU. total Services commerciaux 4 170 milliards de $EU
Statistiques du commerce international Exportation mondiales 2011 total Services commerciaux 4 170 milliards de $EU total MARCHANDISES 17 816 milliards de $EU Voyages 1 065 milliards de $EU Transports
Plus en détailDossier de presse 28 janvier 2013
Dossier de presse 28 janvier 2013 1. Pourquoi un Centre pour Entreprises en difficulté en Wallonie? Certes, le nombre de faillites augmente. Mais, c est surtout, le fait de voir qu un conseil rapide et
Plus en détailRAPPORT. (préparé par le Secrétariat)
FR COMMISSION DES FINANCES UNIDROIT 2011 70 ème session AG/Comm. Finances (70) 9 Rome, 29 septembre 2011 Original: français septembre 2011 RAPPORT (préparé par le Secrétariat) Sommaire Action demandée
Plus en détailDe vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités
De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom
Plus en détailA. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale. 1.
Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale et pays dont les ressortissants en sont exemptés A. Liste des pays tiers dont les ressortissants
Plus en détailde résultat opérationnel courant (3) en hausse de 20,7 % (4) Ratings AA-, perspective stable par Fitch Ratings et A2, perspective stable par Moody s
REGARD SUR COFACE / Le Groupe Coface est un leader mondial de l assurance-crédit et un expert reconnu des risques commerciaux. Il propose aux entreprises du monde entier des solutions pour les protéger
Plus en détail2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives
5 2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives La demande d énergie devrait s accroître considérablement dans les années à venir à cause de l augmentation de la population et du développement
Plus en détailSystèmes de garantie hypothécaire: Problèmatique et pratiques internationales
LE FONDS D ASSURANCE HYPOTHÉCAIRE DAMANE ASSAKANE : RETOUR D EXPERIENCE ET PERSPECTIVES FUTURES Atelier International du Ministère de l Economie et des Finances avec le concours de la Banque Mondiale et
Plus en détailLe commerce extérieur de la Suisse en 2013
Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailNOTICE MÉTHODOLOGIQUE SUR LES OPTIONS DE CHANGE
NOTICE MÉTHODOLOGIQUE SUR LES OPTIONS DE CHANGE Avec le développement des produits dérivés, le marché des options de change exerce une influence croissante sur le marché du change au comptant. Cette étude,
Plus en détailCOMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION
COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION Philippe Montigny, Président, ETHIC Intelligence EIFR Paris, le 3 juillet 2013 1 Le monde a changé La responsabilité d une entreprise peut être engagée
Plus en détailACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944
ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste
Plus en détailLouvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS
Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS Our mission : Educating Responsible Leaders For a Responsible World LSM the Business School of UCL
Plus en détailÉtiquette des rencontres d affaires en pays étranger Guide des références sur Internet
Étiquette des rencontres d affaires en pays étranger Guide des références sur Internet à l intention des entreprises des secteurs de l agroalimentaire et des fruits de mer de la C.-B. Sa Majesté la Reine
Plus en détailPrésentation MANAGEMENT CONSULTING DEVELOPEMENT SUPPORT. be one solutions Mai 2013 [_1_]
Présentation MANAGEMENT CONSULTING DEVELOPEMENT SUPPORT [_1_] Be One Solutions Uzi Halfon Fondateur et Président Uzi a été directeur des opérations monde SAP Business One chez SAP Expérience de plus de
Plus en détailLes inégalités de conditions de vie dans le monde
Notes de l Observatoire N 2, février 2014 Les inégalités de conditions de vie dans le monde 89 % de la population mondiale a accès à l eau potable. L espérance de vie a progressé de 21 ans depuis les années
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment
Plus en détailObjet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu
Final Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu La réunion du Groupe consultatif de la viande bovine a eu lieu le mercredi 8 septembre 2010 à Bruxelles sous
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailMANAGEMENT DE TRANSITION FRANCE
MANAGEMENT DE TRANSITION FRANCE EDITO «Quand le cabinet de recrutement Robert Walters a lancé l activité Management de Transition en France il y a 10 ans, beaucoup d entreprises et de candidats étaient
Plus en détailOrdonnance sur l exportation, l importation et le transit des biens utilisables à des fins civiles et militaires et des biens militaires spécifiques
Ordonnance sur l exportation, l importation et le transit des biens utilisables à des fins civiles et militaires et des biens militaires spécifiques (Ordonnance sur le contrôle des biens, OCB) 946.202.1
Plus en détailExigences en matière de bien-être animal Renée Bergeron, Ph.D., agr. Symposium sur les perspectives de l industrie laitière 2013
Exigences en matière de bien-être animal Renée Bergeron, Ph.D., agr. Symposium sur les perspectives de l industrie laitière 2013 Introduction Essor important du mouvement pour le bienêtre depuis le début
Plus en détail