Université Pierre et Marie Curie LP1 - UE Année Optique géométrique, Interrogation n 1A

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Université Pierre et Marie Curie LP1 - UE Année Optique géométrique, Interrogation n 1A"

Transcription

1 Université Pierre et Marie Curie LP1 - UE nnée Optique géométrique, Reza.Samadi@obspm.fr Interrogation n 1 1) [1.5 pts] On considère le rayon issu de et se propageant dans la direction I. Tracer le rayon réfracté dans le cas où n>. Faire de même dans le cas où n<. ) [0.5 pts] L angle i=π/3. Que vaut le sinus de l angle r de réfraction? 3) [1.5 pts] quelle condition y a-t-il réflexion totale? Expliquer et justifier. Donner la valeur de l angle associé. 4) [1.5 pts] quelle condition définit-on un angle limite? Expliquer et justifier. Donner la valeur de cette angle. 5) [onus 1 pts] Montrer que pour un certain angle i, le rayon réfléchi est orthogonal au rayon réfracté? Que vaut cet angle particulier? 1) r r i I i I n (>) n (<) ) sin(i) = n sin(r) implique sin(r) = (/n) sin(π/3) = (/n) 3/ 3) Il y a réflexion totale lorsque n<. En effet, n< implique r>i. Lorsqu on fait croître i de 0 à π/, r va atteindre π/ pour une valeur i=α inférieure à π/ et telle que (/n) sin(α) = sin(π/)= 1. Lorsque sin(i)> n/, cad lorsque i> α avec sin(α) = n/, il n y a plus de rayon réfracté et toute l énergie est propagée par le rayon réfléchi. 4) On définit un angle limite lorsque n>. En effet, n> implique r<i. quelque soit la valeur de i. L angle i peut varier de [-π/, π/] et dans cet intervalle, puisque n>, il existe toujours un angle r tel que (/n) sin(i) =sin(r). Lorsque i=π/, l angle r atteint une valeur maximale r l tel que sin(r l ) = /n. Cet angle r l est nommé angle limite de réfraction. 5) Le rayon réfléchi et le rayon réfracté sont orthogonaux lorsque i+r =π /. Dans ces conditions la relation de Snell-Descartes implique : sin(i) = n sin(r) = n sin(π /-i) = n cos(i). Soit pour l angle i tel que tan(i) = n/. Interrogation n 1 1) [3 pts] On considère un dioptre composé de deux couches d épaisseurs a (voir figure gauche). La première couche est en silice (verre d indice n~1.5) et la suivante en cristal (verre d indice n~1.7). Un rayon se propage dans l air et rencontre au point les couches de verre avec un angle d incidence i. Tracer la propagation de ce rayon à l intérieur et à la sortie du UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 1/15

2 dioptre. On désigne par D l angle de déviation du rayon incident (i.e. l angle par lequel le rayon incident est dévié). Que vaut l angle de déviation D? n> a Ox a S C ) [ pts] On considère un dioptre sphérique de centre C et d indice n> (voir figure droite). Un rayon se propage dans une direction passant par le centre C. Un second, parallèle au premier, rencontre le dioptre au point S. Tracer la trajectoire de ces rayons à travers ce dioptre. 3) [à faire à la maison] On note Fs le point d intersection de ces deux rayons. Donner l abscisse de ce point en fonction des données du problème. On considérera θ petit et S correspondra à l origine des abscisses. 1) Le trajet du rayon est le suivant : i air r r n C r r Soit r l angle de réfraction suite au passage du premier dioptre (passage air-silice); cet angle est aussi l angle d incidence par rapport au second dioptre (silice-cristal). Soit r l angle de réfraction suite au passage du second dioptre, cet angle est aussi l angle d incidence par rapport au troisième dioptre (cristal-silice). La relation de Snell-Descartes donne pour le premier dioptre : sin(i) = sin(r). Pour le second dioptre : sin(r) = n sin(r ). Et enfin pour le troisième dioptre : n sin(r ) = sin(i ). On a par conséquent sin(i) = sin(r) = n sin(r ) = sin(i ). Par conséquent i = i et donc le rayon incident n est pas dévié de sa direction initiale. ) Le rayon passant par le centre C est à incidence nulle par rapport au dioptre sphérique. Celui-ci n est donc pas réfracté et passe donc par le centre C. Le second rayon passant par S subit une réfraction en S. Soit θ l angle de réfraction. Puisque n>, on a θ <θ. L intersection de ce rayon avec le premier a lieu au point F s illustré sur la figure ci-dessous. i UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 /15

3 Interrogation n 1C 1) [3 pts] On considère deux couches d épaisseurs a (voir figure gauche). La première couche est en silice (verre d indice n~1.5) et la suivante en cristal (verre d indice n~1.7). Un rayon se propage dans l air et rencontre au point les couches de verre avec un angle d incidence i petit. On désigne par d l écartement du rayon émergeant par rapport à la normale au point (voir figure gauche). Exprimer la distance d en fonction de i et de a. a a ) [ pts] On considère une dioptre «plan-concave» (voir figure droite). Tracer la propagation - à l intérieur et à la sortie de ce dioptre - d un rayon parallèle à l axe de symétrie (axe optique). Faire de même avec le rayon passant par l axe de symétrie. (à faire) Interrogation n I n a Ox S C 1) [0.5 pts] On considère un dioptre sphérique et un objet situé à l infini (voir figure de gauche). Le faisceau de lumière issu de a une section d. quelle condition sur d a-t-on stigmatisme approché pour cet objet situé à l infini? ) [0.5 pts] L objet est à une distance finie (voir figure de droite). quelle condition sur l angle a a-t-on stigmatisme approché pour cet objet? 3) On se place dans les conditions nécessaires pour avoir un stigmatisme approché. On considère un objet situé à l infini. UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 3/15

4 a. [0.5 pts] L objet admet-il une image unique? Justifier. b. [1.5 pts] Où va se former l image de? Donner la position de cette image en fonction des données du problème. Comment appelle-t-on ce point? c. [ pts] Faire la construction optique dans le cas où n>. L image est-elle virtuelle ou réelle? Idem dans le cas n<. n ( n ) Rappel : relation de conjugaison d un dioptre sphérique : = S S SC 1) On a stigmatisme (approché) pour l objet situé à l infini, lorsque le faisceau est peu éloigné de l axe, ie. lorsque d est petit (une des deux conditions de Gauss). L échelle caractéristique de ce système optique correspond au rayon de courbure SC. On doit donc avoir d << SC. ) On a stigmatisme (approché) pour l objet lorsque l angle a est petit (une des deux conditions de Gauss). 3) a. Nous sommes dans les conditions de Gauss (d petit) : on a donc stigmatisme (approché) et l objet situé à l infini admet donc une image (unique). b. L objet étant à l infini S>>SC par conséquent l image de se forme au point F tel que : n SF = SC. Ce point se nomme le foyer image (car correspond à l image d un point n situé à l infini). c. La construction optique donne dans les deux différents cas : n> S F C n< F S C Dans le premier cas l image est réelle et virtuelle dans le second. UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 4/15

5 Interrogation n 1) [0.5 pts] quelle(s) conditions a-t-on stigmatisme approché? ) [3 pts] Un dioptre plan sépare deux milieux d indices et n. On se place dans les conditions nécessaires pour avoir un stigmatisme approché. Construire l image d un point dans les cas suivants : a. n> b. >n Dans chaque cas, l image est virtuelle ou réelle? 3) [1.5 pts] On rappelle la relation de conjugaison des dioptres sphériques : n ( n ) =. Etablir à partir de cette relation la relation de conjugaison des S S SC dioptres plans. 4) [à faire à la maison] On se place dans le cas où l angle i est petit. Etablir la relation de conjugaison liant à son image. Corrigé : 1) Rappel : on a stigmatisme approché si tout rayon partant de passe, après avoir traversé le système, au voisinage d un point unique. On n a stigmatisme approché dans les conditions de Gauss : à savoir lorsqu on a affaire à des angles petits et des rayons peu éloignés de l axe. ) On se place dans les conditions de Gauss : ie l angle i est petit. On a donc stigmatisme approché et par conséquent l objet admet une image unique. Lorsque n>, l image se forme à la position schématisée sur la figure suivante : Lorsque >n, l image se forme à la position schématisée sur la figure suivante : UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 5/15

6 r i I S n (<) Dans les deux cas l image est virtuelle. 3) Un plan peut-être considéré comme une sphère de rayon de courbure infini : ce qui revient donc à considérer SC. Dans ces conditions la relation de conjugaison des dioptres n sphériques devient : S = S 4) Lorsque l angle i est petit la relation de Snell-Descartes se ramène à la loi de Kepler : i = n r. Or i = SI/S et r = SI/ S. Multiplions la première relation par et la seconde par n, il vient en vertu de la loi de Kepler : /S = n / S. Interrogation n C 1) [1.5 pts] On considère un miroir plan et un objet lumineux. Construire l image de à travers le miroir. ) [0.5 pts] On considère maintenant un objet, construire son image à travers le miroir. 3) [ pts] On considère un dioptre plan-concave (voir figure) de sommet S, de rayon de courbe SC=R, d indice n et d épaisseur SP=e. Un objet est situé à l infini. On se place dans les conditions de Gauss. Donner la position de son image F par rapport au sommet S en fonction de R, e et n. Rappel : relation de conjugaison d un dioptre sphérique : n ( n ) = S S SC 4) [1 pts] quoi correspond F? 5) [à faire à la maison] quoi correspond le point focal objet? En donner sa position par rapport au point S. 1) Un miroir réfléchi totalement la lumière. Pour construire l image de considérons le rayon orthogonal au miroir. Ce rayon est réfléchi dans la même direction et dans le sens opposé. Considérons maintenant un autre rayon issu de et faisant un angle i avec la UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 6/15

7 normale au miroir (voir figure ci-dessous). Ce rayon est réfléchi selon une direction faisant un angle i avec la normale (voir figure ci-dessous). L intersection du premier rayon réfléchi avec le second définit l image de. Cette image est virtuelle correspond à l intersection de rayons virtuels (voir figure). Cette image est unique car le miroir vérifié un stigmatisme rigoureux. En effet quelque soit l angle i, l intersection entre le premier rayon et le second s effectue toujours au point, le point symétrique orthogonal de par rapport au miroir plan. ) Pour construire l image d un objet il suffit de considérer son symétrique orthogonal par rapport au miroir (voir figure ci-dessous). i i i i i i 3) Nous sommes dans les conditions de Gaus : on a donc stigmatisme (approché) et l objet situé à l infini admet donc une image (unique). L objet étant à l infini S>>SC=R, par conséquent, d après la relation de conjugaison des dioptres sphériques, l image de se forme au point F 1 tel que n/sf 1 = (n-1)/r. Notons F l image de F 1 à travers le dioptre plan ; la relation de conjugaison des dioptres plans donne : 1/PF = n/pf 1. Soit PF =PS+SF =PS/n + SF 1 =e/n + R/(n-1). Il vient alors SF = R/(n-1) e (n-1)/n. 4) F est l image d un point situé à l infini et dans une direction passant par l axe optique : il s agit donc de la focale image du dioptre. 5) Le point focal objet (F) a pour image un point situé à l infini et dans la direction de l axe optique. Notons 1 l image de F à travers le dioptre sphérique et notons l image de 1 à travers le dioptre plan. En vertu de la relation de conjugaison du dioptre plan : étant à l infini, 1 l est aussi, ce qui implique donc S 1 >> SC. La relation de conjugaison du dioptre sphérique donne dans ces conditions : -1/SF = (n-1)/r ; soit SF = -R/(n-1). Interrogation n 3 3) [.5 pts] Construire l image d un objet à travers une lentille convergente : a. Lorsque l objet est situé avant le point focal objet b. Entre le centre optique et la focale objet Précisez à chaque fois si l image est droite ou renversée. Réelle ou virtuelle. 4) [.5 pts] Construire l image d un objet à travers une lentille divergente : a. Lorsque l objet est réel b. Lorsque l objet est virtuel (voir Figure) Précisez à chaque fois si l image est droite ou renversée. Réelle ou virtuelle. UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 7/15

8 1-a) Voir Figure - du cours. L image est réelle et renversée 1-b) Voir Figure -5 (gauche) du cours. L image est virtuelle et droite -a) Voir Figure -3. L image est virtuelle et droite -b) Voir Figure -5 (droite). L image est virtuelle et droite Interrogation n 3 1) [1 pts] Rappeler la définition du grandissement vertical, Γ. En donner l expression dans le cas d une lentille (On choisira le point O comme l origine). ) [4 pts] Construire l image d un objet à travers un miroir sphérique convexe. L image est-elle réelle ou virtuelle? droite ou renversée? S C 1) Γ. Cas d une lentille, si on choisit comme origine O : Γ O = O ) Pour positionner l image de il suffit de considérer deux rayons particuliers : le rayon se propageant vers le centre optique du système. Ce rayon est réfléchi dans la même direction que sa direction d incidence. Le second rayon particulier est celui se propageant parallèlement à l axe optique : ce rayon émerge du système dans une direction passant par le foyer F (pour un miroir F et F sont confondus). Le point d intersection des rayons émergents définit la position de. Cela donne donc la construction optique suivante (voir figure ci-dessus). La construction optique permet d affirmer que l image est virtuelle et droite. UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 8/15

9 Interrogation n 3C 1) [1.5 pts]on considère une lentille mince convergente L 1 de distance focale image f 1. On place un objet à une distance f 1 de la lentille. Construire son image. ) [1.5 pts] Que vaut le grandissement de l image? Justifier. 3) [ pts] On place une lentille divergente L de distance focale image f = - f 1 à une distance f 1 du centre optique de L 1. Placer les points focaux. Construire l image de l objet à travers cette association. Où se forme l image? 4) [à faire à la maison] Soit a l angle sous lequel est vu l objet depuis le centre optique de L 1 et a l angle sous lequel est vu l image depuis le centre optique de L. Quel est le grossissement angulaire G= a /a du système optique? 1) F1 x F1 O1 ) La construction optique établit que l image est renversée et à la même taille que l objet, ce qui peut aussi être démontré analytiquement. En effet, le grandissement vertical de l objet vaut : donc : O = O Γ. Comme O O = f 1. Il vient donc Γ = = 1 O O = f 1, la relation de conjugaison implique 5) Ci-dessous la construction optique. L image se forme à l infini. UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 9/15

10 L1 L + a F F 1 F F1 O1 O a 1 1 4) a = et f 1 a = Or = 1 1 et f = f 1. Il vient donc 1 f 1 (Notez la convention de signe pour les angles). a f G = a f Interrogation n 4 1) Soit une lentille mince de distance focale f. Montrer que le grandissement s écrit : f F = et = F f En déduire la relation de conjugaison avec origines aux foyers (dite formule de Newton). ) Soit une lunette astronomique (voir Figure). On désigne par a le diamètre apparent de la planète (i.e. l angle sous lequel on voit le diamètre de la planète). a. Tracer l image de la planète telle qu elle est vue à travers la lunette lorsque la lunette pointe vers le centre de la planète. b. L image de la planète est vue sous l angle a. Identifier cet angle. Montrer que a f1 le grossissement angulaire G vaut : G = où f 1 et f sont les distances a f focales des lentilles L1 et L respectivement. 1 3) Construire l image d un objet situé à une distance finie de la lunette. UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 10/15

11 1) En utilisant les triangles F et FOI (voir figure) on établit immédiatement la I O relation : =. Or OI = et f FO F OF = OF f, on a donc la relation : f =. En procédant de même avec les triangles OIF et F on établit aussi : F F =. En divisant la première relation par la deuxième il vient la relation de f conjugaison dite formule de Newton à savoir : F. F = f f = ( f ) I F x F O I ) a. La planète est à l infini, son image à travers L1, 1 1, se forme sur le plan focal image de L1 (voir figure). L image intermédiaire ( 1 1 ) se formant sur le plan objet de L, son image à travers L,, se forme à l infini comme le montre la figure. Le système est donc afocal (n admet de foyers principaux image et objet). b. Les angles a et a sont identifiés sur la figure (on représente les demi diamètres apparents, a/ et a /, ie l angles sous lesquels on voit le rayon de la planète). Le grossissement vaut G=a /a. Or a / = 1 1 / f et a / = 1 1 / f1 (Notez la convention de signe pour les angles). Il vient alors G = - f 1 / f. + a/ O1 F1,F a / a/ a / O L1 1 L 3) L image de l objet s obtient comme illustré sur la figure ci-dessous : UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 11/15

12 F1 O F F1 O1 F 1 L1 L 1 Interrogation n 4 6) [.5 pts ]On considère deux lentilles minces accolées, L1 et L. Montrer que la distance focale image du système composé vaut : = + où f 1 et f sont les distances f f1 f focales images des lentilles L1 et L respectivement. 7) [5 pts ] On considère une loupe : a. Construire l image d un objet situé entre la focale objet et le centre optique b. Dans quelle condition l image de l objet sera observée sans fatigue par l œil? c. Rappeler la définition de la puissance et du grossissement angulaire d un système optique d. Rappeler la définition du grossissement commercial (G c ) et celle de la puissance (P i ) intrinsèque. En donner l expression dans le cas de la loupe. Le punctum proximum sera noté d m. e. Calculer G c et P i dans le cas de la loupe. 3) [.5 pts ]On considère la lentille de la figure ci-dessus et un rayon quelconque. Placer les points focaux principaux. Tracer le comportement du rayon incident à la sortie de la lentille. O 1) voir la démonstration en cours ) a) Voir Voir Figure -5 (gauche) b) L image sera observée sans fatigue par l œil lorsque celle-ci se formera à l infini. Pour avoir l image à l infini il faut placer l objet au point focal objet F c) Grossissement G= α /α avec α l angle sous lequel est vu l objet à l œil nu à une certaine distance et α l angle sous lequel est vue l objet à travers le système à une certaine UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 1/15

13 distance de celui-ci. Puissance : P = α /, l angle α ayant la même définition que pour le grossissement. d) Grossissement commercial : Gc = α /α max avec α max l angle sous lequel est vu l objet au mieux à l œil nu et α l angle sous lequel est vu l image de l objet à travers l instrument lorsque celle-ci se forme à l infini. Puissance intrinsèque : Pi = α /, l angle α ayant la même définition que pour le grossissement. e) Dans le cas de la loupe : α = /f et α max = / d m, on en déduit donc Gc = d m / f et Pi = 1/f 3) Le comportement du rayon se déduit à l aide de la construction de la figure ci-dessous. Explications : Le rayon correspond à un rayon provenant d un objet situé à l infini hors axe optique ; son image se forme sur un foyer secondaire image F s. Pour construire ce foyer secondaire on procède comme pour les lentilles convergentes : On considère le rayon () parallèle au rayon (1) et passant par O. Celui-ci passe à travers la lentille sans être dévié. L intersection de ce rayon avec le plan focal image correspond à la position du foyer secondaire F s associé aux rayons parallèle provenant d un objet situé à l infini dans la direction du rayon (1) ou (). On peut vérifier la position de F s en invoquant le rayon (3) semblant passer par le foyer objet F. Celui ci émerge de la lentille en un rayon parallèle, celui-ci semble provenir du point F s ; ce qui est normal car comme le rayon (), le rayon (3) est issu du même objet placé à l infini. Maintenant pour déduire le comportement du rayon (1) à la sortie de la lentille : le rayon (1) émerge de la lentille dans la direction semblant provenir du point F s ; en effet, comme les rayons () et (3) rayon (3) est issu du même objet placé à l infini dont l image (virtuelle) est précisément F s. (3) (1) () F s F O F Interrogation n 4C 1) [1 pt] Qu est-ce qu un système afocal? ) [4 pts] On considère l association d une lentille convergente (L1) suivie d une lentille divergente (L). a. [1 pt] Comment placer ces deux lentilles l une par rapport à l autre pour que l image d un objet éloigné se forme à l infini? b. [3 pts] Réaliser la construction optique correspondante. 3) [5 pts] On considère une lentille convergente suivie d un miroir plan. a. [ pts] On place un objet sur le plan objet de la lentille. Où se forme son image? Justifier. b. [ pts] Faire la construction optique correspondante. c. [1 pts] quoi peut servir ce procédé et comment l appelle-t-on? 1) Un système afocal est un système dépourvu de points focaux (image et objet). Par exemple : la lunette astronomique. L image d un objet éloigné à travers un système afocal se forme par conséquent à l infini. UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 13/15

14 ) a. Il faut placer F, le point focal objet de la lentille L, en F1, le point focal image de la lentille L1. Le système est afocal alors quelque soit les lentilles L1 et L. b. L image d un objet à l infini se construit comme illustré sur la figure ci-dessous : F F 1,F F1 (6) O1 O 1 L1 L 4) a. L image se forme sur le plan objet de la lentille. En effet l objet étant sur le plan focal objet, son image à travers la lentille se forme à l infini sous forme de rayons parallèles. Le miroir inversant le sens de parcours de la lumière, les rayons parallèles convergents à l infini vers l image, sont renvoyés à travers la lentille. Ceux-ci convergents alors sur le plan focal objet. b. La construction optique correspondante s établit comme illustré sur la figure cidessous. Elle permet de montrer que l image se forme bien dans le plan focal objet de la lentille. c. Ce procédé s appelle «l autocollimation» est permet de mesurer la distance focale de la lentille, car l objet est sur le plan focal objet lorsque l image se forme sur le même plan que le plan objet. La distance entre l objet et la lentille correspond alors à la distance focale. UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 14/15

15 (1) F i F i UPMC LP1 - UE103 Optique géométrique Interrogations - 14/1/009 15/15

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.

Plus en détail

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS PR. MUSTAPHA ABARKAN EDITION 014-015 Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès - Faculté Polydisciplinaire de Taza Département Mathématiques, Physique et Informatique

Plus en détail

Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement

Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Puissance Pouvoir de résolution ou pouvoir séparateur Champ 2 l œil comme

Plus en détail

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires 1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

Les bases de l optique

Les bases de l optique Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et

Plus en détail

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et

Plus en détail

Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés.

Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R

Plus en détail

3 Approximation de solutions d équations

3 Approximation de solutions d équations 3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle

Plus en détail

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante

Plus en détail

Statistique : Résumé de cours et méthodes

Statistique : Résumé de cours et méthodes Statistique : Résumé de cours et méthodes 1 Vocabulaire : Population : c est l ensemble étudié. Individu : c est un élément de la population. Effectif total : c est le nombre total d individus. Caractère

Plus en détail

Correction du baccalauréat S Liban juin 2007

Correction du baccalauréat S Liban juin 2007 Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau

Plus en détail

Résolution d équations non linéaires

Résolution d équations non linéaires Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique

Plus en détail

Bien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction

Bien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007 Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................

Plus en détail

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2 Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable

Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Avertissement! Dans tout ce chapître, I désigne un intervalle de IR. 4.1 Fonctions convexes d une variable Définition 9 Une fonction ϕ, partout définie

Plus en détail

Texte Agrégation limitée par diffusion interne

Texte Agrégation limitée par diffusion interne Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse

Plus en détail

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10 PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

Baccalauréat ES/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé

Baccalauréat ES/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé Baccalauréat S/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé A. P. M.. P. XRCIC 1 Commun à tous les candidats Partie A 1. L arbre de probabilité correspondant aux données du problème est : 0,3 0,6 H

Plus en détail

SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX

SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX 1. EXPERIENCE 1 : APPLICATION DE LA LOI FONDAMENTALE DE LA DYNAMIQUE a) On incline d un angle α la table à digitaliser (deuxième ou troisième cran de la table).

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile

Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile W. Lermantoff To cite this version: W. Lermantoff. Sur le grossissement

Plus en détail

Découvrir la voûte céleste c est avant tout une balade dans le ciel qui nous entoure. Mais pour se promener d une étoile ou d une galaxie à une

Découvrir la voûte céleste c est avant tout une balade dans le ciel qui nous entoure. Mais pour se promener d une étoile ou d une galaxie à une Patrice Octobre 2012 Découvrir la voûte céleste c est avant tout une balade dans le ciel qui nous entoure. Mais pour se promener d une étoile ou d une galaxie à une autre, il faut savoir où regarder dans

Plus en détail

chapitre 4 Nombres de Catalan

chapitre 4 Nombres de Catalan chapitre 4 Nombres de Catalan I Dénitions Dénition 1 La suite de Catalan (C n ) n est la suite dénie par C 0 = 1 et, pour tout n N, C n+1 = C k C n k. Exemple 2 On trouve rapidement C 0 = 1, C 1 = 1, C

Plus en détail

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue

Plus en détail

SYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières

SYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x = LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste

Plus en détail

Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S )

Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble

Plus en détail

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement

Plus en détail

Les interférences lumineuses

Les interférences lumineuses Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),

Plus en détail

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

Comment mettre les mirages en boite?

Comment mettre les mirages en boite? Comment mettre les mirages en boite? 2009 2010 Une idée tordue BRASSEUR Paul DELAYE Cécile QUERTINMONT Joelle Lycée Hoche, Versailles http://apelh.free.fr Résumé Nous nous sommes intéressés au phénomène

Plus en détail

Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach

Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D TITRE : Mesures sur les fibres optiques 0 Temps de préparation :... h 5 minutes Temps de présentation devant le jury :.0 minutes Entretien avec le jury :..0 minutes GUIDE

Plus en détail

Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie

Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)

Plus en détail

Programmation linéaire

Programmation linéaire 1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit

Plus en détail

Deux disques dans un carré

Deux disques dans un carré Deux disques dans un carré Table des matières 1 Fiche résumé 2 2 Fiche élève Seconde - version 1 3 2.1 Le problème............................................... 3 2.2 Construction de la figure avec geogebra...............................

Plus en détail

Lecture graphique. Table des matières

Lecture graphique. Table des matières Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................

Plus en détail

Le théorème de Thalès et sa réciproque

Le théorème de Thalès et sa réciproque Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre

Plus en détail

Chapitre 7. Statistique des échantillons gaussiens. 7.1 Projection de vecteurs gaussiens

Chapitre 7. Statistique des échantillons gaussiens. 7.1 Projection de vecteurs gaussiens Chapitre 7 Statistique des échantillons gaussiens Le théorème central limite met en évidence le rôle majeur tenu par la loi gaussienne en modélisation stochastique. De ce fait, les modèles statistiques

Plus en détail

Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 12 avril 2007

Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 12 avril 2007 Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 1 avril 7 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 4 points 1 a Les vecteurs AB et AC ont pour coordonnées AB ; ; ) et AC 1 ; 4 ; 1) Ils ne sont manifestement pas colinéaires

Plus en détail

Sur certaines séries entières particulières

Sur certaines séries entières particulières ACTA ARITHMETICA XCII. 2) Sur certaines séries entières particulières par Hubert Delange Orsay). Introduction. Dans un exposé à la Conférence Internationale de Théorie des Nombres organisée à Zakopane

Plus en détail

Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites

Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites I- Les trois lois de Kepler : Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites Les lois de Kepler s'applique aussi bien pour une planète en mouvement

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif - 70 Chapitre 8 : Champ de gravitation - Satellites I. Loi de gravitation universelle : (

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)

Plus en détail

Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies

Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention

Plus en détail

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR. Lecteurs optiques numériques

COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR. Lecteurs optiques numériques ÉCOLE POLYTECHNIQUE FILIÈRE MP Option Physique et Sciences de l Ingénieur CONCOURS D ADMISSION 2010 COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR (Durée : 4 heures) L utilisation des calculatrices

Plus en détail

EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)

EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat

Plus en détail

Correction : E = Soit E = -1,6. F = 12 Soit F = -6 3 + 45. y = 11. et G = -2z + 4y G = 2 6 = 3 G = G = -2 5 + 4 11

Correction : E = Soit E = -1,6. F = 12 Soit F = -6 3 + 45. y = 11. et G = -2z + 4y G = 2 6 = 3 G = G = -2 5 + 4 11 Correction : EXERCICE : Calculer en indiquant les étapes: (-6 +9) ( ) ( ) B = -4 (-) (-8) B = - 8 (+ 6) B = - 8 6 B = - 44 EXERCICE : La visite médicale Calcul de la part des élèves rencontrés lundi et

Plus en détail

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains Rapport de mesure Référence : 2014-07001 FJ Référence 2014-07001 Client xxx Date 14/02/2014 Type d'optique Triplet ED Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

Mesure d angles et trigonométrie

Mesure d angles et trigonométrie Thierry Ciblac Mesure d angles et trigonométrie Mesure de l angle de deux axes (ou de deux demi-droites) de même origine. - Mesures en degrés : Divisons un cercle en 360 parties égales définissant ainsi

Plus en détail

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation

Plus en détail

Image d un intervalle par une fonction continue

Image d un intervalle par une fonction continue DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction

Plus en détail

Continuité en un point

Continuité en un point DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à

Plus en détail

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité? EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes

Plus en détail

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant

Plus en détail

STRICTEMENT CONFIDENTIEL

STRICTEMENT CONFIDENTIEL MOIS / ANNEE ETUDE DE VALORISATION Société «EDIVAL» STRICTEMENT CONFIDENTIEL BUREAUX 31, Rue de Brest 69002 LYON Tél : +33 (0)8 71 55 11 98 SIÈGE SOCIAL 94, Rue Saint Lazare 75009 PARIS Tél : +33 (0)1

Plus en détail

BACCALAUREAT GENERAL MATHÉMATIQUES

BACCALAUREAT GENERAL MATHÉMATIQUES BACCALAUREAT GENERAL FEVRIER 2014 MATHÉMATIQUES SERIE : ES Durée de l épreuve : 3 heures Coefficient : 5 (ES), 4 (L) 7(spe ES) Les calculatrices électroniques de poche sont autorisées, conformement à la

Plus en détail

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette

Plus en détail

Guide pour l analyse de l existant technique. Partie 3

Guide pour l analyse de l existant technique. Partie 3 Partie 3 La Liaison Pivot sur roulement : Le Composant ROULEMENT 0 Introduction Le but de ce guide est de vous permettre une meilleure rédaction des rapports de Bureaux d Études que vous aurez à nous remettre

Plus en détail

Quels oligopoles la régulation doit-elle faire émerger? Réunion Fratel Tunis, 17 octobre 2008 Nicolas Curien, membre de l ARCEP

Quels oligopoles la régulation doit-elle faire émerger? Réunion Fratel Tunis, 17 octobre 2008 Nicolas Curien, membre de l ARCEP Quels oligopoles la régulation doit-elle faire émerger? Réunion Fratel Tunis, 17 octobre 2008 Nicolas Curien, membre de l ARCEP Régulation et structure de marché La structure de marché n est pas un donné

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les

Plus en détail

III- Raisonnement par récurrence

III- Raisonnement par récurrence III- Raisonnement par récurrence Les raisonnements en mathématiques se font en général par une suite de déductions, du style : si alors, ou mieux encore si c est possible, par une suite d équivalences,

Plus en détail

Exo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.

Exo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2. Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

REPRESENTER LA TERRE Cartographie et navigation

REPRESENTER LA TERRE Cartographie et navigation REPRESENTER LA TERRE Seconde Page 1 TRAVAUX DIRIGES REPRESENTER LA TERRE Cartographie et navigation Casterman TINTIN "Le trésor de Rackham Le Rouge" 1 TRIGONOMETRIE : Calcul du chemin le plus court. 1)

Plus en détail

TS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu

TS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu P a g e 1 Phsique atellite à la recherche de sa planète Exercice résolu Enoncé Le centre spatial de Kourou a lancé le 1 décembre 005, avec une fusée Ariane 5, un satellite de météorologie de seconde génération

Plus en détail

Faculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011

Faculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011 Faculté de physique LICENCE SNV L1 EXERCICES DE PHYSIQUE Par Année universitaire 2010-2011 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE: GÉNÉRALITÉS ET MIROIR PLAN Ex. n 1: Citer quelques systèmes optiques, d'usage courant. Ex.

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -

Plus en détail

Les moments de force. Ci-contre, un schéma du submersible MIR où l on voit les bras articulés pour la récolte d échantillons [ 1 ]

Les moments de force. Ci-contre, un schéma du submersible MIR où l on voit les bras articulés pour la récolte d échantillons [ 1 ] Les moments de force Les submersibles Mir peuvent plonger à 6 000 mètres, rester en immersion une vingtaine d heures et abriter 3 personnes (le pilote et deux observateurs), dans une sphère pressurisée

Plus en détail

Fonctions homographiques

Fonctions homographiques Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie

Plus en détail

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

Ordelys santé. senior. Ordelys. santé senior. Demande d adhesion immédiate, Adhésion à partir de 55 ans

Ordelys santé. senior. Ordelys. santé senior. Demande d adhesion immédiate, Adhésion à partir de 55 ans Demande d adhesion immédiate, Sans questionnaire de santé, ni délai d attente san Ordelys santé Complémentaire santé senior Ordelys santé senior Adhésion à partir de 55 ans Vos garanties /// ORDELYS SANTE

Plus en détail

La Fibre Optique J BLANC

La Fibre Optique J BLANC La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES

Plus en détail

Suites numériques 4. 1 Autres recettes pour calculer les limites

Suites numériques 4. 1 Autres recettes pour calculer les limites Suites numériques 4 1 Autres recettes pour calculer les limites La propriété suivante permet de calculer certaines limites comme on verra dans les exemples qui suivent. Propriété 1. Si u n l et fx) est

Plus en détail

Buts de football mobiles

Buts de football mobiles SERVICE PUBLIC FEDERAL ECONOMIE, P.M.E., CLASSES MOYENNES & ENERGIE QUALITE ET SECURITE Division Sécurité Service Sécurité des Produits Guide de sécurité n 1 Buts de football mobiles 2002 Ce guide de sécurité

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

NOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :

NOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 : Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1

Plus en détail

La géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques

La géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques La géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques III. Cercles 1. Cercle d'euler 2. Droite d'euler 3. Théorème de Feuerbach 4. Milieux des segments joignant

Plus en détail