Programmes de dépistage du cancer en Suisse: État des lieux et évaluation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Programmes de dépistage du cancer en Suisse: État des lieux et évaluation"

Transcription

1 Dépistages : Pratiques en Santé Publique / Screening: Public Health Practice Programmes de dépistage du cancer en Suisse: État des lieux et évaluation 10 novembre 2015 Dr PD MER Jean-Luc Bulliard Division des Maladies Chroniques - CHUV Jean-Luc.Bulliard@chuv.ch

2 Quels dépistages du cancer et qui se fait dépister en Suisse? 2

3 Dépistage du cancer en Suisse (sujets à risque moyen) Cancer Remboursement (AOS) Pop-cible / test / fréquence Sein Côlon Oui (1999/2010), sans franchise pour les programmes organisés Oui (7.2013), avec franchise : sans franchise pour les programmes organisés VD et UR Col utérin Oui, avec franchise Oui (2008), sans franchise pour les programmes cantonaux dès 50 ans mammographie 2 ans ans TSOF 2 ans coloscopie 10 ans Frottis cytologique 1 à 3 ans ans (év ans) Vaccin anti-vph 3 doses Peau Non Examen visuel par un médecin Prostate Non dès 50 ans PSA / toucher rectal AOS: Assurance obligatoire des soins VPH: Virus du Papillome Humain TSOF: Test recherche de sang occulte fécal PSA: Prostate Specific Antigen 3

4 Pratique du dépistage des cancers en Suisse (% adhérent aux recommandations) Type de cancer Hommes Femmes Sein* 17,9% (16,6-19,3) Col utérin 50,2% (48,9-51,5) Côlon* 13% (11,6-14,4) 8,7% (7,7-9,7) Peau (mélanome) 33,7% (32,4-35,1) 36,8% (35,6-38,1) Prostate* 49% (46,9-51,1) * Dès 50 ans 4 S. Franchi, mémoire de Maîtrise en médecine no 958, 2013 (base: ESS 2007)

5 Déterminants du dépistage des cancers chez les hommes en Suisse Côlon Prostate Peau Sociodémo. Non-Romands Agglomération (grande) Niv. formation élevé Age ( ) Haut revenu Romands Région urbaine Niv. socioéconomique élevé Style de vie Consommation à faible risque d alcool Respect des recomm. alimentaires Protection contre UV Etat de santé Excellent état de santé Problème de santé de longue durée Dépistage autres cancers Prostate Peau Côlon Peau Utilisation services santé Avec médecin famille Avec médecin famille Sans hospitalisation Sécurité/soutien sociaux Contact social fréquent Soutien fam. nombreux 5 S. Franchi, mémoire de Maîtrise en médecine no 958, 2013 (base: ESS 2007)

6 Déterminants du dépistage des cancers chez les femmes en Suisse Côlon Sein Col utérin Peau 6 Sociodémo. Style de vie Etat de santé Dépistage autres canc. Utilisation serv. santé Sécurité/sou tien sociaux Age ( ) Type ménage BMI>18.5 Sein Col utérin Age ( ) Suisse latine Région urbaine Côlon Col utérin <6j. hospitalisation/an Age ( ) Non-Romands Non célibataire Niv. formation élevé Ex/-fumeuse Santé bonne/excellente Sein Peau Visites médicales ( ) <6j. hospitalisation/an Franchise basse Franchise <=1 500 S. Franchi, mémoire de Maîtrise en médecine no 958, 2013 (base: ESS 2007) Romands Région urbaine Niv. socioéconomique élevé Respect des recomm. alimentaires Ex/-fumeuse Consommation à faible risque d alcool Protection contre UV Problème de santé de longue durée Santé moyenne/mauvaise BMI<30

7 Cancer du sein: développement du dépistage organisé en Suisse 1993 Projet pilote (canton de Vaud) 1997 Ordonnance fédérale: couverture par l AOS pendant 10 ans d une mammographie tous les 2 ans dans le cadre d un programme à la qualité assurée (effective en 1999) 1999 Premiers programmes cantonaux de dépistage (VD, GE, VS) 2007 Prorogation de l Ordonnance fédérale (2 ans) 2008 Création de la Fédération swiss cancer screening 2010 Prise en charge des coûts de la mammographie dans les programmes cantonaux par l AOS (sans limite temporelle) 2010 Premier programme en Suisse alémanique (SG) 2013 Premier monitorage national des programmes cantonaux (2010) 7

8 Cancer du sein: programmes cantonaux 2000 VD GE VS 8

9 Cancer du sein: programmes cantonaux JU VD FR GE VS 9

10 Cancer du sein: programmes cantonaux JU SG NE VD FR GE VS 10

11 Cancer du sein: programmes cantonaux Couverture (50-69 ans): 56.5% BS TG JU SG NE VD FR BE BE GR TI GE VS 11

12 Cancer du sein: programmes cantonaux Couverture (50-69 ans): 56.5% BS TG JU SG NE VD FR BE BE GR TI GE VS ans 12

13 Cancer colorectal: développement du dépistage organisé en Suisse 2008 Création d un COmité de PILotage pour un projet vaudois 2009 Enquêtes auprès des médecins et gastroentérologues 2011 COPIL conclut à la faisabilité du déploiement d un programme pilote vaudois avec garanties de qualité et de sécurité 2011 Demande à l OFSP de prise en charge des coûts des modalités de dépistage TSOF et coloscopie 7/2013 Remboursement par l AOS du TSOF et de la coloscopie à visée préventive (sans exonération de franchise ni restriction à un programme de qualité assurée, ans) 5/2014 Prise en charge par l AOS sans franchise des tests de dépistage TSOF et coloscopie dans les programmes vaudois et uranais 13 9/2015 Démarrage du programme vaudois

14 Dépistage du cancer du colon: quelles preuves et pour quels tests? 14

15 Efficacité du dépistage Essais randomisés contrôlés (analyse intention to treat) Modalité de dépistage Nb. études Suivi (ans) Incidence CCR RR (95% IC) Mortalité CCR RR (95% IC) gtsof 2 ans rectosigmoïdoscopie 1x ,96 (0,90-1,00) 0,82 (0,75-0,89) 0,88 (0,83-0,94) 0,72 (0,65-0,80) RR: risque relatif (invités vs non-invités au dépistage); IC: intervalle de confiance Etudes observationnelles (études cas-témoin ou de cohortes) Modalité de dépistage Nb. études Incidence RR (95% IC) Mortalité RR (95% IC) rectosigmoïdoscopie 1x 3 Coloscopie 1x 5 0,51 (0,39-0,65) 0,31 (0,12-0,77) 0,53 (0,30-0,97) 0,32 (0,23-0,43) 15 Massat et al., J Med Screen 2013; Brenner et al., BMJ 2014

16 Efficacité du dépistage Essais randomisés contrôlés (analyse intention to treat) Modalité de dépistage Nb. études Suivi (ans) Incidence CCR RR (95% IC) Mortalité CCR RR (95% IC) TSOFg 2 ans rectosigmoïdoscopie 1x ,96 (0,90-1,00) 0,82 (0,75-0,89) 0,88 (0,83-0,94) 0,72 (0,65-0,80) RR: risque relatif (invités vs non-invités au dépistage); IC: intervalle de confiance Etudes obervationnelles (études cas-témoin ou de cohortes) Modalité de dépistage Nb. études Incidence RR (95% IC) Mortalité RR (95% IC) Incidence CCR par localisation RR (95% IC) rectosigmoïdoscopie 1x 3 0,51 (0,39-0,65) 0,53 (0,30-0,97) Droite: 0,76 (0,65-0,90) Gauche: 0,36 (0,26-0,50) Coloscopie 1x 5 0,31 (0,12-0,77) 0,32 (0,23-0,43) Droite: 0,44 (0,15-1,31) Gauche: 0,21 (0,03-1,53) 16 Massat et al., J Med Screen 2013; Brenner et al., BMJ 2014

17 Programme VD: base décisionnelle (tests) Scientifique: Bénéfices avérés chez les sujets de 50+ ans à risque moyen essais randomisés pour TSOFg et rectosigmoïdoscopie seulement Principe de non-infériorité des performances: TSOFi > TSOFg coloscopie > rectosigmoïdoscopie flexible Pratique: Pratiques usuelles de dépistage et choix de tests pour un programme cantonal (enquêtes auprès des MPR et gastro-entérologues vaudois) Faisabilité logistique (simulations de scénarios) Perspectives clinique et de santé publique: Coloscopie: performances maximales («gold standard») TSOFi: meilleure acceptabilité et adhérence 17 Principe du libre choix éclairé des personnes vis-à-vis de 2 modalités proposées conjointement

18 Population invitée Fondation Vaudoise pour le Dépistage du Cancer (FVDC) MPR (Médecin de premier recours) Gastro-entérologues (GE) FIT vs coloscopie 1000 personnes réalisent un test FIT FIT positifs, dont 85 à 90% font une coloscopie coloscopie normale Négatif: (92-94%) 3-4 cancers Traitement adénomes avancés Coloscopie à 3 ans autres adénomes Coloscopie à 5 ans Prochaine invit. dans 10 ans 0-1 complication avec hospitalisation Prochaine invitation dans 2 ans Faux négatifs 1000 personnes font une coloscopie de dépistage Négatif: 700 au total autres pathologies (ex: diverticules) 500 coloscopie normale 5-7 cancers Traitement adénomes avancés Coloscopie à 3 ans autres adénomes Coloscopie à 5 ans 2-4 complications avec hospitalisation Prochaine invitation dans 10 ans 5-10 Faux négatifs 18 Quintero, NEJM 2012; Brenner, BMJ 2014

19 Programmes de dépistage par mammographie: quelles preuves de leur efficacité? quel rapport risques / bénéfices? 19

20 20 Marmot et al., BJC 2013

21 Méta-analyse des essais randomisés 21 Marmot et al., BJC 2013

22 Evaluation de l efficacité des programmes Basée sur des études observationnelles (données des programmes) Sur le plan méthodologique: niveau de preuve inférieur aux essais randomisés: biais potentiels et comparabilité du groupe «sans dépistage» inférence causale pas toujours possible (études «cas-témoin» OK) fort potentiel à sous-estimer l effet du dépistage dans les études de tendances! Sur le plan «pratique»: contexte réel (souvent idéal dans les essais randomisés) mesure le «vrai» effet du dépistage (pas intention-to-treat-analysis) intègre les développements récents post essais randomisés (technologie, investigations, traitements) 22

23 Effet du type d études 23

24 Effet de la «fenêtre d observation» Programme norvégien de dépistage: impact sur la mortalité Auteur Réduction de mortalité (95% IC) Kalager et al., % (-4-24) Hofvind et al., % (36-49) Approche et Suivi Approche transversale, suivi médian de 2,2 ans (max: 8,9 ans) Approche longitudinale sur 15 ans ( ), correction pour biais de sélection 24

25 Convergence de méthodes Duffy et al., Breast Cancer Manage 2013 Source NNS (original) UK Independent Panel (2012) 180 USPSTF (2009) ~400 ** Nordic Cochrane Review (2011) ~1100 ** EUROSCREEN (2012) 111 NNS: Number needed to screen (to prevent 1 breast cancer death) * Ajusté au scénario du UK Independent Panel ** Estimé à partir du number needed to invite 25

26 Convergence de méthodes Duffy et al., Breast Cancer Manage 2013 Source NNS (original) NNS (ajusté * ) UK Independent Panel (2012) USPSTF (2009) ~400 ** 193 Nordic Cochrane Review (2011) ~1100 ** 257 EUROSCREEN (2012) NNS: Number needed to screen (to prevent 1 breast cancer death) * Ajusté au scénario du UK Independent Panel ** Estimé à partir du number needed to invite 26

27 Bénéfices du dépistage Invitation: - 23% Participation: - 40% 27 Lauby-Secretan et al., NEJM 2015

28 Risques du dépistage 6,5% (1-11%) 28 Lauby-Secretan et al., NEJM 2015

29 Quid de l évaluation des programmes de dépistage par mammographie en Suisse? 29

30 Monitorage national Matériel 6 programmes: VD, GE, VS, FR, BEJUNE (JU-NE-JUBe), TG Années: Femmes éligibles, âgées de 50 à 69 ans invitations mammographies Méthode Evaluation annuelle des performances («monitorage») Sélection d indicateurs-clés (consensus de 3 experts) Aujourd hui: résultats en tour incident (sauf participation) 30

31 31

32 Participation Indicateur de participation (%) Variation annuelle Participation Fidélisation Participation (1 e invitation) La participation varie d un facteur 2 entre les programmes Forte dépendance de la prévalence du dépistage opportuniste En deçà des recommandations européennes (EG: 70-75%) Pas de tendance systématique avec l âge 32 Rapport de monitoring national 2012, Bulliard et al. 2015

33 Qualité (tour incident) Indicateur (n=4658 rappels) Taux de rappel (+) (/1000 examens) Taux de détection (/1000 examens) Taux de faux-positif (/1000 examens) Variation (min-max) EG* < (< 45.5) VPP (mammographie, %) (> 9.0) * EG (4th edition, 2006): acceptable level of performance 71% des investigations diagnostiques sont de nature non-invasive 33 Rapport de monitoring national 2012, Bulliard et al. 2015

34 Cancers d intervalle (CI) Comment les définir? - Cancers du sein diagnostiqués chez des participantes après un test de dépistage négatif (en pratique: < 2 ans après la dernière mammo) Comment les identifier? - Croisement avec les données d un registre populationnel du cancer Comment apprécier leur fréquence (incidence)? - En l exprimant relativement à celle du cancer en absence de dépistage (hypothèses statistiques sur l incidence «théorique» sans dépistage!) Pourquoi des CI? - Mammo sans signe radiologique («vrai intervalle», cancer occulte) - Signes radiologiques minimes (subtle abnormality) - Image suspecte non vue (faux-négatif, erreur technique ou diagnostique) 34

35 Qualité: cancers d intervalle Cancers d intervalle VD n=316 VS n=185 GE n=51 EG* Incidence proportionnelle (% incidence «théorique» sans dépistage) 1e année (0-11 mois) % 2e année (12-23 mois) % Taux CI (/1000 examens) * EG (4th edition, 2006): acceptable level of performance Programmes: sensibilité = 66 à 73% spécificité = 92 à 96% 35 Evaluations des programmes VS, VD et GE, Bulliard et al. 2013, 2014, 2015

36 Cancers d intervalle Caractéristiques cliniques Cancers dépistés N=730 Cancers d intervalle N=316 Stade agrégé (%) Stade I Stade II Stade III ou IV Non renseigné 62,6 25,8 4,1 7,5 48,1 35,8 10,4 5,7 Taille (%) Moins de 10 mm mm mm 20 mm ou plus Non renseigné 29,0 24,5 17,8 19,7 8,9 16,5 23,1 18,7 35,1 6,6 Confirmation du pronostic moins favorable des CI que des cancers dépistés Atteinte ganglionnaire (%) 28,2 38,3 Différenciation histologique (%) Elevée Moyenne Faible Non renseigné/applicable 37,0 44,1 13,6 5,3 23,7 42,7 29,1 4,4 Récepteurs œstrogènes (% positifs) 84,8 76,3 36 Récepteurs progestérones (% positifs) 76,0 64,9 Rapport d évaluation du programme vaudois, Bulliard et al. 2014

37 Détection précoce (tour incident) Indicateur Variation (min-max) EG Tous cancers (n=698) DCIS (%) Cancers avancés (stade II+, %) Cancers invasifs (n=578) Sans atteinte ggl. (%) > mm (%) < 15 mm (%) Rapport de monitoring national 2012, Bulliard et al. 2015

38 Mortalité: disparités régionales Evolution de la mortalité par cancer du sein chez les femmes de 55 à 74 ans dans les cantons de Vaud et Genève, et de Bâle et Zurich 38 Bulliard et al., Ann Oncol 2006

39 Conclusions Le dépistage organisé par mammographie est efficace chez les femmes de 50 à 74 ans, à coût acceptable (50-69 ans) et avec un rapport risque / bénéfice jugé favorable Les programmes suisses satisfont globalement aux exigences de qualité avec de fortes différences régionales; la couverture territoriale reste partielle et la participation en deçà des recommandations. Plusieurs tests de dépistage du cancer colorectal sont efficaces; les tests endoscopiques permettent aussi de réduire l incidence du cancer colorectal Les effets indésirables du dépistage sont de plus en plus intégrés dans les évaluations et dans les aides décisionnelles Les différences - parfois larges - entre les résultats d études s expliquent surtout par des divergences méthodologiques. L évaluation du dépistage est une expertise en soi. 40

40 Perspectives Intégration des nouvelles technologies (tomosynthèse, test sanguin, etc.) «Surveillance active» (surtraitement) Nouvel essai randomisé pour le dépistage par mammographie? Meilleure évaluation des risques cumulés (données longitudinales) Suisse: impact du dépistage par mammographie sur la mortalité et sur le taux d incidence des cancer avancé (métrique sousutilisée!) 41

41 Merci de votre attention! 42

Dépistage du cancer colorectal :

Dépistage du cancer colorectal : Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990

Plus en détail

3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique

3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique 3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique Financement du système de santé, aujourd'hui et en cas d'acceptation de l'initiative sur la caisse unique: exemple d'une famille avec

Plus en détail

Dépistage du cancer du sein: Doit-on réévaluer son efficacité?

Dépistage du cancer du sein: Doit-on réévaluer son efficacité? Dépistage du cancer du sein: Doit-on réévaluer son efficacité? Jean-Luc Bulliard, Fabio Levi Unité d épidémiologie du cancer, Institut de médecine sociale et préventive, Centre Hospitalier Universitaire

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Sondage SEMO 2011/2012 : Résultats

Sondage SEMO 2011/2012 : Résultats Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d'etat à l'économie SECO Marché du travail / Assurance-chômage Mesures du marché du travail Markus Weber 07.06.2013

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

Le monitoring cannabis 2004-2008 et les recommandations pour la prévention

Le monitoring cannabis 2004-2008 et les recommandations pour la prévention Le monitoring cannabis 2004-2008 et les recommandations pour la prévention Présentation lors du congrès «Pour un bon développement! Nouvelles approches en prévention pour enfants, jeunes et familles» 30

Plus en détail

Dépistage par mammographie : feuille d information

Dépistage par mammographie : feuille d information feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

RAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009

RAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 RAPPORT D ORIENTATION Dépistage du cancer de la prostate Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 Juin 2010 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr

Plus en détail

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto

Plus en détail

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé

Plus en détail

Nouvelle structure des tarifs médicaux suisses:

Nouvelle structure des tarifs médicaux suisses: Nouvelle structure des tarifs médicaux suisses: Le TarMed Etude valaisanne Département de la santé, des affaires sociales et de l'énergie février 2000 TABLE DES MATIERES 1) RESUME 2) QU EST-CE LE TARMED?

Plus en détail

Le crédit fournisseur est plus populaire que jamais Les entreprises paient leurs factures avec un retard moyen de 19,5 jours

Le crédit fournisseur est plus populaire que jamais Les entreprises paient leurs factures avec un retard moyen de 19,5 jours Statistiques relatives aux pratiques de paiement: Statistiques relatives aux pratiques Les de paiement: performances Les performances des des Éditeur: Dun & Bradstreet (Schweiz) AG Grossmattstrasse 9 892

Plus en détail

Docteur José LABARERE

Docteur José LABARERE UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

2012 BVA Logistique SA - Allmedia.13

2012 BVA Logistique SA - Allmedia.13 les canaux du marketing direct distribution d imprimés publicitaires et d échantillons envois adressés @ -mailing CONSEIL > Stratégie orientée aux objectifs > Segmentation clientèle & potentiel de marché

Plus en détail

HEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs

HEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du

Plus en détail

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

««TOUT-EN-UN»» 2013 BVA marketing direct SA - Allmedia.14

««TOUT-EN-UN»» 2013 BVA marketing direct SA - Allmedia.14 Votre Votre partenaire partenaire 2014 2014 ««TOUT-EN-UN»» les canaux du marketing direct distribution d imprimés publicitaires et d échantillons envois adressés e-solutions vos avantages & objectifs AVANTAGES

Plus en détail

Documentation pour les médias

Documentation pour les médias DEPARTEMENT DE LA SANTE, DES AFFAIRES SOCIALES ET DE L'ENERGIE SERVICE DE LA SANTE PUBLIQUE Documentation pour les médias LES PRIMES D ASSURANCE-MALADIE 2004 EN VALAIS Les primes d assurance-maladie pour

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

La microsimulation à Statistique Canada

La microsimulation à Statistique Canada La microsimulation à Statistique Canada Chantal Hicks Chantal.hicks@statcan.gc.ca Présentation à «La démographie de demain : innovations, intersections et collaborations» Colloque de l Association des

Plus en détail

L'AOST est l'organisation faîtière suisse des autorités du marché du travail des cantons. Son but est

L'AOST est l'organisation faîtière suisse des autorités du marché du travail des cantons. Son but est STATUTS DE L ASSOCIATION DES OFFICES SUISSES DU TRAVAIL (AOST) 1. Nom, siège et but Art. 1 L'association des offices suisses du travail (AOST) est une association constituée au sens des articles 60 et

Plus en détail

IMPACT DE LA FISCALITÉ ET DES FRAIS DE GARDE DES ENFANTS SUR LE REVENU DISPONIBLE DES PARENTS EXERÇANT UNE ACTIVITÉ LUCRATIVE

IMPACT DE LA FISCALITÉ ET DES FRAIS DE GARDE DES ENFANTS SUR LE REVENU DISPONIBLE DES PARENTS EXERÇANT UNE ACTIVITÉ LUCRATIVE Zurich, le 8 janvier 2014 Dr. Regina Schwegler, Andrea Schultheiss IMPACT DE LA FISCALITÉ ET DES FRAIS DE GARDE DES ENFANTS SUR LE REVENU DISPONIBLE DES PARENTS EXERÇANT UNE ACTIVITÉ LUCRATIVE Sur mandat

Plus en détail

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

Le vélo dans les villes petites et moyennes

Le vélo dans les villes petites et moyennes Citec Ingénieurs Conseils SA 26e journée Rue de l'avenir Mobilités douces: le grand potentiel des villes petites et moyennes Le vélo dans les villes petites et moyennes Emmanuel Fankhauser Sommaire Introduction

Plus en détail

kibesuisse Fédération suisse pour l accueil de jour de l enfant Statuts du 05/09/2013

kibesuisse Fédération suisse pour l accueil de jour de l enfant Statuts du 05/09/2013 kibesuisse Fédération suisse pour l accueil de jour de l enfant Statuts du 0/09/0 Fondements Nom et forme juridique Principe But Tâches Art. Sous le nom de kibesuisse Fédération suisse pour l accueil de

Plus en détail

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques?

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités

Plus en détail

Second cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein

Second cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie

Plus en détail

Management de projet Palette de prestations

Management de projet Palette de prestations Management de projet Palette de prestations Rue Voltaire 1 CH-1006 T 021 617 55 75 F 021 617 55 76 iteral@iteral.ch www.iteral.ch Management de projet Palette de prestations Le management de projet : comment?

Plus en détail

Bisnode. au mois de Mai 2013. Étude sur les faillites et créations d entreprises 25.6.2013

Bisnode. au mois de Mai 2013. Étude sur les faillites et créations d entreprises 25.6.2013 Bisnode Faillites et créations arrêtées au mois de Mai 2013 Étude sur les faillites et créations d entreprises 25.6.2013 731b du CO: dissolutions d entreprises aux dépens de la collectivité. Entre janvier

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

6.06 Prévoyance professionnelle (PP) Obligation de s affilier à une institution de prévoyance conformément à la LPP

6.06 Prévoyance professionnelle (PP) Obligation de s affilier à une institution de prévoyance conformément à la LPP 6.06 Prévoyance professionnelle (PP) Obligation de s affilier à une institution de prévoyance conformément à la LPP Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref La prévoyance professionnelle constitue le 2 e pilier

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA TAXE SUR LA DÉPENDANCE AU JEU RÉSUMÉ

ÉVALUATION DE LA TAXE SUR LA DÉPENDANCE AU JEU RÉSUMÉ CONFÉRENCE SPÉCIALISÉE DES MEMBRES DE GOUVERNEMENTS CONCERNÉS PAR LA LOI SUR LES LOTERIES ET LE MARCHÉ DES LOTERIES (CDCM) ÉVALUATION DE LA TAXE SUR LA DÉPENDANCE AU JEU RÉSUMÉ Zurich, 8 mai 2013 Thomas

Plus en détail

Informations actuelles de votre caisse maladie. www.mykolping.ch

Informations actuelles de votre caisse maladie. www.mykolping.ch 01 2015 Informations actuelles de votre caisse maladie www.mykolping.ch Correction des primes de 2015 à 2017 Au printemps dernier, le Parlement a décidé que certains déséquilibres cantonaux relatifs au

Plus en détail

Prévoyance professionnelle obligatoire pour les personnes au chômage

Prévoyance professionnelle obligatoire pour les personnes au chômage Prévoyance professionnelle obligatoire pour les personnes au chômage (Valable à partir du 01.01.2013) 1 Personnes assurées (plan de prévoyance AL) La prévoyance professionnelle obligatoire des personnes

Plus en détail

Études épidémiologiques analytiques et biais

Études épidémiologiques analytiques et biais Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre

Plus en détail

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation

Plus en détail

Conséquences financières du jeu excessif : Etat des lieux en Suisse et dans les cantons romands 1

Conséquences financières du jeu excessif : Etat des lieux en Suisse et dans les cantons romands 1 Conséquences financières du jeu excessif : Etat des lieux en Suisse et dans les cantons romands 1 Claude Jeanrenaud a, Teuta Buzoku a et Olivier Simon b2 Institut de recherches économiques Université de

Plus en détail

La présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit :

La présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit : Règle de soins médicaux Technique de la coloscopie en duo INDICATION (situation visée) La présente règle de soins médicaux vise à préciser les conditions d encadrement de la coloscopie (avec endoscope)

Plus en détail

Période de recensement 2002 - Répartition par âge des cas. Hôpital test <100 lits. Hôpital test 100 à 499 lits. Hôpital test >= 500 lits

Période de recensement 2002 - Répartition par âge des cas. Hôpital test <100 lits. Hôpital test 100 à 499 lits. Hôpital test >= 500 lits Période de recensement 2002 - Répartition par âge des cas Classe d'âge Nombre de cas 0-9 683 10-19 143 20-29 635 30-39 923 40-49 592 50-59 716 60-69 626 70-79 454 80-89 156 90-99 9 Classe d'âge Nombre

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

Les entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino

Les entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino Statistiques des comportements de paiement: le comporte Statistiques des comportements ment de paiement: de paiement le comportement des de entreprises en Suisse 4 ème trimestre et perspectives 2009 Editeur:

Plus en détail

PISA 2009 Résultats régionaux et cantonaux

PISA 2009 Résultats régionaux et cantonaux PISA 2009 Résultats régionaux et cantonaux OCDE - PISA Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves PISA 2009 Résultats régionaux et cantonaux Rapport réalisé par le Consortium PISA.ch

Plus en détail

Terre&Nature, c est chaque jeudi plus de 110 000 lecteurs fidèles par nature.

Terre&Nature, c est chaque jeudi plus de 110 000 lecteurs fidèles par nature. Tarifs 2014 Terre&Nature, c est chaque jeudi plus de 110 000 lecteurs fidèles par nature. Xavier Duquaine Rédacteur en chef Chaque semaine, offrez-vous une place au cœur de la nature dans notre hebdomadaire!

Plus en détail

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin

Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin Rapport de mission N 1 9 février 2005 Daniel Oberlé, Arnauld Villers, Dominique Decherf, Jean Christophe

Plus en détail

15.030. du 6 mars 2015. Messieurs les Présidents, Mesdames, Messieurs,

15.030. du 6 mars 2015. Messieurs les Présidents, Mesdames, Messieurs, 15.030 Message concernant la ratification du protocole n o 15 portant amendement à la convention de sauvegarde des droits de l homme et des libertés fondamentales (CEDH) du 6 mars 2015 Messieurs les Présidents,

Plus en détail

Le dépistage du cancer du sein par mammographie dans la population générale

Le dépistage du cancer du sein par mammographie dans la population générale Le dépistage du cancer du sein par mammographie dans la population générale Mars 1999 Étude d évaluation technologique Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés

Plus en détail

Info Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013

Info Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 BULLETIN Région de la Capitale-Nationale Bulletin numéro 8 Avril 2014 Contenu Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 Éditorial 1 Comité de suivi régional : un travail d équipe! 3 Coordination et organisation

Plus en détail

Fil conducteur du protocole de réalisation

Fil conducteur du protocole de réalisation OUTIL D OBSERVATION REGIONAL DES INDUSTRIES ALIMENTAIRES (O O R I A) Fil conducteur du protocole de réalisation Les travaux du Groupe Domaine du Plan Régional de Développement des Formations consacré aux

Plus en détail

Banques actives au niveau suisse

Banques actives au niveau suisse La version allemande fait foi. ABS Alternative Bank Schweiz Lebergasse 17, 4601 Olten Tél. 062 206 16 16 www.abs.ch Chez ABS chaque crédit est un écocrédit (crédits d entreprise, d investissement et hypothèques).

Plus en détail

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

Evidence-based medicine en français

Evidence-based medicine en français Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes

Plus en détail

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Plus en détail

le coupage de vins en Valais

le coupage de vins en Valais Grand Conseil Commission de gestion Grosser Rat COMMISSION DE GESTION DU GRAND CONSEIL Rapport sur le coupage de vins en Valais Session de juin 2014 Commission de gestion 2/11 SOMMAIRE Page 1. INTRODUCTION...

Plus en détail

Cependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional.

Cependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional. Annexe 4 : Règles de financement des structures de gestion en charge des programmes de dépistage organisé des cancers du sein et du colorectal pour l année 2007 A partir des remontées des budgets 2006,

Plus en détail

«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches»

«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Synthèse de la table ronde 2- Giens XXI -octobre 2005 «Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Pierre-Henri.Bertoye, Soizic.Courcier-Duplantier,

Plus en détail

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques 2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données

Plus en détail

Le dépistage du cancer du sein. Une information de la Ligue contre le cancer

Le dépistage du cancer du sein. Une information de la Ligue contre le cancer Le dépistage du cancer du sein Une information de la Ligue contre le cancer Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001 Berne tél. 031 389 91 00 fax 031

Plus en détail

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique 2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique

Plus en détail

«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»

«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès» 2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»

Plus en détail

Offre jours fériés 2014: Cargo Rail, Cargo Express, Cargo Train, TC

Offre jours fériés 2014: Cargo Rail, Cargo Express, Cargo Train, TC Offre jours fériés 2014: Cargo Rail, Cargo Express, Cargo Train, TC Groupe de produits Valable à partir du 01.01.2014 Trafic marchandises Trafic par wagons complets Contenu 1. Domaine de validité de l'offre

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation

Plus en détail

Monitoring socioculturel des forêts (WaMos) 2 Principaux résultats

Monitoring socioculturel des forêts (WaMos) 2 Principaux résultats Monitoring socioculturel des forêts (WaMos) 2 Principaux résultats Christoph Hegg Nicole Bauer, Jacqueline Frick, Eike von Lindern, Marcel Hunziker Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches

Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna

Plus en détail

L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue

L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION PUBLIQUE EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION

Plus en détail

Etat de la réforme de l état civil. Jongny, Séminaire CAS - 19/20 nov. 2003 - OFEC Jg. 1

Etat de la réforme de l état civil. Jongny, Séminaire CAS - 19/20 nov. 2003 - OFEC Jg. 1 Etat de la réforme de l état civil en un clin d œil Jongny, Séminaire CAS - 19/20 nov. 2003 - OFEC Jg. 1 Aperçu du contenu Réorganisation dans les Cantons Expériences durant la phase d introduction I Mise

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Informations sur le cancer de l intestin

Informations sur le cancer de l intestin Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.

Plus en détail

Latitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014

Latitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5

Plus en détail

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

Plus en détail

[Tapez un texte] Document non contractuel sous réserve de modifications en cours d année.

[Tapez un texte] Document non contractuel sous réserve de modifications en cours d année. [Tapez un texte] QUALIFICATION VISEE Titre Responsable d Affaires Agroalimentaires, niveau I (JO du 22/07/2010) OBJECTIF PRINCIPAL DE LA FORMATION PUBLIC ET CONDITIONS D'ACCES Former des cadres de haut

Plus en détail

Révision partielle de l ordonnance du 14 février 2007 sur l analyse génétique humaine (OAGH ; RS 810.122.1) Rapport explicatif

Révision partielle de l ordonnance du 14 février 2007 sur l analyse génétique humaine (OAGH ; RS 810.122.1) Rapport explicatif Révision partielle de l ordonnance du 14 février 2007 sur l analyse génétique humaine (OAGH ; RS 810.122.1) Rapport explicatif Projet pour l audition, novembre 2009 1 Introduction La loi sur l analyse

Plus en détail

First do no harm Hippocrates (470 360 BC)

First do no harm Hippocrates (470 360 BC) PHARMACOVIGILANCE DR A.TEBAA - Pr R. SOULAYMANI BENCHEIKH CENTRE ANTI POISON ET DE PHARMACOVIGILANCE M.COOPER-SHANTHI-PAL QUALITY ASSURANCE ET SECURITY MEDECINE Dakar 5-9 Mars 2006 First do no harm Hippocrates

Plus en détail

Bâtiments, logements et conditions d habitation

Bâtiments, logements et conditions d habitation Neuchâtel, septembre 2004 Recensement fédéral de la population 2000 Bâtiments, logements et conditions d habitation RECENSEMENT FÉDÉRAL DE LA POPULATION 2000 BÂTIMENTS, LOGEMENTS ET CONDITIONS D HABITATION

Plus en détail

Les définitions des saignements ACS/PCI

Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,

Plus en détail

Initiative socialiste pour des impôts équitables Commentaires Bernard Dafflon 1

Initiative socialiste pour des impôts équitables Commentaires Bernard Dafflon 1 Initiative socialiste pour des impôts équitables Commentaires Bernard Dafflon 1 L initiative socialiste pour des impôts équitables soulève des discussions souvent quérulentes entre défenseurs de l initiative

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

Mode de calcul basé sur les dépenses déterminantes (coûts réels plafonnés) Sommaire

Mode de calcul basé sur les dépenses déterminantes (coûts réels plafonnés) Sommaire Mode de calcul basé sur les dépenses déterminantes (coûts réels plafonnés) Guide à l intention des institutions (prestataires) reconnues par les cantons suisses, pour leurs demandes d obtention des subventions

Plus en détail

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine

Plus en détail

L assurance d indemnité journalière en cas de maladie : problèmes en relation avec le droit du travail

L assurance d indemnité journalière en cas de maladie : problèmes en relation avec le droit du travail Bulletin d information sur le droit du travail et des assurances sociales 01/11 L assurance d indemnité journalière en cas de maladie : problèmes en relation avec le droit du travail Système légal Droit

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Approche centrée e sur le patient

Approche centrée e sur le patient Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur

Plus en détail

Protection individuelle

Protection individuelle Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86

Plus en détail

Département fédéral de l intérieur DFI Département fédéral de l économie DFE

Département fédéral de l intérieur DFI Département fédéral de l économie DFE Département fédéral de l intérieur DFI Département fédéral de l économie DFE Rapport explicatif sur le contre-projet indirect du Conseil fédéral à l initiative populaire sur les bourses d études déposée

Plus en détail

A. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française)

A. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française) Commission d'éthique cantonale (VD) de la recherche sur l'être humain Av. de Chailly, 23, 1012 Lausanne Courriel : secretariat.cer@vd.ch 5.12.2013/mz Recommandations pour la soumission d un dossier Tous

Plus en détail

swisstlm 3D Version 1.3 Publication 2015 Généralités sur swisstlm 3D

swisstlm 3D Version 1.3 Publication 2015 Généralités sur swisstlm 3D Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports DDPS Office fédéral de topographie swisstopo swisstlm 3D Version 1.3 Publication 2015 Généralités sur swisstlm 3D Le modèle

Plus en détail