ACTUALITÉ DES TRAITEMENTS PHYSIQUES ANTI-GLAUCOMATEUX. Eric SELLEM (Centre Ophtalmologique Kléber Lyon)
|
|
- Eliane Chartier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ACTUALITÉ DES TRAITEMENTS PHYSIQUES ANTI-GLAUCOMATEUX Eric SELLEM (Centre Ophtalmologique Kléber Lyon)
2 PNEUMOTRABÉCULOPLASTIE TRABÉCULOPLASTIE SÉLECTIVE CYCLOCOAGULATION AUX U.S.
3 -I- LA PNEUMOTRABÉCULOPLASTIE (PNT)
4 Les origines de la PNT Les anneaux de succion sont utilisés depuis plus de 40 ans, pour fixer l œil lors de l utilisation de microkératome (keratomileusis, keratophakie (KP) and LASIK) Il a été fréquemment constaté que les patients présentaient, après intervention, une baisse de leur PIO
5 Les origines de la PNT L explication la plus couramment admise était que cette baisse était liée à la réduction de l épaisseur de la cornée LiVecchi a réalisé ces mêmes procédures de fixation, mais sans utilisation du microkératome: il a constaté que la baisse de PIO survenait malgré cela, même si l explication de ce phénomène reste incertaine
6 La PNT: le matériel 1- un anneau de succion spécialement conçu pour apporter une dépression homogène à la surface de l œil, stérile et jetable
7 La PNT: le matériel 2- un contrôleur qui régule le temps et l intensité de la dépression 3- les deux éléments sont reliés par une tubulure spécifique
8 La PNT: la réalisation
9 La PNT: la réalisation deux séances d 1 mn, à 5 mn d intervalle retraitement à J 30 puis tous les 3 mois, ou en fonction de la situation tonométrique
10 Les résultats de la PNT Avalos and LiVecchi 177 patients, 320 eyes Mean Age 65,3 Mean follow-up (months) 23,5 Pre-Treatment IOP range (mm Hg) Post-Treatment IOP range (mmhg) Mean Pre-Treatment IOP (mm Hg) 23,4 Mean Post-Treatment IOP (mm Hg) 17,1 Mean IOP Drop (mm Hg) 6,3
11 Les résultats de la PNT Étude BORES 14 mois de suivi Patients (N) 144 Mean follow-up (months) 9 Pre-Treatment IOP range (mm Hg) Post-Treatment IOP range (mmhg) Mean Pre-Treatment IOP (mm Hg) 19,2 Mean Post-Treatment IOP (mm Hg) 15,8 Mean IOP Drop (mm Hg) 3,4
12 La tolérance de la PNT Aucun effet secondaire significatif n a été relevé dans l ensemble des études à moyen et long terme Les effets secondaires immédiats décrits : Hémorragie sous-conjonctivales minimes disparaissant spontanément Sensation de corps étranger d une durée d une heure environ Hyperémie conjonctivale de résolution spontanée
13 Mode d action original? Il pourrait impliquer un étirement du trabéculum, entraînant une meilleure ouverture des pores, soit directement, soit par le biais de médiateurs chimiques Ouverture de l angle (Brognoni et al, 2006)?
14 Intérêts potentiels de la PNT Compléter / réduire les thérapeutiques existantes Améliorer l observance Retarder le recours aux collyres Coût modeste de l appareillage
15 Questions en suspend Quelle fréquence de retraitements? Persistance de l efficacité sur le long terme? Quelle cotation?
16 C. Lamirel, I. Cochereau Rapport SFO 2014
17 -II- LA TRABÉCULOPLASTIE SÉLECTIVE (SLT)
18
19
20 SLT vs TLA efficacité comparable à court terme réalisation plus facile, moins douloureuse moins de réaction inflammatoire diminution du risque d HPO post-op. plus efficace chez les sujets jeunes peut être répétée
21 SLT vs TLA remontée pressionnelle au bout de 2 ans dans plus de 50% des cas (Realina T. J Glaucoma, 2008) l effet diminue après chaque séance (Weinand FS. Europ J Ophthalmol, 2006) pas plus de 3 séances, voire de 2 séances
22 Avantages par rapport au traitement médical pas d effets latéraux pas de contraintes d instillation pas de problème d observance respect de la surface oculaire coût?
23 Trabéculoplastie vs traitement médical Efficacité identique du traitement initial dans le groupe recevant le latanoprost et le groupe traité par SLT (-30% de PIO) McIlraith I, Strasfeld M, Colev G, Hutnik CM. Selective laser trabeculoplasty as initial and adjunctive treatment for open- angle glaucoma. J Glaucoma 2006; 15 :
24 EGS
25
26
27 Inconvénients par rapport au traitement médical échappement plus ou moins rapide baisse moins forte de la PIO vigilance émoussée
28 -III- CYCLOCOAGULATION AUX U.S. (UC3)
29
30
31 Cyclo Coagulation Circulaire aux Ultrasons dans le Glaucome Primitif à Angle Ouvert Essai clinique multicentrique: Résultats péliminaires Florent Aptel, CHU Grenoble Jean-Paul Renard, Hôpital d'instruction des Armées du Val-de-Grâce, Paris Philippe Denis, CHU Lyon Jean-François Rouland, CHU Lille Alain Bron, CHU Dijon Christophe Baudouin, Centre National des Quinze-Vingts, Paris Jean-Philippe Nordmann, Centre National des Quinze-Vingts, Paris Yves Lachkar, Fondation Hôpital Saint-Joseph, Paris Eric Sellem, Centre Ophtalmologique Kléber, Paris
32 (UC³) : étude clinique pilote Aptel F, et al. Miniaturized high-intensity focused ultrasound device in patients with glaucoma: a clinical pilot study. Invest Ophthalmol Vis Sci. 2011;52:
33 Etude clinique multicentrique : étude EyeMUST * Etude clinique multicentrique avant marquage CE, depuis Novembre 2011 * 8 centres universitaires et privés Protocole Patients Critères d évaluations 1ère évaluation Suivi clinique Prospective, multicentrique, non comparative, essai clinique avec escalade de dose 60 patients Efficacité PIO et évolution du nombre de traitements hypotonisants Sécurité Incidence des complications et des EI Résultats à 1 mois pour 20 patients avant escalade de dose 12 mois
34 Étude EYEMUST : Critères d inclusion et d exclusion *Critères inclusion - exclusion INCLUSION Glaucome Primitif à Angle Ouvert (GPAO) ou Glaucome Pigmentaire (GP) ou Glaucome Pseudoexfoliatif (PEX) PIO > 21 mm Hg Sous traitement maximal tolerable Au moins 1 atcd de chirurgie filtrante Absence de procédure de cyclodestruction antérieure Pas de laser ni chirurgie dans les 3 derniers mois Pas de modification du traitement médical 1 mois Age > 18 ans EXCLUSION Glaucome à Pression Normale (GPN) Glaucome non progressif Tube ou shunt oculaire Atcd de chirurgie réfractive (PKR Lasik) Orbitopathie Thyroïdienne Tumeur oculaire ou retrobulbaire Cyclodialyse Subluxation du cristallin Hématome ou soulèvement Choroidien Décollement Retinien Infection oculaire dans les 2 semaines précédentes
35 Procédures : HIFU Cyclocoagulation 6 transducteurs piézoélectriques cylindriques miniaturisés disposés dans une sonde de thérapie annulaire de 30 mm de diamètre Zone focale annulaire de 11 mm, 12 mm ou 13 mm Traitement sous ALR ou AG) Paramètres : fréquence 21 MHz Durée de tir 4 sec (groupe 1) ou 6 sec (groupe 2) Activation séquentielle avec temps de pause de 20 sec Traitements post-opératoires : flurbiprofène 3*/J 15 jours et collyres hypotonisants préopératoires
36 Procédures : HIFU Cyclocoagulation
37 Procédures : choix de la sonde de traitement UBM (Aviso 50 MHz, Quantel Médical, France)
38 11 10
39 12 10
40 13 10
41 Résultats Caractéristiques Démographiques * Group 1 (4 sec) - n = 18 patients - age (m) =60.8 ans et sex-ratio (m/f) : 9/9 - PIO préopératoire moyenne : 28.9 mmhg - diagnostic : GPAO (15), GPEX (1), GP (1), Juvenile (1) * Group 2 (6 sec) - n = 24 patients - age (m) = 59.1 ans et sex-ratio (m/f) : 11/13 - PIO préopératoire moyenne: 29.1 mmhg - diagnostic: GPAO (22), GPEX (1), Autre (1)
42 Résultats: «Gp 1» Efficacité vs «Gp 2» (Groupe 1) Groupe 1: 67 % de répondeurs ( PIO 20%)
43 Résultats: «Gp 1» Efficacité vs «Gp 2» (Groupe 2) Groupe 2: 72 % de répondeurs ( PIO 20%)
44 IOP Last Follow-Up IOP Last Follow-Up Résultats: Efficacité (Groupe 1 et 2) Groupe 1 (4 sec) Groupe 2 (6 sec) IOP Baseline IOP Baseline
45 Résultats: Tolérance Procédures : pas de complication HPIO (PIO > PIO basale + 10 mmhg les 7 premiers jours): 0/42 Hypotonie transitoire (PIO < 6 mmhg) : 2/42 Complications mineures : Hyperhémie 18/42, Tyndall 3/42, KPS 3/42 Autres complications : OMC transitoire 1/42 D(-1) D1 D8
46 (UC³) : résultats cliniques * Etude pilote : - petit nombre de sujets (n = 12) - glaucomes réfractaires agoniques * Etude Eyemust 1 : - étude multicentrique, 9 centres et 60 patients - glaucome réfractaire mais moins évolués * Etude Eyemust 3 : - étude multicentrique, 5 centres et 30 patients - glaucomes naïfs de toute chirurgie filtrante, peu évolués
47 Baisse PIO : - 30% à 1 an 66% de répondeurs (19/30) (baisse PIO 20%) Baisse PIO : - 37% à 1 an
48 Conclusions * Efficacité : - 45 à 65% de répondeurs - baisse de PIO de 30% à 40% chez les répondeurs - meilleure en cas de glaucome primitif à angle ouvert - moins bonne en cas de glaucome secondaire (aphake) * Tolérance : - bonne, EI essentiellement mineurs
49 Mode d action d UC 3 sur la PIO?
50 Etudes pré-cliniques (lapins) Aptel F, Charrel T, Palazzi X, Chapelon JY, Denis P, Lafon C. Histologic effects of a new device for high-intensity focused ultrasound cyclocoagulation. Invest Ophthalmol Vis Sci Oct;51(10):
51 Etudes pré-cliniques (lapins) Atrophie des procès ciliaires (J 22)
52 UBM Imagerie du Corps Ciliaire Avant traitement Après traitement UBM (Aviso 50 MHz, Quantel Médical, France)
53 UBM Imagerie du Corps Ciliaire Avant traitement Après traitement UBM (Aviso 50 SAG MHz, Quantel 2014 Médical, France)
54 Corps ciliaire Jonction sclérale 100 µm Procès ciliaire traités (gauche) et non traités (droite), HES, obj. X 10
55 Merci de votre attention
56 Conflits d intérêts : Alcon Allergan MSD Docvadis Théa
L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailLasik Xtra: Résultats cliniques. Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France
Lasik Xtra: Résultats cliniques Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France Introduction Lasik Xtra : Lasik combiné à un cross-linking cornéen accéléré Traitement de
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailVous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire
Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles
Plus en détailLA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte?
LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? Une intervention de routine En France, plus de 500 000 chirurgies de la cataracte sont réalisées chaque année. L intervention
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes - Le glaucome chronique (240) Professeur Danièle Denis -Docteur Olivier Forzano Mai 2005
Maladies et Grands Syndromes - Le glaucome chronique (240) Professeur Danièle Denis -Docteur Olivier Forzano Mai 2005 1. Définitions et rappels : Le glaucome chronique est une neuropathie optique. Ainsi
Plus en détailCorrection de la myopie forte par l implant phaque fixé à l iris (Implant Artisan)
J Fr. Ophtalmol., 2000; 23, 9, 879-883 Masson, Paris, 2000. ARTICLE ORIGINAL Correction de la myopie forte par l implant phaque fixé à l iris (Implant Artisan) F. Malecaze, H. Hulin, P. Bierer Service
Plus en détailRemodelage cornéen (RMC) : quelle incidence sur l architecture de la cornée?
p13cdo92 24/04/06 16:18 Page 13 Remodelage cornéen (RMC) : quelle incidence sur l architecture de la cornée? Brigitte Lutcher*, Michel Puech**, Bernard Barthélémy***, Adil El Maftouhi**, Christophe Baudouin*
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailmedical vision group
medical vision group «Nos clients et partenaires sont pour nous des êtres humains, avec leurs attentes, concrètes et professionnelles, et leurs sentiments. Aller à leur rencontre est notre force.» medicalvision
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détail4 ème journée de la. Société Algérienne du Glaucome 2012. Dr A.ACHELI Pr O.Ouhadj Pr M.T.Nouri CHU Beni Messous
4 ème journée de la Société Algérienne du Glaucome 2012 Dr A.ACHELI Pr O.Ouhadj Pr M.T.Nouri CHU Beni Messous INTRODUCTION Glaucome et cataracte sont deux maladies oculaires distinctes mais sont fréquemment
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailOphtalmologie. Nouvelles tendances dans la chirurgie de la cataracte. nouveautés en médecine 2010. H. Abouzeid
nouveautés en médecine 2010 Ophtalmologie Nouvelles tendances dans la chirurgie de la cataracte Rev Med Suisse 2011 ; 7 : 128-32 H. Abouzeid Dr Hana Abouzeid Responsable de la Policlinique Hôpital ophtalmique
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailEvaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation
Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailLésions du segment postérieur de l œil associées à la cataracte : étude échographique chez 106 chiens (1999-2003)
Lésions du segment postérieur de l œil associées à la cataracte : étude échographique chez 106 chiens (1999-2003) A. PONCHET, B. CANTALOUBE, G. CAZALOT et A. RÉGNIER* Département des Sciences Cliniques,
Plus en détailAJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailItem 81 (item 212) : Oeil rouge et/ou douloureux Collège des Ophtalmologistes Universitaires de France (COUF)
Item 81 (item 212) : Oeil rouge et/ou douloureux Collège des Ophtalmologistes Universitaires de France (COUF) 2013 1 Table des matières Introduction... 3 1. Examen... 3 2. Etiologie... 6 2.1. Œil rouge,
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailProtocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires
1 Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires Dans la grande majorité des cas, les syndromes fémoro-patellaires (SFP) guérissent avec un traitement médical bien conduit. Pour être efficace,
Plus en détailGelsoft Plus LA SEULE PROTHESE VASCULAIRE AU MONDE EN POLYESTER A STRUCTURE TRICOTEE KOPER IMPREGNEE DE GELATINE, RESISTANT A LA DILATATION
Gelsoft Plus LA SEULE PROTHESE VASCULAIRE AU MONDE EN POLYESTER A STRUCTURE TRICOTEE KOPER IMPREGNEE DE GELATINE, RESISTANT A LA DILATATION Structure tricotée Köper exclusive offrant: - une dilatation
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailPrévention des escarres
Prévention des escarres MOBILISATION ET POSITIONNEMENT Historique 1848 : Robert Graves Ecrivait qu il était possible de prévenir les escarres par une mobilisation régulière. 1961 : Kosiak Etude sur les
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailOphtalmologie. Conférences scientifiques. Le traitement chirurgical de la cataracte et du glaucome coexistants
Ophtalmologie Conférences scientifiques MC MAI 2004 Volume 2, numéro 5 COMPTE RENDU DES CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES DU DÉPARTEMENT D OPHTALMOLOGIE ET DES SCIENCES DE LA VISION, FACULTÉ DE MÉDECINE, UNIVERSITÉ
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailLes lasers Risques et prévention
Les lasers Risques et prévention I Interaction laser tissu Effet Effet Effet Effet photoablatif mécanique photodynamique thermique II Risques Œil Peau Autres risques III Évaluation du risque laser Classes
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailUn comparatif de rétinographes non mydriatiques
Un comparatif de rétinographes non mydriatiques Xavier Zanlonghi L es rétinographes non mydriatiques (RNM), qui, dans leur conception d origine n étaient pas destinés aux ophtalmologistes, ont depuis fait
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE
ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE Instructions Merci : de répondre complètement à toutes les questions, d écrire lisiblement, de signer et dater
Plus en détailExtraits et adaptations
Extraits et adaptations Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) en clinique dentaire - 2007 MOYENS DE RÉCUPÉRATION MUSCULAIRE Il est difficile de donner des soins dentaires en évitant
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détailAstigmatisme et micro-incision
10 119 P. LEVY Clinique Saint-Roch, MONTPELLIER. levy.34@free.fr L e temps où la préoccupation principale, voire unique, du chirurgien était l ablation du cristallin est révolu. Le concept de chirurgie
Plus en détaill implantologie basale
Plaquette n 17 6/11/08 11:04 Page 1 Apport de l implantologie basale dans les reconstructions implantaires fixes : une alternative aux greffes osseuses? Denis DOUGNAC-GALANT L omnipraticien est, dans son
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailUTILISATION DU LASER INFRAROUGE EN OPHTALMOLOGIE VÉTÉRINAIRE USE OF INFRA-RED LASER IN VETERINARY OPHTHALMOLOGY
04_goulle_C2-Bastien 08/12/11 15:36 Page217 UTILISATION DU LASER INFRAROUGE EN OPHTALMOLOGIE VÉTÉRINAIRE USE OF INFRA-RED LASER IN VETERINARY OPHTHALMOLOGY Par Frédéric GOULLE (Communication présentée
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailJEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER
JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailDossier thématique de la. Fondation de l'avenir. Chirurgie du futur SOMMAIRE
Dossier thématique de la Fondation de l'avenir Chirurgie du futur SOMMAIRE I L évolution de la chirurgie A La vidéochirurgie : une chirurgie mini-invasive 1 En quoi consiste la vidéochirurgie 2 - Les bénéfices
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailActivité scientifique et recherche :
L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailRecommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire
Recommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire AVANT L INTERVENTION : 1) Un rendez-vous en consultation d anesthésie au moins 8 jours avant l intervention vous a été donné. Venez ce jour-là
Plus en détailLe Laser femtoseconde Quel avenir? Quel positionnement?
PROJET BIOMEDICAL Sujet Le Laser femtoseconde Quel avenir? Quel positionnement? BONNARD Maud GUERIN Mathilde Département Biomédical Promotion 2008 Abstract Introduction Les Principaux défauts de la vision
Plus en détailSociété anonyme au capital social de 142 706,20 Euros Siège social : 102, rue Etienne Dolet 92240 Malakoff 478 129 968 RCS Nanterre DOCUMENT DE BASE
Société anonyme au capital social de 142 706,20 Euros Siège social : 102, rue Etienne Dolet 92240 Malakoff 478 129 968 RCS Nanterre DOCUMENT DE BASE En application de son Règlement général, notamment de
Plus en détailApplications Manométriques de la SWS
Applications Manométriques de la SWS G. Desuter MD, MS, FACPE Service ORL et Chirurgie Cervico-Faciale Cliniques universitaires St-Luc, Bruxelles Constat de départ Vidéofluorographie de déglutition et
Plus en détailUne avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards
Une avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards 1 Excellentes performances scientifiquement démontrées. Roxolid est un matériau unique
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailPENDANTS à PLAFOND Pour USI/Anesthésie
PENDANTS à PLAFOND Pour USI/Anesthésie Rigidité maximale et grande capacité Plages d'action presque illimités Modularité avec possibilité de choix Conception ergonomique Fiche complète de prises et access.
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailPROGRAMME DE BOURSES DE INTERNATIONAL COUNCIL OF OPHTHALMOLOGY 1. Les Bourses de trois mois de International Council of Ophthalmology
PROGRAMME DE BOURSES DE INTERNATIONAL COUNCIL OF OPHTHALMOLOGY 1. Les Bourses de trois mois de International Council of Ophthalmology Dans le cadre de la promotion et du renforcement des capacités en ophtalmologie,
Plus en détailSommaire. Les techniques d escalade. De fortune sur demi-cabestan Débrayable Suisse 1/1. fic-somescalade01-c3m
Les techniques d escalade fic-somescalade01-c3m Sommaire La poulie (moulinette) L assurage Sécurité lors de la mise en place Manip FFME Le rappel Sécurité lors de la mise en place Amarrages en terrain
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailPrincipe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds
Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailConseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine
Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine 2009 Compilé par le comité pour l enseignement Universitaire du Conseil International d Ophtalmologie. Cher étudiant
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailVotre santé visuelle :
Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Droit d auteur 2007, INCA ISBN 978-0-921122-27-6 Titre : Votre santé visuelle
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détail