Les besoins des pères pendant la période périnatale: Comment les infirmières y répondent t elles?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les besoins des pères pendant la période périnatale: Comment les infirmières y répondent t elles?"

Transcription

1 Les besoins des pères pendant la période périnatale: Comment les infirmières y répondent t elles? Christine Gervais, Ph.D. Professeur au département des sciences infirmières, UQO Francine de Montigny, Ph. D. Professeure titulaire, UQO Carl Lacharité, Ph.D. Professeur au département de psychologie, UQTR Contexte théorique: L engagement paternel Santé mentale Un père engagé contribue Plus grand bien être et adaptation de l enfant Plus grand bien être et adaptation maternelle Négligence Plus grand bien-être du père et du couple Contexte théorique: L engagement paternel Les pères qui s engagent activement, tôt dans la vie de l enfant Sont plus disponible à leur enfant lorsque celui-ci a deux ans Participent + à ses soins et son éducation Demeurent engagés en cas de séparation 1

2 Contexte théorique: La transition à la paternité Sentiments intenses (joie, fierté, etc.) Transition à la paternité Réorganisations Manque de préparation Contextes théoriques: Les services et le soutien aux pères Services spécifiques aux pères, peu nombreux et difficiles d accès Services centrés sur les mères et leurs besoins Pères peu engagés Formation considère peu les spécificités masculines Femmes perçues plus positivement que les hommes Objectif et questions de recherche Objectif: Explorer les besoins des pères pendant la période périnatale en s attardant à la place qu ils occupent au sein des services de périnatalité. Quelle place occupent les pères dans les observations, les préoccupations et les interventions des professionnels des services périnataux? Quels sont les besoins des pères en termes de services et de soutien formel pendant la période périnatale? 2

3 La méthodologie S inscrit dans une programmation de recherche visant le développement d une initiative d amélioration des pratiques et des soins que reçoivent les pères. Étude qualitative exploratoire; Sources de données: couples de nouveaux parents (enfants de 0-2 ans), entrevue de couple semi-dirigée; 2. Analyse documentaire des outils institutionnels (notes au dossier et documents du CSSS, analyse de la structure et du contenu). La méthodologie Déroulement de l étude: 1. Approbations éthique; 2. Recrutement des parents par les intervenants; 3. Entrevues semi-dirigées avec 17 couples; 4. Analyse de la structure des 20 documents institutionnels; 5. Élaboration d un grille d analyse et validation comité d expert; 6. Analyse du contenu; 7. Transcription des entrevues sous forme de verbatim; 8. Analyse thématique du contenu des entrevues; 9. Croisement de l analyse documentaire et des entrevues. Résultats: Portrait des participants En moyenne Âge des pères: 34 ans Âge des mères: 32,2 ans Durée de l union: 5,7 ans Nombre d enfants : 2,3 Âge du plus jeune enfant: 9,5 mois Services utilisés (6 derniers mois): CLSC: 83 % (N : 15) Services hospitaliers reliés à la grossesse ou la naissance: 56 % (N : 10) Services d organismes communautaires: 61 % Services de protection de l enfance: 6 % (N : 1) Profils socio-économique variés 3

4 Les Résultats : Différents regards sur la place des pères Au sein de la relation conjugale Au sein de la relation avec les intervenants Au sein des services Un rôle paternel restreint Des pères accueillis Des services uniquement pour les mères Des besoins différents Des pères exclus La place des pères au sein de la relation conjugale: Un rôle paternel restreint Moi, j ai eu l impression que le père a été défini comme support à la mère. Je trouvais que pendant l accouchement, on lui disait essentiellement : «Sois le mur qui va prendre le tout, soit le support». Donc c était important qu il soit là (pendant les cours prénataux) pour recevoir les informations. (Mélanie) Préparer le couple à la naissance Ce qu elle s attend que je fasse Et moi, à quoi il faut je m attende, quand elle va accoucher Où est ma place là-dedans? Elle est où la limite à ne pas franchir, qu est-ce que je fais, puis qu est-ce que je ne fais pas (pour elle) (David). La place des pères au sein de la relation conjugale: Des besoins différents (Les mères) ont des préoccupations, c est elles qu on veut vraiment rassurer (dans les cours prénataux). On peut se permettre de poser des questions, mais si tous les gars posaient trop de questions, où est-ce que l intervenant prendrait le temps de rassurer les mères? Il n a pas de temps à perdre (le médecin). Tu le ressens. Tu ne veux pas lui faire perdre son temps. Et Lucie, vu ce qu elle vit, je veux qu il réponde à ses besoins à elle. Moi (Louis). En tant que mère ou que future mère, on a toujours du mal aussi à intégrer le père en lui disant : «Moi j aimerais bien que tu sois là» On sait qu il a des trucs à faire C est l intervenante elle-même qui doit démontrer et faire comprendre au père que ce serait vraiment bien qu il soit là (Camille). 4

5 La place des pères au sein de la relation avec les intervenants: Des pères accueillis Ben elle était juste hyper, hyper aimable. Vraiment gentille. Son énergie... Un beau sourire, super douce. Une petite voix calme. Elle n était pas agressante. (Théo) L ouverture, la disponibilité, la compréhension (de l intervenante). La moindre question, l intervenant sont aussi disponible pour te répondre. C est ce que je retiens. Si t es une famille, les intervenants sont là pour toute la famille (Charles). La place des pères au sein de la relation avec les intervenants: Des pères accueillis Des pères reconnus: (Dans les cours prénataux), on parle de ce que les gars vont vivre par rapport à la mère psychologiquement puis émotivement. Moi je pense que c est bon que la mère soit là pour entendre ce que le gars va vivre. (Pierre) Elle m expliquait ce qu elle faisait. Il y avait un dialogue qui était là. Je n étais pas juste là par parure. C est nous autres (les pères) qui déshabillent, qui rhabillent. Tu tiens son petit pied Ça me permettait de me sentir un peu plus utile aussi parce que sinon, t es là puis t attends. Ça ne dure pas longtemps, mais ce petit boutlà, j étais partie prenante de l histoire. Ça permet de dire, un coup qu il est né, on est aussi deux, tu sais (Adam). La place des pères au sein de la relation avec les intervenants: Des pères exclus Des pères transparents: Le père, ils ne le regardent pas Si tu ne leur poses pas de questions, ils ne te parleront pas. (Rémi) Moi, j y ai été pour le rendez-vous de mon garçon, puis c est moi qui étais là, puis j ai répété la même question ( ), puis c a été la même chose, c est comme s il y avait un mur entre nous deux (Hugo). 5

6 La place des pères au sein de la relation avec les intervenants: Des pères exclus Des pères sans vécu: Tu vas chez le médecin. C est plus pour la mère et c est normal. Sauf que tu poses quand même les questions générales du couple, sauf qu encore là, c est plus la mère qui est considérée, vu que c est elle qui est enceinte. On n est pas mis trop de côté, mais c est sûr qu ils ne posent pas de questions sur le père! (Xavier) Les intervenants n étaient pas là pour jouer au psychologue. Ils étaient là vraiment pour la mère. Ils ne m ont pas vraiment posé la question pour savoir comment que ça allait, comment je prenais ça. (Nicolas) La place des pères au sein des services: Des services périnataux uniquement pour les mères Les rencontres prénatales c est pour les mères. Ce n est pas pour les papas. Ils sont les bienvenus, mais elle ne parle pas pour les papas, là. Les papas ne sont pas visés dans ça, c est vraiment pour les mamans et les bébés. (Samuel). Les interventions m incluaient à 20 % environ C est bien moins que ça en réalité, parce que au fond c est moi qui posais des questions, mais eux ne sont pas venus à moi pour m en poser. S ils avaient des questions, c était plutôt pour les paperasses, les inscriptions c est tout (Charles). La place des pères au sein des services: Des services périnataux uniquement pour les mères Des environnements peu sensibles à la présence des pères: Pendant des années, les hommes se sont fait reprocher de ne pas être présents. Moi je suis présent, mais je me rends compte que le système n est pas fait pour ça. À l hôpital, les infirmières, les médecins, ils parlent à la mère. Tout est axé pour la mère, puis c est super parce que c est à elle qu il faut du soutien. Mais ça serait une bonne idée de concevoir que ça se peut que le père il veuille coucher dans la chambre après l accouchement, lui aussi. Peut-être que ça lui tente pas de retourner à maison. Il a envie d être là avec sa femme et son enfant. Ça serais tu faisable d avoir un lit pliant? (Pierre) 6

7 Discussion Ces résultats mettent en lumière la disparité de pratiques auxquels font face les pères pendant la période périnatale; Ils mettent en lumière le peu de mécanismes et de structures qui existent dans les établissements pour inciter les intervenants à porter attention aux pères; Malgré que les pères soient au centre des entrevues, peu de besoins ont été énumérés par ces derniers; La place occupée par les pères dans leur relation conjugale, au sein de leurs relations avec les intervenants ainsi qu au sein des services permet d entrevoir les besoins des pères. Discussion Le silence chez les pères quant à l expression de leur besoin s explique par certains facteurs : Pour de nombreux hommes, demander ou accepter du soutien est perçu comme un échec ou un acte d incompétence; Les mères, à ce moment de leur vie, sont peu disponibles pour réfléchir à la place des pères et à leurs besoins; Les intervenants, formés et incités par leur établissement à se centrer sur les mères et leurs besoins, transmettent cette préoccupation au père à travers leurs interventions; Les pères s intéressent davantage aux besoins de leur conjointe qu à leurs propres besoins. Discussion Les pères se retrouvent triplement isolés : Par les intervenants qui les considèrent uniquement comme une source de soutien pour la mère; Par leur conjointe qui n est pas disponible pour considérer leurs besoins; Par leur propre perception de la période périnatale, orientée vers la satisfaction des besoins de leur conjointe. 7

8 Discussion Très peu d éléments existent, sur la plan institutionnel, pour penser aux besoins des pères; Cette invisibilité des pères dans les outils institutionnels envoie le message que le père n est pas important ou qu il a une influence négative pour la famille; Cette image du père teinte les rapports entre les intervenants et les familles, au détriment des intervenants, des parents et des enfants; Il en résulte environnement où les pères se sentent tolérés, mais rarement accueillis. Conclusion Ces résultats mettent en lumière le besoin d espace et le besoin de reconnaissance des pères pendant la période périnatal. Ils appellent à: Différencier «faire de la place aux pères» et faire de la place à «l expérience vécue des pères» dans nos interventions auprès des pères; Créer un espace pour les pères, espace physique pour être présent, mais aussi, et surtout, un espace pour parler de leur expérience où on le reconnaitra comme un parent à part entière; Faire équipe autour des pères pour les accompagner et les soutenir à travers le développement de leur engagement auprès de leur enfant. Conclusion Cette analyse de besoins a amené l équipe à développer l Initiative Amis des pères au sein des familles (IAP): Mission: Promouvoir l engagement paternel précoce auprès des enfants, au sein des familles et des communautés, Soutenir l ensemble du réseau de la santé, des services sociaux et communautaires dans des actions novatrices et efficaces auprès des pères et de leur famille. Accompagner les intervenants et les organismes dans le développement d une sensibilité à l égard des pères et de pratiques la valorisation et le soutien à l engagement paternel. L IAP est présentement implantée dans 3 régions ( ; 7 CSSS; 300 intervenants CH-CLSC-CPE-CJ; 80 gestionnaires). 8

9 Merci! Christine Gervais, Inf. Ph. D. Professeur au département des sciences infirmières UQO Campus de St-Jérôme poste 4114 iap.uqo.ca 9

La contribution des pères au développement de leur enfant

La contribution des pères au développement de leur enfant Activité 1 La contribution des pères au développement de leur enfant Le père: Un rôle en évolution Théorie de l évolution Question de survie! Homme Animaux Christine Gervais, Ph. D., Professeur au département

Plus en détail

Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance

Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Colloque QuébecStrasbourg Octobre 2008 Présenté par Gilles Cantin, Ph.D. Département d éducation et pédagogie UQAM

Plus en détail

Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI

Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI La formation continue du Centre d Ouverture Psychologique Et Sociale (Copes) s adresse à tous les acteurs du champ médical, psychologique,

Plus en détail

MEILLEURS AMIS... PEUT-ÊTRE? Producent Gabriella Thinsz Sändningsdatum: 23/11 2004

MEILLEURS AMIS... PEUT-ÊTRE? Producent Gabriella Thinsz Sändningsdatum: 23/11 2004 MEILLEURS AMIS... PEUT-ÊTRE? Producent Gabriella Thinsz Sändningsdatum: 23/11 2004 Salut! Est-ce que tu as un bon copain? Un meilleur ami? Est-ce que tu peux parler avec lui ou avec elle de tout? Est-ce

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord

Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord CSSS La Pommeraie, Hôpital Brome Missisquoi Perkins certifié de l Initiative Ami des bébés 1999 Hôpital recertifié 2004 CLSC certifié 2005 CSSS certifié mai 2010 Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord

Plus en détail

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des

Plus en détail

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5) ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.

Plus en détail

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et

Plus en détail

Conférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»

Conférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Le guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque:

Le guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque: GUIDE D ENTREVUE TROUSSE DE SOUTIEN À L ÉVALUATION DU RISQUE D ALIÉNATION PARENTALE Véronique Lachance Marie-Hélène Gagné Ce guide d entrevue a été conçu pour vous aider à documenter les situations familiales

Plus en détail

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations. PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration

Plus en détail

JE CHLOÉ COLÈRE. PAS_GRAVE_INT4.indd 7 27/11/13 12:22

JE CHLOÉ COLÈRE. PAS_GRAVE_INT4.indd 7 27/11/13 12:22 JE CHLOÉ COLÈRE PAS_GRAVE_INT4.indd 7 27/11/13 12:22 Non, je ne l ouvrirai pas, cette porte! Je m en fiche de rater le bus. Je m en fiche du collège, des cours, de ma moyenne, des contrôles, de mon avenir!

Plus en détail

Dép. 75 «Enfant présent»

Dép. 75 «Enfant présent» Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs

Plus en détail

INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC

INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES INFIRMIÈRES DE L UQAC LE 6 MAI 2015 PLAN DE LA PRÉSENTATION Quel type de formation une IPSPL doit-elle suivre?

Plus en détail

SYSTEME D AMBIANCE LUMINEUSE: INTERÊT DANS LE SCANNER DE LA MERE ET DE L ENFANT. JFR 2008 Hôpital Robert Debré - Imagerie Pédiatrique

SYSTEME D AMBIANCE LUMINEUSE: INTERÊT DANS LE SCANNER DE LA MERE ET DE L ENFANT. JFR 2008 Hôpital Robert Debré - Imagerie Pédiatrique SYSTEME D AMBIANCE LUMINEUSE: INTERÊT DANS LE SCANNER DE LA MERE ET DE L ENFANT NOS PATIENTS Futures mamans : Pelvimétries au terme > 35 SA supportent mal le décubitus dorsal inquiètes Enfants : Nouveaux-

Plus en détail

Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine

Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne

Plus en détail

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009 L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial

Plus en détail

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6 Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.

Plus en détail

«Séniors et adaptation du logement»

«Séniors et adaptation du logement» «Séniors et adaptation du logement» APPROCHE QUALITATIVE & BENCH MARK Etude réalisée en dpt 37 et 71 SYNTHESE DE L ETUDE POUR LA PRESSE MARS 2015 15 rue de Bellefond, 75009 Paris // www.adjuvance.fr //

Plus en détail

REPRÉSENTANTS DE LA DIRECTION

REPRÉSENTANTS DE LA DIRECTION 1 er décembre 2010 Représentants de l IPFPC Lori Maillet, présidente régionale (PR) Marc DesRosiers, Services de santé mentale Rene Campbell, AR/communauté/pharmacien Amber MacCormick, Établissement de

Plus en détail

L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS

L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS Synthèse des résultats de l étude Hélène Provencher, PhD, Université Laval, Québec

Plus en détail

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme

Plus en détail

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke

Plus en détail

Protection individuelle

Protection individuelle Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86

Plus en détail

FOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS

FOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS FOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS 550, RUE SHERBROOKE OUEST MONTRÉAL (QUÉBEC) H3A 1B9 BUREAU 900 TOUR EST T 514 849-8086, POSTE 3064 Réflexions méthodologiques Depuis des années,

Plus en détail

Institut Informatique de gestion. Communication en situation de crise

Institut Informatique de gestion. Communication en situation de crise Institut Informatique de gestion Communication en situation de crise 1 Contexte Je ne suis pas un professionnel de la communication Méthode empirique, basée sur l(es) expérience(s) Je suis actif dans un

Plus en détail

Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide?

Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Soutien après le suicide d un jeune À la mémoire de Adam Cashen Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Si une personne de votre entourage

Plus en détail

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture

Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières Discours d ouverture Andrew J. Kriegler Président et chef de la direction Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 25

Plus en détail

Volume 1 Numéro 2 Février 2009

Volume 1 Numéro 2 Février 2009 Volume 1 Numéro 2 Février 2009 Sommaire Lancement du concours Je prends ma place...1 Lancement du concours Je prends ma place Entrevue avec Annie Patenaude, lauréate 2008...2 En collaboration avec le Secrétariat

Plus en détail

Les représentations sociales des juges et des experts concernant le meilleur intérêt de l enfant dont la garde est contestée

Les représentations sociales des juges et des experts concernant le meilleur intérêt de l enfant dont la garde est contestée Les représentations sociales des juges et des experts concernant le meilleur intérêt de l enfant dont la garde est contestée Elisabeth Godbout Doctorante en service social Université Laval Colloque Autour

Plus en détail

Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale

Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et

Plus en détail

Site Internet. Tapez «www.loisirsactifamille.com» dans la barre d adresse d Internet Explorer

Site Internet. Tapez «www.loisirsactifamille.com» dans la barre d adresse d Internet Explorer Site Internet Tapez «www.loisirsactifamille.com» dans la barre d adresse d Internet Explorer Inscriptions en ligne Vous voici maintenant sur le site d inscriptions. C est ici que vous pouvez voir toutes

Plus en détail

Site Internet. Tapez «www.loisirsactifamille.com» dans la barre d adresse d Internet Explorer

Site Internet. Tapez «www.loisirsactifamille.com» dans la barre d adresse d Internet Explorer Site Internet Tapez «www.loisirsactifamille.com» dans la barre d adresse d Internet Explorer Inscriptions en ligne Vous voici maintenant sur le site d inscriptions. C est ici que vous pouvez voir toutes

Plus en détail

Institut de FORMATION

Institut de FORMATION Institut de FORMATION plaquette.indd 1 28/11/2012 20:52:47 edito L INSTITUT DE FORMATION J.LEPERCQ Fondé en 1946, l institut de formation est un établissement situé dans le centre ville, à taille humaine

Plus en détail

Guide sur les VALEURS. Angélike et Delphine

Guide sur les VALEURS. Angélike et Delphine Guide sur les VALEURS Angélike et Delphine Ce guide sur les valeurs s adresse autant à notre clientèle qu au personnel du Centre de réadaptation en déficience physique (CRDP) et constitue le code d éthique

Plus en détail

LE RÉSEAU SOCIAL COURS PSY 1951B RELATIONS INTERPERSONNELLES (2004-05) LE RÉSEAU SOCIAL

LE RÉSEAU SOCIAL COURS PSY 1951B RELATIONS INTERPERSONNELLES (2004-05) LE RÉSEAU SOCIAL LE RÉSEAU SOCIAL COURS PSY 1951B RELATIONS INTERPERSONNELLES (2004-05) LE RÉSEAU SOCIAL Menu 1. Définitions 2 La mesure du réseau social a) la «cartographie» du réseau social b) les indices 3. L approche

Plus en détail

VAGINISME. Quelques pistes pour avancer?

VAGINISME. Quelques pistes pour avancer? VAGINISME Quelques pistes pour avancer? Vaginisme Pendant longtemps, pénétration vaginale quasi impossible car trop douloureuse : brûlures. Et même pas de nom pour ça. Un jour : un mot. VAGINISME. Vaginisme

Plus en détail

Projet clinique express

Projet clinique express d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée

Plus en détail

Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur

Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Jessica FRIPPIAT Psychologue clinicienne Service d Hémato-oncologie Unité de Psychologie Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola

Plus en détail

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Dr Denis BABORIER CH LONS-LE-SAUNIER 31 Août 2009 La géographie du projet ISYS Projet d informatisation du système de soins Franche-Comté EMOSIST-fc

Plus en détail

Aspects pratiques de la pédagogie Pikler

Aspects pratiques de la pédagogie Pikler Paola Biancardi Aspects pratiques de la pédagogie Pikler Le CVE de Grattapaille dans lequel je travaille comme directrice, se trouve dans les hauts de Lausanne et regroupe deux sites : la Nurserie Sous-Bois

Plus en détail

Le droit de préemption en matière immobilière

Le droit de préemption en matière immobilière Le droit de préemption en matière immobilière C est le truc le plus grave à louper. I Le preneur à bail rural C est surement le texte le plus ancien dans notre droit positif actuel. Cela date de 1945.

Plus en détail

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits

Plus en détail

La responsabilitié civile... vous connaissez?

La responsabilitié civile... vous connaissez? Fiche d activité FA La responsabilitié civile... vous connaissez? Lorsqu on parle d assurance habitation, le feu et le vol sont les deux sortes de sinistres qui viennent d abord à l esprit. Mais il y en

Plus en détail

La psychothérapie. Se poser les bonnes questions

La psychothérapie. Se poser les bonnes questions La psychothérapie Se poser les bonnes questions? LA PSYCHOTHÉRAPIE Au Québec, la psychothérapie est une activité réservée par la loi * depuis juin 2012, ce qui signifie que seules les personnes autorisées,

Plus en détail

Taux et montants des crédits d impôt fédéraux et provinciaux non remboursables pour 2015 1

Taux et montants des crédits d impôt fédéraux et provinciaux non remboursables pour 2015 1 non remboursables pour 2015 1 indépendants affiliés à KPMG non remboursables pour 2015 1 Voir les notes aux pages suivantes. Remb. = crédit remboursable (voir note correspondante). 6 / Fédéral C.-B. Alb.

Plus en détail

Etudes publics des stades Ligue 1 et Ligue 2. mars 2014

Etudes publics des stades Ligue 1 et Ligue 2. mars 2014 Etudes publics des stades Ligue 1 et Ligue 2 mars 2014 Objectifs Fournir aux 40 clubs des Outils personnalisés et sortir des études nationales inexploitables au niveau local Avoir une approche club à club

Plus en détail

L expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska

L expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Écrit par Jocelyn Théoret, directeur en gestion de l expérience client, Groupe-conseil en stratégie et performance de Raymond Chabot Grant Thornton, en collaboration avec

Plus en détail

S ickness Impact Profile (SIP)

S ickness Impact Profile (SIP) Nom : Prénom : Date de naissance : Service : Hôpital/Centre MPR : Examinateur : Date du jour : Étiquettes du patient S ickness Impact Profile (SIP) Il présente le même problème de droit d auteur (pour

Plus en détail

ARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR

ARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR ARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) ENTRE : SYNDICAT DES INFIRMIERS ET INFIRMIÈRES DU CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR ET : ET : CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR JULIENNE

Plus en détail

Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement.

Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement. Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement. Automne 2014 MOT DE BIENVENUE ET PRÉSENTATION DES FORMATRICES Réjeanne Bouchard Guylaine Cloutier

Plus en détail

SAINT JULIEN EN GENEVOIS

SAINT JULIEN EN GENEVOIS SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).

Plus en détail

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000

Plus en détail

L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique

L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique Vous trouverez ici notre guide d utilisation et d accompagnement pour l'aidant familial utilisant la tablette et nos jeux de

Plus en détail

Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.

Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke. Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche

Plus en détail

Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne

Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne CHAMPS D EXPERTISE Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne Hôpital Louis- H. Lafontaine Institut Universitaire en santé mentale Programme des troubles psychotiques - Clinique Sherbrooke 7401 Hochelaga

Plus en détail

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations

Plus en détail

Journal de bord «À Tout Petits Pas» Outil de communication quotidienne entre parents et éducatrices

Journal de bord «À Tout Petits Pas» Outil de communication quotidienne entre parents et éducatrices Journal de bord «À Tout Petits Pas» Outil de communication quotidienne entre parents et éducatrices Nom de l enfant : Milieu : En lien avec l outil de référence du développement des enfants «À Tout Petits

Plus en détail

Fonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1

Fonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1 Fonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1 Dans la prise en charge d adolescents en grande difficulté, de nombreuses personnes sont mobilisées autour

Plus en détail

GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS

GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)

Plus en détail

Intervention ADRHESS Qu est-ce qu une gestion informatisée du temps de travail réussie?

Intervention ADRHESS Qu est-ce qu une gestion informatisée du temps de travail réussie? Intervention ADRHESS Qu est-ce qu une gestion informatisée du temps de travail réussie? Qu est-ce qu une gestion informatisée du temps de travail réussie? Vanessa FAGE- MOREEL, DRH du CHU de Bordeaux et

Plus en détail

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements

Plus en détail

QUI EST LA MÈRE DE CET ENFANT QUI VIENT DE NAÎTRE? ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ ET ACCOUCHEMENT DE MÈRES PORTEUSES

QUI EST LA MÈRE DE CET ENFANT QUI VIENT DE NAÎTRE? ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ ET ACCOUCHEMENT DE MÈRES PORTEUSES M e Marie-Nancy Paquet QUI EST LA MÈRE DE CET ENFANT QUI VIENT DE NAÎTRE? ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ ET ACCOUCHEMENT DE MÈRES PORTEUSES Résumé : La question de la gestation pour autrui fait régulièrement

Plus en détail

ÉVALUATION ÉCONOMIQUE ET SANTÉ PUBLIQUE : TENDANCES ACTUELLES ET QUESTIONS ÉTHIQUES

ÉVALUATION ÉCONOMIQUE ET SANTÉ PUBLIQUE : TENDANCES ACTUELLES ET QUESTIONS ÉTHIQUES ÉVALUATION ÉCONOMIQUE ET SANTÉ PUBLIQUE : TENDANCES ACTUELLES ET QUESTIONS ÉTHIQUES BROUSSELLE, Astrid, Ph. D., Université de Sherbrooke BENHADJ, Lynda, Ph. D. (c), Université de Sherbrooke BENMARHNIA,

Plus en détail

Petite Enfance. Livret accueil

Petite Enfance. Livret accueil 1 Petite Enfance Livret accueil Les préinscriptions Les préinscriptions à la crèche des rives, à la crèche des Ferrayonnes et à la crèche familiale se font tout au long de l année. Les femmes enceintes

Plus en détail

Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire

Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire Observatoire de la Microfinance Novembre 2011 Hay Chabab, Rue Baamrani Ain Sebaa Casablanca-Maroc Tel +212 522 739 089/ +212 522 739 124 Fax +212

Plus en détail

Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008

Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 1 Sommaire Enquête sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France...3 Les durées

Plus en détail

La vie après le. Baccalauréat en psychologie

La vie après le. Baccalauréat en psychologie La vie après le Baccalauréat en psychologie Version 2012 C est une initiative étudiante qui est à la base du projet de production d un tel document. En effet, c est le Groupe Orientation Conseils formé

Plus en détail

Parent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille.

Parent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Parent avant tout Parent malgré tout Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Edition: Addiction Suisse, Lausanne 2012 Que vous soyez directement concerné-e ou que

Plus en détail

Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose

Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Le «blues du post-partum» est FRÉQUENT chez les nouvelles mères. Quatre mères sur cinq auront le blues du post-partum. LE «BLUES DU POST-PARTUM» La

Plus en détail

Campus et hygiène de vie

Campus et hygiène de vie SEMINAIRE DE SENSIBILISATION Compte-rendu d atelier Campus et hygiène de vie Publié le 15/06/2015 Page 2 6 Introduction Qu est-ce que l hygiène de vie? Comment faire un retour d expérience utile? Comment

Plus en détail

VOS PRÉOCCUPATIONS? VOTRE ÉDUCATION LES NÔTRES? VOTRE SANTÉ ET VOTRE SÉCURITÉ

VOS PRÉOCCUPATIONS? VOTRE ÉDUCATION LES NÔTRES? VOTRE SANTÉ ET VOTRE SÉCURITÉ VOS PRÉOCCUPATIONS? VOTRE ÉDUCATION LES NÔTRES? VOTRE SANTÉ ET VOTRE SÉCURITÉ RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DU REMDUS CONTRAT NUMÉRO Q707 En vigueur depuis le 1 er septembre 2007 Document mis à jour le

Plus en détail

Connaissance et observance de la rééducation périnéale en grossesse

Connaissance et observance de la rééducation périnéale en grossesse Faculté de médecine Université de Montréal Connaissance et observance de la rééducation périnéale en grossesse Fanny Parent Résidente 1, médecine familiale HMR Projet d érudition 30 mai 2014 Introduction

Plus en détail

Information aux patients et à leurs proches. Espace médiation. Lieu d écoute et de dialogue pour les patients et leurs proches

Information aux patients et à leurs proches. Espace médiation. Lieu d écoute et de dialogue pour les patients et leurs proches Information aux patients et à leurs proches Espace médiation Lieu d écoute et de dialogue pour les patients et leurs proches Quand solliciter l espace médiation? Vous rencontrez un problème à l hôpital

Plus en détail

Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté

Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté Chapitre 7 Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté Il y a en moi un désir profond d avoir une relation longue et pleine de sens avec quelqu un, mais cela me fait peur, parce que si vous

Plus en détail

Trait et ligne. La ligne avance, Elle indique une direction, Elle déroule une histoire, Le haut ou le bas, la gauche et la droite Une évolution.

Trait et ligne. La ligne avance, Elle indique une direction, Elle déroule une histoire, Le haut ou le bas, la gauche et la droite Une évolution. Trait et ligne I La ligne me fascine. Le trait qui relie ou qui sépare Qui déchire le néant et marque une trace Qui me fait entrer dans l univers des signes. La ligne avance, Elle indique une direction,

Plus en détail

ENTREVUE D EMBAUCHE : COMMENT S Y PRÉPARER?

ENTREVUE D EMBAUCHE : COMMENT S Y PRÉPARER? ENTREVUE D EMBAUCHE : COMMENT S Y PRÉPARER? 1 PRÉPARATION GÉNÉRALE : Bien connaître son C.V. et en amener des copies supplémentaires (si plusieurs employeurs ou si celui-ci l a perdu). Ne pas plier son

Plus en détail

L ENTRETIEN de Recherche

L ENTRETIEN de Recherche L ENTRETIEN de Recherche I. UTILISATION DE L ENTRETIEN DE RECHERCHE I.1. L entretien Exploratoire I.1.A. Caractéristiques Techniques Des Entretiens Exploratoires I.1.B. Fonctions De L entretien Exploratoire

Plus en détail

Gestion éthique des banques de recherche

Gestion éthique des banques de recherche Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes

Plus en détail

ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B.

ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B. ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B. Dates importantes 13 janvier: Réunion de l APÉ (19h, bibliothèque de l école) 14, 21, 28 janvier: Dîners chauds 14, 28 janvier: Bouts de choux

Plus en détail

DEC-BAC Dossier sur les nouveaux modèles de formation développés au Collège Édouard-Montpetit en collaboration avec ses partenaires universitaires

DEC-BAC Dossier sur les nouveaux modèles de formation développés au Collège Édouard-Montpetit en collaboration avec ses partenaires universitaires DEC-BAC Dossier sur les nouveaux modèles de formation développés au Collège Édouard-Montpetit en collaboration avec ses partenaires universitaires Tél : (450) 679-2631, poste 2415 1 Mise à jour : 2 septembre

Plus en détail

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi [TRADUCTION] Citation : A. D. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 5 ENTRE : A. D. N o d appel : GE-13-1152 Appelant et Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION

Plus en détail

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute

Plus en détail

FRAIS DE VOYAGE ET DE DÉPLACEMENT

FRAIS DE VOYAGE ET DE DÉPLACEMENT Vice-décanat à la recherche École des sciences de la gestion Université du Québec à Montréal Nous vous présentons ici un résumé du fichier «Directives SF 2 Frais de voyage et déplacement» que vous pouvez

Plus en détail

Repérage de la perte d autonomie

Repérage de la perte d autonomie Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour

Plus en détail

PAR VOTRE MEDECIN! «FUN», LES CIGARETTES RECOMMANDÉES NOUVELLE PERCÉE MÉDICALE!

PAR VOTRE MEDECIN! «FUN», LES CIGARETTES RECOMMANDÉES NOUVELLE PERCÉE MÉDICALE! «FUN», LES CIGARETTES RECOMMANDÉES PAR VOTRE MEDECIN! OUAH, DOC! JE ME SENS DÉJÀ MIEUX! C EST parce QUE FUN utilise le MEILleur DES TAbacs!! NOUVELLE PERCÉE MÉDICALE! VÉRIDIQUE! On a découvert que les

Plus en détail

DEPARTEMENT DE SANTE COMMUNAUTAIRE MAISONNEUVE-ROSEMONT GROSSESSE CHEZ LES ADOLESCENTES ELABORATION D'UN PROGRAMME

DEPARTEMENT DE SANTE COMMUNAUTAIRE MAISONNEUVE-ROSEMONT GROSSESSE CHEZ LES ADOLESCENTES ELABORATION D'UN PROGRAMME DEPARTEMENT DE SANTE COMMUNAUTAIRE MAISONNEUVE-ROSEMONT GROSSESSE CHEZ LES ADOLESCENTES ELABORATION D'UN PROGRAMME PAR: GINETTE DUROCHER 22 JUILLET 1986 INSTITUT NATIONAL OE StfTt PlBtlQlI DU QUÉBEC CENTRE

Plus en détail

Algorithmique et structures de données I

Algorithmique et structures de données I Algorithmique et structures de données I Riadh Ben Messaoud Université 7 novembre à Carthage Faculté des Sciences Économiques et de Gestion de Nabeul 1ère année Licence Fondamentale IAG 1ère année Licence

Plus en détail

Santé et relations humaines au travail Sommes-nous prêts à être plus performants?

Santé et relations humaines au travail Sommes-nous prêts à être plus performants? Santé et relations humaines au Sommes-nous prêts à être plus performants? Principaux enseignements de l enquête Mesure Management Santé chez les entrepreneurs de CroissancePlus Les traits d'identité constitutifs

Plus en détail

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens

Plus en détail

PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT

PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT Guide Pratique Protection de l enfance PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT grandir parents respecter prévenir devoirs écouter mieux-être protéger PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE

Plus en détail

le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé.

le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé. L association plaisirs de l eau vous présente le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé. http://plaisir-de-leau.wifeo.com 27/09/14 Plaisirs de l eau livret bébé nageur 1 BIENVENUE à l association

Plus en détail

6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin

6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin 6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin Des lunettes pour ceux qui en ont besoin De nombreuses personnes dans le monde sont atteintes d erreurs de réfraction. Cela signifie que leurs yeux ne voient pas

Plus en détail

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de

Plus en détail

Les enfants malentendants ont besoin d aide très tôt

Les enfants malentendants ont besoin d aide très tôt 13 CHAPITRE 2 Les enfants malentendants ont besoin d aide très tôt Pendant les premières années de leur vie, tous les enfants, y compris les enfants malentendants, apprennent rapidement et facilement les

Plus en détail