Viticulture CONTRE LA FLAVESCENCE DOREE POUR UNE DIMINUTION DES INTRANTS PHYTOSANITAIRES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Viticulture CONTRE LA FLAVESCENCE DOREE POUR UNE DIMINUTION DES INTRANTS PHYTOSANITAIRES"

Transcription

1 par Marie Catherine DUFOUR (1), Carine GARCIA (2), Antoine VRPY (3), Maarten VAN HLDN (4) (1) Chambre d Agriculture de la Gironde 17, cours Xavier Arnozan Bordeaux cedex (2) SRPV Aquitaine 51, rue Kiéser Bordeaux cedex (3) GDON du Libournais Conseil des vins de St-Émilion 14, rue Guadet - BP Saint-Émilion (4) UMR Santé Végétale INRA-NITA 71, avenue Édouard Bourleaux, BP Villenave d'ornon cedex INTRODUCTION Depuis 1955, date de la première épidémie de flavescence dorée en France (LVADOU, 1955), cette jaunisse de la vigne n a cessé de progresser. lle s est étendue en Midi Pyrénées, en Aquitaine et en Charentes dans les années n 1994, les deux premiers foyers sont apparus dans le vignoble girondin. n 2006, 2 foyers de flavescence dorée (FD) ont été découverts sur 2 communes proches de Saint-milion : Lussac et Montagne. Conformément à l arrêté préfectoral en vigueur en Gironde, les 20 communes concernées par ces foyers sont donc entrées dans le périmètre de lutte obligatoire (PLO) dès FLAVSCNC DOR T BOIS NOIR ONT LS MMS SYMPTOMS La flavescence dorée et le bois noir (BN) sont des jaunisses de la vigne dont les symptômes sont identiques (Boudon Padieu. et al., 2000) : - sur feuilles : enroulement et décoloration (rougissement ou jaunissement) délimitée aux nervures primaires et secondaires, évoluant vers des nécroses. - sur rameaux : non aoûtement - sur grappes : flétrissement des grappes et des vrilles. Ils apparaissent à la fin de l été. L intensité de leur expression varie selon le cépage. Tous les cépages sont sensibles et certains très sensibles, à l'exception de la syrah, très rarement observée malade (Groupe de Travail national flavescence dorée, Jaunisses à phytoplasme de la vigne). Par ailleurs, un seul rameau par cep peut présenter les symptômes. Tous les rameaux n expriment pas immédiatement la maladie. LA FLAVSCNC DOR ST UN MALADI D LUTT COLLCTIV OBLIGATOIR Pour les deux maladies, l agent infectieux est un phytoplasme (CAUDWLL et al., 1971 et FOS et al., 1992), sorte de petite bactérie sans paroi. Sa transmission se fait soit par un vecteur infecté qui vient se nourrir sur la vigne, soit par le matériel végétal. Dans le cas de la FD, le vecteur est une cicadelle, Scaphoideus titanus, inféodée à la vigne. La transmission de la maladie ne se fait que de vigne à vigne. Son développement est donc épidémique. Les foyers de maladie s élargissent de proche en proche autour du cep initial. L accroissement du nombre de ceps est très rapide (x10 par an). Après inoculation, le délai d expression est habituellement d 1 an. C est pour ces raisons que la FD est une maladie de quarantaine, au niveau européen et une maladie de lutte collective obligatoire au niveau national. Le vecteur du BN est un fulgore : Hyalesthes obsoletus. La transmission du BN se fait uniquement d une plante herbacée à une autre ou à une vigne qui est alors un «cul de sac». Les ceps atteints sont souvent isolés en bordure des parcelles. Il n y a pas de progression annuelle importante. Le délai d expression des symptômes est de 1 an ou plus. Le BN n est pas une maladie de quarantaine. Il n y a pas de lutte obligatoire contre son vecteur car il n est pas inféodé à la vigne, ce qui rend la lutte insecticide difficile. Cependant, la similitude de ses symptômes avec ceux de la FD, ainsi que l augmentation de sa fréquence dans les parcelles, rendent la présence de cette maladie préoccupante. L arrachage des ceps atteints de BN est donc obligatoire dans les PLO par arrêté préfectoral depuis Photo 1 : Symptômes sur cépage blanc Photo 2 : Symptômes sur cépage rouge MC. DUFOUR, C. GARCIA, A. VRPY, M. VAN HLDN Page 1

2 LA DIMINUTION DU NOMBR D TRAITMNTS ST BAS SUR DS RSULTATS XPRIMNTAUX La vitesse de propagation de la flavescence dorée dépend de 2 paramètres : - le niveau d inoculum (nombre et importance des foyers) - le niveau de population de l insecte vecteur. La lutte contre cette maladie est donc basée sur le respect de mesures prophylactiques (prospection et arrachage des pieds malades) et sur la lutte insecticide contre la cicadelle de la flavescence dorée. Depuis 2000, les services de la protection des Végétaux réalisent des expérimentations afin d évaluer le risque de la diminution du nombre de traitements insecticides de 3 à 2 ou 1. Photo 3 : Scaphoideus titanus larve (stade 4) Photo 4 : Scaphoideus titanus adulte Le scénario classique de lutte contre la flavescence dorée consiste à raisonner à la commune. Lorsqu une commune est déclarée contaminée (découverte d au moins un cep de vigne qui, après analyse de laboratoire, est atteint de la flavescence dorée de la vigne), la commune, ainsi que toutes les communes limitrophes entrent dans un périmètre de lutte obligatoire (voir schéma 1 pour le cas du Libournais). n 2007, dans le périmètre de lutte obligatoire (PLO), la stratégie était la suivante : - 3 traitements sur la commune contaminée dans le cas d un foyer supérieur à 15 pieds de vigne, 2 si le foyer est inférieur à 15 ceps ; - 2 traitements sur toutes les communes limitrophes aux communes contaminées. ANNX 1 : SCHMA 1, STRATGI D LUTT La région de Saint-milion est très viticole. Les 20 communes limitrophes de Lussac et de Montagne représentent hectares de vigne et plus de propriétés viticoles. Selon le scénario classique de lutte contre la flavescence dorée, en 2007, une lutte contre le vecteur par application d insecticides devient obligatoire : 3 traitements dans la commune foyer et 2 traitements dans les communes limitrophes. Cette décision engendre donc une augmentation importante de l utilisation des insecticides sur la zone. Motivés par la volonté de préserver leur vignoble de la maladie tout en limitant l emploi de pesticides, les viticulteurs ont réagi. L alliance des syndicats d appellations viticoles du grand Saint-milion, de Pomerol, de Lalande, de Côtes de Francs, de Côtes de Castillon et Bordeaux a donné naissance au Groupement de Défense contre les Organismes Nuisible du Libournais (GDON). Placé sous le contrôle de la Protection des Végétaux, il permet aux viticulteurs d organiser la lutte contre la FD dans la zone, en collaboration avec la DRAF / SRPV. Les objectifs du GDON du Libournais sont les suivants : faire sortir au plus vite les communes du PLO, contrôler la maladie avec un nombre limité de traitements et développer une stratégie de long terme pour assurer une gestion durable du problème. Dès 2007 cette association pilote donc un protocole innovant de lutte contre la flavescence dorée, en partenariat avec l ensemble des organismes techniques viticoles de Gironde (FRDON/CIVB/Chambre d Agriculture/INAO/UMR Santé Végétale INRA/NITA, etc.). Graphique 1 : fficacité d une stratégie à un seul traitement larvicide sur cicadelle de la flavescence dorée par rapport à l efficacité d une stratégie à 2 traitements larvicides dans 4 sites d essai (SRPV, ) Les essais réalisés sur Scaphoideus titanus avec des produits à base de Lambda cyhalothrine et de Chlorpyriphos-ethyl (cf. Graphique 1) permettent d obtenir une mortalité des cicadelles proche de 100 %. Un allègement de la lutte en éliminant le traitement intermédiaire est donc possible. Cependant, le passage à 2 traitements nécessite une bonne connaissance du vignoble pour ne réaliser ce type de stratégie que lorsque le nombre de pieds atteints par la flavescence dorée est faible. Par ailleurs, une expérimentation pour évaluer l intérêt du piégeage de cicadelles adultes a été mise en place dès 2004 par l NITA, en collaboration avec le SRPV, sur la commune de Léognan. L objectif des pièges était de vérifier l efficacité du premier traitement larvicide, de connaître la population de Scaphoideus adultes et d évaluer si les populations de cicadelles se déplacent sur de longues distances. L expérimentation a permis de constater en 2005 que les adultes étaient inexistants (tout au plus 1 ou 2 individus sur 75 pièges). Les comptages ont démarré mi-juillet pour se terminer fin septembre. Aucun grand déplacement d insectes n a été observé et les zones traitées au stade larvaire n avaient pratiquement pas d adultes. Des expérimentations du même type ont été réalisées dans d autres régions françaises avec des résultats similaires. L ensemble de ces résultats a permis d envisager un allégement de la lutte insecticide en la réduisant à 1 seul traitement larvaire dans les zones peu contaminées (sur lesquelles il y a eu une prospection efficace et un piégeage de cicadelles adultes). MC. DUFOUR, C. GARCIA, A. VRPY, M. VAN HLDN Page 2

3 UN STRATGI ZONAL SUR L SCTUR DU LIBOURNAIS L ensemble de ces résultats expérimentaux a permis au GDON du Libournais, en collaboration avec le SRPV d Aquitaine, de mettre en place un dispositif expérimental sur les 20 communes concernées. Tout d abord, les zones de traitements ne sont pas caractérisées en fonction des limites des communes. La définition du nombre de traitements obligatoires repose sur la règle suivante : plus une parcelle est éloignée du foyer, moins elle est soumise au risque de contamination. Il est donc possible de supprimer un ou plusieurs traitements larvicides dans certaines zones du PLO. Un zonage (cf. Schéma 1) est mis en place en fonction de la distance de chaque parcelle par rapport aux 2 parcelles foyers. Dans chaque zone concentrique, le nombre de traitements est raisonné en fonction de la contamination primaire. On aboutit ainsi à plusieurs zones concentriques autour des foyers de 0 à 500 m, de 500 à m, de à m et à plus de 4000 m (cf. Schéma 1) qui possèdent leurs propres modalités de traitements (cf. Tableau 1). Dans ce protocole, on peut donc se situer sur une commune contaminée sans avoir d obligation de traitement. Dans cette stratégie zonale la réduction de traitement est double : à la fois sur larves et sur adultes (selon résultats piégeages). Le nombre de pièges servant au suivi des cicadelles est propre à chaque zone (cf. tableau 1). Le réseau se densifie à l approche des foyers. Il est constitué de 162 pièges au total en zones de traitements obligatoires (hors zone ). Si le nombre d insectes capturés dépasse le seuil de 3 insectes par parcelle et par semaine, le traitement insecticide sur adultes est déclenché. La décision de traitement est gérée individuellement pour chaque zone. Commues contaminées concernées LUSSAC MONTAGN Distance du foyer en mètres 0 à à à > à à > Zones A C(L) D B C(M) Nombre d insecticides obligatoires sur larves Nombre d insecticides obligatoires sur adultes 1 1/0* 1/0* 0 1/0* 1/0* 0 Densité de pièges par hectare 1/5 1/20 1/40 1/50 1/5 1/20 1/50 Tableau 1 : Modalités de traitement en fonction du zonage Schéma 1 : zonage 2007 du PLO sur les communes chelle 1 : environ Surface viticole totale : Ha Sans GDON Protocole GDON du Libournais N Lussac Montagne St milion D A C(L) B C(M) Schéma 2 : Comparaison de la stratégie classique et de la stratégie expérimentale sur les communes du GDON du Libournais ha développés traités 8260 ha développés traités Photo 5 : 1 piège jaune tri- nglué, crédit photo : NITAB 3 traitements obligatoires 2 traitements obligatoires 1 traitement obligatoire Aucun traitement obligatoire Communes prospectées hors PLO Schéma 3 : réseau de pièges sur les 20 communes du GDON du Libournais Les ha de vignes ont été prospectés en un peu moins de 5 semaines. Le besoin de main-d oeuvre estimé était de 50 personnes sur le terrain (soit 5 équipes de 10) pendant 1 mois. Chaque équipe était constituée de 8 marcheurs, d un chef d équipe et d un technicien viticole spécialiste formé par la FRDON. Les marcheurs devaient parcourir les rangs de vigne selon les directives du chef d équipe (2 rangs sur 2 pour les cépages blancs, 2 rangs sur 4 dans les zones A, B, CM, CL, 2 rangs sur 8 dans les zones D,, hors PLO). Ils posaient un marquant lorsqu ils localisaient un pied suspect et se signalaient au chef d équipe. Le chef d équipe avait pour mission une première vérification du diagnostic des marcheurs. Il était en relation constante avec le technicien spécialiste. Ce dernier avait en charge la vérification finale des pieds repérés, la prise d échantillons et le repérage du cep prélevé. Ce repérage est double : peinture du pied et du piquet d entrée de rang pour le viticulteur et prise de position GPS. Pour limiter le travail de laboratoire, les pieds suspects proches ont été regroupés au sein du même échantillon lors des analyses. Les échantillons ont été analysés par le GRIPS Aquitaine. Les pieds suspects ont été prélevés dans la limite maximale de 5 ceps / parcelle. n parallèle, des comptages de larves ont été réalisés dans les zones A et B (celles les plus proches des foyers) et 162 pièges ont été observés de début juillet jusqu à mi-août pour évaluer la population d adultes. MC. DUFOUR, C. GARCIA, A. VRPY, M. VAN HLDN Page 3

4 L BOIS NOIR ST OMNIPRSNT pieds ont été repérés avec des symptômes de jaunisses. Après regroupements des souches d une même parcelle, analyses ont été réalisées. (Cf. résultats Tableau 2). 2 échantillons (constitués respectivement de 2 et 3 pieds) se sont relevés positifs FD. Ces pieds sont situés assez loin des zones foyers 2006 et constituent 2 nouveaux foyers à prendre en compte à partir de Il n existe a priori aucune corrélation entre ces foyers et ceux découverts en 2006 (distance géographique très importante). La prospection réalisée montre qu il s agit de foyers isolés de faible ampleur. L absence de pieds positifs sur les anciens foyers 2006 est surprenante. Des larves de S. titanus ont été observées sur ces parcelles avant les premiers traitements. On peut émettre l hypothèse selon laquelle les foyers de FD étaient trop restreints pour se développer. Il est également possible que la maladie apparaisse sur les parcelles à partir de 2008 (retard d expression des symptômes). Dans tous les cas, la surveillance des foyers 2006 doit continuer en Le bois noir s est avérée omniprésent. Notre protocole a permis de localiser pieds sur ha mais il en existe probablement d autres, non prélevés, ou qui ont pu échapper à notre prospection. Cette infestation rend la recherche de foyers de FD complexe. Le géo-référencement des pieds atteints de BN permettra de croiser ces données avec les itinéraires culturaux des parcelles (ou avec une analyse paysagère) afin de progresser dans la connaissance de cette maladie. Les comptages de larves de Scaphoideus titanus, réalisés sur les parcelles des zones A et B, mettent bien en évidence la présence de la cicadelle, au stade larvaire, sur les 2 zones (Cf. Tableau 3). n revanche, pour la surveillance du vol des adultes, seuls 5 pièges ont dépassé le seuil fixé par le SRPV. Les zones B et C(M) ont ainsi fait l objet d un traitement obligatoire contre les cicadelles adultes. Des pièges ont également été placés en zone (hors traitement obligatoire). Plus de la moitié des pièges a capté des cicadelles au-delà du seuil de décision, démontrant la présence importante de l insecte dans les zones non traitées. Les modalités de traitements finales sont précisées dans le Tableau 4. Le nombre de traitements obligatoires FD, exprimé en «ha développés» est de en 2007 sur le PLO. n absence d aménagement de la lutte, ce chiffre s élèverait à ha développés. Le protocole a donc permis une réduction de 63 % des insecticides obligatoires FD, tout en assurant le contrôle total du vecteur. Sur la majorité des surfaces du PLO, 1 seul traitement larvicide a permis de supprimer totalement le vol de S. titanus adulte. Ce résultat démontre à lui seul la pertinence d actions collectives pour réduire les intrants phytosanitaires. DIMINUTION D 60 % DS SURFACS N PROSPCTION OBLIGATOIR N 1 AN Il convient cependant de conserver un regard critique sur ce protocole : la pertinence de cette nouvelle méthode de lutte ne peut être estimée en une seule année. De plus, l expérimentation se base sur des foyers de FD de faibles ampleurs. Rien n indique pour l instant qu elle soit transférable dans des situations où la pression FD est très forte. Toutefois, les résultats 2007 sont très satisfaisants sur la zone. Dès la première année, la réduction des applications d insecticide est très importante par rapport au protocole classique, avec une excellente maîtrise du vecteur. Ce résultat justifie très largement le faible investissement financier du piégeage. De nombreuses communes (35 en Gironde en 2007) pouvaient prétendre à un aménagement de la lutte grâce à la mise en place d un réseau de pièges. Notre projet démontre l efficacité de ces actions, malheureusement encore rarement mises en œuvre. n effet, seulement 2 communes sur 35 ont effectivement choisi l aménagement par le piégeage en Le SRPV espère que, pour 2008, toutes les communes qui se verront proposer le piégeage opteront pour cette solution avantageuse. La prospection sur de telles surfaces est coûteuse car elle demande une main-d œuvre importante. lle va cependant permettre de diminuer le PLO de ha à environ ha en 2008, autorisant ainsi l arrêt des traitements obligatoires pour une grande partie des communes ayant pris part à l action Ceci représente des économies financières et environnementales importantes. Cette prospection n a été possible que grâce à la collaboration de l INAO pour le cadastre viticole et du CIVB qui a mis à disposition du GDON le SIG (Système d information Géographique) du vignoble du Libournais. Par ailleurs, il est indispensable de géoréférencer les parcelles prospectées afin de sécuriser la prospection et de pouvoir revenir sur les pieds avec symptômes, notamment pour les parcelles dans lesquelles il y avait plus de 5 pieds avec symptômes et pour lesquelles tous les ceps n ont pas été prélevés. L expérimentation va se poursuivre en 2008 sur une surface plus restreinte. lle pourra être transférée sur d autres zones selon un cahier des charges à définir et à faire valider par le SRPV. L action portée par les syndicats du Libournais démontre l intérêt de luttes collectives dans la surveillance du territoire et dans la limitation des intrants. Cette expérience a aussi permis de tester la faisabilité, les contraintes et les coûts d une telle action. n 2007, le coût de l expérimentation se chiffre à 26 euros / ha, dont la majeure partie est liée à l activité de prospection. De nombreux partenaires financiers ont soutenu la réalisation du projet : le CIVB, le Conseil Général de la Gironde, la DRAF / SRPV, la MSA, les Fonds de Formation, le Crédit Agricole et l Agence de l eau. (Si vous souhaitez avoir plus de détails sur cette action, vous pouvez contacter l animateur du GDON, Antoine VRPY à l adresse électronique suivante : gdoncfd@yahoo.fr). Diagnostic FD BN Négatifs Inconnus Total Nombre de ceps Tableau 2 : Résultats des tests de dépistage des jaunisses MC. DUFOUR, C. GARCIA, A. VRPY, M. VAN HLDN Page 4

5 Zone A : 15 parcelles Zone B : 15 parcelles Nombre de parcelles saines 7 1 Nombre de parcelles «traces» 4 3 Nombre de parcelles «population» 4 11 Remarques 2 parcelles abandonnées Tableau 3 : Résultats des comptages de larves avant traitement Comptages réalisés le 31 mai et 4 juin 2007 sur 100 feuilles environ, avec sélection des feuilles Traces : moins de 5 cicadelles de la flavescence dorée trouvées Population : plus de 5 cicadelles de la flavescence dorée (entre 15 et 25 cicadelles dans la majeure partie des parcelles). Zones A B C(M) C(L) D Nombre de traitements larvicides obligatoires Nombre de traitements adulticides obligatoires Tableau 4 : Modalités de traitements appliquées en 2007 BIBLIOGRAPHI 1. BOUDON PADIU., RID M., WALTR B., Les maladies à virus, bactéries et phytoplasmes de la vigne. d. Féret. 2. CAUDWLL A., GIANOTTI J., KUSZALA C., «tude du rôle de particules de type «Mycoplasme» dans l étiologie de l étude de la flavescence dorée de la vigne. xamen cytologique des plantes malades et des cicadelles infectieuses». Ann. Phytopathol., 3(1) : FOS A., DANT J. L., ZRIK L., GARNIR M., BOV J. M., «Use of monoclonal antibody to detect the stolbur mycoplasmalike organims in plants and insects and to identify a vector in France». Plant Dis., 76 : LVADOUX L., «L état sanitaire et la sélection du Baco 22A». Agriculture, Paris, 18 (172) : Groupe de Travail national flavescence dorée, Jaunisses à phytoplasme de la vigne Qu est-ce qu un GDON, quel est son rôle? Un GDON est un groupement communal ou intercommunal de défense contre les organismes nuisibles, il est défini par le Code Rural (chapitre II, article L252). Toutes les personnes intéressées par la lutte contre les organismes nuisibles concernés peuvent y adhérer. Le GDON doit : - Se conformer aux méthodes de lutte préconisées par le service de la protection des végétaux ; - Accepter le contrôle permanent du ministère de l'agriculture, - Adhérer à une fédération départementale agréée par le ministre chargé de l'agriculture. Les GDON sont chargés d'assurer, sous le contrôle des services agricoles départementaux, l'exécution des mesures prescrites en la matière par les arrêtés ministériels ou préfectoraux ; de généraliser et de synchroniser les traitements préventifs et curatifs nécessaires au maintien du bon état sanitaire des cultures, et à cet effet, notamment, de diffuser les indications fournies par les stations régionales d'avertissement ; de signaler au directeur départemental de l'agriculture et de la forêt l'apparition de tout nouvel organisme nuisible ou le développement inaccoutumé des organismes nuisibles dont la présence est normalement constatée sur leur territoire ; d'exécuter, soit à la demande du service de la protection des végétaux, soit à la demande des particuliers, les traitements insecticides et anticryptogamiques. MC. DUFOUR, C. GARCIA, A. VRPY, M. VAN HLDN Page 5

6 ANNX MC. DUFOUR, C. GARCIA, A. VRPY, M. VAN HLDN Page 6

Quels sont les intérêts de cette démarche environnementale collective?

Quels sont les intérêts de cette démarche environnementale collective? Après le bilan carbone, établi en 2008, et le Plan Climat «Vins de Bordeaux 2020», en 2009, le CIVB a initié début 2010 un chantier innovant permettant à l ensemble des professionnels du vignoble bordelais

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

La gestion de la Flavescence dorée en viticulture biologique

La gestion de la Flavescence dorée en viticulture biologique La gestion de la Flavescence dorée en viticulture biologique Mai 2014 Document rédigé par Nicolas Constant Josquin Lernould dans le cadre de leur mission d animation du sous-groupe «Flavescence dorée»

Plus en détail

L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour

L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications

Plus en détail

Bilan Carbone des interventions viticoles

Bilan Carbone des interventions viticoles Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr

Plus en détail

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du

Plus en détail

PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE

PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE DIRECTION REGIONALE DE L ALIMENTATION DE L AGRICULTURE & DE LA FORET Service Régional de la Forêt & du Bois Arrêté du 13 août 2009 conditions de financement par des aides

Plus en détail

Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis

Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora

Plus en détail

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure : OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques

Plus en détail

LA PRODUCTION DE MES VIGNES EST-ELLE COUVERTE EN CAS D INTEMPERIES?

LA PRODUCTION DE MES VIGNES EST-ELLE COUVERTE EN CAS D INTEMPERIES? LA PRODUCTION DE MES VIGNES EST-ELLE COUVERTE EN CAS D INTEMPERIES? Il existe plusieurs dispositifs publics et privés pour indemniser voire réduire l impact financier d un aléa climatique qui détruit en

Plus en détail

Surveillance Biologique du Territoire

Surveillance Biologique du Territoire Surveillance Biologique du Territoire Gaillac Bilan de campagne 2014 3 novembre 2014 Title:BSV.eps Title:ecophyto.eps Creator:Adobe Illustrator(R) 15.1 Creator:Adobe Illustrator(R) 15.1 CreationDate:15/10/12

Plus en détail

Ce qu'il faut retenir

Ce qu'il faut retenir N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis

Plus en détail

Grandes cultures n 15 du 10 mars 2015

Grandes cultures n 15 du 10 mars 2015 1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec

Plus en détail

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

On the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun

On the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Agreste Aquitaine. Analyses et résultats

Agreste Aquitaine. Analyses et résultats Analyses et résultats Numéro 84 - mai 2014 La production agricole est par nature soumise aux aléas climatiques. Le phénomène n est pas nouveau. Toutefois, au cours des vingt dernières années, le profil

Plus en détail

janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE

janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE Préambule Pourquoi ce guide? Avant propos Dans le département du Rhône, l étalement urbain grandissant et les grands projets

Plus en détail

VotrePartenaire de la vigne au verre. Loire. ud-ouest. Beaujolais. Cotes du Rhône. Bourgogne Champagne. Languedoc-Roussillo

VotrePartenaire de la vigne au verre. Loire. ud-ouest. Beaujolais. Cotes du Rhône. Bourgogne Champagne. Languedoc-Roussillo VotrePartenaire de la vigne au verre ud-ouest e Cotes du Rhône Beaujolais Loire Bourgogne Champagne Languedoc-Roussillo L ACCOMPAGNEMENT DANS L ACTION LE CONCEPT La raison d être d AOC Conseils est de

Plus en détail

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

CHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires

CHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine

Plus en détail

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise.

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. La zone de chalandise : une zone géographique de captation La zone de chalandise, ou zone d attraction, est le territoire géographique dans

Plus en détail

2. Identification de l'organisme de formation : Adresse BP 7

2. Identification de l'organisme de formation : Adresse BP 7 Comité VIVEA sollicité : D042 Réf. interne : D042/2010/1012 - Attention dossier non encore envoyé à Vivea 1. Titre de l'action de formation : certiphyto 2. Identification de l'organisme de formation :

Plus en détail

Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19

Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Eco-quartier des Bergères - Cahier des Charges de la consultation d acquéreurs ILOT

Plus en détail

Débroussailler autour de sa maison : «une obligation»

Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées

Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité

Plus en détail

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre

Plus en détail

AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014

AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS

Plus en détail

Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre

Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre Rapport de recherche No. 217-T Présenté au : Par : M. Bruno Bélanger, agr. M.Sc. Institut de recherche et de développement

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

Le potentiel phénolique du Cabernet franc

Le potentiel phénolique du Cabernet franc Le potentiel phénolique du Cabernet franc Synthèse de 8 années dʼexpérimentations Yves Cadot INRA, UE 1117 Vigne et Vin, F-49070 Beaucouzé, France Avec la collaboration de : Michel Chevalier INRA, UMR

Plus en détail

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur

Plus en détail

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique

Plus en détail

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o

Plus en détail

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) 105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site

Plus en détail

Atelier : Numérique et Œnotourisme en Aquitaine. Document de cadrage pour la réunion du 7 mars 2012

Atelier : Numérique et Œnotourisme en Aquitaine. Document de cadrage pour la réunion du 7 mars 2012 Atelier : Numérique et Œnotourisme en Aquitaine Document de cadrage pour la réunion du 7 mars 2012 Ce document de travail rassemble quelques chiffres-clés et éléments de cadrage pour les participants aux

Plus en détail

Le Système d Information Routier

Le Système d Information Routier Le Système d Information Routier CONTEXTE DU PROJET : 2004 INSTITUTIONNEL : ACTE II DE LA DECENTRALISATION La loi du 13 août 2004 relative aux libertés et Responsabilités locales a prévu dans le domaine

Plus en détail

FLASH SPECIAL GRELE. A l heure actuelle, il est impossible d estimer les dégâts occasionnés au vignoble.

FLASH SPECIAL GRELE. A l heure actuelle, il est impossible d estimer les dégâts occasionnés au vignoble. A tous les Adhérents FLASH SPECIAL GRELE Bilan météo de la nuit du 12 au 13 mai : Dans la nuit du 12 au 13 mai, un violent orage a éclaté sur le canton de Branne, accompagné de vent et surtout d averse

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL DIRECTION DES AFFAIRES JURIDIQUES ET DE LA REGLEMENTATION MADR DAJR Recueil de textes relatif aux structures

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005 AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

CANDIDATURE PROGRAMME LOCAL DE FORMATION INTERFILIERES 2011-2013

CANDIDATURE PROGRAMME LOCAL DE FORMATION INTERFILIERES 2011-2013 CANDIDATURE PROGRAMME LOCAL DE FORMATION INTERFILIERES 2011-2013 1) Présentation du territoire du PLFI Les territoires Entre-deux-Mers et Graves et Sauternes se situent au cœur du vignoble Bordelais et

Plus en détail

Service de l agriculture

Service de l agriculture Yves Brunelli (Y.B.) Service de l agriculture Département de l économie, de l énergie et du territoire Service de l agriculture Departement für Volkswirtschaft, Energie und Raumentwicklung Dienststelle

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales

Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales Orientation stratégique n 5 : Innover pour amélior er la productivité des exploitations Objectif opérationnel 5.1 : acquérir des références technico-économiques sur des techniques alternatives Action 5.1.1

Plus en détail

BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES

BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION

Plus en détail

Spécialisation Gestion Des Territoires Ruraux (GDTR) Spécialisation Management des Entreprises Agricoles (MEA)

Spécialisation Gestion Des Territoires Ruraux (GDTR) Spécialisation Management des Entreprises Agricoles (MEA) Présentation de la pré-spécialisation Economie des Entreprises et des Territoires (EET) et de ses spécialisations Pré-spécialisation Economie des Entreprises et des Territoires (EET) Adeline ALONSO UGAGLIA

Plus en détail

La Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt

La Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées

Plus en détail

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

La lettre d information du Syndicat de l AOC Corbières Boutenac SEPTEMBRE 2014 n 8

La lettre d information du Syndicat de l AOC Corbières Boutenac SEPTEMBRE 2014 n 8 Boutenac Info La lettre d information du Syndicat de l AOC Corbières Boutenac SEPTEMBRE 2014 n 8 Edito Nos lignes se sont coupées depuis plusieurs mois et pour cause! De nombreuses activités ont occupé

Plus en détail

Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission

Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission Un accompagnement historique! * Création ou reprise d entreprises agricoles Voyage de presse installation-transmission - 4 avril

Plus en détail

Le nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011.

Le nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011. Synthèses Mars 2012 L Observatoire Economique et Social Les cotisants de solidarité en 2011 Le nombre de cotisants solidaires s élève à 110 106 en 2011, en baisse de 2,3 % par rapport à 2010. Toutefois,

Plus en détail

Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES»

Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES» Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES» S appuyant sur le Brevet de Technicien Supérieur Agricole : Analyse et conduite des systèmes d exploitation Arrêté du 27

Plus en détail

APPEL A PROJETS «ITINERAIRES DE DECOUVERTE DANS LE VIGNOBLE ALSACIEN»

APPEL A PROJETS «ITINERAIRES DE DECOUVERTE DANS LE VIGNOBLE ALSACIEN» APPEL A PROJETS «ITINERAIRES DE DECOUVERTE DANS LE VIGNOBLE ALSACIEN» La création d itinéraires thématiques qui permettent, sous une forme renouvelée, la découverte du vignoble alsacien et apportent une

Plus en détail

Exemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires

Exemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires Exemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires Données Global Forest Change Détection des coupes rases non reboisées Importance et répartition des coupes définitives Le renouvellement

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

CRAM- 1-12-1595. Avril 2013 à janvier 2015 RAPPORT FINAL

CRAM- 1-12-1595. Avril 2013 à janvier 2015 RAPPORT FINAL Évaluation du type de dommage causé par la punaise pentatomide verte, Acrosternum hilare (Say) selon le développement des fruits (pommes et raisins) CRAM- 1-12-1595 Avril 2013 à janvier 2015 RAPPORT FINAL

Plus en détail

Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy»

Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy» Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy» Sécurité alimentaire et Changement climatique : l Indianocéanie

Plus en détail

DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE

DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE 2 ÉDITO C R C - M C Daniel BEGUIN Jean-Marie HARAUX Jean-Pierre RENAUD Henri PLAUCHE GILLON 3 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 PARTIE 1 : DESCRIPTION DE L ESPÈCE

Plus en détail

Bien choisir sa variété de maïs ensilage

Bien choisir sa variété de maïs ensilage Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention

Plus en détail

Cédric Gendre Inra, ESR Toulouse

Cédric Gendre Inra, ESR Toulouse ODR, Bases de données administratives à différentes échelles spatiales Cédric Gendre Inra, ESR Toulouse 2èmes journées de recherches en sciences sociales INRA SFER CIRAD 11 & 12 décembre 2008 LILLE, France

Plus en détail

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires.

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires. Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 13 juin 2013 portant proposition d approbation du lancement du déploiement généralisé du système de comptage évolué de GrDF Participaient

Plus en détail

ASSURANCE RECOLTE : LES PROPOSITIONS 2015

ASSURANCE RECOLTE : LES PROPOSITIONS 2015 Le 19 janvier 2015 ASSURANCE RECOLTE : LES PROPOSITIONS 2015 Nous avons sollicité les compagnies d assurances il y a plusieurs semaines afin d améliorer les conditions du contrat d assurance multirisques

Plus en détail

Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde»

Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde» Commission Planification Séance du 24 mai 2012 Délibération n DL/CB/12-XX Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde» Le comité de bassin délibérant

Plus en détail

Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood

Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)

Plus en détail

Dossier de Presse pour la signature de la convention de partenariat

Dossier de Presse pour la signature de la convention de partenariat Dossier de Presse pour la signature de la convention de partenariat entre RFF et la Safer Aquitaine Atlantique le 29 janvier 2013 à Saint Pierre du Mont entre RFF et la Safer Garonne Périgord le 8 mars

Plus en détail

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine CROPSAV POITOU-CHARENTES Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine Plan de la présentation La situation sanitaire Les mesures de surveillance de la tuberculose mises en place en Poitou-Charentes

Plus en détail

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement

Plus en détail

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre. Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences

Plus en détail

Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?

Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011

Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Références à rappeler : CM/JPR/RODII/064 036 931 Monsieur le Directeur, Par lettre du 21 janvier 2011, vous avez été informé que la chambre régionale des comptes

Plus en détail

3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires

3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires FICHE-MESURE Plan pandémie grippale 3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires Validation : 13/10/2011 Ministère-pilote et rédacteur : Ministère chargé de l intérieur Ministères

Plus en détail

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille

Plus en détail

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale

Plus en détail

QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx?

QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx? Lycée Bi h t QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive Il semble nécessaire d utiliser des fichiers images, de grande taille généralement, aussi, nous proposons

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Centre Beautour la biodiversité en Pays de la Loire Animateur de réseaux et catalyseur de projets de recherche

DOSSIER DE PRESSE. Centre Beautour la biodiversité en Pays de la Loire Animateur de réseaux et catalyseur de projets de recherche Centre Beautour la biodiversité en Pays de la Loire Animateur de réseaux et catalyseur de projets de recherche Inauguré en juin 2013, le centre régional pour la biodiversité Beautour redonne vie à l héritage

Plus en détail

DOSSIER D INFORMATION

DOSSIER D INFORMATION DOSSIER D INFORMATION PRESSE SOMMAIRE TECNOMA 2- Entreprise Champenoise créée en 1952 2- De TECNOMA au groupe EXEL Industries 3 - De la conception à la production 4 & 5- Des domaines d application variés

Plus en détail

Adhérer au régime conventionnel frais de santé du Bois et activités connexes. OCIANE vous guide

Adhérer au régime conventionnel frais de santé du Bois et activités connexes. OCIANE vous guide Adhérer au régime conventionnel frais de santé du Bois et activités connexes OCIANE vous guide Quelques étapes suffisent pour faire bénéficier votre entreprise et ses salariés du régime frais de santé

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Arrêté du 9 octobre 2013 relatif aux conditions d exercice de l activité d utilisateur professionnel

Plus en détail