LETTRE MENSUELLE. Comité de gestion. 8 novembre 2016

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1 LETTRE MENSUELLE Comité de gestion 8 novembre 2016 CATHERINE VIAL

2 SOMMAIRE ECONOMIE 3-12 INDICES INTERNATIONAUX ET INDICES SECTORIELS DJ STOXX ANALYSE GRAPHIQUE 16 SYNTHESE 17 STATISTIQUES SBF Avertissement : Entreprise d investissement agréé par le CECEI (Comité des Etablissements de Crédit et des Entreprises d Investissement de la Banque de France) et par l AMF (Autorité des Marchés Financiers), la FINANCIERE D UZES est également membre d Euronext. La FINANCIERE D UZES relève des autorités compétentes que sont l AMF et l ACPR. Les informations contenues dans ce document ont été puisées aux meilleures sources mais ne sauraient entraîner notre responsabilité. Par ailleurs, La FINANCIERE D UZES est organisée de manière à assurer l indépendance de l analyste ainsi que la gestion et la prévention des éventuels conflits d intérêt.

3 ECONOMIE Croissance mondiale : statu quo autour d une reprise modérée attendue l année prochaine Aux USA, la croissance a rebondi au T3 à +2.9% en rythme annuel après une hausse de +1.4% au T2 et de +0.8% au T1, supportée par une orientation positive des stocks et du commerce extérieur. La demande intérieure s est révélée en revanche moins dynamique. La consommation des ménages a ralenti à +2.1% après +4.3% au trimestre précédent, l investissement des entreprises est resté faible à +1.2% après +1% au T2, l investissement immobilier des ménages s est contracté pour le deuxième trimestre consécutif à -6.2% après -7.7%. Le rebond est là mais il reste technique avec une croissance sans doute plus proche de +2% que de +3%. Après des tendances médiocres au mois d août, les données mensuelles des mois de septembre et octobre ont été meilleures en traduisant un rebond de la consommation des ménages (+0.5% après - 0.1% en août), un rebond des ventes au détail (+0.6%) et une hausse du revenu des ménages (+0.3%) en dépit d une baisse du niveau de confiance des ménages du Conférence Board à 98.6 vs Le rythme des créations d emplois est également devenu un peu moins favorable, à en octobre, tout juste dans la moyenne des 9 derniers mois, mais sans non plus prêter à inquiétude. Dans le secteur industriel, le PMI Markit Manufacturier du mois d octobre a confirmé une accélération de l activité du secteur à 53.4 contre 51.5 en septembre, avec des composantes production et nouvelles commandes en nette amélioration. De même le PMI Markit des services s est inscrit en nouvelle hausse à 54.8 (vs 52.3) tout comme le PMI Markit composite préliminaire à 54.9 (vs 52.3), un plus haut depuis novembre La dernière estimation du GDPnow de la Fed d Atlanta indique une croissance de l économie US à +2.3% en rythme annualisé au T4 vs +2.7% précédemment avec des dépenses de consommation des ménages ajustées de +2.4% à +2.1% et des investissements révisés de +4.3% à +2.7%. Le redressement est en cours, mais son rythme n a rien d exceptionnel. Au-delà du trimestre, l attentisme prévaut alors que le nom du nouveau président des USA, avec ou sans majorité démocrate ou républicaine au sein du Congrès, va être importante pour le scénario Indice de Confiance du Conference Board 105 Consommation des ménages 5,5 5,0 95 4,5 4, Indice de confiance du conférence Board 3,5 3,0 2,5 Consommation des ménages Source : conférence Board Source : US Bureau of Economic Analysis FINANCIERE D UZES 3

4 Taux de chômage 7,0 Salaire horaire 22,0 6,5 21,5 6,0 5,5 Taux de chômage Linéaire (Taux de chômage) 21,0 Salaire horaire 5,0 20,5 4,5 20,0 Source : US Department of Labor Source : US Department of Labor ISM Investissement privé ,0 3,5 3,0 Investissement privé 57 2, ,0 1,5 1, ISM Manufacturier ISM non Manufacturier 0,5 0,0-0,5 Source : ISM Source : US Bureau of Economic Analysis En Europe, les statistiques restent encourageantes dont la bonne tenue des indicateurs d activité PMI Manufacturier (53.5 vs 52.5) et PMI des Services (53.5 vs 52.2) pour le mois d octobre, la hausse du PMI composite à 53.3 (vs 52.6), l accélération de l inflation à +0.5% et la poursuite de l amélioration du climat des affaires IFO en Allemagne, au plus haut depuis plus de 2 ans. Après publication des PIB espagnol (+0.7%) et français (+0.2%/3 mois soit +1.1% sur un an) pour le T3, les données pour l ensemble de la zone traduisent ainsi une augmentation de +0.3% par rapport au trimestre précédent, soit un taux de croissance stable à +1.6% sur un an. Malgré la dissipation des effets positifs liés à l euro et au pétrole et malgré les craintes liées au Brexit, l activité économique résiste, y compris la croissance britannique, en hausse de +0.5% en rythme trimestriel séquentiel. Au plan politique et financier, certains éléments sont venus réduire les craintes sur la stabilité de la zone : - Le maintien par l agence de notation DBRS de la note du crédit du Portugal en catégorie «investment grade» sans l assortir d une perspective négative, prenant acte des mesures de contrôle du déficit annoncées mi-octobre, - Le relèvement par S&P de la perspective de la note du crédit de la France, de négative à stable, - La perspective d une issue politique favorable en Espagne après le vote d abstention du parti socialiste espagnol qui devrait permettre à Mariano Rajoy de trouver une coalition et de former un gouvernement minoritaire. La situation économique d ensemble reste celle d une économie qui plafonne autour des 1.5% l an avec deux soutiens toujours actifs, l emploi et le crédit bancaire. Demeure une certaine prudence pour 2017 alors que les risques restent nombreux : impact du Brexit sur les exportations, situation de l Italie avec le risque d une crise politique et bancaire, échéances électorales nationales multiples et paysage politique qui ne sera plus le même fin 2017, rendant impossible la mise en place d un projet européen fort et susceptible de relancer la croissance à court terme. FINANCIERE D UZES 4

5 Confiance des Ménages Taux de chômage 0,0-2,0-4,0-6,0 12,0 11,5 11,0 Taux de chômage Zone euro -8,0 10,5-10,0-12,0-14,0 Confiance des ménages 10,0 9,5 Source : Eurostat Source : Eurostat Indice de confiance de la zone euro Crédit aux entreprises -1,0-3,0-5,0-7,0 Indice de confiance Zone Euro 1,0 0,5 0,0-0,5-1,0-9,0-11,0-1,5-2,0 Crédit aux entreprises Source : Eurostat Source : BCE PMI Manufacturier / PMI des Services zone euro PMI Manufacturier zone euro PMI Services zone euro PMI Composite zone euro- France, Italie, Espagne, Allemagne PMI Composite France PMI Composite Italie Source : Markit Economics Source : Markit Economics Au Japon, les dernières données du mois d octobre sont un peu meilleures avec un léger retrait de l indice de confiance des consommateurs (42.3 vs 43), sur des plus hauts de 3 ans néanmoins, une stabilité des enquêtes trimestrielles du Tankan, une hausse du PMI manufacturier à 51.2 vs 50.4 et une tendance positive pour le PMI non manufacturier, à 54 vs 53.7 en septembre. Dans la zone émergente, la Chine continue de rassurer avec la publication d une économie en progression de 6.7% au T3, dans la cible des objectifs du gouvernement, et d une série de FINANCIERE D UZES 5

6 données positives pour le mois d octobre - PMI Caixin Manufacturier à 51.2 vs 50.1 en septembre et au plus haut depuis 2 ans, PMI officiel non Manufacturier à 54 vs 53.7, PMI composite à 52.9 après 51.4 en septembre- même si les statistiques du commerce extérieur de septembre sont venues rappeler la très grande dépendance du pays au soutien des autorités. redonné de la marge de manœuvre aux gouvernements qui ont pu adopter des politiques plus favorables à la croissance. La situation au Brésil reste compliquée mais des signes d intensification de l activité se confirment en Inde avec un PMI composite à 55.4 après 52.4 en septembre et en Russie avec un PMI composite à 53.7 vs Hors Chine, le rebond des matières premières et la lenteur du resserrement monétaire américain ont PMI Caixin Chinois Caixin PMI Chinois PMI Manufacturier Chine 47 PMI Services Chine 46 PMI Composite Chine 45 Production chinoise China Industrial Production Source : Markit Economics Source : National Bureau of Statistics of China A l échelle mondiale, la perception de la croissance évolue peu avec une croissance toujours molle aux USA et en Europe mais un climat des affaires dans le secteur manufacturier qui s améliore depuis le printemps et des pays émergents qui rassurent de nouveau et contribuent à soutenir l optimisme sur les perspectives de croissance mondiale. Indépendamment des échéances politiques de court terme, la tendance reste à une stabilisation de l activité économique mondiale avant une reprise attendue modérée l année prochaine. Entreprises : en manque de convictions fortes Aux USA, les résultats du T3 rassurent (80% des résultats publiés) en s affichant en progression de +5.3% en rythme annuel (vs une baisse prévue à la veille des publications), hausse qui met fin à une série de 5 trimestres de contraction. Les banques dont la part relative dans l indice est importante (15%T), ont publié des résultats nettement supérieurs aux attentes, soutenus par le rebond de leurs activités de marché (Morgan Stanley, JP Morgan, Citigroup, Wells Fargo). Les résultats sont plus mitigés dans le secteur technologique et les GAFA avec du bon (Microsoft, Intel, IBM, Alphabet/Google) et du moins bon (AMD, Intel, Amazon, Apple, Facebook), une croissance toujours très soutenue dans le cloud et un marché du PC fragile. Les résultats les plus décevants se situent dans l industrie avec des entreprises en manque de CA, communiquant sur une croissance mondiale molle, des carnets de commandes faibles et toujours une priorité à la réduction des coûts (Alcoa, GE, 3M, Home Depot). Dans le secteur pétrolier les avis restent divergeants : optimistes du côté des équipementiers Haliburton ou Schlumberger qui annoncent un redressement de l investissement de leurs clients ; plus prudents de la part de GE qui pense à une demande d équipements toujours faible ces prochains mois. Dans les biens de consommation courante enfin le discours est également mitigé avec parfois de solides résultats (McDonald s, Procter & Gamble) mais des marchés développés dans l ensemble toujours difficiles et FINANCIERE D UZES 6

7 un faible pricing power (Kimberlay-Clark, Colgate- Palmolive). Les estimations de croissance bénéficiaires sont légèrement révisées à la hausse à +0.8% pour 2016 (vs +0.4%) tout en restant fragiles, principalement soutenues par les révisions positives du secteur financier. Elles sont ajustées à +11.9% (vs +13.3%) pour 2017 et +11.7% (vs +10.4%) pour 2018, mais sans enseignement majeur d un mois sur l autre. Croissance anticipée du S&P500 (Factset au 07/11/2016) Révisions des BNA du S&P 500 #N/A ,2% 0,2% -7,6% ,0% -0,7% -7,4% ,5% 0,5% -9,0% -8,0% -7,0% -6,0% -5,0% -4,0% -3,0% -2,0% -1,0% 0,0% 1,0% Révisions 1 an Révisions 3 mois Révisions 1 mois Croissance des BNA du S&P ,7% ,9% ,8% ,1% ,0% ,4% ,9% ,9% ,2% -15,0% -5,0% 5,0% 15,0% 25,0% 35,0% 45,0% S&P 500 En Europe, la surprise est d abord venue de plusieurs publications décevantes d entreprises de croissance pour lesquelles les attentes du marché étaient élevées parmi lesquelles Essilor, Burberry, Publicis, Ingenico, Gemalto, Dassault Systèmes ou Cap Gemini. Les bonnes surprises n ont pas été en reste non plus, Kering LVMH, L Oréal, Carrefour, Accor Hotels, Sanofi, Luxottica, y compris pour des entreprises en retournement, Saint Gobain, Orange, Technip, Beneteau, mais la situation d ensemble a du mal à se stabiliser avec encore plusieurs secteurs sous révisions négatives dont principalement l industrie (ABB, Nokia, Ericsson, Schneider), les biens de consommation courante, les télécoms et les médias (Publicis). Pour sa part le secteur bancaire qui avait cristallisé les inquiétudes du marché courant septembre rassure plutôt avec de solides publications pour BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale, UBS et même Deutsche Bank. Le changement de momentum va devoir attendre. Les BNA du Stoxx Europe 600 restent dans leur spirale «neutre à faiblement négative» avec des estimations ajustées à -8,4% pour 2016 (vs 8% début octobre), +13.2% pour 2017 (vs +13.3%) et +10.4% pour 2018 (vs +11%). La situation est en revanche plus favorable pour le CAC40 en France avec une progression de +9.4% des résultats attendue pour Croissance anticipée des BNA du Stoxx Europe 600 (Factset au 07/11/2016) Révisions des BNA du STOXX 600 #N/A ,5% -0,9% -15,0% ,0% -0,4% -16,0% ,0% -0,3% -18,0% -16,0% -14,0% -12,0% -10,0% -8,0% -6,0% -4,0% -2,0% 0,0% Révisions 1 an Révisions 3 mois Révisions 1 mois Croissance des BNA du STOXX ,4% ,2% ,4% ,9% ,7% ,4% ,2% ,1% ,0% -15,0% -5,0% 5,0% 15,0% 25,0% 35,0% 45,0% 55,0% Stoxx 600 FINANCIERE D UZES 7

8 En termes de valorisation, les multiples forward 12 mois du Stoxx Europe 600 se sont un peu détendus à 14.4x (vs 15.1x), à mi-chemin entre leur moyenne historique (13.3x) et leur moyenne historique haute (15.8x). Ils sont inférieurs et à l avantage du CAC 40 à 13.4x le PE forward 12 mois, pour une moyenne historique à 12.8x et une moyenne historique haute à 15.8x. Données PE S&P ,71 15,83 14,18 PE STOXX Europe ,92 14,06 12,74 PE France CAC 40 14,31 13,19 11,92 PE Japan Nikkei ,29 15,72 14,60 Source : Factset 07/11/2016 Stoxx Europe 600 et prime de risque (Factset au 07/11/2016) S&P500 et CAC 40 (Factset au 07/11/2016) FINANCIERE D UZES 8

9 Pétrole : bras de fer avant la réunion du 30 novembre La proposition de fin septembre de réduction de 4% de la production des pays du Golf (soit 700kbj) peine à trouver un terrain d entente dans sa mise en œuvre. Le baril chute de plus de 10% sur un mois et enfonce à nouveau le seuil des 50$, à 46$ le baril de Brent et 44.5$ le WTI alors que les dernières statistiques ont fait état d une hausse sans précédent des stocks de brut aux USA, entretenant les craintes d un maintien durable du déséquilibre offre/demande. L Iran annonce refuser de participer aux coupes et marque sa différence à l égard de l Arabie Saoudite qui menace d augmenter à nouveau sa production en l absence d accord. L Irak, deuxième plus gros producteur de l OPEP, demande également à être dispensé des restrictions en raison de la guerre en cours contre l Etat islamique, tout comme la Libye et le Nigéria. Une nouvelle rencontre est prévue le 25 novembre avant la prochaine réunion des ministres de l OPEP du 30 novembre prochain à Vienne qui a pour objet de trancher sur les clés de répartition entre membres de l OPEP, normalement applicables pour une durée de un an. La probabilité d un prochain accord au sein de l OPEP se réduit. C est une mauvaise nouvelle même si l hypothèse la plus probable reste à un accord «à minima» et à une hausse lente et progressive du prix du baril avec un facteur de rappel très puissant : la production américaine dès lors que le prix du brut dépasserait trop rapidement les 50$. Matières premières et matières premières énergétiques (Factset au 02/11/2016) HWWI Commodity Price Index, Total (All Or Pétrole (Factset au 02/11/2016) WTI WTI cours moyen sur la période Brent Brent cours moyen sur la période FINANCIERE D UZES 9

10 Inflation : premiers frémissements Aux USA, l indice des prix à la consommation s est établi à +1.5% en rythme annuel en septembre après +1.1% en août. Hors énergie et alimentation, l indice se modère un peu à +2.2% sur un an après +2.3% le mois précédent. En zone euro, l inflation accélère légèrement, en hausse de +0.4% sur un an en septembre et de +0.5% en première estimation en octobre après Inflation CPI Europe/Brent % en août. Elle reste faible tout en se situant à un plus haut depuis juillet 2014 et devrait continuer de s apprécier doucement avec la dissipation progressive de la contribution négative des prix du pétrole. Pour sa part l inflation sous-jacente ressort stable pour le cinquième mois consécutif, à +0.8% sur un an en septembre, toujours très éloignée de l objectif de la BCE. Inflation CPI US/WTI ,0 178,0 158,0 138,0 118,0 98,0 78,0 58,0 Brent EUZ CPI Inflation 4,0 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5 158,0 138,0 118,0 98,0 78,0 58,0 WTI US CPI Inflation 6,00 5,00 4,00 3,00 2,00 1,00 0,00 38,0 0,0 38,0-1,00 18,0-2,0-0,5-1,0 18,0-2,0-2,00-3,00 Source : US Department of labor/eurostat Source : US Department of labor/eurostat Les taux en attente des décisions de la Fed En Europe, la dernière réunion de la BCE du mois d octobre n a apporté aucune nouveauté. La banque centrale confirme que la reprise est là et que sa politique monétaire accommodante est bien adaptée au marché. Aucune réduction du programme d achat d actifs n a été évoquée, ni aucun prolongement. Mais Mario Draghi précise qu il n envisage pas de fin du programme d un seul coup, mais une diminution progressive des quantités d achats mensuels dès lors qu ils auront décidé la fin du QE. Pour leur part, les comités poursuivent leurs travaux d études pour proposer des nouvelles solutions et faire face à la raréfaction de certains titres. Les résultats devraient être annoncés lors de la prochaine réunion, en décembre ce qui nous pousse à penser que la BCE n arrêtera pas son programme fin mars, mais le fera évoluer et restera présente au moins jusqu en septembre Quant aux évolutions possibles du QE, nous pouvons envisager plusieurs pistes : Une augmentation à plus de 33% de la limite de possession d une souche ; La suppression du plancher de rémunération des dépôts, ce qui empêche la BCE d acheter des emprunts d état allemands de taux inférieurs à -0,4% (c est le cas jusqu à 7 ans de maturité). Une modification de répartition des achats par pays qui permettrait d acheter plus d emprunts Italiens ou Espagnols et moins d Allemands, déjà beaucoup trop chers. Aux USA, la réunion de fin octobre des membres de la Fed a été, comme en Europe, et comme attendu à la veille des élections présidentielles, sans changement. Si la hausse n est pas clairement annoncée pour la réunion de mi-décembre, elle est en revanche fortement suggérée. Les marchés l attendent majoritairement pour décembre car les conditions sont réunies en termes de croissance et d inflation sauf résultats inattendus des élections US et retour de la volatilité. Si elle agit, la Fed le fera de façon très progressive avec des hausses de 25pb, le marché anticipant à ce stade, 2 autres hausses en Pour sa part, la Banque d Angleterre a laissé inchangée sa politique monétaire en octobre et mis de côté la baisse des taux annoncée cet été. La FINANCIERE D UZES 10

11 croissance est meilleure que prévue et l inflation augmente dans le sillage de la chute de la livre. Pour la suite elle pourrait agir sur ses taux dans les 2 sens, en fonction de l évolution de la croissance et de l inflation. Le marché des taux Sur le marché monétaire, les taux courts sont pratiquement stables par rapport au mois dernier mais la tendance est toujours légèrement baissière : l Euribor 3 mois est à -0.31% et le 1 an à -0.07%, soit une baisse de -0.01% en un mois. Sur le marché obligataire, la très probable hausse des taux de la banque américaine a poussé les taux longs américains à la hausse, le 10 ans étant à +1,82%. L immobilisme de la BCE a aussi favorisé une petite tension des taux longs et la hausse initiée le mois dernier a continué en octobre. Le Bund allemand à 10 ans est passé de 0% à +0,13% et l OAT de +0,3%à +0,46%. Sur les emprunts corporates, le marché profite toujours des liquidités importantes injectées par la BCE. Les meilleures signatures étant très demandées, leur rendement devient très faible voire négatif, contraignant les investisseurs à rechercher du rendement dans les emprunts plus risqués. Changes : en ordre dispersé Sur le marché des changes, le répit apporté par la Haute Cour de Londres exigeant l aval du Parlement pour pouvoir activer l article 50, a amorti la baisse de la livre sterling, en retrait de -1.3% sur un mois face à l euro (1.12GBP/ ) et de -2.5% sur un mois face au dollar (1.24GBP/$). De même le Yuan a poursuivi sa baisse, à 6.8 contre dollar, un plus bas depuis septembre Surtout, le dollar qui avait profité des anticipations de hausse de taux et de bonnes statistiques pour se raffermir jusqu à 1.08 /$ et 105.5$/Yen, s est brutalement affaissé à 1.11 /$ et 103.3$/Yen après l annonce de la réouverture de l enquête sur USD index les s de la candidate démocrate Hillary Clinton et une plus grande incertitude sur l issue des élections présidentielles du 8 novembre. En parallèle, les devises refuges ont rebondi : le yen à 103.3$/Yen et /Yen et le franc suisse à 1.08 /CHF. Passées les échéances politiques et sauf résultats inattendus, la pression devrait retomber et les politiques des banques centrales reprendre l ascendant sur les mouvements de change. Le dollar en particulier devrait reprendre sa marche en avant. USD/Yen Dollar index Cours moyen sur la période dollar/yen Cours moyen sur la période FINANCIERE D UZES 11

12 Euro/USD Euro/Yen 1,6 1,5 1,4 1,3 1,2 1,1 1,0 170,0 160,0 150,0 140,0 130,0 120,0 110,0 100,0 90,0 euro/$ Cours moyen sur la période euro/yen Cours moyen sur la période Euro/GBP 0,8500 0,8000 0,7500 0,7000 0,6500 0,6000 0,5500 0,5000 0,4500 0,4000 Euro/FCH 1,7 1,6 1,5 1,4 1,3 1,2 1,1 1,0 0,9 euro/gbp Cours moyen sur la période euro/fch Cours moyen sur la période FINANCIERE D UZES 12

13 INDICES INTERNATIONAUX ET INDICES SECTORIELS Les indices internationaux Après un troisième trimestre globalement flatteur, les marchés se sont montrés hésitants sur la conduite à tenir et chahutés pour finalement lourdement chuter à l approche des élections US. Aux États-Unis, les indices ont décroché à l annonce de sondages beaucoup plus partagés entre les 2 candidats à la présidentielle en dépit d indicateurs d activité plutôt bien orientés et de très nombreuses annonces de M&A. Le Dow Jones abandonne -2.3% depuis fin septembre, le S&P % sur 1 mois, le Nasdaq -5%, ramenant la performance des indices dans une fourchette de +1% à +2.5% depuis janvier. La tendance est fortement négative également en Europe, par ailleurs caractérisée par une forte rotation sectorielle et un accueil souvent contrasté aux publications du trimestre. Le CAC 40, surpondéré en valeurs financières s en sort un peu moins mal, en retrait de -1.6% mais sous les 4400 points à 4377 points quand l indice global Stoxx Europe 600 abandonne -4.4% depuis fin septembre, le Dax -2.4% et le Footsie -3%. Pour sa part, l Ibex espagnol prend acte des avancées politiques du pays pour afficher une stabilité sur un mois, insuffisante à rattraper son retard de début d année. Dans la zone émergente, les indices abandonnent -1.8% depuis fin septembre, avec un beau rattrapage néanmoins de la bourse chinoise, en hausse de 4% sur un mois. La tendance est positive de +2.8% sur un mois au Japon, ramenant la baisse de l indice à -11.2% sur l année. Indices internationaux au 4/11/2016 FINANCIERE D UZES 13

14 Indices Internationaux Performance Cours au Performance nov.-16 1T T T-2016 dp 30-sept.-16 YTD EUROPE Stoxx Europe ,8% 328,8-7,7% -2,3% +4,0% -4,1% -10,1% France CAC 40 +8,5% 4 377,5-5,4% -3,4% +5,0% -1,6% -5,6% France SBF ,0% 3 468,4-5,1% -3,6% +5,7% -2,1% -5,3% Germany DAX (TR) +9,6% ,1-7,2% -2,9% +8,6% -2,4% -4,5% FTSE 100-4,9% 6 693,3-1,1% +5,3% +6,1% -3,0% +7,2% Spain IBEX 35-7,2% 8 791,6-8,6% -6,4% +7,5% +0,1% -7,9% Switzerland SMI -1,8% 7 593,2-11,5% +2,7% +1,5% -6,7% -13,9% FTSE MIB +12,7% ,6-15,4% -10,6% +1,3% -0,5% -23,8% Greece ATHEX Composite -23,6% 573,9-8,6% -6,1% +4,3% +1,5% -9,1% Russia -4,3% 971,2 +15,7% +6,2% +6,5% -2,0% +28,3% US S&P 500-0,7% 2 085,2 +0,8% +1,9% +3,3% -3,8% +2,0% NASDAQ Composite Index +5,7% 5 046,4-2,7% -0,6% +9,7% -5,0% +0,8% Dow Jones 30 Industrials -2,2% ,3 +1,5% +1,4% +2,1% -2,3% +2,7% ASIE Japan Nikkei ,1% ,4-12,0% -7,1% +5,6% +2,8% -11,2% SSE A Share Index +9,3% 3 272,2-15,1% -2,5% +2,6% +4,0% -11,7% India S&P BSE SENSEX -5,0% ,2-3,0% +6,5% +3,2% -2,1% +4,4% AMERIQUE LATINE Brazil Bovespa Index -13,3% ,4 +15,5% +2,9% +13,3% +5,5% +42,1% MSCI MSCI The World Index +0,2% 1 265,3-2,5% +0,6% +4,3% -3,2% -1,0% MSCI EM (Emerging Markets) -8,0% ,0 +2,4% -0,3% +6,9% -1,8% +7,2% Source : FactSet Les indices sectoriels : DJ STOXX 600 Au plan sectoriel, la rotation s est poursuivie en faveur des valeurs financières, Banques (+4.3%/un mois) et Assurances (-0.7%), et des Matières Premières (+2.2%). Pour le reste, la tendance a été au désengagement avec des chutes souvent brutales comme observées dans l Alimentation (-8%), la Santé (-8.8%), l Immobilier (-9.1%), les Médias (-7.8%) ou la Technologie (-9.9%). Sur l année, seuls 3 secteurs restent positifs vs 7 au 30 septembre. Les Matières premières consolident leur avance (+38.7%) et creusent l écart avec le Pétrole (+6.4%) et la Construction (+0.7%). Le bas du classement reste occupé par les secteurs de la Banque (-20%) et de l Assurance (-18.8%), rejoints par les Télécoms (-19.3%) et les Voyages/Loisirs (-19%). FINANCIERE D UZES 14

15 Indices sectoriels au 4/11/2016 Indices Sectoriels Performance Cours au Performance nov.-16 1T T T-2016 dp 30-sept.-16 YTD STOXX Europe ,8% 328,8-7,7% -2,3% +4,0% -4,1% -10,1% Automobiles & Parts - SS +12,6% 467,7-11,3% -15,5% +14,3% -1,8% -15,8% Banks - SS -3,3% 146,1-20,9% -13,1% +11,7% +4,3% -20,0% Basic Resources - SS -36,6% 336,1 +8,8% +8,4% +15,0% +2,2% +38,7% Chemicals - SS +4,8% 785,3-5,5% -4,5% +8,3% -3,0% -5,2% Construction & Materials - SS +16,4% 391,9-1,0% -4,9% +12,3% -4,8% +0,7% Financial Services - SS +18,7% 381,0-10,2% -7,9% +7,3% -4,2% -14,9% Food & Beverage - SS +16,2% 589,7-3,5% +3,3% +0,8% -8,0% -7,5% Health Care - SS +14,4% 654,1-12,9% +8,7% -4,3% -8,8% -17,4% Industrial Goods & Services - +5,6% 420,0-1,6% -3,0% +8,2% -5,2% -2,0% Insurance - SS +14,0% 232,0-13,1% -10,7% +5,4% -0,7% -18,8% Media - SS +12,0% 256,4-3,6% -9,1% +4,0% -7,8% -16,0% Oil & Gas - SS -7,6% 287,0-1,2% +12,1% -3,0% -1,0% +6,4% Personal & Household Goods +18,7% 731,1-1,1% +2,6% +0,5% -5,1% -3,3% Real Estate - SS +12,1% 159,5-3,1% -3,9% +2,9% -9,1% -13,0% Retail - SS +8,0% 300,4-6,1% -7,9% +4,2% -0,9% -10,7% Technology - SS +14,0% 326,8-5,4% -4,9% +15,1% -9,9% -6,7% Telecommunications - SS +8,4% 277,0-6,2% -6,9% -2,9% -4,9% -19,3% Travel & Leisure - SS +19,6% 215,0-8,7% -11,6% +5,3% -4,7% -19,0% Utilities - SS -3,7% 271,6-5,3% +2,8% -2,6% -5,7% -10,6% Source : FactSet FINANCIERE D UZES 15

16 ANALYSE GRAPHIQUE Le rouge est mis (CAC ) Le CAC 40 évolue depuis le début de l année en territoire négatif. Mis la tête sous l eau dès le 3 janvier par une impulsion sous les 4630, l indice parisien n a pas encore réussi à refaire surface. Tel un nageur dans son bassin, il effectue régulièrement des allers-retours au sein d un canal horizontal qui va de 4300 à 4600 points. Dès qu il arrive au-dessus de 4500, il amorce son virage pour repartir dans le sens opposé. Huit fois au moins les opérateurs adeptes du trading range auront pu profiter de cet écart de cours d environ 7%, alors que ceux qui travaillent en tendance restent bloqués à chaque fois sur leur ligne de départ. En octobre, la volatilité a été plutôt faible et l on sait que lorsqu il n y a pas de krach, le mois est plutôt bon. L indice s est hissé jusqu à 4578 le 24 en laissant espérer à ses détenteurs que cette foisci pourrait être la bonne. En effet, sur ce dernier mouvement, les creux de vague étaient de plus en plus haut (4310 le 16 septembre, 4340 le 30, 4370 le 13 octobre et 4400 le 3 novembre) et l infléchissement à la hausse de la MM100 permettait de constater un affaiblissement de la pression vendeuse. zone de prix et le pont de la Toussaint ne lui a pas donné l occasion de passer de l autre côté. Le 2 novembre, les vendeurs ont repris la main en atteignant un objectif à la baisse à 4360 et en laissant un gap à Ils pourraient être tentés de chercher le point idéal pour démarrer le rallye de fin d année. Il est à craindre que le rouge ne soit mis pour le chandelier annuel du CAC, et à fortiori si aux Etats- Unis les partisans de cette couleur finissent par l emporter. On se souvient que les indices n avaient pas apprécié en juin lorsqu ils ont été surpris par le Brexit ; on imagine sans peine ce qu ils pourraient faire en novembre s ils se «Trump». OLIVIER D ANGELIN Mais l indice phare français éprouve toujours des difficultés à susciter des intérêts acheteurs sur cette FINANCIERE D UZES 16

17 SYNTHESE Effervescence autour des élections américaines L or retrouve son statut de valeur refuge et figure en tête des meilleurs placements financiers de l année, en hausse de plus de 20% depuis janvier quand les places boursières de la zone euro sont en baisse et que les indices américains progressent de moins de 2%. Au plan fondamental, les publications d entreprises pour le T3 se sont révélées encore mitigées, un peu meilleures aux USA car soutenues par les révisions positives du secteur financier mais dans l ensemble fragiles et encore légèrement négatives en Europe où de belles valeurs de croissance sont même venues surprendre par des résultats décevants. En manque de prétexte à une orientation haussière des indices, les marchés se sont recentrés sur le risque politique alors même que les derniers sondages ont entretenu l incertitude sur le nom du prochain président américain et contraint les investisseurs à se protéger d un choc éventuel. Le scénario du pire n est pas le plus probable mais les marchés financiers, et par suite l économie, ne seront pas indifférents aux résultats. Une victoire républicaine, plutôt perçue comme négative pour les actifs risqués et le dollar, pourrait ainsi perturber les intentions de la Fed qui sont de monter ses taux une deuxième fois en fin d année avant de poursuivre une normalisation très lente de sa politique monétaire. A l inverse, une victoire démocrate suivie d une hausse modeste de 25pb en décembre sans affolement des marchés ni trop brutale variation des devises pourrait être positive en rassurant sur la solidité de l économie américaine. Au final, l issue des élections va rester un élément déterminant pour l orientation des marchés ces prochains jours. FINANCIERE D UZES 17

18 STATISTIQUES SBF 120 Sources : FU, FactSet Cours de clôture (04 novembre 2016) FINANCIERE D UZES 18

19 Performances Les plus élevées Les plus faibles Performance Cours au Extrêmes 12m Performance Cours au Extrêmes 12m YTD 4-nov bas + haut YTD 4-nov bas + haut ArcelorMittal SA +96,1% 5,9 2,0 6,3 CGG -45,8% 22,9 15,0 54,4 Nexans SA +43,9% 48,5 29,4 54,8 Genfit SA -40,1% 18,9 16,8 43,0 SEB SA +38,6% 131,1 81,9 134,1 Ingenico Group SA -39,4% 70,6 70,1 121,3 Etablissements Maurel +38,4% 4,1 2,3 4,2 SFR Group SA -33,8% 22,2 20,0 41,6 STMicroelectronics NV +31,1% 8,1 4,6 8,7 Bollore SA -33,5% 2,9 2,9 4,5 Ipsos SA +31,1% 27,8 17,1 30,0 Eutelsat Communicatio -33,3% 18,4 15,4 30,8 Arkema SA +29,4% 83,6 48,8 86,8 Technicolor SA -32,5% 5,0 5,0 7,6 Technip SA +28,9% 59,0 36,1 62,3 Europcar Groupe SA -31,6% 8,3 6,9 12,5 CNP Assurances SA +24,4% 15,5 10,5 15,8 Jcdecaux SA -31,0% 24,3 24,3 39,5 Eurofins Scientific Soci +24,0% 399,0 272,9 428,2 Electricite de France S -27,9% 9,8 9,2 16,1 Kering SA +23,2% 194,7 138,6 204,0 Euronext NV -26,1% 34,9 30,7 48,0 Thales SA +21,8% 84,2 60,2 85,8 Groupe Eurotunnel SE -25,8% 8,5 8,3 12,9 Alten SA +21,6% 65,0 44,6 66,3 Air France-KLM SA -23,2% 5,4 4,7 8,6 Atos SE +21,4% 94,0 62,7 97,8 Gaztransport & Techni -23,1% 29,9 21,9 46,7 Aperam SA +20,4% 39,6 25,7 42,2 AXA SA -23,1% 19,4 16,3 25,8 Potentiels Les plus élevés Les plus faibles Cours au Objectif Potentiel Cours au Objectif Potentiel 4-nov.-16 Consensus 4-nov.-16 Consensus Genfit SA 18,9 51,7 +173,8% CNP Assurances SA 15,5 13,5-12,6% Innate Pharma SA Class A 10,7 20,1 +88,9% Neopost SA 26,2 23,2-11,5% Technicolor SA 5,0 7,9 +57,3% Zodiac Aerospace SA 21,2 18,9-10,9% SFR Group SA 22,2 33,5 +50,9% STMicroelectronics NV 8,1 7,9-2,2% Bollore SA 2,9 4,0 +41,3% Hermes International SCA 365,8 358,6-2,0% DBV Technologies SA 62,3 87,4 +40,3% Air France-KLM SA 5,4 5,3-0,9% Europcar Groupe SA 8,3 11,1 +33,2% Alten SA 65,0 64,6-0,5% Ingenico Group SA 70,6 92,5 +31,0% Sodexo SA 100,9 100,4-0,5% Faurecia SA 30,8 40,3 +30,6% biomerieux SA 129,4 129,9 +0,4% Sopra Steria Group SA 91,7 119,5 +30,4% Atos SE 94,0 94,6 +0,6% Veolia Environnement SA 17,7 23,0 +29,9% Vallourec SA 4,1 4,1 +0,6% SUEZ SA 13,3 17,0 +27,4% Technip SA 59,0 60,0 +1,8% ENGIE SA 12,7 16,2 +27,0% Solvay SA 100,1 102,5 +2,4% Cap Gemini SA 74,2 93,8 +26,5% Pernod Ricard SA 104,6 107,1 +2,5% Peugeot SA 13,1 16,6 +26,1% Eurofins Scientific Societe Europeenn 399,0 409,1 +2,5% FINANCIERE D UZES 19

20 PER Les plus élevés Les plus faibles Cours au PER Cours au PER 4-nov e 2017e 4-nov e 2017e Eurazeo SA 50,3 12,5x 36,1x Air France-KLM SA 5,4 4,1x 3,7x Groupe Eurotunnel SE 8,5 38,0x 35,8x Renault SA 75,0 6,2x 5,5x Eurofins Scientific Societe Europeenn 399,0 40,5x 33,7x Peugeot SA 13,1 6,5x 6,2x Hermes International SCA 365,8 34,5x 31,7x Neopost SA 26,2 7,8x 7,9x Sartorius Stedim Biotech SA 59,0 32,7x 28,5x Faurecia SA 30,8 8,6x 7,9x Vivendi SA 18,1 35,7x 28,3x AXA SA 19,4 8,3x 8,1x Dassault Systemes SA 70,4 28,7x 25,9x Societe Generale S.A. Class A 35,6 8,2x 8,3x Remy Cointreau SA 71,4 28,1x 24,8x BNP Paribas SA Class A 50,6 8,5x 8,7x biomerieux SA 129,4 29,0x 24,5x Electricite de France SA 9,8 6,3x 8,8x L'Oreal SA 165,1 25,7x 24,1x Europcar Groupe SA 8,3 10,4x 9,5x Gecina SA 129,0 23,2x 23,8x Gaztransport & Technigaz SA 29,9 9,1x 9,5x Essilor International SA 101,0 26,1x 23,4x Credit Agricole SA 9,5 9,6x 9,5x Iliad SA 179,8 26,3x 22,3x Scor SE 28,3 9,4x 9,6x Orpea SA 74,9 25,7x 22,3x Sopra Steria Group SA 91,7 11,2x 9,6x Jcdecaux SA 24,3 24,5x 21,7x Etablissements Maurel & Prom SA 4,1 46,0x 9,7x PEG Les plus élevés Les plus faibles Cours au PEG Cours au PEG 4-nov e 2017e 4-nov e 2017e Scor SE 28,3 62,5x 63,9x Air France-KLM SA 5,4 0,2x 0,2x Gecina SA 129,0 54,5x 55,7x LafargeHolcim Ltd. 47,6 0,6x 0,5x Alstom SA 23,7 47,4x 36,1x Bouygues SA 28,3 0,7x 0,5x Credit Agricole SA 9,5 25,8x 25,4x Plastic Omnium SA 28,1 0,6x 0,5x Societe BIC SA 124,0 8,9x 8,2x Rexel SA 12,4 0,6x 0,5x Aeroports de Paris SA 89,8 8,5x 7,8x Sopra Steria Group SA 91,7 0,6x 0,5x Groupe Eurotunnel SE 8,5 5,7x 5,4x Aperam SA 39,6 0,8x 0,5x Fonciere des Regions SA 77,1 4,5x 4,4x Ubisoft Entertainment SA 31,5 0,8x 0,6x Sanofi 71,6 3,6x 3,6x Faurecia SA 30,8 0,6x 0,6x Mercialys SA 18,8 3,8x 3,6x SFR Group SA 22,2 1,0x 0,6x L'Oreal SA 165,1 3,7x 3,5x STMicroelectronics NV 8,1 1,2x 0,6x Klepierre SA 36,3 3,6x 3,5x Europcar Groupe SA 8,3 0,7x 0,6x Bureau Veritas SA 17,0 3,2x 3,0x Renault SA 75,0 0,7x 0,7x Legrand SA 49,8 3,2x 2,9x Elior Group SA 19,5 0,8x 0,7x Euronext NV 34,9 3,1x 2,9x Peugeot SA 13,1 0,7x 0,7x FINANCIERE D UZES 20

21 VE / CA Les plus élevées Les plus faibles Cours au VE/CA Cours au VE/CA 4-nov e 2017e 4-nov e 2017e Genfit SA 18,9 110,4x 130,7x Peugeot SA 13,1 0,1x 0,1x DBV Technologies SA 62,3 104,5x 102,0x Casino, Guichard-Perrachon SA 45,5 0,2x 0,2x Gecina SA 129,0 21,5x 22,5x Faurecia SA 30,8 0,2x 0,2x Fonciere des Regions SA 77,1 20,1x 19,8x AXA SA 19,4 0,2x 0,2x Unibail-Rodamco SE 211,2 19,8x 19,6x Air France-KLM SA 5,4 0,2x 0,2x Mercialys SA 18,8 17,6x 16,4x Carrefour SA 23,7 0,3x 0,3x Klepierre SA 36,3 16,5x 16,1x Renault SA 75,0 0,4x 0,3x Icade SA 63,7 15,3x 15,0x Bouygues SA 28,3 0,4x 0,4x Groupe Eurotunnel SE 8,5 7,1x 7,2x Rexel SA 12,4 0,4x 0,4x Hermes International SCA 365,8 7,0x 6,4x Airbus Group SE 51,9 0,5x 0,5x SES SA FDR (Class A) 20,5 6,6x 6,1x Nexans SA 48,5 0,5x 0,5x Eutelsat Communications SA 18,4 5,3x 5,2x Scor SE 28,3 0,5x 0,5x Amundi SA 43,6 5,3x 5,0x CNP Assurances SA 15,5 0,5x 0,5x Dassault Systemes SA 70,4 5,4x 4,8x ArcelorMittal SA 5,9 0,5x 0,5x Innate Pharma SA Class A 10,7 8,7x 4,8x Technicolor SA 5,0 0,6x 0,5x VE / EBITDA Les plus élevées Les plus faibles Cours au VE/EBITDA Cours au VE/EBITDA 4-nov e 2017e 4-nov e 2017e Vallourec SA 4,1-50,2x Peugeot SA 13,1 0,9x 0,6x Gecina SA 129,0 26,6x 27,9x Air France-KLM SA 5,4 2,3x 2,2x Unibail-Rodamco SE 211,2 23,1x 22,9x Faurecia SA 30,8 2,9x 2,6x Fonciere des Regions SA 77,1 22,4x 22,0x Renault SA 75,0 3,2x 2,9x Klepierre SA 36,3 20,7x 20,1x AXA SA 19,4 3,6x 3,6x Mercialys SA 18,8 20,7x 19,4x Etablissements Maurel & Prom SA 4,1 6,8x 3,8x Dassault Aviation SA 963,5 15,7x 18,0x Electricite de France SA 9,8 3,8x 3,9x Hermes International SCA 365,8 19,3x 17,4x Casino, Guichard-Perrachon SA 45,5 4,5x 3,9x Icade SA 63,7 17,5x 16,9x Ubisoft Entertainment SA 31,5 5,3x 4,0x Sartorius Stedim Biotech SA 59,0 19,4x 16,8x Compagnie Generale des Etablissem 94,9 4,7x 4,1x Remy Cointreau SA 71,4 17,8x 16,1x Bouygues SA 28,3 4,9x 4,4x Groupe Eurotunnel SE 8,5 15,8x 15,7x Technicolor SA 5,0 4,8x 4,6x L'Oreal SA 165,1 16,7x 15,3x Airbus Group SE 51,9 5,4x 4,6x Vivendi SA 18,1 16,7x 15,3x Orange SA 13,8 4,8x 4,6x Orpea SA 74,9 16,4x 15,0x ArcelorMittal SA 5,9 5,2x 4,8x FINANCIERE D UZES 21

22 DN / EBITDA Les plus élevées Les plus faibles Capitalisation DN/EBITDA Capitalisation DN/EBITDA (M ) 2016e (M ) 2016e Fonciere des Regions SA ,1x Innate Pharma SA Class A ,0x Mercialys SA ,6x Dassault Aviation SA ,3x Unibail-Rodamco SE ,3x Vallourec SA ,9x Klepierre SA ,0x Vivendi SA ,5x Icade SA ,3x AXA SA ,3x Gecina SA ,8x Worldline SA ,6x Groupe Eurotunnel SE ,1x Technip SA ,6x Orpea SA ,9x Dassault Systemes SA ,5x Wendel SA ,7x Airbus Group SE ,3x CGG 507 5,4x Thales SA 507-1,3x Eiffage SA ,0x Hermes International SCA ,2x Korian SA ,0x Television Francaise 1 SA ,1x Bollore SA ,1x Peugeot SA ,1x SFR Group SA ,8x Metropole Television SA ,7x Europcar Groupe SA ,6x Renault SA ,6x Rendement Les plus élevées Les plus faibles Cours au Rendement Cours au Rendement 4-nov e 4-nov e Electricite de France SA 9,8 25,9% 10,0% CGG 22,9 0,0% 0,0% Gaztransport & Technigaz SA 29,9 11,5% 8,9% Air France-KLM SA 5,4 0,0% 0,0% ENGIE SA 12,7 11,1% 7,8% Ubisoft Entertainment SA 31,5 0,0% 0,0% Vivendi SA 18,1 8,9% 7,1% Etablissements Maurel & Prom SA 4,1 0,0% 0,0% NATIXIS 4,4 8,0% 7,0% Innate Pharma SA Class A 10,7 0,0% 0,0% Casino, Guichard-Perrachon SA 45,5 7,8% 6,9% Genfit SA 18,9 0,0% 0,0% SES SA FDR (Class A) 20,5 7,5% 6,7% DBV Technologies SA 62,3 0,0% 0,0% Neopost SA 26,2 7,0% 6,5% ArcelorMittal SA 5,9 0,0% 0,1% Credit Agricole SA 9,5 6,9% 6,3% Iliad SA 179,8 0,0% 0,3% Euler Hermes Group S.A. 77,4 6,5% 6,1% Eurofins Scientific Societe Europeenn 399,0 0,0% 0,5% Mercialys SA 18,8 6,3% 6,1% Worldline SA 24,3 0,1% 0,7% Societe Generale S.A. Class A 35,6 6,3% 6,0% Dassault Systemes SA 70,4 0,1% 0,8% Eutelsat Communications SA 18,4 6,0% 6,0% biomerieux SA 129,4 0,2% 0,8% Icade SA 63,7 5,9% 6,0% Vallourec SA 4,1 0,4% 0,9% AXA SA 19,4 5,7% 5,9% Sartorius Stedim Biotech SA 59,0 0,5% 0,9% FINANCIERE D UZES 22

23 ROE Les plus élevées Les plus faibles Capitalisatio Capitalisatio ROE n n ROE (M ) 2016e (M ) 2016e Air France-KLM SA ,8% DBV Technologies SA ,7% Gaztransport & Technigaz SA ,8% Genfit SA ,5% Airbus Group SE ,7% CGG ,6% Euronext NV ,9% Vallourec SA ,8% Bureau Veritas SA ,5% Etablissements Maurel & Prom SA 803 1,6% Safran SA ,8% Vivendi SA ,6% Hermes International SCA ,6% Casino, Guichard-Perrachon SA ,0% Valeo SA ,0% Gecina SA ,2% Plastic Omnium SA ,6% ArcelorMittal SA ,2% Sartorius Stedim Biotech SA ,5% LafargeHolcim Ltd ,2% Metropole Television SA ,6% Television Francaise 1 SA ,6% Technicolor SA ,0% STMicroelectronics NV ,6% Sodexo SA ,5% Zodiac Aerospace SA ,0% Ipsen SA ,3% Bollore SA ,0% Europcar Groupe SA ,7% Credit Agricole SA ,1% FINANCIERE D UZES 23

24 GLOSSAIRE ABENOMICS : Politique de relance du premier Ministre Japonais Shinzo Abe reposant sur 3 piliers : budgétaire, monétaire et structurel AIE : Agence Internationale de l Energie AQR : Asset Quality Review Revue de qualité des actifs des banques BIITS émergents : Brésil, Inde, Indonésie, Turquie, Afrique du Sud BRICS : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du sud BREXIT/GREXIT : British «Exit» : sortie du RU de l UE/ Grèce «Exit» : sortie de la Grèce de la zone euro DTS : Les Droits de Tirage Spéciaux sont une unité de compte propre au FMI. Sa valeur est déterminée à partir d un panier de devises choisies pour leur poids international et jusqu à présent composé du dollar (48%), de l euro (33%), du yen (12% et de la livre britannique (7%). La décision d intégrer le yuan dans le panier du FMI devrait prendre effet en septembre EBA : Autorité Bancaire Européenne EONIA : Taux moyen des opérations au jour le jour sur le marché interbancaire en EURIBOR : Taux de référence interbancaire européen Fiscal Cliff : «Mur budgétaire» GEARING : Ratio d endettement d une entreprise (Dette Nette/Fonds propres) INDICE CONFERENCE BOARD : Indice de confiance des consommateurs INDICE PMI : Indice des directeurs d achat INSTITUTIONS de l Union Européenne : 1 le Parlement européen représente les citoyens de l UE (légitimité démocratique), 2- le Conseil des chefs d Etat et de gouvernement représente les intérêts des Etats membres (légitimité étatique), 3- la Commission garantie les Traités et l intérêt général (légitimité communautaire) ISM manufacturier : Indice reflétant l état de santé du secteur manufacturier US (en %) LTRO : Long term refinancing operation- Prêts à LT (3ans) accordés aux banques par la BCE et sans doute bientôt aux entreprises non financières (équivalent à une injection de liquidités ans le système bancaire). MRU : Mécanisme de règlement unique MES : Mécanisme européen de stabilité OAT : Obligation assimilable du Trésor ORA : Obligation remboursable en actions PEG : Division du PER par le taux de croissance moyen des bénéfices PER : Price Earning Ratio. Multiple de capitalisation du résultat par action PROFIT WARNING : Alerte sur la réalisation des résultats QE : Quantitative Easing. Politique monétaire non conventionnelle. SHUTDOWN : Fermeture de certaines administrations US TAPERING : «To Tape» = aller en diminuant. Baisse progressive de l accommodement monétaire de la FED VE/CA : Valeur d entreprise (Capitalisation boursière + Dettes nettes)/ Chiffre d affaires VE/EBIT : Valeur d entreprise (CB+DN)/ Résultat d exploitation

25 10, rue d Uzès PARIS Tél Fax , rue Grenette LYON CEDEX 02 - Tél Fax , rue d Antibes CANNES Tél Fax , place Jean Jaurès SAINT-ETIENNE Tél Fax Parc des Glaisins 5 avenue du Pré-Félin ANNECY-LE-VIEUX Tél Fax , rue Jean Roisin LILLE Tél Fax FINANCIERE D UZES 25

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