IMAGERIE DIGESTIVE non K
|
|
- Émilien Labbé
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 IMAGERIE DIGESTIVE non K sophie.chagnon@apr.aphp.fr Service de Radiologie
2 Demande d imagerie = analyse bénéfice / risque Pas d irradiation c/o femme enceinte ou enfant sauf risque vital Rappel : TDM injecté 1 décès / pts Information du patient Responsabilité clinicien-radiologue conjointe
3 Service de Radiologie
4 Cas clinique n 1 Douleur abdo + vomissements + arrêt matières & gaz + météorisme abdo : Quelle imagerie en 1ère intention? ASP F debout + couché + Rx thorax debout Si debout impossible, TDM mieux que ASP en DL à rayon horizontal
5 Distension (gaz + liquide) en amont de l obstacle Pas d air en aval Debout affirme l occlusion : niveau hydro-aérique (NHA)
6 Valvule connivente Haustration Distension du grêle ASP couché Distension du colon
7 Couché niveau de l occlusion : Haustrations = colique Valvules conniventes = grêle
8 OCCLUSION DU GRELE (SUR BRIDE)
9 NHA sur grêle distendu, pas d air dans colon ni rectum Occlusion du grêle Etio rarement suspectée sur l ASP : - Ileus biliaire (aérobilie +/- calcul enclavé dans grêle)
10 Aérobilie Occlusion du grêle ILEUS BILIAIRE Calcul
11 OCCLUSION HAUTE GRELE (SUR BRIDE)
12 OCCLUSION COLIQUE (K)
13 NHA sur colon distendu; pas d air en aval Occlusion colique Etio rarement suspectée sur l ASP sauf : - Volvulus du colon pelvien (sur mégacolon sigmoïde) : sigmoïde et cadre colique distendus - Volvulus du caecum : gros NHA unique dans hypochondre G Lavement aux hydrosolubles remplacé par TDM
14 Volvulus du colon sigmoïde
15 Volvulus du colon sigmoïde traité par tube
16 VOLVULUS DU CAECUM
17 OCCLUSION MECANIQUE TDM 1) Confirme Dg et topo de l occlusion : Σ sus et sous lésionnel 2) Etiologie si besoin : Σ lésionnel a) Grêle : - Hernie externe (examen clinique +++) ou interne - Calcul calcifié + aérobilie = ileus biliaire - K : épaississement pariétal concentrique, court - Carcinose péritonéale: nodule et/ou épanchement - Abcès (appendiculaire ou diverticulaire) - Rien = bride
18 NHA Grêle dilaté Colon plat OCCLUSION DU GRELE
19 Carcinose péritonéale + Occlusion du grêle
20 OCCLUSION MECANIQUE TDM b) Colon : - K : épaississement pariétal concentrique, court 3) Signes de gravité d une occlusion du grêle: - Graisse infiltrée - Épanchement péritonéal - Anses épaissies ou avasculaires - Pneumatose pariétale
21 OCCLUSION COLIQUE SUR K SIGMOIDE + PNEUMATOSE CAECALE (NECROSE)
22 I - OCCLUSION MECANIQUE ECHO (US) Surtout utilisée en pédiatrie : invagination Sinon moins fiable que TDM
23 INVAGINATION INTESTINALE AIGUE CHEZ UN ENFANT
24 Cas clinique n 2 Douleur abdo + arrêt incomplet des matières et des gaz au décours d une chute de bicyclette Quelle imagerie?
25 ILEUS REFLEXE
26 FRACTURE T12
27 OCCLUSION FONCTIONNELLE Définition : Synonymes : occlusion réflexe, iléus paralytique Arrêt du péristaltisme intestinal 2aire à grande douleur abdo Etios : Appendicite, PA, GEU, colique néphrétique
28 OCCLUSION FONCTIONNELLE Peu de distension gazeuse Peu de NHA NHA sur grêle et colon Cause : clinique +/- TDM ou US
29 Cas clinique n 3 Douleur abdo intense + contracture abdo Quelle imagerie?
30 PNEUMOPERITOINE
31 Couché : NON VISIBLE Debout PNEUMOPERITOINE
32 PERFORATION D ORGANE CREUX Etios : Perforation d ulcère GD, de diverticule sigmoïdien Sémio radio : Croissants gazeux sous-diaphragmatiques sur Rx Thorax debout Sensibilité TDM >>>>> Thorax debout
33 PNEUMOPERITOINE
34 HYDROPNEUMOPERITOINE PAR PERFORATION DU GRELE (lâchage de suture) Douleur abdo + F + contracture post résection du grêle
35 Défense post-trauma ASP normal µ PNEUMOPERITOINE TDM >>> ASP pour pneumopéritoine PERFORATION DU GRELE
36 Cas clinique n 4 Pas de clinique inscrite sur la demande de radio?!!!?
37 Epaississement paroi + diverticules DIVERTICULITE Abcès
38 Cas clinique n 4 Rédigez la demande de radio pour ce patient Merci De réaliser chez ce patient présentant une douleur de FIG + fièvre + défense Evoquant une diverticulite Une TDM En urgence
39 Diverticulite Diverticules + épaississement pariétal + infiltration de la graisse adjacente +/- abcès, +/- fistule vésicale
40 Cas clinique n 5 Douleur de FID + fièvre + défense de FID + douleur latéralisée au TR + hyperleucocytose Quelle imagerie? RIEN : clinique typique bloc opératoire d emblée Imagerie réservée aux cas douteux
41 Appendice dilaté, à paroi épaissie et hypervascularisée APPENDICITE
42 APPENDICITE TDM Dilatation de l appendice Epaississement et prise de contraste pariétale. Infiltration de la graisse adjacente +/- stercolithe +/- abcès.
43 APPENDICITE
44 APPENDICITE Echo Dilatation de l appendice Parois épaissies Infiltration de la graisse adjacente +/- abcès Douleur localisée
45 Cette patiente de 20 ans consulte pour douleur de la FID, Sans fièvre Douleur provoquée modérée dans FID Hyperleucocytose. Quelle est votre hypothèse Dg? Appendicite Degré de fiabilité? Faible à moyen, car pas de fièvre Quel examen d imagerie demandez-vous pour conforter ou infirmer ce Dg? Cas radio-clinique Echo car jeune (pas irradiant) femme (Dg gynéco)
46 Stercolithe Dilatation appendice APPENDICITE
47 Cas radio-clinique Ce patient de 60 ans, obèse, consulte pour douleur de la FID, Sans fièvre Douleur provoquée modérée dans FID Hyperleucocytose. Quelle est votre hypothèse Dg? Appendicite Degré de fiabilité? Faible à moyen, car pas de fièvre Quel examen d imagerie demandez-vous pour conforter ou infirmer ce Dg? TDM car obèse (pas de problème d irradiation car 60 ans)
48 Stercolithe APPENDICITE Pourquoi n a-t-on pas injecté de PC? Dilatation appendice
49 Cas n 8 Hémorragie digestive Quelle imagerie?
50 HEMORRAGIE DIGESTIVE Commencer par endoscopie ASP, TOGD, LB : NON Scanner au temps artériel è saignement actif Artério digestive si hémorragie non contrôlable : localise le saignement en préopératoire; embolisation +++
51 Cas n 7 Douleurs abdo + diarrhée + glaires sanglantes Quelle imagerie?
52 COLITES INFLAMMATOIRES Commencer par coloscopie si pas de mégacolon toxique (ASP) Dg Intérêt de TDM pour la paroi (épaissie) et les complications Intérêt de l Echo-Doppler et entéroirm non irradiants pour le suivi chez les jeunes Opacifications barytées
53 MEGACOLON TOXIQUE CHEZ RCH
54 Maladie de Crohn - douleur abdo - diarrhée - jeune - Colon+iléon - Intervalles de zones saines - Transmural - Sclérolipomatose - Abcès - Fistules Recto-colite ulcérohémorragique - douleur abdo - diarrhée - rectorragie - jeune - Rectum - Pancolique - Muqueux - Mégacolon toxique
55 Colite ischémique - âgé - ATCD vascu - collapsus, déshydratation - segmentaire: jonction vasculaire - pneumatose colique - stratification paroi Colite infectieuse Colite pseudomembraneuse - brutal - diarrhée - voyage - immunodéprimé - pancolique+iléal - adénomégalies - liquide intraluminal - antibiothérapie - pancolique - rehaussement muqueux ++ - ascite
56 STENOSE INFLAMMATOIRE: MALADIE DE CROHN COLITE ISCHEMIQUE
57 RCH + sacro-iliite
58 Coloscopie virtuelle (TDM) - Dépistage de polypes > 6 mm prévention du K colorectal - Si validée, pourrait remplacer la coloscopie diagnostique : préparation colique idem, avec distension aérique, mais pas de coloscope Pas de risque de perforation colique - La coloscopie serait alors réservée à biopsie de tumeurs et exérèse de polypes
59 Coloscopie virtuelle
60 QUIZ
61 F 65 ans; douleur abdo+vomissements+arrêt des gaz OCCLUSION DU GRELE Pourquoi peu d air dans le grêle? Etiologie? Quel examen pour la réponse?
62 HERNIE OBTURATRICE
63 H 75 ans; syndrome occlusif OCCLUSION DU COLON PAR K STÉNOSANT
64 OCCLUSION HAUTE SUR ULCERE
65 OCCLUSION GRELE SUR HERNIE (ATCD iléostomie)
66 Service de Radiologie
67 Cas clinique n 1 Douleur de l hypochondre Dt chez patient diabétique L écho ne retrouve pas de calcul vésiculaire
68 Stéatose Surcharge graisseuse US : Hyperéchogène Diffuse Si hétérogène : peut être pseudot
69 b) TDM : hypodense SPC et après injection de PC homo ou hétérogène c) IRM : séquence spéciale «graisse (opposition de phase)» disparition du S graisseux Stéatose
70 Stéatose IRM:le + fiable (utile si Dg non fait en Echo seulement) HyperS T1 HypoS franc sur séquence en opposition de phase
71 Cas clinique n 2 Météorisme + angiomes stellaires + petit foie Quelle imagerie?
72 Varices oeso-cardiotubérositaires
73 Cirrhose a) Hépatomégalie (lobe G + caudé) b) Contours bosselés (nodules de régénération) c) Complications : - CHC - HTP (hypertension portale)
74 Reperméation de veine para-ombilicale
75 Cirrhose - HTP - V porte (VP) et branches dilatées - Splénomégalie - Ascite - Circulation collatérale : V gastrique G (VO), V paraombilicale, anastomose splénorénale - (Thrombose portale : lacune intraluminale + dilatation de VP)
76 Splénomégalie
77 CHC : DEPISTAGE Chez cirrhose Child A & B (curable) Tous les 6 mois : α foeto-protéine + Echo Se Sp VPP αfp Echo
78 Cas clinique n 3 Douleur aiguë de l épigastre et de hypochondre Droit, sans fièvre Quelle imagerie?
79 US +++ TDM = 0 - Calcul hyperéchogène Cône d ombre post Unique ou multiple Déclive et mobile Visible si > 2mm - Hydrocholécyste (Φ > 4cm) si calcul bloqué dans cystique - Murphy échographique Lithiase vésiculaire
80 Cas clinique n 3 Douleur aiguë de l épigastre et de hypochondre Droit, avec fièvre Quelle imagerie?
81 Epaississement paroi CHOLECYSTITE AIGUE LITHIASIQUE Calculs
82 Cholécystite aiguë US +++ inflammation de paroi vésiculaire Calcul(s) vésiculaire(s) Epaississement de la paroi vésiculaire 4mm Sludge Signe de Murphy US Complication : perforation
83 ETIOS DES EPAISSISSEMENTS DE PAROI VESICULAIRE Cholécystite lithiasique ou non Cholécystite chronique T vésiculaire infiltrante Cholangite du SIDA Hépatite virale Ascite, hypoalbuminémie Œdème (cardiaque, rénal ou métabolique)
84 Cholécystite gangréneuse + pneumopéritoine
85 COMPLICATIONS DE LA CHOLECYSTITE Perforation : collection liquide extraluminale Ileus biliaire : occlusion du grêle + aérobilie
86 Dg Polype vésiculaire Tumeur bénigne si < 8mm Nodule pariétal Immobile Pas de cône d ombre
87 Cas clinique n 4 Douleur + Fièvre + Ictère cholestatique Quelle imagerie?
88 VBIH dilatées CALCULS VESICULE et de VBP
89 Calcul obstructif de VBP Dilatation des VBIH Et de la VBP Calcul rarement visible en US ou TDM : CholangioRM ou Echoendo +++
90 Fiabilité de l Echo dans obstacle de VB responsable d un ictère US peu fiable pour nature de l obstacle si peu volumineux (calcul, K de VBP ou du pancréas) : Echo endo ou CholangioRM +++
91 CholangioRM : utile dans pathologie de la VBP (tumeur, calcul) Calcul du bas cholédoque
92 RÉDACTION DE DEMANDE D IMAGERIE Ce patient vous consulte pour une douleur aiguë de l hypochondre droit et de la fièvre. Rédigez la demande d imagerie
93 RÉDACTION DE DEMANDE D IMAGERIE Identité Echographie abdominale en urgence Pour douleur hypoch Dt+fièvre Suspicion de cholécystite aiguë Merci! Signature
94 RADIO BILIAIRE INTERVENTIONNELLE Cholécystostomie percutanée (si contre-indication chir) Extraction de calculs Dilatation et prothèse pour sténoses
95 ICTÈRE CHOLESTATIQUE ECHO è recherche de dilatation des VBIH +/- VBP US très fiable pour Dg et topo de l obstacle US moins fiable pour l étio : calcul VBP, K tête pancréas, PCC, K des VB, ganglions du pédicule, K I ou II du foie
96 Cas clinique n 5 Douleur épigastrique en barre, intense Lipasémie Quelle imagerie?
97 Pancréatite aiguë (PA) 1) Indication : a) Dg+ = clinique + biol (lipase ) b) Dg étio = Echo (lithiase VB?) ; échoendoscopie dans les 48h si lithiase vésiculaire et/ou dilatation de VBP c) Pron = TDM à 48h (PA oedémateuse, bénigne ou nécroticohémorragique, sévère?)
98 PA Pancréas hypertrophié Epanchement péritonéal Nécrose intrapancréatique
99 PA GRAVE, NECROTIQUE COULEES DE NECROSE Loge pancréas ACE Esp pararénal ant g
100 Pancréatite aiguë (PA) 2) Sémio TDM : - TDM peut être normale - Hypertrophie globale du pancréas, hypodense - Infiltration de la graisse adjacente - Post inj IV de PC: nécrose intrapancréatique ne prend pas le contraste (index nécrotique α taux de mortalité) - Coulées de nécrose : collections liquides (ACE, espace pararénal ant G, puis mésocolon, mésentère, pelvis, médiastin) - Epanchement péritonéal, pleural
101 Pancréatite aiguë (PA) - Classification de Balthazar : A : TDM normal (0 point) B : hypertrophie du pancréas (1 pt) C : infiltration graisse et fascias (2 pts) D : 1 coulée de nécrose intra et/ou extra pancréatique (3 pts) E : plusieurs ou bulles de gaz dans une coulée (4 pts) PA bénigne : A à C PA grave : D à E
102 Pancréatite aiguë (PA) - Index nécrotique : Meilleur index pronostique Pas de nécrose intra-pancréatique (0 point) Nécrose intrapancréatique < 30% (2 pts) Nécrose entre 30 et 50% (4 pts) Nécrose > 50 % (6 pts)
103 Pancréatite aiguë (PA) 4) Complications : a) collections abcès : collection à coque hypervasc, contient pf des bulles de gaz Dg = ponction; drainage chir ou percutané; mauvais pronostic b) Thrombose de V splénique, VMS ou porte c) Hémorragie (pseudoanévrysme de A. splénique) d) Faux kyste après 6è semaine : collection liquide, homogène, avec paroi fine, sur les sites de nécrose. Peut se surinfecter ou saigner.
104 Cas clinique n 6 Douleurs épigastriques chroniques, avec des poussées Stéatorrhée Quelle imagerie?
105 PCC Calcif Dilat du Wirsung
106 Pancréatite chronique calcifiante (PCC) 1) Etios : Ethyl ++ 2) Indications : TDM>US>ASP 3) Sémio : - Atrophie du pancréas - Calcifications - Dilatation moniliforme du Wirsung - Poussées de PA sur PCC : hypertrophie localisée
107 PCC Calcif Faux kyste
108 Pancréatite chronique calcifiante (PCC) Complications : - Dilatation de VBP et VBIH - Poussées de PA et ses complications - Faux kyste - Thrombose V Porte, MS ou splénique - Sténose duodénum - K pancréas
109 QUIZ
110 SPC TPS PORTE STEATOSE HEPATIQUE
111 Cirrhose Anastomose spléno-rénale
112 TUBERCULOSE FOIE
113 Ne demandez un examen d imagerie que si son résultat + ou - modifiera la prise en charge du patient Service de Radiologie
114 Pas de demande d imagerie sans examen clinique préalable hypothèses Dg
115 Jamais de risque insensé pour les patients!
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détail«J ai mal au ventre» :
«J ai mal au ventre» : La douleur abdominale chronique Georges Ghattas, MD Présenté à la Journée d éducation médicale continue de l Université de Montréal, le 10 octobre 2003. Il n existe pas d algorithme
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailMANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998
Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS
Plus en détailL Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit le surpoids comme un IMC égal ou supérieur à 25 l obésité comme un IMC égal ou supérieur à 30
Introduction L obésité est une maladie susceptible d entraîner de multiples complications altérant la qualité et l espérance de vie des patients. Sa fréquence est en augmentation et elle constitue désormais
Plus en détailSITUS INVERSUS ET MESENTERE COMMUN : A PROPOS D UN CAS REVELE PAR UNE INVAGINATION INTESTINALE AIGUE CHEZ UN GARÇON DE 15 ANS
SITUS INVERSUS ET MESENTERE COMMUN : A PROPOS D UN CAS REVELE PAR UNE INVAGINATION INTESTINALE AIGUE CHEZ UN GARÇON DE 15 ANS CHARDOT C., LECOEUR J., HABINEZA C., RUDAKUBANA C., HITIMANA L., HUSSEIN A.
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailCirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Pré-Requis : Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Clinique : o Diagnostic d'une ascite PCEM2 o Insuffisance hépatocellulaire PCEM2
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLa recto-colite hémorragique
La recto-colite hémorragique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailN 195 - DOULEURS ABDOMINALES ET PELVIENNES AIGUES DE L ENFANT. P.GALINIER et E.FOURNIE-GARDINI
N 195 - DOULEURS ABDOMINALES ET PELVIENNES AIGUES DE L ENFANT P.GALINIER et E.FOURNIE-GARDINI La douleur abdominale est un des motifs de consultation les plus fréquents en pédiatrie. Les étiologies sont
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailMI1:Métabolisme et Nutrition Séméiologie des troubles du transit Année universitaire 2007-2008
Introduction Séméiologie des troubles du transit Dans sociétés occidentales, où la quantité de fibres alimentaires est faible, le transit digestif normal se manifeste par : émission de selle de consistance
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailSpécialiste en chirurgie
SIWF ISFM Spécialiste en chirurgie y c. formations approfondies en - chirurgie générale et traumatologie - chirurgie viscérale Programme de formation postgraduée du 1 er juillet 2006 (dernière révision:
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailL ABC POUR SE PRÉPARER À UNE COLOSCOPIE
L ABC POUR SE PRÉPARER À UNE COLOSCOPIE SOMMAIRE 1 La coloscopie, c est quoi?.......................... 4 2 Les objectifs de l examen........................... 5 3 Se préparer à l examen en toute securité...............
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailMaladies inflammatoires chroniques intestinales: une approche globale
World Gastroenterology Organisation Global Guidelines Maladies inflammatoires chroniques intestinales: une approche globale juin 2009 Reviewers Dr. Charles N. Bernstein (président, Canada) Prof. Michael
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailItem 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte
Item 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 3
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailComplications des examens endoscopiques et pharmacologie
Complications des examens endoscopiques et pharmacologie ENDOFIC 2015 Th. De Ronde UCL Mont-Godinne thierry.deronde@uclouvain.be PLAN Erreur médicale? Complication? Facteurs de risque Sédation et anesthésie
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailUpdate. Diagnostic. Un cas de pancréatite aiguë chez un chat Notre cas clinique. Examen clinique. Hypothèses diagnostiques
Diagnostic Update janvier 09 Un cas de pancréatite aiguë chez un chat Notre cas clinique Dr vét. Patrick Lecoindre 69800 St Priest Signalement et motif de consultation Rasta est un chat de race Charteux
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailLes petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011
Les petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011 2 types de «petits signes»? Il a 2 types de petits signes de T21 : 1/ les signes suite
Plus en détailDOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011
DOSSIER de PRESSE Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis Saint-Denis, Janvier 2011 A l occasion de la rénovation de sa façade, validée par l architecte
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailJanvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA
Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailEntérocolpodéfécographie associée à l'étude du temps de transit colique: procédure diagnostique pour exécution en même temps.
Entérocolpodéfécographie associée à l'étude du temps de transit colique: procédure diagnostique pour exécution en même temps. Marco Estienne, Piero Glorialanza, Veronica Giasotto, Fabrizio Gandolfo, Marianella
Plus en détailAugmentations des transaminases 1. Circonstances d'un premier dosage
e n P a t h o l o g i e Di ge st iv e Augmentations des transaminases 1. Circonstances d'un premier dosage PARCOURS Cet homme de 50 ans consulte pour une fatigue (1) durable et sans explication qui, à
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détail