RESEAU DE SURVEILLANCE

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1 Insolation L année 25 est globalement bien ensoleillée en Savoie. Les 2 51 heures d insolation à Bourg-Saint-Maurice sont excédentaires de 3 % alors qu à Chambéry les 1979 heures de soleil dépassent la moyenne habituelle de 7 %. A Chambéry, ce bon ensoleillement est présent durant huit mois de l année (ier,, de à let et de septembre à novembre). Les plus forts excédents sont observés en ier (+ 51 %) et en novembre (+ 63 %). Le mois de est également ensoleillé avec + 21 %. Par contre le mois d est très décevant avec 14 %. Le déficit de 26 % en décembre est moins sensible car les nuages bas des basses vallées nous sont plus coutumiers à cette époque de l année. A Bourg-Saint-Maurice, neuf mois sur douze sont excédentaires. Seuls les mois d il, let et sont déficitaires. Mais ces deux mois estivaux au-dessous des normales se font toutefois bien remarquer et tout particulièrement le mois d avec ses 24 %. En contrepartie les mois d hiver et d automne sont tous bien ensoleillés pour le plus grand plaisir des skieurs. Seuls les touristes de ont pu bénéficier d un bon ensoleillement durant leurs randonnées estivales en montagne. INSOLATION A CHAMBERY ET AIX-LES-BAINS En heures Janv. Fév. Mars Avril Mai Juin Juillet Août Sept. INSOLATION A BOURG-SAINT-MAURICE En heures 3 25 Moyenne (1974-2) Total mensuel en heures Oct. Nov. Déc. Moyenne (1974-2) Source : Météo-France Total mensuel en heures RESEAU DE Dans le département de la Savoie, la surveillance de la qualité de l air est assurée par l association agréée «L Air de l Ain et des Pays de Savoie». Les principales agglomérations du département sont pourvues de stations de mesures, dont les résultats acquis, 24h/24 tout au long de l année, permettent de confronter l air savoyard à la réglementation en vigueur. Cette réglementation détermine trois types de valeurs (variables selon les polluants) : des objectifs de qualité et des valeurs limites qui s appuient sur un bilan annuel rétrospectif de la qualité de l air, s également des seuils préfectoraux (niveau d information et de recommandations sanitaires, niveau d alerte) applicables «en temps réel» lors d épisodes aigus de pollution de l air. Les objectifs de qualité correspondent aux concentrations pour lesquelles les effets sur la santé sont réputés négligeables et vers lesquelles il faudrait tendre en tout point du territoire dès lors que les valeurs sont au-dessus. Les valeurs limites sont les concentrations que l on ne peut dépasser que pendant une durée limitée : des mesures permanentes pour réduire durablement les émissions doivent alors être prises par les Etats membres de l Union Européenne afin de respecter systématiquement ces valeurs. Quand le niveau d information et de recommandations sanitaires est atteint, les effets sur la santé des personnes sensibles (jeunes enfants, asthmatiques, insuffisants respiratoires et cardiaques, personnes âgées, ) sont probables. Dès lors, un arrêté préfectoral définit la liste des organismes à informer et le message de recommandations sanitaires et comportementales à diffuser auprès des médias. Quant au seuil d alerte, il se rapporte à des valeurs au-delà desquelles il y a un risque immédiat pour l ensemble de la population. A l identique du cas précédent, un arrêté préfectoral définit les organismes à contacter pour informer le plus rapidement possible la population. Il incombe alors au Préfet de déterminer les mesures immédiates à prendre pour réduire les émissions de polluants (ralentissement ou arrêt de l activité industrielle, limitation de la vitesse ou arrêt de la circulation, ). SITUATION DES STATIONS DE MESURES 2 15 Chambéry 1 5 Janv. Fév. Mars Avr. Mai Juin Juillet Août Sept. Oct. Nov. Déc. Stations de mesures Saint-Jean-de- Maurienne (station d'étude temporaire) Source : Météo-France Observatoire savoyard de l environnement n 13 49

2 RESEAU DE DIOXYDE DE SOUFRE (SO2) : moyenne annuelle µg/m 3 : objectif de qualité 4 3 Le dioxyde de soufre (SO2) toujours présent en Maurienne µg/m 3 : protection de la végétation Depuis la création du réseau d Air-APS, la vallée de la Maurienne a toujours constitué le territoire le plus exposé à la pollution par le dioxyde de soufre : aux émissions du chauffage au fioul, s ajoutent ici celles issues du tissu industriel local. En 25, les concentrations de dioxyde de soufre ont respecté la réglementation en ce qui concerne les moyennes annuelles : elles sont restées inférieures au seuil de protection de la végétation (2 µg/m 3 ) et de la santé hune (5 µg/m 3 ). Malgré ce bilan a priori positif, la vallée de la Maurienne a, cette année encore, enregistré des épisodes transitoires de pollution de l air. Ce n est pas le centre urbain de qui a été touché en 25, s : le 23 décembre 25, avec 38 µg/m 3, le maximum horaire a dépassé la valeur de 3 µg/m 3 qui correspond au niveau d information de la population et de recommandations sanitaires. Lors de cette même journée du 23 décembre 25, la moyenne journalière a par conséquent dépassé le seuil de la valeur limite fixé à 125 µg/m 3. Mais la valeur limite sur l année, elle, n a pas été dépassée puisque le nombre de jours où cette situation s est produite n a pas excédée 3 jours. DIOXYDE DE SOUFRE (SO2) : moyenne horaire maximale µg/m 3 : niveau d'alerte µ 3 : niveau d'information DIOXYDE DE SOUFRE (SO2) : moyenne journalière maximale 25 DIOXYDE DE SOUFRE (SO2) : moyennes quotidiennes µg/m 3 : seuil de la valeur limite Seuil de la valeur limite sept oct nov dec Le SO2 se forme principalement lors de la combustion du fioul, du charbon et d autres combustibles fossiles, par combinaison du soufre contenu dans ces combustibles et de l oxygène de l air. Les principales sources sont les industries, les centrales thermiques, les chauffages domestiques. La part du trafic automobile, uniquement attribuable aux véhicules diesel, est de plus en plus faible en raison de l amélioration du carburant (désulfuration du gasoil). 5 Observatoire savoyard de l environnement n 13

3 Les particules en suspension (PM1) sous surveillance Comme pour le SO2, en moyenne sur l année 25, les concentrations de poussières en suspension de diamètre inférieur à 1 µm (PM1) ont respecté l objectif de qualité : sur tous les sites de mesure, elles sont en effet demeurées au-dessous de 3 µg/m 3. Toutefois, des épisodes transitoires d accumulation des poussières se sont encore produits en 25, et seule a échappé au dépassement du seuil de la valeur limite (5 µg/m 3 en moyenne sur la journée). Mais c est encore une fois en Maurienne que les niveaux se sont élevés le plus, au point de dépasser le niveau d information de la population et de recommandations sanitaires sur la station de «proximité» de. Mais cette dernière n étant pas intégrée au dispositif préfectoral, en raison du caractère trop ponctuel de la représentativité de ses mesures, la procédure d urgence n a pas été activée. Dans cette vallée, l accumulation des PM1 se répète à plusieurs occasions dans l année : 18 jours à, et 2 jours au centre de. POUSSIERES EN SUSPENSION (PM1) : moyennes quotidiennes 25 RESEAU DE POUSSIERES EN SUSPENSION (PM1) : moyenne annuelle µg/m 3 : objectif de qualité Seuil de la valeur limite le-haut POUSSIERES EN SUSPENSION (PM1) : moyenne journalière µg/m 3 : niveau d'alerte µg/m 3 : niveau d'information µg/m 3 : seuil sept oct nov dec Dans l atmosphère, seules les poussières les plus fines (inférieures à 15 micromètres) restent en suspension dans l air. Parmi elles, celles dont le diamètre aérodynamique est inférieur à 1 micromètres (µm) parviennent alors à pénétrer l appareil respiratoire. Symbolisées par le sigle «PM1» (terme anglophone signifiant «Particulate Matter 1 µm»), ce sont elles qui servent d indicateur global pour cette pollution qui correspond à la mesure des poussières. Les poussières peuvent être d origine naturelle (érosion, volcanisme ) ou anthropique. Dans ce cas, les particules en suspension dans l air proviennent à la fois de l industrie (procédés industriels et chaufferies), du chauffage et du trafic automobile (suies, usure des pièces mécaniques et des pneumatiques). Les véhicules diesels sont les principaux émetteurs routiers et génèrent de très fines particules (leur diamètre est inférieur à,5 µm). POUSSIERES EN SUSPENSION (PM1) : nombre de jours ayant dépassé le seuil de la valeur limite (5 µg/m 3 ) nombre de jours de dépassement 4 35 jours par an : valeur limite Observatoire savoyard de l environnement n 13 51

4 RESEAU DE DIOXYDE D'AZOTE (NO2) : moyenne annuelle µg/m 3 : valeur limite 4 4 µg/m 3 : objectif de qualité Bilan satisfaisant pour le dioxyde d azote (NO2) Polluant essentiellement d origine automobile, le dioxyde d azote est présent dans toutes les villes et notamment au plus près des axes routiers les plus fréquentés. Mais partout, les teneurs sont restées conformes à la réglementation. 25 n a pas eu à subir de pics de pollution en dioxyde d azote : les valeurs horaires les plus élevées sont demeurées en dessous de 2 µg/m 3, seuil fixant à la fois le niveau d information et la valeur limite. A fortiori, le niveau d alerte n a pas été atteint. Nous obtenons donc un bilan qui autorise une relative sérénité quant au respect des valeurs réglementaires prévues pour 21. DIOXYDE D'AZOTE (NO2) : moyenne horaire maximale µg/m 3 : niveau d'alerte 3 DIOXYDE D'AZOTE (NO2) : maxima horaires journaliers µg/m 3 : niveau d'information et seuil de la limite Seuil de la valeur limite et niveau d'information le-haut Les oxydes d azote résultent de la combinaison à haute température de l oxygène et de l azote présents dans l air ou dans les combustibles. Ils sont émis par les véhicules à moteur ainsi que par les installations de combustion industrielles et domestiques. Les oxydes d azote, symbolisés par la formule chimique NOX, rassemblent notamment le monoxyde d azote (NO) et le dioxyde d azote (NO2), s seul ce dernier est considéré comme un polluant au regard de ses effets sur la santé hune. sept oct nov dec Et toujours de l ozone (O3) en été 113 Après l été 23 exceptionnel, la situation en ce qui concerne l ozone est redevenue «classique» en 24. Mais cet été, à ranger dans la catégorie des «années normales» reste malgré tout marqué par un habituel et fréquent dépassement de toutes les valeurs réglementaires : protection de la végétation, protection de la santé hune n ont pas été respectées dans toutes les agglomérations. Parmi celles-ci, la plus peuplée, à savoir Chambéry, a même connu au moins deux journées où le dispositif préfectoral d informations et de recommandations a dû être activé. L ozone demeure donc un polluant «à problème», qui d année en année, confirme une présence généralisée sur tout le territoire savoyard. En 25, les concentrations d ozone ont été plutôt «habituelles». Mais pour ce polluant, ce terme n est hélas pas positif. En effet, comme chaque année, les chaleurs estivales, bien qu ayant été normales, ont activé les mécanismes de production photochimique de l ozone. Ainsi, toutes les villes ont enregistré de nombreux jours avec un dépassement de l objectif de qualité (12 µg/m 3 en moyenne sur 8h). 52 Observatoire savoyard de l environnement n 13

5 En cours de journée d été, les teneurs d ozone s élèvent et peuvent dépasser la barre des 18 µg/m 3 déterminant le niveau d information. Chambéry est la plus touchée, car les vallées de Tarentaise et de la Maurienne, mieux ventilées par les brises thermiques, échappent à ce phénomène. Fort heureusement, on peut remarquer que l ampleur des «pics d ozone» n a pas atteint le niveau d alerte. RESEAU DE OZONE (O3) : maxima horaires journaliers Niveau d'information et de recommandations Barby le-haut L ozone, comme d autres oxydants, est issu d une réaction photochimique (initiée par les rayonnements solaires U.V.) entre différents composés prires appelés «précurseurs», présents dans l atmosphère. C est un polluant dit «secondaire» puisqu il n est pas directement émis par une source (a contrario des polluants dits «prires»). Les précurseurs sont en particulier les oxydes d azote (NOX) et les Composés organiques volatils (COV), polluants essentiellement automobiles. Une particularité notable de la pollution photo-oxydante est sa répartition géographique, conditionnée en grande partie par son mode de formation. En effet, les plus fortes concentrations sont observées en périphérie des villes alors qu au centre de l agglomération, les valeurs sont moins importantes. L ozone péri-urbain suit des cycles de formation annuels et journaliers typiques : les teneurs sont quasiment nulles en hiver, les plus fortes concentrations étant mesurées entre et. Les plus forts niveaux d ozone sont atteints dans l après-midi, aux heures d ensoleillement intense, et les plus faibles la nuit (consommation chimique de l ozone). 5 OZONE (O3) : dépassement de l'objectif de qualité (12 µg/m 3 ) sept oct nov dec nombre de jours de dépassement OZONE (O3) : moyenne horaire maximale µg/m 3 : niveau d'alerte Barby µg/m 3 : niveau d'information 161 OZONE (O3) : dépassement du niveau d'information (18 µg/m 3 ) nombre de jours de dépassement Barby 2 1 Barby Observatoire savoyard de l environnement n 13 53

6 RESEAU DE LES INDICES ATMO EN SAVOIE Chambéry 1 Bilan de l indice ATMO 8 Chaque jour, les concentrations mesurées pour les quatre polluants surveillés déterminent quatre sous-indices : l indice ATMO prend la valeur du sous-indice le plus élevé, pour qualifier de manière globale la qualité de l air des trois agglomérations savoyardes. 6 4 Le bilan 25 laisse apparaître une certaine homogénéité dans la répartition des indices de qualité de l air : globalement, pour chaque agglomération surveillée, on observe environ 7 % de journées avec une qualité de l air «bonne» ou «très bonne». Si l on regarde plus finement ce bilan, on voit par exemple qu a été la ville la plus favorisée en 25, avec 75% de journées dont la qualité de l air a été au moins «bonne». Il s agit donc d une année dans la moyenne positive pour Chambéry et, avec relativement peu de journées avec une qualité de l air «médiocre». Le même bilan aurait pu être fait en Maurienne si le nombre de journées «moyenne» n avait pas progressé au détriment des «bonne» et «très bonne» Indice Qualificatif Très mauvais Mauvais Médiocre Moyen Bon Très bon 54 Observatoire savoyard de l environnement n 13

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