Techniques d aide au diagnostic des tumeurs ovariennes
|
|
- Alexandre Marceau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Techniques d aide au diagnostic des tumeurs ovariennes F. Penault-Llorca Généralités Les tumeurs ovariennes représentent un ensemble complexe de tumeurs caractérisées par une grande variété de groupes tumoraux et de types histopathologiques. Pour les tumeurs épithéliales, il existe plusieurs catégories de tumeurs : les tumeurs bénignes, à malignité limite et les adénocarcinomes. L immuno-histochimie (IHC) et les colorations spéciales peuvent aider à résoudre de nombreux problèmes de diagnostic différentiel. La microscopie électronique n est pratiquement plus utilisée, pour des raisons techniques. Elle apportait cependant une aide précieuse dans certaines situations. Les situations dans lesquelles les techniques spéciales peuvent aider le pathologiste sont les suivantes : un diagnostic différentiel entre une tumeur primitive et une métastase ovarienne ; un diagnostic de groupe tumoral (tumeur épithéliale, tumeur germinale, tumeur du stroma et des cordons sexuels ) ; au sein d un même groupe tumoral, un diagnostic du type de tumeur (tumeur endométrioïde ou séreuse, tumeur du sac vitellin ou choriocarcinome ). En revanche, l immuno-histochimie et les colorations spéciales ne seront d aucune aide pour différencier une tumeur bénigne d une tumeur maligne (comme d ailleurs pour pratiquement tous les autres types tumoraux, à l exception de la pathologie prostatique). Marqueurs utilisés Marqueurs épithéliaux communs L utilisation des pan-cytokératines (AE1/AE3) n a d intérêt que dans quelques situations particulières comme l identification d une différenciation épithéliale dans une tumeur indifférenciée, la distinction entre une tumeur germinale
2 100 Les cancers ovariens séminomateuse et une tumeur germinale non séminomateuse (qui exprimera diffusément les pan cytokératines à l opposé des tumeurs séminomateuses dans lesquelles l expression est absente ou bien focale et faible [1]). L expression de l EMA (antigène épithélial de membrane) est utile pour distinguer une prolifération épithéliale d une tumeur du stroma et des cordons sexuels mimant une tumeur épithéliale. L EMA est beaucoup plus spécifique d une prolifération épithéliale que les pan cytokératines qui peuvent être exprimées dans les tumeurs épithéliales primitives et secondaires, les tumeurs de la granulosa, les tumeurs de Sertoli-Leydig et les tumeurs germinales à l exception des séminomes (ou dysgerminomes (2)). D autres marqueurs peuvent être utilisés (CK7-CK20, CD15 ), ils seront développés plus loin dans la section «diagnostic différentiel entre tumeurs épithéliale ovarienne primitive et métastatique» (3). Marqueurs associés aux tumeurs germinales Alpha-fœto-protéine : ce marqueur est exprimé principalement par les tumeurs du sac vitellin, mais aussi par les tumeurs à différentiation hépatoïde comme la tumeur du sac vitellin hépatoïde, l exceptionnel carcinome ovarien hépatoïde et les hépatocarcinomes métastatiques à l ovaire (4). Bien qu exceptionnellement positif focalement dans des carcinomes embryonnaires, un marquage par l alphafœto-protéine signe en général un tumeur du sac vitellin (utile pour le diagnostic différentiel avec une tumeur endométrioïde présentant des aspect du tumeur vitelline) (5). β HCG : son expression est limitée aux cellules syncytiotrophoblastiques et à une population de trophoblastes extravilleux. L expression de β HCG est donc caractéristique des tumeurs renfermant des cellules syncytiotrophoblastiques comme les choriocarcinomes (par définition), certains séminomes et carcinomes embryonnaires. En revanche, une expression de β HCG peut être retrouvée de façon non spécifique dans de nombreux carcinomes indifférenciés en l absence de tout caractère germinal (6, 7). PLAP (phosphatase alcaline placentaire) : son expression est reconnue comme spécifique d une tumeur séminomateuse (où son absence d expression est inhabituelle). Cependant, des tumeurs non séminomateuses, et de nombreux carcinomes peuvent exprimer la PLAP.
3 Techniques d aide au diagnostic des tumeurs ovariennes 101 Marqueurs des cellules du stroma et des cordons sexuels La réticuline : son aspect est caractéristique dans les tumeurs de ce groupe puisqu'elle enserre chaque cellule tumorale (8). Inhibine : marqueur spécifique des tumeurs de ce groupe tumoral marque naturellement les cellules lutéinisées du stroma ovarien accompagnant certains carcinomes ce qui impose lors de l interprétation de l IHC de bien distinguer le type cellulaire impliqué par le marquage (9). Le CD99 ou MIC2 bien que non spécifique de ces tumeurs est exprimé dans les tumeurs de la granulosa et les tumeurs de Sertoli et Leydig, de même que le Melan A qui est plutôt exprimé dans les tumeurs à cellules de Sertoli (10). Autres marqueurs Ils seront développés dans les sections appropriées de diagnostic différentiel (marqueurs lymphoïdes, marqueurs de mélanome malin, marqueurs endocriniens, marqueurs musculaires ). Diagnostic différentiel entre un adénocarcinome ovarien primitif et une métastase Problématique des tumeurs séreuses Elles posent un diagnostic différentiel avec une métastase sauf dans le cas où le diagnostic clinique s oriente plutôt vers un mésothéliome malin avec extension ovarienne (contexte d exposition à l amiante). Le profil immuno-histochimique «de base» étant commun (KL1, EMA, Vimentine positivité), c est Tableau I Panel suggéré d anticorps distingant adénocarcinome ovarien et mésothéliome malin. Anticorps Adénocarcinome ovarien Mésothéliome malin CD15 +/- - BerEP4 + - B CK5/CK6 - + Calrétinine Rares cellules + +
4 102 Les cancers ovariens l utilisation d un panel d anticorps tels que CD15 (LeuM1), BerEP4, B72.3 pour la différentiation épithéliale, et les cytokératines CK5/CK6 et la calrétinine pour la différentiation mésothéliale qui permet de trancher (11). Tumeurs mucineuses ou endométrioïdes Le diagnostic différentiel se pose fréquemment pour ces tumeurs, en particulier lorsqu elles sont bilatérales (en faveur d une métastase). Les métastases peuvent provenir principalement du tractus digestif : côlon, estomac, pancréas, de la glande mammaire, du poumon. Tous les aspects histopathologiques peuvent s'observer au niveau d une métastase ovarienne d un carcinome mucineux, notamment les aspects de tumeur «borderline» et de cystadénome. Les aspects de nécrose glandulaire en guirlande sont assez évocateurs d un processus métastatique. Les panels immuno-histochimiques les plus utilisés renferment les cytokératines 7 et 20, l ACE monoclonal, les récepteurs hormonaux, le TTF1 (3, 12-15). Tableau II Panel suggéré d anticorps pour distinguer tumeurs mucineuses et endométrioïdes. Anticorps Ovaire Ovaire Côlon Pancréato- Sein Poumon mucineux non biliaire mucineux Estomac CK , +/-,-/+,- + + CK20 + / , +/-,-/+,- - -/+ ER/PR +/- + / /- - mace + /- -/+ + + Quelques cell + + GCDPF /- - TTF /- CK7- CK20+ Côlon CK20+ RE/RP+ Ovaire mucineux CK7+ Pancréato-biliaire Estomac Poumon CK20- RE/RP- mace+ mace- Ovaire non mucineux Fig. 1 Algorythme diagnostique adénocarcinome primitif ovarien - métastase d un adénocarcinome.
5 Techniques d aide au diagnostic des tumeurs ovariennes 103 La négativité de CK7 exclut a priori un primitif ovarien par rapport à un carcinome digestif. Le profil immuno-histochimique des métastases des carcinomes gastriques et pancréatobiliaires sont le plus souvent non contributifs car toutes les combinaisons CK7/CK20 sont possibles; par exemple, les tumeurs gastriques présentent des profils variables : 40% des cas : C7/CK20+, 10% : CK7-/ CK20-, 30% CK7 +/CK20+, 20% : CK7+/CK20-. Une diffusion tumorale importante fait penser à un processus métastatique, par exemple devant des métastases hépatiques, associées à une tumeur mucineuse ovarienne bilatérale de phénotype non digestif (en particulier, avec une positivité du CK7 et une faible positivité du CK20). Certains anticorps comme le WT1 (16), la bêta caténine (17), HAM56 (18) ont été rapportés dans la littérature comme plus ou moins spécifiques d une origine ovarienne primitive. Cependant, ils restent peu utilisés en routine. Tumeurs à cellules claires Les adénocarcinomes primitifs ovariens à cellules claires (CCC) expriment fortement et de manière diffuse les cytokératines, l EMA et le CD15. Ils sont cytokératine 7 positive et cytokératine 20 négative. L ACE est positif dans 38 à 63% des cas et le CA125 dans 50 à 72% des cas selon les auteurs. L alpha-fœtoprotéine (AFP) est rarement positive. Le CD10 est toujours négatif (19, 20). Le diagnostic différentiel se porte principalement dans les cas suivants : Tumeurs germinales (tumeur vitelline, dysgerminome) : cliniquement, ces tumeurs touchent des femmes jeunes à l inverse des carcinomes à cellules claires qui sont observés après 50 ans et la tumeur vitelline s accompagne d une augmentation de l alpha-fœto-protéine sérique : comme les tumeurs du sac vitellin, les carcinomes à cellules claires peuvent avoir une architecture papillaire ou réticulaire, des cellules claires et des globules hyalins. L AFP est exprimée dans toutes les tumeurs vitellines et rarement dans les carcinomes à cellules claires et c est l inverse pour le CD15 (21) ; certains carcinomes à cellules claires possèdent un stroma inflammatoire séparant des amas de cellules claires comme les dysgerminomes ou séminomes; cependant, il s agit d un infiltrat à prédominance plasmocytaire. Les dysgerminomes ont un profil immuno-histochimique caractéristique PLAP+ (phosphatase alcaline placentaire) et CD119+ et n expriment pas l EMA et peu ou pas la kératine à l inverse des carcinomes à cellules claires (22). Métastases de carcinome à cellules claires d origine rénale ou digestive (variété à cellules en «bague à châton») : elles sont rares (11 cas de métastases ovariennes de carcinomes à cellules claires rénaux) et peuvent précéder, parfois de plusieurs années, la découverte du primitif. Les métastases sont généralement bilatérales,
6 104 Les cancers ovariens alors que seuls 2 à 4% des carcinomes à cellules claires primitifs ovariens de stade I le sont. La coexistence d une endométriose plaide pour une origine primitive. L utilisation d un panel d anticorps (dont les CK7 et 20) est très utile (23). Tableau III Panel suggéré d anticorps pour distinguer cancer à cellules claires (CCC) ovarien, CCC rénal et carcinome digestif en bague à chaton. Anticorps CCC ovarien CCC rénal Carcinome digestif en bague à chaton CK CK CytoK CD RE/RP + 80% - - CA % - - Tumeurs stéroïdes : elles peuvent renfermer un abondant cytoplasme clair, riche en lipides; mais elles sont plus petites que les carcinomes à cellules claires, bien limitées, leurs noyaux sont d aspect bénin ou de bas grade nucléaire et elles expriment fortement l alpha-inhibine (9). Carcinome endométrioïde de type sécrétoire : les deux types de carcinomes, endométrioïde et à cellules claires, peuvent être associés, on peut observer des foyers de métaplasie malpighienne dans l adénocarcinome endométrioïde et il n y a pas de différence immuno-histochimique permettant de trancher. Tumeurs à différenciation urothéliale Un diagnostic différentiel entre une tumeur de Brenner maligne et une métastase ovarienne d un carcinome urothélial ne se pose qu en absence de contingent Brenner bénin. Le profil immuno-histochimique d une Brenner maligne est différent du carcinome urothélial : CK7 et CA125 positifs, CK20, CK 13, thrombomoduline et uroplakine négatifs (24). Aide au diagnostic d un groupe tumoral Les différents groupes tumoraux ont des caractéristiques immuno-histochimiques qui leur sont particulières et qui sont en rapport avec leur origine embryologique. Un recours à l immuno-histochimie est rarement nécessaire pour faire un diagnostic de groupe tumoral car la morphologie des types
7 Techniques d aide au diagnostic des tumeurs ovariennes 105 épithéliaux, germinaux et cordons sexuels est en général très caractéristique. Néanmoins, l immuno-histochimie est utile dans les tumeurs présentant des aspects évocateurs de tumeurs germinales ou des cordons sexuels en l absence d un contexte clinique évocateur et dans le cas de tumeurs indifférenciées à petites cellules rondes, pour lesquelles de nombreuses hypothèses diagnostiques sont possibles et où la prise en charge thérapeutique est différente. Carcinome ovarien primitif versus tumeur du stroma ou des cordons sexuels Les tumeurs endométrioïdes peuvent assez souvent présenter des aspects de tumeurs du stroma et des cordons sexuels. Ces dernières sont immuno-réactives pour l inhibine et le CD99 ou MIC2 et le mélan A (9, 10, 25). De même, une tumeur de la granulosa peut en imposer pour une tumeur carcinoïde (la chromogranine doit être négative et CK 8-18 positive dans les tumeurs de la granulosa). Une tumeur de Sertoli-Leydig peut présenter de nombreuses variantes histopathologiques de diagnostic positif souvent difficile, aidé par un panel d anticorps incluant, outre les anticorps présentés dans le tableau ci dessous, la chromogranine, la synaptophysine, l A103 et l alphafœto-protéine (24). Tableau IV Panel suggéré d anticorps permettant de distinguer cancer de l'ovaire épithélial, thécome, tumeurs de la granulosa et de Sertoli-Leydig. Anticorps Ovaire épithélial Thécome Granulosa Sertoli-Leydig EMA + - ou qq cell Inhibine - ou qq cell /- CD99 (MIC2) -? + + MelanA -? +/- + Carcinome ovarien primitif versus tumeur germinale Les problèmes diagnostiques peuvent se poser pour des tumeurs très indifférenciées avec un carcinome embryonnaire, pour un carcinome endométrioïde prenant dans certains cas des aspects de tumeur vitelline et devant des aspects de cellules claires avec un dysgerminome (CD117 ou ckit +) comme exposé précédemment. Le CD 30 est discrimant pour le diagnostic positif du carcinome embryonnaire (26). Récemment, l utilisation de l anticorps OCT4 a été préconisée comme marqueur des séminomes et des carcinomes embryonnaires (27).
8 106 Les cancers ovariens Tableau V Panel suggéré d anticorps. Anticorps Ovaire Séminome Vitelline Carcinome Chorioépithélial embryonnaire carcinome Cytokératine + - ou qq cell AFP /+ - BHCG -/+ - ou qq cell + - ou qq cell + - ou qq cell + + CD ou qq cell + - ou qq cell Tumeur ovarienne à petites cellules (24) Il existe plusieurs hypothèses diagnostiques différentes : Tumeurs à petites cellules avec hypercalcémie (CPC) : le profil immunohistochimique n est pas spécifique : les carcinomes à petites cellules expriment généralement l EMA et, de manière variable, la vimentine, la cytokératine, la NSE et la chromogranine, mais pas l inhibine (28). De rares tumeurs sont marquées par l anticorps anti-pth, mais le marquage n est pas spécifique (28). Les carcinomes à petites cellules possèdent des caractéristiques ultrastructurales de tumeurs épithéliales : des jonctions intercellulaires (desmosomes), des membranes basales, des microvillosités, un réticulum endoplasmique abondant et dilaté avec formation de grosses vésicules remplies d un matériel protéique caractéristique, mais pas de granule de neurosécrétion (29). Tumeurs de la granulosa adulte (TGA) et juvénile (TGJ) : elles représentent le principal piège diagnostique. Cependant, les aspects cytologiques diffèrent et d un point de vue immunohistochimique, elles expriment l inhibine et l EMA au contraire des carcinomes à petites cellules avec hypercalcémie (9). Tumeurs germinales : dans la tranche d âge des carcinomes à petites cellules avec hypercalcémie, on peut également évoquer une tumeur du sinus endodermique, un dysgerminome ou un carcinome embryonnaire. Les aspects histologiques diffèrent le plus souvent et l étude immunohistochimique et les marqueurs tumoraux (bêta-hcg, alpha-fœto-protéine, ACE) établissent facilement le diagnostic. Autres tumeurs posant des problèmes diagnostiques : lymphomes, tumeurs à cellules rondes de l enfant primitives ou métastatiques (PNET, neuroblastome, tumeur desmoplasique intra-abdominale à cellules rondes, Ewing, rhabdomyosarcome alvéolaire), métastase de mélanome : toutes ces tumeurs ont des caractéristiques histologiques et surtout immunohistochimiques et ultrastructurales qui les différencient du carcinome à petites cellules avec hypercalcémie. On peut s aider d un panel d anticorps : ALC, PS100, CD99, Desmine, HMB45 (24).
9 Techniques d aide au diagnostic des tumeurs ovariennes 107 Tableau VI Panel suggéré d anticorps permettant de distinguer carcinome, lymphome, mélanome, granulosa, cancer à petites cellules pulmonaire, cancer à petites cellules avec hypercalcémie, tumeur desmoplastique. Anticorps Carcinome Lymphome Mélanome Granulosa CPC CPC Tumeur pul Ca + desmoplastique m + CK /- + +/- + EMA + -/ /- + CD S-100 -/ /+ R+ - R+ Inhibine R Chromogranine -/ /- - -/+ Desmine / /- CD99 - -/+ - +/- -/+ -/+ -/+ R+ : de rares cellules peuvent être positives. Métastase de CPC pulmonaire ou extrapulmonaire et CPC de type neuroendocrine primitif de l ovaire (30) : Ces tumeurs atteignent des femmes plus âgées, après la ménopause et sont souvent associées à une tumeur épithéliale de surface. Elles expriment classiquement la NSE et, plus rarement, la chromogranine A. Conclusion Les techniques spéciales et tout particulièrement l immuno-histochimie sont d une grand aide au diagnostic positif de certaines tumeurs ovariennes primitives. Elles sont également très utiles au diagnostic différentiel des tumeurs mucineuses de l ovaire pour lesquelles un diagnostic de primitif ovarien est un diagnostic d élimination. Ces techniques apportent dans la plupart des cas un diagnostic de certitude permettant une prise en charge adaptée de la patiente. L immuno-histochimie est également utilisée en recherche pour la détermination du pronostic ou de marqueurs biologiques utiles pour la prise en charge «ad hoc» des patientes. Références 1. Eglen DE, Ulbright TM (1987) The differential diagnosis of yolk sac tumor and seminoma. Usefulness of cytokeratin, alpha-fetoprotein, and alpha-1-antitrypsin immunoperoxidase reactions. Am J Clin Pathol 88(3):
10 108 Les cancers ovariens 2. Ordi J, Schammel DP, Rasekh L, Tavassoli FA (1999) Sertoliform endometrioid carcinomas of the ovary: a clinicopathologic and immunohistochemical study of 13 cases. Mod Pathol 12(10): Kurman RJ, Norris HJ (1976) Endodermal sinus tumor of the ovary: a clinical and pathologic analysis of 71 cases. Cancer 38(6): Zirker TA, Silva EG, Morris M et al. (1989) Immunohistochemical differentiation of clearcell carcinoma of the female genital tract and endodermal sinus tumor with the use of alpha-fetoprotein and Leu-M1.Am J Clin Pathol 91(5): Niehans GA, Manivel JC, Copland GT et al. (1988) Immunohistochemistry of germ cell and trophoblastic neoplasms. Cancer 15; 62(6): Lagendijk JH, Mullink H, Van Diest PJ et al. (1998) Tracing the origin of adenocarcinomas with unknown primary using immunohistochemistry: differential diagnosis between colonic and ovarian carcinomas as primary sites. Hum Pathol 29(5): Lifschitz-Mercer B, Walt H, Kushnir I et al. (1995) Differentiation potential of ovarian dysgerminoma: an immunohistochemical study of 15 cases. Hum Pathol 26(1): Prat J (2004) Sex cord-stromal tumors. In: Prat J (ed) Pathology of the ovary, Saunders Philadelphia p Matias-Guiu X, Prat J (1998) Alpha-inhibin immunostaining in diagnostic pathology. Adv Anat Pathol 5(4): Gordon MD, Corless C, Renshaw AA, Beckstead J (1998) CD99, keratin, and vimentin staining of sex cord-stromal tumors, normal ovary, and testis. Mod Pathol 11(8): Chenard-Neu MP, Kabou A, Mechine A et al. (1998) [Immunohistochemistry in the differential diagnosis of mesothelioma and adenocarcinoma. Evaluation of 5 new antibodies and 6 traditional antibodies] Ann Pathol 18(6): Lagendijk JH, Mullink H, van Diest PJ et al. (1999) Immunohistochemical differentiation between primary adenocarcinomas of the ovary and ovarian metastases of colonic and breast origin. Comparison between a statistical and an intuitive approach. J Clin Pathol 52: Lee KR, Young RH (2003) The distinction between primary and metastatic mucinous carcinomas of the ovary: gross and histologic findings in 50 cases. Am J Surg Pathol 27(3): Park SY, Kim HS, Hong EK, Kim WH (2002) Expression of cytokeratins 7 and 20 in primary carcinomas of the stomach and colorectum and their value in the differential diagnosis of metastatic carcinomas to the ovary. Hum Pathol 33(11): Tot T (2002) Cytokeratins 20 and 7 as biomarkers: usefulness in discriminating primary from metastatic adenocarcinoma. Eur J Cancer 38(6): Cathro HP, Stoler MH (2005) The utility of calretinin, inhibin, and WT1 immunohistochemical staining in the differential diagnosis of ovarian tumors. Hum Pathol 36(2): Fowler LJ, Maygarden SJ, Novotny DB (1994) Human alveolar macrophage-56 and carcinoembryonic antigen monoclonal antibodies in the differential diagnosis between primary ovarian and metastatic gastrointestinal carcinomas. Hum Pathol 25(7): Chou YY, Jeng YM, Kao HL et al. (2003) Differentiation of ovarian mucinous carcinoma and metastatic colorectal adenocarcinoma by immunostaining with beta-catenin. Histopathology 43(2): Ordi J, Romagosa C, Tavassoli Fa, Nogales F (2003) CD10 expression in epithelial tissues and tumors of the gynecologic tract: a useful marker in the diagnosis of mesonephric, trophoblastic, and clear cell tumors. Am J Surg Pathol 27 (2): Vang R, Whitaker Bp, Farhood Ai, Silva Eg (2001) Immunohistochemical analysis of clear cell carcinoma of the gynecologic tract. Int J Gynecol Pathol 20 (3): Bahri I, Boudawara T, Khabir A (2003) Carcinome à cellules claires de l ovaire simulant une tumeur vitelline. Ann Pathol 23(2): McCluggage WG (2004) Ovarian neoplasms composed of small round cells: a review. Adv Anat Pathol 11(6):
11 Techniques d aide au diagnostic des tumeurs ovariennes Cameron RI, Ashe P, O'Rourke DM et al. (2003) A panel of immunohistochemical stains assists in the distinction between ovarian and renal clear cell carcinoma. Int J Gynecol Pathol 22(3): Baker PM, Oliva E (2005) Immunohistochemistry as a tool in the differential diagnosis of ovarian tumors: an update. Int J Gynecol Pathol 24(1): Busam KJ, Iversen K, Coplan KA et al. (1998) Immunoreactivity for A103, an antibody to melan-a (Mart-1), in adrenocortical and other steroid tumors. Am J Surg Pathol 22(1): Jones TD, Ulbright TM, Eble JN et al. (2004) OCT4 staining in testicular tumors: a sensitive and specific marker for seminoma and embryonal carcinoma. Am J Surg Pathol 28(7): Leroy X, Augusto D, Leteurtre E et al. (2002) CD30 and CD117 (c-kit) used in combination are useful for distinguishing embryonal carcinoma from seminoma. J Histochem Cytochem 50(2): Aguirre P, Thor Ad, Scully Re (1989) Ovarian small cell carcinoma. Histogenetic considerations based on immuno-histochemical and other findings. Am J Clin Pathol 92 (2): Dickersin Gr, Scully Re (1998) Ovarian small cell tumors: an electron microscopic review. Ultrastruct Pathol 22 (3): Eichhorn J, Young R (2001) Neuroendocrine tumors of the genital tract. Am J Clin Pathol 115 Suppl S:
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailHMB-45 + Mart-1 (Melan A) + Tyrosinase (HMB-45+A103+T311)
HMB-45 + Mart-1 (Melan A) + Tyrosinase Identification du Produit Réf. cat. Description 45318 IMPATH HMB-45&MART-1 RTU M (HMB-45&MelanA) Définitions Des Symboles P A E S DOC# DIS prêt à l emploi ascite
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailA Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger
Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailHISTOSEMINAIRE CARREFOUR PATHOLOGIE 2012 «CLASSIFICATION 2014 DES CARCINOMES BRONCHOPULMONAIRES : NOUVEAUTES ET IMPLICATIONS CLINIQUES»
HISTOSEMINAIRE CARREFOUR PATHOLOGIE 2012 «CLASSIFICATION 2014 DES CARCINOMES BRONCHOPULMONAIRES : NOUVEAUTES ET IMPLICATIONS CLINIQUES» 20 NOVEMBRE 2012 Coordination : Sylvie LANTUEJOUL Avec la participation
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailUn nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD
Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD J Boursier, A Guillet, S Michalak, Y Gallois, F Oberti, I Fouchard-Hubert,
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailNewsletter. Crizotinib
Newsletter rizotinib Accès sécurisé au crizotinib pour les patients souffrant d une tumeur porteuse d une altération génomique sur une des cibles biologiques de la molécule n Avril o «Accès sécurisé au
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailnfocancer Le cancer de l'ovaire www.infocancer.org Une initiative bénévole universitaire
Le cancer de l'ovaire Informations médicales clés Options thérapeutiques et leur suivi Recherche clinique Infos pratiques et carnet d'adresses Démarches à suivre, les administrations Une initiative bénévole
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailImagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire
4ème Journée inter-régionale RENATEN Centre / Poitou-Charente Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire Maria João Santiago-Ribeiro CHRU Tours Université François Rabelais
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailThérapies ciblées en Onco-Hématologie
Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailCirculating Tumor Cell Kit (épithélial)
REF 7900001 Kit de 16 tests Circulating Tumor Cell Kit (épithélial) I e631600001_fr APPLICATION Pour usage in vitro. Le kit CELLSEARCH Circulating Tumor Cell Kit est conçu pour l énumération des cellules
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailDES de Pathologie AFIAP
DES de athologie AFIA 21 novembre 2009 J. Audouin,, S. ain IMMUNOHISTOCHIMIE Introduction I - Différentes méthodes AC conjugués Enzyme - anti-enzyme : A, AAA rotéine conjuguée : avidine, streptavidine
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailEssai de Phase II. Médecin coordonnateur : Statisticien : Ouverture 23 juillet 2013. Pr Gilles VASSAL Gustave Roussy - Villejuif
Essai de Phase II Accès sécurisé au crizotinib pour les patients souffrant d une tumeur porteuse d une altération génomique sur une des cibles biologiques de la molécule. Sponsor N : UC-5/ EudraCT N :
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailLa chimiothérapie intrapéritonéale de consolidation
La chimiothérapie intrapéritonéale de consolidation C. Tournigand, A. Plantade et A. de Gramont Le concept La chimiothérapie intrapéritonéale a été étudiée depuis plus de cinquante ans. Ce traitement régional
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailCe n de «La Revue de Respir» est publié en partenariat avec HOLYVAC
Mars 2008 ; N 12 ACTUALITE DE RESPIR.COM Activités et chiffres clés EDITO Les statines : un nouveau traitement pour les BPCO? Pr. A. TAYTARD - Pneumologie - CHU Bordeaux ARTICLE COMMENTE Grigoriou BD,
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détail