Fiche Technique. Septembre Cette fiche présente la multiplication de semences des principales espèces suivantes :
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- Gisèle Pierre
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1 Fiche Technique Production Développée en Languedoc-Roussillon Filière Semences Septembre 2008 Semences autogames (Céréales, Colza, Luzerne, Pois, Pois chiche) Rédigée par : Thierry PIANETTI Chambre d Agriculture du Gard Définition Cette fiche présente la multiplication de semences des principales espèces suivantes : Céréales à paille : Blé tendre, Blé dur, Orge et Riz (culture spécifique à la Camargue) Oléagineux : Colza grain (lignée) Protéagineux : Pois protéagineux, Pois chiche Fourrage : Luzerne Potentiel des marchés Production, à retenir... Place du Languedoc-Roussillon dans la production française : Blé dur : 30,3 % Riz : 37,8 % Surfaces en production en Région : Céréales à paille Blé tendre : 23 ha Blé dur : ha Orge : 76 ha Riz : 98 ha Oléagineux 797 ha Protéagineux Pois protéagineux : 10 ha Pois chiche : de l ordre de 150 ha. Fourrage Luzerne : 415 ha Production Production en France récolte 2007 Les principales zones françaises de multiplication sont : Céréales à paille Blé tendre : ha dont 16,6% en Champagnes Ardennes, 15,4% en Centre et 13,7% en Picardie. Blé dur : ha dont 30,3% en Languedoc-Roussillon, 26,5% en PACA, 16,9% en Midi-Pyrénées et 13,1% en Centre. Orge : ha dont 19,5% en Champagnes Ardennes, 15,8% en Centre et 9,5% en Picardie. Riz : 260 ha dont 62,2% en PACA et 37,8% en Languedoc-Roussillon. Oléagineux : ha (majoritairement des lignés) dont 45,1% en Midi Pyrénées, 13,4% en Centre et 9,7% en Languedoc-Roussillon. Protéagineux Pois protéagineux : ha dont 18,2% en Ile-de-France, 16,7% en Picardie, 16,1% en Centre et 12,3% en Champagnes Ardennes. Pois chiche : de l ordre de 150 ha en Languedoc-Roussillon. Fourrage Luzerne : ha dont 31,1% en Poitou Charente, 20,4% en Pays de Loire, 15,5% en Centre, 13,4% en Midi-Pyrénées. Organisation commerciale Etablissements semenciers produisant en Languedoc-Roussillon : Obtenteurs : Caussade, Loras, RAGT, Semence de Provence, Jouffray Drillaud Sous-traitants : Top semences, OGC (Groupe Coopératif Occitan), Audecoop, Sud Céréales Synthèse régionale «Alternatives Agricoles à l arrachage de la vigne» 1
2 Les producteurs de semences sont représentés par les Syndicats des agriculteurs multiplicateurs de semences (SAMS) du Gard et SAMS de l Hérault. Le SOC (Service Officiel de Contrôle) garantit au travers de contrôles la qualité des lots de semences produits ainsi que leur traçabilité. Chaque parcelle de multiplication est suivie et les dispositifs de production (isolement, semis ) sont contrôlés par le GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semenciers). En cas de non-respect du cahier des charges de productions, la parcelle est déclassée en consommation. Prix Ces productions font l objet d un contrat de semence entre l agriculteurs et un établissement semencier, d une durée d un an, sauf la luzerne dont la durée est de 2 ou 3 ans. Sur ces contrats figurent les caractéristiques techniques de la production (isolement, schémas de plantation ) mais aussi les éléments qui constituent la rémunération de la récolte. Le prix de référence en semences de céréales, protéagineux et lignées d oléagineux s établit à partir de deux composantes : Le prix de base correspondant au prix des productions de consommation La prime de multiplication. A cela s ajoute, le cas échéant, pour les céréales et les protéagineux une prime de stockage. Pour la luzerne, le prix au kilo que multiplie le rendement compose le chiffre d affaires/hectare. Chaque année, les Etablissements et représentants des multiplicateurs se rencontrent au sein de sections du GNIS pour établir les évolutions des primes, tarif des semences de bases, normes d agréage. Les normes d agréage correspondent aux valeurs minimales des paramètres retenus au niveau qualitatif du lot soit humidité, faculté germinative, pureté spécifique. Les primes de multiplication sont toujours fixées au minimum un an avant la récolte, de façon à ce que chacun puisse connaître les montants avant les semis. Rappelons que ces primes ne servent que de référence en vue d éventuels arbitrages en cas de litiges. Dans la réalité, les primes sont généralement supérieures. Céréales et Protéagineux Les primes de multiplication comportent pour les céréales et les protéagineux deux sommes. A partir d un rendement seuil, son montant baisse. Exemple pour le blé tendre : 22,17 /tonne sur les 55 premiers quintaux bruts certifiables par hectare, puis 15,42 /tonne sur les quintaux bruts supplémentaires par hectare. Le GNIS, structure émanent du ministère de l agriculture, veille au respect de ces accords. Le rendement seuil est appelé reprise minimum. Les quantités minimales contractuelles à prendre pour les contrats sont : De 55 q/ha pour le blé tendre, l orge, le triticale et l avoine. De 50 q/ha pour le blé dur. Si un établissement délie l agriculteur multiplicateur de son obligation de livrer sa récolte (non-enlèvement, enlèvement partiel, refus de lot du fait de l établissement), l agriculteur est libre de commercialiser le produit en céréales de consommation, mais l établissement doit lui payer la prime de multiplication sur ces quantités minimales. En ce qui concerne la multiplication de semences de pois chiche, cette culture ne bénéficie pas à ce jour d accord interprofessionnel. Toutefois, le prix est basé sur le prix de la culture de consommation puis est revalorisé d une prime à la tonne de 45 /t pour Les rendements réalisés sont similaires à ceux des cultures de consommation. La prime de stockage prend en compte l immobilisation du matériel de stockage Synthèse régionale «Alternatives Agricoles à l arrachage de la vigne» 2
3 spécifique lorsque les semences ne sont pas livrées directement à la moisson. Elle s applique dès que le lot transite par les installations de la ferme, quelle que soit la durée de stockage. Cette prime est fixée à un forfait de 4,57 /tonne. Elle s applique à la totalité de la récolte et s ajoute aux majorations mensuelles. Les frais de transport sont à la charge de l établissement. Paiement de la prime de multiplication : 15 Décembre. Oléagineux Ce sont les marchés du colza de trituration qui déterminent les prix de base. A celui-ci s ajoute une prime de multiplication pour la quantité certifiable. Les prix interprofessionnels de référence de la récolte 2007 pour les semences crucifères sont : Prix de base minimum (PBM) : 295 /tonne Prime de multiplication : 114 /tonne Les rendements réalisés sont similaires à ceux des cultures de consommation (voir fiche colza). La prime de multiplication est payable sur la quantité certifiée au-delà du quota de reprise (20 q minimum). Le calendrier de paiement prévoit un acompte au moins égal à celui versé pour les productions de trituration avant le 31 août, le solde étant versé avant le 31 décembre de l année de récolte. dizaine. Une moyenne de 5.5 q/ha reste une moyenne réaliste. Disponibilité en contrat Le Languedoc-Roussillon est la première région productrice de semences de blé dur et de pois chiche. Ses atouts climatiques garantissent une régularité dans les résultats qualitatifs en terme de faculté germinative pour les lots de semences de blé dur. Le pois chiche, plante de zones sèches, ne peut-être produit qu en zone méditerranéenne. Quant à la luzerne, le caractère peu dormant de certaines variétés dites «peu dormante» ou «méditerranéenne» se révèle adapté à la région. Concernant ces trois espèces sans oublier le riz, des contrats de semence sont disponibles. Synthèse Les productions de semences autogames de blé dur, pois chiche et luzerne sont bien adaptées au climat méditerranéen. Ces productions sont intéressantes notamment parce que l irrigation n est pas indispensable et le matériel non spécifique. Cependant, l écart entre la rémunération de ces semences et les cultures de consommation est faible et la disponibilité des contrats peut s amoindrir. Luzerne Base provisoire pour 2008 : 218 /q Acompte : 2/3 du prix sont à payer par l établissement et à verser dans le mois suivant la mise à disposition. Solde avant le 31 mars. Les bases provisoires pour la récolte 2008 indiquent la tendance. Compte tenu des fortes fluctuations de prix observées sur les cultures concurrentes (céréales ), les prix indiqués servent de base minimum pour les prochaines négociations. Ces bases ne pourront pas être revues à la baisse et constituent de ce fait un filet de sécurité. En terme de rendement, ces derniers varient de quelques quintaux à une Synthèse régionale «Alternatives Agricoles à l arrachage de la vigne» 3
4 Impact environnemental Impact des intrants L itinéraire technique de ces productions de semence est identique à celui des cultures de consommation, avec quelques différences à noter. Pour les céréales : L apport azoté réalisé en fin de cycle pour obtenir une marchandise de qualité optimale (Poids spécifique, taux de protéines) n est pas nécessaire. Si côté fertilisation cela se traduit par un besoin moindre en azote, l aspect fongicide doit être plus rigoureux. En effet, tout développement de maladies et notamment de fusarioses sur épis, risque d affecter la faculté germinative du lot. Si les conditions climatiques du mois de mai sont le plus souvent peu favorables au développement de ce type de champignon, l application d un fongicide à base de Triazole ou de Strobilurine doit être envisagée et réalisée en cas de risque avéré (période pluvieuse au moment de la floraison). Impact sur la ressource en eau Les contrats de semence ne rendent pas obligatoire l accès à une ressource en eau. Impact sur les paysages Dans tous contrats de multiplication de semences, une rotation minimale est mentionnée. Souvent une rotation longue est recommandée afin de sécuriser un rendement minimal. Cette notion de rotation induit donc un paysage diversifié et non une vision de monoculture. Impact sur la biodiversité Optimiser une rotation passe par l alternance de cultures d hiver avec des cultures de printemps et de familles différentes. Cette diversité apporte un impact positif sur la biodiversité. Synthèse Impact plutôt positif Contraintes agronomiques et techniques Type de sols Voir Fiches Productions Céréales, Oléoprotéagineux et Fourrage. Particularité de la luzerne et du pois chiche : le ph du sol ne doit pas être inférieur à 6,5. Topographie Culture nécessitant de la mécanisation (semis, traitement, récolte), donc impossible sur des pentes > 7% Adaptation au climat Le climat méditerranéen est propice à la multiplication de semences car il est peu favorable au développement des maladies dont les fusarioses qui affectent la faculté germinative des semences. Implantation de la production Pas de spécificité. Voir Fiches Productions Céréales, oléoprotéagineux et Fourrage Conduite de la production La protection des plantes en fin de cycle au moment de la floraison est la particularité de la multiplication de semence. Irrigation Pas d obligation Contrainte de main d oeuvre Ces productions de semences ne nécessitent pas de passage spécifique de personnel pour épuration. Contrainte foncière Les surfaces engagées pour ce type de multiplication de semence sont similaires aux parcelles de grandes cultures. Il n y a pas d exigence de surface minimale, la contrainte est d ordre économique. Le volume récolté doit être suffisant et correspondre à la capacité du mode de Synthèse régionale «Alternatives Agricoles à l arrachage de la vigne» 4
5 transport. Dans le cas de polybenne, un caisson représente environ 9 tonnes soit l équivalent de 2 à 3 hectares. La distance d isolement de ces cultures est de l ordre de quelques mètres. Il existe peu de contraintes à ce niveau, compte tenu du caractère autogame du mode de pollinisation. Mécanisation Matériel classique des grandes cultures Sensibilité au précédent vigne Risque de toxicité cuivrique notamment en blé dur qui est la céréale la plus sensible à cette toxicité. Dispositif réglementaire auquel la production est soumise Les semences sont soumises au régime PAC (cf. fiche «aides PAC») 2 types d aide sont possibles : Une aide découplée : les semences permettent d activer les DPU. Une aide couplée : les semences permettent d activer une aide couplée en céréales sèches. L octroi de ces aides est lié au respect de la conditionnalité. Risque financier et intérêt économique pour l exploitant Résultats économiques et facteurs de risque Le niveau de rémunération reste lié au rendement. Les normes d agréage (qualité du lot) sont rarement un facteur d échec. Prime de multiplication pour les céréales et oléo-protéagineux, quelques repères (cf. prix page 2): Rendement de seuil Prime pour 1ers q certifiables Prime pour les q > seuil Blé tendre 55 q/ha /t /t Blé dur 50 q/ha /t /t Autres céréales en tête 55 q/ha /t /t d assolement Autres céréales 55 q/ha /t /t après blé Protéagineux 40 q/ha /t /t Pour les oléagineux, le calcul du revenu à l hectare se fait de la façon suivante : (Récolte en t/ha X 295 /t) + (quantité certifiable (t) X114 /t) Le gain supplémentaire de marge brute par rapport aux productions de consommation est équivalent à la prime de multiplication. Besoins de trésorerie Similaire aux cultures de consommation. Les besoins en trésorerie restent modestes par unité de surface et sont liés aux charges opérationnelles et de mécanisation. La difficulté est d assurer cette trésorerie à partir du mois de septembre et jusqu à l entrée des produits. Risque financier lié aux investissements Pas d investissement spécifique à la production de semence. Synthèse régionale «Alternatives Agricoles à l arrachage de la vigne» 5
6 Personnes ressources Chambre d Agriculture : Thierry PIANETTI - Chambre d Agriculture du Gard - Mas de l Agriculture - BP Nîmes Cedex 1 Organisations professionnelles et interprofessionnelles : Nicolas THIBAUD - SAMS 34 - Mas de Saporta Lattes Cedex Louis-Marie BROUCQSAULT - FNAMS 26 Fédération des producteurs de semences Jean-Gilbert RICARD - Semencier du Sud Mas de Saporta Lattes Cedex Bibliographie GNIS : Données de production récolte 2007 Bulletin semences (FNAMS) Documents techniques : voir fiche filière céréales, oléagineux, fourrage Liens Internet : Site Internet du GNIS : Groupe National Interprofessionnels des Semences - Synthèse régionale «Alternatives Agricoles à l arrachage de la vigne» 6
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