LES LOIS DE LA DEMANDE : L UNIVERS DE LA CONSOMMATION
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- Sylvaine André
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1 LES LOIS DE LA DEMANDE : L UNIVERS DE LA CONSOMMATION Ø Les aiomes de rationalité Comparaison = En tant que consommateur, i.e. en tant qu acteur, on est tous capable de faire des comparaisons des alternatives, pour prendre celles les plus favorables. Transitivité = Sur une période donnée, je préfère A à B, et B à C je préfère A à C. Non saturation (monotonie) = Je préfère toujours + à. J ai donc toujours des besoins. Entre 2 paniers de consommation, je préfère toujours celui où il a + de biens. Tout le temps valable. Ø La contrainte budgétaire Que détermine ma capacité à consommer au sens large? La contrainte. Revenu nominal = Revenu monétaire (salaire, aide des parents, rente ) associé à une somme. Revenu réel = Revenu dont je dispose en terme de biens. Capacité d acheter des biens avec le revenu nominal que l on détient en fonction de la variation de la valeur des biens, i.e. des pri (dépend de la zone géographique ) pvr d achat. C est le revenu réel qui détermine donc la richesse. Représentation graphique de l économie : X = bien particulier. Y = ΩX. Je considère que le futur n eiste pas (pas d épargne), que je consomme dans le présent. En tant qu étudiant, on a déjà un poids sur le marché. On peut emprunter pour consommer, parce qu on aura un revenu futur. On s endette = de conso présente, mais de la conso future. Droite de budget : Il s agit d une droite car le pri de et est constant. La contrainte de budget est la frontière des possibilités de consommation, on passe notre vie à essaer de l éloigner de l origine, pour élargir notre espace. Il est irrationnel de consommer en dessous de la frontière puisqu on se place à un instant t. 15 Frontière des possibilités de consommation Ensemble des paniers accessibles 15 Capacité d acheter un bien objectivement. Tau d échange objectif (car dépend du pri) entre les biens. Evaluation objective de notre pouvoir de consommation dans l économie toute entière.
2 Construction de la contrainte budgétaire = a + b 15 R= p () + p () R p () + p () R p ()= p () [R- p()]/ p = R/p() p()/p = = ( p/p) +R/p Coefficient directeur de la droite Rapport des pri nominau a= -p/ p Pri relatifs Tau d échange objectif entre les biens 15 X R = contrainte budgétaire. p = pri unitaire de. R= p()+p() Epuisement du revenu nominal. >= Incorporation de l épargne Coeff directeur de la droite = rapport des pri nominau : p/p Constante = R. Pri de et = 2 contraintes budgétaires. du RR Desserrement de la frontière, mais pente de la contrainte budgétaire inchangée, car les pri relatifs ou réels sont les mêmes : p/p = 1. Inflation = même revenu nominal mais des pri donc resserrement de la frontière. Même contrainte : les pri ( et en même proportion) ou le revenu nominal. RN = 150 p = 10 p = 5 ( ) RR() = 150/10 = 15 RR() = 150/5 = 30 Pri relatifs (réels) : p/p = 10/5 = 2 15 et 30. Si je consomme tout en, rien ne change, mais si je consomme que des, je peu en avoir 2 +, dc on élargit la sphère de conso. 1=0.5 Les pri relatifs sont modifiés en faveur de et au détriment de. Le pri relatif de a. Modif de la pente de la contrainte budgétaire On n a pas tous les outils pour savoir si le conso est content ou pas parce qu il a perdu en et gagné en. Il faudrait comparer entre l aire perdue et celle gagnée. On ne sait pas si son RR parce qu on ne connaît pas son RN. Il faut introduire un nouveau concept, celui de courbe de référence.
3 25 25 Revenu réel à la hausse Revenu réel à la baisse On consomme rationnellement le lg de la contrainte budgétaire : jms au dessus, jms en dessous. Ø La fonction d utilité Utilité totale = Somme des satisfactions apportées par la consommation de chaque unité de biens. Utilité marginale = Utilité obtenue par la consommation d unité additionnelle d un bien. Dérivée de la f d utilité totale. U=U(,) Um = ΔU/ΔQ Um = ΔU()/Δ = U () Consommation d pommes procure au consommateur une utilité U(). E : U() = 10 Principe d utilité marginale décroissante. Un seul bien pommes UM car ce n est plus un bien mais un mal qd. U() Rapport subj. associé à un bien. Pas la même formule pour un mal, qd ca, ms a priori personne ne consomme un mal. U Ø Consommation d doses de cigarettes procure une utilité U(). E : U() = 5 2 Principe d utilité marginale croissante. + Q, + le besoin est Δ. cigarettes c Le rapport d addiction est inscrit dans le rapport au bien, lorsque celuici est consommé. Je ne donnerai rien pour boire un verre d eau là toute suite mais si cela fait 30 jours que je n ai pas bu je ferai tout pour. S il n a pas addiction : cette courbe ne marche pas. U
4 U() = 5 2 C est le carré qui est important car il montre que c est eponentiel. Deu biens Les courbes d indifférence = Ensemble des paniers de consommation qui apportent à l individu concerné le même niveau de satisfaction (ou d utilité). Les configurations des courbes d indifférence : U = U(,) U(,) = min(,) = min(, ) U(,) = + ou U(,) = + Complémentarité X Parfaite substituabilité U(,) = 1/ 2 ou U(,) = ou U(,) = / 2 U(,) =!+! Conveité X Concavité (addiction) 37 Ø Conveité = Chaque fois qu on perd un, il devient de + en + rare. Pour rester avec le même niveau de bien être, on va se procurer + de pour compenser. Conveité : classique. Effet de ciseau : au départ, bcp de et peu de, donc qd on perd une unité de, ca ne nous importe peu et ne pas fortement son utilité. Comme on n a pas bcp de, il a une grande utilité. On est de + en + sensible à la perte d un supplémentaire. Utilité = plaisir = satisfaction But : s éloigner le + possible de l origine. La contrainte sera l élément qui m en empêchera. Ø Concavité = Rapport d addiction. Au départ, je n ai jamais touché. Besoin de + en + Δ donc je suis de + en + prêt à sacrifier les autres bien pour une conso >. Ø Complémentarité = Biens complémentaires : L un ne sert à rien sans l autre. E : ordinateur & batterie, les 2 chaussures, La courbe est une droite qui représente un segment // à l ae des. Y = gain / X = gain complémentaire A quoi sert d avoir plein de X si on n a pas d Y? α = une imprimante qui ne fonctionne pas sans deu tpes d encre. Ø Parfaite substituabilité = Compensation qui répond au même besoin. Cela peut être 1 = 2 si on estime qu vaut + qu.
5 E : Indifférence de la couleur d un stlo, tant qu il écrit. Ø Le TMS Tau Marginal de Substitution = Détermine la quantité du bien que le consommateur est prêt à abandonner pour obtenir une unité supplémentaire de l autre bien, en conservant le même niveau de satisfaction. Il se mesure par la pente de courbe d indifférence. TMS = - / -6-6 On retient la valeur absolue = 6 = rapport des Um: Um/Um TMS au sens subj. : c est le consommateur qui détermine son propre TMS. La valeur absolue de la pente est moins forte Le TMS a. Courbe d indifférence convee (diversification) TMS (en val abs). concave. parfaitement substituable cst. Rq : Les courbes d indifférence ne se croisent jamais! C est la seule manière de ne pas violer l aiome de transitivité, il n a pas de point de contact. Convee ou concave. : + de biens et. B : pt d intersection. A = B & B = C en terme de satisfaction A = C or A > C si on trace un vecteur. Ø L optimalité des choi Stratégie de diversification des choi TMS = p/p Nombre de biens que l on est prêt à sacrifier pour obtenir une unité de biens tout en restant au même niveau de satisfaction 3 ème : Je ne peu l atteindre car elle n est pas dans mon budget. 1 ère : Je n épuise pas mon revenu réel, je peu aller jusqu à la frontière. Il faut que j atteigne la courbe d in la + haute possible tout en gardant un pt de contact avec la droite de budget. Obj = Tau d échange subj.
6 Optimiser la satisfaction en consommant un panier diversifié, à la fois de et de. Stratégie de spécialisation des choi Pt optimum : Satisfaction de tous les autres biens autre que celui de l addiction. 2 ème : Je suis en cure, je pourrais en prendre +, on m en donne un peu mais pas assez. Ø Les sentiers & la nature des biens 2 Hiérarchies des biens : Normau (de nécessité & supérieurs) / Inférieurs Normau (de nécessité) / Supérieurs / Inférieurs. Pas inscrit dans la nature des biens mais dans mon rapport subjectif à eu. o Sentier (chemin) d epansion du revenu (courbe consommationrevenu) = Courbe reliant les points (paniers) d équilibre du consommateur en cas de variation du revenu (à pri inchangés). Evolution de la demande en fonction du revenu. La courbe d indifférence sera implicite. Elasticité revenu : ε = (ΔQ / ΔR) (R/Q) Bien normal (de nécessité/prioritaire) = Tout bien dont la conso lorsque que le revenu (à pri relatifs inchangés). Et lorsque le revenu. Elasticité revenu positive (0<ε<1). Elle sert à repérer un bien de nécessité. Variation dans le même sens des quantités consommées et du revenu (à pri relatifs inchangés). Variation à la hausse de mon RR les Q consommés du bien varient à la hausse. Bien normal (supérieur/de lue) = Tout bien dont l de la conso est proportionnellement plus Δ que l du revenu (à pri relatifs inchangés). Et. ε > 1.
7 Variation dans le même sens des quantités consommées et du revenu (à pri relatifs inchangés). Bien inférieur = Tout bien dont la conso lorsque le revenu (à pri relatifs inchangés). Et. ε < 0. Variation dans le sens inverse des quantités consommés et du revenu (pri relatifs inchangés). Courbe d Engel = Courbe reliant les différentes quantités consommées d un bien en cas de variation du revenu (a pri inchangés) Quantités de X consommés Quantités de consommés Biens nécessité/supérieurs R Biens inférieurs R La valeur de la pente diminue de + en + pour les biens de nécessités alors que c est le contraire pour les biens supérieurs : ils de + en + lorsque le revenu. o Sentier d epansion du pri (courbe consommationpri) = Courbe reliant les points (paniers) d équilibre du consommateur en cas de variation du pri d un bien (le revenu du consommateur et le pri de l autre bien étant supposés inchangés). Evolution des quantités consommées en fonction des pri relatifs. Elasticité pri : ε = (ΔQ / ΔP) (P/Q) Pri réel : pri d un bien eprimé dans les quantités de l autre bien Bien ordinaire = Tout bien dont la conso lorsque son pri relatif. Et. Elasticité pri négative (ε < 0). Variation dans le sens inverse des quantités consommées et du pri relatif du bien.
8 Biens normau C Biens ordinaires. Bien GIFFEN = Tout bien dont la conso lorsque son pri relatif. Et. ε > 0. Variation dans le même sens des quantités consommées du bien et du pri relatif de ce bien. Courbe de demande individuelle = Courbe reliant les différentes quantités consommées d un bien en cas de variation de son pri (le pri de l autre bien étant inchangé) Q Qd = -1000p Q Qd = D (p, goûts, revenus pri substituts) Qd = 1000p Biens ordinaires P Biens Giffen (Bien Veblen) P Courbe de demande inversée =
9 P = (Qd/1000)-5 P P P = (Qd/1000) +5 Quantités de Biens ordinaires Quantités de Biens Giffen (Bien Veblen) Tpologie des biens en fonction de l effet revenu et de l effet pri : Effet revenu Biens inférieurs Biens normau Biens supérieurs Effet pri Biens ordinaires Biens Veblen (de lue) Bien Giffen Les biens Veblen sont pour la plupart du temps des biens supérieurs. La fonction de demande P Qd = D (p, I, p, goûts) Qd = D(p) 50 Qd = p Q p Qd Problème du pri des substituts Qd = p p Si p passe de 20 à 10 Qd = p P Q Biens substituables = Si le pri d un bien, la demande de l autre bien. Et.
10 Le vélo peut remplacer la voiture mais si on est allergique au lait, le aourt ne pourra remplacer le fruit. Tout dépend du rapport qu on entretient avec le bien. Biens complémentaires = Si le pri d un bien, la demande de l autre bien. Et. Le marché des voitures regarde le pri du pétrole, car il conditionne le pri de l essence et donc la demande en voiture. Concept d élasticité pri croisés Mesure l évolution de la quantité consommée d un bien lorsque le pri de l autre bien change. But : Différencier biens substituables/complémentaires. P = Pri du substitut Q = Quantité consommée du bien. ep croisée = εc = (ΔQ/Q)/(ΔP/P) = (ΔQ/ΔP).(P/Q) si ε c > 0 : les biens et sont substituts si ε c < 0 : les biens et sont complémentaires Biens normau Effet de substitution et de revenu E E E L effet revenu va dans le même sens que la variation du revenu réel si revenu réel augmente, effet revenu pousse à augmenter la con sommation si revenu réel baisse, effet revenu pousse à abaisser la con sommation ES ER 2 raisons autonomes qui pousse à la conso d un bien : Effet pri relatif (ou effet de substitution) Effet revenu. But : Isoler les deu raisons Contrainte de budget fictive. E/E /E : paniers de conso. E/E : Même RR ms conso de + de conso + Δ du bien dont le pri relatif a. Même courbe d indifférence : enregistrement de la modif des pri relatifs : Q. E /E : du RR, pas de variat du pri relatif : ER et Q Bien normal. E /E : de la frontière des possibilité de conso en faveur de, donc ça pousse à consommer + de biens, de plus car son pri relatif s est modifié à la. ES & ER vont dans le même sens : conso.
11 Biens inférieurs L effet revenu va dans le sens inverse que la variation du revenu réel si revenu réel augmente, effet revenu pousse à diminuer la consommation si revenu réel baisse, effet revenu pousse à augmenter la consommation E E E ES ER Entre E & E, Q (bien <) & Q (bien normal). Qque soit la nature des biens, on consomme tjrs + du bien dt le pri relatif a (Substitution). Dans le cas d un bien <, ES + puissant que l ER qui le contrecarre. Biens de Giffen E L effet revenu va dans le sens inverse que la variation du revenu réel si revenu réel augmente, effet revenu pousse à diminuer la consommation si revenu réel baisse, effet revenu pousse à augmenter la consommation l effet revenu domine l effet de substitution E E ES ER L ES pousse à Q. Par contre, l ER est bien + de Δ. Giffen Y = bien normal. La notion de surplus du consommateur Pri de réserve = Pri maimum que le consommateur est prêt à paer pour obtenir un bien. Surplus du consommateur = entre pri de réserve & pri de marché.
12 E : + je consomme des cafés, moins je suis prêt à paer un pri Δ. Pri réserve Pri de marché Surplus du consommateur Pri réserve Pri de marché Perte de surplus Q Q La demande collective (agrégée) Somme horizontale des demandes individuelles. Q demande collective (somme horizontale des demandes individuelles) demande(s) individuelle(s) P Droite pour simplifier les graph. Même pri (nominal) + Q : du revenu, de la mode, du pri d un bien substituable. Pri identique, Q pr les mêmes raisons. Demande collective varie en fonction de la Q ou du P.
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