forms of interorganizational from the case of electronic catalogues François de Corbière Bénédicte Geffroy

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1 Résumé La problématique de l intégration des données se développe dans les entreprises contemporaines pour en devenir un des concepts clés associés aux systèmes d information actuels. Fondées sur des stratégies différentes, plusieurs technologies ont été mobilisées dans les organisations pour permettre l intégration des données depuis le début des années 90. L ERP, le Datawarehouse ou l EAI en sont les principaux exemples. Selon que l on parle de construire un système d entreprise, de stocker et de mettre à disposition des utilisateurs une grande quantité d informations, ou de faire communiquer entre elles des bases de données diverses, la finalité n est pas la même mais repose sur le principe de l unicité de la valeur accordée à une donnée particulière pour l entreprise. Focalisées sur l intégration à l intérieur de l organisation, on peut se demander aujourd hui comment les caractéristiques de ces technologies sont étendues dans le domaine interorganisationnel et questionnent en retour l intégration intra-organisationnelle. Mots clefs : Intégration des données, technologies de l information, approche organisationnelle, approche interorganisationnelle. Des formes d intégration intra-organisationnelle aux formes d intégration interorganisationnelle : analyse du cas des catalogues électroniques From forms of organizational integration to forms of interorganizational integration: insights from the case of electronic catalogues François de Corbière Bénédicte Geffroy Abstract The question of data integration has always been understood to be an important area of research. The literature has presented several strategies for data integration since the beginning of the 90ies. ERP, EAI and datawarehouses are well-known examples of information technologies used by companies in order to integrate the data in their own organization. The objective pursued is not the same but stands on the fact that data are not re-entered and shared by several computerized applications. Our research question is about the extension of these technologies in an interorganizational context. We focus on electronic catalogues to integrate Product Information between manufacturers and retailers. Maîtres de conférence Chercheurs associés au LEMNA, Université de Nantes Ecole des Mines de Nantes Dpt Sciences Sociales et de Gestion La Chantrerie 4, rue Alfred Kastler. B.P NANTES Cedex 3. Key-words: Data integration, Information Technologies, organizational integration, interorganizational integration.

2 Introduction La problématique de l intégration des données est un enjeu important pour les entreprises contemporaines (Goodhue et al., 1992). Elle peut se concevoir de différentes manières. Fondées sur des caractéristiques différentes, plusieurs technologies sont utilisées dans les organisations pour permettre l intégration des données depuis le début des années 90 par leur fédération : l ERP (Enterprise Resource Planing), le Datawarehouse ou l EAI (Enterprise Application Integration) en sont les principaux exemples (Markus, 2000 ; Bidan, 2004). Face au déploiement de ces technologies focalisées sur l intégration à l intérieur de l organisation, nous posons la question de l extension de leurs caractéristiques aux frontières de l organisation, pour réaliser l intégration des données entre les organisations. En effet, suite au développement de l échange de données informatisées (EDI) au cours du siècle passé, l explosion de l utilisation d Internet offre de nouvelles perspectives quant à l intégration des données entre les organisations. L EDI, fondé sur un échange unidirectionnel de messages contenant des données structurées entre deux entreprises (Sandoval, 1990), reste avant tout un moyen d intégrer les données dans une relation bilatérale (Swatman et Swatman, 1991 ; Truman, 2000 ; Christansee et al., 2004). Internet, avec le développement de dispositifs technologiques tels que les places de marchés électroniques ou les catalogues électroniques, offre davantage de possibilités pour intégrer des données plus faiblement structurées, lors de communications multi-entreprises (Elgarah et al., 2005, Isaac et Volle, 2008). Ainsi notre question de recherche est : comment les formes d intégration intra-organisationnelle des données sont elles mobilisées et adaptées dans l intégration interorganisationnelle? Pour répondre à cette question de recherche, nous mènerons tout d abord une revue de la littérature sur les caractéristiques des technologies d intégration intraorganisationnelle majeures. Pour investir notre sujet, la deuxième partie explicitera les caractéristiques de l intégration interorganisationnelle dans les échanges entre industriels et distributeurs, en se focalisant sur l approche historique par EDI avant de nous concentrer sur une technologie interorganisationnelle particulière, les catalogues électroniques, définis comme des bases de données sur les produits. La partie méthodologique explicitera les modalités de collecte et d analyse des données pour caractériser l étude de cas menée dans le secteur de la grande distribution. Nous présenterons alors les résultats de cette étude de cas sectorielle, avant de discuter des enseignements que l on peut tirer de l analyse interorganisationnelle vis-à-vis de l intégration intraorganisationnelle. 1. Les caractéristiques des technologies d intégration intraorganisationnelle Dans un article discutant des différentes technologies permettant l intégration intra-organisationnelle, Markus (2000) retrace dans un tableau synthétique les principales caractéristiques de l ERP, l EAI et le Datawarehouse pour montrer leurs avantages et leurs inconvénients par rapport à l intégration traditionnelle. Surtout elle relie leurs caractéristiques aux principes d intégration qui les sous-tendent. Fondamentalement, ce qui unit ces différentes visions de l intégration, c est le partage de données : dans tous les cas, les données sont transférées, véhiculées, mais jamais ressaisies L intégration par interfaçage Originellement, l intégration entre deux systèmes consistait à mettre en place une interface, un pont entre deux programmes (figure 1), pour permettre aux données d un système d être automatiquement transférées à l autre système (Markus, 2000 ; Laudon et Laudon, 2006) Appli 1 Appli 2 BDD 1 BDD 2 Figure 1 : l intégration des données par interfaçage Cette forme d intégration renvoie principalement deux problèmes. Elle est adaptée à l intégration entre deux applications, mais quand les interfaces se multiplient entre plusieurs applications, la conception des interfaçages se complexifie et nécessite des arbitrages sur la définition des applications sources et destinataires. De plus, l interface reste dépendante des caractéristiques de chaque application et la maintenance de ces interfaces se pose comme une charge importante lors des évolutions de chaque application. Ainsi les organisations qui possèdent de nombreux systèmes ont cherché à mettre en œuvre des approches d intégration qui conviennent mieux à leur complexité (Bidan, 2004) L intégration par Datawarehouse Le principe du Datawarehouse est de construire une base de données globale (entrepôt) pour l entreprise, recensant différentes données issues des bases de données préexistantes (Lebraty, 1998 ; Cooper et al., 2000). C est donc la création d un référentiel commun à partir des référentiels existants qui fonde le concept associé au Datawarehouse (Markus, 2000). Son fonctionnement passe par l extraction des données depuis les bases existantes et leur diffusion vers l entrepôt de données pour traitement et analyse (figure 2).

3 Appli 1 BDD 1 Datawarehouse dleware. Pour communiquer, les applications font une requête à la plateforme EAI qui elle-même va faire une requête à la base de données concernée pour ensuite réaliser l interface et le transfert des données (Figure 4). Appli 2 BDD 2 Appli 1 Appli 2 Figure 2 : l intégration des données par Datawarehouse Il permet ainsi la structuration des données, leur organisation, leur historisation et leur mise à disposition des utilisateurs pour l aide à la décision (Bidan, 2004 ; March et Hevner, 2007). Devant la diversité et l hétérogénéité des processus métier censés voir leurs données intégrées dans un Datawarehouse, certaines entreprises ont fait le choix de mettre en œuvre plusieurs Datawarehouses, de plus petites tailles, spécialisés sur de métiers ou des tâches, que l on appelle Datamart (Cooper et al., 2000) 1.3. L intégration par ERP L ERP a souvent été présenté comme la technologie par excellence de l intégration des données dans l entreprise (Davenport, 1998). A ce titre, l ERP est généralement associé au concept de système d entreprises : le SI de l entreprise est repensé comme un tout, avec une base de données logique unique. De ce fait, la gestion des données et des processus est modifiée (Markus, 2000). En effet, les différentes applications du système d information se nourrissent de données partagées en temps réel (Bidan, 2004), données issues de la base de données unique de l ERP (figure 3). Appli 1 Appli 2 BDD de l ERP Figure 3 : l intégration des données par ERP La particularité de cette forme d'intégration réside dans sa manière de penser l'organisation sous le prisme de l'homogénéisation du réel. C'est notamment privilégier une approche globale au détriment du singulier (Gattiker et Goodhue, 2002) L intégration par EAI Le principe clé qui guide l intégration par EAI se conçoit dans l introduction d une couche intermédiaire de communication entre les applications existantes et les bases de données existantes (Lee et al., 2003). Il s agit de faire communiquer applications et bases de données par une structure commune en ré-architecturant les liens préexistants (Bidan, 2004) à travers une plateforme de type mid- Plateforme EAI BDD 1 BDD 2 Figure 4 : l intégration des données par EAI Penser cette forme d'intégration, c'est reconnaître le singulier et privilégier la vision locale. Elle constitue aussi une alternative pour contourner les limites des ERP (Themistocleous, 2004). Idéalement, cette approche permet à une application d être actualisée ou remplacée, sans toucher aux bases de données associées (Markus, 2000). Suite à cette succincte revue des différentes formes d intégration intra-organisationnelle des données et de leurs technologies associées, la partie suivante revient sur les formes d intégration interorganisationnelle des données. 2. L intégration interorganisationnelle Concernant l intégration interorganisationnelle, les SIIO (systèmes d information interorganisationnel) définis par Barret et Konsynski (1982) comme «des systèmes d information automatisés, partagés par deux ou plusieurs entreprises» (p.94) a historiquement été associé à l EDI. L EDI s est en effet présenté au cours des deux dernières décennies du siècle dernier comme la solution permettant à des partenaires commerciaux d échanger automatiquement des données. Aujourd hui, l appropriation d Internet par les entreprises s est accompagnée de l émergence de nouvelles opportunités pour intégrer des données entre les organisations L intégration par EDI L'EDI peut être défini par l échange, d ordinateur à ordinateur, de données concernant des transactions en utilisant des réseaux et des formats normalisés (Sandoval, 1990). Les informations issues du système d information de l émetteur transitent par l intermédiaire de réseaux vers le système d information du partenaire pour y être intégrées automatiquement (Figure 5). L EDI se présente donc comme l extension de l intégration intraorganisationnelle traditionnelle dans le domaine interor-

4 ganisationnel (cf figure 1), puisqu elle permet de réaliser l interface entre deux applications (Truman, 2000). Entreprise émettrice Application utilisateur Logiciel de traduction Logiciel de communication Transmission du message en langage commun par le réseau Entreprise réceptrice Application utilisateur Logiciel de traduction Logiciel de communication Figure 5 : L EDI, à partir de Sandoval (1990), Reix (2002), Romeyer et Hassairi (2002) L EDI a commencé à s imposer dans le monde interentreprises pour supporter les échanges de données au cours des années 80 (Baile et Trahand, 1999), notamment dans les grandes industries et le commerce. C est une forme particulière de SIIO avant tout destinée au support des transactions courantes (Reix, 2002). En effet, l EDI est adapté à la communication interorganisationnelle dès lors que les échanges sont suffisamment répétitifs pour justifier l automatisation (Romeyer et Hassairi, 2002). C est ainsi que l EDI a investi l intégration des messages courants, tels que les commandes, en se reposant sur le postulat logistique qu une intégration interorganisationnelle des données permet une meilleure coordination des flux physiques associés (Fabbe-Costes, 2000) L émergence de nouvelles opportunités d intégration Toutefois, comme l ont signalé Christiaanse, Van Diepen et Damsgaard (2004), «les SIIO décrits par Barret et Konsynski (1982) étaient basés sur des systèmes propriétaires, qui requièrent des investissement conséquents en spécificité des actifs» (p.161). Le développement de systèmes basés sur des standards ouverts (Zhu et al., 2006) remet en cause cette conception trop restrictive de la notion de SIIO et ouvre la voie à d autres formes d intégration que celle prônée par l EDI. En effet, avec le déploiement à grande échelle d Internet dans les entreprises, de nouvelles technologies sont apparues pour développer l intégration interorganisationnelle. C est par exemple l idée du partage des données et non de leur transfert qui a permis de développer des applications intégratives, telles que la GPA (Gestion partagée des approvisionnements) ou le CPFR (Collaborative Planning Forecasting and Replenishment), elles aussi rattachés à la problématique de l organisation des flux physiques et des flux d informations associés. Mais d autres technologies, notamment issues de l émergence des places de marché électroniques (Bakos, 1991 ; Soh et Markus, 2002 ; Allal-Chérif et Favier, 2008), permettent de dématérialiser des échanges BtoB dans la recherche de partenaires et la négociation, comme les enchères électroniques ou les appels d offres électroniques (Timmers, 1998 ; Kaplan et Sawhney, 2000 ; Charki et Josserand, 2008). Fondamentalement, ce qui différencie les approches traditionnelles par EDI des approches des places de marché électroniques, c est la manière de concevoir le partage des données. L EDI se fonde sur un échange transactionnel point-à-point entre deux entreprises prédéfinies. L intégration se réfère ainsi à une coordination séquentielle entre deux entreprises (Kumar et van Dissel, 1996 ; Liu et Kumar, 2003). L approche par les places de marché électroniques offre la possibilité de passer à une coordination en pool (Kumar et van Dissel, 1996 ; Liu et Kumar, 2003), où un centre névralgique fédère et repartit les données depuis et vers les entreprises participantes. L intégration des données peut alors être multilatérale entre les entreprises (Markus et al., 2006 ; Zhu et al., 2006). Cela renvoie à des pratiques d intégration plus proches de celles exposées dans le Datawarehouse, l EAI ou l ERP, où un système fédérateur remplace l intégration point à point (cf figure 2, 3 et 4). L objectif de cette communication est de mobiliser ces nouvelles approches théoriques d intégration interorganisationnelle et les confrontant à un cas d étude empirique. 3. Méthodologie D un point de vue méthodologique, nous nous positionnons dans le courant épistémologique réaliste critique (Mingers, 2004), considérant que la réalité, l extension des caractéristiques d intégration intra-organisationnelle à l intégration interorganisationnelle, existe mais qu elle n est que partiellement accessible à travers les construits sociaux des acteurs Une étude de cas sectorielle C est dans cette posture épistémologique que nous avons décidé de mener une recherche qualitative fondée sur une étude de cas (Yin, 2003). En effet, devant l approche compréhensive (Weber, 1971) de la recherche, cette méthode est particulièrement bien adaptée pour investir des phénomènes contemporains dans leur contexte (Hlady- Rispal, 2002 ; Yin, 2003). Une étude de cas sectorielle a été menée en tenant compte des stratégies que les entreprises du secteur de la grande distribution défendent pour intégrer des données par l utilisation de catalogues électroniques. Fondé sur un cœur de métier Achat logistique, le secteur de la grande distribution est particulièrement intéressant quand on s intéresse aux SIIO car la coordi-

5 nation des échanges de données tient un rôle critique pour des entreprises qui achètent et revendent des produits sans les transformer. Les catalogues électroniques se définissent comme des bases de données recensant les caractéristiques des produits. Ils se présentent comme une technologie permettant l intégration des fiches produit, ensembles de données caractérisant les produits, par leur fédération dans le domaine interorganisationnel (de Corbière, 2006 ; Isaac et Volle, 2008) Échantillonnage Pour obtenir la représentation de l intégration interorganisationnelle à travers des catalogues électroniques dans le secteur, nous avons décidé de prendre l entreprise en unité d analyse et d avoir une vision large des pratiques d intégration en analysant un nombre important d entreprises. Pour notre recherche, nous nous sommes concentrés sur les grandes entreprises composant le secteur. Les PME ne sont pas les cibles premières de ce type de projet, qui passe par sa validation entre grands industriels et grands distributeurs. En effet, les investissements à réaliser pour l intégration des données nécessitent une grande quantité de produits et/ou un certain nombre de clients pour pouvoir les rentabiliser. En ce sens, et comme pour l intégration intra-organisationnelle où ce sont davantage les grandes entreprises qui initient de nouvelles technologies d intégration (Markus, 2000 ; Bidan, 2004), les PME agissent généralement en suiveurs dans le domaine de l intégration interorganisationnelle (Riggins et Mukhopadhyay, 1994 ; Subramani, 2004). Conformément aux critères de distinction proposés par Lepers (2003) ou Moati (2001), trois types d entreprises forment notre échantillon : les 7 centrales d achat nationales (Carrefour, Galec (Leclerc), Auchan, Casino, Intermarché, Système U et Provera) du côté des distributeurs ; 18 industriels, dont 10 multinationales telles que Unilever, Nestlé, l Oréal, Danone ou Coca-Cola et 8 nationales telles que Tipiak, Charal, Lavazza, Fleury Michon Collecte et analyse des données La collecte des données s est déroulée entre 2005 et 2007 dans ces 25 entreprises. Conformément aux prescriptions de Yin (2003), nous avons utilisé différentes sources de données qui permettent leur triangulation, préconisée pour accroître la validité des résultats (Eisenhardt 1989 ; Hlady Rispal, 2002). Les entretiens semi-directifs, d une moyenne de 2 heures environ, ont été réalisés avec des personnes ayant sous leur responsabilité tout ou partie du projet d implémentation de catalogues électroniques entre 2005 et Cette source de données primaire a été complétée par des documents, internes ou s, utilisés pour comprendre davantage le fonctionnement des échanges de données par catalogue électronique et confirmer les discours des acteurs. L analyse des données recueillies a consisté à extraire des 40 entretiens réalisés, enregistrés et retranscris intégralement, les items présentant l intégration des données et l utilisation de catalogues électroniques dans chaque entreprise. Suite à cette phase de codage descriptif assisté par le logiciel QSR N Vivo, une analyse thématique (Miles et Huberman, 2003) a été menée sur l interconnexion stratégique et opérationnelle des choix technologiques opérés par les entreprises. C est donc par agrégation lors de l analyse thématique qu émergent les résultats sur l intégration interorganisationnelle des données. 4. Résultats Dans cette partie, nous exposons dans un premier temps la GDS (Global Data Synchronization), projet qui a relancé la question de l intégration des données depuis le début des années 2000, suite à l échec relatif de l échange des fiches produit par EDI (Guilloux, 1995). Nous revenons ensuite sur les stratégies d implémentation des catalogues électroniques dans les entreprises étudiées Les fondements de la GDS : L ERP interorganisationnel? A partir de documents disponibles sur Internet et issus de GS1, organisme paritaire de standardisation des échanges dans le secteur étudié, une première analyse historique a été menée pour comprendre comment les catalogues électroniques ont d abord été pensés comme des outils d alimentation d une forme de système d interentreprise, où dans l interorganisation, chaque donnée serait unique et partagée entre toutes les entreprises concernées. Ce sont alors les droits d habilitation par entreprise qui permettent aux entreprises d accéder aux données qui lui sont propres ou destinées. C est l idée du GDSN (Global Data Synchronization Network) (Figure 6). IND A IND B IND C Interorganisation GDSN DIST A Figure 6 : le GDSN, forme d ERP interorganisationnel DIST B DIST C On retrouve ici le principe d un système d interentreprises, forme d ERP interorganisationnel, qui n est pas un module d un ERP organisationnel permettant l intégration interorganisationnelle des données tel que les modules Supply Chain Management proposés par certains éditeurs d ERP (Deixonne, 2002). En effet, le

6 GDSN est composé, dans l interorganisation, de différents modules, les catalogues électroniques, avec une base de données logique unique, le GS1 Global Registry, qui répertorie les emplacements des données et structure les communications entre les catalogues électroniques. Ainsi, dans sa conception originelle, le GDSN est assimilable à un progiciel interorganisationnel qui permet de repenser les échanges des données, notamment par le passage d une coordination dyadique de l échange à une coordination centralisée entre les entreprises. Toutefois, les résultats issus des données de terrain remettent en cause les fondements de l intégration des données de la fiche produit tels qu ils avaient été pensés par le GDSN. Il convient d expliquer comment chaque entreprise met en œuvre sa stratégie d intégration des données de la fiche produit avec ses partenaires pour vérifier la pertinence de ce dispositif technologique, et décrire les alternatives d intégration qui émergent des choix stratégiques et technologiques des partenaires La mise en œuvre par les industriels Dans le cas de la fiche produit, l industriel est la source des données. C est lui qui les crée et les publie dans l interentreprise. Il émerge de nos résultats que quatre formes d intégration co-existent chez les industriels pour échanger leurs données avec les distributeurs en faisant appel à des catalogues électroniques. La première forme d intégration consiste pour quatre industriels de notre échantillon, à mobiliser la GDS par le GDSN. Ce sont des entreprises qui choisissent dès le départ d utiliser un catalogue électronique, prestataire de service membre du réseau GDSN, par une connexion unique pour communiquer les fiches produit à l ensemble de leurs partenaires distributeurs, en stockant les données dans l interorganisation. L intégration des données est alors conforme à celle proposée par l ERP (cf figure 3). Toutefois, parmi les industriels qui s orientent vers la GDS dans notre échantillon, quatre s orientent vers une deuxième forme d intégration, puisqu ils utilisent le principe de la connexion unique par un catalogue membre du réseau, mais sans stockage des données sur celui-ci. Le catalogue prestataire sert ainsi uniquement de routeur pour diriger les données vers le distributeur destinataire. Dans ce cas, on est davantage dans une forme d intégration proche de l EAI, puisqu il n y a pas stockage dans l interorganisation : c est un interfaçage entre les entreprises qui permet l intégration interorganisationnelle des données, interfaçage réalisé non pas point à point entre deux entreprises, mais par une plateforme d intégration, comme dans l EAI (cf figure 4). Pour six industriels, le choix stratégique de conserver la maîtrise des données en interne s est traduit par le choix opérationnel d un outil PIM (Product Information Management), sorte de catalogue électronique interne. Le PIM propose une troisième forme d intégration, car il autorise l intégration sans faire appel à un catalogue. Dans ce cas, on est plus sur des formes d intégration traditionnelle de type EDI, point à point par interfaçage (cf figure 1 et 5), où l industriel met en place autant de connexions qu il a de partenaires. A la différence de l EDI, qui autorise l interfaçage entre applications, le PIM permet de stocker et de structurer les données de la fiche produit en interne, à la frontière du SI. Il est ainsi assimilable à une forme de Datamart, pour stocker les données de la fiche produit par extraction depuis les bases de données pré-existantes (cf figure 2). Enfin, la quatrième forme d intégration interorganisationnelle des données consiste à utiliser un catalogue hors réseau. Dans ce cas, l idée est d utiliser un prestataire pour mutualiser les données à l extérieur de l entreprise, mais en faisant appel à un catalogue qui ne fait pas partie du réseau GDSN. L entreprise externalise l intégration de type point-à-point, puisque c est le prestataire qui doit définir les modalités d intégration avec chacun des distributeurs. Cette forme d intégration des données, défendue par quatre industriels de notre échantillon, est à mettre en relief avec l intégration par interfaçage (cf figure 1 et 5), mais avec un stockage des données dans l interorganisation, données extraites du SI, ce qui la rapproche d une forme de Datamart externalisé (cf figure 2). Le tableau 1 synthétise les quatre formes d intégration interorganisationnelle répertoriées chez les industriels. Forme d intégration interorganisationnelle GDSN avec stockage des données dans le catalogue GDSN sans stockage des données dans le catalogue PIM sans catalogue catalogue hors GDSN Correspondance intraorganisationnelle ERP : stockage, partage et unicité des données dans l interorganisation EAI : mise en relation des différentes applications par une plateforme d intégration Datamart interne et interfaçage Datamart et interfaçage Industriels concernés Tableau 1 : les formes d intégration interorganisationnelle pour les industriels 4.3. La mise en œuvre par les distributeurs On retrouve du côté des distributeurs plusieurs stratégies et leurs mises en œuvre opérationnelles associées, mais de façon moins diversifiée. Pour cinq distributeurs, il s agit de profiter de la GDSN et des opportunités qu elle offre pour intégrer les données avec leurs milliers de fournisseurs. Tout comme pour les

7 industriels mobilisant cette forme d intégration, en mettant en place une connexion unique avec un catalogue du réseau, l intégration des données est similaire à celles proposées par l ERP ou l EAI. En effet, tout dépend de la stratégie de l industriel de stocker ou non les données dans son catalogue prestataire, puisque les distributeurs utilisent le leur uniquement comme routeur de données. Ils conçoivent de leur côté le réseau comme une plateforme d intégration. Pour trois distributeurs, puisqu un d entre eux a choisi de combiner les deux formes d intégration par catalogues électroniques, la stratégie consiste à utiliser leur PIM pour recevoir électroniquement les fiches produit depuis les catalogues électroniques de leurs fournisseurs. Cette forme d intégration est donc symétrique à celle mobilisée par les six industriels proposant d utiliser un PIM pour réaliser l intégration par interfaçage. Encore une fois, à la différence de l EDI, leur PIM permet de stocker les données avant de les diffuser dans leurs systèmes d information internes. Ainsi, puisque le PIM permet une analyse et un traitement des données, il se rapproche d une forme de Datamart qui intègre les données issues de différentes sources. Le tableau 2 retrace les caractéristiques de l intégration interorganisationnelle pour les distributeurs. Forme d intégration interorganisationnelle GDSN avec catalogue PIM sans catalogue Correspondance intra-organisationnelle ERP ou EAI Datamart interne et interfaçage Distributeurs concernés Tableau 2 : les formes d intégration interorganisationnelle pour les distributeurs Dans la partie suivante, nous discutons des formes d intégration interorganisationnelles qui résultent de l interconnexion des formes d intégration préconisées par les entreprises pour en tirer certaines conclusions vis-àvis de l intégration intra-organisationnelle des données. 5. Discussion et conclusion Il ressort de notre étude de cas que, de même que l EDI est l extension interorganisationnelle de l intégration traditionnelle par interfaçage, de nouvelles formes d intégration interorganisationnelle émergent par extension de celles proposant la fédération des données dans l organisation, telles que l EAI, l ERP ou le Datawarehouse. En s intéressant à une technologie flexible comme les catalogues électroniques et leurs dérivés qui proposent différentes formes d intégration, nous avons finalement davantage traité de la problématique de l intégration des données que d une technologie particulière. Ainsi, nous avons mis en évidence que l idée de départ d une forme d intégration de type ERP dans l interorganisation était remise en cause par les choix stratégiques des entreprises qui ouvrent des formes alternatives d intégration 5 3 des données, en combinant certaines caractéristiques des technologies d intégration intra-organisationnelle présentées dans la première partie. Ainsi, on retrouve dans l interorganisation le constat que la vision globale de départ par système d entreprise, théoriquement la plus efficace, ne correspond pas toujours à la vision locale de certaines fonctions ou agents dans l entreprise (Gattiker et Goodhue, 2004). En effet, la vision globale du GDSN, système d interentreprise, ne correspond pas toujours à la vision locale de certaines entreprises. A échelle différente, ce résultat est conforme à ceux de Volkoff, Strong et Elmes (2005). Par contre, ce qui est intéressant dans le cas des catalogues électroniques que nous avons décrit pour les échanges de fiches produit, c est que les alternatives d intégration au GDSN sont pensées dès le départ par les entreprises. En effet, lors de la prise de décision de la forme d intégration des données qu elles privilégient pour l émission ou la réception des données, les entreprises tiennent compte de l interopérabilité avec les systèmes de leurs partenaires qui proposent d autres formes d intégration. Dans l interorganisation, le SIIO n est pas soumis de la même manière à la question de l autorité légitime, au sens de Weber (1971). Dans le contexte interorganisationnel, celle-ci agit plus en vue de la structuration des relations que de l'homogénéisation du réel. Ainsi, la problématique des formes alternatives d intégration se pose plus tôt dans l interorganisationnel que dans l intra-organisationnel. Comme le souligne Gattiker et Goodhue (2005), penser intra-organisationnel revient souvent à considérer l'organisation (level system) comme l'unité d'analyse alors que penser inter-organisationnel, revient à considérer la relation comme l'unité d'analyse. Cette différence de perspectives mérite de retenir davantage l'attention des chercheurs et de s'appuyer davantage sur la relation comme instrument d'analyse. Dans les alternatives de formes d intégration proposées dans le secteur de la grande distribution, quels que soient les choix opérés par les entreprises en termes de mise en œuvre technologique, l intégration de données, d un point de vue technique, reste possible. Si l on décompose les phases d intégration en se référant aux travaux de Swatman et Swatman (1991) et Truman (2000) lors du flux de données depuis les référentiels des industriels jusqu à ceux des distributeurs, tous les choix technologiques pour échanger les fiches produit permettent l intégration interne et des données : l interconnexion entre les différentes formes d intégration proposées par les industriels et celles proposées par les distributeurs est techniquement envisageable, notamment car elle se fonde sur des standards d échange plus flexibles que ceux de l EDI (Nakatani et al., 2006), que ce soit en termes de modèle de données ou de protocole de communication (Zhu et al., 2006). Les réticences à s interconnecter avec certaines formes particulières proposées par ses partenaires viennent davantage pour chaque entreprise de considérations socio-économiques et

8 politiques : on retrouve donc dans l interorganisation les conclusions de Markus (1983) dans l organisation qui mettent en évidence l importance de ces dimensions dans les difficultés de mise en œuvre des systèmes d information. Les résultats et les discussions entamées sont aussi à mettre en relief avec certaines limites de la recherche. Tout d abord nos résultats sont issus d une étude de cas centrée sur l échange de fiches produits dans le secteur de la grande distribution. Des recherches complémentaires sur d autres domaines et une comparaison des résultats pourraient accroître la validité de la recherche et ouvrir de nouvelles pistes de discussion théorique sur les différentes formes d intégration interorganisationnelle des données. De plus, nous nous sommes concentrés sur des projets de SIIO en construction dans un secteur. Une recherche évaluant l intégration des données post implémentation pourrait apporter des enseignements complémentaires (Gattiker et Goodhue, 2005) en enrichissant cette perspective organisatrice par une perspective davantage centrée sur les pratiques. Références Allal-chérif O. et Favier M. (2008), Le modèle économique des places de marché électroniques. Du transactionnel au collaboratif, Revue française de Gestion, vol.34, n 181, pp Baile S. et Trahand J. (1999), Les systèmes d'information inter-organisationnels. Contributions et cadre des recherches, Systèmes d'information et Management, vol.4, n 2, pp Bakos Y. (1991), Information Links and Electronic Marketplaces: the Role of Interorganizational Information Systems in Vertical Markets, Journal of Management Information Systems, vol.8, n 2, pp Barret S. et Konsynski B. (1982), Inter-organization Information Sharing Systems, MIS Quarterly, vol.6, Special Issue, pp Bidan M. (2004)., Fédération et intégration des applications du système d Information de Gestion, Systèmes d Information et Management, vol. 9, n 2, pp Charki M.H. et Josserand E. (2008), Online Reverse Auctions and The Dynamics of Trust, Journal of Management Information System, vol.24, n 4, pp Christiaanse E., Van Diepen T. et Damsgaard J. (2004), Proprietary versus Internet Technologies and the Adoption and Impact of Electronic Marketplaces, The Journal of Strategic Information Systems, vol.13, pp Cooper B.L., Watson H.J., Wixom B.H. et Goodhue, D.L (2000), Data warehousing supports corporate strategy at First American, MIS Quarterly, vol.24, n 4, pp de Corbière F. (2006), Systèmes d'information interorganisationnels pour la transmission des informations produit : architectures dans le secteur de la grande distribution française, 11e colloque de l AIM, juin, Luxembourg. Davenport T. (1998), Putting the enterprise in the enterprise system, Havard Business Review, vol.76, pp Deixonne J-L. (2002), Positionnement des ERP par rapport aux nouveaux concepts et outils : Supply Chain Management, Customer Relationship Management, Revue Française de Gestion industrielle, vol.21, n 4, pp Eisenhardt K. (1989), Building theories from case study research, Academy of management Review, vol.14, n 4, pp Elgarah W., Falaleeva N., Saunders C., Llie V., Shim J.T. et Courtney J. (2005), Data Exchange in Interorganizational Relationships: Review through Multiple Conceptual Lenses, Database for Advances in Information Systems, vol.36, n 1, pp Fabbe-Costes N. (2000), Le rôle transformatif des SIC et TIC sur les interfaces multi-acteur de la distribution et de la logistique, in Fabbe-Costes N., Colin J. et Paché G., Faire de la recherche en logistique et distribution, Paris : Vuibert, pp Gattiker T. et Goodhue D. (2002), Software driven changes to business processes : an empirical study of impacts of enterprise resource planning systems at the local level, International Journal of Production Research, vol.40, pp Gattiker T. et Goodhue D. (2004), Understanding the local-level costs and benefits of ERP through organizational information processing theory, Information & Management, vol.41, n 4, pp Gattiker T. et Goodhue D. (2005), What happens after ERP implementation: understanding the impact of interdependence and differentiation on plant-level outcomes, MIS Quarterly, Vol. 29, n 3, pp Goodhue D., Wybo M. et Kirsch L. (1992), The Impact of Data Integration on the Costs and Benefits of Information Systems, MIS Quarterly, vol.16, n 3, pp Guilloux V. (1995), Développement de l EDI entre les fabricants et les distributeurs : impacts sur le schéma d organisation du dialogue industrie-distribution, 2ème colloque de l AIM (Association Information & Management), Nanur, Belgique. Hlady Rispal M. (2002), La méthode des cas, application à la recherche en gestion. Bruxelles : De Boeck université, 250 p. (Perspectives marketing). Isaac H. et Volle P. (2008). E-commerce - De la stratégie à la mise en oeuvre opérationnelle, Paris : Pearsons Education, 350p.

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