PROJET SOCIAL 2014/2018

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1 1 ESPACE SOCIO CULTUREL DU HAILLAN PROJET SOCIAL 2014/2018 Octobre 2013 E.P.A. Espace Socio Culturel du Haillan, 58 Rue Edmond Rostand LE HAILLAN Structure agréée centre social par la CAF de la Gironde

2 2 SOMMAIRE L ESPACE SOCIO CULTUREL : une structure en mutation p.4 LES INSTANCES DE DECISIONS ET PARTICIPATIVES p.4 L EQUIPE DE PROFESSIONNELS p.7 LES USAGERS / ADHERENTS DE L ESPACE SOCIO CULTUREL p.7 UNE DEMARCHE DE PROJET PARTICIPATIVE p.8 DEMARCHE ET OUTILS DU DIAGNOSTIC p.8 DEMARCHE ET OUTILS / ELABORATION ET ECRITURE DU PROJET SOCIAL p.10 UN PROJET PARTAGE OUI MAIS PAS SANS VALEURS COMMUNES p.11 DIAGNOSTIC SOCIAL DU TERRITOIRE p.13 LE HAILLAN UNE COMMUNE EN MUTATION OU IL FAIT BON VIVRE p.13 SITUATION SOCIO-DEMOGRAPHIQUE p.14 DONNEES SOCIO-ECONOMIQUES p.18 L HABITAT p.22 Equipements /établissements scolaires/ tissus associatif p.24 EVALUATION DU PROJET SOCIAL 2009/2013 p.25 ELEMENTS MARQUANTS DU DIAGNOSTIC p.31 ELEMENTS MARQUANT DU DIAGNOSTIC SOCIAL p.31 CONSTATS ET ATTENTES DES HABITANTS p.32 BESOINS REPERES PAR LES PARTENAIRES p.34 BESOINS REPERES PAR L EQUIPE DE PROFESSIONNELS p.34 AXES DE REFLEXION EMANANT DU DIAGNOSTIC p.35 AXES PRIORITAIRES DU PROJET SOCIAL 2014/2018 p.37 AXE 1 SOLIDARITE p.38 AXE 2 MIXITE SOCIALE ET INTERGENERATIONNELLE p.48 AXE 3 LA DEMARCHE PARTICIPATIVEIRES p.57 AXE 4 L OUVERTURE SUR LE TERRITOIRE p.61 ANNEXES P.65

3 3 CONTEXTE Initié en 2004 par la Municipalité, le travail de préfiguration entamé dans le cadre d une démarche participative et d une participation active des habitants du territoire a abouti en Avril 2006 à la création de l association «Espace Socio Culturel du Haillan». Cette dernière a porté, jusqu en décembre 2012, l activité du centre social et a mené à bien 2 phases d agrément centre social (2006/ /2013). L année 2008 a été une année charnière dans la vie de la structure ; en effet elle s est vue dotée par la commune de locaux permettant d accueillir les habitants dans des conditions optimales et de développer l ensemble des actions envisagées dans le projet social. Suite à une période de trouble notamment au niveau de la gouvernance, les adhérents lors de l Assemblée Générale de 2012 ont voté le changement de statut. Le centre social passe du statut associatif au statut d Etablissement Public Administratif (E.P.A.), rattaché à la commune, en Janvier Le changement de statut de la structure a impacté fortement son fonctionnement et la fréquentation tout au long de l année 2012 et au cours du premier trimestre Aujourd'hui une nouvelle dynamique se met en place. Elle repose sur la mise en place d'une réelle démarche participative et sur l'implication des bénévoles au niveau des instances de décisions et de la démarche de projet. Parallèlement un travail de fond à la fois sur le sens et sur la pédagogie est entamé avec l équipe de professionnels et une réorganisation est en cours au niveau du fonctionnement. On constate aujourd'hui que la fréquentation est en hausse et que la structure draine de nouveaux adhérents. Le choix d étendre le périmètre d intervention du centre social à l ensemble de la commune a été acté en Conseil d Administration. De plus l implication des bénévoles lors du travail de diagnostic et d écriture du projet social est à souligner, ainsi que le partenariat avec quelques associations locales.

4 4 L ESPACE SOCIO CULTUREL : une structure en mutation L E.P.A. (Etablissement Public Administratif) «Espace Socio Culturel» a été créé le 1 er Janvier 2013 et a pour mission de gérer et faire fonctionner le centre social (porté par l association Espace Socio Culturel du Haillan de 2006 à 2012). Dates clefs : Avril 2006 création de l association «Espace Socio Culturel du Haillan» 1er agrément Centre Social : 2006/2009 Ouverture des locaux actuels de l'espace Socio Culturel en Septembre ème agrément Centre Social : 2010/2013 Situé dans le quartier Edmond Rostand, au sud de la commune, l Espace Socio Culturel (E.S.C.) est implanté à proximité immédiate de la résidence Edmond Rostand. L objectif aujourd hui est de mettre en œuvre un projet permettant de s ouvrir à l ensemble du territoire Haillanais. LES INSTANCES DE DECISIONS ET PARTICIPATIVES L E.P.A. «Espace Socio Culturel» fonctionne avec deux instances de décisions : Un Conseil d Administration (C.A.) composé de 21 membres avec voix délibératives: Lors de la création de l Etablissement Public Administratif, les membres du Conseil d Administration ont été désignés par délibération du Conseil Municipal de la commune du Haillan et ont été répartis comme suit : - Un collège d élus : 11 conseillers municipaux ; - Un collège d habitants : 10 membres : 6 membres désignés parmi les usagers du Centre Social 1 personne qualifiée 3 représentants d associations de la commune Les représentants des partenaires institutionnels (CAF de la Gironde, Conseil Général de la Gironde) siègent au sein du Conseil d Administration. Le Maire, ou son représentant, peut assister au Conseil d Administration, sans voix délibérative.

5 5 Lors du renouvellement du Conseil d Administration, il est procédé à la désignation des membres du Conseil d Administration par délibération du Conseil Municipal selon les dispositions suivantes : - Collège des élus : 11 conseillers municipaux - Collège des habitants : dix autres membres désignés comme suit: 6 représentants des usagers élus par le Conseil de Participation et d Initiatives parmi ses membres / personnes physiques ; 3 associations élues par le Conseil de Participation et d Initiatives parmi les associations représentées en son sein ; 1 personnalité qualifiée, personne physique ou morale, choisie en fonction de son engagement dans l action socio-éducative, sportive ou culturelle, de son expérience et de ses connaissances dans ce ou ces domaines et désignée par le Conseil Municipal sur proposition du Maire. Les Conseillers Municipaux membres du Conseil d Administration sont élus par le Conseil Municipal pour la durée de leur mandat municipal. Les fonctions des autres membres prennent également fin lors du renouvellement du Conseil Municipal. Ils peuvent être relevés de leurs fonctions avant la date d expiration de leur mandat, par la même autorité, après avis du Conseil de Participation et d Initiatives. Un Conseil de Participation et d Initiatives (C.P.I.) composé de 24 membres : Pour élaborer et mettre en œuvre le projet du Centre Social, le Conseil d Administration s appuie sur une instance de participation des habitants dénommée Conseil de Participation et d Initiatives. Le Conseil de Participation et d Initiatives du Centre Social est présidé par le Président du Conseil d Administration, son représentant qu il désigne ou, par délégation, par le directeur qui assiste à toutes les séances. Il comprend 24 membres: - 12 représentants des usagers ; - 1 représentant des intervenants bénévoles du Centre Social (qui peut également, ou pas, être usager du centre social) ; - 1 représentant des jardiniers (qui peut également, ou pas, être usager du centre social) ; - 1 représentant des usagers de la ludothèque (qui peut également, ou pas, être usager du centre social) ; - 5 représentants d associations de la commune ; - 3 personnes qualifiées ; - 1 agent du Centre Social. La désignation des membres du Conseil de Participation et d Initiatives est assurée par délibération du Conseil Municipal selon les modalités suivantes : Lors de la création de l Etablissement, les membres du Conseil de Participation et d Initiatives sont désignés par délibération du Conseil Municipal et répartis comme indiqué ci-dessus.

6 6 Lors du renouvellement du Conseil de Participation et d Initiatives, il sera procédé à la désignation des membres du Conseil de Participation et d Initiatives par délibération du Conseil Municipal selon les dispositions suivantes : - 12 représentants des usagers élus par l assemblée générale des usagers - 1 représentant des intervenants bénévoles du Centre Social (qui peut également être usager du centre social) élu par l assemblée générale des usagers - 1 représentant des jardiniers (qui peut également être usager du centre social) élu par l assemblée générale des usagers - 1 représentant des usagers de la ludothèque (qui peut également être usager du centre social) élu par l assemblée générale des usagers - 5 associations désignées par le Conseil Municipal sur proposition du Maire - 3 personnes qualifiées désignées par le Conseil Municipal sur proposition du Maire - 1 agent du Centre Social élu par les salariés. La durée des mandats et les attributions du Conseil de Participation et d Initiatives sont prévues dans le règlement intérieur. L assemblée générale des usagers a lieu une fois par an, au moins, et entend le bilan des activités passées, le rapport moral du Président et le rapport d orientation (cf. règlement intérieur). Les membres du Conseil d Administration peuvent assister aux séances du Conseil de Participation et d Initiatives. Le Conseil de Participation et d Initiatives émet obligatoirement un avis destiné au Conseil d Administration pour toute question traitée par ce dernier et portant sur la création, l organisation, la réalisation ou la suppression d activités. Les commissions Il est institué des commissions techniques en fonction du projet social. Elles peuvent être permanentes ou ponctuelles, thématiques ou non. Elles sont destinées à ouvrir des espaces de réflexion et de dialogue, de co-construction et de partage des projets et réalisations. Aujourd hui la structure compte 8 commissions émanant d un travail de réflexion au sein du Comité de Participation et d Initiatives, elles répondent à des besoins identifiés par les bénévoles et l équipe de professionnels.

7 7 L EQUIPE DE PROFESSIONNELS L équipe de professionnels est constituée comme suit : Une Directrice à temps complet ; Une secrétaire comptable à 85 % soit 30 heures hebdomadaires; Une référente parentalité (LAEP, groupe de paroles thématiques et non thématiques, ateliers parents enfants) à temps partiel (50%); Une Conseillère en Economie Sociale et Familiale à mi-temps ; Un animateur directeur de l ALSH et responsable du projet des jardins familiaux à temps complet ; Un animateur ALSH, responsable de l Accompagnement à la Scolarité (CLAS) et du domaine des festivités, à temps plein et mis à disposition par la commune ; Un animateur ALSH et CLAS et ateliers parents enfants à temps complet ; Une accueillante LAEP effectuant 8 heures hebdomadaires. LES USAGERS / ADHERENTS DE L ESPACE SOCIO CULTUREL CENTRE SOCIAL ZONE DE COMPETENCE bre Usagers/Adhérents Habitants Nombre total Dont 0 à 5 ans révolus. 9.52% 10.48% Dont 6 à 17 ans révolus 41.40% 42.33% Dont 18 à 25 ans révolus 4.03% 3.63% Dont 26 à 59 ans révolus 36.26% 35.08% Dont 60 ans et plus 8.79% 8.46% Familles monoparentales * 17.77% 18.75% Demandeurs d'emploi * 21.11% 23.15% Bénéficiaires du R.S.A. * 26.66% 27.5% Population étrangère (UE. - hors UE) 6.66% 7.5% Nombre de ménages allocataires CAF* 75.55% 77.50%

8 8 UNE DEMARCHE DE PROJET PARTICIPATIVE Un séminaire, animé par un intervenant extérieur, a été mis en place avant d entreprendre le travail de diagnostic et l élaboration du projet. Il a permis : Une réflexion collective sur les fondements et valeurs des centres sociaux ; Aux membres du C.A. et du C.P.I. d'entamer une réflexion concernant l'éducation populaire et la démarche participative ; Aux salariés d'aborder les différentes missions des centres sociaux et les valeurs qu'ils portent. Ce temps d échange a permis de mobiliser les bénévoles et de convenir qu il était important que l ensemble des acteurs de la structure réfléchisse aux valeurs et missions devant être portées par cette dernière. En effet, la période de trouble qui a amené un changement de statut de la structure, l arrivée de nouveaux adhérents et de nouveaux salariés sont autant d éléments qui ont été pris en compte et qui ont fait émerger le besoin de travailler sur des valeurs partagées par tous. La première étape du travail a été de présenter et de valider en Comité de Pilotage la démarche globale concernant le diagnostic, l élaboration et l écriture du nouveau projet social. Suite à cette rencontre, la question du périmètre d intervention du centre social s est posée. Après une réflexion collégiale, le Conseil d Administration a décidé que l Espace Socio Culturel interviendrait sur la commune du Haillan dans son entier et non plus uniquement sur le quartier Edmond Rostand. DEMARCHE ET OUTILS DU DIAGNOSTIC L enjeu de ce diagnostic de territoire est bien de permettre une connaissance partagée du territoire, de ses caractéristiques et des besoins afin de construire une offre de services réfléchie et concertée avec l ensemble des acteurs locaux. Pour ce faire, nous avons mis en place trois groupes de travail constitués de membres du C.A., du C.P.I. et de salariés : Un «groupe méthodologie» a affiné la méthode développée, a élaboré le questionnaire (cf. annexe n 1) en direction des habitants, apporté un cadre et une aide méthodologique aux bénévoles souhaitant aller à la rencontre des habitants. Ce groupe a pensé et mis en place une table ronde regroupant bénévoles, usagers et habitants autour des questions posées dans le questionnaire. L'objectif du questionnaire élaboré par le «groupe méthodologie» était d'identifier : La couleur du bien vivre au Haillan ; Les lieux fréquentés et activités effectuées ; Les besoins en matière d'activité ; Les envies, projets (loisir, culture, solidarité, voyage, humanitaire, ) et savoir-faire ; L'implication bénévole des Haillanais ; La connaissance de l'espace Socio-Culturel.

9 9 Un «groupe évaluation» a effectué parallèlement à l équipe de professionnels l évaluation du projet en cours. Un «groupe rencontre avec les habitants» a organisé, réalisé et mis en place les actions permettant de rencontrer les habitants, de proposer le questionnaire et d en effectuer l analyse. L ensemble des démarches ont été concertées et un accompagnement méthodologique a été effectué notamment au niveau des actions en direction des habitants. En effet, il a été important de repréciser ce qu était un centre social (Cf. annexe n 2), d échanger au niveau des techniques d entretien et de la posture à adopter. De plus, étant en période pré-électorale, il a été important de préciser que l objectif du questionnaire était bien de faire émerger les besoins des habitants et qu il fallait être attentif à ne pas «tomber dans le piège» du bilan municipal. Différents temps permettant de rencontrer les habitants ont été mis en place : Une table ronde mise en place en lien avec le Service d Etudes Sociales de la CAF de la Gironde regroupant des bénévoles, usagers, administrateurs et salariés permettant de faire un état des lieux au niveau du fonctionnement de la structure, de ses instances de décisions, du niveau de participation des habitants et de mesurer le partenariat de cette dernière. Ce travail en lien avec les services de la CAF a constitué le point de départ de l évaluation du projet social en cours et reposait sur deux thématiques : la participation des habitants et le partenariat ( ) et se décline en plusieurs critères : Statuts et rôles : organisation des activités, dynamique de fonctionnement, maturité du territoire pour la participation ; Niveau de partenariat local : relations au territoire, ancrage territorial pour le partenariat». Une table ronde regroupant des habitants ne connaissant pas forcement la structure, des usagers et bénévoles autour du questionnaire ; (cf. annexe n 3) Différentes rencontres avec les habitants lors de manifestations communales, à la sortie des écoles et organisation par quartier (porte à porte, etc.). afin de leur soumettre le questionnaire : 120 personnes ont été interrogées dont 10 dans le cadre de la table ronde.

10 10 Un travail de réflexion a également été mené avec l équipe de professionnels et a permis de déterminer les partenaires à associer à la démarche de diagnostic : MDSI ; PMI ; CCAS ; CAF ; Services municipaux ; Education nationale ; Associations locales (AQUER'S, CNL, Croix Rouge, etc.). Ces rencontres ont permis d une part de faire un état des lieux de l existant, d échanger au niveau des problématiques rencontrées par les habitants et de cerner davantage la place du centre social au niveau de la commune. DEMARCHE ET OUTILS / ELABORATION ET ECRITURE DU PROJET SOCIAL Suite au Comité de Pilotage ayant validé le diagnostic, l ensemble des membres du C.A et du C.P.I. ainsi que l équipe de salariés ont été invités à participer à l élaboration et à l écriture du projet. Pour cela nous avons mis en place : 4 Réunions de travail avec les membres du C.A. et du C.P.I. Une première rencontre permettant de mettre en place et valider la méthode de travail, de faire une synthèse du diagnostic afin que chacun puisse se saisir des éléments clés qui en ressortaient ; Une seconde rencontre a permis d analyser plus en détail le diagnostic et de faire un parallèle avec le travail engagé autour des valeurs et principes. Le groupe de travail a ensuite défini les axes principaux du projet social et les éléments (valeurs, principes, ) transversaux à l ensemble des actions qui seraient menées, puis les objectifs à atteindre par axes du projet social. Lors de la troisième rencontre nous avons identifié les actions du projet en cours à maintenir ainsi que le nouvel axe auquel les rattacher. Ensuite le groupe a travaillé sur les nouvelles actions à développer par axe. La quatrième rencontre a permis de poursuivre le travail au niveau des nouvelles actions et de définir les objectifs de chacune d entre elles.

11 11 3 Réunions de travail avec l équipe de professionnels Tout comme avec les bénévoles, nous avons débuté la démarche d élaboration de projet par l analyse du diagnostic. Un échange a également eu lieu au sujet des valeurs et principes que le groupe de travail de bénévoles a pu choisir comme étant ceux devant être portés par la structure. Cette réflexion a également concerné les définitions co-construites par les bénévoles. L équipe a ensuite fait le point sur les actions à maintenir et a travaillé sur la définition de nouvelles actions et de leurs objectifs. 1 Temps de travail regroupant bénévoles et professionnels. Un membre de l équipe de professionnels ainsi que la Directrice ont assisté à l ensemble des réunions permettant ainsi des interactions entre le travail mené par les bénévoles et celui mené par l équipe. Présentation à l ensemble de l équipe (bénévoles+professionnels) de l ensemble des éléments constituant le projet social. Priorisation des actions en fonction des éléments du diagnostic et en fonction des moyens humains et financiers de la structure. UN PROJET PARTAGE OUI MAIS PAS SANS VALEURS COMMUNES De par la nouvelle configuration du centre social que ce soit au niveau de son statut, de ses instances de décisions, de son organisation et de sa nouvelle équipe, le besoin de réfléchir à un socle commun s est fait ressentir. En effet, il était important que l ensemble de l équipe (bénévoles et salariés) réfléchisse à la fois aux valeurs et principes portés par les centres sociaux ainsi qu à leurs missions. Un travail a donc été engagé parallèlement à la démarche de diagnostic et d écriture du projet. Le point de départ de ce travail repose sur une lecture commune et l analyse de la circulaire CNAF de Juin 2012 et plus particulièrement sur l analyse des valeurs et principes portés par les Centres Sociaux, leurs missions générales et complémentaires. Le groupe de travail a ensuite identifié les valeurs et principes que l ensemble des participants souhaitaient voir porter par l Espace Socio Culturel. Puis il a déterminé les valeurs et principes qu il souhaitait voir porter par la structure : La Solidarité ; La Mixité sociale et intergénérationnelle ; Démarche Participative ; L ouverture sur le territoire Communication et Partenariat.

12 12 Afin de constituer un véritable socle commun à tous et afin que chacun se saisisse du sens de chaque mot, nous avons co-construit une définition commune pour chacune des valeurs et chacun des principes sus cités en y intégrant également une réflexion concernant le lien social. LE LIEN SOCIAL Définition de Pierre-Yves Cusset sociologue et agrégé de sciences économiques et sociales Le lien social a de multiples définitions, plus simplement on peut dire que ce sont «l ensemble des relations que l on entretient avec sa famille, ses amis, ses voisins ( ) jusqu aux mécanismes collectifs de solidarités, en passant par les normes, les règles, les valeurs ( ) qui nous dotent d un minimum de sens d appartenance collective». LA SOLIDARITE «Sentiment d interdépendance de personnes ayant un intérêt commun les poussant à s accorder une aide mutuelle». LA MIXITE SOCIALE ET INTERGENERATIONELLE Mixité sociale : «Echanges et partages qui permettent la découverte, la connaissance et le respect de l autre dans sa différence en développant les liens sociaux et intergénérationnels.» Liens Intergénérationnels : «Mise en place de passerelles et d échanges entre toutes les générations permettant la transmission réciproque d expériences et de connaissances, de savoirs (savoir-être, savoir-faire et savoir-vivre) ou encore de la mémoire.» LA DEMARCHE PARTICIPATIVE «Processus de réflexions et d initiatives permettant aux habitants de s impliquer comme acteur et d exercer leur citoyenneté dans un engagement de co-construction d un projet partagé.»

13 13 DIAGNOSTIC SOCIAL DU TERRITOIRE Ce diagnostic repose sur les données de l'insee (recensement de 2009), de la CAF (décembre 2011) et sur l'analyse des Besoins Sociaux (A.B.S.) réalisée en 2013 dans le cadre du CCAS de la commune du Haillan. Cette étude propose de se pencher dans un premier temps sur l analyse des données chiffrées du territoire (INSEE, CAF, ABS), sur le recensement des équipements et offres de services existants sur la commune. Puis dans un second temps sur l analyse des attentes et besoins collectés lors de la rencontre avec les habitants et partenaires institutionnels, associatifs LE HAILLAN UNE COMMUNE EN MUTATION OU IL FAIT BON VIVRE : Située à une dizaine de kilomètres de Bordeaux, la commune du Haillan garde aujourd'hui une image de «petite ville de campagne» tranquille et à taille humaine chère aux habitants (son territoire couvre 926 ha ce qui représente moins de 2% du territoire de la CUB) tout en revêtant de plus en plus le statut d'une commune urbaine faisant partie à part entière de l'agglomération bordelaise et participant activement au développement de cette dernière. La commune du Haillan a vu depuis quelques années d'importantes mutations en matière d habitat, de densité de population mais aussi au niveau de l'offre de services, de l'animation, de la culture, etc. Ces mutations sont à prendre en considération d autant plus qu elles questionnent un assez grand nombre d habitants. Cependant la majorité des Haillanais exprime un réel sentiment de «bien vivre» et apprécie le fait de vivre dans un environnement privilégié tout en étant à environ une 1/2 heure du centre de Bordeaux. Les axes de communication qui traversent la commune permettent son intégration dans l'agglomération et contribuent à son désenclavement. L ensemble de la commune est bien desservie par les transports en commun ce qui permet au plus grand nombre d être relativement mobile. De plus, le désenclavement de la commune s'inscrit également dans les perspectives de développement de la CUB notamment en matière d'augmentation de population. Ceci amène à envisager une croissance déjà significative de la population dans la plupart des secteurs de la commune et à un passage imminent du Haillan dans la catégorie des villes de plus de habitants.

14 14 SITUATION SOCIO-DEMOGRAPHIQUE : Les chiffres du recensement effectué par l INSEE en 2009 ne nous ont pas permis d avoir une vision très précise de la situation démographique de la commune. Nous nous sommes donc appuyés sur les données et les analyses de l'a.b.s. effectuée dans le cadre du CCAS en Mars Une démographie en constante évolution : La commune du Haillan connait aujourd'hui un véritable essor en matière d'habitat, une hausse assez significative de sa population ainsi qu une certaine évolution de cette dernière. Selon le dernier recensement Le Haillan compte 8442 habitants (source INSEE 2009) ce qui tendrait à dire que la croissance du nombre d'habitants se stabiliserait. Cependant au regard de l'évolution des constructions sur les 3 dernières années il semble évident que le nombre d'habitants ait augmenté. En effet, 848 nouveaux logements ont été enregistrés depuis 2010 et considérant la taille moyenne des ménages à 2,3 personnes, il est possible d'estimer la population actuelle à habitants. Il est important de souligner que de 1990 à 2009, la population du Haillan est passée de 6977 habitants à 8442 soit une hausse de 21%. De plus, la commune envisage d'atteindre habitants en 2030 ce qui laisse attendre des modifications importantes tant physiques, que sociales qu'il faudra anticiper EVOLUTION DE LA POPULATION Année Bien que datant de 2012, les données de recensement accessibles aujourd hui sont celles du millésime 2009, correspondant au recensement exhaustif de 2007, dont les données ont été extrapolées à l aide du fichier de la taxe d habitation. Au 01/01/13, les données publiées sous le millésimées 2010 résulteront de l actualisation des données 2009 en regard du recensement de 2012

15 15 Pyramide des âges Il est également difficile d'avoir une vision fiable concernant la répartition des habitants par tranches d'âges. Le dernier recensement mettait en avant un vieillissement relatif de la population. Cependant cette tendance pourrait être minorée avec l'installation récente de nouveaux ménages avec enfants REPARTITION DE LA POPULATION PAR TRANCHES D AGE Source : Insee, RP ans 15-29ans ans ans ans ans 90 ans et + Le poids des ans est relativement important sur la commune, en effet ils représentent 45% de la population Haillanaise. Cette surreprésentation est compensée par une population moins importante chez les moins de 30 ans et chez les 60 ans et plus. Le Haillan Canton de St Médard CUB - de 30 ans ,00% 35,00% 42,00% ans ,00% 44,00% 41,00% 60 ans et ,00% 21,00% 17,00% Part des - de 20 ans ,00% 26,00% 23,00% Part des 75 ans et ,00% 6,00% 8,00% Source : Insee, RP 2009 L indice de jeunesse qui était de 227 en 1999 s élève en 2009 à 358 ceci est le signe d une commune jeune.

16 16 Cependant il est à noter que la pyramide des âges induit un fort vieillissement de la population communale dans les années à venir. Une population qui tend à se féminiser La répartition hommes/femmes est relativement équilibrée sur la commune. En effet les hommes représentent 46% de la population contre 53% pour les femmes. Cependant l écart se creuse car en 1999 les hommes représentaient 49% de la population contre 51% pour les femmes. Répartition par tranches d'âge Femmes Hommes 0 à 14 ans ,30% ,70% 15 à 29 ans ,60% ,00% 30 à 44 ans ,20% ,80% 45 à 59 ans ,60% ,70% 60 à 74 ans ,10% ,50% 75 à 89 ans 283 6,30% 163 4,10% 90 ans et plus 40 0,90% 10 0,30% Source : Insee, RP à 14 ans à 29 ans 45 à 59 ans 75 à 89 ans 30 à 44 ans 60 à 74 ans 90 ans et plus Femmes Hommes

17 17 Un solde naturel positif En 2010, le solde naturel était nettement positif avec 101 naissances pour 50 décès. Soit 12 naissances pour 1000 habitants (2009). Types de ménages et structures familiales : Selon le dernier recensement la taille moyenne des ménages est de 2,37 personnes par ménage ce qui représente une légère diminution (2,66 en 1999). La part des ménages isolés est en augmentation comme celle des couples sans enfants. Parmi les ménages isolés 2/3 ont plus de 40 ans et 1/3 plus de 65 ans. La population «senior» est particulièrement touchée par l'isolement. En effet, on compte en 2009 près de 300 personnes âgées vivant seules. On constate une augmentation du nombre des familles monoparentales. On comptait en 2012, 252 familles allocataires CAF en situation de monoparentalité avec enfant(s) mineur(s) ce qui représente environ 30% des familles allocataires CAF. Le Haillan Canton de Saint Médard) CUB Ménages d une personne ,00% ,00% 21,00% 42,00% Dont moins de 40 ans ,00% ,00% 18,00% 43,00% Dont ans ,00% ,00% 41,00% 30,00% Dont 65 ans et ,00% ,00% 41,00% 17,00% Ménages avec famille ,00% ,00% 77,00% 54,00% Dont couples sans enfant ,00% ,00% 323,00% 23,00% Dont couples avec enfant(s) ,00% ,00% 37,00% 22,00% Dont familles monoparentales ,90% 252 8,30% 8,60% 9,00% Autres ménages sans familles Source : Insee, RP ,90% 52 1,70% 1,60% 3,80%

18 18 Niveau d'études et de qualification relativement élevé : Une augmentation du nombre de Haillanais de 15 ans ou plus titulaires du Baccalauréat et d'un diplôme de l'enseignement supérieur est à noter. Ceci alors que le nombre de personnes de 15 ans ou plus non bacheliers a diminué. On observe toutefois une augmentation de la part des non bacheliers diplômés entre 1999 et DONNEES SOCIO-ECONOMIQUES : Taux d activité et taux de chômage En 2009 le taux d'actifs était de 72,5% et le taux d'emploi de 67,1%, ces deux taux sont en hausse en comparaison du recensement de Total Population active Taux d'activité 71,90% 72,50% Taux d'actifs ayant un emploi 64,80% 67,10% Source : Insee, RP 2009 Les femmes âgées de 25 à 54 ans représentent une part moins importante des actifs avec ou sans emploi. Parmi les 27,5% d'inactifs, figurent une part presque égale d'élèves et étudiants (10,8%) et de retraités (9,6%). Le taux de demandeurs d'emploi en 2009 s'élevait à 7,5% ce qui est l'un des taux les plus faibles de la CUB Nombre de chômeurs Taux de chômage en % 9,60% 7,50% Taux de chômage des hommes en % 7,70% 6,10% Taux de chômage des femmes en % 11,60% 8,80% Part des femmes parmi les chômeurs en % 58,20% 60,00%

19 19 La population des moins de 25 ans est la plus concernée et le taux de chômage chez les femmes est plus élevé que celui des hommes. Au 31/12/2011, 367 demandeurs d'emploi étaient recensés. Il est à noter une augmentation de demandeur d'emploi dans la population féminine. Répartition des demandeurs d'emplois en 2011 : ans : ans : ans et plus : 59 Revenus fiscaux inégaux Le Haillan Canton de Saint Médard CUB Revenu net déclaré moyen par foyer fiscal( ) Foyers fiscaux imposables (%) 65,70% 68,90% 57,50% Revenu fiscal médian par UC ( ) Source : Insee, RP 2009 On note sur la commune du Haillan une inégalité des revenus assez importante entre les foyers. En effet, le rapport inter décile, mesurant l écart entre les revenus les plus faibles et les revenus les plus élevés était évalué à 4.13 en Le taux de foyers fiscaux imposables était de 65,7% en 2009 et le revenu moyen déclaré était de euros. Pour plus de 70%, les revenus déclarés étaient d'origine salariale. En 2009, 10% des ménages fiscaux ont déclaré des revenus inférieurs à 9855 soit 821 par mois.

20 20 Eléments indicateurs de besoins / indications sur les familles allocataires de la CAF (données CAF décembre 2011) Le nombre d allocataires CAF sur la commune du Haillan s élève à 1383 (données CAF de décembre 2011) ce qui représente un taux de couverture des ménages de 47%. Ce dernier est en augmentation (38% en 2009) et est identique à celui du département de la Gironde et légèrement inférieur à celui de la CUB (50%). Les familles monoparentales représentent 28,7% des allocataires du Haillan alors qu elles ne représentaient que 17,70% en De plus le taux de familles monoparentales est supérieur à celui de la Gironde qui est de 28% contre 31,7% pour la CUB. Le Haillan CUB Dép. Gironde Nombre d'allocataires Population couverte par la CAF Couverture de la population par la CAF (%) 47,00% 50,00% 47,00% Proportion d'étudiants parmi les allocataires 0,60% 19,60% 12,00% Couples sans enfant 5,30% 6,10% 5,40% Couples avec enfants 50,30% 29,70% 38,80% Personnes isolées 24,20% 50,50% 40,80% Familles monoparentales 20,20% 13,80% 15,10% Part des familles monoparentales parmi les familles Source : données CAF ,70% 31,70% 28,00% La commune compte 218 familles allocataires à bas revenus qui se composent essentiellement de personnes isolées (41%) et de familles monoparentales (31%). 122 familles monoparentales allocataires de la CAF sont en dessous du seuil des «bas revenus», dont 65 sont des actifs occupés (données ABS).

21 21 Les ménages à «bas revenus» se situent également pour la plupart dans la tranche d'âge des ans. Fin 2011 : 295 allocataires étaient bénéficiaires des minima sociaux RSA et/ou Allocation Adultes Handicapés ; 162 ménages étaient bénéficiaires du RSA 45% étant des familles isolées et 35% des familles monoparentales (données ABS) ; Depuis 2008 on note une augmentation du nombre de ces allocataires : +30% de bénéficiaires des minima sociaux et + 50% de bénéficiaires de l'allocation Adulte Handicapé. Le Haillan CUB Dép. Gironde Nombre de familles à bas revenus Proportion de familles allocataires à bas revenus 22,00% 30,00% 28,00% % des familles allocataires sont les prestations de la CAF pèsent pour plus de 50% dans les ressources du foyer 10,30% 16,70% 14,60% Allocataires bénéficiaires du RSA Familles allocataires bénéficiaires du RSA 0,88 107,49 199,13 % des familles allocataires bénéficiaires du RSA 9,00% 15,10% 13,50% Source : données CAF 2011 A ce jour il y a au Haillan 388 allocataires CAF dont les revenus se situent au-dessous du «seuil des bas revenus» c'est dire au-dessous de 982 par mois. Rappelons que les allocataires à bas revenus sont ceux dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté, fixé comme la moitié du niveau de vie médian des français. Le niveau de vie d un ménage estimé par le «RUC» (Revenu par Unité de Consommation) tient compte du revenu des ménages mais aussi de la taille et de la composition de ce dernier. En France, un individu peut être considéré comme pauvre quand ses revenus mensuels sont inférieurs à 803 ou 964 euros (données 2010) selon la définition de la pauvreté utilisée (seuil à 50 % ou à 60 % du niveau de vie médian). Le revenu pris en compte est le revenu dit «disponible» : après impôts et prestations sociales. Il existe donc au Haillan une partie de la population vivant en dessous du seuil de pauvreté. Cette population défavorisée est fragilisée par des conditions de vie difficiles. Cette condition sociale défavorisée se remarque d autant plus dans une commune globalement aisée.

22 22 L HABITAT La commune du Haillan s'organise autour de pôles d'équipements, 3 à 4 entités se dessinent du nord au sud : Ste Christine/Sablière : Secteur essentiellement résidentiel ; Le centre-ville : Composé d'habitat ancien ; Meycat : Secteur relativement récent composé de pavillons et de logements sociaux ; Edmond Rostand : quartier identifié à la «cité» d'habitat social du même nom qui est marqué par une image de précarité. Le développement d'un habitat diversifié sur la commune tend à induire un renouvellement de la population sur ces différents secteurs. La construction éparse de ces logements contribue fortement au «bien-vivre» cependant cela ne permet pas de leur associer aujourd hui des caractéristiques sociologiques spécifiques NOMBRE DE LOGEMENTS PAR CATEGORIE Rés. Principales Res. Secondaires Logements vacants Source : Insee, RP 2009 Source : Insee, RP 2009

23 23 En 2009, le nombre total de logements s élevait à 3600 dont 3507 résidences principales, 76 logements vacants et 17 résidences secondaires ou logements occasionnels. Le parc immobilier est assez récent et est composé d une majorité de résidences principales spacieuses ce qui contribue à l impression d une commune où «il fait bon vivre». On trouve une forte proportion d habitat individuel (75,1 % des logements en 2009) sur la commune et par conséquent un habitat collectif beaucoup moins important que sur le reste de la CUB même si le taux de logements sociaux s élève à environ 23%. En Juin 2012, 993 logements sociaux conventionnés étaient recensés et gérés par 7 bailleurs sociaux. Un tiers du parc est constitué par la cité Edmond Rostand qui représente 342 logements (43% de l occupation HLM). Les autres logements sociaux livrés, pour la plupart, au cours des 10 dernières années sont répartis sur le territoire de la commune. Cependant une mixité relative semble se dessiner sur l ensemble du territoire et les difficultés sociales apparaissent de façon assez diffuse. 610 allocataires CAF bénéficiaient en décembre 2011 d une aide au logement. On remarque un taux élevé de Haillanais propriétaires de leur logement mais également un taux de ménages occupant des logements HLM relativement important en 2009 : ce taux est à considérer à la hausse de par le nombre de logements sociaux construits ces dernières années. De plus, la CAF, dans une étude de 2011, a pu observer une part importante de familles allocataires avec un taux d effort supérieur à 30%, révélatrice d une tension sur le marché locatif et une pression du poste logement sur les budgets des ménages. Il est à noter que les personnes seules et les ménages monoparentaux sont en surreprésentation dans le parc social. Le Haillan Mésolia Domofrance Personnes seules 26,00% 38,00% 39,00% Familles monoparentales 11,00% 20 à 27% 21,00% Couples sans enfants 29,00% 9,00% 11,00% Couples avec enfants(s) 33,00% 34,00% 33,00% Autres 20,00% 6,00% Source : données ABS 2013

24 24 L installation de nouveaux ménages dans le parc social pose la question de leur inscription dans la vie locale et la prise en compte de difficultés nouvelles : Difficultés économiques, liées à la précarité, révélées notamment par l augmentation d impayés ; Difficultés à «vivre ensemble» révélées par une cohabitation parfois tendue, des phénomènes de repli et une relative pauvreté des relations sociales de proximité constatée par les gestionnaires du parc locatif social. Equipements /établissements scolaires/ tissu associatif : La commune du Haillan est globalement bien dotée en équipements. L'offre culturelle est variée et importante ainsi que les temps festifs. Le Haillan compte près de 70 associations coordonnées par le service de la «Vie Locale». La richesse de l offre d équipements et de service à la population, qui sont assez largement dimensionnés, peut constituer un facteur d incitation à l installation de nouveaux ménages. Structures d accueil Petite Enfance : une crèche familiale, une crèche associative «Les fils d Ariane», une crèche collective «Les copains d abord», une halte-garderie «La Ribambelle», un Relais Assistantes Maternelles. Les services liés à l'accueil des enfants sont en nombre suffisant et garantissent une réponse adéquate à la demande des familles. Cependant l augmentation de la population tend à penser que ces équipements, qui connaissent un taux de remplissage quasi complet, ne suffiront plus dans un avenir proche. Structures d accueil Enfance/Jeunesse : un ALSH 3-6 ans, deux ALSH 6-12 ans, deux ALSH 12-17ans, des accueils périscolaire et un CLAS. Ecoles et collège : La commune du Haillan compte 2 écoles élémentaires et 3 écoles primaires ainsi qu'un collège ; Un nombre conséquent de structures sportives : Le complexe sportif «Bel Air» : Gymnase, terrains de basket, hand, volley, tennis couverts Le stade municipal «Abel Laporte» qui comprend 3 terrains de football, 7 courts de tennis extérieurs, des tennis couverts, 1 salle polyvalente La sablière : pelote basque, lutte, gymnastique, 1 dojo, 1 terrain de boules. Le gymnase Georges RICART Equipements culturels : une salle de spectacle : «l Entrepôt», un bibliothèque/médiathèque municipale, une ludothèque, une «maison de la musique», une salle de danse, etc.

25 25 EVALUATION DU PROJET SOCIAL 2009/2013 BILAN AXE 1 / REFLECHIR ENSEMBLE Fiche Bilan N 1 Titre : BILAN AXE 1 : REFLECHIR ENSEMBLE Objectifs de cet axe de travail : Développer et améliorer les moyens de communication de la structure ; Accompagner la démarche de bénévolat ; Accompagner la fonction administrateur de centre social ; Réfléchir ensemble et approfondir les valeurs de la structure. Actions correspondantes : «Arbres à palabres», Communication de la structure, Travail sur la mémoire, les évolutions du quartier, Actions préventions et journées solidarités nationales. Analyse : Cet axe du projet n'a été réalisé que de manière succincte. En effet, la structure reste aujourd hui très mal identifiée au niveau des habitants du Haillan ainsi qu au niveau des associations locales. L Espace Socio Culturel reste pour la plupart des Haillanais une structure de quartier. Les rencontres avec les partenaires et les habitants ont démontré qu'il y avait un réel déficit en matière de communication. De plus, le fait que la structure porte le même nom que l espace dans lequel elle se situe n est pas pertinent et ne permet pas un repérage aisé pour les habitants. Le réseau partenarial qu il soit au niveau local, des institutions de proximité ou de la Fédération des Centres Sociaux est quasi inexistant. L intervention du centre social au niveau de l animation globale n a pas permis un réel portage de projet par la structure elle-même et n a pas permis la co-construction ni le co-portage de projet avec des partenaires locaux. La Commune étant dotée d un service «culture et vie associative» très actif, il est important que le centre social trouve sa place. De par les dysfonctionnements internes, peu de bénévoles ont été mobilisés sur les commissions de travail. Cependant une réflexion a été menée concernant la co-animation et le rôle et la place de chacun. Ce travail a permis l écriture d une charte de la co-animation qui n a pas été exploitée par la suite.

26 26 Points forts: Le changement de statut de la structure et le travail concernant la demande de renouvellement d agrément a permis de remobiliser les bénévoles présents depuis plusieurs années, d intégrer de nouvelles personnes et de remettre en action l ensemble de la démarche participative. Les membres des deux instances de décisions (C.A et C.P.I) sont moteurs et acteurs et aujourd hui 8 commissions de travail sont constituées et travaillent sur différents champs (famille, animation et festivité, accueil, jeunesse, parentalité, communication, jardins familiaux, co-animation). La Commission communication œuvre déjà afin de doter la structure d outils de communication lisibles. Une réflexion est engagée afin de trouver un nom au centre social. De plus, le passage en E.P.A. permet de travailler en étroite collaboration avec les services de la Mairie et notamment avec le service communication. Points faible: Peu d actions de cet axe du projet ont été menées à bien. Le travail en réseau n est pas développer au niveau de la structure. Manque de lisibilité au niveau de la population des actions et projets menés par le centre social. Perspectives: Faire vivre l ensemble des instances participatives et permettre à chacun de trouver sa place. Mise en place de temps de formation en direction des bénévoles et de l équipe de professionnels notamment concernant la place et le rôle de chacun, la notion d accueil en centre social, l évaluation, Développer le partenariat et créer un véritable réseau. Impulser au niveau de l équipe de professionnels une véritable approche partenariale permettant de travailler en réseau et permettant une meilleure identification de la structure. Mettre en place une véritable stratégie de communication et se doter de compétences internes et d outils lisibles.

27 27 BILAN AXE 2 : DECOUVRIR Fiche Bilan N 2 Titre : BILAN AXE 2 : DECOUVRIR Objectifs de cet axe de travail : Impulser et favoriser l'envie de découvrir ; Accompagner et fédérer les demandes de découvertes. Actions correspondantes : Découvertes culinaires, Jardins familiaux, Ateliers jeunesse, Ateliers adultes, Accès aux loisirs familiaux, Festivités, Lieu d'exposition Analyse : Les actions de cet axe ont pratiquement toutes été menées à bien. Les ateliers collectifs tels que l'atelier cuisine, l'atelier couture fonctionnent. Cependant il est aujourd hui nécessaire d ouvrir ces espaces à de nouvelles personnes. La participation des bénévoles et usagers ainsi que le travail réalisé ont été valorisés grâce à l édition de deux ouvrages («Nos voyages en cuisine», «Petite Alchimie du quotidien») qui ont été diffusés au sein de la structure mais également à la bibliothèque municipale. Ces ateliers ont également permis de drainer des habitants ne résidant pas sur le quartier E. Rostand. Les jardins d Arnaga, jardins familiaux, sont aujourd hui bien identifiés et connaissent un véritablement engouement au niveau des habitants de la Résidence Edmond Rostand auxquels ils sont réservés. Cependant il est aujourd hui difficile de par le «turn over» de la population sur la Résidence de créer un véritable esprit solidaire et un réel partage à la fois des savoir-faire et de «moments conviviaux». Une réflexion doit être menée afin de remobiliser les jardiniers autour d un projet commun. L'ALSH bien qu'ayant connu une baisse des fréquentations en 2012 liée au contexte de la structure, fonctionne et répond à un réel besoin des familles. Cependant il est important aujourd'hui de réfléchir à la répartition des tranches d'âges et à l écriture d un nouveau projet pédagogique et éducatif. De plus, la structure de par son fonctionnement ne permet pas de capter les jeunes de plus de 15 ans. Des sorties familles ont été réalisées régulièrement et les adhérents souhaitent maintenir la co-construction de ces actions. Un PIV a été animé, cependant une réflexion doit-être engagée concernant le départ et l'accompagnement au départ en vacance des familles.

28 28 Points Forts : Les ateliers cuisine sont un atout pour la structure et permettent un véritable espace de partage et de convivialité. Les bénévoles et usagers ont atteint un degré d autonomie certain et sont force de proposition notamment pour la mise en place de temps festifs et conviviaux. Forte implication des familles dans la mise en place de sorties ce qui a permis une vraie démarche de coconstruction de projet avec l équipe. Bien que l accueil proposé ne soit pas adapté, un certain nombre de jeunes de plus de 15 ans viennent régulièrement sur la structure et sont porteurs d initiatives. Points faibles : Le temps de présence de la Conseillère en Economie Sociale et Familiale sur la structure est insuffisant pour impulser la dynamique nécessaire afin de développer de nouvelles actions, de proposer un véritable accompagnement départ en vacances et de mener des projets favorisant la lutte contre l isolement. Le peu d ouverture sur l extérieur et une communication insuffisante n ont pas permis de drainer de nouvelles personnes et n ont pas permis une réelle mixité sociale. Les horaires et jours d ouverture de la structure ne permettent pas de toucher une certaine frange de la population, notamment les actifs. Aucune action d auto-financement mise en place au sein de la structure. Perspectives : Maintien et développement des ateliers adultes, des sorties familles, Une réflexion au niveau des jours et horaires d ouverture sera engagée dès Janvier L augmentation du temps de travail de la Conseillère en Economie sociale et Familiale est prévu dès Mise en place d un projet d accueil adapté aux jeunes de plus de 15 ans. Ecriture d un nouveau projet pédagogique et éducatif pour l ALSH. Développement de l action d accompagnement au départ en vacances. Dynamisation des échanges et des temps conviviaux sur les jardins familiaux.

29 29 BILAN AXE 3 : ECHANGER Fiche Bilan N 3 Titre : BILAN AXE 3 : ECHANGER Objectifs de cet axe de travail : Améliorer la reconnaissance de l'équipement comme lieu ressource ; Favoriser la création de lien social et aider à sortir de l'isolement ; Faire réseau avec les acteurs du territoire afin d'être plus pertinents. Actions correspondantes : Groupes de Parole Thématiques, LAEP, Ateliers Parent-Enfant, Accompagnement à la scolarité, Permanences des partenaires et consultation PMI, Comptoir à idées (café famille, brèves de comptoir). Analyse : La structure commence à être relativement bien identifiée au niveau de ses actions «parentalité» cependant un travail de fond doit-être entrepris afin de les rendre plus lisibles et de proposer une démarche pédagogique plus adaptée et de qualité. Les groupes de paroles thématiques et non thématiques répondent à un réel besoin et drainent surtout un public féminin diversifié. Une réflexion devra être menée afin de trouver un espace de parole dans lequel les «papas» trouvent leur place. Le Lieu d'accueil Enfant Parent accueille un nombre de participants de plus en plus nombreux. Cependant une réflexion est menée afin d'externaliser cette action car les objectifs de cet accueil viennent s'entrechoquer avec ceux du projet social de la structure. La question de l anonymat se pose par rapport aux liens sociaux sue doit fédérer la structure. Des ateliers parent-enfant sont proposés une fois par semaine et drainent un nombre de plus en plus important de familles qui pour certaines sont fidélisées. Cependant une réflexion doit-être menée quant aux objectifs pédagogiques à développer et à la pertinence du créneau horaire proposé. L'accompagnement à la scolarité : En 2012, aucun bénévole n'a participé, peu d enfants présents et le projet ne répondait pas aux critères et objectifs de ce dispositif. Cette année une réflexion a été menée tant au niveau du projet lui-même qu'au niveau de la mobilisation des bénévoles et du lien avec les écoles. La Croix Rouge dispense des cours d'alphabétisation au sein de la structure mais nous regrettons le peu de liens établis à la fois avec les responsables de l action et avec les bénéficiaires. Les permanences de la MDSI et de la PMI fonctionnent régulièrement et drainent un nombre de personnes important. Le café des familles ne fonctionne plus par manque de participant. L'offre ne semblait pas adaptée à la demande des adhérents de par l accueil mis en place. Cependant nous constatons une forte demande des usagers et bénévoles en ce qui concerne la mise en place d un espace de parole libre..

30 30 Points Forts : Les actions liées à la parentalité permettent de drainer de nouveaux usagers et sont les actions qui jusqu à aujourd hui permettaient une réelle mixité sociale au sein de la structure. Certains parents assistant régulièrement aux groupes de paroles thématiques ont émis le souhait de pouvoir échanger sur d autres temps sans aborder une thématique particulière ; les personnes y trouvent un espace de parole adapté leur permettant d échanger sur leur fonction parentale tout en ayant une écoute bienveillante de la part de la référente parentalité. La notion de parentalité est présente dans l ensemble des actions menées par la structure sous des formes différentes et adaptées à chaque situation. Points faibles : La configuration du LAEP et la façon dont il a été développé au sein de la structure ne permet pas, tant au niveau de l occupation de l espace qu au niveau de son fonctionnement de créer de véritable passerelle avec les autres actions développer par la structure. Le projet CLAS doit-être revisité tout en s appuyant sur le travail déjà effectué notamment au niveau de la place des bénévoles et de leur rôle au sein de cet accompagnement. Le lien avec les établissements scolaires doit être construit afin de permettre un véritable réseau au service des enfants et de leur famille. Les permanences des partenaires doivent être étoffées afin de permettre un vrai service de proximité aux habitants du quartier. Perspectives : Maintien et développement de l ensemble des actions liées à la parentalité et trouver des «entrées» permettant de la décliner au niveau de l ensemble des actions menées. Développer les ateliers parents-enfants et les proposer sur d autres temps afin de faire venir de nouveaux habitants, autour peut-être d atelier cuisine. Externalisation du LAEP qui va être rattaché dès janvier 2014 au service petite enfance de la mairie. Développement du CLAS : une réflexion doit être menée afin de développer cette action sur l école du centre.

31 31 ELEMENTS MARQUANTS DU DIAGNOSTIC ELEMENTS MARQUANT DU DIAGNOSTIC SOCIAL Une commune où il fait bon vivre dotée d une offre de services et de structures riches et d un nombre important d associations. Niveau de services mis en place par la commune qui s accentue tant au niveau de la quantité que de la qualité. Une commune en mutation qui voit le nombre de ses habitants augmenter singulièrement (estimation à habitants en 2013 et à en 2030). Une commune attractive de par l offre de service qu elle propose, la construction de nombreux logements (848 nouveaux logements enregistrés depuis 2010). Le développement d un habitat diversifié tend à induire un renouvellement de la population sur différents quartiers. Amélioration des axes de communication notamment avec l arrivée du tramway fin Peu de problèmes de mobilité repérés sur le territoire. Une commune où l on trouve un parc immobilier relativement récent, composé majoritairement de résidences principales spacieuses et où les personnes seules et les ménages monoparentaux sont en surreprésentation dans le parc social. Un solde naturel positif, un indice jeunesse élevé mais une pyramide des âges qui laisse à penser à un vieillissement de la population dans les années à venir. Une augmentation du nombre de familles monoparentales sur la commune (28.7% des allocataires CAF en décembre 2011). Une augmentation de la part des ménages isolés notamment au niveau de la population sénior (300 personnes âgées isolées en 2009), des couples sans enfant et des familles monoparentales. Augmentation de la part d actifs. La population des moins de 25 ans représente la tranche de la population la plus touchée par le chômage même si le taux de demandeurs d emploi est bien inférieur à celui de la CUB (7.5% de demandeurs d emploi). Une augmentation du nombre de femmes demandeurs d emploi.

32 32 Une forte inégalité des revenus entre foyers, l écart entre les revenus les plus faibles et les revenus les plus élevés évalué à 4.13 en Une augmentation du nombre des bénéficiaires des minima sociaux et de l Allocation Adulte Handicapé. Personnes vivant seules et familles monoparentales relativement touchées par la précarité. Il existe au Haillan une partie de la population vivant en dessous du seuil de pauvreté. Un habitat collectif «conventionné» en augmentation et diffus ce qui ne permet pas d identifier clairement les personnes les plus fragilisées. Des difficultés au niveau du «vivre ensemble» dans le parc locatif social et inter-quartiers. CONSTATS ET ATTENTES DES HABITANTS L'analyse des différentes rencontres avec les habitants a permis de repérer que quel que soit le quartier d'habitation il faisait bon vivre au Haillan. Il ressort assez majoritairement : Points forts : l'offre de services est satisfaisante ainsi que les infrastructures. La bibliothèque, la ludothèque, l'entrepôt ainsi que les espaces verts et infrastructures sportives semblent être bien repérés et fréquentés ; la vie associative est riche et permet à un grand nombre de trouver une offre correspondant à leur besoin. Cependant pour certains, notamment les familles nombreuses et les séniors, les tarifs proposés sont parfois trop élevés ; le «vivre ensemble» est facile du moins à l'échelle des quartiers ; la commune est dotée de nombreuses instances participatives ; l'offre culturelle et les temps festifs sont nombreux, variés et conviviaux. Cependant peu sont organisés au cours de l été et beaucoup de familles ne pouvant pas partir en vacances aimeraient pouvoir vivre des moments festifs et conviviaux sur la commune durant cette période ; Proximité de Bordeaux, moyens de transport et pistes cyclables.

33 33 Points faibles : Le développement de la commune, l'augmentation de sa population ainsi que des constructions amènent certaines craintes : Peur de voir disparaître le côté «ville campagne» et donc de perdre en qualité de vie ; Crainte de voir se dégrader le haut niveau de services proposé actuellement du fait de l'augmentation du nombre d'habitants ; Crainte de voir s'accentuer les nuisances liées à la vie moderne (circulation, problèmes de stationnement, nuisances sonores, ) ; Crainte de voir se développer l'esprit «drive in» notamment au niveau des écoles et de perdre le lien social au niveau de la vie associative. Il ressort également de cette enquête : Que les différents quartiers de la commune sont socialement différents et stigmatisés pour certains ce qui ne permet pas forcement de lien entre leurs habitants et qu'il est aujourd'hui nécessaire de les rapprocher ; Un manque de lien social pour les séniors qui sont souvent isolés et un manque de rencontres intergénérationnelles ; Manque de lieux conviviaux où se retrouver, manque de commerces de type café/brasserie au centre-ville. Besoin de recréer des temps festifs et conviviaux notamment basés sur l inter-culturalité. De nombreux habitants sont prêts à partager un savoir-faire. Besoin d activités de loisirs et de sorties pour les familles et notamment les familles monoparentales ne pouvant partir en vacances. Forte demande concernant l entraide, la solidarité et notamment la mise en place d un S.E.L. ou de système de troc. Manque d animation l été. Besoin de partager les pratiques culturelles, d avoir des espaces de «réflexion» communs, mise en place d un café philo, d une Université Populaire.

34 34 BESOINS REPERES PAR LES PARTENAIRES Les difficultés et besoins repérés lors des différentes rencontres avec les partenaires sont : Besoins d information concernant l accès aux droits notamment au niveau du logement ; Aides financières au niveau de la garde des enfants et du quotidien (ALSH, séjours vacances, cantine, ) ; Difficulté à repérer les populations en difficulté car les logements sociaux sont éparses dans la ville et qu il est difficile d identifier les familles étant dans le besoin ; Difficulté à gérer les demandes d aides car elles sont énoncées dans l urgence et notamment par les familles monoparentales ; Besoin de réflexion et de coordination concernant l insertion professionnelle des 16/25 ans ; Besoin de fédérer et mettre en réseau les partenaires ; Besoin de renforcer le travail en partenariat avec les associations locales ; Besoin de soutien aux enfants en ce qui concerne leur devoir, besoin de créer un vrai lien avec les familles de certains d entre eux et notamment ceux habitants le quartier Edmond Rostand ; Besoin de mettre en place l accompagnement à la scolarité au niveau de l école du centre car plus d étude dirigée du fait du changement des rythmes scolaires ; Besoin de conserver les espaces dédiés à la parentalité. BESOINS REPERES PAR L EQUIPE DE PROFESSIONNELS Isolement des femmes quelle que soit leur situation sociale et professionnelle, nécessité de conserver les lieux et temps de parole notamment ceux dédiés à la parentalité. Besoin également de développer des temps d échange et de parole pour les pères. Pas ou peu de réponses apportées pour les jeunes, besoin de réfléchir à une nouvelle organisation de l ALSH. Besoin d impulser un travail permettant de répondre aux besoins et attentes du public jeune. Demandes émanant de jeunes connus par la structure, mais ne la fréquentant pas ou plus, concernant des projets et initiatives liées à la musique, à la mise en place de festivals Des problématiques de santé et/ou liées au bien-être sont identifiées. Nécessité de développer des actions permettant aux personnes les plus fragilisées et notamment les femmes, de mettre en place un travail sur elles. Aucune pratique liée à l auto-financement, besoin d impulser des initiatives permettant l autofinancement et ce dès le plus jeune âge. L Espace Socio Culturel est une structure isolée, besoin de développer le partenariat avec les associations locales et de développer de véritables réseaux pour les professionnels.

35 35 Manque au niveau de l accueil et de l orientation du public, besoin de réfléchir à l aménagement des espaces et besoin de réfléchir à la notion d accueil au sein d un centre social. AXES DE REFLEXION EMANANT DU DIAGNOSTIC IDENTIFICATION ET REPERAGE DE LA STRUCTURE L'implantation de la structure sur un quartier identifié comme précaire ne semble pas être un handicap. En effet, la Ludothèque située dans les mêmes locaux reçoit un public nombreux. Le travail d'enquête et de diagnostic démontre qu'un vrai travail de communication doit être enclenché et qu'il est nécessaire de permettre une meilleure identification du centre social. De plus une réelle attention doit-être portée au niveau de la cité Edmond Rostand car peu d'adhérents en sont issus. Pour que l Espace Socio Culturel (E.S.C.) soit repéré comme un espace d information et d orientation et soit en mesure de proposer un accueil constructif des habitants, une réflexion concernant à la fois l aménagement des locaux, les temps d ouverture de la structure et la mise en place d un lieu ressource concernant les problématiques du quotidien doit être entreprise. DEVELOPPER ET RENFORCER LE PARTENARIAT Aujourd'hui l'e.s.c. n'a pas de lien fort avec les associations locales, les établissements scolaires, Ce travail de lien doit-être renforcé afin que la structure puisse d'une part développer des projets collectifs et d'autre part afin d'être repérée comme un véritable acteur de l'animation globale. De plus, les professionnels de la structure sont eux-mêmes isolés dans leur pratique professionnelle, il est donc nécessaire de développer un véritable réseau de partenaires. LE VIVRE ENSEMBLE Les habitants ont une forte demande concernant le développement des liens sociaux que ce soit entre les habitants des différents quartiers, qu'au sein même de la résidence Edmond Rostand. Il apparaît une forte demande de création de liens sociaux, d'entraide et de solidarité notamment au niveau des séniors et du public féminin qui quelle que soit sa condition sociale est souvent isolé. Le besoin de convivialité et de temps d'échange et de partage est très significatif au regard des rencontres que nous avons pu avoir avec les habitants. Il ressort nettement le manque d'un lieu tel qu'un café associatif, café philo... Il apparaît également un déficit en matière d animation et de temps festifs l été. Du fait de certains dysfonctionnements, les échanges interculturels existants auparavant au sein de la structure et au niveau de la résidence Edmond Rostand ne se font plus. Un certain nombre de bénévoles et d habitants souhaitent pouvoir les développer à nouveau. Nécessité de poursuivre et de développer les ateliers adultes et les sorties familles afin de faciliter les liens sociaux et de lutter contre l isolement de certaines personnes. Ces ateliers permettent également

36 36 aux personnes ayant de faibles revenus d avoir accès à des loisirs à moindre coût. De plus, nous avons repéré un fort potentiel au niveau de la population concernant le partage des savoir-faire. Besoin d activité de loisirs et d accompagnement au départ en vacances pour les familles et notamment les familles monoparentales et/ou fragilisées socialement ne pouvant pas partir. REFLECHIR ENSEMBLE Le travail concernant l'évaluation du projet a permis de faire émerger une réelle envie de la part des bénévoles, d'être impliqués et de participer au travail de réflexion et de mise en place de projet au niveau de la structure. Le séminaire réalisé dans ce cadre n'est qu'un point de départ et des rencontres concernant les valeurs et missions des centres sociaux sont à développer. La co-construction de projet ou d'action avec les bénévoles et partenaires sera également à développer. Besoin de partager les pratiques culturelles, d avoir des espaces de réflexions communs de type café philo. Nécessité d impulser des initiatives permettant de mettre en place des actions d auto-financement et ce dès le plus jeune âge. L'idée de la mise en place d'une Université Populaire a germé lors d'une table ronde, certains participants non adhérents souhaitent développer cette action. LA PARENTALITE Besoins exprimés par les usagers, bénévoles et partenaires de maintenir les lieux et temps d échanges, de paroles et de partages dédiés à la parentalité. Besoin de développer des temps de parole pour les pères. LA SOLIDARITE L'isolement de certaines personnes, notamment âgées, le nombre de familles monoparentales de plus en plus important, l'augmentation des personnes à revenus faibles doit nous interroger. De plus l'enquête auprès des habitants a démontré que l'esprit de solidarité était présent et un certain nombre d'entre eux ont émis le souhait de mettre en place un S.E.L. ou un système de troc. Les liens intergénérationnels ne sont pas assez fréquents sur la commune, importante demande à ce niveau-là. Besoin d informations concernant l accès aux droits notamment en matière de logement. Problématiques de santé et liées au bien-être identifiées par l équipe de professionnels, besoin de mettre en place des actions permettant aux personnes les plus fragilisées et notamment les femmes d accéder à des ateliers santé et de bien-être.

37 37 L'ENFANCE ET LA JEUNESSE Le travail de réflexion concernant le LAEP doit être mené afin que ce dernier puisse prendre son envol. De plus les actions liées à la parentalité répondent à un réel besoin et il faudra les développer. Il est important aujourd hui de réfléchir à la répartition des tranches d âges et à l écriture d un nouveau projet pédagogique et éducatif au niveau de l ALSH afin de répondre aux attentes des publics. Besoin de soutien aux enfants en ce qui concerne leur travail scolaire, besoin de créer un vrai lien avec les familles de certains d entre eux et notamment ceux habitants le quartier Edmond Rostand. Besoin de mettre en place l accompagnement à la scolarité au niveau de l école du centre car plus d étude dirigée du fait du changement des rythmes scolaires. Le diagnostic a permis d'identifier sur la commune un manque de structure d'accompagnement et d'accueil du public 16/25, une réflexion a été entamée au niveau de la commune et doit se poursuivre en interne. L'idée de la mise en place d'un Bureau Information Jeunesse commence à poindre. Demandes émanant de jeunes connus par la structure mais ne la fréquentant pas ou plus concernant des projets et initiatives liés à la musique, à la mise en place de festivals AXES PRIORITAIRES DU PROJET SOCIAL 2014/2018 Suite à l analyse des résultats du diagnostic et au travail concernant les valeurs et principes de la structure, le groupe de travail a souhaité affiner la définition des axes prioritaires du projet afin de mettre de la cohérence entre les éléments émanant du diagnostic et les valeurs de la structure. AXES PRINCIPAUX : La Solidarité ; La Mixité sociale et intergénérationnelle ; La Démarche Participative ; L ouverture sur le territoire Communication et Partenariat. ELEMENTS TRANSVERSAUX DU PROJET : Ces éléments seront pris en compte et développer dans chacune des actions mise en place au sein de l Espace Socio Culturel : Périmètre d intervention : La commune dans son entier ; Construire ensemble ; Convivialité ; Le respect ; Liens intergénérationnels.

38 38 Orientation 1 Titre : SOLIDARITE Objectifs : Permettre aux habitants (bénévoles, usagers, etc.) ayant un ou des intérêts communs à s accorder une aide mutuelle quelle qu en soit la nature. Ressources mobilisées (internes et externes) : - L équipe de professionnels ; - Les bénévoles, usagers, adhérents et les habitants ; - Les différentes commissions ; - Les partenaires associatifs ; - Les partenaires institutionnels ; - Des intervenants extérieurs ; - Les établissements scolaires de la commune ; - Les différents services de la ville ; - Les différents espaces de la structure ; - Un fond documentaire ; Liste des actions : Les Jardins d Arnaga ; Echanges d Infos solidaires ; Groupes de parole thématiques et non thématiques ; Ateliers Enfant-Parent ; Accompagnement à la scolarité ; SEL idaire ; Journées SOL idaires ; Bien-être avec soi-même, bien-être avec les autres ; L inter-culturalité et nous ou nous et l inter-culturalité. Modalités d évaluation : L évaluation des actions sera mise en place de manière progressive et partagée via les commissions et la constitution de comités de suivis portés par les instances de décisions. Ils regrouperont des membres du C.A., du C.P.I., des bénévoles ainsi que des salariés. De plus, un temps de formation sur l évaluation sera mis en place dès 2014 à l intention des bénévoles et des professionnels afin de construire des outils et une méthodologie commune à tous.

39 39 Orientation SOLIDARITE Fiche action n 1 Titre : Les jardins d Arnaga Jardins Familiaux Objectifs : Reconduite de l action en axant particulièrement la réflexion et l action sur : DEVELOPPER L ESPRIT COLLECTIF : mise en place d une vraie démarche d entraide, de partage et d échanges entre les jardiniers notamment : Mise en place d une entraide solidaire l été afin que les personnes ne partant pas en vacances «entretiennent» temporairement les jardins des bénéficiaires qui s absentent (arrosage et récolte des cultures, désherbage, ) ; Mise en place d un fonctionnement permettant : l échange de graines, l échange de savoir-faire, d outils, etc. Mise en place de rencontres et de temps forts collectifs (animations basée sur la découverte de nouveaux savoirs, chantiers collectifs pour l entretien des parties communes, ) permettant une meilleure communication entre les jardiniers et la création de véritables liens entre eux. FAVORISER L ESPRIT d OUVERTURE : Mise en place de temps forts conviviaux festifs et/ou liés à l échange de savoirs et/ou liés à une thématique particulière avec intervenant et en ouvrir l accès à l ensemble des jardiniers mais également à l ensemble des habitants. Créer des liens et des passerelles avec les autres ateliers de l ESC et notamment l atelier cuisine. Délocaliser le savoir-faire des jardiniers en proposant des animations sur les autres quartiers de la ville comme par exemple la mise en place d une journée d information sur le compost. Création d un véritable réseau avec les structures proches qui gèrent des jardins familiaux. Réfléchir à la création de nouvelles parcelles sur les Jardins d Arnaga mais également sur d autres quartiers de la commune. Ce projet doit d une part être mis en œuvre en lien avec la commune et d autre part ne pourra être développé qu à long terme. PERMETTRE LA CONVIVIALITE : Mise en place de temps conviviaux plus fréquents afin de recréer un véritable esprit de solidarité et de convivialité au sein du groupe des jardiniers ; Faire revivre les espaces collectifs et ouverts à tous et réfléchir à la mise en place d un espace collectif de type square collectif Ressources mobilisées (internes et externes) - L équipe de professionnels et le bureau des jardiniers ; - Partenaires associatifs (notamment l AMAAP Haillanaise), ainsi que des structures gérant des jardins familiaux; - Le service de la ville gérant l Agenda 21 ; - Appuis logistiques des services techniques de la ville. - Le lycée horticole du Haillan, association Arbres et Paysages Descriptif de l action : 32 parcelles sont gérées et animées par l E.S.C. en collaboration étroite avec le bureau des jardiniers. Modalités d évaluation : - L implication des jardiniers à la fois au niveau de l entretien de leur parcelle qu au niveau des chantiers collectifs proposés ; - Fréquentation lors des temps d échanges, de partages de savoirs et conviviaux ;

40 40 Orientation SOLIDARITE Fiche action n 2 Titre : Echanges d Infos Solidaires PARENTALITE Objectifs : Favoriser la solidarité entre les familles fréquentant les espaces «parentalité» de l Espace Socio Culturel ; Permettre la mise en réseau des familles qui le souhaitent ; Par la diffusion de ces informations interagir sur la vie quotidienne des familles. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de professionnels et les bénévoles adhérents ; Les familles de la commune et hors commune ; Le service communication, petite enfance de la ville ; Espace de communication de la structure ; Site internet. Descriptif de l action : Permettre la mise en place d une bourse d échanges d informations spécifiquement réservées aux parents concernant à la fois des échanges de services, de «bons plans (achat/vente de vêtements d occasion, de matériel de puériculture, sorties culturelles), etc. Pour cela mise en place de différents outils tels qu un panneau d affichage à l accueil de la structure, diffusion via mail, L objectif étant à moyen terme de pouvoir diffuser ces informations via le net. Modalités d évaluation : - Mobilisation des familles pour la collecte et la diffusion des informations, - Dynamique créée autour de ce projet, nombre d informations échangées ;

41 41 Orientation SOLIDARITE Fiche action n 3 Titre : Groupes de parole thématiques et non thématiques PARENTALITE Objectifs : Offrir un lieu de parole neutre et bienveillant ; Favoriser les échanges de parents entre eux ; Partager les expériences vécues ; Favoriser la réflexion en apportant des éléments de compréhension ; Mettre en place un ou des espaces de parole dédiés aux pères de famille. Ressources mobilisées (internes et externes) : L équipe : La référente parentalité, la conseillère en Economie Sociale et Familiale, les animateurs ; La commission parentalité ; Des intervenants extérieurs peuvent être mobilisés pour apporter un éclairage spécifique sur certains thèmes ; Les recherches et lectures importantes pour la préparation des thématiques donnent lieu à des écrits qui peuvent-être une ressource pour l équipe. Descriptif de l action : Offrir un espace de parole neutre et bienveillant permettant de favoriser les échanges de parents entre eux et de partager des expériences vécues. Les groupes de parole thématiques, proposés en moyenne toutes les 6 semaines, permettent d aborder un thème identifié par l équipe lors des différents temps de rencontres proposés sur la structure. Le thème abordé correspond soit à une demande précise exprimée par les parents fréquentant l Espace Socio Culturel soit à un réel besoin identifié par l équipe. Ces groupes de parole sont des rencontres de personnes désirant échanger et partager leurs points de vue et expériences et en recherche d éléments de compréhension sur des questions qui les préoccupent. Les groupes de paroles non thématiques émanent de la volonté de plusieurs parents de pouvoir se réunir afin d échanger autour de questionnements liés à la fonction parentale, à l éducation, sans qu il y ait un apport particulier sur un thème particulier. Modalités d évaluation : - Nombre de participants par séances ; - Intérêt des parents dans le choix des thèmes.

42 42 Orientation SOLIDARITE Fiche action n 4 Titre : Ateliers Enfants-Parents PARENTALITE Objectifs : Proposer des lieux et temps de socialisation ; Travailler la relation parents-enfants autour d ateliers créatifs ; Favoriser les échanges ; Lutter contre l isolement ; Développer d autres temps de rencontre enfant-parent notamment autour de la cuisine ; Mobiliser l équipe de professionnels afin de développer une pédagogie de qualité ; Permettre la co-construction des ateliers avec les parents. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe : La référente parentalité, la conseillère en Economie Sociale et Familiale, les animateurs ; Les bénévoles ; Intervenants extérieurs. Descriptif de l action : Les ateliers sont proposés tous les vendredis après-midi de 17h à 18h15. Ils ont pour but de créer un moment de partage entre l enfant et son parent en utilisant un support créatif. C est un temps de rencontre et de respiration. L objectif est de «faire ensemble». Ces ateliers offrent la possibilité aux parents de retrouver le plaisir simple de peindre, coller, cuisiner, décorer avec leur enfant. Les activités sont proposées par cycle et changent tous les mois. Le calendrier et le choix des activités sont co-construits avec les familles participantes. Modalités d évaluation : - Fréquentation au niveau des ateliers ; - Mise en place d ateliers sur d autres créneaux horaires ; - Implication des familles dans la co-construction du programme d activités.

43 43 Orientation SOLIDARITE Fiche action n 5 Titre : Accompagnement à la scolarité PARENTALITE Objectifs : Faciliter et encourager l accès aux savoirs et à la culture ; Favoriser l apprentissage et l accès à la citoyenneté ; Renforcer l autonomie personnelle de chaque enfant et leur capacité de vie collective ; Développer l entraide et la solidarité ; Accompagner les parents dans le suivi de la scolarité des enfants ; Favoriser le lien entre les parents, les enfants et l école. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de l Espace socio Culturel ; Les bénévoles ; Les familles ; Partenariat avec les différents établissements scolaires ; La ludothèque et la bibliothèque du Haillan ; Le réseau CLAS. Descriptif de l action : Accueil des enfants de 6 à 15 ans les lundis, mardis et jeudis de 16h30 à 19h00. L accueil se décompose en trois temps : Accueil et goûter permettant aux enfants un temps de pause entre la journée d école et un nouveau temps de travail. L équipe encadrante devra mettre en place un accueil qui marquera une coupure avec la journée de classe en mettant en place à la fois un temps de paroles et des activités calmes libres ou dirigées. L enfant choisira en fonction de ses envies. Temps d accompagnement scolaire permettant aux enfants d acquérir une méthodologie de travail afin qu il organise son travail et qu il acquier une autonomie certaine. Temps d atelier permettant à l enfant de s épanouir, d apprendre autrement, de s ouvrir à son environnement. (Atelier multimédia, Temps d éveil ludique, Atelier cuisine, Atelier jardin, Ateliers sportifs et d éveil corporel). Avant chaque période de vacances scolaires un temps convivial et/ou de partage est proposé (goûters, sorties culturelles ou ludiques, ) regroupant enfants, parents et équipe encadrante. Modalités d évaluation : - Le nombre d enfants accueillis et leur assiduité ; - L implication des familles ; - L implication des bénévoles ; - Le retour des équipes éducatives.

44 44 Orientation SOLIDARITE Fiche action n 6 Titre : SEL idaire Objectifs : Favoriser et permettre la solidarité entre les habitants ; Impulser et coordonner la réflexion autour de la mise en œuvre d un Système d Echanges Locaux (SEL) ; Développer un réseau de partenaires ; Favoriser la création d une association dont l objectif sera de gérer un SEL. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de l Espace socio Culturel ; Les bénévoles ; Les associations locales telles que l AMAAP Haillanaise ; CCAS, MDSI, PMI, CLIC, Associations d aide à domicile, etc. Descriptif de l action : Impulser une réflexion concernant la mise en place d un Système d Echanges Locaux (S.E.L.) co-construit et coporté à la fois par les habitants et les associations locales telles que l AMAP Haillanaise. L objectif étant de créer un véritable partenariat au niveau de la réflexion et de l élaboration du projet. Les moyens actuels de l Espace Socio Culturel ne permettent pas à la structure d être porteuse de ce projet. Cependant le Centre Social peut effectuer la coordination en amont et l accompagnement d usagers à la création d une association portant le SEL. Une attention particulière devra être portée au public sénior ainsi qu aux familles monoparentales, population relativement isolée sur la commune. Pour cela il sera nécessaire de se rapprocher des services de la MDSI, du CCAS, de la PMI, des associations caritatives, des associations d aide à domicile (Aides aux courses, lecture à domicile, aide au jardinage, pédibus et co-voiturage, ) Modalités d évaluation : - Implication des habitants ; - Implications des partenaires associatifs ; - Création d une association gérant le SEL.

45 45 Orientation SOLIDARITE Fiche action n 7 Titre : Journées SOL idaires Objectifs : Informer et sensibiliser les publics via de l affichage et de la documentation à la fois sur des thèmes liés à la prévention et sur des journées nationales de prévention ou de lutte contre l exclusion. Favoriser le comportement citoyen des habitants en leur permettant de s impliquer dans la mise en place et l organisation des journées de prévention ou de solidarité. Etre un relais d information avec les partenaires existants. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de l Espace socio Culturel ; Les adhérents. Sollicitation ponctuelle des partenaires concernés ; Descriptif de l action : Dans un premier temps participer ponctuellement à des actions liées à des journées solidaires nationales (Téléthon, Collectes alimentaires, etc.) soit en apportant une aide logistique soit en proposant des animations. Dans un second temps et si la structure en a les moyens, impulser la mise en place de temps forts liés à des journées de solidarité nationale, notamment dans le cadre de la prévention santé telles que le SIDACTION et y associer l ensemble des publics fréquentant l Espace Socio Culturel. Modalités d évaluation : - L implication et la participation des habitants et bénévoles ; - L intérêt des publics ; - La participation de la structure dans différentes actions ; - Les actions portées par l Espace Socio Culturel.

46 46 Orientation SOLIDARITE Fiche action n 8 Titre : Bien-être avec soi-même, bien-être avec les autres Objectifs : Mettre en place des animations en direction de l amélioration du cadre de vie, du bien-être ; Sensibiliser les habitants sur l importance de prendre soin de soi et des autres ; Favoriser la découverte de nouvelles activités et la rencontre des acteurs locaux en matière de bien-être et de pratiques sportives ; Renforcer le partenariat avec le tissu associatif local ; Promouvoir l animation de vie locale. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de professionnels et les bénévoles adhérents ; Les associations sportives et culturelles du territoire ainsi que les intervenants locaux (sagefemme, CACIS etc.). Descriptif de l action : Mise en place d une semaine banalisée en partenariat avec l ensemble des associations locales, des partenaires institutionnels et des services de la commune autour du bien-être (bien dans son corps, bien dans sa tête). L objectif étant de proposer à l ensemble des habitants et plus particulièrement aux personnes les plus fragilisées un temps de respiration une fois par an. Cette semaine se construirait donc avec les bénévoles de l ESC et des intervenants. Elle serait ponctuée de plusieurs ateliers autour de l activité sportive douce, d ateliers bien-être (fabrication de cosmétiques, massage, coiffure etc.) et d échanges autour de la santé. Cette semaine à thème aurait donc pour but de favoriser le lien social et les échanges entre les habitants. A moyen terme l objectif est de pouvoir développer des actions tout au long de l année telles que des ateliers bien-être. Modalités d évaluation : - Investissement des adhérents et des associations dans la co-construction du projet ; - Nombre de participants dans les différents ateliers ; - Pérennité de certains ateliers à la suite de cette semaine.

47 47 Orientation SOLIDARITE Fiche action n 9 Titre : L inter-culturalité et nous ou nous et l inter-culturalité Objectifs : Favoriser les échanges interculturels ; Permettre des temps de rencontres autour de thèmes liés à l inter-culturalité et à la différence ; Favoriser la découverte de l autre et de l ailleurs ; Lutter contre les discriminations. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de l Espace Socio Culturel et l ensemble des bénévoles, usagers, habitants ; Les comités de jumelages de la ville ; Les partenaires associatifs ; Descriptif de l action : Mise en place d une réflexion collective permettant de développer le sens de l inter-culturalité au sein de la structure. Les actions développées devront toucher toutes les tranches d âge accueillies et devront permettre leur rencontre. Mise en place d échanges interculturels en permettant aux bénévoles, usagers de nationalités ou origines différentes de se rencontrer lors de temps de paroles, de soirées thématiques et conviviales ; Mise en place d un travail en partenariat avec les différents comités de jumelage de la commune afin de mettre en place des échanges lors de la venue des délégations Anglaise, Grecque et Espagnole. Puis à long terme mise en place d échanges, de séjours dans les villes avec lesquelles le Haillan est jumelé. Mise en place d une réflexion concernant des actions humanitaires (public 16/25 ans). Mener une réflexion au sujet de la discrimination puis à plus long terme engager des actions permettant de lutter contre toutes formes de discrimination. Modalités d évaluation : - L implication des bénévoles, adhérents, jeunes sur les différents temps et actions proposés ; - Le nombre de participants aux différentes actions ; - L impact sur les comportements au sein de la structure et à l extérieur.

48 48 Orientation 2 Titre : MIXITE SOCIALE ET INTERGENERATIONNELLE Objectifs : Permettre aux habitants (bénévoles, usagers, etc.) d échanger et de partager afin de favoriser la découverte, la connaissance et le respect de l autre dans sa différence et ce en se basant sur le développement de liens sociaux et intergénérationnels. Ressources mobilisées (internes et externes) : - L équipe de professionnels ; - Les bénévoles, usagers, adhérents et les habitants ; - Les différentes commissions ; - Les partenaires associatifs ; - Les partenaires institutionnels ; - Des intervenants extérieurs ; - La maison de retraite ; - Les différents services de la ville ; - Les différents espaces de la structure ; Liste des actions : Festivités; Accueil Jeune ; Ateliers Collectifs; Accès aux droits et accompagnement individuel des familles et adultes ; Accès aux loisirs familiaux ; Thé ou Café ; Liens intergénérationnels ; Modalités d évaluation : L évaluation des actions sera mise en place de manière progressive et partagée via les commissions et la constitution de comités de suivis portés par les instances de décisions. Ils regrouperont des membres du C.A., du C.P.I., des bénévoles ainsi que des salariés. De plus, un temps de formation sur l évaluation sera mis en place dès 2014 à l intention des bénévoles et des professionnels afin de construire des outils et une méthodologie commune à tous.

49 49 Orientation MIXITE SOCIALE ET INTERGENERATIONNELLE Titre : Festivité Fiche action n 1 Objectifs : Créer des rencontres et des occasions de dialogue ; Proposer des activités familiales ; Favoriser la création de lien sociaux et intergénérationnels ; Favoriser les initiatives des plus jeunes ; Favoriser l accès à la culture ; Impliquer le tissu associatif ; Participer aux manifestations communales festives ; Intervenir sur l ensemble de la commune et créer des liens inter-quartiers ; Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de l Espace Socio Culturel et l ensemble de ses adhérents ; La commission Animations et Festivités ; Les associations locales ; Les services de la ville ; Descriptif de l action : Création de temps festifs basés sur la convivialité notamment des soirées à thème l hiver en lien avec l atelier cuisine et des soirées de type «guinguette» (soirées dansantes) l été. Outre le fait de proposer des temps conviviaux, ces actions permettront également de travailler avec les bénévoles sur l auto-financement. Afin d étendre le champ d intervention du centre social à l ensemble de la commune, les soirées estivales seront dans un court terme délocalisées sur d autres quartiers de la commune. Accès à la culture : Mise en place de soirées «Grand Ecran» (cinéma de plein air, film d animation, ) ; Développement du partenariat avec le service culture de la ville afin d accueillir au moins une fois par an un évènement culturel lié aux «Mercredis du Haillan» ou au «Haillan chanté» ; Mise en place d expositions dans un premier temps en partenariat avec les associations locales (ex : club photo) qui seront en lien avec les projets développés sur la structure. Entamer une réflexion au niveau de la médiation culturelle l objectif étant de permettre un accès à la vie culturelle locale aux habitants qui en sont le plus éloignés. Participation aux manifestations communales ou associatives locales. Mise en place d un groupe de réflexion concernant les liens inter-quartiers, l objectif étant de permettre aux Haillanais de se rencontrer notamment lors de moments festifs. De plus, un travail doit être entrepris au niveau de la Résidence Edmond Rostand afin d aller à la rencontre des habitants qui aujourd hui ne fréquentent que très peu la structure bien que située à proximité. Les premières actions concerneront l implication de l E.S.C. auprès de l association Aquer s qui y propose régulièrement des animations et la mise en place de la fête des voisins. Initiatives jeunes : mise en place d un temps festif de type tremplin rock ou festival de musique avec les jeunes du

50 50 quartier et les accompagner dans la conduite et le portage de projet, la recherche de financements (dispositifs CAF). Développement du partenariat avec le RANCH, l association Eclat de Musique et la Rock School de Barbé, Modalités d évaluation : - L implication des adhérents ; - Dynamisme des propositions ; - Identifications de la structure par les habitants et accueil de nouveaux adhérents ; - Nombre de participants aux manifestations proposées.

51 51 Orientation MIXITE SOCIALE ET INTERGENERATIONNELLE Titre : Accueil Jeune Fiche action n 2 Objectifs : Proposer aux enfants et aux jeunes des ateliers de loisirs adaptés à leur âge ; Favoriser la découverte et l initiation à des pratiques artistiques, culturelles et sportives ; Permettre l expression de chacun au sein d une dynamique collective ; Encourager la prise de décisions ; Développer une pédagogie basée sur la notion de projet ; Développer le lien avec les familles. Impliquer les familles dans la réflexion concernant la démarche pédagogique et éducative. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de l Espace Socio Culturel et les bénévoles ; Les enfants et les adolescents de la commune et leurs parents. Cette action s inscrit dans le cadre du dispositif des Accueils de Loisirs Sans Hébergement(ALSH). Adhésion des familles au projet pédagogique et respect des règles de fonctionnement del ALSH ; La commission Jeunesse ; Intervenants extérieurs ; Le service jeunesse de la ville. Descriptif de l action : L accueil de loisirs s effectue les mercredis et du lundi au vendredi pendant les vacances scolaires de 13h30 à 18h30. Des «grands conseils» sont organisés avec le public afin de choisir et de valider ensemble des propositions d ateliers dans le cadre de la co-construction des programmes d activités. Les enfants et les jeunes seront mobilisés sur la mise en place de projet et d actions d auto-financement. Pendant les vacances scolaires des stages d initiation à des pratiques artistiques et sportives sont impulsés par l équipe pédagogique. Mise en place d une instance de type «Conseil de structure» permettant la mobilisation et l implication des familles dans la vie de l Accueil de Loisirs. Etre attentif aux envies et initiatives des jeunes en matière de développement de projets ou d animation et les accompagner dans la démarche de projet et dans des actions d auto-financement. Modalités d évaluation : - Fréquentation des publics ; - Implication du public dans le choix et la programmation des activités et projets ; - Nombres de projets portés par les enfants et les jeunes ;

52 52 Orientation MIXITE SOCIALE ET INTERGENERATIONNELLE Titre : Ateliers Collectifs Fiche action n 3 Objectifs : Créer des rencontres et des occasions de dialogue ; Proposer des activités familiales ; Proposer des ateliers permettant la découverte de pratiques culturelles, éducatives et sportives variées ; Favoriser l insertion sociale et la valorisation des participants au sein d un groupe ; Permettre l échange et le partage de connaissances ; Faciliter l autonomie des familles et des adultes. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de l Espace Socio Culturel et en particulier la Conseillère en ESF ; Les bénévoles, usagers et adhérents ; Les associations locales ; Partenariat institutionnel : CAF, CCAS, MDSI, etc. ; Descriptif de l action : Les ateliers pour adultes se déclinent de deux façons : - De fil en aiguille (couture, tricot ) : le mardi (sauf vacances scolaires) de 14h à 16h30 - Cuisine : un atelier tous les 15 jours le lundi de 18h30 à 21h30 avec la confection et le partage d un repas. D autres ateliers pourront émerger en fonction des besoins de la population dans le but de promouvoir et de soutenir les habitants dans la création de projet. Modalités d évaluation : - Assiduité des participants ; - Evaluation des améliorations ou de la revalorisation chez les personnes ; - Appréciation des participants ; - Prise de responsabilités investissement des participants au sein de la vie du groupe. Orientation

53 53 MIXITE SOCIALE ET INTERGENERATIONNELLE Fiche action n 4 Titre : Accès aux droits et accompagnement individuel des familles et adultes Objectifs : Faciliter l autonomie des familles et des adultes ; Soutenir les familles dans leurs démarches administratives et d accès aux droits ; Orienter et accompagner vers les organismes appropriés. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de l Espace Socio Culturel et en particulier la Conseillère en ESF ; Les bénévoles, usagers et adhérents ; Les associations locales ; Partenariat institutionnel : CAF, CCAS, MDSI, etc. ; Intervenants extérieurs. Descriptif de l action : Mise en place d ateliers collectifs et accompagnements individualisés des familles autour de l accès aux droits et de la vie quotidienne (logement, budget etc.). Mise en place un «pôle d accès aux droits» et accompagnement individuel afin d orienter les usagers: PIV ; Envisager une permanence d Info Droit ; Mettre en place une permanence de la CNL et développer avec eux des réunions thématiques concernant le logement ; Se rapprocher des bailleurs sociaux afin d avoir une vision plus précise de l habitat social sur la commune et d éventuellement développer des actions en partenariat ; Modalités d évaluation : - Fréquentation des publics ; - Qualité du travail en réseau. Orientation MIXITE SOCIALE ET Titre :

54 54 INTERGENERATIONNELLE Accès aux loisirs familiaux Fiche action n 5 Objectifs : Favoriser l accès à la culture et aux loisirs des habitants ; Permettre aux habitants d être acteurs de leurs loisirs en prenant une place importante dans l organisation ; Accompagner les familles dans leur projet de vacances par le biais d ateliers collectifs ou d accompagnement individuel ; Aborder différentes thématiques de la vie quotidienne et la fonction parentale dans le cadre de sorties et week-end ; Découvrir des lieux qui pourraient éventuellement être réinvestis dans le cadre privé ; Lutter contre l isolement social en proposant des temps d échanges, de rencontres et de découvertes. Ressources mobilisées (internes et externes) La CESF et un animateur socioculturel de l ESC dans l animation du PIV et l accès aux loisirs ; Les partenaires institutionnels : La CAF dans sa politique vacance par le biais du PVT ; Le CCAS et la MDSI qui diffusent largement le programme et aident à des cofinancements. Les partenaires associatifs : dans le cadre de co-construction ou d aide auprès des usagers. Descriptif de l action : Une commission famille, composée d adhérents de la structure et de professionnels, se réunit régulièrement afin d établir le programme et de s investir dans la mise en place des loisirs. - Sorties à la journée tout au long de l année et particulièrement sur la période estivale ; - Plusieurs week-ends par an. ; - Mise en place d un PIV de mars à juin. Modalités d évaluation : - Le nombre d usagers aux sorties et aux réunions - L implication des familles dans les différents projets proposés Orientation MIXITE SOCIALE ET INTERGENERATIONNELLE Titre : Thé ou Café

55 55 Fiche action n 6 Objectifs : Favoriser les échanges et l entraide mutuelle sur des temps informels ; Renforcer les liens intergénérationnels ; Proposer un espace de parole afin de lutter contre l isolement et l exclusion sociale. Ressources mobilisées (internes et externes) Un des professionnels de la structure. Descriptif de l action : La structure propose un espace de rencontre hebdomadaire à l ensemble des adhérents. C est un lieu propice aux dialogues et à l écoute entre les personnes. Il permet d une façon informelle de faire émerger des idées et des initiatives sur le mieux vivre ensemble et peut susciter ainsi un investissement plus actif de la part des usagers. Modalités d évaluation : - Le nombre de personnes fréquentant cet espace. - L émergence de nouveaux projets et/ou d initiatives à travers ces temps de rencontre

56 56 Orientation MIXITE SOCIALE ET INTERGENERATIONNELLE Titre : Liens intergénérationnels Fiche action n 7 Objectifs : Favoriser les liens intergénérationnels ; Impulser une réflexion au niveau de la mise en place d actions permettant la création de liens intergénérationnels ; Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de l Espace Socio Culturel ; Les bénévoles, les enfants et jeunes fréquentant le centre social ; Les partenaires associatifs ; La Maison de retraite ; Les partenaires institutionnels : MDSI, CCAS, CLIC, Descriptif de l action : Mise en place d un groupe de réflexion au niveau des séniors en partenariat avec la maison de retraite et le CCAS en vue de développer des actions permettant le développement des liens intergénérationnels au niveau de l ALSH: Ex : Atelier jeux en lien avec la ludothèque regroupant séniors et enfants accueillis dans le cadre de l Accueil de Loisirs ; Accueil de groupes de séniors à l Accueil de Loisirs dans le cadre d ateliers de cuisine ou de jardinage partagés ; Délocalisation de l atelier Fil et Aiguille à la maison de retraite ; Mise en place d ateliers lecture soit en direction des personnes âgées, soit par des personnes âgées pour les enfants accueillis au sein de la structure. Le développement des liens intergénérationnels sera un des objectifs pédagogique du nouveau projet pédagogique de l ALSH. Modalités d évaluation : - Emergence d actions spécifiques ; - Impact des actions quant à la création de liens intergénérationnels.

57 57 Orientation 3 Titre : LA DEMARCHE PARTICIPATIVE Objectifs : Par la mise en place d un ou de plusieurs processus permettre aux habitants (bénévoles, usagers, etc.) de s impliquer en tant qu acteur de la vie de la structure et d exercer leur citoyenneté dans un engagement de co-construction d un projet partagé Ressources mobilisées (internes et externes) : - L équipe de professionnels ; - Les bénévoles, usagers, adhérents et les habitants ; - Les différentes commissions ; - La Fédération des Centres Sociaux ; - Les partenaires associatifs ; - Les partenaires institutionnels ; - La Mission Locale Jeunes ; - Les établissements scolaires de la commune ; - Des intervenants extérieurs ; - Les différents services de la ville ; - Les différents espaces de la structure ; Liste des actions : Réfléchir ensemble pour co-construire ; Jeunesse ; Favoriser les actions d auto-financement ; Modalités d évaluation : L évaluation des actions sera mise en place de manière progressive et partagée via les commissions et la constitution de comités de suivis portés par les instances de décisions. Ils regrouperont des membres du C.A., du C.P.I., des bénévoles ainsi que des salariés. De plus, un temps de formation sur l évaluation sera mis en place dès 2014 à l intention des bénévoles et des professionnels afin de construire des outils et une méthodologie commune à tous.

58 58 Orientation : LA DEMARCHE PARTICIPATIVE Fiche action n 1 Titre : Réfléchir ensemble pour co-construire Objectifs : Favoriser la démarche citoyenne au sein de l Espace Socio Culturel ; Accompagner la fonction bénévole au sein de la structure ; Accompagner les administrateurs et les membres du C.P.I. dans leur fonction ; Accompagner les bénévoles dans la gestion de la structure ; Favoriser la co-construction de projets, d actions, Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de professionnels et les bénévoles adhérents ; La Fédération des Centres Sociaux ; Les partenaires associatifs et institutionnels ; Descriptif de l action : Faire vivre les instances de décisions (C.A., C.PI..) et mettre en place un système de tutorat afin que les bénévoles nouvellement désignés soient accompagnés par ceux déjà en place. Pour cela une réflexion sera menée dans les deux instances à la fois sur les principes de fonctionnement d un centre social, sur le projet de structure et sur le fonctionnement de chaque instance et le rôle et la place de leurs membres. Une réflexion sera menée avec l équipe élargie afin de positionner clairement le rôle et la place des professionnels et des bénévoles. Faire vivre les commissions et les ouvrir à l ensemble des adhérents : commission communication, famille, animation et festivité, jardin, jeunes, parentalité, co-animation, accueil. Mettre en place un plan de formation à la fois pour les bénévoles et l équipe. Thématiques à prioriser : L évaluation ; La notion d accueil en centre social ; L Education Populaire ; La place et le rôle de chacun. Développer un véritable réseau de partenaires afin de permettre la co-construction et le co-portage de projets. Engager une réflexion concernant la mise en place une fois par an d une université populaire. Cette action reposera sur la mobilisation des bénévoles et sera développée à moyen terme. Modalités d évaluation : - L implication des habitants, bénévoles et administrateurs dans les différents groupes de travail et de réflexion ; - Dynamique créée autour des instances de décision ; - Participation des bénévoles aux temps de formation.

59 59 Orientation : LA DEMARCHE PARTICIPATIVE Fiche action n 2 Titre : Jeunesse Objectifs : Mettre en place et faire vivre la commission jeunesse ; Impulser une réflexion concernant le fonctionnement de l ALSH et l accueil des plus de 15 ans ; Impulser et coordonner une réflexion concernant les projets dédiés aux ans sur la commune ; Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de professionnels et les bénévoles ; La commission jeunesse ; Les jeunes et leurs familles ; Le service jeunesse de la ville ; Les partenaires associatifs et institutionnels dont la Mission Locale Jeunes ; Les établissements scolaires. Descriptif de l action : Entamer une réflexion au niveau du découpage des tranches d âges pour l Accueil de Loisirs et mettre en place des projets adaptés. L objectif étant de proposer des activités ou actions adaptées aux jeunes de plus de 15 ans qui aujourd hui ne fréquentent pas la structure mais qui ont régulièrement exprimés des envies. Entamer une réflexion concernant le public 16/25 ans. Le diagnostic ayant permis de faire émerger le manque de structures adaptées pour cette tranche d âge sur la commune. Un état des lieux et diagnostic doit être réalisé en lien étroit avec les services de la Mairie et la Mission Locale Jeune afin de définir les axes de développement de ce projets et de le co-construire. Une des pistes de réflexion ayant émergé lors du diagnostic est la mise en place d un Bureau Information Jeunesse. Modalités d évaluation : - L implication des bénévoles, des familles et des jeunes lors de la réflexion ; - Dynamisme du partenariat mis en place ; - Emergence de projets.

60 60 Orientation : LA DEMARCHE PARTICIPATIVE Fiche action n 3 Titre : Favoriser les actions d auto-financement Objectifs : Favoriser l implication des bénévoles, adhérents, familles lors de la mise en place de projets ; Favoriser la démarche participative ; Permettre de développer des actions auto-financées ; Favoriser l autonomie. Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de professionnels et les bénévoles membres des instances de décisions et des commissions ; L ensemble des adhérents quelques soit leur âge ; Descriptif de l action : Développer et accompagner la mise en place d actions permettant aux enfants, ados, jeunes, familles, adultes de trouver des sources de financements afin de réaliser des projets, permettre une plus grande implication de l ensemble des bénévoles et de fonctionner dans un esprit de solidarité. Les actions d auto-financement permettront également d aborder la notion de budget auprès des familles mais aussi auprès des plus jeunes. Modalités d évaluation : - L implication des habitants, bénévoles et administrateurs dans les actions d auto-financement menées ; - Le nombre d actions d auto-financement menées ; - Le nombre de projets financés en totalité ou partiellement.

61 61 Orientation 4 Titre : L OUVERTURE SUR LE TERRITOIRE Objectifs : Par la mise en place d outils de communication, d actions, de manifestations, etc. permettre l identification et le repérage de l Espace Socio Culturel par le plus grand nombre d habitants et développer un véritable réseau de partenaires à la fois associatifs, institutionnels au niveau local puis départemental. Ressources mobilisées (internes et externes) : - L équipe de professionnels ; - Les bénévoles, usagers, adhérents et les habitants ; - Les différentes commissions ; - La Fédération des Centres Sociaux ; - Les partenaires associatifs ; - Les partenaires institutionnels ; - Les établissements scolaires de la commune ; - Des intervenants extérieurs ; - Les différents services de la ville ; - Les différents espaces de la structure ; Liste des actions : Identification, repérages de la structure et communication ; Le Partenariat et l E.S.C. ; La fonction d accueil au sein de la structure; Modalités d évaluation : L évaluation des actions sera mise en place de manière progressive et partagée via les commissions et la constitution de comités de suivis portés par les instances de décisions. Ils regrouperont des membres du C.A., du C.P.I., des bénévoles ainsi que des salariés. De plus, un temps de formation sur l évaluation sera mis en place dès 2014 à l intention des bénévoles et des professionnels afin de construire des outils et une méthodologie commune à tous. Orientation

62 62 OUVERTURE SUR LE TERRITOIRE Fiche action n 1 Titre : Identification, repérage de la structure et communication Objectifs : Mener une réflexion sur l identité et le nom de la structure ; Permettre l identification de l Espace Socio Culturel par l ensemble de la population et des partenaires ; Rendre lisible les actions menées au sein de la structure ; Drainer de nouveaux adhérents ; Se doter d outils de communication internes et externes efficaces ; Se doter de compétences en interne en recrutant un personnel qualifié ; Ressources mobilisées (internes et externes) L ensemble de l équipe ; L ensemble des adhérents ; La commission communication ; Le service communication de la ville ; Descriptif de l action : Permettre à l ensemble des Haillanais ainsi qu à l ensemble des partenaires locaux de repérer et d identifier l E.S.C. Pour cela une réflexion doit être menée sur l identité, le nom et le logo de la structure. Poursuivre le travail entamé lors du diagnostic permettant d aller à la rencontre des habitants. Il sera nécessaire de mettre en place des temps de rencontre avec ces derniers sur l ensemble des quartiers (temps conviviaux, information sur des temps et lieux stratégiques comme la sortie des écoles, porte à porte, aux pieds des immeubles ). S appuyer sur des manifestations locales, scolaires, associatives pour d une part renforcer le partenariat et d autre part amener l information au plus près des habitants. L objectif est également d effectuer un travail de proximité. Se doter d outils efficaces permettant d organiser la diffusion de l information interne à la structure et une meilleure gestion des données concernant les adhérents et les inscriptions et réservations. Entamer une réflexion et un travail permettant de rendre le projet social lisible et accessible à tous. Peut-être en faisant appel à un prestataire ou en s appuyant sur les compétences de la Fédération des Centres Sociaux. Modalités d évaluation : - Le repérage de la structure par l ensemble de la population et des partenaires locaux ; - Le nombre des nouveaux adhérents ; - Les sollicitations des partenaires locaux ; Orientation OUVERTURE SUR LE Titre :

63 63 TERRITOIRE Le partenariat et l E.S.C. Fiche action n 2 Objectifs : Créer, développer et faire vivre un véritable partenariat local ; Créer un véritable réseau partenarial professionnel ; Initier et développer le co-portage et la co-construction de projets avec l ensemble des acteurs locaux ; Maintenir et développer les permanences des partenaires sociaux et associatifs (MDSI, PMI, CCAS, Croix Rouge, CNL, etc.) et les rendre accessibles aux plus grand nombre ; Ressources mobilisées (internes et externes) L ensemble de l équipe et des bénévoles ; Les partenaires institutionnels, les associations locales, les associations de préventions, la Fédération des Centres Sociaux, les services communaux, etc. Descriptif de l action : Par un travail de proximité, créer un véritable réseau de partenaires au niveau : des institutions (CAF, MDSI, PMI, CCAS, CLIC, ) ; des associations locales ; des centres sociaux et avec la Fédération des Centres Sociaux; des associations de préventions ; des structures portant des actions liées à la parentalité. Initier et développer la co-construction et le co-portage de projets avec des associations locales, les institutions, les centres sociaux, les services de la Mairie. Maintenir les permanences des partenaires sociaux déjà existantes (MDSI, P.M.I.,Croix Rouges alpha et écrivain public, CCAS) afin de les rendre accessibles aux habitants et développer de nouveaux partenariats notamment avec la CNL. Modalités d évaluation : -Nombre de projet co-construits et co-portés ; - Bonne fréquentation des permanences ; - Degrés de satisfaction des habitants ; Orientation OUVERTURE SUR LE TERRITOIRE Titre : La fonction accueil au sein de l E.S.C.

64 64 Fiche action n 3 Objectifs : Impulser une réflexion concernant la notion d accueil au sein de la structure ; Proposer un accueil de qualité et adapté à l ensemble des habitants ; Ressources mobilisées (internes et externes) L équipe de professionnels, les membres des instances de décisions ; La commission accueil ; La ludothèque municipale qui partage notre espace d accueil ; La Fédération des Centres Sociaux ; Descriptif de l action : Engager une réflexion afin de repenser l aménagement de l espace, l aménagement des horaires d ouverture de la structure. Créer et faire vivre un véritable lieu ressource permettant d informer et d orienter les habitants. Mettre en place une formation ouverte aux professionnels et aux bénévoles sur la notion d accueil en centre social. Modalités d évaluation : - L évaluation sera effectuée à la fois par la commission accueil et par l équipe ; - Le retour des habitants ; - Degrés de satisfaction des publics accueillis.

65 65 ANNEXES

66 66 ANNEXE 1 QUESTIONNAIRE

67 67 RENCONTRE AVEC LES HABITANTS DU HAILLAN CONCERTATION CONCERNANT LE PROJET DE L ESPACE SOCIOCULTUREL L'Espace Socio culturel du Haillan réfléchit à un projet qui permette à tous les habitants, petits et grands, de participer aux activités et projets qu'il pourra proposer. Ce projet n'aura de sens qu'avec la participation des futurs usagers de l'espace, c'est à dire : vous. Ce questionnaire est le départ d'une réflexion commune qui permettra d'identifier vos besoins en matière d'activités, de projets personnels et familiaux. Couleur du «Bien-Vivre» au Haillan ou «Vivre dans ma ville» Qu appréciez-vous, qu aimez-vous, que trouvez-vous facile à vivre au Haillan? Que n aimez-vous pas dans votre vie au Haillan? Il y a-t-il des choses difficiles à vivre au Haillan? Quels sont les lieux que vous fréquentez régulièrement? Ceux que vous appréciez particulièrement ou au contraire ceux que vous ne fréquentez pas? Et pourquoi? Quelles sont les activités que vous pratiquez? Implication dans la vie de la commune / Il y a-t-il des activités que vous souhaiteriez pratiquer au Haillan mais qui n existent pas sur la commune?

68 68 Avez-vous un ou des projets personnels ou collectifs (loisir, culture, solidarité, voyage, humanitaire, ) que vous souhaiteriez développer? Si oui lesquels? Avez-vous un engagement bénévole dans une association? Avez-vous un savoir- faire que vous aimeriez partager? Espace Socio Culturel du Haillan Connaissez-vous l Espace socio culturel et les activités qu il propose? Anonyme ou pas au choix Nom : Prénom : Age : Composition de votre famille : Nbre et âge des enfants Situation professionnelle Ancienneté sur la commune du Haillan : Quartier de résidence :

69 69 ANNEXE 2 Qu est-ce qu un centre social?

70 70 RENCONTRE AVEC LES HABITANTS DU HAILLAN CONCERTATION CONCERNANT LE PROJET DE L ESPACE SOCIOCULTUREL QUI VIENT? TOUT LE MONDE Sans distinction d'âge, de culture ni de situation sociale Famille, jeunes, parents, enfants, personnes âgées, associations... QU'EST CE QU'ON Y TROUVE? QU'EST CE QU'ON Y FAIT? DIVERSES ACTIONS ET PROJETS Ouvert à toutes attentes et à toutes propositions des habitants, L'ESC est un espace de proximité et de vie sociale qui s'appuie sur la participation des habitants et qui lie à la fois des actions collectives et des projets individuels. Champs d'action : animation socio-culturelle, loisirs, culture, animation pour les familles, intergénération, citoyennete, soirée/débat, parentalité, accueil d'enfants et de jeunes, accompagnement à la scolarité,... NOS VALEURS Dignité Humaine : reconnaitre la dignité et la liberté de tout homme et de toute femme Solidarité : considéréer les hommes et les femmes comme solllidaire, c'est à dire comme étant capables de vivre ensemble en société Démocracie : vouloir une société ouverte au débat et au partage du pouvoir L'accueil, l'écoute et le respect de chacun : permettre et rendre le dialogue possible, favoriser les coopérations réciproques. Echanger des savoir-faire, entrer dans un réseau d'entraide, soutenir l'insertion sociale et économique de chacun, défendre les droits des personnes à vivre en société, à vivre ensemble. NOS FACONS D'AGIR Des méthodes participatives,oprérationnelles et responsables Un partenariat actif et ouvert A l'esc, les habitants sont plus que de simples clients de services ou activités concus, décidés ou gérés par d'autres, les habitants sont acteurs, porteurs de projets, et citoyen à part entier... Nous plaçons le partenariat au coeur de nos activités, nous le voulons actif et ouvert

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