POLITIQUE DE PLACEMENT

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1 BANQUE PRIVEE DECEMBRE 2014 POLITIQUE DE PLACEMENT MENSUEL DES INVESTISSEMENTS EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 1/9

2 SOMMAIRE Synthèse... 4 Conjoncture internationale... 5 Obligations... 6 Actions... 7 Devises... 8 Grilles de placement... 9 Contact : Alessandra Gaudio Global Chief Investment Officer a.gaudio@edr.com EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 2/9

3 SYNTHÈSE L année 2014 aura été une année tumultueuse. Les économies dans le monde ont progressé de façons très divergentes. Les États-Unis ont su maintenir la croissance, la confiance des consommateurs et des producteurs et réduire le chômage. De l autre côté, l Europe, le Japon et les pays émergents ont été faibles de manière plus structurelle. Ces pays ont tenté de relancer leurs économies notamment avec des politiques monétaires accommodantes, mais ils doivent maintenant réduire structurellement leurs dettes publiques et leurs taux de chômage. Les résultats de ces efforts prendront du temps à se matérialiser. En zone euro, la croissance ne progressera que très légèrement en Les banques centrales ont été les chefs d orchestre sur les marchés en Elles ont réussi à créer des surprises positives pour les investisseurs. La Réserve fédérale a mis fin à son troisième programme d assouplissement quantitatif tout en restant accommodante avec des taux d intérêt faibles tout au long de l année. M. Draghi, le président de la Banque Centrale Européenne, continue de faire son possible pour générer de l inflation et pour crédibiliser son programme massif de rachats d actifs. La Banque du Japon (BoJ) et la Banque Populaire de Chine (BPoC) sont également passées à l action. La première en accélérant ses achats d actifs fin octobre, la seconde en assouplissant sa politique monétaire via une baisse des taux directeurs et des réserves obligatoires. Prendre quelques profits sur de belles performances Puisque toutes les banques centrales, à l exception de la Réserve fédérale, créent de la monnaie, la pression haussière sur le dollar se poursuit. Entre janvier et novembre, le billet vert aura gagné quelque 9,5%. Cette progression du dollar fait partie des éléments qui ont provoqué la dégringolade des prix du pétrole, notamment avec la hausse de la production de pétrole de schiste aux États-Unis, la relance de la production de pétrole dans certains pays du Golfe et le ralentissement des pays émergents. Le baril a perdu 33% en 6 mois. Sur les marchés des actions, la phase de correction, entamée début octobre, s est presque entièrement résorbée dans le même mois. La tendance haussière a continué par la suite. Du côté des marchés obligataires, les interventions des banques centrales ont poussé à la baisse les rendements des emprunts gouvernementaux, qui ont atteint leurs plus bas historiques en Pour 2015, d une manière générale, les perspectives d évolution demeurent sans heurtes. La hausse attendue des taux d intérêt aux États- Unis devrait rester contenue. Nous prenons quelques profits sur les décisions tactiques récemment implémentées dans les portefeuilles. Bien que toujours constructifs sur la partie actions et le marché américain pour 2015, les profits engrangés rapidement depuis notre achat tactique du S&P500 mi-octobre, nous exhortent à réduire tactiquement cette position pour nous repositionner courant Le marché suisse a été aussi un des très bons performeurs depuis notre achat. Nous prenons également les bénéfices de cette surperformance. Notre poids sur les marchés actions se trouve ainsi temporairement réduit. Nous profiterons des opportunités qui pourraient se présenter d ici à la fin de l année. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 3/9

4 CONJONCTURE INTERNATIONALE Aux États-Unis, le dernier trimestre a été marqué par la fin du troisième programme d assouplissement quantitatif de la Réserve fédérale. Ces trois programmes auront injecté un total de milliards de dollars dans l économie américaine sur les 5 dernières années via des achats d actifs, avec succès. Dans un contexte de taux historiquement bas, les programmes de relance ont remis sur pied les États-Unis avec une progression visible de la consommation privée, de l emploi et de la richesse ainsi qu un désendettement des ménages. Une hausse des salaires pourrait s en suivre. Les taux d utilisation du travail et du capital sont en effet en hausse et montrent déjà des signes d une activité économique en surchauffe. Ce sont ces éléments, hausse des salaires et inflation, que la Réserve fédérale observe de près afin de saisir le moment propice à la hausse des taux. En zone euro, la Banque Centrale Européenne tente de relancer la croissance et le crédit. Tant que la consommation et donc la croissance ne sont pas relancées, les entreprises, qui détiennent déjà beaucoup de cash, ne seront pas prêtes à accroitre leurs investissements et donc à souscrire à des emprunts. Alors que la revue de la qualité des actifs des établissements bancaires européens et les stress tests n ont pas révélé de risque systémique, de nombreux indicateurs, tels la production industrielle, le chômage et l inflation, font état d une zone euro faible. Le FMI et la Commission européenne ont revu les prévisions de croissance du PIB pour 2014 (0.8%) et 2015 (1.3%) à la baisse. Dans ce contexte, l Allemagne enregistre une performance assez médiocre, évitant de très peu la récession. Les tensions entre la Russie et les Européens freinent les dépenses d investissement et les exportations des entreprises allemandes. En France, plus de la moitié de la croissance de demande domestique provient des dépenses publiques. L Italie, de son côté, n est toujours pas parvenue à sortir de la récession dans laquelle elle est retenue depuis 6 trimestres. Dans les grands pays de la zone euro, c est l Espagne qui tire le mieux son épingle du jeu. Au Japon, dans le cadre de ses Abenomics, le gouvernement japonais avait décidé d accroitre les recettes fiscales de l État afin de réduire la dette publique. Pour ce faire, il avait pris la décision historique d augmenter la Taxe sur la Valeur ajoutée (TVA) de 5% à 8% en avril 2014, puis de 8% à 10% en octobre Sous l impact récessif de cette hausse des prix, le PIB a fortement chuté en L effet temporaire initialement escompté a finalement pris une ampleur bien plus importante. Le Premier ministre a ainsi annoncé le report de la prochaine hausse de la TVA à avril Il a également déclaré qu il organisait des élections générales avant fin 2014 afin que le peuple japonais lui renouvèle sa confiance vis-à-vis des réformes structurelles qu il met en place pour sortir le Japon de ses récession et déflation décennales. La Chine n est pas parvenue à dépasser 7,4% de croissance annuelle en Ce ralentissement contrôlé a un but structurel : axer le système sur la consommation des ménages plutôt que sur la dépréciation compétitive et l investissement immobilier. Toutefois, cette transition de modèle économique ne se fera pas sans heurt. Afin de maintenir la croissance à un niveau acceptable, le gouvernement maintiendra son soutien aux entreprises exportatrices et au secteur de la construction aussi longtemps que nécessaire. La progression du PIB ne doit pas tomber au-dessous des gains de productivité. Dans le cas inverse, la Chine détruirait des emplois, accroissant les risques de tensions sociales. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 4/9

5 OBLIGATIONS Le mois écoulé était dans la ligné de cette année, excellente performance sur toute la courbe euro et sur la partie longue de la courbe dollar. Le crédit se reprend aussi après un début d automne difficile. Les probabilités que la BCE lance un programme d assouplissement quantitatif sont de plus en plus élevées. La BCE commence à en parler ouvertement. Ce sera probablement à travers un programme d achats de corporate bonds. Les obligations en euros en bénéficient et continuent leur très bonne performance en La communication de la Réserve fédérale est moins certaine - certains gouverneurs regardent la croissance très forte observée aux États-Unis aux deuxième et troisième trimestres, ainsi que la forte baisse du chômage. D autres se concentrent sur l absence de pressions inflationnistes. Les investisseurs suivent clairement les chiffres de l inflation, et les attentes sur 10 ans sont tombées à leur plus bas niveau depuis 3 ans, expliquant la bonne tenue des obligations longues gouvernementales. Les chiffres d inflation seront un leitmotiv important en Une continuation d une forte faiblesse des chiffres en Europe amènera un assouplissement quantitatif, ce qui supportera le marché obligataire européen, et tout particulièrement pour les emprunts périphériques et les crédits de notation BBB/BB. La courbe longue américaine reste dépendante des perspectives de croissance et des pressions potentielles sur les salaires. Les marchés obligataires de la dette émergente ont évolué sans véritable tendance au cours de la période sous revue et les différentiels de rendement se sont légèrement tendus. Le segment souverain a surperformé son homologue corporate. Le prolongement de la crise russo-ukrainienne, le scandale de corruption qui a éclaté au Brésil entre la compagnie Petrobras et les principales entreprises de construction du pays et la baisse du prix du pétrole ont pesé sur le sentiment du marché. Pour 2015, d une manière générale, les perspectives d évolution demeurent favorables. La hausse attendue des taux d intérêt aux États-Unis devrait rester contenue et favoriser une légère contraction des différentiels de rendements. La demande d emprunts émergents reste soutenue. La recherche de rendement pourra favoriser la classe d actif. (%) Nov-12 Feb-13 May-13 Aug-13 Nov-13 Feb-14 May-14 Aug-14 UST 10 Yr Bund 10 Yr EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 5/9

6 ACTIONS Les États-Unis continuent sur leur lancée. La croissance des ventes remonte la pente aux États-Unis depuis mi et joue un rôle important dans la relance de l économie. Aujourd hui, les entreprises américaines ont un taux d utilisation des capacités de production élevé, à 79,3%. Toute hausse de salaire sera néanmoins dépendante de la capacité des entreprises à profiter de leur pricing power et à augmenter ainsi les prix au détail après les salaires pour défendre leurs marges. La baisse des coûts de l énergie sera évidemment un facteur positif pour les marges. En Europe, la croissance des ventes est dans le rouge depuis cette année, à presque -10%. Les perspectives sont donc plus difficiles pour le Vieux Continent et la relance de la consommation sera clé pour Les marges bénéficiaires se sont stabilisées depuis quelques mois et laissent espérer une potentielle amélioration dans le futur. Celle-ci sera soutenue par une devise et des prix du pétrole faibles. Sur les marchés, l indice S&P500 continue à battre des records alors que l Europe reste à la traine. L Asie, tirée par le réveil de la bourse chinoise se redresse avec un marché des matières premières industrielles qui continue de reculer. Parmi les secteurs, une forte progression de la consommation discrétionnaire (cyclique) aux États-Unis est visible grâce à la baisse du prix du pétrole notamment. La technologie s est à nouveau distinguée sur le mois en partie grâce notamment à Apple. Les télécoms sont portées par de récentes opérations de fusion et ont ainsi expérimenté une forte hausse. Finalement, le secteur de l énergie plonge encore sur le mois avec une baisse identique à celle du brut. La valorisation des titres d énergie atteint ainsi des niveaux élevés en raison de la révision à la baisse des prévisions de bénéfices. Avec la hausse récente des marchés actions, l ensemble des valorisations sont plus tendues, notamment aux États- Unis qui retrouvent leur plus haut sur les 10 dernières années. Les valorisations en Asie et au Japon restent attractives avec un niveau inférieur à leur moyenne historique. Pour l année 2015, nous nous attendons à un environnement de croissance faible, de volatilité faible et de faibles rendements. Nous continuons à préconiser une surpondération des actions par rapport aux obligations dans un portefeuille multi-actifs dans la perspective d une reprise conjoncturelle. Nous préférons les marchés américain et japonais par rapport à la zone euro. Dans cette dernière, nous confirmons notre préférence pour les valeurs financières de la zone euro, qui devraient bénéficier de l action de la BCE. La Chine, déjà mise en avant cette année dans notre allocation, pourrait s avérer le joker en 2015 parmi les Pays Emergents. Le désendettement et les réformes structurelles vers un autre modèle de croissance continueront de freiner son potentiel de croissance. Mais la Banque Centrale chinoise sera là pour mettre en place une politique accommodante si nécessaire. De plus, les cours des matières premières créeront quelques opportunités et soulageront ceux qui se trouvent du bon côté de l équation offre-demande, à savoir les consommateurs plutôt que les exportateurs, ce qui est le cas de la Chine. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 6/9

7 DEVISES Puisque toutes les banques centrales créent de la monnaie, à l exception de la Réserve fédérale américaine, la pression haussière sur le dollar se poursuit. Toutefois, cette tendance fait désormais l unanimité chez les investisseurs. Ce comportement moutonnier constitue un signal contrariant. Une période de retracement, où le dollar chuterait de quelques centimes, n est pas à exclure pour les 3 premiers mois de l année. Prudence, donc! La BCE pourrait décevoir et, paradoxalement, favoriser l appréciation de l euro. Si elle ne parvient pas à accroître son bilan de 1'000 milliards d euros rapidement, comme elle l a promis, la faiblesse de l euro par création monétaire serait beaucoup moins crédible. La monnaie unique regagnerait alors un peu du terrain perdu face au dollar, le temps que la BCE prenne d autres mesures pour crédibiliser son discours réflationniste. Le seul moyen dont dispose le Japon pour éviter que la hausse des taux ne rende la dette insoutenable est d acheter lui-même sa propre dette. Pour se faire, la BoJ créera autant de monnaie que nécessaire (monétisation). Si cette situation pérennise la situation de l endettement public japonais, elle a pour corollaire une dépréciation massive du yen. La devise britannique se déprécie à mesure que l'inflation se rétracte. Ce désamour pourrait également s accentuer à mesure que les élections législatives du mois de mai se rapprochent. Les deux grands partis modérés sont au coude à coude tandis que le parti europhobe UKIP gagne régulièrement du terrain dans les sondages. Dans ce contexte, Mark Carney pourrait reporter son premier relèvement de taux directeurs au second semestre de l année Malgré cela, il n est pas impossible que la BoE puisse être la première grande institution à hausser ses taux directeurs. La livre profiterait de cette situation pour capter les opérations de portage des cambistes et, in fine, s apprécier quelque peu. La BNS a des moyens illimités pour défendre son cours plancher, puisqu elle a le pouvoir d imprimer la monnaie. Elle peut multiplier son bilan autant qu elle le souhaite si bon lui semble. Le seul inconvénient à cette stratégie est qu elle induit des effets inflationnistes à long terme. Pour le moment, ces effets sont très discrets, même si le marché immobilier a tendance à surchauffer depuis quelques années. D autre part, la BNS n a pas abattu toutes ses cartes. Dans le courant de l année, pour affaiblir la pression acheteuse de franc suisse, elle adoptera des taux négatifs, comme la BCE. Elle n a pas encore utilisé cet outil de politique monétaire non conventionnel. Enfin, elle pourrait même, dans un cas extrême, contrôler les flux de capitaux. Une alternative pour investir sur le dollar est de le faire face aux devises émergentes. En observant la séquence d évolution du dollar entre 1978 et 1994, puis entre 1995 et 2011, il est intéressant de noter que les phases de hausse structurelle du dollar ont toujours été initiées face aux grandes devises. Ce n est que dans un second temps, trois à quatre ans après, que le billet vert accélère son mouvement en s appréciant face aux monnaies émergentes. Il semble que nous amorcions actuellement cette deuxième phase. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 7/9

8 GRILLES DE PLACEMENT En résumé, nous avons apporté les changements TACTIQUES suivants à la grille de placement équilibrée : Prise de profits tactique sur le S&P 500 et les actions suisses Prise de profits tactique sur le dollar américain Augmentation du cash pour plus de flexibilité d ici à la fin de l année ou en 2015 Portefeuille avec alternatif EUR USD CHF % % % COURT TERME Souveraines OBLIGATIONS Corporate IG High Yield Émergentes Convertibles Eurozone ACTIONS FONDS ALTERNATIFS Suisse États-Unis Japon Émergents Long / Short Non directionnels IMMOBILIER OR TOTAL EUR USD CHF EUR DEVISES USD CHF EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 8/9

9 INFORMATION JURIDIQUE IMPORTANTE Ce document a été préparé par EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A., 18 rue de Hesse, 1204 Genève, Suisse, une banque suisse agréée et réglementée par l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers FINMA. Il vous est remis à titre d information uniquement et ne constitue ni ne contient aucune incitation ou offre d achat ou de cession de quelque valeur mobilière ou instrument financier que ce soit et ne saurait vous délier de la nécessité de former votre propre jugement en fonction de vos objectifs spécifiques d investissement. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. ne fournit aucune garantie quant à l exactitude et à l exhaustivité du présent document. Les données chiffrées, commentaires, analyses et les travaux de recherche en investissement figurant dans ce document reflètent le sentiment de EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. quant à l évolution des marchés compte tenu de son expertise, des analyses économiques et des informations en sa possession. Le contenu de ce document peut s avérer ne plus être actuel ou pertinent au moment où vous en prenez connaissance, notamment eu égard à la date de publication de ce document ou en raison de l évolution des marchés. Tout placement comporte des risques, en particulier des risques de fluctuation des cours et des rendements. Les performances et les volatilités passées ne préjugent pas des performances et des volatilités futures et ne sont pas constantes dans le temps. Nous vous recommandons d examiner le contenu de ce document avec votre conseiller financier, afin de vous assurer de sa possible adéquation avec votre situation, compte tenu de vos objectifs d investissement, de votre profil de risque, de votre situation personnelle, financière, réglementaire et fiscale, et afin de vous permettre de vous forger une opinion autorisée. Ce document ne s adresse pas aux personnes soumises à une législation leur interdisant l accès à de telles informations du fait de leur nationalité ou de leur domicile. Chaque analyste mentionné dans le présent document certifie que les points de vue qui y sont exprimés à l endroit des entreprises et des titres qu il est amené à évaluer reflètent précisément son opinion personnelle. Sa rémunération n est pas liée directement ou indirectement à des recommandations et opinions particulières émises dans ce document. Des détails sur la méthodologie de notation de EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. sont disponibles gratuitement sur simple demande. En aucun cas, la responsabilité de EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. ne saurait être engagée pour une décision d investissement, de désinvestissement ou de conservation prise sur la base des commentaires et analyses contenus dans le présent document, ou en cas de réclamations ou de poursuite judiciaire de la part d un tiers fondé sur l utilisation ou la distribution de ce document. La reproduction intégrale ou partielle de ce document ou sa distribution à tout tiers sans l accord écrit préalable de EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. est interdite. Copyright EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. Tous droits réservés. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. Rue de Hesse GENÈVE Suisse - T Avenue Agassiz LAUSANNE Suisse T Rue de Morat FRIBOURG Suisse T EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 9/9

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