A = {f L(E); f 2 = Id E }
|
|
- David Chénier
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Espaces vectoriels 1. (ref. 5) Soit E, F des K-espaces vectoriels de dimensions finies, n = dim E, u L(E, F ), N = Ker(u). a) Soit G un sous espace vectoriel de E. Montrer dim u(g) = dim G dim N G. b) Soit H un sous espace vectoriel de F. Montrer dim u 1 (H) = n + dim H u(e) rang u. 2. (ref. 6) Soit p et q des projecteurs de E tels que p + q = Id E. Montrer que p q = q p = 0 et que E = p(e) q(e). 3. (ref. 8) Soit E un K-espace vectoriel, E et E deux sous espaces vectoriels propres de E. Montrer que E E E. On suppose K infini. Soit E 1,..., E n des sous espaces vectoriels propres de E. Montrer que E i E. 4. (ref. 10) E, F, G trois K-espaces vectoriels de dimensions finies. a) Soit u L(E, F ) et v L(F, G). Montrer que rang u+rang v dim F rang v u inf(rang v, rang u). b) Soit u, v L(E, F ). Montrer que rang v rang u rang(u + v) rang u + rang v. 5. (ref. 13) Soit u L(C n ) tel que u n = Id E. Soit E un sous espace vectoriel de C n stable par u, p un projecteur d image E. On pose q = 1 u k p u n k. Montrer que q est un projecteur et que C n = Ker(q) E. n (ref. 14) Soit E = {P C[X, Y ] P homogène de degré n}. Soit F le sous espace des polynômes divisibles par X 2 + Y 2, G le noyau du laplacien. Montrer que E = F G. 7. (ref. 21) Soit E = R 3 [X], a, b, c des réels deux à deux distincts. On considère les quatre formes linéaires P P (a), P P (b), P P (c), P quatrième à l aide des trois premières lorsque c = (a + b)/2. b a P (t) dt. Sont-elles linéairement indépendantes? Exprimer la 8. (ref. 26) Soit E un K-espace vectoriel de dimension finie et (p i ) 1 i n une famille de projecteurs. Montrer que p i est un projecteur si et seulement si i, j, i j p i p j = (ref. 27) Soit E un K-espace vectoriel de dimension n et f L(E). Trouver une condition nécesaire et suffisante pour qu il existe g et h L(E) tels que f = g h et h g = (ref. 31) Soit E un K-espace vectoriel, u L(E). On suppose que les seuls sous espaces vectoriels stables par u sont {0} et E. Montrer que E est de dimension finie. 11. (ref. 32) Soit E un R-espace vectoriel (de dimension finie pour (c)) a) Trouver tous les f L(E) vérifiant f 2 = f b) Trouver tous les f L(E) vérifiant f 2 = Id E. c) Trouver tous les f L(E) vérifiant f 2 = Id E (on montrera que dim E est paire et qu il existe une base (e 1,..., e 2p ) telle que i [1, p], f(e i ) = e p+i, f(e p+i ) = e i ). 12. (ref. 36) Soit E, F, G trois K-espaces vectoriels. Soit u L(E, F ), v L(F, G) tels que dim(f/ Im u) < +, dim(g/ Im v) < +. Montrer que dim(g/ Im v u) < (ref. 41) Soit E et F des K espaces vectoriels de dimensions finies. a) Soit u L(E, F ), v L(F, E) tels que u v u = u et v u v = v. Montrer que E = Ker u Im v. b) u L(E, F ) étant donné, soit E 1 et F 1 des sous espaces tels que E = Ker u E 1 et F = Im u F 1. Montrer qu il existe un unique v tel que u v u = u et v u v = v avec Ker v = F 1 et Im v = E (ref. Centrale 91- ) Soit E un espace vectoriel sur R, p et q deux projecteurs de E tels que Im p Ker q et soit r = p + q pq. Montrer que r est un projecteur, trouver son image et son noyau. 15. (ref. Centrale 91- ) Soit E un R-espace vectoriel de dimension finie. On pose Trouver l ensemble des points d accumulation de A. A = {f L(E); f 2 = Id E } 16. (ref. Centrale 93- ) a) Soient E un C espace vectoriel de dimension finie, (f n ) une suite d éléments de L(E), convergeant vers l élément f de L(E). Montrer que, si n N, rang(f n ) k nécessairement rang(f) k. 1
2 b) Soit A dans M n C), et A le commutant de A. Montrer que A est de dimension n. c) Montrer que ce dernier résultat reste vrai dans M n R). 17. (ref. ENS91- ) Soit E un R-espace vectoriel de dimension finie n et k {0, 1,.., n}. Que peut-on dire d un endomorphisme u de E tel que tout sous-espace de dimension k soit stable par u? 18. (ref. GOX91- ) Soit n dans N. Le vecteur x de R n est dit positif lorsque toutes ses coordonnées sont positives, ce qui se note x 0. Soit A dans M(n, R), A symétrique.on suppose que tous les mineurs principaux de A sont strictement positifs. Montrer que, pour tout x de R n, (x 0 et Ax 0) x = (ref. Mines93- ) Soit ϕ l application de R 3 [X] dans R 3 [X] qui au polynôme P associe le reste la divition euclidienne de (X 4 1)P (X) par X 4 X. Montrer que ϕ est linéaire et déterminer ses noyaux, image et éléments propres. Matrices 20. (ref. 6) Soit K un corps fini à q éléments. Montrer que GL K (n) = (q n 1)(q n q)... (q n q n 1 ). 21. (ref. 9) Soit G = { 1 x z 0 1 y M R (3)}. Montrer que G est un groupe de GL R (3). Quel est son centre? (ref. 15) Calculer les inverses des matrices suivantes n 1 2n n n (ref. 16) Soit A M K (m, n) telle que rang(a) = r. Montrer qu il existe B M K (m, r) et C M K (r, n) telle que A = BC. Exemple d une telle décomposition pour (ref. 17) Soit A M K (n). Calculer det(com(a)) et com(com(a)) 25. (ref. 23) Soit M M K (n) de rang 1. Trouver une relation entre M 2 et M. Déterminer les M M 3 (R) tels que M 2 = (ref. 24) Soit A 1,..., A n M C (n) nilpotentes, commutant deux à deux. Montrer que A i = (ref. 27) Soit : M p (R) M p (R) linéaire telle que A, B, (AB) = (A)B + A (B). Soit T tel que 2 (T ) = 0. Montrer que n, n (T n ) = n! (T ) n. Soit A, T M p (R) et Q = AT T A. On suppose que A et Q commutent. Montrer que lim Q n 1/n = (ref. 28) Soit A, B M K (n). Etudier l équation M + tr(m)a = B. 29. (ref. 32) Montrer que SL 2 (Z) est une groupe multiplicatif. ( Soit ) M( SL) 2 (Z). Montrer qu en multipliant 1 x 1 0 M par un produit convenable de matrices de la forme et on peut faire apparaître un y 1 dans la première colonne. En déduire un système de générateurs minimal de SL 2 (Z). 30. (ref. 33) Soit A M R (n), k le déterminant formé par les k premières lignes et les k premières colonnes. Montrer que les conditions suivantes sont équivalentes (i) k, k 0 (ii) A = LU où L est triangulaire inférieure avec des 1 sur la diagonale et U triangulaire supérieure inversible. 2
3 31. (ref. 36) Soit A M C (n), C(A) = {M MA = AM}. On suppose que A 2 = I. Montrer que dim C(A) a la même parité que n. n 32. (ref. 38) Soit A M n (RR) symétrique telle que i, j, a i,j > 0 et σ S n, a iσ(i) = a. Montrer que A est de rang (ref. 40) Soit A M n (R)( à coefficients ) positifs telle que pour toute permutation P des vecteurs de base, on ne puisse avoir A = P 1 A1 A 2 P. Soit X R n \ {0}, à coefficients positifs. Montrer que (I + A) n 1 0 A 3 est à coefficients strictement positifs. 34. (ref. Centrale 91- ) Soit n N et soit A et B dans M n (R) telle que I n + BA GL n (R). a) Montrer que I n + AB est dans GL n (R) et que son inverse commute avec A. b) Vérifier que (I n + AB) 1 = I n A(I n + BA) 1 B. 35. (ref. Centrale 91- ) A 1,..., A p sont des matrices carrées de M n (R) vérifiant: t A i A j = 0 pour tous i j et A A p inversible. Montrer que la somme des rangs des A j est n. 36. (ref. ENS93- ) -L.- Si K est de caractéristique nulle et si A est une matrice de trace nulle dans M n (K), montrer qu il existe B et C dans M n (K) telles que A = BC CB. 37. (ref. GOX92- ) Soit H un hyperplan de M n (R). Montrer que H contient au moins une matrice inversible. 38. (ref. GOX92- ) Inverser la matrice A = (α ij ) définie par α ij = a si i j et α ii = (ref. GOXP 93- ) Soit A M nr (R), B M rn (R), et M = I n AB. On suppose, de plus, que A est de rang r. Montrer que M est de rang au moins n r, valeur minimale atteinte si, et seulement si BA = I r. (Indication: étudier: M + BAAB). 40. (ref. Mines91- ) Soit A et B dans M n (C). On note com(a) la matrice des cofacteurs de A. Montrer que com(ab) = com(a)com(b), puis que, si A et B sont semblables, com(a) et com(b) le sont aussi. 41. (ref. Mines91- ) Trouver toutes les matrices A de M n (R) telles que, pour toute matrice réelle (n, n), on ait det(a + X) = det(a) + det(x) 42. (ref. Mines93- ) Soit f une application non constante de M n (C) dans C telle que, pour tout couple (A, B) de matrices, on ait f(ab) = f(a)f(b). Montrer que f(a) = 0 A non inversible. 43. (ref. POX92- ) Soit ϕ une application de M n (C) dans C telle que: Montrer que ϕ = det. (A, B) (M 2 (C)) 2 ϕ(ab) = ϕ(a)ϕ(b) (( )) λ 0 λ C ϕ = λ (ref. POX91- ) Soit A M n (R) telle que A 3 = A + I. Montrer que det A > 0. Déterminants a a 45. (ref. 4) Calculer a a n 46. (ref. 6) Soit a 1,..., a n K. Calculer V (a 1,..., a n ) = det(a j 1 i ) 1 i,j n. En déduire le calcul de 1 a 1... a k 1 1 a k a n 1 1 a 2... a k 1 2 a k a n i=1
4 47. (ref. 8) Calculer D n = det(a ij ) 1 i,j n avec a ii = a, a i,i+1 = 1, a i,i 1 = 1, a ij = 0 dans les autres cas. Déterminer lim D n (ref. 11) Calculer det( ). a i + b j 49. (ref. 12) Calculer det(a ij ) avec a ii = c i, a ij = a si j > i, a ij = b si j < i (on pourra ajouter x à chaque coefficient et déterminer le degré du polynôme en x obtenu). 50. (ref. 15) A = (a ij ) telle que i, a ii = x i, et i j a ij = a. Calculer det A. 51. (ref. 16) Calculer det(c j n+i 1 ) 1 i,j p. a 1 a 2... a n a 52. (ref. 20) Soit A = n a 1... a n 1 M C (n) et Ω = (ω (i 1)(j 1) ) avec ω = exp(2iπ/n). Calculer a 2 a 3... a 1 det ΩM et en déduire det M. 53. (ref. 21) A, B, C, D M K (n) telles que C et D commutent et D inversible. Montrer que A B C D = ( ) ( ) det(ad BC). Que dire si D non inversible? Soit n = 2 ; A = D = ; C = B = Comparer A B C D et det(ad BC) n n n (ref. 22) Calculer le déterminant (n 1) n n n 1 1 cos(a o )... cos(na o ) 55. (ref. 24) Factoriser le déterminant D n+1 = cos(a n )... cos(na n ) 56. (ref. 26) Soit A = {M M R (n) i, j, m ij 1} et ϕ : A R, ϕ(m) = det M. a) Montrer que sup ϕ est un entier multiple de 2 n 1 (on pourra montrer que si i, j, a ij { 1, 1}, A alors det M est divisible par 2 n 1. b) Montrer que sup ϕ n n/2 (utiliser det M c j, si les c j sont les vecteurs colonnes de M). A 57. (ref. 27) α 1 <... < α n et β 1 <... < β n des réels. Montrer que det(e αiβj ) (ref. 28) Calculer com A où A = (a i a j + δ i jx). 59. (ref. 31) Calculer det A où a ij = ( 1) max(i,j), 1 i, j n 1 n 2 n... (n + 1) n 2 n 3 n... (n + 2) n 60. (ref. Centrale 91- ) Calculer (n + 1) n (n + 2) n... (2n + 1) n 61. (ref. Centrale 91- ) Soit M M n (R) et Φ M l application A t MAM de M n (R) dans M n (R). Démontrer que Φ M est un endomorphisme de M n (R) laissant stable l ensemble S (resp. A) des matrices symétriques (resp. antisymétriques). Calculer det Φ M. 62. (ref. GOX92- ) Soit E un K espace vectoriel de dimension finie et g GL(E). On considère l endomorphisme ϕ de L(E) défini par a gag 1. Déterminer det ϕ et tr ϕ. 63. (ref. GOX92- ) Calculer le déterminant de la matrice (a ij ) 1 i,j n+1 où a ij = C j 1 i+j 2. 4
5 64. (ref. Mines93- ) Soit A M n (R) et L A : M n (R) M n (R), M AM. Déterminer le déterminant de L A.. Systèmes linéaires 65. (ref. 1) Etudier les systèmes ax + by + z = 1 a) x + aby + z = b x + by + az = 1 (m 2)x + 2y z = m + 2 d) 2x + my + 2z = m mx + 2(m + 1)y + (m + 1)z = 2m 3 m 2 /2 m/ (ref. 2) Etudier le système x 1 + x 2 = 2a 1, x 2 + x 3 = 2a 2,..., x n + x 1 = 2a n. Interprétation géométrique? ax + by + cz = d b z c y = u 67. (ref. 3) Etudier le système c x a (inconnues x,y,z). Interprétation géométrique. z = v a y b x = w 68. (ref. 7) Discuter le système (λ i a)x + (λ 2 i a 2 )y + (λ 3 i a 3 )z = 1, i = 1,..., (ref. Mines93- ) On considère l équation complexe t 3 t + 1 = 0 de racines α, β, γ. Résoudre le système x + y + z = 0 αx + βy + γz = 0 α 2 x + β 2 y + γ 2 z = 0 5
Exo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailNOTATIONS PRÉLIMINAIRES
Pour le Jeudi 14 Octobre 2010 NOTATIONS Soit V un espace vectoriel réel ; l'espace vectoriel des endomorphismes de l'espace vectoriel V est désigné par L(V ). Soit f un endomorphisme de l'espace vectoriel
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailCours d analyse numérique SMI-S4
ours d analyse numérique SMI-S4 Introduction L objet de l analyse numérique est de concevoir et d étudier des méthodes de résolution de certains problèmes mathématiques, en général issus de problèmes réels,
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détailFormes quadratiques. 1 Formes quadratiques et formes polaires associées. Imen BHOURI. 1.1 Définitions
Formes quadratiques Imen BHOURI 1 Ce cours s adresse aux étudiants de niveau deuxième année de Licence et à ceux qui préparent le capes. Il combine d une façon indissociable l étude des concepts bilinéaires
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détail[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 30 avril 2015 Enoncés 1
[http://mpcpgedupuydelomefr] édité le 3 avril 215 Enoncés 1 Exercice 1 [ 265 ] [correction] On note V l ensemble des matrices à coefficients entiers du type a b c d d a b c c d a b b c d a et G l ensemble
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailIntroduction à l étude des Corps Finis
Introduction à l étude des Corps Finis Robert Rolland (Résumé) 1 Introduction La structure de corps fini intervient dans divers domaines des mathématiques, en particulier dans la théorie de Galois sur
Plus en détailRésolution de systèmes linéaires par des méthodes directes
Résolution de systèmes linéaires par des méthodes directes J. Erhel Janvier 2014 1 Inverse d une matrice carrée et systèmes linéaires Ce paragraphe a pour objet les matrices carrées et les systèmes linéaires.
Plus en détailChapitre 2. Matrices
Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailPolynômes à plusieurs variables. Résultant
Polynômes à plusieurs variables. Résultant Christophe Ritzenthaler 1 Relations coefficients-racines. Polynômes symétriques Issu de [MS] et de [Goz]. Soit A un anneau intègre. Définition 1.1. Soit a A \
Plus en détailDérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema.
Chapitre 5 Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema. On s intéresse dans ce chapitre aux dérivées d ordre ou plus d une fonction de plusieurs variables. Comme pour une fonction d une
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailGroupe symétrique. Chapitre II. 1 Définitions et généralités
Chapitre II Groupe symétrique 1 Définitions et généralités Définition. Soient n et X l ensemble 1,..., n. On appelle permutation de X toute application bijective f : X X. On note S n l ensemble des permutations
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détailUn K-espace vectoriel est un ensemble non vide E muni : d une loi de composition interne, c est-à-dire d une application de E E dans E : E E E
Exo7 Espaces vectoriels Vidéo partie 1. Espace vectoriel (début Vidéo partie 2. Espace vectoriel (fin Vidéo partie 3. Sous-espace vectoriel (début Vidéo partie 4. Sous-espace vectoriel (milieu Vidéo partie
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailUne forme générale de la conjecture abc
Une forme générale de la conjecture abc Nicolas Billerey avec l aide de Manuel Pégourié-Gonnard 6 août 2009 Dans [Lan99a], M Langevin montre que la conjecture abc est équivalente à la conjecture suivante
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les
Plus en détailCorrigé Problème. Partie I. I-A : Le sens direct et le cas n= 2
33 Corrigé Corrigé Problème Théorème de Motzkin-Taussky Partie I I-A : Le sens direct et le cas n= 2 1-a Stabilité des sous-espaces propres Soit λ une valeur propre de v et E λ (v) le sous-espace propre
Plus en détailProgrammation linéaire
1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit
Plus en détailExercices Corrigés Premières notions sur les espaces vectoriels
Exercices Corrigés Premières notions sur les espaces vectoriels Exercice 1 On considére le sous-espace vectoriel F de R formé des solutions du système suivant : x1 x 2 x 3 + 2x = 0 E 1 x 1 + 2x 2 + x 3
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailRésumé du cours d algèbre 1, 2013-2014. Sandra Rozensztajn. UMPA, ENS de Lyon, sandra.rozensztajn@ens-lyon.fr
Résumé du cours d algèbre 1, 2013-2014 Sandra Rozensztajn UMPA, ENS de Lyon, sandra.rozensztajn@ens-lyon.fr CHAPITRE 0 Relations d équivalence et classes d équivalence 1. Relation d équivalence Définition
Plus en détailDéterminants. Marc SAGE 9 août 2008. 2 Inverses et polynômes 3
Déterminants Marc SAGE 9 août 28 Table des matières Quid des formes n-linéaires alternées? 2 2 Inverses et polynômes 3 3 Formule de Miller pour calculer un déterminant (ou comment illustrer une idée géniale)
Plus en détailAngles orientés et trigonométrie
Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.
Plus en détailCalcul Différentiel. I Fonctions différentiables 3
Université de la Méditerranée Faculté des Sciences de Luminy Licence de Mathématiques, Semestre 5, année 2008-2009 Calcul Différentiel Support du cours de Glenn Merlet 1, version du 6 octobre 2008. Remarques
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailNOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :
Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST) Discipline : Mathématiques Seconde année Préambule Programme
Plus en détailJournées Télécom-UPS «Le numérique pour tous» David A. Madore. david.madore@enst.fr. 29 mai 2015
et et Journées Télécom-UPS «Le numérique pour tous» David A. Madore Télécom ParisTech david.madore@enst.fr 29 mai 2015 1/31 et 2/31 : définition Un réseau de R m est un sous-groupe (additif) discret L
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailCHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE. EQUATIONS DIFFERENTIELLES.
CHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE EQUATIONS DIFFERENTIELLES Le but de ce chapitre est la résolution des deux types de systèmes différentiels linéaires
Plus en détailVI. COMPLÉMENTS SUR LES MODULES, THÉORÈME CHINOIS, FACTEURS INVARIANTS SÉANCES DU 15, 16 ET 22 OCTOBRE
VI. COMPLÉMENTS SUR LES MODULES, THÉORÈME CHINOIS, FACTEURS INVARIANTS SÉANCES DU 15, 16 ET 22 OCTOBRE 12. Compléments sur les modules 12.1. Théorème de Zorn et conséquences. Soient A un anneau commutatif
Plus en détailRappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie
Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)
Plus en détailCalcul différentiel. Chapitre 1. 1.1 Différentiabilité
Chapitre 1 Calcul différentiel L idée du calcul différentiel est d approcher au voisinage d un point une fonction f par une fonction plus simple (ou d approcher localement le graphe de f par un espace
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailDéveloppement décimal d un réel
4 Développement décimal d un réel On rappelle que le corps R des nombres réels est archimédien, ce qui permet d y définir la fonction partie entière. En utilisant cette partie entière on verra dans ce
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailDOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.
A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur
Plus en détail[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 juillet 2014 Enoncés 1. Exercice 6 [ 02475 ] [correction] Si n est un entier 2, le rationnel H n =
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 1 juillet 14 Eocés 1 Nombres réels Ratioels et irratioels Exercice 1 [ 9 ] [correctio] Motrer que la somme d u ombre ratioel et d u ombre irratioel est u ombre irratioel.
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailLa géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques
La géométrie du triangle III IV - V Cercles remarquables - Lieux géométriques - Relations métriques III. Cercles 1. Cercle d'euler 2. Droite d'euler 3. Théorème de Feuerbach 4. Milieux des segments joignant
Plus en détailspé MP POLYCOPIÉ D EXERCICES 2015-2016
spé MP POLYCOPIÉ D EXERCICES 5-6 POLYNÔMES Soit n IN (a) Montrer qu il existe un polynôme P n tel que : θ IR : P n (cos θ) sin θ = sin(n + )θ On donnera une expression de P n (b) Calculer le degré, le
Plus en détailOptimisation, traitement d image et éclipse de Soleil
Kléber, PCSI1&3 014-015 I. Introduction 1/8 Optimisation, traitement d image et éclipse de Soleil Partie I Introduction Le 0 mars 015 a eu lieu en France une éclipse partielle de Soleil qu il était particulièrement
Plus en détailLa programmation linéaire : une introduction. Qu est-ce qu un programme linéaire? Terminologie. Écriture mathématique
La programmation linéaire : une introduction Qu est-ce qu un programme linéaire? Qu est-ce qu un programme linéaire? Exemples : allocation de ressources problème de recouvrement Hypothèses de la programmation
Plus en détail1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.
Angles orientés Trigonométrie I. Préliminaires. Le radian Définition B R AB =R C O radian R A Soit C un cercle de centre O. Dire que l angle géométrique AOB a pour mesure radian signifie que la longueur
Plus en détailMATHÉMATIQUES DISCRÈTES (4) CRYPTOGRAPHIE CLASSIQUE
MATHÉMATIQUES DISCRÈTES (4) CRYPTOGRAPHIE CLASSIQUE Michel Rigo http://www.discmath.ulg.ac.be/ Année 2007 2008 CRYPTOGRAPHIE. N. F. Art d écrire en chiffres ou d une façon secrète quelconque. Ensemble
Plus en détailAnalyse fonctionnelle Théorie des représentations du groupe quantique compact libre O(n) Teodor Banica Résumé - On trouve, pour chaque n 2, la classe
Analyse fonctionnelle Théorie des représentations du groupe quantique compact libre O(n) Teodor Banica Résumé - On trouve, pour chaque n 2, la classe des n n groupes quantiques compacts qui ont la théorie
Plus en détailChapitre VI - Méthodes de factorisation
Université Pierre et Marie Curie Cours de cryptographie MM067-2012/13 Alain Kraus Chapitre VI - Méthodes de factorisation Le problème de la factorisation des grands entiers est a priori très difficile.
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailQuelques contrôle de Première S
Quelques contrôle de Première S Gilles Auriol auriolg@free.fr http ://auriolg.free.fr Voici l énoncé de 7 devoirs de Première S, intégralement corrigés. Malgré tout les devoirs et 5 nécessitent l usage
Plus en détailMathématiques appliquées à l'économie et à la Gestion
Mathématiques appliquées à l'économie et à la Gestion Mr Makrem Ben Jeddou Mme Hababou Hella Université Virtuelle de Tunis 2008 Continuité et dérivation1 1- La continuité Théorème : On considère un intervalle
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailBaccalauréat L spécialité, Métropole et Réunion, 19 juin 2009 Corrigé.
Baccalauréat L spécialité, Métropole et Réunion, 19 juin 2009 Corrigé. L usage d une calculatrice est autorisé Durée : 3heures Deux annexes sont à rendre avec la copie. Exercice 1 5 points 1_ Soit f la
Plus en détailLe produit semi-direct
Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailFonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur
Service Commun de Formation Continue Année Universitaire 2006-2007 Fonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur Polycopié de cours Rédigé par Yannick Privat Bureau 321 - Institut Élie
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailReprésentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailOptimisation Discrète
Prof F Eisenbrand EPFL - DISOPT Optimisation Discrète Adrian Bock Semestre de printemps 2011 Série 7 7 avril 2011 Exercice 1 i Considérer le programme linéaire max{c T x : Ax b} avec c R n, A R m n et
Plus en détailQuelques tests de primalité
Quelques tests de primalité J.-M. Couveignes (merci à T. Ezome et R. Lercier) Institut de Mathématiques de Bordeaux & INRIA Bordeaux Sud-Ouest Jean-Marc.Couveignes@u-bordeaux.fr École de printemps C2 Mars
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailMathématiques Algèbre et géométrie
Daniel FREDON Myriam MAUMY-BERTRAND Frédéric BERTRAND Mathématiques Algèbre et géométrie en 30 fiches Daniel FREDON Myriam MAUMY-BERTRAND Frédéric BERTRAND Mathématiques Algèbre et géométrie en 30 fiches
Plus en détailExtrait du poly de Stage de Grésillon 1, août 2010
MINI-COURS SUR LES POLYNÔMES À UNE VARIABLE Extrait du poly de Stage de Grésillon 1, août 2010 Table des matières I Opérations sur les polynômes 3 II Division euclidienne et racines 5 1 Division euclidienne
Plus en détailCoefficients binomiaux
Probabilités L2 Exercices Chapitre 2 Coefficients binomiaux 1 ( ) On appelle chemin une suite de segments de longueur 1, dirigés soit vers le haut, soit vers la droite 1 Dénombrer tous les chemins allant
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailEnoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.
Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère
Plus en détailOptimisation des fonctions de plusieurs variables
Optimisation des fonctions de plusieurs variables Hervé Hocquard Université de Bordeaux, France 8 avril 2013 Extrema locaux et globaux Définition On étudie le comportement d une fonction de plusieurs variables
Plus en détailEtude de fonctions: procédure et exemple
Etude de fonctions: procédure et exemple Yves Delhaye 8 juillet 2007 Résumé Dans ce court travail, nous présentons les différentes étapes d une étude de fonction à travers un exemple. Nous nous limitons
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailO, i, ) ln x. (ln x)2
EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On
Plus en détailTriangle de Pascal dans Z/pZ avec p premier
Triangle de Pascal dans Z/pZ avec p premier Vincent Lefèvre (Lycée P. de Fermat, Toulouse) 1990, 1991 1 Introduction Nous allons étudier des propriétés du triangle de Pascal dans Z/pZ, p étant un nombre
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détailINTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES
INTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES Dominique LAFFLY Maître de Conférences, Université de Pau Laboratoire Société Environnement Territoire UMR 5603 du CNRS et Université de Pau Domaine
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés 2012-2013 1 Petites questions 1) Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? 2) Si F et G sont deux tribus, est-ce que F G est toujours une tribu?
Plus en détailCorrection : E = Soit E = -1,6. F = 12 Soit F = -6 3 + 45. y = 11. et G = -2z + 4y G = 2 6 = 3 G = G = -2 5 + 4 11
Correction : EXERCICE : Calculer en indiquant les étapes: (-6 +9) ( ) ( ) B = -4 (-) (-8) B = - 8 (+ 6) B = - 8 6 B = - 44 EXERCICE : La visite médicale Calcul de la part des élèves rencontrés lundi et
Plus en détailÉquations d amorçage d intégrales premières formelles
Équations d amorçage d intégrales premières formelles D Boularas, A Chouikrat 30 novembre 2005 Résumé Grâce à une analyse matricielle et combinatoire des conditions d intégrabilité, on établit des équations
Plus en détailGéométrie dans l espace Produit scalaire et équations
Chapitre 11. 2ème partie Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES 2ème partie Produit scalaire Produit scalaire
Plus en détailTests d indépendance en analyse multivariée et tests de normalité dans les modèles ARMA
Tests d indépendance en analyse multivariée et tests de normalité dans les modèles ARMA Soutenance de doctorat, sous la direction de Pr. Bilodeau, M. et Pr. Ducharme, G. Université de Montréal et Université
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailPartie 1 - Séquence 3 Original d une fonction
Partie - Séquence 3 Original d une fonction Lycée Victor Hugo - Besançon - STS 2 I. Généralités I. Généralités Définition Si F(p) = L [f(t)u (t)](p), alors on dit que f est l original de F. On note f(t)
Plus en détailAnalyse Combinatoire
Analyse Combinatoire 1) Équipes On dispose d un groupe de cinq personnes. a) Combien d équipes de trois personnes peut-on former? b) Combien d équipes avec un chef, un sous-chef et un adjoint? c) Combien
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailLogique. Plan du chapitre
Logique Ce chapitre est assez abstrait en première lecture, mais est (avec le chapitre suivant «Ensembles») probablement le plus important de l année car il est à la base de tous les raisonnements usuels
Plus en détail