GOUVRHÔNE. Gouvernance transfrontalière du Rhône, du Léman à Lyon. Lyon, le 10 avril 2014 Séminaire intermédiaire du projet de recherche GOUVRHÔNE
|
|
- Fabrice St-Cyr
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Université de Genève, InsJtut des sciences de l environnement Groupe PoliJque, Environnement et Territoire (POLET) ChrisJan Bréthaut & Géraldine Pflieger GOUVRHÔNE Gouvernance transfrontalière du Rhône, du Léman à Lyon Lyon, le 10 avril 2014 Séminaire intermédiaire du projet de recherche GOUVRHÔNE
2 Plan de la présentajon Contexte de la gouvernance transfrontalière du Rhône PrésentaJon du projet de recherche GOUVRHONE ObjecJfs Protocole de recherche Les caractérisjques de la structure de gouvernance du Rhône du Léman à Lyon Analyse des forces, faiblesses, opportunités et menaces du système Quelle gouvernance transfrontalière? Conclusion
3 Contexte : un objet parjculier En Europe, un cas atypique en termes de gouvernance transfrontalière : la majorité des bassins versants transfrontaliers fait l objet d une insjtujon de gesjon transfrontalière de l eau Le Rhin : Commission InternaJonale pour la ProtecJon du Rhin (CIPR) à 7 Etats membres Le Danube : Commission InternaJonale pour la protecjon du Danube (ICPDR) à 19 Etats membres Le Pô : Autorité de bassin du Pô à ImplicaJon de la France, de l Italie et de la Suisse A l échelle de l agglomérajon franco- valdo- genevoise : la majorité des rivières fait l objet d instruments de gesjon transfrontalière : les contrats de rivière à Le Rhône comme objet à part D un point de vue juridique et insjtujonnel : la présence de différents cadres à européen / français / suisse
4 Contexte : un climat de changements Changements clima.ques Quid de l évolujon des débits moyens du Rhône? Quid de l élévajon de la température moyenne? Quid de l intensificajon des extrêmes? Changements économiques Quid de l effet de la libéralisajon du marché de l électricité en Europe? Quid de l évolujon du prix du kwh? Changements poli.ques Quelle évolujon des polijques énergéjques à l échelle européenne? Quelle stratégie face à l ujlisajon d énergies renouvelables? Quels effets pour l exploitajon hydroélectrique? Changements législa.fs Quels effets de l intensificajon des normes de protecjon de l environnement? Comment concilier l évolujon des stratégies de producjon énergéjque renouvelable et la protecjon de l environnement? le tout dans un contexte de fin de cycle et d instabilités pour le Rhône français consécujvement au proche retour de la concession airibuée à la CNR
5 GOUVRHONE en bref Partenaires du projet : OFEV, Conf. Suisse / DREAL + Agence de l eau Rhône Méditerranée Corse, France / Canton de Genève / Canton de Vaud / Services industriels de Genève (SIG) / EDF / CIPEL Durée : Projet débuté en mai 2012 pour 36 mois Chercheurs : Géraldine Pflieger (ISE, MER), Dir. / ChrisJan Bréthaut (ISE, Chercheur Post- Doc) Approche et méthode : Analyse de la gouvernance du Rhône (une approche de science polijque) à Analyse qualita.ve Analyse de l étendue et de la cohérence de la configurajon d acteurs et des cadres réglementaires, entrejens semi- direcjfs à Analyse quan.ta.ve DéfiniJon de scénarios d évolujon des débits moyens du Rhône entre le lac Léman et Lyon (V.Ruiz & M.Stoffel, UNIGE / UNIBern) à confronta)on
6 ObjecJfs du projet Mieux connaître les modalités actuelles de gouvernance du Rhône dans une perspecjve transfrontalière Evaluer les modalités de coordinajon des différents usages (comment les rivalités d usage sont- elles régulées?) Confronter ces modalités de gouvernance au changement des condijons physiques de la ressource (sous- étude climat) au regard des problémajques nouvelles relajves à la transijon énergéjque ou l échéance de contrats de concession Envisager l évolujon de ces modalités de gouvernance, au regard des différentes expériences de gouvernance transfrontalière des ressources en eau (quelles possibilités pour une adaptajon du cadre insjtujonnel?)
7 5 focales d analyse Hydroélectricité'et' coordina4on' amont;aval' Régula4on'des' extrêmes'et' coordina4on' amont;aval' Le'Rhône' Niveau'du'Léman'et' débit'du'rhône' Prélèvements'd eau'' Ges4on' sédimentaire,' renatura4on'
8 Rivalités d usage comme études de cas Focales N de d analyse rivalité Rivalité étudiée F1 1 Description des mécanismes de gouvernance du Rhône F2 2a Débits et niveau du Léman versus Hydroélectricité 2b Débits et niveau du Léman versus Nucléaire F3 3a Nucléaire versus Hydroélectricité 3b Hydroélectricité versus eau potable 4a Nucléaire versus Ecosystèmes 4b Ecosystèmes versus Hydroélectricité F4 4c Loisirs et pêche versus Hydroélectricité 4d Eau potable versus Activités industrielles 4e Activités industrielles versus Irrigation 5a Crues du Rhône versus Débits et niveau du Léman F5 5b Crues du Rhône versus Hydroélectricité 5c Irrigation versus Hydroélectricité
9 Protocole de recherche : mai 2012 mai 2014 Hydroélectricité et coordinajon amont- aval Niveau du Léman et débits du Rhône GesJon sédimentaire et renaturajon Prélèvements d eau RégulaJon des extrêmes et coord. amont- aval
10 Protocole de recherche : avril 2014 mai 2015 Confronta/on,aux,différents, scénarios,clima/ques, Iden/fica/on,, des,forces,et,faiblesses, Comparaison,interna/onale, et,recommanda/ons, IdenJficaJon des principales tendances d évolujon quanjtajve des débits du Rhône Deuxième analyse SWOT : confrontajon Instruments de gouvernance et capacités d adaptajon Input provenant de l analyse polijque Input provenant du droit internajonal de l eau Input sur la base d études de cas internajonales DéfiniJon de scénarios pour un renforcement des capacités d adaptajon
11 Les caractérisjques de la structure de gouvernance du Rhône du Léman à Lyon (1) - Historiquement, le Rhône considéré principalement - comme oujl de producjon (la houille blanche) - comme oujl de construcjon de la NaJon dans l après- guerre (Pritchard 2011) : 2% des fonds du Plan Marshall airibué à la France sont ujlisés pour le Rhône entre 1948 et Un régime de concession côté suisse et côté français avec une gesjon du fleuve opérée avant tout par des hydro- électriciens : une gesjon sectorielle
12 Les caractérisjques de la structure de gouvernance du Rhône du Léman à Lyon (2) Conf. suisse Rép. française OFEN& OFEV& Vaud& ASN& DREAL& SFMCP& Genève& SIG& Valais& CNR& Dispositif de droit public EDF& Dispositif de droit privé
13 Les caractérisjques de la structure de gouvernance du Rhône du Léman à Lyon (3) DisposiJf de droit public DisposiJf de droit privé OFEN OFEV Vaud SFMCP Genève SIG Valais Un acte intercantonal de régulajon signé sous l égide de la ConfédéraJon suisse et fortement structurant pour la régularisajon des niveaux du Léman Un opérateur contraint par cet acte et par les différentes concessions signées avec le canton de Genève ou la ConfédéraJon Un opérateur disposant néanmoins d un autonomie dans les choix de gesjon stratégiques et dans ses modes opératoires quojdiens PosiJon intermédiaire du canton de Genève : Détenteur d une part du capital de dotajon de l entreprise / Représenté au Conseil d administrajon / liens avec l amont et aval
14 Les caractérisjques de la structure de gouvernance du Rhône du Léman à Lyon (4) Rép. Française Conféd. Suisse ASN DREAL SFMCP SIG Un opérateur du Rhône agissant sous le modèle de la concession Un modèle de gesjon découlant en parje de l auto- organisajon d acteurs privés La garanje d un droit d eau sur le Léman Jusqu à récemment peu de velléité de la part des acteurs d être impliqués dans la régulajon des usages amont L Etat central cherche à renforcer sa capacité de pilotage quand aux modes opératoires du Rhône CNR EDF DisposiJf de droit public DisposiJf de droit privé
15 Les caractérisjques de la structure de gouvernance du Rhône du Léman à Lyon (5) Ques.on : la structure actuelle peut- elle résister à un choc externe d importance? Que se passe- t- il si l opérateur change? Que se passe- t- il si le prix de l énergie change? Que se passe- t- il si le régime hydrologique change?
16 Les forces du système (1) La forte capacité de régula.on des cadres ins.tu.onnels français et suisse Une gesjon du fleuve encadrée par de nombreuses polijques publiques pour une acjon cohérente à l échelle najonale Cadres insjtujonnels qui tendent à l intégrajon progressive Une réparjjon des tâches entre acteurs publics pour la mise en œuvre des règles Un Acte de régularisajon des eaux du Léman extrêmement structurant Un instrument permeiant le financement d infrastructures de gesjon de l eau Effets sur l amont (sécurisajon) L airibujon des eaux d Arve consécujve de la convenjon franco- suisse au sujet de l aménagement hydroélectrique d Emosson du 23 août 1963
17 Les forces du système (2) Le main.en d une certaine flexibilité et capacité d adapta.on grâce à l auto- organisa.on des acteurs privés Un système taillé sur- mesure pour et par la prajque des différents opérateurs Une gesjon des rivalités d usage et une anjcipajon des éventuels conflits, y compris lors de crises importantes La possibilité d ajuster / d adapter régulièrement le système (tous les cinq ans pour les mesures d exécujon 2000 par exemple) La capacité des acteurs (publics et privés) à réagir lors de crises Ajuster, voire déroger au système de façon momentanée afin de résoudre une problémajque parjculière Mise en œuvre d arrangements ad hoc permeiant de réagir rapidement Une «culture» de la coopérajon transfrontalières à l échelle locale La par.cipa.on des opérateurs privés à différentes instances de ges.on du Rhône aux échelles na.onale et transfrontalière Plan Rhône / Plan de gesjon des poissons migrateurs du bassin Rhône- Méditerranée Le COGEFE / La Commission consultajve pour la gesjon du Rhône et de l Arve
18 Les faiblesses du système Forte fragmenta.on ins.tu.onnelle Nombre important d acteurs se caractérisant par une diversité des statuts Flou concernant la portée des intervenjons des acteurs et des différentes instances de gesjon du Rhône Opacité renforcée par le nombre élevé de disposijons juridiques et de disposijfs convenjonnels structurant le système Lacunes de coordina.on et absence de vision commune de la ges.on du Rhône Absence d arènes de discussion permepant de discuter des enjeux quan.ta.fs du Rhône Les inijajves ad hoc dans une dynamique de réacjon plutôt que d anjcipajon Une structure de gouvernance basée essen.ellement sur une approche sectorielle La ges.on des extrêmes Mécanismes ad hoc concernant la gesjon des éjages Faible nombre d oujls concernant la gesjon des crues et inondajons Une thémajque peu présente à l agenda des acteurs de la gouvernance du Rhône
19 Les opportunités du système Les situa.ons de crise ont montré la capacité des acteurs à réaliser des ajustements ad hoc à propos de mécanismes extrêmement robustes Emergence d arènes de discussion ponctuelles regroupant des acteurs suisses et français Les groupes de réflexion concernant les chasses sédimentaires (niveaux polijque et opérajonnel) L intégrajon d acteurs suisses et français au sein d inijajves najonales Plan Rhône COPIL Etude de gesjon quanjtajve des débits du Rhône en période de basses eaux La Commission consultajve genevoise concernant la gesjon de l Arve et du Rhône Retour progressif des acteurs publics au centre de la configura.on d acteurs (en France notamment) Emergence et aboujssement de différentes études menées de façon simultanée sur le bassin versant du Rhône Approche de dates clés permepant de réfléchir aux modalités de gouvernance du fleuve Fin d un cycle permeiant à l acteur public de repenser les grandes modalités actuelles de gesjon du fleuve au plan najonal en France (et notamment l auto- organisajon)
20 Les menaces pour le système Un acteur public qui revient au centre de la configura.on d acteurs mais qui reste pour le moment en marge des modalités de ges.on opéra.onnelle du Rhône Une gesjon inter- opérateur caractérisée par des tensions croissantes L auto- organisa.on des acteurs privés dépend d accords de droit privé Ceie collaborajon entre opérateurs peut potenjellement devenir problémajque lors de tensions ou de crispajons pouvant mener à des conflits ouverts PotenJel pour des instabilités accrues du système (surtout dans le cas de tensions potenjellement renforcées avec le changement climajque, notamment la récurrence des éjages sévères) Absence d instruments pour une ges.on transfrontalière du Rhône Absence d instruments insjtujonnels de type OrganisaJon du bassin La CIPEL comme organisme de référence mais dont la mission n est pas la gesjon et la régulajon des débits du Rhône Les ConvenJons transfrontalières existantes (l airibujon des eaux d Arve) s inscrivent avant tout dans un point de vue sectoriel
21 Gouvernance transfrontalière du Rhône du Léman à Lyon? Peu d acteurs (voire aucun acteur) disposent d une vue d ensemble de la gesjon du fleuve Forte intégrajon des disposijfs opérajonnels basés en parje sur des interacjons entre acteurs privés à Les systèmes de collaborajon semblent matures en l état mais se basent sur un point de vue uniquement sectoriel Deux cadres juridiques najonaux visant des objecjfs relajvement similaires du point de vue de l eau mais disposant de peu d oujls de polijques publiques adaptés à la quesjon du Rhône Peu d arènes de discussion permeiant un échange structuré entre les différents acteurs Ces accords dépendent de la stabilité des acteurs ainsi que de la stabilité des condijons hydrologiques
22 En conclusion L analyse complète du système de gouvernance du Rhône souligne trois grands paradoxes : Des cadres ins.tu.onnels et juridiques denses et complexes mais l absence d instruments adaptés au Rhône et à la ques.on transfrontalière Une auto- organisa.on qui permet une plus grande flexibilité mais qui ne fait pas forcément preuve de grandes capacités d adapta.on Une augmenta.on du nombre d arènes de discussion transfrontalières mais une fragmenta.on des ini.a.ves qui ne permet pas forcément une meilleure collabora.on à l échelle globale
23 Pour plus d informajons hip:// PrésentaJons réalisées dans le cadre du projet ArJcles scienjfiques publiés Numéro spécial de la revue «Regional Environmental Change» Bréthaut, C., & Pflieger, G. (2013). The shi ing territorialijes of the Rhone River s transboundary governance: a historical analysis of the evolujon of the funcjons, uses and spajality of river basin governance. Regional Environmental Change. Clarvis, M. H., & Engle, N. L. (2013). AdapJve capacity of water governance arrangements: a comparajve study of barriers and opportunijes in Swiss and US states. Regional Environmental Change. Ingold, K., & Balsiger, J. (2013). Sustainability principles put into pracjce: case studies of network analysis in Swiss climate change adaptajon. Regional Environmental Change. Tonka, L. (2014). Hydropower producjon and environmental protecjon policies in a relicensing era: a comparison between Switzerland and the United- States. Regional Environmental Change. Guerrin, J. (to be published). A floodplain restorajon project on the Rhône river: Analyzing challenges to its implementajon. Regional Environmental Change.
24 hip:// MERCI DE VOTRE ATTENTION hpp://
25 CAS Certificat de formation continue Certificate of Advanced Studies Gestion et politique de l eau s e p t e m b r e n o v e m b r e f o r m a t i o n m o d u l a i r e e n e m p l o i A v e c l e s o u t i e n d e INSTITUT DES SCIENCES DE L ENVIRONNEMENT Pour toute informajon : hip:// chrisjan.brethaut@unige.ch
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailYuxuh Technologie - 17 rue Jeanne d Arc - BP40537 98713 - Papeete Tahiti - Tél: 45 35 35 Fax: 45 35 39 email: contact@yuxuh.com
Yuxuh Launch Day le Mardi 03 septembre 2013 09h00 10h00 : Conférence de Presse Avec Monsieur le député Jean- Paul Tuaiva, Monsieur le Vice- Président, le Président de la CCISM, le directeur de la DGEN,
Plus en détailRéponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de Mme Christina Meissner : Vidange de Verbois : le moratoire n'était-il qu'un leurre?
Secrétariat du Grand Conseil QUE 115-A Date de dépôt : 2 octobre 2013 Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de Mme Christina Meissner : Vidange de Verbois : le moratoire n'était-il qu'un
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailRôle des centrales de pompage-turbinage dans l approvisionnement en électricité
Rôle des centrales de pompage-turbinage dans l approvisionnement en électricité Document connaissances de base, état: octobre 2013 1. Synthèse Contrairement aux simples centrales à accumulation, les centrales
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 11673 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt : 20 mai 2015 Projet de loi de bouclement de la loi n 10515 ouvrant un crédit au titre d indemnité d'investissement
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailPe#t déjeuner Prévention des risques professionnels dans la Mutualité
Pe#t déjeuner Prévention des risques professionnels dans la Mutualité 15 mai 2014 Intervenantes: Emmanuelle Paradis, Chef de projet Préven#on et santé au travail CHORUM - CIDES Carole Hazé, Responsable
Plus en détailLes besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire
Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge
Plus en détailLe contrôle fiscal anno 2013
Le contrôle fiscal anno 2013 Carlos SIX! Administrateur général de la Fiscalité SPF Finances Ges$on des risques Contrôle fiscal CRM & Tolérance zéro ONDEMENT OBJECTIFS STRATEGIQUES Etude externe 2010 constata$ons
Plus en détailCOMMENT ARRIVER A L EFFET/IMPACT dans un état fragile en voie de développement? Étude de cas: bassin de MousGque HaïG
COMMENT ARRIVER A L EFFET/IMPACT dans un état fragile en voie de développement? Étude de cas: bassin de MousGque HaïG Julien Deroy Jeudi 16 octobre 2014 Contexte d HaïG 76% de la popula,on: < 2$US/jr Importa,ons
Plus en détailLe régime clima0que exige un nouvel ordre de Gouvernementalité
Séminaire Les Négocia0ons interna0onales sur le Climat - - - - - - - IMéRA, 23 Janvier 2015 Le régime clima0que exige un nouvel ordre de Gouvernementalité - - - - - - - Amy Dahan, CNRS, Centre Alexandre
Plus en détailCabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION AVEC BW CONSULTANTS CHOISISSEZ DE GARANTIR VOTRE DEVELOPPEMENT
Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION 1 Pourquoi nous choisir? Le chef d entreprise, surtout s il est propriétaire, déteste l aventure. Notre Objec>f est de vous accompagner
Plus en détailCatalogue de FORMATIONS 2015
Catalogue de FORMATIONS 2015 Qui sommes nous? î SmartView est un cabinet de conseil et de forma1on, basé à Montpellier et Paris, qui accompagne ses clients professionnels, grands comptes ou PME innovantes,
Plus en détailVers un Système unique d informa4on na4onale de médicaments au Mexique, dans le cadre du suivi de l OMD 8.13
Vers un Système unique d informa4on na4onale de médicaments au Mexique, dans le cadre du suivi de l OMD 8.13 México Angélica Ivonne Cisneros- Luján Lisbonne, 11 septembre 2012 CONTEXTE et DÉSCRIPTION du
Plus en détailL ombre commun dans le canton de Vaud
Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557
Plus en détailINTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10
Rapport d avancement des travaux de lla Commiissiion Localle de ll Eau du bassiin du Loiiret ANNÉE 2004 INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES...
Plus en détailPrésentation générale de la formation
Présentation générale de la formation et des modules du Certificate of Advanced Studies (CAS) Formation créée et gérée par les Hautes écoles HEP VD, IDHEAP, IFFP, UNI-GE 1. CONTEXTE La profession de directeur
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2014 PARTIE B. ETAT D AVANCEMENT DES MESURES au 31.12.2014
COMITE GENEVOIS POUR L UTILISATION DU FONDS ECO-ELECTRICITE RAPPORT ANNUEL 2014 PARTIE B ETAT D AVANCEMENT DES MESURES au 31.12.2014 Bassin versant Rhône Délai réalisation accordé 31.03.2014 Terminé 2014
Plus en détailLa menace des ruptures de digues
CTC Rhône moyen 3 mai 2010 Fiabilisation des digues sur le Rhône moyen La menace des ruptures de digues Plusieurs brèches apparues dans les digues de Camargue lors des crues de 1993, 1994, 2002 et 2003
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailAVIS A MANIFESTATION D INTERET N 017/MPT/2013/UCP/CAB
AVIS A MANIFESTATION D INTERET N 017/MPT/2013/UCP/CAB RECRUTEMENT D UN CONSULTANT INDIVIDUEL POUR LA REALISATION DE L ETUDE SUR LA PORTABILITE SUR LE MARCHE DES TELECOMMUNICATIONS EN REPUBLIQUE DU CONGO
Plus en détailBusiness Emergency Solutions. kpmg.fr
Business Emergency Solutions kpmg.fr Des situations de plus en plus complexes et délicates dans des environnements souvent dégradés Les entreprises doivent de plus en plus souvent faire face à des situations
Plus en détailCONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP)
Rapp. Comm. int. prot. eaux Léman contre pollut., Campagne 2010, 2011, 181-189. CONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP) Campagne 2010 PAR Audrey
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailLes méthodes Agiles. Introduc)on aux méthodes Agiles Exemple : Scrum
Les méthodes Agiles Introduc)on aux méthodes Agiles Exemple : Scrum Défini)on de base Les méthodes Agiles sont des procédures de concep)on de logiciel qui se veulent plus pragma)ques que les méthodes tradi)onnelles
Plus en détailREPUTATION INSIGHTS Par Laurent Reynes
REPUTATION INSIGHTS Par Laurent Reynes Où en est- on de la réputa1on? Quelles sont les nouvelles pra1ques qui émergent? Les organisa1ons entrent aujourd hui dans une nouvelle étape du management de la
Plus en détailQuelles pistes pour rendre vos réseaux plus intelligents?
Quelles pistes pour rendre vos réseaux plus intelligents? Maeve de France (Direction Technique, chef de projet métier SIG) Simon Le Grand (Direction Technique régionale IDF, service SIG/gestion patrimoniale)
Plus en détailERDF et la Transition Energétique. CESE Nice le 23 avril 2014
ERDF et la Transition Energétique CESE Nice le 23 avril 2014 1. ERDF et la distribution d électricité en France 2. La transition énergétique 3. ERDF dans la transition énergétique 4. En synthèse 1 ERDF
Plus en détailTirez le meilleur profit de votre argent. Solutions de placement
Tirez le meilleur profit de votre argent Solutions de placement 2 TIREZ LE MEILLEUR PROFIT DE VOTRE ARGENT Sommaire 3 Bienvenue chez Valiant 4 Solutions de placement Valiant 9 Gestion de fortune 14 Conseil
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détailz ei hw c ld S tbi Luf
Luftbild Schweiz Présentation générale 2012 2 Entre Suisse et France (Rhône-Alpes) La Région Rhône-Alpes et la Suisse : deux territoires de poids comparables Suisse : Superficie : 41'284 km² Population
Plus en détailProgramme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients
Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées
Plus en détailCentrale hydroélectrique de Châtelard Vallorcine
Centrale hydroélectrique de Châtelard Vallorcine Centrale de Vallorcine Forêt Verte Vallorcine Dossier IA74001071 réalisé en 2011 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du
Plus en détailORGANISATION ET GOUVERNANCE DES ENTREPRISES PUBLIQUES ET DES PARTICIPATIONS. Sous la direction du Professeur Pierre Louis Manfrini
MASTER OF Ouvert aux participant-e-s extérieur-e-s MPAPUBLIC ADMINISTRATION ORGANISATION ET GOUVERNANCE DES ENTREPRISES PUBLIQUES ET DES PARTICIPATIONS CONTEXTE ET THÉMATIQUE Durant les vingt dernières
Plus en détailAPPROCHE AU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL À L INTERNATIONAL
international business experts APPROCHE AU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL À L INTERNATIONAL OUTILS ET CLÉS DE SUCCÈS Par Jalal Benbrahim, MD - Wink Consulting OBJECTIF DU SÉMINAIRE Partager les éléments à prendre
Plus en détailNotre cabinet de conseil spécialisé dans le domaine des systèmes d information géographique est engagé dans une démarche de cession.
Lyon, le 27 avril 2015 Objet : Cession de GAIAGO, motivation, métier et compétences Madame, Monsieur, Notre cabinet de conseil spécialisé dans le domaine des systèmes d information géographique est engagé
Plus en détail«La sécurité d investissement comme préalable à un approvisionnement fiable» Le 5 octobre 2011 Foire du Valais, Journée de l énergie
«La sécurité d investissement comme préalable à un approvisionnement fiable» Le 5 octobre 2011 Foire du Valais, Journée de l énergie Kurt Rohrbach, Président de l Association des entreprises électriques
Plus en détailAmélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron
PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité
Plus en détailPrésentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech
Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association
Plus en détailLA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX
SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour
Plus en détailSOLIRA Solaire investissement local Rhône Alpes. Solaire investissement local Rhône Alpes
Solaire investissement local Pourquoi? Face aux menaces sur la planète : bouleversements climatiques, tensions autour des ressources, fin programmée des énergies fossiles, accroissement des risques nucléaires...
Plus en détailERA-Net Call Smart Cities. CREM, Martigny, 4 décembre 2014 Andreas Eckmanns, Responsable de la recherche, Office Fédéral de l énergie OFEN
ERA-Net Call Smart Cities CREM, Martigny, 4 décembre 2014 Andreas Eckmanns, Responsable de la recherche, Office Fédéral de l énergie OFEN Une Smart City, c est quoi? «Une Smart City offre à ses habitants
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailLes technologies IT au service de la. Application àl ORBE. Présentation: Dr Philippe Heller
Les technologies IT au service de la prévision de débitd Application àl ORBE Présentation: Dr Philippe Heller ARPEA AG 2014 1 EIA FR -- e-dric.ch -- EPFL Trépied EPFL Apprendre et innover e-drich Mettre
Plus en détailLe marketing stratégique
Chapitre2 Le marketing stratégique I. La démarche stratégique La démarche marketing comporte trois phases : analyse, planification et mise en œuvre. II. Le diagnostic stratégique Le diagnostic stratégique
Plus en détailDIVISION TECHNIQUE GÉNÉRALE
DIVISION TECHNIQUE GÉNÉRALE L UNITÉ DE MESURE ET D EXPERTISE D EDF 04/12/2014 Copyright EDF-DTG SOMMAIRE 01 EDF-DTG : l expertise au cœur d un leader 02 DTG : un rayonnement national et international 03
Plus en détailInnovations Majeures de la Version 4
Innovations Majeures de la Version 4 Un nouvel environnement SIG avec de puissants outils graphiques. De nouveaux moteurs hydrologiques et hydrauliques plus sûrs et plus performants. De nouveaux modes
Plus en détailVision, Stratégie Changement Leadership
Cabinet de Conseil et de Développement des Hommes et des Organisations Vision, Stratégie Changement Leadership Accompagnement humain des réorganisations Optimisation managériale et relationnelle Cohésion
Plus en détailPetite centrale hydroélectrique : PCH1
Petite centrale hydroélectrique : PCH1 7 et 8 octobre 2014 7 e Rencontres France Hydro Jérôme MOREL Jacques REVELAT Ordre du jour Schneider Electric et son positionnement dans l hydroélectricité en France
Plus en détailLa transi)on énergé)que est- elle en échec? Discours et réalités Pierre Veya, journaliste Mars 2015
La transi)on énergé)que est- elle en échec? Discours et réalités Pierre Veya, journaliste Mars 2015 vision centrée sur la Suisse La transi)on se limite à l électricité La catastrophe de Fukushima (2011)
Plus en détailEvaluation du Contrat de rivières en Arve et Rhône
Evaluation du Contrat de rivières en Arve et Rhône Synthèse finale Synthèse des phases 1, 2, 3, 4 et 5 de l étude Avril 2012 Sommaire Déroulement de l étude Rappel du cadre de l évaluation Rendu des phases
Plus en détailLe décisionnel plus que jamais au sommet de l agenda des DSI
Le décisionnel plus que jamais au sommet de l agenda des DSI 9 juin 2011 www.idc.com Cyril Meunier IDC France Research & Consulting Manager Copyright 2008 IDC. Reproduction is forbidden unless authorized.
Plus en détailFlood risk assessment in the Hydrographic Ebro Basin. Spain
Flood risk assessment in the Hydrographic Ebro Basin. Spain Évaluation du Risque d Inondation dans la Démarcation Hydrographique de Congrès SHF, Evénements extrêmes fluviaux et maritimes, Paris, 1-2 février
Plus en détailStratégie de la surveillance des assurances en Suisse
Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse 1. Base juridique...2 2. Tâches principales...2 3. Conditions d accomplissement des tâches principales...2 3.1. Culture de la responsabilité...3 3.2.
Plus en détailMARCHÉ DE L ÉLECTRI- CITÉ : CONCURRENCE ET DÉSENCHEVÊTREMENT DU «SWISS GRID»
MARCHÉ DE L ÉLECTRI- CITÉ : CONCURRENCE ET DÉSENCHEVÊTREMENT DU «SWISS GRID» La Suisse est-elle prête pour la concurrence et pour l Europe? Urs Meister, Avenir Suisse Document de discussion Ce document
Plus en détailAssemblée Générale 2015: une année charnière pour Sustainable Finance Geneva
PV - ASSEMBLEE GENERALE MAI 2015 Assemblée Générale 2015: une année charnière pour Sustainable Finance Geneva Repositionnement stratégique Le PV de l'ag 2014 ayant été approuvé, le Bureau Exécutif a présenté
Plus en détailLES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION
LES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION NSTN Paul LIVOLSI 2 AVRIL 2014, CERN - GENÈVE DE QUOI PARLE T-ON? Sécurité Nucléaire Sûreté INB RADIOPROTECTION Prévention et lutte contre les actes de malveillance
Plus en détailMAREMED DANS SON CONTEXTE POLITIQUE.
MAREMED DANS SON CONTEXTE POLITIQUE. Les projets de coopération font partie intégrante de la politique de cohésion européenne; exigence d analyse des enjeux de la future période; MAREMED s inscrit dans
Plus en détail«Le pilotage en période de taux bas»!!! Patrick ARTUS! Directeur de la Recherche et des Etudes de Natixis!
Table Ronde 1! «Le pilotage en période de taux bas»!!! Patrick ARTUS! Directeur de la Recherche et des Etudes de Natixis! Marie LEMARIÉ! Directeur Financement et Investissement de Groupama SA!! Mikaël
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détailLes hommes cadres et l égalité professionnelle
Les hommes cadres et l égalité professionnelle Sondage Ifop pour Mercredi C Papa présenta)on publique Vendredi 12 décembre 2014 Contexte et objec+fs de l étude En Juin 2014, l associa+on mercredi- c- papa
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailTUTOJRES 2014 Retour d'expérience Datacentre du CC IN2P3,
Centre de Calcul de l Institut National de Physique Nucléaire et de Physique des Particules Retour d'expérience Datacentre du CC IN2P3, 18 Septembre 2014 Sommaire } Présentation : Activités du DC CCIN2P3
Plus en détailEvolution de la dynamique. l Estuaire de la Vilaine
Evolution de la dynamique géomorphologique et sédimentaire i de l Estuaire de la Vilaine Christophe DANQUERQUE, Institution d Aménagement de la Vilaine Camille TRAINI, Université de Bretagne Sud Composition
Plus en détailQuo Vadis Gérant Indépendant? 21 septembre 2011 Jean-Luc Epars, Partner, Legal Yvan Mermod, Partner, Audit FS
Quo Vadis Gérant Indépendant? 21 septembre 2011 Jean-Luc Epars, Partner, Legal Yvan Mermod, Partner, Audit FS Agenda 1. Les gérants indépendants sous pression 2. Surveillance actuelle 3. Directive AIFM
Plus en détailL ENERGIE HYDRAULIQUE FICHE TECHNIQUE.
L ENERGIE HYDRAULIQUE FICHE TECHNIQUE. I. PRINCIPE L énergie hydroélectrique nécessite un cours d eau ou une retenue d eau. La centrale exploite l énergie potentielle créée par le dénivelé de la chute
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détailTravailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale
ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr
Plus en détailEdition 2013 QUE SIGNIFIE SEPA DIRECT DEBIT (SDD) POUR LES CONSOMMATEURS?
Edition 2013 QUE SIGNIFIE SEPA DIRECT DEBIT (SDD) POUR LES CONSOMMATEURS? 1. SEPA pour les consommateurs - en bref Qu est-ce que SEPA? SEPA = Single Euro Payments Area Le Single Euro Payments Area (SEPA)
Plus en détailde manager du commerce de détail
Diplôme fédéral de manager du commerce de détail Le diplôme dans le commerce de détail le plus hautement reconnu en Suisse. La formation du commerce de détail pour le commerce de détail: Préparation à
Plus en détailModélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé
1 TGR Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé Simon Munier Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l'environnement (AgroParisTech)
Plus en détailPractice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives. Equinox-Cognizant, tous droits réservés. 2014.
Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives 2014 Contexte du BCBS 239 2 Une nouvelle exigence Les Principes aux fins de l agrégation des données sur les et de la notification des
Plus en détailNom du client. Date. Client Logo or project name
Nom du client Date Client Logo or project name Presenta7on 7tle client name Date Linalis speaker Speaker 7tle Le Groupe Linalis Historique Crée en 2002 Présent en Suisse, France, au Royaume Uni et en Espagne
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailUtilisation de l ingénierie des modèles pour la conception collaborative de produits mécaniques
Utilisation de l ingénierie des modèles pour la conception collaborative de produits mécaniques Mathias Kleiner Laboratoire des Sciences de l Information et des Systèmes (LSIS) - UMR CNRS 7296 Projet Ingenierie
Plus en détailFlex Multipath Routing
Flex Multipath Routing Regroupement des liens privés et publics pour les réseaux étendus (WAN) d entreprise Flex Multipath Routing (FMR) Regroupement des liens privés et publics pour les réseaux étendus
Plus en détailExclusif : Opportunités en temps de crise, quels défis pour les entreprises?
Exclusif : Opportunités en temps de crise, quels défis pour les entreprises? En marge du salon «Outsourcing & IT Solutions 2009», le cabinet Ernst & Young a présenté les résultats de l étude intitulée
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailING Turbos. Faible impact de la volatilité. Evolution simple du prix
ING Turbos Produit présentant un risque de perte en capital et à effet de levier. Les Turbos sont émis par ING Bank N.V. et sont soumis au risque de défaut de l émetteur. ING Turbos ING a lancé les Turbos
Plus en détailSWISS dégage un résultat opérationnel de 347 millions de francs
Communiqué de presse Aéroport de Zurich, le 12 mars 2015 Résultat financier de l exercice 2014 SWISS dégage un résultat opérationnel de 347 millions de francs SWISS a légèrement augmenté son produit d
Plus en détailIntroduc)on à l Agile
Introduc)on à l Agile 1 D où je viens Études M2 info : Paris Diderot (2009) MS Management de Projets Technologiques : ESSEC / Telecom Paris (2010) Aujourd hui Consultant à OCTO Technology (Conseil en SI)
Plus en détailProKilowatt Le Programme pour la réduction de la consommation d électricité et perspectives pour les entreprises électriques
ProKilowatt Le Programme pour la réduction de la consommation d électricité et perspectives pour les entreprises électriques Office fédéral de l énergie, Ivan König Cuepe day 2014 Genève, 19. September
Plus en détailÉnergie et Mondialisation
Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau
Plus en détailCOMMENT OPTIMISER SA GESTION DE DEVISES?
Dossier spécial Après une reprise observée en 2012 et 2013 (de l ordre de 2 et 2,5 %), l Organisation Mondiale du Commerce prévoit une croissance du commerce international de l ordre de 4 à 4,5 % en 2014.
Plus en détailEconomie Industrielle des accords sectoriels
Economie Industrielle des accords sectoriels Projet de recherche du CERNA, MINES ParisTech Financé par MEEDDM Programme Gestion des Impacts du Changement Climatique (APR 2008) 1 Que sont les accords sectoriels?
Plus en détailf o r m a t i o n m o d u l a i r e e n c o u r s d e m p l o i
CAS Certificat de formation continue Certificate of Advanced Studies Management de l énergie janvier septembre 2013 f o r m a t i o n m o d u l a i r e e n c o u r s d e m p l o i Avec le soutien de Office
Plus en détailI N S T I T U T QUELLES CONTRIBUTIONS AU SMART METERING? AFTERWORK ENERGY 21.05.2015
I N S T I T U T QUELLES CONTRIBUTIONS AU SMART METERING? AFTERWORK ENERGY 21.05.2015 FIL CONDUCTEUR Le eenergy Center en quelques mots Le Smart Meter : contexte et définition L apport de l eenergy Center
Plus en détailCertif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration
Certif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration Formation destinée aux cadres des secteurs public et parapublic - L ESSENTIEL EN BREF
Plus en détailAIG, un des leaders mondiaux de l assurance, compte plus de 63 000 collaborateurs et 88 millions de clients dans le monde. Vous trouverez dans cette
Bienvenue chez AIG 2 AIG, un des leaders mondiaux de l assurance, compte plus de 63 000 collaborateurs et 88 millions de clients dans le monde. Vous trouverez dans cette brochure une présentation de notre
Plus en détailComité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques
F SCT/31/8 REV.4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 23 MARS 2015 Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques Trente et unième session Genève, 17 21
Plus en détailQu est-ce qu un service rendu?
Evaluation économique des services rendus par les écosystèmes Place des inondations Économie et politiques publiques Paris Yann Laurans info@ecowhat.fr Previrisq 2 Comment s évaluent économiquement les
Plus en détailEAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012
EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour
Plus en détailChaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial
Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris
Plus en détailSmart Metering et réseaux intelligents
Smart Metering et réseaux intelligents Source : http://www.cleanthinking.de Réseaux intelligents & Smart Metering Les réseaux intelligents (ou «smart metering») sont des réseaux capables d ajuster la distribution
Plus en détailJOURNÉE THÉMATIQUE SUR LES RISQUES
Survol de Risk IT UN NOUVEAU RÉFÉRENTIEL DE GESTION DES RISQUES TI GP - Québec 2010 JOURNÉE THÉMATIQUE SUR LES RISQUES 3 mars 2010 - Version 4.0 Mario Lapointe ing. MBA CISA CGEIT mario.lapointe@metastrategie.com
Plus en détail