Inhibiteurs de PARP. Anthony Gonçalves. MD, PhD
|
|
- Eric Marin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Inhibiteurs de PARP Anthony Gonçalves MD, PhD Département d Oncologie Médicale Pharmacologie Moléculaire Institut Paoli-Calmettes Centre de recherche en cancérologie de Marseille, INSERM U891 Aix-Marseille Université Pharmacologie clinique et développement thérapeutique Master M2 Oncologie : Pharmacologie et
2 Introduction PARP et «DNA repair» = cibles thérapeutiques prometteuses Inhibition de PARP = Exemple emblématique de «synthetic lethality» Développement actuel nuancé Très dynamique dans les cancers ovariens En difficulté dans les cancers du sein et Développement
3 Concept de «Synthetic lethality» Une mutation du gène A ou du gène B n est pas léthale mais la mutation des 2 gènes conduit à la mort cellulaire. Gène A Gène B Pas d effet Pas d effet Pas d effet Mort cellulaire Drosophila Pseudoobscura (Dobzhansky Genetics 1946) Levures (Kaelin Nature Rev 2005) et Développement
4 «DNA repair» Lésions ADN très fréquentes - Tous les jours, plusieurs millions d événements lésionnels - Endogènes (erreur d «editing») et exogènes (UV, Rx, châleur, composés chimiques, ) - Réparation nécessaire sinon - Mort cellulaire - Instabilité génomique et cancérogénèse et Développement
5 «DNA repair» Pourquier et Robert, 2011, Bulletin du Cancer Lésions endogènes : Formation de sites abasiques Modifications oxydatives des bases Désamination de bases Méthylation de bases Mesappariements (mismatch) = erreur non corrigée de la DNA polymerase Lesions exogènes Dimères de base pyrimidiques ou puriques (UV) Adduits d hydrocarbures aromatiques ou alkylants Coupures doubles brins (Rx, Topo-i) et Développement
6 DNA Repair Détection arrêt du cycle et : Réparation ou Mort ou Tolérance (TLS, Translesion synthesis) Réparation Réparation par reversion directe (lésions O6-methylguanine et système MGMT, nitrosourées) Mismatch repair (MMR; MSH6-MSH2-MLH1: phénotype MSI des Cancers colorectaux héréditaires HNPCC) Nucleotide excision repair (NER; UV, alkylants et platines, fait intervenir les protéines XP-ERCC) Base excision repair (BER) Homologous recombination repair (HRR) Non-homologous end-joining (NHEJ) et Développement
7 DNA Repair Base excision Repair Lésion Simple Brin (LSB) Pourquier et Robert, 2011, Bulletin du Cancer - Base azotée altérée par un processus oxydatif endogène -ADN glycosylase élimine la base altérée - Reconnaissance du site abasique par APE1 (endonucléase) et création LSB - XRCC1, PARP1 recrutent polynucléotide kinase PNK -ADN polymerase β et ADN ligase III et Développement
8 DNA repair Homologous Recombination Repair Lésions double brin (LDB) Détection par les protéines ATM, ATR Arrêt du cycle cellulaire (CHK1, CHK2) H2AX = remodelage de la chromatine Complexe MRN à activité exonucléase + RPA intervention des protéines Rad51, BRCA1/2, XRCC2/3 pour resynthèse par DNA pol DNA ligase Pourquier et Robert, 2011, Bulletin du Cancer Hautement fidèle et Développement
9 DNA repair NHEJ Pourquier et Robert, 2011, Bulletin du Cancer Lésions double brin (LDB) Détection par les protéines ATM, ATR puis Ku70/80 (XRCC6/5) Intervention DNAPKcs et Exonucléase Artemis prépare les extrémités XRCC4 XLF ligase raccordent des extrémités de la cassure Peu fidèle et Développement
10 PARP? Poly(ADP-ribose) polymerase Famille d au moins 17 protéines La plus abondante PARP1 (85% de l activité PARP) Rôles multiples Le principal (PARP1-PARP2-PARP3) : réparation des Lésions simples brins (LSB) via le système Base Excision Repair (BER) Autres DNA repair (HRR et NHEJ) Autres : régulation transcriptionnelle, contrôle du cycle, métabolisme énergétique et Développement
11 PARP? En cas de LSB, PARP1 Se fixent sur LSB Catalysent la formation de Poly(ADP-ribose) (PAR) au niveau de protéines nucléaires acceptrices (Histones, topoisomérases, PARP) PAR = polymères chargés (-), dissocient histones et favorisent accès des protéines de la réparation BER (XRCC1, PNK, ADN polymérase, ADN ligase) et Développement
12 Synthetic lethality et inhibition de PARP et Développement
13 Nature, 2005 Concept de synérgie léthale ou léthalité synthétique et Développement
14 Sensibilité des cellules BRCA2 déficientes aux iparps et Développement
15 Sensibilité des cellules BRCA1 et 2 déficientes aux iparps et Développement Pas d impact sur les hétérozygotes
16 Foyers γh2ax Induits par iparp Foyers RAD51 = réparation par recombinaison homologue Absents si BRCA mut et Développement
17 LSB Réparation BER PARP Gonçalves, Bull Cancer In press, 2011 LSB iparp et BRCA-1/2 +/+ LDB Réparation HRR iparp BRCA wt PARP LSB iparp et BRCA-1/2 -/- LDB HRR déficiente = mort cellulaire et Développement iparp PARP BRCA mut
18 «BRCAness?» Un sous-groupe de tumeurs sporadiques avec des anomalies de le réparation par HRR - Mutations somatiques BRCA (cancer ovarien) - Méthylation promoteur BRCA - Amplification EMSY (code pour une BRCA-interacting protein et inhibe la transcription BRCA2) - Altérations d autres acteurs non-brca impliqués dans le DNA repair - Perte PTEN et dysfonction réparation LDB - RAD51, RAD54, ATM, ATR, FA - MRN (MRE11) et Développement
19 Les inhibiteurs de PARP 1980 inhibiteurs de Parp = chimiosensibilisant 1 ère génération: Nicotinamide et analogues (3AB) 2 ème génération : screening de catalogues chimiques Agent Inhibition Compagnie Route AZD2281 PARP 1 et PARP 2 Astra Zeneca Kudos IV / PO AG PARP 1 Pfizer IV BSI -201 PARP 1 Sanofi-Aventis BiPar IV ABT 888 PARP 1 et PARP 2 Abbott PO et Développement
20 IPARPs en clinique 3 approches 1- potentialisation CT/RT INHIBITION DE LA REPARATION DES LESIONS EN CONTEXTE NON SPECIFIQUE (toujours en cours de développement ) 2- Approche synergie léthale pure CONTEXTE FAVORABLE BRCA MUT OU EQUIVALENT (BRCAness) 3- approche mixte CT DNA DAMAGING + INHIBITION DE LA REPARATION+ CONTEXTE FAVORABLE et Développement
21 Approche synergie léthale Population «enrichie» en cas BRCA 1 ou 2 mut. N=60 Olaparib traitement oral (Kudos-AZ) Patients OV, sein, prostate, sarcome, colon 22 patientes BRCA1/BRCA2 mutés (plus 1 cas anamnèse familiale chargée) Objectifs primaires : tolérance, MTD, PK, PD Objectif secondaire : activité antitumorale et Développement
22 Approche synergie léthale Tolérance Toxicités limitantes (DLT) réversibles observées à 600 et 400 mg x 2/jour Fatigue G3 Somnolence G3 Thrombopénie G4 Dose recommandée pour la phase 2 : 400 mg x2/jour (MTD) 100 mg x2/jour (OBD) et Développement
23 Approche synergie léthale Activité antitumorale Uniquement dans le groupe «BRCA mutés» Bénéfice clinique : 63% (12/19) 23 cas BRCA mut ou AF ++: bénéf. clinique 12/19, 2 décès précoces, 2 Kc non BRCA associés. et Développement
24 Approche synergie léthale Preuves Pharmacodynamiques de la modulation de PARP et Développement
25 Approche synergie léthale Olaparib, Per os, Phase II, CSM pré-traités, mutés BRCA1/2 (n=54) Deux cohortes (A= 400 mg x 2/j; B= 100 mg x 2 /j) Mediane de 3 lignes pré-trt Toxicité modeste TR = 41% (cohorte A) et 22% (cohorte B) ICEBERG1 et Développement
26 Approche synergie léthale Olaparib, Per os, Phase II, ovaires pré-traités, mutés BRCA1/2 (n=56) Deux cohortes (A= 400 mg x 2/j; B= 100 mg x 2 /j) Toxicité modeste TR = 37% (cohorte A) et 13% (cohorte B) Réponses observées chez les patientes avec maladie sensible ou résistante au platine ICEBERG2 et Développement
27 Approche synergie léthale? Gelmon, abs,3002, ASCO 201O Olaparib, Per os, Phase II, tumeur séreuse ovarienne haut grade et CSM TPN Avec ou sans mutation et Développement
28 Approche synergie léthale? Gelmon, abs,3002, ASCO 201O Olaparib, Per os, Phase II, tumeur séreuse ovarienne haut grade et CSM TPN Avec ou sans mutation = réponses dans les cancers ovariens avec ou sans mutations = 0 réponse dans les CSM TPN mutées ou non!!! et Développement
29 Approche synergie léthale? et Développement
30 Approche synergie léthale? et Développement
31 Approche mixte Dent, abs 1018, ASCO 201O Olaparib + Paclitaxel Phase II, CSM TPN N=19 <2 lignes de CT PTX 90 mg/m²/sem 3 sem/4 et olaparib 200 mg 2 fois par jour Faisabilité hématologique TR = 37% SSP > 5 mois et Développement
32 Astra Zeneca Annonce qu il va focaliser le développement de l olaparib dans les cancers ovariens et Développement
33 PARP inhibitors and Triple Negative Metastatic Breast Cancer patients? TPN = ER/PR/HER2- Frequently Basal-like (70-75% of TPN, and viceversa) Supposed to be enriched in BRCA-mutated (BRCA-1, especially, are in 90% TPN) Supposed to have BRCAness phenotype (genomic instability, high level of genomic abnormalities) Poor outcome +++ et Développement
34 «PARP story» - épisode 2 CSM TPN et iparp Hypothèses : 1- TPN est le «surrogate» d un phénotype BRCAness 2- Addition d une CT «DNA-damaging» à un iparp devrait être synergique 3- BSI-201-iniparib activité iparp in vitro combinaison avec CT «DNA-damaging» faisable sans toxicité additionnelle et Développement
35 Approche mixte O Shaughnessy ASCO 2009 et N Engl J Med 2011 Cancer métastatique TPN (=120) Gemcitabine (1000 mg/m 2, i.v., J1, J8) Carboplatine (ASC 2, i.v., J1, J8) Cycle de 21 jours BSI-201 (5,6 mg/kg, i.v., J1, J4, J8, J11) Gemcitabine (1000 mg/m 2, i.v., J1, J8) Carboplatine (ASC 2, i.v., J1, J8) 1 ère ligne (65%) 2-3 ème ligne (35%) et Développement
36 Approche mixte Caractéristiques pré-thérapeutiques et Développement
37 Approche mixte O Shaughnessy ASCO 2009 et N Engl J Med 2011 et Développement
38 Approche mixte O Shaughnessy ASCO 2009 et N Engl J Med 2011 et Développement
39 Approche mixte O Shaughnessy ASCO 2009 et N Engl J Med 2011 et Développement
40 Phase III O Shaughnessy ASCO 2009 Design similaire à la Phase II et Développement
41 Phase III O Shaughnessy ASCO 2009 PFS, HR=0.65, p value < 0.01, puissance 90% OS, HR=0.66, p value < 0.04, puissance 90% et Développement
42 Phase III O Shaughnessy ASCO 2009 Déséquilibre DFI court dans le bras iniparib et Développement
43 Phase III O Shaughnessy ASCO 2009 Différence modeste en PFS et Pas de différence en SG et Développement
44 Phase III O Shaughnessy ASCO 2009 Pas de différence en TR et Développement
45 Phase III O Shaughnessy ASCO 2009 Analyse exploratoire, malades en première ligne Pas de différences! et Développement
46 Phase III O Shaughnessy ASCO 2009 Analyse exploratoire, malades en 2/3 lignes Tendances en PFS et OS? et Développement
47 Causes de l échec? 1- TPN hétérogènes Iniparib est-il un iparp? et Développement
48 Marqueurs prédictifs - Efficacité des PARPi et/ou de la dysfonction DNA-repair Même avec mutations BRCA, le taux de réponse est < 50% Autres paramètres? Signatures transcriptomique ou CGH arrays associées aux cancers du sein BRCA1-mut Signature transcriptomique BRCAness distinguant cancers ovariens BRCA1/2 versus cas sporadique, permet de distinguer tumeurs sensibles ou résistantes au platine? Tests fonctionnels (foyers RAD51 et H2AX)? Expression PARP1? et Développement
49 326 BC analyzed by DNA MA (260 with CGH) PARP1mRNA : is heterogeneously expressed is overexpressed in 58% of BC PARP1 overexpression correlated with 1q41 amplification et Développement
50 PARP mrna expression is higher in Basal-like BC, but is also found in other subtypes et Développement
51 High PARP mrna is associated with lower MFS and OS et Développement
52 IHC high PARP is associated with high pcr et Développement
53 IHC high PARP is associated with poor prognosis, in patients with non-pcr et Développement
54 Mécanismes de résistances Yap et al Mutations secondaires BRCA1/2, restaurent la fonction BRCA Pompes à efflux (PgP)? Surexpression d autres protéines du DNA repair, de la proliferation ou de la survie? Mutations PARP? et Développement
55 Surexpression de PARP dans les CSC de cancer du sein MDA-MB 436 Cellules ALD+ MDA-MB 436 Cellules ALD- Gilabert et al, 2011 SABCS meeting MALDI-TOF MS = PARP!!! et Développement
56 Conclusion Now this is not the end. It is not even the beginning of the end. But it is, perhaps, the end of the beginning. Sir Winston Churchill, Novembre 1942, discours à l issue de la Bataille d Angleterre. et Développement
Biomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailTHESE. présentée DEVANT L UNIVERSITE DE RENNES I. Pour obtenir. Le grade de : DOCTEUR DE L UNIVERSITE DE RENNES I. Mention : Biologie PAR
Avertissement Au vu de la législation sur les droits d'auteur, ce travail de thèse demeure la propriété de son auteur, et toute reproduction de cette oeuvre doit faire l'objet d'une autorisation de l'auteur.
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailDévelopper l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France. Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer
Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer Plan cancer 2009-2013 Organisation des tests de génétique en France 2 programmes
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailLes grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous?
Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Dynamique des réseaux de signalisation et réponse aux thérapies ciblées Pascal GAUDUCHON Unité "Biologie et Thérapies Innovantes
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailObjectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay
2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détail28 octobre. Session institutionnelle (10h00-10h30) Epidémiologie et Santé Publique (10h30-12h40)
28 octobre Session institutionnelle (10h00-10h30) L Institut National du Cancer (en attente de réponse) Le Cancéropôle du Grand-Est - Pierre OUDET, Directeur Scientifique Epidémiologie et Santé Publique
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailM Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale
M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale Plan Deux situations: Adjuvante Métastatique Pas de scoop Des nouveautés. Des espoirs, lumières. En situation adjuvante Abstract 7513 Adjuvant erlotinib (E)
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailXVème Journées de Sénologie Interactive
XVème Journées de Sénologie Interactive Jeudi 20 et vendredi 21 septembre 2012 PARIS Symposium GSK Cancer du sein métastatique HER2+ Nouveaux challenges Hormonothérapie mécanisme de résistance Gérard MILANO
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détail28 octobre. Session institutionnelle (10h00-10h30)
28 octobre Session institutionnelle (10h00-10h30) L Institut National du Cancer Jean-Baptiste HERBET, Directeur du Département Recherche en Sciences Humaines et Sociales Le Cancéropôle du Grand-Est - Pierre
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailNouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1
Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine
Plus en détailREGARD SUR LA BIOCHIMIE
REGARD SUR LA BICHIMIE Eric Westhof à l académie des sciences Elu le quinze mars, l installation d Eric Westhof sous la coupole s est déroulée lors de la séance solennelle du vingt et un juin dernier.
Plus en détailHiver 2013. Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes
Hiver 2013 Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailLe titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var
Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailNACO et Angioplas>e. Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière
NACO et Angioplas>e Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière Disclosures Research Grants from «Fédéra>on Française de Cardiologie» Consul>ng fees from Astra Zeneca,
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détaildans les médicamentsm
Les impuretés s génotoxiquesg dans les médicamentsm D. Marzin Institut Pasteur de Lille Université lille2 Société Française de Toxicologie 25-26 0ctobre 2007 Le guideline L affaire Viracept (mésylate de
Plus en détailLes lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail
Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Yvan Campbell, B.Éd. M.Sc. SRDC Kinésiologue Campbell, Y. (2015). Les lésions musculo-squelettiques
Plus en détailI. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie
LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailChapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype
Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailDeux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban
Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailMise en place d une solution automatique de stockage et de visualisation de données de capture des interactions chromatiniennes à l échelle génomique
Rapport de stage de deuxième année de DUT Génie Biologique option Bioinformatique Mise en place d une solution automatique de stockage et de visualisation de données de capture des interactions chromatiniennes
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailclinique d un médicament
DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailThérapies ciblées en Onco-Hématologie
Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe
Plus en détail