Le bulletin d information du CCECQA

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1 Le bulletin d information du CCECQA N 31-07/2013 En bref... En bref... En bref... En bref... En bref... > Le 30 juin, le CCECQA a déposé son premier programme DPC : Analyse et gestion d un événement indésirable associé aux soins > Lancement de la deuxième vague du projet PROGRESS : septembre 2013 > Lancement de la deuxième vague du projet CADENSE : journée de lancement de projet et de formation aux outils le 10 octobre 2013 > Formation ETP Auto-évaluation : le 17 octobre 2013 > Formation auprès des coordonateurs des risques associés aux soins : les 21 et 22 novembre 2013, au CCECQA > 85 participants à l atelier médico-social «Les systèmes de signalement des événements indésirables (SSEI)» du 26 juin > Les Drs Philippe Michel et Florence Saillour-Glénisson ont quitté le CCECQA pour rejoindre respectivement les HCL et le CHU de Bordeaux. Toute l équipe du CCECQA leur souhaite beaucoup de réussite pour leur nouveau projet professionnel Au sommaire L édito Le dossier spécial : La préparation de la sortie du patient âgé, un thème de travail qui a réuni 24 équipes pluridisciplinaires pour améliorer leurs pratiques Les projets en cours Zoom sur... Les registres cardio-neuro-vasculaires en Aquitaine Les dernières publications Agenda

2 L édito La continuité des soins est un enjeu majeur du parcours de soins de la personne soignée. Elle constitue un des éléments de la coordination des soins. Elle représente un défi au quotidien dans les établissements de santé ainsi que pour les professionnels de santé exerçant au domicile. La continuité de l information concernant le malade est difficile, voire chaotique parfois. En effet, les professionnels de santé exerçant en établissement de santé ou à domicile ne connaissent pas les contraintes des uns et des autres. Il en résulte une recherche d informations perpétuelle dans toutes les dimensions de la personne : pathologies, antécédents, motifs d hospitalisation, traitements médicamenteux, degré d autonomie, habitudes de vie, entourage du patient, professionnels de santé du patient. Les différents dispositifs, notamment la Certification, ont élaboré des outils de communication de l information concernant le malade. Ces outils sont accompagnés d une organisation ad hoc, permettant la coordination de la prise en charge de la personne soignée. Au domicile, les professionnels de santé utilisent des moyens de communication tels que le téléphone, les courriers, les mails (pas toujours sécurisés), les fax. Le projet PACSA piloté par le CCECQA est centré sur la continuité des soins du sujet âgé. Les établissements de santé ont intégré ce projet estimant que les marges de progression pouvaient être mises en place. Ce projet a permis de réaliser un état des lieux des pratiques des établissements participants, et la mise en place d un plan d actions. L accompagnement du CCECQA dans les établissements a mis en évidence les dysfonctionnements notamment lors du retour à domicile, processus complexe faisant intervenir des professionnels de santé, mais aussi les entourages des personnes âgées, et les services à la personne. Cette étape nécessite une préparation, une coordination des différents intervenants, afin d optimiser une reprise d autonomie de la personne âgée. Le projet PACSA a amélioré nos processus de continuité des soins pour une meilleure prise en charge de la personne âgée. Dr Anne Coustets Médecin-Directeur Santé Service Bayonne et Région Malgré tous les efforts consentis et les organisations mises en place, la fluidité de l information n est pas toujours opérationnelle tout au long du parcours de soins de la personne soignée. 2

3 Le dossier spécial La préparation de la sortie du patient âgé, un thème de travail qui a réuni 24 équipes pluridisciplinaires pour améliorer leurs pratiques Rédacteurs : S Domecq, S Vialle - Relecteurs : N Seguin, M Piscarel, J Rongère En 2012, six établissements d hospitalisation à domicile (HAD) et 18 services de soins de suite et de réadaptation (SSR) d établissements publics et privés ont mené une auto-évaluation des pratiques professionnelles sur la préparation de la sortie de la personne âgée afin d améliorer la continuité des soins. La participation à ce projet leur a permis de mettre en évidence des problèmes organisationnels et d améliorer les relations entre professionnels. Au final, plus de 30 plans d actions ont été mis en œuvre. A la suite de sa 12 ème journée scientifique «La continuité des soins : soigner sans rupture» en décembre 2010, le CCECQA a lancé une réflexion régionale autour de la continuité des soins 1 dans le parcours de soins des personnes âgées. L année 2011 a été consacrée à définir l objectif principal du projet PACSA (Programme d Amélioration de la Continuité des soins du Sujet Agé) et à élaborer les outils à l occasion de diverses réunions avec le groupe de travail. Au total, 24 équipes, issues de six établissements d hospitalisation à domicile (HAD) et dix huit services de soins de suite et de réadaptation (SSR) d établissements publics et privés, se sont portées volontaires et ont bénéficié d un accompagnement du CCECQA. Ce projet s est articulé autour de trois phases : évaluation (élaboration d un plan d actions), action (mise en œuvre du plan d actions), suivi (état d avancement du plan d actions), en s attachant à explorer les points de vue d une grande partie des acteurs intervenant dans la préparation de la sortie (patients, aidants, soignants et encadrement de proximité). Le projet a pris fin en mai Un projet opérationnel fondé sur le retour d expériences Les 24 équipes ont bénéficié, lors de la phase d évaluation [Encadré Méthode d évaluation réalisée par chaque équipe pluridisciplinaire], du regard extérieur d un cadre de santé ayant une expérience en service de SSR gériatrique. Une réunion sur site avec l ensemble de l équipe pluridisciplinaire a été planifiée. Au cours de celle-ci le cadre de santé a partagé son expérience en illustrant d exemples pratico-pratiques sur les quatre temps du processus analysé : l accueil du patient, l élaboration de son projet individualisé, l organisation de sa sortie et la transmission d informations avec les personnes relais. Dans le but de valoriser les pratiques des équipes et d identifier des solutions pour mettre en place leurs actions d amélioration, deux journées de partage d expériences ont également été organisées. Le témoignage d une représentante des usagers sur des situations de sortie de patients hospitalisés a aussi été relayé auprès des équipes [Encadrés Témoignage d un usager sur la préparation de la sortie]. Une volonté d impliquer l usager dans la démarche évaluative La participation active de cette représentante des usagers tout au long du projet (de son élaboration à sa mise en œuvre) a permis de donner une place aux usagers dans la méthode d évaluation. Parallèlement, une enquête téléphonique d Expérience Patient a été proposée aux équipes. L intérêt majeur de cette dernière a été de recueillir directement auprès des usagers des éléments factuels en lien avec la préparation de leur sortie d hospitalisation après un séjour en SSR ou en HAD. La charge de travail pour la mise en place et le recueil de cette enquête est apparue importante pour les équipes (temps d information et recueil du consentement auprès des usagers, puis 10 min en moyenne par entretien téléphonique). Toutefois, interroger des patients âgés de plus de 75 ans s est avéré faisable : 229 patients ont directement été interrogés à distance de leur hospitalisation ainsi que 148 aidants (quand le patient présentait des difficultés de compréhension) et 95 professionnels quand le patient était hébergé en EHPAD. Cette expérience s est avérée intéressante pour les professionnels ayant interrogé directement les patients : médecins, cadres de santé, assistantes sociales, personnels de l accueil, infirmiers et aides-soignants. Une forte mobilisation des professionnels de santé Un grand nombre de professionnels en contact direct avec les patients a été sollicité et mobilisé pour mener PACSA. Cette forte participation de l ensemble des professionnels intervenant dans le processus de préparation de la sortie, notamment des médecins, a été favorisée par la simplicité des outils. La démarche de résolution de problème appliquée lors de la réunion sur site, «Le projet PACSA a généré une dynamique motivée par ailleurs par la certification. Il s agit d un projet efficace avec des outils simples et faciles à mettre en place.» Mme Durruty, responsable qualité, CSSR La Nive s est appuyée sur un auto-questionnement guidé par deux membres du CCECQA. Elle a permis de réaliser des constats d équipe et une mise en commun d informations propres au service : découverte et prise de conscience des pratiques de chaque professionnel d un même service, connaissance des ressources en interne, partage d outils, identification des besoins de réorganisation. Elle a favorisé la communication entre les professionnels et le changement de pratiques. A l issue de celle-ci un plan d actions a été rédigé. Si des freins à la réalisation de ces réunions ont été relevés (disponibilité d un maximum de professionnels d un même service sur une durée de 3 heures, défaut d information sur l objet de la réunion sur site et du projet), des leviers dans la mise en œuvre, le déroulement et l organisation du projet ont été identifiés notamment l implication des professionnels de l encadrement de proximité et de la cellule qualité. Au niveau régional, l accompagnement du CCECQA a permis de planifier le projet en proposant un calendrier de déroulement jalonné de temps de rencontres entre les équipes sur une période de 14 mois. «Le suivi fait par le CCECQA est un élément important dans le bon déroulement et le respect du planning du projet.» Mme Ferrer, référent système qualité, CSSR Maison Saint Vincent Villa Concha «Après la venue du CCECQA, un effet immédiat sur les pratiques a pu être ressenti : tout ce qui a été dit en réunion a été mis en application, avant même que le plan d actions ait été finalisé. Il était important pour les professionnels d entendre la parole d un cadre. Deux formations proposées à l équipe ont ensuite été mieux acceptées par les professionnels.» Dr Tasson, médecin coordonnateur, Centre Hospitaliser Sud-Gironde-HAD Langon «PACSA a permis d améliorer les pratiques, il a facilité la communication entre les professionnels.» Mme Petit, cadre de santé, Centre Hospitalier d Oloron Sainte Marie 3

4 Une dynamique projet impulsée par l accompagnement du CCECQA La phase d évaluation s est déroulée sur une période de trois mois. A l issue de chaque réunion sur site un compte-rendu a été envoyé dans un délai de cinq à dix jours. Pour l enquête «Une réflexion sur la préparation de la sortie avait déjà été initié avant PACSA. La méthodologie proposée nous a permis de structurer notre réflexion.» Cadre de santé, Centre Hospitalier Expérience Patient, une aide à la saisie et à l analyse des données a été proposée via la plateforme internet e-forap permettant d obtenir de façon instantanée les résultats mis en forme 2. Lors de la phase de suivi, un état d avancement de la mise en œuvre des plans d actions a été réalisé par entretien téléphonique auprès des 24 équipes. A la fin du projet, trois équipes ont réitéré la méthode de résolution de problème de façon autonome et trois services ont renouvelé l enquête Expérience Patient. Douze autres l ont programmée. Un suivi des actions à un an, notamment par la réédition de l enquête Expérience Patient est apparu pour la majorité des équipes prématuré pour apprécier les effets des actions mises en place sur les pratiques et sur le ressenti du patient. La certification, la restructuration de l établissement, le changement de direction, l absence de cadre de santé ont été évoqués comme des freins à l avancement d un plan d actions. Certaines équipes ont tenu à valoriser leur travail au niveau des instances aussi bien en interne (présentation en CME, journal interne, réunion de direction) qu en externe (inscription du projet dans les CPOM, présentation lors des visites de certification). Des effets immédiats ont été exprimés comme par exemple une meilleure connaissance des patients par les différents professionnels, notamment par les équipes de nuit et les intérimaires, et le sentiment de mieux prendre en compte les souhaits du patient. Pour les professionnels d un service, la réunion sur site a permis de «redonner du sens au travail en équipe», les professionnels se sont alors appropriés les outils et ont mieux accepté la réorganisation proposée collectivement. Des attentes différentes selon le point de vue des patients et des professionnels Ainsi, les réunions sur site ont permis de mettre en évidence, pour l essentiel, des problématiques organisationnelles en lien avec les quatre temps du processus de préparation de la sortie [Encadré Exemples axes d amélioration]. Quelques unes des équipes ont fait le choix de centrer leur plan d actions sur une problématique de prise en charge (sur le médicament) ou sur les acteurs (information auprès des familles). Les résultats de l enquête Expérience Patient ont permis de mettre en évidence des dysfonctionnements sur des aspects très pratiques du quotidien du patient après son hospitalisation : pour les patients et les aidants, défaut d information sur la façon de s alimenter, sur les risques médicamenteux, sur les aides financières et sociales ; pour les structures d accueil, défaut de transmission des documents de continuité des soins et problématique de la visite de la structure. Au terme du projet, 33 plans d actions ont été mis en œuvre contribuant à améliorer la connaissance du patient et la circulation de l information dans un souci de cohérence des soins prodigués, répondant ainsi à la définition de la continuité des soins. [Encadré Le projet PACSA en quelques chiffres] Une priorité partagée : améliorer la continuité des soins «PACSA a permis la formalisation d actions simples et une mise en œuvre rapide.» Mme Morel, cadre de santé, Centre Hospitalier de Mont de Marsan «La préparation de la sortie est un sujet fédérateur, travailler sur cette thématique a permis de redonner du sens au travail en équipe pour les professionnels du service, tous présents désormais aux staffs.» Cadre de santé, Centre Hospitalier Pour certaines équipes, la participation à PACSA a permis d améliorer la coordination des soins au sein d une équipe mais également entre services d un même établissement. Au sein d une clinique, un contact systématique entre médecins du service de SSR et les services «adresseurs» s est instauré, l informatisation facilitant le recueil d informations nécessaires à la poursuite de la prise en charge. D autres équipes ont déployé les outils élaborés dans des services de médecine de court ou long séjour. Bien que l auto-évaluation ait été réalisée au niveau d une équipe, des initiatives locales ont débouché sur des collaborations avec les partenaires extérieurs : conventions inter-établissements pour une clinique, rencontres avec les acteurs soignants, médicaux et sociaux d un secteur géographique pour un établissement d HAD (un «conseil de secteur» réunissant professionnels libéraux, professionnels de centre hospitalier, de SSIAD et d HAD autour de situations concrètes afin d identifier les missions et les compétences de chacun). La présence des équipes d HAD tout au long du projet a permis également un apport d informations pour les équipes de SSR sur la coordination des soins et les critères d admission. [Encadré Le positionnement des HAD dans PACSA] Au-delà de ces évolutions «naturelles» d échanges inter-structures, les équipes souhaitent poursuivre la réflexion en s intéressant cette fois-ci aux interfaces entre les structures (ville-hôpital, sanitaire-médico-social) et entre les acteurs (médical-paramédical, associations d aides et de soins, usagers-famille), afin de garantir une continuité des soins sans rupture dans le parcours de soins de la personne âgée de plus de 75 ans. Face au vieillissement de la population et des dépenses croissantes liées au grand âge, la mise en place des parcours de santé est au centre du projet régional de santé : comment éviter une hospitalisation inadaptée aux personnes âgées? Comment organiser une réponse globale pour un parcours adapté coordonné et non réduite aux épisodes aigus? Par ailleurs, des méthodes d évaluation centrées sur le patient suscitent de plus en plus d intérêt (le patient traceur 4, le patient «mystère» 5, le shadowing 6 ). Elles visent à évaluer, au travers de l expérience de soins d un patient, les modalités de sa prise en charge en impliquant les professionnels de terrain. La continuité des soins est donc un thème d actualité et constitue un enjeu dans notre système de santé cloisonné. Ainsi, le travail réalisé par les 24 équipes en s inscrit dans le volet 1 de PACSA. Le volet 2 de PACSA, programmé pour l année 2014 dans sa phase opérationnelle, s attachera à explorer le lien entre les acteurs et les structures, de tout secteur, en favorisant les échanges entre les partenaires intervenant tout au long de la trajectoire du patient âgé. Le projet PACSA a été élaboré en partenariat avec le service de soins de suite et de réadaptation de l hôpital Xavier Arnozan du Pr Rainfray, l OMEDIT Aquitaine et le groupe de travail régional. Nous tenons à remercier les équipes participantes à PACSA des établissements suivants : HL Belvès, Clinique de soins de suite L Aquitania, Maison de santé Marie Galène, Santé Service Bayonne et Région, CH Mont de Marsan, CH Agen, HAD 47, Clinique Pierre de Brantome, Service santé Dax, Clinique Esquirol-Saint Hilaire, CSSR La Nive, Saint Vincent La Concha, Centre de Pneumologie les Terrasses, Maison Saint Louis Buglose, Institut Hélio Marin centre de gérontologie, La Rose des Sables, HAD Haut Béarn et Soule, CH Robert Boulin, CH Jean Leclaire, CH Bazas, HAD Marsan Adour, CSSR Les Glamots, CH Oloron Sainte-Marie, CH Sud-Gironde - HAD de Langon. 1 La continuité des soins, «c est la façon dont les soins sont vécus par un patient comme cohérents et reliés dans le temps ; cet aspect des soins est le résultat d un bon transfert de l information, de bonnes relations interpersonnelles et d une coordination de soins» Reid R, Haggerty J, McKendry R. Dissiper la confusion : Concepts et Mesures de la Continuité des Soins. Fondation canadienne de la recherche sur les services de santé, ville Deux versions du questionnaire sont proposées sur eforap : l une pour les établissements SSR et l autre pour les structures HAD 3 Projet Régional de Santé Aquitaine HAS. La méthode du patient traceur. Lettre Certification & Actualités n 5, avril/juin DiGioia AM, Shapiro E, Embree P, Schraeder L. Patient and Family Shadowing: The Technique for Viewing and Co-Designing Exceptional Care Experiences with Patients and Families. Patient and Family Centered Care ( 4

5 Projet PACSA en quelques chiffres 20 enquêtes Expériences P a t i e n t 472 patients interrogés 33 plans d actions 170 actions rédigées 37 indicateurs de suivi 27 réunions sur site 176 professionnels rencontrés 18 services SSR & 6 H A D 7 publics 11 privés 6 H A D 5 plans sur l accueil recueil de données informations à délivrer 9 sur l organisation du moment de la sortie information - dossier de sortie délai d attente 10 sur le projet individualisé staff - outils de traçabilité circulation de l information - patients isolés 3 sur le lien avec l extérieur en amont - maintien à domicile convention - fiches de liaison sociale et psychologique 3 centrés sur le patient et son entourage médicament - information démarches sociales Des outils déployés macrocible entretien formation - logiciels carte de visite checklist de sortie génosociogramme Le positionnement des HAD dans PACSA La participation des équipes au projet PACSA était fondée sur le volontariat après appel à participation auprès des directeurs et présidents de CME des établissements adhérents du CCECQA. Six équipes de structures d hospitalisation à domicile (HAD) se sont porté volontaires. Lors de la présentation des modalités de réalisation du projet, les six équipes ont évoqué que leur principale problématique en termes de continuité des soins était l admission du patient et la transmission de l information nécessaire et suffisante à la poursuite de sa prise en charge. Malgré ce constat unanime, les six équipes ont souhaité participer au projet régional et ont appliqué la méthodologie proposée. Des points d amélioration sur la préparation de la sortie ont émergé : l organisation d un relais avec les SSIAD pour un maintien à domicile, la constitution du dossier de sortie, la circulation de l information entre les différents acteurs lors d un passage d HAD en SSIAD, l information du patient et de ses proches... Concernant l enquête Expérience Patient, un bilan a été établi par les professionnels : le questionnaire proposé est apparu non adapté, la notion de sortie était difficilement compréhensible pour les patients restant à leur domicile. Les professionnels d HAD ayant confirmé l intérêt de la démarche, le questionnaire a fait l objet d une adaptation pour ce type de prise en charge. Enfin, au travers des rencontres inter-établissements, des échanges entre les professionnels ont montré la méconnaissance du secteur de l hospitalisation à domicile par certains professionnels exerçant en SSR. Les professionnels des HAD ont également évoqué l intérêt de se réunir entre eux pour s enrichir des expériences des autres. C est la première fois que six équipes d HAD participaient à un projet régional du CCECQA. Témoignage d un usager sur la préparation de la sortie : Retour à domicile après une prise en charge dans une unité hospitalière «Octobre 2011, au réveil, mon mari, maladie de Parkinson diagnostiquée depuis 2000, manifeste des signes préoccupants : impossibilité de me parler, de remuer son bras et sa jambe gauches, bouche légèrement déformée. L infirmière qui assure les soins à domicile depuis début 2011, arrive et appelle immédiatement le service des urgences. Le médecin coordonnateur demande un transfert immédiat au service des urgences du Centre Hospitalier : mon mari est pris en charge une vingtaine de minutes après l appel, par une ambulance. Je le rejoins au service des Urgences : il a déjà été vu par le neurologue quand j arrive, les signes préoccupants ont disparu. Le neurologue décide un transfert en service de neurologie où il est pris en charge en début d après-midi, il y séjournera une dizaine de jours : investigations diverses et surtout observation et équilibrage du traitement anti-parkinsonien. D autorité, devant ma fatigue et mon stress, le médecin, après discussion avec mon mari, prescrit une prise en charge en SSR neurologique de 3 semaines. Au bout d une dizaine de jours, réunion avec l équipe (neurologue, assistante sociale, psychologue, kiné, orthophoniste) afin de préfigurer l après SSR. Mon souhait, puisque je devais partir en cure début novembre, était d assurer une prise en charge en EHPAD. L assistante sociale me propose son concours pour trouver une structure d accueil, mais sur Bordeaux ou l agglomération : mon mari préfèrerait une maison proche de chez nous. Je vais visiter plusieurs EHPAD dans notre environnement proche : accueils très contrastés, pas toujours très humains, absence de places d accueil temporaire. Après cette recherche infructueuse et angoissante, j ai fini par trouver un accueil attentif, rassurant et professionnel par l équipe de l EHPAD public. Je réserve l accueil temporaire pour mon mari, jusqu à la fin du mois de novembre.» Pour en savoir plus... - L Duco, S Domecq, P Michel. Questionnaires de mesure de la continuité des soins : une revue systématique de la littérature. Rapport. Bordeaux, CCECQA janvier S Domecq, N Seguin, M Piscarel, J Rongère, P Michel. Programme d Amélioration de la Continuité des soins des Sujets Agés (PACSA) : rapport final. Bordeaux, CCECQA juillet

6 Témoignage d un usager sur la préparation de la sortie : Retour à domicile d une personne âgée «Novembre 2008, ma mère, 81 ans, vit seule dans sa maison, très proche de mon domicile. Elle est quasi autonome et bénéficie à ce moment-là d une aide ménagère deux fois par semaine. Elle bénéficie de l APA (GIR 4). Un matin, je dois appeler les services d urgence pour étouffement, douleurs etc. Elle est prise en charge dans le service médecine de l hôpital local pour un œdème pulmonaire aigu. Au bout de 3 jours, comme elle va mieux, la surveillante du service commence à me poser la question de l après-hospitalisation, en me précisant qu il lui faudra une présence de nuit, et une surveillance infirmière quotidienne : je demande une admission en SSR, il m est répondu que le motif de son hospitalisation ne relève pas du SSR et que de toute façon il n y a pas de place ; je demande à voir l assistante sociale de l hôpital pour essayer de trouver une solution : elle me donne le fascicule des EHPAD du territoire, à moi de téléphoner et de faire la recherche pour éventuellement un accueil temporaire : recherche infructueuse. Je rencontre alors le médecin traitant, qui me fait comprendre qu il faut se résoudre à un retour à domicile avec les prescriptions de sortie de l hôpital : lit médicalisé, soins infirmiers à domicile, kiné à domicile. A l époque, sur le territoire : pas de SSIAD, pas de réseau polyvalent ; les professionnels de santé n exercent qu en activité libérale. Alors je me charge d organiser son retour en contactant Conseil Général, des cabinets infirmiers, le service d aide à domicile et en organisant une surveillance de nuit. Et au bout d une semaine, je peux dire à la surveillante du service hospitalier que tout le dispositif d accueil est mis en place pour un retour à la maison : Maman réintègre son domicile dans les 48 heures...» Méthode d évaluation réalisée par chaque équipe pluridisciplinaire Réunion sur site Démarche de résolution de problème en réunion d équipe, avec un accompagnement du CCECQA in situ sur une demi-journée. Principe : résoudre un problème, défini comme étant la différence entre la situation existante et la situation attendue dans le cadre de la préparation de la sortie des patients âgés, en transformant les dysfonctionnements en source de progrès. Les étapes suivies : 1. Identifier les problèmes et les points forts par expression libre de chaque professionnel (via une fiche de recueil) 2. Prioriser un problème à partir d une synthèse des points forts et d amélioration 3. Identifier les causes possibles du problème priorisé à l aide d un diagramme d Ishikawa 4. Rédiger un plan d actions opérationnel grâce à une description précise des écarts entre la situation réelle et la situation souhaitable 5. Echanges de pratiques autour des points forts et des plans d actions lors des journées de partage d expérience Enquête Expérience Patient Auprès de tous les patients de plus de 75 ans sortants par entretien téléphonique. Principe : recueillir le ressenti du patient 7 à 15 jours après sa sortie d hospitalisation sur des éléments factuels à partir d un questionnaire fermé court. Les étapes suivies : 1. Repérer les patients à inclure de manière prospective 2. Recueil du consentement du patient durant le séjour 3. Informer le médecin traitant de la démarche 4. Choisir l interlocuteur à interroger en fonction de l état cognitif du patient et du lieu de vie (patient, aidant ou professionnel d EHPAD) 5. Réaliser les entretiens téléphoniques par un professionnel du service pour une meilleure acceptation des patients 6. Saisir et analyser les données via la plateforme eforap 7. Rédiger un plan d actions Exemples d axes d amélioration identifiés par les équipes (extrait) ACCUEIL Formalisation du recueil de données à l entrée pour tous les patients pour la mise en place du projet de soins individualisé de réadaptation Outils déployés : outil de recueil, formation, fiche d'évaluation du projet de soins ; Indicateurs : durée moyenne de séjour, traçabilité de la date d entretien Anticipation des démarches sociales et de contact avec les familles pour le recueil des données Outils déployés : outil de recueil informatisé, carton d'information Indicateur : nombre d entretiens avec la famille PROJET INDIVIDUALISE Réévaluation de l évolution du patient en vue de sa sortie Outils déployés : fiche de synthèse, trame de recueil d'information pour les transmissions Indicateurs : IPAQSS, nombre de synthèses intermédiaires retrouvées Structuration du staff pour permettre un projet de soin individualisé tracé Coordination du plan d aide du patient isolé Outils déployés : guide sur les aides inspiré du «guide des seniors», modèle de convention avec établissement PATIENT AIDANT Anticipation de la rencontre avec la famille et l entourage du patient en vue de la mise en place des démarches Organisation de la continuité et du suivi de la prise en charge du traitement par AVK Indicateur : nombre d EIG liés aux AVK Circulation des informations entre l équipe soignante, l équipe médicale et le patient et sa famille lors du passage d HAD en SSIAD Indicateur : enquête Expérience Patient Recueil d informations sur les patients en pré admission après avis médical Recueil d'informations médico sociales des patients entrants venant de MCO au sein du même établissement Organisation d un relai afin d assurer un maintien à domicile de qualité et sécurisé pour la personne âgée Indicateur : nombre de prises en charge en SSIAD LIEN AVEC PERSONNERELAIS RELAIS Prise en charge des patients sortants en même temps qu une entrée pour le même lit Outils déployés : logiciel de gestion des transports Information du patient au moment de sa sortie sur l ensemble de ses prescriptions Outils déployés : check list de sortie, supports d'information patient Indicateurs : nombre de check lists complétées, signature du patient Constitution d un dossier de sortie rassemblant les différents éléments, nécessaires à la continuité des soins Outils déployés : processus de sortie, ordonnance type Indicateur : durée moyenne du séjour, audit sur dossier patient MOMENT DE LA SORTIE 6

7 Les projets en cours > Indicateurs et Bases de données : de la conception à la valorisation CLARTE CLARTE - Consortium Loire-atlantique Aquitaine Rhône-alpes pour la production d indicateurs en sante Le Ministère du travail, de l emploi et de la santé et la Haute Autorité de Santé (HAS) ont décidé de 2011 mettre en oeuvre et de généraliser un recueil d indicateurs dans les établissements de santé afin de constituer un système d information sur la qualité et la sécurité des soins délivrés au sein du secteur hospitalier français. Le consortium CLARTE est en charge du développement d indicateurs de management des ressources humaines et d indicateurs de sécurité des patients hospitalisés. Ces indicateurs, expérimentés auprès d établissements de santé volontaires répartis sur le territoire, sont attendus pour le milieu de l année Des outils d accompagnement à l utilisation des indicateurs et des actions d amélioration des pratiques seront proposés aux établissements. Au total 129 établissements MCO ou HAD participent à ce projet. Le CCECQA est en charge de deux thématiques : la Satisfaction des professionnels des établissements de santé et la Culture de sécurité des professionnels de santé. Le Pôle IMER des HCL est en charge de développer des indicateurs de sécurité des soins 2 ème génération (PSI.2), le PIMESP du CHU de Nantes de deux indicateurs de ressources humaines : l absentéisme et le turn-over. Les analyses des données sont terminées, et le consortium a remis le 30 juin, au Ministère et à la HAS, le rapport final présentant les principaux résultats, les discussions autour de la validité des indicateurs expérimentés dans le cadre du projet, ainsi que les préconisations pour une éventuelle généralisation de ces outils. Les établissements recevront d ici la fin de l été les différents rapports descriptifs et de comparaison pour chacun des thématiques auxquelles ils ont pu participer. Pour en savoir plus : Plan pour la santé cardio-vasculaire 2010 Les maladies cardio-neuro-vasculaires (CNV) représentent la 1 ère cause de décès, le 1er motif d admission en affection longue durée et le 3ème motif d hospitalisation, en Aquitaine et en France. Le pronostic des patients présentant un infarctus du myocarde (IDM) ou un accident vasculaire cérébral (AVC) est fortement lié à la qualité et la rapidité de la prise en charge. Dans le cadre d un plan aquitain de lutte contre les maladies cardioneuro-vasculaires et des actions prioritaires du SROS-PRS ( ) de la région Aquitaine, l ARS Aquitaine pilote le déploiement de trois registres de pratique. Les registres CNV constituent des outils innovants d amélioration des pratiques et des organisations sur tout le parcours de prise en charge des patients ayant présenté un AVC ou un IDM. Les registres CNV peuvent, par ailleurs, faire l objet, et ce de façon constitutive, d une utilisation à des fins scientifiques, épidémiologiques et de recherche, au service de la santé publique. La mise en œuvre simultanée de ces trois registres sur l ensemble de la région a été confiée dès le début, au CCECQA. Le champ d intervention du CCECQA dans la mise en œuvre des registres couvre l ensemble des opérations techniques nécessaires à la réalisation des recueils ; de la mise en place et la construction des outils de recueil, à l extraction, au contrôle qualité, au traitement statistique et à la restitution des données. Registre Aquitain de Cardiologie Interventionnelle (ACIRA) Le registre ACIRA constitue un outil d évaluation pérenne des pratiques professionnelles dans les 11 centres de cardiologie interventionnelle d Aquitaine. Observatoire Aquitain des Accidents vasculaires cérébraux (ObA2) L observatoire ObA2 constitue un outil d évaluation pérenne des pratiques de prise en charge des AVC dans 21 établissements de santé de court séjour en Aquitaine. Registre Aquitain de prise en charge initiale des Syndromes coronariens aigus ST+ (REANIM) Le registre REANIM constitue un outil d évaluation pérenne des pratiques de prise en charge des ischémies myocardiques aigues dans les SMUR et services d urgences des établissements de santé d Aquitaine. Le recueil des données a commencé au 1er janvier 2012 et les premiers résultats bruts issus des données des registres ont été restitués dans plus de la moitié des établissements. Les données régionales brutes du 1er semestre 2012 ont également été présentées au cours de la 1ère journée scientifique des registres cardio-neuro-vasculaires en Aquitaine, organisée le 5 avril Des projets d amélioration des pratiques sont en cours de mise en place avec notamment le développement d un programme de DPC en cardiologie interventionnelle (1 er thème sur la pertinence des actes). > Gestion des Risques ESPRIT - Etude nationale en Soins PRImaires sur les événements indésirables En France, la connaissance épidémiologique des risques associés aux soins est suffisante pour établir des priorités d actions dans le secteur hospitalier, mais beaucoup plus parcellaire dans le secteur de soins en dehors de l hôpital, et notamment en médecine générale. La Direction Générale de l Offre de Soins (DGOS), au sein du ministère chargé de la santé a souhaité qu une étude épidémiologique portant sur les risques associés aux soins en médecine générale soit réalisée. L étude ESPRIT vise donc à produire une première estimation française de la fréquence des événements indésirables associés aux soins (EIAS) en médecine générale. Cette étude est coordonnée par le CCECQA et menée en lien avec des médecins généralistes enseignants et chercheurs sur ce sujet et avec la HAS. Le Collège de Médecine Générale a manifesté son intérêt à cette étude. Elle fait suite aux études ENEIS et à l étude EVISA qui portait spécifiquement sur les risques associés aux soins en médecine générale. Elle se déroule en trois phases : 1 - une revue de la littérature afin d élaborer une définition des EIAS, une typologie et des outils de recueil, 2 - un pré-test de la définition auprès des médecins généralistes (MG) et 3 - une enquête épidémiologique de terrain. Les deux premières phases sont terminées, la troisième phase est en cours. Il s agit d une enquête transversale une semaine donnée avec recueil d EIAS auprès de 120 MG adhérents ou ex-adhérents au réseau des GROG (Groupes Régionaux d Observation de la Grippe). Le recueil des données réalisé par Open Rome est terminé. L analyse des données ainsi que des EIAS déclarés par les MG va démarrer pendant l été et se terminera en octobre. Le résultat principal de cette étude sera le calcul de la fréquence d EIAS identifiés rapportés au nombre d actes déclarés. Les retombées sont d avoir une définition des EIAS consensuelle et adaptée à la médecine générale et de connaître les principaux types d EIAS survenant dans les cabinets de médecine générale. 7

8 PROGRESS - Programme Gestion des risques en établissement de santé Ce projet a pour objectif d étudier les facteurs associés à l état d avancement des actions de gestion des risques associés aux soins dans les services d établissements de santé. Les liens entre management et développement des démarches qualité et gestion des risques font actuellement l objet d une attention particulière. Les facteurs individuels et de groupes de professionnels sont quant à eux rarement étudiés, alors que l observation quotidienne laisse penser que leur rôle pourrait être important. Ce projet de recherche qualitative va permettre de mieux connaître les perceptions et les représentations des acteurs hospitaliers, les liens entre les freins et les leviers perçus et l avancement des actions de gestion des risques. Les actions de gestion des risques retenues pour ce projet sont celles mises en oeuvre pour la maîtrise du risque infectieux sur cathéter veineux périphérique. Un premier appel à participation auprès des établissements de santé a été lancé en janvier 2013, un second en juin La collecte des données est en cours de finalisation dans deux établissements et va se poursuivre dans trois autres établissements en septembre Elaboration du projet personnalisé établissements et services (dont 15 EHPAD) médico-sociaux (EMS) font partie du périmètre de ce projet régional. Après avoir réalisé l état des lieux de leur processus d élaboration du projet personnalisé et mis en exergue leurs points forts et points d amélioration, les EMS ont été amenés à rédiger et mettre en œuvre un plan d action. Une troisième phase pour mesurer la plus-value des actions d amélioration effectuées sera réalisée dans chaque établissement au second semestre La journée de clôture de projet aura lieu en fin d année EMERAUDES (Engagement des ManagERs pour l Amelioration de la culture DE Securité en établissement de Santé) Ce projet, porté par le Centre hospitalier d Agen et financé par le Ministère de la santé (PREPS), s inscrit dans la continuité des travaux de recherche (projets TYP-MESS et DECLICS) menés par le CCECQA et ses partenaires (ICSI, IRBA, C CLIN Sud-Ouest, laboratoire de psychologie de l université Bordeaux 2) sur la culture de sécurité dans les établissements de santé et visant à réduire les événements indésirables associés aux soins dont la fréquence et l évitabilité restent importantes. L originalité de ce nouveau projet tient au fait qu il s intéresse au rôle des managers (directeurs, chefs de pôle et de service, cadres supérieurs et cadres de santé, coordinateur de la gestion des risques associés aux soins, etc.) dans le développement d une culture (comportements, croyances et représentations) de sécurité en milieu hospitalier. De plus, il doit permettre de faire le lien entre l engagement de ces acteurs et la perception des soignants sur la sécurité (climat de sécurité). Combinant une approche qualitative fondée sur la réalisation d entretiens et d observations sociologiques dans dix établissements de santé et une approche quantitative par l administration d un questionnaire évaluant le climat de sécurité des soignants, le projet EMERAUDES cherche à comprendre comment se construit une culture de sécurité en milieu hospitalier afin d améliorer la prise en charge des patients. SESAME - Sécurisation de la phase d administration du circuit du médicament 2012 En partenariat avec l OMEDIT, le CCECQA a lancé au mois de mai 2012 un second projet régional sur la sécurisation de la phase d administration du circuit du médicament : le projet SESAME. L objectif général de ce projet est de sécuriser la phase d administration du circuit afin de s assurer que les médicaments sont délivrés aux bons patients, à la bonne dose, par la bonne voie, au bon moment. Les 23 EMS participant, accompagnés par le CCECQA et l OMEDIT, ont réalisé à ce jour un état des lieux exhaustif de la phase d administration de leur circuit basé sur une approche a priori et a posteriori. Les comptes-rendus sont actuellement en cours de finalisation. Une journée de restitution régionale de la phase 1 et de préparation à la phase 2 aura lieu au mois d octobre CADENSE - Cartographie globale et dynamique des risques 2012 Le lancement du projet le 12 février 2013 a permis aux 20 établissements participant d être formés à la méthode et aux outils CADENSE. Ce projet régional consiste à effectuer un diagnostic objectif, complet et structuré de l ensemble des risques existants dans les processus et activités des établissements médico-sociaux. Après avoir identifié, représenté graphiquement et hiérarchisé l ensemble de ses risques internes et externes, chaque EMS, en pluridisciplinarité, détermine 4-5 risques prioritaires et rédige un plan d actions d amélioration. En autonomie ou avec l appui du CCECQA, 75 % des EMS ont réalisé à ce jour leurs cartographies globales et dynamiques et commencent à mettre en œuvre leurs actions d amélioration. Une journée de clôture de projet aura lieu au mois de janvier Appel à participation CADENSE 2 Suite à la demande de plusieurs EMS, le CCECQA a décidé de lancer une deuxième vague du projet CADENSE. L appel à participation sera envoyé aux établissements au mois de juillet 2013 et la journée de lancement de projet et de formation aux outils aura lieu le 10 octobre IMPULSIONS - Impact d un outil d aide à la structuration des plans d actions pour la sécurité des soins Il est important de développer une démarche d analyse 2010 approfondie des causes des événements indésirables (EI) afin de proposer des actions d amélioration visant à éviter la répétition de ces événements. Identifier les causes profondes d un EI et structurer un plan d action sont des missions difficiles pour les gestionnaires de risques. Afin d aider les gestionnaires de risques dans ces missions, le projet IMPULSIONS avait deux objectifs : un premier, pédagogique, en proposant aux gestionnaires de risques d analyser les causes systémiques de deux scénarios d EI ; un deuxième, scientifique, en évaluant l efficacité d un nouvel outil de structuration de plan d actions fondé sur la pertinence des actions proposées par ces gestionnaires de risques à l issue de l analyse des deux scénarios. Au total, 56 gestionnaires de risques ont participé à ce projet qui s est déroulé de mars à juillet Une réunion de fin de projet a été organisée en janvier Les résultats ayant montré l efficacité de l outil pour aider à la structuration de plans d actions, une diffusion de l outil est prévue après en avoir amélioré sa présentation dans le but de le rendre plus ergonomique. Une application informatique est en cours de développement avec nos partenaires de ce projet et sera testée en 2013 dans plusieurs établissements de la région, avant sa diffusion en 2014 à l ensemble des établissements adhérents. PERILS - Prévention des ERreurs d Identité Liées aux Soins Le CCECQA, avec l aide d un groupe de travail régional, a élaboré un projet sur les risques d erreur d identité et l amélioration de leur maîtrise. Les objectifs de ce projet sont d évaluer le niveau de sécurisation de l identification des patients dans les établissements de santé, de les aider à définir des actions d amélioration et d assurer le suivi de leurs résultats. Trente sept établissements de santé participent à ce projet. Tous ont réalisé l étape d évaluation des risques. Actuellement, 6 établissements sont à l étape de réduction des risques d erreurs d identité, 15 sont à la dernière étape de suivi des résultats des actions d amélioration mises en place, et 16 établissements ont fini le projet et reçu une synthèse des résultats de leur établissement avec des commentaires du CCECQA. Onze établissements (10 en 2011 et 1 en 2012) ont pu réaliser avec l aide du CCECQA, des exercices avec un patient fictif dans le but de tester la présence et l efficacité de barrières contre les risques d erreurs d identification. La journée régionale de fin de projet se déroulera début Documents disponibles : Manuel PERILS, Articles sur le projet PERILS publiés dans la revue Risques et Qualité 8

9 PRAGE - Plateforme Régionale d Appui à la Gestion des Evénements indésirables - Aquitaine L Agence Régionale de Santé d Aquitaine a souhaité créer une plateforme régionale d appui à la gestion des événe ments indésirables graves (PRAGE). Cette plateforme régionale placée auprès du CCECQA a pour vocation de mener des missions d expertise en toute indépendance, d aider au développement des analyses approfondies des causes, et d apporter des éléments d aide à la décision dans le pilotage régional de la politique de la sécurité des soins. Elle est constituée d un médecin et d un cadre de santé et son périmètre est l ensemble des établissements de santé de la région ainsi que la médecine ambulatoire. Depuis sa mise en place en avril 2011, de nombreuses rencontres ont pu être organisées tant avec les professionnels de santé dans le cadre des actions du CCECQA, par les ateliers ou les sessions de formation, qu avec les écoles de cadres d Aquitaine, les personnels des directions territoriales et ceux du collège des professionnels de santé de l ARS. Une trentaine d établissements ont sollicité la PRAGE pour les accompagner dans des analyses approfondies de causes d EIG. Ces analyses et celles antérieures de la CRAGE constituent une base de retour d expérience pour laquelle une synthèse anonymisée est rédigée annuellement à des fins d aide à la décision pour l ARS. La plateforme proprement dite, de type collaborative, est organisée autour d une charte engageant tous les partenaires (ARS, SRA, Réseaux, etc.) et reste en attente de la parution des décrets sur les modalités de la déclaration des EIG à l ARS et l organisation du retour d expérience. La mise en ligne des retours d expérience des analyses réalisées, sous forme de fiches «REX» et de fiches «REFLEXE» (avec l accord des établissements) est imminente sur le site de l ARS La saisie par les établissements de leurs analyses réalisées en «intra» est possible sur le site du CCECQA. Ces retours d expérience seront proposés au comité de lecture de la plateforme. Les documents précisant son fonctionnement et son positionnement ainsi que les outils d aide à la déclaration et l analyse des EIG sont disponibles sur les sites du CCECQA ( et de l ARS ( Documents disponibles : aides à la décision, kit d outils, charte de fonctionnement. > Changement des Pratiques Professionnelles ETAPE - Education Thérapeutique : Amélioration des Pratiques & Evaluation En 2013, La Cellule ETAPE se consacre à la formation concernant l auto-évaluation annuelle des programmes d Education Thérapeutique du Patients (ETP). Nous avons souhaité offrir une proximité aux équipes de la région Aquitaine en nous déplaçant sur les différents territoires. Ainsi, depuis mars 2013, ont eu lieu huit formations à Bordeaux, Agen, Bayonne, Pau, Marsan-sur-Adour et Périgueux. Construites sur une approche pédagogique et progressive, ces formations, à travers des outils conçus pour le terrain et le guide HAS, ont permis aux équipes de s approprier le processus d auto-évaluation. L objectif de celui-ci est d amener les équipes à questionner leurs programmes d ETP en vue de son amélioration. Dans ce cadre, et afin de donner une suite à ces formations, la Cellule ETAPE propose d accompagner sur site ou à distance les équipes qui souhaiteraient un appui dans cette démarche auto-évaluative. ( - contact@pace-aquitaine.com) EPP-Réseaux Le CCECQA développe des partenariats avec les réseaux professionnels constitués autour de l évaluation des pratiques professionnelles : Réseau Périnat Aquitaine. La région Aquitaine participe à l expérimentation nationale DGOS-HAS d analyse et d amélioration des pratiques de césarienne programmée. Piloté par l ARS Aquitaine et mise en œuvre par le réseau Périnat Aquitaine dans les 24 maternités de la région, le CCECQA intervient en appui méthodologique en proposant aux équipes une grille de revue de pertinence développée sur eforap pour une saisie en ligne et une mise en forme automatique des résultats. 13 maternités ont choisi d utiliser cet outil. Un bilan régional de ce programme expérimental sera proposé lors d un atelier CCECQA Périnat le 26 novembre En parallèle, l outil d évaluation de la prise en charge de la menace d accouchement prématuré fait l objet d une mise à jour en cohérence avec le protocole de pratiques du réseau Périnat Aquitaine réactualisé en La version définitive de l outil sera disponible en septembre Réseau de cancérologie d Aquitaine. Le kit d outils d évaluation des pratiques professionnelles du dispositif d annonce en cancérologie est disponible sur les sites internet du RCA et du CCECQA. Ces outils ont été élaborés dans le cadre du projet régional EVADA, testés par 29 structures volontaires autorisées pour la cancérologie, puis simplifiés en vue des réévaluations. Ils ont fait l objet d un développement sur eforap dont l accès se fait sur demande au CCECQA. Un programme DPC sur le dispositif d annonce est en cours d élaboration. FAREMBOL (Fibrillation auriculaire patients Agés Réduction du risque thrombo- EMBOLique) 2012 Il s agit d un projet régional ville-hôpital pluridisciplinaire en partenariat avec l OMEDIT Aquitaine sur la réduction PACSA - volet 1. Préparation de la sortie de la personne âgée hospitalisée en SSR ou en HAD Le 28 mai 2013, une journée régionale a clôturé le projet PACSA - volet 1, réunissant les 24 équipes volontaires ainsi que les membres du groupe de travail régional. La mise en œuvre des 33 plans d actions définis localement se poursuit et 15 équipes se sont engagées à rééditer l enquête Expérience Patient via la plateforme eforap. En 2014, sera proposé aux adhérents du CCECQA, un nouveau projet régional d évaluation des pratiques professionnelles, s intéressant à l interface des structures et des partenaires intervenant tout au long du parcours de soins du patient âgé. Il constituera le volet 2 du Programme d Amélioration de la Continuité de soins du Sujet Agé (PACSA). du risque thromboembolique chez les patients âgés en fibrillation auriculaire (FA), intégré dans le Plan Aquitain de lutte contre les maladies cardioneurovasculaires de l Agence Régionale de Santé d Aquitaine (ARS). Ses objectifs sont d améliorer la pertinence de la prescription du traitement de la prévention du risque thromboembolique chez les patients 75 ans en FA et d obtenir et maintenir la sécurité du traitement AVK et le cas échéant des nouveaux anticoagulants. Après la tenue de formations-ateliers pluridisciplinaires destinées à l ensemble des acteurs des établissements de santé et du secteur de ville concernée par cette prise en charge (médecins, pharmaciens, infirmiers, biologistes ) et la mise en place d actions d amélioration grâce aux outils élaborés par les groupes de travail régionaux pluriprofessionnels, ce projet entame sa dernière phase de ré-évaluation des pratiques. Ce projet se clôturera par 2 ateliers de restitution des résultats régionaux et de partage d expériences au mois de décembre, un à Bordeaux et un autre à Bayonne. 9

10 Promotion de la bientraitance en établissement de santé et EHPAD Après l organisation de deux ateliers de présentation du guide FORAP-HAS, le CCECQA proposera en 2014 une démarche régionale d accompagnement des équipes des secteurs sanitaire et médico-social à la mise en place de leur projet local. Deux niveaux d accompagnement seront envisagés : au niveau régional, organisation de temps d échanges entre professionnels à différents stades d avancement de leur projet (choix des outils, résultats, actions d amélioration ) ; au niveau individuel, accompagnement sur site pour l adaptation et l animation des outils présentés dans le guide. Cette démarche fera l objet d un programme DPC. C2SM - Usage et appropriation des classifications en santé mentale Le CCECQA assure, en partenariat avec la SOFOR (Sud Ouest FOrmation Recherche) et le Pôle de Recherche et d Enseignement Supérieur de Bordeaux (PRES), la mise en oeuvre d une enquête sur l usage et l appropriation des «classifications en santé mentale» (DSM IV, CIM 10, CFTMEA mais aussi notions et termes mobilisés dans la pratique) par les professionnels de santé. Soutenu par le Conseil Régional d Aquitaine, ce programme réunit des chercheurs en sciences humaines et sociales et en neurobiologie ainsi que des professionnels de terrain mobilisés pour leur expertise pratique de ce champ. L «Opération de Recherche» à laquelle est associé le CCECQA comporte deux volets ; une approche qualitative et une approche quantitative. Une première synthèse des résultats de ces deux approches, l approche qualitative des sociologues et l approche quantitative réalisée par le CCECQA dont l analyse des données est en cours, est prévue en décembre > Accompagnement des Etablissements et Professionnels Plateforme e-forap Des outils d évaluation en ligne pour les professionnels de santé Entre 2004 et 2007, à l occasion de son projet régional EPP-Aquitaine dont l objectif était d aider les établissements de santé à développer des méthodologies d Evaluation des Pratiques Professionnels, le CCECQA a élaboré une trentaine d outils d évaluation. La généralisation de l EPP à l ensemble des services de soins, par les orientations du nouveau manuel de certification V2010, encouragea alors le CCECQA à développer, sur la base des premiers outils élaborés, sa plateforme EPP OnLine, facilitant ainsi l intégration de l évaluation formative à la pratique quotidienne des professionnels. En 2012, du fait d un nécessaire élargissement de sa gamme d outils à des champs autres que celui de l EPP et d un souhait de mutualisation de sa plateforme avec les SRE d autres régions au travers de la FORAP (Fédération des Organismes Régionaux et territoriaux pour l Amélioration des Pratiques et organisations en santé), EPP OnLine devint e-forap. La plateforme e-forap, administrée par le CCECQA, rassemble, en ligne, les outils de saisie, de traitement et d analyse des données de vos évaluations (EPP et autres). Ces opérations sont réalisables via une simple connexion internet, après avoir obtenu un compte utilisateur e-forap (demande à adresser au CCECQA). Vous disposez ainsi d une solution simple vous permettant, de manière autonome, la réalisation des dernières étapes de vos évaluations (saisie, contrôle qualité et analyse des données). De plus, à tout moment l équipe e-forap du CCECQA (Marion Kret et Ahmed Djihoud) est à votre écoute pour répondre à vos questions et accompagner vos premiers pas sur cette plateforme. La plateforme e-forap réunit actuellement 34 outils, dont deux nouveaux : EVADA et Pertinence des césariennes. Accompagnement individualisé du CCECQA L accompagnement individualisé évolue au CCECQA, en proposant des champs d intervention plus large que ne le proposait EPP-InCESA. Le CCECQA répond à des demandes des établissements, en matière de formation ou d accompagnement, sur les thématiques de gestion des risques, d évaluation des pratiques professionnelles et d indicateurs. Toute l équipe du CCECQA se mobilise pour répondre au mieux aux besoins des établissements qui en font la demande, en termes de formations sur site, de conseils stratégiques et méthodologiques, d animation de groupes de travail, de réalisation d EPP. Développement Professionnel Continu (DPC) Organisme de DPC habilité à dispenser des programmes de DPC jusqu à l évaluation par l OGDPC, le CCECQA a déposé avant le 30 juin 2013, un dossier d enregistrement pour cinq ans. Les premiers programmes de DPC proposés par le CCECQA concernent les démarches d analyse des causes et d éducation thérapeutique. D autres programmes en lien avec le dispositif d annonce en cancérologie et la pertinence des pauses de stent en cardiologie interventionnelle sont en préparation. Le CCECQA répond ainsi à la demande des établissements, en intégrant dans sa logique de projet régional les étapes qui valident cette obligation annuelle de formation continue des professionnels de santé. 10

11 Zoom sur... Les registres cardio-neuro-vasculaires en Aquitaine Le CCECQA et l ARS Aquitaine ont organisé le 5 avril 2013 la 1ère journée scientifique des registres cardio-neuro-vasculaires en Aquitaine. Cette journée a été l occasion de présenter les premiers résultats des registres et de les confronter aux recommandations mais également de réfléchir à l utilisation de ces outils et aux perspectives qu ils offrent en matière d amélioration et de structuration des filières de prise en charge des patients en Aquitaine. Au cours de cette journée, ont été présentés les résultats bruts issus du 1er semestre de recueil de données en 2012 pour chacun des 3 registres cardio-neuro-vasculaires: Le registre aquitain de cardiologie interventionnelle (ACIRA) Le registre aquitain de prise en charge initiale des infarctus du myocarde (REANIM) L observatoire aquitain des accidents vasculaires cérébraux (ObA2). Les présentations du registre ACIRA ont été axées sur une analyse épidémiologique globale des pratiques professionnelles et un bilan régional de l analyse de la pose de stents dans les centres de cardiologie interventionnelle en Aquitaine. Les intervenants du registre REANIM ont présenté la filière de prise en charge des syndromes coronariens aigus ST+ en Aquitaine avec un focus sur la coordination pré-hospitalière et les thérapeutiques instaurées à la phase aigue. L analyse prochaine des délais de prise en charge et des orientations non optimales de ces patients permettra de compléter cette étude de la filière SCA ST+ afin de mieux la structurer à l échelle régionale. Les présentations de l observatoire ObA2, axées sur l accès à l imagerie et l évolution de la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dans un établissement de santé, ont ouvert les discussions sur l organisation de la prise en charge des AVC au niveau régional et le développement futur de la téléthrombolyse. Des référents nationaux sur ces sujets (Pr Danchin, Pr Lapostolle, Dr Bataille, Dr Béjot) ont exposé leurs travaux issus des données des registres. Il en est ressorti que les données des registres, de part l inclusion de TOUS les patients admis pour la maladie considérée, permettent de fournir des données épidémiologiques, de s évaluer, de suivre l application des recommandations, d apporter des informations complémentaires par rapport aux études randomisées, de produire des indicateurs La HAS a ensuite présenté la plateforme AVC et infarctus du myocarde et les travaux nationaux réalisés sur ces deux thématiques : indicateurs de pratiques clinique, COMPAQH, élaboration du chemin clinique Pour conclure cette journée, les perspectives de travail pour les trois registres ont été exposées : poursuite du déploiement des registres dans les établissements en Aquitaine, structuration du système d information pour optimiser l utilisation des bases de données exploitables dans les établissements, généralisation des retours d information et de résultats aux partenaires, développement de projets d amélioration des pratiques (programmes de DPC et d amélioration des pratiques), développement de projets de recherche clinique, épidémiologique et en évaluation, renforcement des liens avec les autres registres dans ce domaine et des partenariats favorisant la mise en commun des données. La création d un comité de pilotage inter-régional des registres cardio-vasculaires est depuis cette journée à l étude. La journée des registres a montré le maintien de la dynamique régionale, de l implication des professionnels et a précisé leurs attentes en termes d évaluation, de recherche clinique et d analyse des pratiques. Cette journée a regroupé 89 participants et l enquête de satisfaction a montré 100% de satisfaits ou très satisfaits. Une autre région possédant un registre dans le domaine cardio-neuro-vasculaire pourrait également prendre le relais de l organisation d une journée similaire l année prochaine. 11

12 Les dernières publications G. Ayhan, C. Pourin, J. Rongère, S. Domecq, A. Djihoud, R. Leculée, N. Robinson, F. Saillour. Qualité et sécurité en périnatalité : des expériences en région Aquitaine Atelier du 27 novembre Risques et Qualité en direct du CCECQA. In press. P. Michel, C. Chabloz, I. Verheyde, M. Kret. Coordonnateurs de gestion des risques associés aux soins : Résultats de l enquête FORAP. Revue Hospitalière de France, n 549, novembre-décembre 2012 : P. Michel, C. Chabloz, I. Verheyde, M. Kret. Les coordonnateurs de gestion des risques associés aux soins : dans les établissements de santé. Risques et qualité, 2013 ;10(1): P. Michel, I. Verheyde, C. Chabloz, M. Kret. Le coordonnateur de gestion des risques associés aux soins. Gestions hospitalières, n 521, décembre 2012 : P. Occelli, J-L. Quenon, M. Kret, S. Domecq, F. Delaperche, O. Claverie, B. Castets-Fontaine, R. Amalberti, Y. Auroy, P. Parneix, P. Michel. Validation of the French version of the Hospital Survey on Patient Safety Culture questionnaire. International Journal for Quality in Health Care 2013;25(4):1-10. M. Sibe, S. Domecq, M. Kret, F. Saillour-Glénisson. Contextes organisationnels et managériaux des services hospitaliers : résultats d une enquête transversale auprès de 36 services au moyen de l outil COMEt. Journal de Gestion et d Economie Médicales. 2012;30(7-8) : Agenda > 26 novembre 2013 : Atelier Périnat-CCECQA Les ateliers du CCECQA > 14 janvier 2014 : Atelier CLARTE > 9 mars 2014 : Atelier PERILS Au CCECQA... > Septembre 2013 : Réunion de lancement de la deuxième vague du projet PROGRESS > 10 octobre 2013 : journée de lancement du projet CADENSE2 et de formation aux outils... dans la région... > octobre 2013 : Congrès ADELF- SFSP - Santé Publique et Prévention. ISPED, Bordeaux ( et ailleurs > août 2013 : Les universités d été de la performance en santé, Cité des congrès, Nantes > novembre 2013 : JIQHS. Paris La Villette - Cité des Sciences et de l Industrie. ( wp-content/uploads/2013/05/progr- JIQHS_mai pdf) N 31 - juillet 2013 Publication semestrielle du CCECQA Hôpital Xavier Arnozan PESSAC Tél. : + 33 (0) Directeurs de la publication : Catherine Pourin & Jean-Luc Quenon Rédacteur en chef : Sophie Vialle Maquette et Infographie : Sophie Vialle Crédits photo : CCECQA Téléchargeable sur Abonnement sur simple demande à secretariat@ccecqa.asso.fr

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