PREFECTURE DES VOSGES SCHEMA DE DEVELOPPEMENT COMMERCIAL VOSGES DES. -- INVENTAIRE COMMERCIAL -actualisé au 31 Octobre 2007

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PREFECTURE DES VOSGES SCHEMA DE DEVELOPPEMENT COMMERCIAL VOSGES DES. -- INVENTAIRE COMMERCIAL -actualisé au 31 Octobre 2007"

Transcription

1 PREFECTURE DES VOSGES SCHEMA DE DEVELOPPEMENT COMMERCIAL DES VOSGES INVENTAIRE COMMERCIAL actualisé au 31 Octobre 007 et présenté à l ODEC du 11 Décembre 007 complété par des données 008

2 C e Schéma de Développement Commercial a été approuvé à l unanimité des membres présents à la réunion de l observatoire du 1er septembre 004. Il aborde les parties suivantes : Introduction Présentation de l environnement économique Analyse de l offre commerciale Analyse de la demande commerciale Analyse prospective de l évolution du commerce et de l artisanat. Ce schéma a été réalisé à partir, notamment, de l étude menée par la Chambre de Commerce et d Industrie des Vosges sur les habitudes de consommation de la population vosgienne, de l inventaire DDCCRF d avril 004, actualisé au 31 octobre 005 puis au 31 octobre 006 et présenté à l ODEC du 16 novembre 006, ainsi que de plusieurs contributions écrites et orales des services de l Etat et de collectivités locales. Les membres de l ODEC n ont pas manifesté, lors de la réunion du 11 Décembre 007, le souhait de modifier les recommandations du SDC. Il convient de rappeler que la loi n du 5 juillet 1996 ne donne aucun caractère normatif aux indications contenues dans les schémas de développement commercial. Ces travaux ont pour but d éclairer la décision des instances élues, administratives et consulaires, à partir du rassemblement dans un seul et même document de données éparses. Un sincère remerciement doit être adressé à toutes celles et tous ceux qui ont contribué à sa réalisation. Le Préfet, Albert Dupuy

3 3 SOMMAIRE I INTRODUCTION I 1. LE SCHEMA DÉPARTEMENTAL D EQUIPEMENT COMMERCIAL : ELEMENTS DE PRESENTATION...PAGE 5 I 1. 1 I 1. I 1. 3 I 1. 4 I. LE PERIMETRE...PAGE LE CONTENU DU SCHEMA...PAGE LE PILOTAGE...PAGE APPROBATION...PAGE LA PLACE DU COMMERCE ET DE LA GRANDE DISTRIBUTION EN FRANCE...PAGE 7 I. 1 QUELQUES DEFINITIONS...PAGE 7 I. SITUATION DU COMMERCE DE DÉTAIL EN FRANCE...PAGE 8 II PRESENTATION DE L ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE DU SCHEMA VOSGIEN II 1. II. PRESENTATION PAR TERRITOIRES D INFLUENCE...PAGE 9 PRESENTATION PAR L APPROCHE ADMINISTRATIVE ET SOCIOECONOMIQUE.....PAGE 10 II. 1 II. II. 3 II. 4 II. 5 II. 6 II. 7 GENERALITES ET ORGANISATION ADMINISTRATIVE...PAGE 10 CONTEXTE SOCIAL...PAGE 11 CONTEXTE ECONOMIQUE...PAGE 1 CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE...PAGE 13 INFRASTRUCTURES DE TRANSPORTS...PAGE 13 ETABLISSEMENTS HOTELIERS...PAGE 15 SITUATION ET DISPONIBILITES DU FONCIER...PAGE 15 III ANALYSE DE L EQUIPEMENT COMMERCIAL DANS LES VOSGES (OFFRE COMMERCIALE)...PAGE 16 IV ANALYSE DE LA DEMANDE COMMERCIALE DANS LES VOSGES...PAGE 7 V ANALYSE PROSPECTIVE DE L EVOLUTION DU COMMERCE ET DE L ARTISANAT...PAGE 34 V 1. UNE OFFRE COMMERCIALE SUFFISANTE MAIS QUI PRESENTE DES DESEQUILIBRES QU IL CONVIENT DE CORRIGER... PAGE 35 V 1. 1 LES VOSGES APPARAISSENT COMME BIEN EQUIPEES MAIS SON APPAREIL COMMERCIAL DOIT ËTRE ADAPTE AUX BESOINS EVOLUTIFS DES CONSOMMATEURS... PAGE 35 V 1. LES DÉSEQUILIBRES GEOGRAPHIQUES À L ECHELLE DU DÉPARTEMENT...PAGE 36 V 1. 3 LES DÉSÉQUILIBRES GÉOGRAPHIQUES À PLUS GRANDE ÉCHELLE : CENTRE/PÉRIPHÉRIE...PAGE 38

4 4 V. UN CONSOMMATEUR EXIGEANT, CE QUI NECESSITE DES PROJETS DE QUALITE...PAGE 39 V. 1 LES MODES DE COMMUNICATION ÉVOLUENT...PAGE 39 V. LES MODES DE CONSOMMATIONS VOSGIENS ET LA DIVERSITÉ DES CATÉGORIES DE CONSOMMATEURS NÉCESSITENT UNE OFFRES DIVERSIFIÉE...PAGE 40 V. 3 UN CONTEXTE ORABLE AU DÉVELOPPEMENT DES COMMERCES DE CENTREVILLE : LES GRANDES VILLES RÉHABILITENT LEUR CENTREVILLE ET MODIFIENT LEUR MAILLAGE DE TRANSPORT...PAGE 41 V 3. REEQUILIBRAGES ET ADAPTATIONS POSSIBLES...PAGE 4 V 3. 1 ATTENUER LES DESEQUILIBRES GEEOGRAPHIQUES...PAGE 4 V 3. ATTENUER LES DESEQUILIBRES SECTORIELS ET ORISER UNE OFFRE DE QUALITE...PAGE 43 CONCLUSION POUR CONCLURE...PAGE 43 ANNEXES ABECEDAIRE...PAGE 45 CARTOGRAPHIE...PAGE 46 COMPTERENDU ODEC DU 16/11/06...PAGE 58 COMPTERENDU ODEC DU 11/1/07...PAGE 65 INVENTAIRE COMMERCIAL AU 31/10/07...PAGE 68 RÉCAPITULATIF DES DOSSIERS SOUMIS À LA CDEC DES VOSGES EN 006, 007 ET PAGE 76 MISE À JOUR PAGE 9

5 5 I INTRODUCTION I 1. LE SCHÉMA DÉPARTEMENTAL D EQUIPEMENT COMMERCIAL : ÉLÉMENTS DE PRÉSENTATION La Loi n du 7 décembre 1973, modifiée par la loi n du 5 juillet 1996 relative au développement et à la promotion du commerce, vise à mieux maîtriser l expansion de la grande distribution tout en recherchant un meilleur équilibre entre toutes les formes de commerces en vue d une meilleure satisfaction des besoins des consommateurs. Elle a, par ailleurs, prévu l instauration des schémas de développement commercial (SDC), dont les modalités d élaboration et de publicité ont été renvoyées à un décret en Conseil d Etat (article L.703 du code de commerce). Les SDC doivent respecter les orientations définies à l article L.701 du code de commerce (respect de l aménagement du territoire, de la protection de l environnement, de la qualité de l urbanisme, contribution à la modernisation des équipements commerciaux, à leur adaptation, à l évolution des modes de consommation et des techniques de commercialisation, au confort d achat du consommateur et à l amélioration des conditions de travail des salariés). La loi n du 5 juillet 1996 ne donne aucun caractère normatif aux indications contenues dans les schémas de développement commercial. Ces travaux ont pour but d éclairer la décision des instances élues, administratives et consulaires, à partir du rassemblement dans un seul et même document de données éparses. I 1.1. LE PÉRIMÈTRE Le schéma de développement commercial doit être compatible avec les schémas de cohérence territoriale (SCOT) et les schémas de secteurs (article L. 11 du code de l urbanisme). A cet égard, en amont de l association des collectivités et des élus à l élaboration du SCOT des Vosges centrales, les services de l Etat ont souhaité anticiper la réflexion et la concertation sur les enjeux d aménagement de ce territoire en réalisant des travaux préparatoires, dans un cadre interministériel, qui ont été validés par les services du Préfet. Ces travaux préparatoires doivent être vus comme une contribution à la réflexion générale sur le contenu du SCOT. L EPCI du SCOT doit de son côté rédiger un cahier des charges sur l étude à entreprendre. Enfin, le périmètre d étude a été arrêté. Sur le fond, la contribution des services de l Etat porte sur 4 thèmes principaux : mobilité et infrastructures de transports, environnement, urbanisme, habitat et vie sociale et économie, services et équipements. Le périmètre du schéma de cohérence territoriale tient compte du périmètre du ou des schémas de développement commercial (article L.13 du code de l urbanisme).

6 6 L ODEC détermine le périmètre du ou des SDC du département. Pour ce qui est du département des Vosges, la solution retenue est l élaboration d un seul schéma pour l ensemble du département, validée lors de la réunion du 9 janvier 004. I 1.. LE CONTENU DU SCHÉMA La circulaire du 3 février 003 du Secrétariat d Etat aux PME, au Commerce et à l Artisanat, sur la mise en œuvre des schémas de développement commercial précise le contenu du SDC décliné en 4 grands volets : L environnement socioéconomique du infrastructures) L analyse de l offre commerciale L analyse de la demande commerciale L analyse prospective département (économie, démographie, I LE PILOTAGE L ODEC plénier constitue, au niveau départemental, l organe décisionnel en charge de la confection du SDC du département. Il a mis en place un Comité de Pilotage restreint composé d une dizaine de membres de l ODEC pour suivre l élaboration du schéma. L ODEC s est réuni dans sa composition plénière le 9 janvier, le 0 avril, le 5 mai et le 1 er septembre 004, date de son approbation. Il sera prochainement transmis au Ministère de l Economie, des Finances et de l Industrie. Le Comité de Pilotage s est réuni le 3 mars et le 7 avril 004. I APPROBATION Le projet de schéma a fait l objet d un vote des collèges des élus locaux, des représentants des activités commerciales et artisanales et des Chambres Consulaires, ainsi que des personnalités qualifiées membres de l ODEC. Le SDC est adopté dès lors que la majorité absolue des membres composant l ODEC, compte non tenu des représentants de l administration, a émis un vote favorable. La décision d approbation par l ODEC est publiée, par le Préfet, au recueil des actes administratifs de l Etat dans le département. Le SDC est établi pour une durée maximale de 6 ans à compter de la date de publication de la décision d approbation du SDC au recueil des actes administratifs. Chaque révision ouvre une nouvelle période de validité de 6 ans. Le schéma peut être révisé à l issue d une période de trois ans à compter de la date de sa publication. Cette procédure de révision doit permettre de s assurer de l adaptabilité de l outil par rapport aux évolutions rapides de l économie et de la consommation dans les Vosges et de tenir compte d un environnement socioéconomique en perpétuel mouvement.

7 7 I. LA PLACE DU COMMERCE ET DE LA GRANDE DISTRIBUTION EN FRANCE La grande distribution apparaît en France dès la fin des années 50, dans le cadre d'un important développement économique. Favorisée par la généralisation de l'automobile, elle participe à l'avènement de la société de consommation et bouleverse très rapidement les structures traditionnelles du commerce de détail. Ainsi, depuis la naissance en 1957 du premier supermarché et celle, en 1963, du premier hypermarché, le nombre de grandes et moyennes surfaces à prédominance alimentaire a connu une progression impressionnante. En 1970, on dénombre en effet 14 hypermarchés et supermarchés, chiffres portés à 46 et 3 96 dix années plus tard. Aujourd'hui, près de hypermarchés et supermarchés sont exploités en France. Les grandes et moyennes surfaces spécialisées sont pour leur part apparues massivement au cours des années 80 et représentent aujourd'hui un parc très diversifié de près de magasins de plus de 300 m². Néanmoins, la grande distribution ne se limite pas aux seules grandes surfaces de vente et les distributeurs sont également très présents à travers le commerce "organisé" en centreville où l'enseigne et le format des magasins sont adaptés en fonction de leur niveau de gamme et de leur rentabilité. Par exemple, Carrefour "regroupe" autant d'hypermarchés à cette enseigne que de supermarchés (Champion), de supérettes (Shopi) et d'autres magasins alimentaires de proximité de taille encore plus modeste (8 à Huit, Proxi). De la même façon, le groupe ERAM exploite directement plus de points de vente en France dont près de 300 moyennes surfaces en libreservice (Gémo, l'hyper aux chaussures, l'hyper aux vêtements) mais aussi plus de 700 boutiques de centreville ou de galeries marchandes, sous neuf enseignes différentes ( Eram, France Arno, Tanéo ) I. 1. QUELQUES DÉFINITIONS Hypermarché : magasin de commerce de détail non spécialisé à dominante alimentaire d une surface de vente égale ou supérieure à 500 m². Supermarché : magasin de commerce de détail non spécialisé à dominante alimentaire (au moins 65 % des ventes) d une surface de vente comprise entre 400 et 500 m². Maxidiscompte : supermarché de généralement moins de m² proposant une offre alimentaire basique (moins de références) à des prix sensiblement inférieurs à ceux de la grande distribution classique. Magasin populaire : magasin de commerce de détail non spécialisé à dominante alimentaire (moins de 65 % des ventes) d une surface de vente comprise entre 400 et 500 m². Grand magasin : magasin de commerce de détail non spécialisé sans dominante alimentaire d une surface de vente égale ou supérieure à 500 m². Grande et moyenne surface spécialisée (GMSS) : établissement spécialisé de plus de 300 m² réparti en diverses catégories suivant son activité dominante :

8 8 EQUIPEMENT DE LA PERSONNE EQUIPEMENT DE LA MAISON BRICOLAGE JARDINERIE LOISIRS CULTURE SPORT Parfumerie Meubles Vêtements Chaussures Puériculture Electroménager hifi tv Luminaires Jeux jouets Livres papeterie Disques Optique Informatique Bricolage jardinage Matériaux sanitaires Revêt. sols et murs Animaux AUTOMOBILE DIVERS NONAL. Automobiles Bazars Accessoires Solderies Essence Biens d occasion Divers Sport Commerce intégré : forme de commerce où les entreprises exploitent en propre plusieurs points de vente (Décathlon, Darty, Conforama ) Commerce associé : regroupement de commerçants propriétaires de leur magasin au travers de réseaux organisés (franchises, groupements, concessions ) I.. SITUATION DU COMMERCE DE DÉTAIL EN FRANCE ACTIVITÉ ET CIRCUIT DE ENTREPRISES PERSONNES OCCUPÉES DISTRIBUTION Grand Commerce CHIFFRE D AFFAIRES EN VALEUR AJOUTÉE EN M M Supermarchés Magasins populaires Hypermarchés 4 5 (1) () Alimentaire de proximité Commerce spécialisé Dont Grandes et Moyennes Surfaces (3) TOTAL nd nd (1) 8400 établissements de supermarchés, () 135 établissements d hypermarchés, (3) Points de vente n 917 septembre 003 Source : DCIINSEEDecas, base de données fiscales SUSE sur les entreprises au bénéfice réel nd 50 47

9 9 II PRÉSENTATION DE L ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE DU SCHÉMA VOSGIEN II 1 PRÉSENTATION PAR TERRITOIRES D INFLUENCE Dans les Vosges, en 1999, la population vivant dans les unités urbaines représente 70,1 % de la population du département. Parallèlement, la population résidant dans l espace à dominante urbaine est de 48 %. Ce paradoxe apparent constitue la spécificité du département vosgien. Il s explique par le fait que de nombreuses unités urbaines proposant un périmètre pour la «ville» et localisées dans l espace à dominante rurale dépendent peu des grandes villes pour l emploi et offrent moins de emplois, si bien qu elles ne constituent pas des pôles urbains, centres d aires urbaines, ces dernières proposant un périmètre pour la zone d influence de la ville (les unités urbaines de Xertigny, Contrexéville, Mirecourt, Neufchâteau, Charmes, Rambervillers, Raon l Etape, Moyenmoutier, Bruyères, Gérardmer, Vagney, le Thillot sont dans ce cas). L organisation spatiale du territoire permet de distinguer quatre zones de dimension approximativement égale : une zone Occidentale, une zone Centrale, une zone Orientale subdivisée en une souszone Septentrionale et une souszone Méridionale : La zone Occidentale Elle correspond à un espace à dominante rurale et se structure autour de pôles d emplois ruraux et pôles de services. On observe quatre pôles d emplois ruraux : Neufchâteau (4 430 emplois), Contrexéville ( 460 emplois), Vittel (4 560 emplois) et Mirecourt (4 330 emplois), entourés ou relayés par des pôles de services (LiffolleGrand, Châtenois, Bulgnéville, Lamarche, MonthureuxsurSaône, Darney, Dompaire). La zone Centrale Elle s organise autour de l aire urbaine d Epinal (chef lieu du département) dont le pôle urbain est composé de dix communes qui comptabilisent une population de habitants. La couronne périurbaine compte 5 communes comprenant au total habitants. L aire de chalandise du pôle de services d Epinal est limitée puisqu elle ne déborde pas les limites du pôle d emploi. Ce phénomène est typique des espaces urbains importants, mais s explique aussi par l existence d une couronne des pôles d emplois ruraux, palliant les besoins locaux. Epinal est entourée d une double couronne de pôles. La première et la plus immédiate est constituée de petits pôles de services assurant une meilleure couverture de l aire urbaine en matière de services (ChâtelsurMoselle, Nomexy, ThaonlesVosges, Dompaire et Xertigny). Elle est ellemême cernée d une couronne composée des pôles d emplois ruraux de Charmes ( 440 emplois), Rambervillers ( 680 emplois) et Bruyères ( 00 emplois). L aire urbaine d Epinal est bordée d un tissu constitué de communes multipolarisées, l attraction d Epinal étant associée à celle des aires urbaines de Nancy et Remiremont.

10 10 La zone se structurant autour de l aire urbaine de SaintDié des Vosges Cette zone se caractérise par son pôle urbain qui englobe six communes comptabilisant une population de 8 90 personnes, et sa couronne périurbaine qui comporte dixhuit communes comprenant résidents. Au nord, cette aire urbaine est relayée par deux pôles d emplois de l espace rural : Moyenmoutier ( 760 emplois) et Raon l Etape ( 690 emplois). La zone de RemiremontGérardmer Cette zone est particulière à un double titre : D une part, les aires urbaines de Remiremont ( habitants) et de La Bresse ( habitants) ainsi que les pôles d emplois ruraux ne possèdent pas de couronne. D autre part, le tissu des pôles urbains des aires urbaines est plus lâche et donc peu dense (elles doivent leur statut d aires urbaines au fait que la condition relative à la continuité de l habitat est respectée : une distance inférieure à 00 mètres entre les habitats). Les trois pôles d emplois ruraux (qui n ont pas de couronne et dont les pôles de services sont restreints) sont limitrophes aux deux aires urbaines. Il s agit du Thillot (4 480 emplois), Vagney (4 0 emplois) et Gérardmer (4 700 habitants). Au total, le territoire des Vosges se caractérise dans sa partie centrale par un grand pôle urbain, Epinal, dont l aire urbaine rayonne sur 16,4 % de la population du département, par un tissu de petites villes relativement indépendantes, reflètent la logique des espaces montagneux à l est, et un espace à dominante rurale structuré par des pôles ruraux d emplois et de services à l ouest. II. PRÉSENTATION PAR L APPROCHE ADMINISTRATIVE ET SOCIOÉCONOMIQUE II. 1. GÉNÉRALITÉS ET ORGANISATION ADMINISTRATIVE La population totale du département s'élève à habitants; sa surface totale s'élève à km² dont 48 % sont occupés par la forêt. Les /3 de cette surface forestière appartiennent à l Etat et aux communes contre ¼ sur le plan national. Le chef lieu du département des Vosges est Epinal; le département est divisé en trois arrondissements (Epinal, SaintDié des Vosges et Neufchâteau), et 4 bassins d emploi, Epinal, SaintDié des Vosges, RemiremontGérardmer et Neufchâteau. Le département se compose également de 31 cantons, 3 communautés de communes, 18 syndicats mixtes, 03 Syndicats Intercommunaux à Vocation Unique, 17 Syndicats Intercommunaux à Vocation Multiple, et 515 communes dont 43 rurales et 83 urbaines. On recense également 8 unités urbaines (on entend par unité urbaine une ou plusieurs communes sur le territoire desquelles se trouve un ensemble d'habitations qui présentent entre elles une continuité et comportent au moins 000 habitants). 4 syndicats mixtes de pays ont été créés entre 1999 et 001 ; chartes de territoires sont approuvées (Pays de l Ouest vosgien et Pays de la Déodatie et devraient déboucher sur un contrat de territoire avant fin 004).

11 11 Les communes les plus peuplées sont EPINAL: habitants, StDié des Vosges : 569, Gérardmer : 8845, Remiremont : 8538 et Golbey : 799. La plupart des services déconcentrés de l Etat (14) sont implantés à EPINAL, chef lieu de département, hormis le réseau local du Ministère des Finances ainsi que les subdivisions locales de la DDE. Le Conseil Général des Vosges est également situé à Epinal. De même les trois structures consulaires, Chambre de Commerce et d Industrie, Chambre de Métiers et Chambre d Agriculture implantées à Epinal, proposent à leurs ressortissants un ensemble de prestations au service des entreprises (la CCI des Vosges possède également un établissement à SaintDié des Vosges suite à la création en 003 de cette nouvelle structure par rapprochement des CCI d Epinal et SaintDié des Vosges). Les principaux établissements publics ou entreprises publiques (postes, EDF, GDF, ONF ) ont également leur siège principal à Epinal. II.. CONTEXTE SOCIAL Les Vosges connaissent depuis fin 001 un regain du chômage, pour atteindre 10 % de la population active au 31 décembre 003. La situation est contrastée entre les bassins d emploi : les bassins de SaintDié des Vosges et Epinal connaissent le plus fort taux de chômage en 003 alors que le bassin de Remiremont, après avoir connu la situation de l emploi la meilleure de Lorraine, a enregistré entre 001 et 00 la plus forte progression de demandeurs d emploi ( + 17,8 %). Les femmes et les jeunes de moins de 5 ans sont particulièrement affectés par cette aggravation de la demande d emploi. Les autres indicateurs de précarité demeurent importants : allocataires du RMI au 31 décembre 003 (contre 4 37 à la même période en 1999) et 85 % des entrants dans le parc de l OPAC (logements HLM) ont moins de 1,5 SMIC par mois dossiers de surendettement ont été ouverts en 003 ; les bénéficiaires du RMI et autres accidentés de la vie sont majoritaires. Le revenu net imposable moyen vosgien en 000 est de , en tenant compte de l ensemble des foyers fiscaux vosgiens ; l impôt moyen payé par cette population est de 931. En tenant compte des seuls foyers fiscaux imposés (48 % de l ensemble des foyers fiscaux), le revenu net imposable moyen est de 0 33 et l impôt moyen est de La médiane du revenu fiscal (niveau au dessus duquel se situent 50 % de la population statistique considérée) est de On considère globalement que le pouvoir d achat des ménages vosgiens est inférieur d environ 10 à 15 % de la moyenne de celui des ménages français, ce qui pèse sur les habitudes de consommation courantes. Pour ce qui est des diplômes, la situation est la suivante : 3,4 % de la population n a aucun diplôme,,5 % dispose d un CEP, 7, % d un BEPC, 5,7 % d un CAP ou BEP, 10 % d un BAC ou Brevet Professionnel, 6,7 % d un diplôme de niveau BAC + et 4,5 % d un diplôme de niveau supérieur. Enfin, la population de 15 ans ou plus ( ) se répartit dans les différentes catégories socioprofessionnelles de la manière suivante : agriculteurs exploitants : 1,4 %, artisans, commerçants, chefs d entreprise : 3,3 %, cadres et professions intellectuelles supérieures : 3,6 %, professions intermédiaires : 10,1 %, employés : 14,4 %, ouvriers : 0,9 %, retraités : 5,4 %, autres sans activité professionnelle : 0,9 %.

12 1 II. 3. CONTEXTE ÉCONOMIQUE Le département présente à la fois un caractère industriel et rural marqué. L industrie demeure un secteur prédominant de l économie vosgienne malgré un recul sensible par rapport à 1990 : salariés sont employés dans l industrie, soit 33,90 % du total des salariés. Le textile (1 entreprises et salariés) et le boisameublement (117 entreprises et salariés), activités traditionnelles du département, traversent des crises structurelles et conjoncturelles extrêmement préoccupantes. La transformation des métaux (101 entreprises et salariés) avec une forte représentation des équipements auto, le papiercarton (43 entreprises et 5 00 salariés), l agroalimentaire (36 entreprises et salariés) et la plasturgie (forte présence sur le bassin de SaintDié des Vosges) constituent désormais des secteurs d un poids comparable et même supérieur. Ces activités structurent actuellement l industrie du département. A cet égard, le secteur de la construction automobile est apparu comme l outil le plus apte à atténuer les effets des crises du textile (de nombreux équipements et soustraitants se sont installés dans les Vosges ces dernières années). Généralement les entreprises vosgiennes se caractérisent par la faiblesse de leur taille. En effet 80 % des entreprises industrielles emploient moins de 10 salariés. En outre, le département bénéficie de l implantation de nombreuses entreprises étrangères (73 entreprises industrielles, pour un effectif de salariés, dénombrées en 00). Les sièges sociaux d un grand nombre d entreprises sont situés hors du département. L agriculture (polyculture élevage) de son côté, connaît une évolution courante : moins d exploitations (4 440 en 001 contre 4 79 en 1997), extension des surfaces (49 ha en moyenne en 001 contre 1 en 1955) et de la productivité (amélioration du rendement par animal). La moitié des exploitations sont professionnelles. L agriculture vosgienne est essentiellement basée sur la production laitière et accessoirement sur la production de viande. Le secteur tertiaire (commerce et services) s est fortement développé puisqu il a connu une progression de 18 % entre 1990 et 1999, 47,9 % de la population étant employée dans les services et 11,5 % dans le commerce. Néanmoins, ce secteur demeure en deçà de la moyenne nationale et par ailleurs, les services à l industrie restent assez peu représentés, ce qui nécessite une action vigoureuse des institutions de développement local (ex. : CAPEV). Le développement du tourisme participe bien évidemment à l évolution positive du secteur tertiaire, avec notamment les stations de sports d hiver ( journées skieurs par an), les stations thermales ( journées curistes), le canal des Vosges, les sites naturels et culturels : musée de l Image et Imagerie ( entrées) à Epinal, Grand (5 000 entrées), Domrémy la Pucelle ( 500 entrées) et le tourisme de mémoire. La perspective de l arrivée en 007 du TGV dans les Vosges devrait entraîner une augmentation de la population touristique hivernale et estivale, notamment en provenance de la région parisienne, ce qui pourrait créer de nouveaux besoins de cette clientèle.

13 13 II. 4. CONTEXTE DÉMOGRAPHIQUE La population totale du département s élève à habitants (recensement 1999), ce qui traduit une diminution de 1,3 % de 1990 à 1999 (moyenne annuelle : 0,15 %) et de 3,8 entre 198 et Le nombre de naissances se stabilise autour de sur la période 1990 /1999 mais le nombre de décès augmente régulièrement pour s établir à Le solde naturel est donc positif (6 371) mais le solde migratoire est négatif (11 677). La variation totale entre 1990 et 1999 est donc négative ( 5 306). La population de moins de 5 ans est estimée à (3 % de la population totale) et la population de plus de 60 ans est estimée à (3, % de la population totale). Plus précisément, 18,1 % de la population a moins de 14 ans, 18,8 % a entre 15 et 9 ans, 1,3 % a entre 30 et 44 ans, 18,6 % a entre 45 et 59 ans, 14,9 % a entre 60 et 74 ans, 8 % a entre 75 et 94 ans et 0, % a plus de 95 ans. L ensemble de ces chiffres traduit donc un vieillissement de la population vosgienne (forte proportion de retraités) qui devrait se confirmer dans les deux décennies à venir. En effet, les prévisions tablent sur une diminution d environ habitants dans les vingt prochaines années. Des évolutions majeures pour le département seront à observer, telles que l attractivité économique du département, la poursuite de l exode rural des jeunes notamment dans l ouest vosgien et le phénomène de désertification dans le pays de La Vôge, la tendance à une rationalisation territoriale des services publics, un sous équipement constant en offre de commerces culturels, l attractivité de pôles urbains plus importants, notamment Nancy Par sexe, la répartition est la suivante : 48,8 % d hommes et 51, % de femmes. Au niveau des tranches d âge, les femmes deviennent plus nombreuses pour les 60 ans et plus ; en deçà les hommes sont plus représentés, notamment pour la tranche 0 à 9 ans. II. 5. INFRASTRUCTURES DE TRANSPORTS Nota : pour localiser les infrastructures décrites cidessous, se rapporter à la carte en fin de chapitre. Les Vosges en Lorraine Territoire historique de transition entre l Europe du Sud et l Europe du Nord, la Lorraine veut retrouver une vocation de pivot européen en renforçant son accessibilité. Elle est en concurrence avec d autres régions plus à l Est pour constituer un grand couloir NordSud européen. Elle se positionne sur l axe EstOuest du TGV Est européen, en complément des axes routiers A 4 et RN 4. On peut donc bien parler de carrefour lorrain.

14 14 Les infrastructures routières Les grands axes nationaux traversant le département sont essentiellement une composante du couloir NordSud évoqué cidessus : A 31 à l ouest, RN 57 et RN 66 au centre, RN 59 à l est qui s oriente plus vers l Est pour constituer l axe médian de traversée du massif Vosgien lorsque les travaux de mise en sécurité du Tunnel M. Lemaire auront été réalisés. Les mises à x voies et l aménagement de ses axes se poursuit dans les parties sud. De son côté, le Conseil Général des Vosges poursuit l amélioration de l axe EstOuest entre St Dié des Vosges et l A 31 à Bulgnéville et Neufchâteau (Y vosgien). Les phases à venir, après ouverture de la liaison Vittel / A 31, concernent essentiellement les sections Epinal (RN 57), Rambervillers et UxegneyChavelot (RN 57). Outre cette grande liaison, le Conseil Général des Vosges s est fixé comme objectifs pour son nouveau plan routier : la desserte des 5 zones d activités départementales et des pôles touristiques, le maillage des chefslieux de canton. En ce qui concerne l exploitation de ce réseau routier structurant, la carte ciaprès indique les principaux chiffres des trafics constatés. La fréquentation des principaux axes Nord / Sud sur les nationales est importante et en augmentation. Le cumul du trafic de transit et du trafic urbain dans la traversée de l agglomération spinalienne constitue la principale source d engorgement actuelle. En parallèle, un plan de circulation est en cours de définition pour Epinal; il proposera au sein d une charte d objectifs des mesures en matière d aménagement urbain, de transports en commun, de conditions de déplacement susceptibles à terme d avoir un impact sur les habitudes de circulation et de consommation de la population concernée. Par ailleurs, le Syndicat Intercommunal des Transports de l Agglomération Spinalienne réfléchit actuellement sur plusieurs axes de politique de rénovation des bus, nouvelle billettique, et mobilier urbain, notamment. Les infrastructures ferroviaires Le réseau structurant actuel épouse approximativement le schéma routier décrit ciavant, mais en étant essentiellement tourné vers le Nord puisque Nancy est un passage quasiobligatoire pour aller vers toute destination nationale ou internationale. Seules échappent à cette dépendance la ligne EpinalStrasbourg via St Dié des Vosges, faiblement desservie, et Neufchâteau qui permet de relier directement le Sud (Dijon, Lyon et la vallée du Rhône). L électrification en cours des lignes RemiremontBlainville (via Epinal) et St Dié des VosgesLunéville va renforcer cet état de fait, mais surtout en multiplier l efficacité par la connexion au TGVEst et la desserte directe de ces gares par les rames de ce TGV (horizon 007). Le Conseil Régional de Lorraine prévoit pour sa part de densifier les dessertes T.E.R.

15 15 Les voies navigables Le Canal des Vosges, avec sa branche desservant le port d Epinal, traverse le département en son centre selon un axe Nord Sud. Sa modernisation actuelle par V.N.F vise à favoriser le développement du tourisme fluvial. Dans le cadre des contrats de plan, et notamment dans les contrats de pays, V.N.F. et les collectivités territoriales souhaitent œuvrer à la préservation et à la valorisation de l important patrimoine fluvial. II. 6. ETABLISSEMENTS HÔTELIERS La densité en établissements hôteliers témoigne de capacités d accueil de clientèle de passage, que celleci soit professionnelle ou touristique et constitue un critère important de l attractivité d un territoire. Les deux types de clientèles coexistent avec des besoins et des logiques différents, besoins qui devront être précisés en rappelant que le développement du tourisme est très évolutif. Au total, dans le département des Vosges, ce sont 198 établissements hôteliers classés (hôtel, bar hôtel, auberge ) qui sont recensés par le Comité Régional du Tourisme. La répartition géographique en est la suivante: 5.5% soit 104 établissements dans l'arrondissement d'epinal : (Plombières : 13 établissements, Epinal : 11; La Bresse: 11...) ; 30.8% soit 61 établissements dans l'arrondissement de St Dié des Vosges : (Gérardmer : 30 établissements, St Dié des Vosges: 9...) ; 16.6% soit 33 établissements dans l'arrondissement de Neufchâteau : (Vittel : 10 établissements, Contrexéville: 10, Neufchâteau: 3...). On note en conséquence une dispersion beaucoup plus forte des hôtels sur l'arrondissement d'epinal puisque ces 104 établissements se répartissent sur un total de 39 communes. chiffres DRT II. 7. SITUATION ET DISPONIBILITES DU FONCIER Il s agit ici de décrire la situation et l évolution du coût des ressources foncières et d évaluer les disponibilités foncières prévues dans les documents d urbanisme. Il n a pas été possible de se procurer, à ce jour, de données précises en ce domaine.

16 16 III ANALYSE DE L'EQUIPEMENT COMMERCIAL DANS LES VOSGES (OFFRE COMMERCIALE) L'inventaire commercial des grandes et moyennes surfaces de détail (GMS) établi par la Direction Départementale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes recense, au 1er Avril 004, 357 magasins en libreservice de 300 à m² (hors automobiles et grossistes en bricolage) et une dizaine de galeries marchandes. Cet équipement développe une surface de vente globale de plus de m² dont près de 39 % sont exploités par des grandes surfaces à prédominance alimentaire (hypermarchés, supermarchés, magasins populaires et supérettes). STRUCTURE DE L'EQUIPEMENT COMMERCIAL DANS LES VOSGES AVRIL 004 TYPES D ETABLISSEMENTS NOMBRE DE MAGASINS SURFACE TOTALE (m²) DENSITE m²/1000 hab. SUPERETTES ( 300 à 400 m²) SUPERMARCHES ( 400 à 500 m²) HYPERMARCHES ( plus de 500 m²) SOUSTOTAL ALIMENTAIRE EQUIPEMENT DE LA PERSONNE (vêtements, chaussures, puériculture ) EQUIPEMENT DE LA MAISON (meubles, appareils ménagers, arts de la table, linge, décoration ) BRICOLAGE JARDINAGE ET ANIMALERIE ( hors grossistes vendant au détail) SPORT CULTURE ETLOISIRS(sport, livres, disques, jouets) DIVERS NON ALIMENTAIRE ( équipements automobiles, «solderies», biens d occasions ) GALERIES MARCHANDES (+ de 300 m²) SOUSTOTAL SPECIALISES TOTAL LES GRANDES ET MOYENNES SURFACES ALIMENTAIRES (GMS AL) Les hypermarchés ( + de 500 m²) sont bien représentés avec 1 établissements, soit 1 point de vente pour environ habitants contre en Lorraine et en France.

17 17 Leur taille demeure toutefois modeste, avec une moyenne de m² par magasin contre 6 00 en Lorraine et pour l'ensemble du pays. Ainsi, l'hypermarché vosgien le plus vaste offre une surface de vente de m², bien inférieure à celle des plus grands établissements de Moselle ou de MeurtheetMoselle, qui atteignent 14 ou m². Les supermarchés et supérettes ( de 300 à 500 m²) sont très nombreux avec 104 points de vente, soit 1 magasin pour environ habitants contre en Lorraine et en France. Avec une surface moyenne de 98 m², ils apparaissent aussi grands qu'ailleurs ( 910 en Lorraine, 980 en France). Parmi cette catégorie, on remarque la présence d'un nombre important de magasins en "maxidiscomptes" (44), forme de distribution qui connaît actuellement un fort développement. LES ENSEIGNES ALIMENTAIRES DANS LES VOSGES AVRIL 004 GROUPES/ENSEIGNES NOMBRE DE MAGASINS SURFACE DE VENTE % DU PLANCHER COMMERCIAL LECLERC LECLERC 8 (H) CARREFOUR CHAMPION SHOPI 8 à HUIT ED 1 (H) m² 18,0 % m² 15,3 % m² 14,8 % 85 m² 14,1 % m² 8,1 % CARREFOUR CORA CORA MATCH (H) 7 ITM INTERMARCHE ECOMARCHE NETTO SYSTEME U SUPER U MARCHE U 7 CASINO GEANT CASINO LAEDER PRICE 1 (H) 3 ALDI LIDL m² m² m² 6,5 % 6,9 % 5,0 % ATAC NORMA 7 AUTRES ENSEIGNES DIVERSES m² 3 33 m² m² 4,4 %,1 % 4,9 % AUCHAN TOTAL m² 100 %

18 18 (H) : Hypermarchés UNE FORTE PROPORTION DE "MAXIDISCOMPTES" ALIMENTAIRES Nombre de magasins ALDI LIDL NORMA ED LEADER PRICE NETTO LE MUTANT Surface de vente Projets autorisés m² 5 AUTRES SUPERMARCHES CLASSIQUES m² TOTAL SUPERMARCHES m² 7 SOUS TOTAL"MAXIDISCOMPTE" 4 1 Les "maxidiscomptes" représentent aujourd'hui 4,3 % du nombre de supermarchés dans les Vosges et près de 30 % de leur surface de vente globale. LES GRANDES ET MOYENNES SURFACES SPECIALISEES (GMSS) Plus des /3 de l'équipement commercial vosgien sont représentés par des GMS spécialisées dans l'équipement de la personne et du foyer, le bricolage, le jardinage, le sport, la culture et les loisirs. Les enseignes nationales sont très nombreuses (plus d'une centaine), aucune d'entre elles ne concernant plus de cinq points de vente. LES ENSEIGNES NONALIMENTAIRES LES PLUS REPRESENTEES ACTIVITE EQUIPEMENT DE LA PERSONNE ENSEIGNES LA HALLE LA HALLE AUX CHAUSSURES VETIMARCHE CCV GEMO DEFIMODE VIVAMODE TIPIC AUBERT NEWBABY POINTS DE VENTE EQUIPEMENT DU FOYER BUT M.MEUBLE CONFORAMA 3 3

19 19 FLY MAGA MEUBLES CUISINE SCMITT MAISON DE LA LITERIE CONNEXION DARTY EXPERT 1 1 BRICOMARCHE TREFLE VERT ORCA M.BRICOLAGE BIGMAT GEDIMAT WELDOM CATENA GP DECOR GAMM VERT BRICORAMA CHANTEMUR 4 MURS INTERSPORT DECATHLON SPORT FLLE 000 FOIR'FLLE CASA VIMA 4 3 BRICOJARDIN SPORT BAZAR UNE DENSITE COMMERCIALE IMPORTANTE AVRIL 004 Rapporté en terme de mètres carrés (m²) de surface de vente pour habitants, l'équipement commercial vosgien présente une densité supérieure à celle de la région Lorraine et à celle de l'ensemble du pays. SECTEURS hab. ALIMENTAIRE EQUIPT PERSONNE EQUIPEMENT MAISON BRICOJARDIN BAZAR DIVERS CULTURE ET LOISIRS GALERIES MARCHANDES TOTAL hab hab hab LORRAINE hab. FRANCE hab

20 0 Seul le secteur culturel apparaît relativement souséquipé, en raison de l'absence de grande surface spécialisée en livres, disques et vidéo. Les galeries commerciales, attenantes ou non à des hypermarchés, sont peu nombreuses et de dimension modeste. REPARTITION GEOGRAPHIQUE AVRIL 004 La répartition géographique des GMS est, approximativement, à l'image de celle de la population, avec une forte densité le long de la vallée de la Moselle (4 % de l'équipement) et à l'est de celleci (38 %) ; l'ouest et le sud (Plaine et Vôge), représentant la moitié de la superficie départementale, n'abritent que 0 % de l'ensemble des magasins de plus de 300 m². des concentrations très importantes dans les deux principaux pôles commerciaux : Epinal 100 GMS SaintDié des Vosges 60 GMS un équipement diversifié dans les pôles secondaires de : Neufchâteau 31 GMS Remiremont 31 GMS Contrexéville 17 GMS un équipement de base dans les cantons de Mirecourt, Gérardmer, Bruyères, Rambervillers, Le Thillot, Raonl'Etape, Senones, Fraize et Charmes (5 à 1 GMS) au moins un supermarché dans les autres cantons du département à l'exception de ceux de Coussey, MonthureuxsurSaône, Brouvelieures et ProvenchèressurFave, complètement démunis. LES GRANDES "ZONES COMMERCIALES" DU DEPARTEMENT Environ un tiers des grandes et moyennes surfaces du département (GMS) sont regroupées au sein de zones ou de quartiers à haute densité commerciale : Dans l'agglomération spinalienne : La Voivre/Le Saut le Cerf La Roche/ Parc des Expositions Site Carrefour La Fougères (Chavelot) : 35 GMS : 6 GMS : 6 GMS : 0 GMS Dans l'agglomération déodatienne : Sainte Marguerite/ St Die des Vosges Sud : 30 GMS Hellieule : 15 GMS A Neufchâteau Site Leclerc/Champ Fauvé/Champ Le Roi : 1 GMS

21 1 A Remiremont/Saint Nabord Site Intermarché/Le Moulin : 6 GMS A Contrexéville Site Leclerc/La Chaille : 5 GMS LA DENSITE COMMERCIALE PAR CANTON Le tableau des densités commerciales par canton illustre bien les disparités entre zones plus ou moins peuplées, avec toutefois une exception pour le canton de NEUFCHATEAU qui, avec une population somme toute modeste, affiche la densité la plus élevée. Le phénomène s'explique par l'isolement du cheflieu d'arrondissement qui, avec une taille modeste, dessert commercialement de très larges territoires à caractère rural de l'ouest vosgien mais également des départements limitrophes, presque totalement dépourvus de GMS spécialisées. Le canton de NEUFCHATEAU offre ainsi l'image d'une "oasis commerciale" tranchant avec le reste du département. LES DENSITES COMMERCIALES PAR CANTON DES VOSGES TOUS COMMERCES AVRIL 004 Cantons NEUFCHATEAU SAINTDIE DES VOSGES ( cantons) EPINAL ( cantons) VITTEL GERARDMER BRUYERES CHATELSURMOSELLE REMIREMONT MIRECOURT RAONL'ETAPE RAMBERVILLERS SENONES CHARMES SAULXURES S/MOSELOTTE THILLOT FRAIZE CHATENOIS BAINSLESBAINS DOMPAIRE Population Surface de vente (m²) (1) Nombre de Densité magasins (m² /1000hab.) (1)

22 PLOMBIERESLESBAINS XERTIGNY CORCIEUX DARNEY BULGNEVILLE LAMARCHE COUSSEY MONTHUREUX SUR SAONE BROUVELIEURES PROVENCHERES SUR E Tous commerces de détail de plus de 300 m² hors vente d'automobiles et grossistes bricolage L'EVOLUTION DE L'APPAREIL COMMERCIAL AVRIL 004 Le paysage commercial a considérablement évolué au cours des 10 dernières années, période au cours de laquelle la grande distribution, notamment spécialisée, s'est fortement développée et diversifiée à travers l'ensemble du département. EVOLUTION DE L'EQUIPEMENT COMMERCIAL VOSGIEN GMS DE 400 M² ET PLUS OCTOBRE 1994 AVRIL 004 Nombre de points de vente Hypermarchés Supermarchés/magasins populaires SOUSTOTAL ALIMENTAIRE Commerces nonalimentaires (hors automobiles) Galeries marchandes SOUSTOTAL NONALIMENTAIRE TOTAL ,4 % + 16,6 % +,3 % + 70,9 % + 66,7 % + 70,7 % + 5,6 % Surface de vente ( m² ) Hypermarchés Supermarchés/magasins populaires SOUSTOTAL ALIMENTAIRE Commerces nonalimentaires (hors automobiles) Galeries marchandes SOUSTOTAL NONALIMENTAIRE TOTAL , % + 0,3 % + 31,4 % + 49,3 % + 33,3 % + 48,6 % + 41,5 % Si le nombre d'hypermarchés a considérablement évolué, ce n'est que par extension de cinq supermarchés déjà existants, aucune surface de vente alimentaire de plus de 500m² n'ayant été créée au cours des dix dernières années. Le nombre de supermarchés ( + de 400m²) a en revanche sensiblement progressé avec 19 créations nettes. Concernant plus particulièrement les "maxidiscomptes", leur nombre est passé de en 1995 à 44 en 004, dont 5 d'une taille très légèrement inférieure à 300 m², ce qui a permis une implantation sans autorisation.

23 3 Avec globalement plus de 70 % de progression en nombre, l'évolution du commerce spécialisé se présente très différemment d'un secteur d'activité à l'autre. Le secteur du sport et des loisirs, qui ne comptait en 1994 que deux grandes surfaces, en regroupe aujourd'hui 17. Les secteurs du bricolage et du jardinage ont vu le nombre de leurs établissements doubler en dix ans (de 40 à 80), tout comme les grands "bazars" ou "solderies" (de 1 à 6 ) L'équipement de la personne à connu une progression plus modérée (de 31 à 45) tout comme celui du foyer (de 46 à 66) DEMAIN.

24 4 Au regard des projets récemment autorisés par la Commission Départementale d'equipement Commercial (CDEC), et qui verront le jour très bientôt pour la plupart, on constate la poursuite actuelle de ces évolutions, comme l'illustre l'examen du stock de magasins "virtuels", relativement important et celui des dossiers en cours d'instruction. PROJETS DE CREATION AUTORISES NON ENCORE REALISES AU 17 AOÛT 004 ARRONDISSEMENT D'EPINAL VILLE EPINAL GOLBEY GOLBEY GOLBEY CHAVELOT CHARMES CHARMES CHARMES CHARMES REMIREMONT POUXEUX FRESSES/MOSELLE VALD'AJOL GIRANCOURT AYDOILLES BRUYERES RAMBERVILLERS DARNEY SAINTNABORD SAINTNABORD ENSEIGNE FORUMESPACECULTURE KINGJOUET BABOU LECLERC LEADERPRICE CHAUSSEA SPORT 000 SOLDERIE DEFIMODE BIGMAT ATAC NETTO ALDI ECOMARCHE ECOMARCHE LECLERC WELDOM INTERMARCHE BRICOMARCHE CHAUSSEXPO PROJET AUTORISATION DU SURFACE AUTORISEE 11/09/0 130 Extension Extension Extension Extension Extension Extension Extension Extension 16/07/03 16/07/03 01/10/03 17/06/03 3/1/0 3/1/0 3/1/0 3/1/0 0/09/0 19/08/0 11/0/03 3/1/0 11/01/03 19/08/03 3/05/0 15/1/03 11/04/0 01/06/04 01/06/ SURFACE ACTUELLE ARRONDISSEMENT DE SAINT DIE DES VOSGES VILLE SAINTDIE SAINTDIE SAINTDIE SAINTDIE SAINTDIE SAINTDIE SAINTDIE SAINTE MARGUERITE ANOULD ANOULD RAONL'ETAPE RAONL'ETAPE RAONL'ETAPE RAONL'ETAPE MOYENMOUTIER ENSEIGNE ALDI INTERMARCHE DECATHLON BOIS ET CHIFFONS LECLERC INTERSPORT FOIRFLLE GIFI ALDI SUPER U DEFI MODE CHAUSSEA SOLDERIE TEDDY TOYS ALDI PROJET Extension Extension Extension Extension Extension Extension AUTORISATION DU 16/03/04 10/01/03 13/01/04 13/03/03 13/03/03 30/04/03 16/07/03 15/1/03 17/0/04 16/03/04 4/07/0 4/07/0 4/07/0 4/07/0 17/0/04 SURFACE AUTORISEE SURFACE ACTUELLE

25 5 GERARDMER SUPERU Extension 3/05/ ARRONDISSEMENT DE NEUFCHATEAU VILLE NEUFCHATEAU NEUFCHATEAU NEUFCHATEAU NEUFCHATEAU NEUFCHATEAU NEUFCHATEAU NEUFCHATEAU CHATENOIS CHATENOIS VITTEL CONTREXEVILLE MIRECOURT ENSEIGNE EXPERT BRICOMARCHE GEMOCHAUSSURES INTERMARCHE IDEE ET DECO LECLERC UNIVERS DU SOMMEIL SUPERU ALDI CHAMPION FEUVERT SUPERCATENA PROJET AUTORISATION DU SURFACE AUTORISEE SURFACE ACTUELLE Extension 30/04/03 3/09/03 04/04/ Extension Extension 9/06/04 18/11/03 16/03/04 17/0/ Extension Extension 3/09/03 15/1/03 04/01/0 4/07/0 13/10/ PROJETS DE CREATION EN COURS D'INSTRUCTION AU 17 AOUT 004 JEUXEY ARRONDISSEMENT D'EPINAL CARREFOUR EXTENSION 000 ARRONDISSEMENT DE SAINT DIE DES VOSGES ARRONDISSEMENT DE NEUFCHATEAU MIRECOURT TREFF VERT EXTENSION 350 EVOLUTION ET ADAPTATION Au cours des dix dernières années, l'évolution de l'équipement commercial vosgien se caractérise avant tout par un accroissement sensible du nombre de moyennes et grandes surfaces, notamment spécialisées. Elle se traduit également par le souci permanent des entreprises d'adapter leur offre à l'attente des consommateurs en matière de choix et de confort d'achat. Ces efforts de modernisation et d'adaptation, rendus d'autant plus nécessaires que la concurrence s'accroît, s'illustrent, entre autre, par des extensions de surface de vente. Cellesci étant soumises à autorisation, l'analyse des décisions de la CDEC en la matière apparaît riche d'enseignement et fait apparaître qu'au cours des dix dernières années, les demandes d'extension ou de transfert de GMS, acceptées dans plus de 90 % des cas, ont été aussi nombreuses que les demandes de création. BILAN DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'EQUIPEMENT COMMERCIAL La période d'observation s'étendant sur les 10 dernières années, il convient de rappeler qu'à partir de 1997, la nouvelle réglementation a abaissé les seuils d'autorisation de 1000 à 300 m²,

26 6 ce qui a largement participé à la hausse importante des demandes de création ou d'extension déposées après cette date. NOMBRE DE DECISIONS RENDUES PAR LA CDEC DES VOSGES JANVIER 1994 MARS 004 créations (3 mois) TOTAL extensions TOTAL NATURE DES DECISIONS RENDUES PAR LA CDEC DES VOSGES JANVIER 1994 MARS 004 Projets de création SECTEURS AUTORISES REFUSES TOTAL ALIMENTAIRE EQUIPT. PERSONNE EQUIPT. MAISON BRICOJARDIN CULTURE ET LOISIRS DIVERS ESSENCE TOTAL Projets de création par transfert SECTEURS ALIMENTAIRE BRICOJARDIN ESSENCE AUTORISES 3 REFUSES TOTAL

27 7 TOTAL 7 9 Projets d'extension SECTEURS ALIMENTAIRE EQUIPT PERSONNE EQUIPEMENT MAISON BRICOJARDIN CULTURE ET LOISIRS DIVERS ESSENCE TOTAL AUTORISES REFUSES TOTAL LA QUESTION DE L ACCESSIBILITÉ DE L OFFRE COMMERCIALE Tous les ménages du département ne bénéficient pas de la même facilité pour accéder à une offre commerciale. Cette accessibilité est dépendante de l automobile notamment en zone rurale et périurbaine et peut exclure certaines catégories sociales ne bénéficiant pas ou plus de conditions d accès motorisé. Néanmoins, le taux de motorisation est supérieur dans le département à la moyenne nationale, ce qui ajouté à l amélioration du réseau routier a permis de raccourcir nettement le temps d accès aux pôles commerciaux et d accroître la concurrence entre ceuxci dans un contexte de forte mobilité liée au travail et aux loisirs.

28 7 IV ANALYSE DE LA DEMANDE COMMERCIALE DANS LES VOSGES La Chambre de Commerce et d Industrie d Epinal a fait réaliser fin 003 une étude sur sa circonscription afin de mieux connaître les comportements d achat des habitants. Cette enquête a été étendue au périmètre de l ancienne CCI de Saint Dié des Vosges en 004 par la nouvelle CCI des Vosges, les premières conclusions en seront présentées ultérieurement. L objectif de cette étude était d obtenir une vision précise des modes de consommation des ménages vosgiens, en précisant notamment : les lieux d achat et les formes de commerce fréquentés par les ménages par type de produits ; les flux commerciaux par secteur géographique et les phénomènes d attraction/évasion ; le poids de chaque forme de distribution et des enseignes principales pour chaque secteur d activité ; la typologie des ménages et des comportements d achat ; la satisfaction des ménages vis à vis des villes et bourgs centres fréquentés. Le territoire étudié correspond à celui de la circonscription de l ancienne CCI d Epinal et couvrait deux arrondissements (Epinal et Neufchâteau) et 3 cantons, représentant au total habitants et ménages. L enquête a été réalisée sur un échantillon de ménages selon la méthode des quotas. L échelle retenue pour les quotas est le canton. UN MARCHÉ LOCAL DE PRÈS DE 1,4 MILLIARDS D EUROS Avec habitants, le territoire de la circonscription de l ancienne Chambre de Commerce et d'industrie d Epinal représente un potentiel de consommation de près de 1,4 milliards d euros. Ce marché est réparti suivant l occupation démographique du territoire. Il est donc essentiellement concentré sur la partie Est et SudEst correspondant aux bassins d Epinal et de Remiremont, et dans une moindre mesure, sur la partie NordOuest du département, avec les cantons de Neufchâteau, Vittel et Mirecourt. La partie SudOuest du département constitue une zone rurale faiblement peuplée M² DE SURFACE DE VENTE DE PLUS DE 300 M², PORTANT LA DENSITÉ COMMERCIALE À 1.19 M² POUR HABITANTS Plus d un tiers de ces surfaces, soit m², est implanté dans l agglomération d Epinal. Le reste est principalement réparti entre les pôles secondaires : Remiremont, Bruyères, Neufchâteau, La Bresse, Vittel / Contrexéville, Mirecourt, Charmes, Le Thillot,

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité

Plus en détail

EQUIPEMENT COMMERCIAL

EQUIPEMENT COMMERCIAL e > Offre globale Chiffres clés Vocation > Composition commerciale Les grandes enseignes Les magasins > Cartographies EQUIPEMENT COMMERCIAL OFFRE GLOBALE Chiffres-clés Nombre et surface GLA Départements

Plus en détail

Les Bourses A.A.C.(1) et Permis de conduire

Les Bourses A.A.C.(1) et Permis de conduire Les Bourses A.A.C.(1) et Permis de conduire Ces 3 bourses sont cumulables MAIS elles doivent être sollicitées chacune distinctement auprès de la durant la validité de la carte ZAP + 88. Le délai de paiement

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

La distribution : vue à la TV Les résultats du 1er janvier au 9 septembre 2007 (semaine 36)

La distribution : vue à la TV Les résultats du 1er janvier au 9 septembre 2007 (semaine 36) La distribution : vue à la TV Les résultats du 1er janvier au 9 septembre 2007 (semaine 36) La famille distribution-vad se classe en 7 e position des annonceurs de la TV hertzienne. Elle totalise 5,7 %

Plus en détail

Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19

Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Eco-quartier des Bergères - Cahier des Charges de la consultation d acquéreurs ILOT

Plus en détail

EQUIPEMENT COMMERCIAL

EQUIPEMENT COMMERCIAL Territem, au service des entreprises Information territoriale 2011-2014 > Offre globale Chiffres-clés Composition commerciale > Equipements structurants > Cartographies EQUIPEMENT COMMERCIAL Panorama OFFRE

Plus en détail

I. Les entreprises concernées et l opération

I. Les entreprises concernées et l opération RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 10-DCC-14 du 17 février 2010 relative à la prise de contrôle conjoint de la société Stradis SAS par les sociétés Corlam SAS et ITM Alimentaire Ouest (Groupe ITM Entreprises)

Plus en détail

DES EXEMPLES DE PROJETS PRESENTES EN PDUC

DES EXEMPLES DE PROJETS PRESENTES EN PDUC Type d UC Outils du diagnostic Problématique Projet Magasin spécialisé dans la vente de produits pour l équitation Observation Analyse du compte de résultat Enquête clientèle Etude de concurrence Perte

Plus en détail

NORD (59) ROUBAIX Roubaix Est : Moulin, Potennerie, Sainte Elisabeth, Pile, Sartel Carihem, Trois ponts (ZRU - Liste prioritaire ANRU) Commerce diffus

NORD (59) ROUBAIX Roubaix Est : Moulin, Potennerie, Sainte Elisabeth, Pile, Sartel Carihem, Trois ponts (ZRU - Liste prioritaire ANRU) Commerce diffus NORD (59) ROUBAIX Roubaix Est : Moulin, Potennerie, Sainte Elisabeth, Pile, Sartel Carihem, Trois ponts (ZRU - Liste prioritaire ANRU) Le dispositif commercial existant Nature et composition Concentrations

Plus en détail

COMMERCE. Paramètres-clés 4. Diagnostic 6. Enjeux 18. Principes 23

COMMERCE. Paramètres-clés 4. Diagnostic 6. Enjeux 18. Principes 23 2008 2012 COMMERCE Paramètres-clés 4 Accompagner le développement d un territoire en croissance 4 Intégrer la dynamique économique du territoire 5 Diagnostic 6 Une armature commerciale accompagnant le

Plus en détail

I. Les entreprises concernées et l opération

I. Les entreprises concernées et l opération RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 09-DCC-46 du 28 septembre 2009 relative à la prise en location-gérance par la société Distribution Casino France d un hypermarché détenu par la société Doremi L Autorité

Plus en détail

Seule adresse Le Service Information et Etudes Economiques de la CCD

Seule adresse Le Service Information et Etudes Economiques de la CCD une Seule adresse Le Service Information et Etudes Economiques de la CCD BP 84 - Tél : 21 35 10 70 Fax : 21 35 00 96 - E-mail : ccd@intnet.dj - d'une opportunité à saisir, - d un partenariat à nouer, -

Plus en détail

La carte ZAP + 88 : un "pass" d'accès à la culture, au sport et aux loisirs

La carte ZAP + 88 : un pass d'accès à la culture, au sport et aux loisirs La carte ZAP + 88 : un "pass" d'accès à la culture, au sport et aux loisirs Grâce à la carte ZAP, les jeunes vosgiens de 10 à 25 ans peuvent profiter d'un accès privilégié à la culture avec : - 1 chèque

Plus en détail

L emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort

L emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort Chiffres clés 1 207 emplois en moyenne sur l année 2011 dans le Territoire de Belfort*. Soit 850 emplois en équivalent temps plein (dont plus de 700 en zone urbaine). 2,4 % de l emploi total du département.

Plus en détail

Du diagnostic au Plan d Actions

Du diagnostic au Plan d Actions PDU DE LA COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DE ROYAN ATLANTIQUE (CARA) 2013-2022 Du diagnostic au Plan d Actions Réunions Publiques Automne 2012 1 Déroulé de la séance Rappel de la démarche (loi, diagnostic,

Plus en détail

CENSI BOUVARD. Residhome Apparthotel Paris Nanterre. Nanterre (92)

CENSI BOUVARD. Residhome Apparthotel Paris Nanterre. Nanterre (92) CENSI BOUVARD 2014 (92) o Prootant du dynamisme de La Défense et de l'attractivité d'une vraie vie de quartier, la résidence Résidhome Paris se situe sur une place bordée de commerces et de restaurants.

Plus en détail

Portrait statistique de l emploi dans le commerce de détail. sur le périmètre de l inter-scot de l aire métropolitaine lyonnaise

Portrait statistique de l emploi dans le commerce de détail. sur le périmètre de l inter-scot de l aire métropolitaine lyonnaise Les Scot de l aire métropolitaine lyonnaise Agglomération lyonnaise Beaujolais Boucle du Rhône en Dauphiné Bugey-Côtière-Plaine de l Ain La Dombes Loire Centre Monts du Lyonnais Nord-Isère Ouest lyonnais

Plus en détail

Typologie Commerciale

Typologie Commerciale Schéma de développement commercial de l agglomération Rouen-Elbeuf Diagnostic Schéma de développement commercial de l agglomération de Rouen-Elbeuf Typologie Commerciale Février 2005 Chambre de Commerce

Plus en détail

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...

Plus en détail

Au-delà du commerce lui-même, l'urbanisme

Au-delà du commerce lui-même, l'urbanisme Grand Angle Au-delà du commerce lui-même, l'urbanisme commercial touche aussi fortement les consommateurs, qu ils soient résidents ou de passage, et plus largement toute l économie de notre territoire,

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Evolution des commerces à Paris. Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014

DOSSIER DE PRESSE. Evolution des commerces à Paris. Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014 DOSSIER DE PRESSE Evolution des commerces à Paris Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014 Contacts presse : Ville de Paris : Marie Francolin : presse@paris.fr / 01.42.76.49.61 CCI Paris :

Plus en détail

MESURES D ACCOMPAGNEMENT

MESURES D ACCOMPAGNEMENT LIVRET VI MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT ET SUIVI DE L ANALYSE DE LA SITUATION 127 Sommaire I DES MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT page 126 HABITAT EQUIPEMENTS

Plus en détail

Problématique : la mutualisation comme solution pour le maintien des services publics en milieu rural

Problématique : la mutualisation comme solution pour le maintien des services publics en milieu rural Évaluation de la politique de soutien du CPER 2007-2013 de la région Centre aux Maisons des services publics, Relais services publics et leur articulation avec les autres entrées de service sur le territoire

Plus en détail

Panorama de la grande distribution alimentaire en France

Panorama de la grande distribution alimentaire en France N 25 Février 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Panorama de la grande distribution alimentaire

Plus en détail

Carré Vélizy, Vélizy-Villacoublay (78)

Carré Vélizy, Vélizy-Villacoublay (78) Carré Vélizy, Vélizy-Villacoublay (78) Dossier de presse 1 er décembre 2009 Jacques BLANCHARD, MRM Président Directeur Général Olivier LEMAISTRE, CB Richard Ellis Investors Responsable du portefeuille

Plus en détail

ou "Supervisée" & Permis Bourses "Conduite Accompagnée" Contact : Mission Jeunes Tél. 03 29 29 89 60 courriel : mission.jeunes@cg88.

ou Supervisée & Permis Bourses Conduite Accompagnée Contact : Mission Jeunes Tél. 03 29 29 89 60 courriel : mission.jeunes@cg88. Bourses "Conduite Accompagnée" ou "Supervisée" & Permis Aide sollicitée Ces 3 bourses sont cumulables mais elles doivent être sollicitées chacune distinctement auprès de la Mission Jeunes durant la validité

Plus en détail

ENQUETE AGROALIMENTAIRE 2012. Philippe PAYET MEFPIE

ENQUETE AGROALIMENTAIRE 2012. Philippe PAYET MEFPIE ENQUETE AGROALIMENTAIRE 2012 Philippe PAYET MEFPIE Introduction... 3 L Entreprise et son dirigeant... 4 L entreprise et son marché... 6 L entreprise et son personnel... 9 Projets de recrutement... 11 En

Plus en détail

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne Mendès France Croix Bonneau - Bourderies auriers Mairie de Chantenay Plessis Cellier - Roche Maurice Boucardière - MallèveJean Macé Salorges - Cheviré - zone portuaire E QUARTIER Sainte- Anne, contrasté,

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE LA VENDÉE. L expertise foncière au service. de vos projets

ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE LA VENDÉE. L expertise foncière au service. de vos projets ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE LA VENDÉE L expertise foncière au service de vos projets Mot du Président Alain LEBOEUF Président de l EPF de la Vendée Les données démographiques nous le rappellent chaque

Plus en détail

Les pôles commerciaux et leurs magasins

Les pôles commerciaux et leurs magasins Les pôles commerciaux et leurs magasins Julien Fraichard* Pour les commerçants, l'implantation de leur établissement dans le tissu urbain est primordiale. Certains types de commerces, comme les magasins

Plus en détail

COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 16 DECEMBRE 2013

COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 16 DECEMBRE 2013 DEPARTEMENT DES VOSGES Arrondissement de NEUFCHATEAU Canton de CHATENOIS Mairie de CHATENOIS 1 Rue de Lorraine BP 40 88 170 CHATENOIS : 03.29.94.51.09 Fax : 03.29.94.59.40 E-Mail : ville-chatenois88@wanadoo.fr

Plus en détail

Évolution du tissu artisanal en Bretagne

Évolution du tissu artisanal en Bretagne du tissu artisanal en Bretagne Alors que le nombre d entreprises artisanales bretonnes a baissé depuis 1990, 28 000 emplois salariés supplémentaires ont été créés dans le secteur en 14 ans. La taille des

Plus en détail

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,

Plus en détail

BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX

BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX 1 - Des communes inégalement desservies en terme d équipements 2 - Des pôles majeurs d attraction en terme d équipements 3 -

Plus en détail

Statistiques du commerce et de la distribution

Statistiques du commerce et de la distribution Photo :Marc Benoun Statistiques du commerce et de la distribution 1 Cette présentation vous permettra d avoir une vue d ensemble des formats, des structures et du poids économique du commerce en France

Plus en détail

Baromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont N 4

Baromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont  N 4 N 4 Chiffres clés de l arrondissement de Source INSEE RGP 1999 Estimation CCI de Troyes et de l Aube Bar sur Aube Population 2007 : 29 427 hab. 9,8 % de la population auboise Superficie : 1 193 km2 Densité

Plus en détail

Bordeaux, jeudi 3 février 2011

Bordeaux, jeudi 3 février 2011 Pionnier du commerce en ligne, Cdiscount, filiale du groupe Casino, est le leader de la distribution par Internet en France. Cdiscount propose une offre de produits de plus de 100 000 références répartie

Plus en détail

PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT

PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT Chacune des questions de la feuille de logement fait l'objet d'une fiche recto-verso. Ces fiches ont vocation à être mises en ligne sur le site web

Plus en détail

Gérardmer. Centre des Congrès Espace L.A.C. Congrès Séminaires. Banquets. Salons. Réunions. Spectacles

Gérardmer. Centre des Congrès Espace L.A.C. Congrès Séminaires. Banquets. Salons. Réunions. Spectacles Gérardmer Congrès Séminaires Banquets Salons Réunions Spectacles Centre des Congrès Espace L.A.C. Villa Monplaisir Espace L.A.C. Espace L.A.C. 2 UN SITE D EXCEPTION Carrefour entre la Lorraine et l Alsace,

Plus en détail

Réunion La Teste ( 08/03/10 )

Réunion La Teste ( 08/03/10 ) Réunion La Teste ( 08/03/10 ) Dès le début notre association a œuvré pour la création d un véritable réseau de transport en commun sur l ensemble du pays du Bassin d Arcachon en prônant le développement

Plus en détail

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014 CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02

Plus en détail

Vision de la planification «TOD Bois-Franc» Direction de l aménagement urbain et des services aux entreprises

Vision de la planification «TOD Bois-Franc» Direction de l aménagement urbain et des services aux entreprises Vision de la planification «TOD Bois-Franc» Direction de l aménagement urbain et des services aux entreprises S O M M A I R E La gare de train Bois-Franc deviendra la troisième station intermodale (métro/gare)

Plus en détail

D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5

D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5 D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5 GÉANT CASINO FAIT PEAU NEUVE Après une baisse des tarifs sans précédent qui a permis à Géant Casino de devenir leader des prix bas, l enseigne d hypermarchés

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino

Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino Septembre 2012 / TBI&LMO / BPE 2ENT18 Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino 40 000 34 361 NAF rév.2, 2008 : Chiffres clés 2011 47.11CDEF 47.91B 30 000 20 000 20 390 22

Plus en détail

Marchés de services entre 20000 et 89999 H.T. Date de signature Rallye de France - pack visibilité collective

Marchés de services entre 20000 et 89999 H.T. Date de signature Rallye de France - pack visibilité collective Marchés de services entre 20000 et 89999 H.T. Objet Tiers Date de Code postal signature Rallye de France - pack visibilité collective FFSA - RALLYE DE FRANCE 67200 26/03/2013 Prestations de création graphique

Plus en détail

On distingue trois grandes périodes dans l'évolution des Agences :

On distingue trois grandes périodes dans l'évolution des Agences : LAgence L Agence d Urbanisme et de Développement de la Région de Saint Omer : évolution des missions i Colloque «Collectivités territoriales et processus d'urbanisation : Méthodes d'accompagnement et rôles

Plus en détail

Emmanuel MACRON, ministre de l Economie, de l Industrie et du Numérique

Emmanuel MACRON, ministre de l Economie, de l Industrie et du Numérique 3 Éditorial «Le numérique est aujourd hui dans tous les usages : les transports, les entreprises, les loisirs, les objets connectés, l accès à l information, les smartphones, etc. Mais il n est pas dans

Plus en détail

La création d entreprise en milieu rural

La création d entreprise en milieu rural La création d entreprise en milieu rural Une définition du milieu rural Définir le monde rural à partir de la taille des communes nous paraît insuffisant. En effet, il est important de prendre en compte

Plus en détail

Journée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques

Journée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques Journée d information du 5 novembre 2012 Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine économiques Gabrielle LABESCAT Principales tendances du tourisme urbain impactant la mobilité

Plus en détail

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011 Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du

Plus en détail

L a forte urbanisation du Nord permet la présence

L a forte urbanisation du Nord permet la présence L a forte urbanisation du Nord permet la présence dans les communes d'un nombre de commerces et services plus important qu'en moyenne nationale. Toutefois, rapporté à la densité de la population, le taux

Plus en détail

L immobilier d entreprise artisanale

L immobilier d entreprise artisanale e s c a L immobilier d entreprise artisanale n l B e E n j e u x L i v r S t r a t é g i P r o p o s i t i o n s Ile-de-France Rhône-Alpes Le Livre Blanc de l immobilier d entreprise artisanale Pourquoi?

Plus en détail

Direction du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat

Direction du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat Bureau de la Protection des Locaux d'habitation Direction du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat Règlement municipal fixant les conditions de délivrance des autorisations de changement

Plus en détail

Les déplacements dans la Haute-Marne

Les déplacements dans la Haute-Marne Les déplacements dans la Haute-Marne L AC C E S S I B I L I T É AU X É Q U I P E M E N T S E T S E R V I C E S Une partie importante des déplacements de ménages, outre ceux liés aux loisirs, au travail

Plus en détail

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Avis n 10-A-26 du 7 décembre 2010 relatif aux contrats d affiliation de magasins indépendants et les modalités d acquisition de foncier commercial dans le secteur de la distribution

Plus en détail

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2. Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.

Plus en détail

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LES ÉTABLISSEMENTS 31 748 COMMERCES EN REGION LE COMMERCE DE DÉTAIL, REPRÉSENTE 1/3 DES ÉTABLISSEMENTS DE LA RÉGION

Plus en détail

Programmes Opérationnels Européens 2007-2013 CADRE D INTERVENTION (FONDS FEDER)

Programmes Opérationnels Européens 2007-2013 CADRE D INTERVENTION (FONDS FEDER) Page 1 Axe Référence Domaine Service instructeur Dates agréments CLS 2 La compétitivité de l économie : développer l économie réunionnaise dans l environnement international REGION Direction des Affaires

Plus en détail

Modification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme

Modification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme Réunion des Présidents d Offices de Tourisme Bourges - Lundi 4 juillet 2011 Nouveaux critères de classement I - Introduction - modalités d application Extrait du Flash Infotourisme N 53-28 juin 2011 FNOTSI

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE

IMMOBILIER D ENTREPRISE La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber

Plus en détail

Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux

Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Claire de Kermadec* Les habitudes culturelles, la taille et la dynamique des marchés modèlent le paysage du commerce de détail en Europe.

Plus en détail

AMMONITIA Département Investissement Etude locative

AMMONITIA Département Investissement Etude locative AMMONITIA Département Investissement Etude locative PRESENTATION DE L ARRONDISSEMENT Démographie Paris 17 Paris Population en 2011 168 454 2 234 105 Variation population : taux annuel moyen entre 1999

Plus en détail

Effectifs : 3 personnes

Effectifs : 3 personnes DÉLÉGATION RÉGIONALE AU COMMERCE ET À L'ARTISANAT Déléguée : Mme Dominique DURAND (depuis janvier 2007) Madame Joselyne FORTEA SANZ (jusqu en décembre 2006) 39 boulevard de la Trémouille 21 000 DIJON Tél.

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES : CERTIFICATION NF X 50 770 PEPINIERE D ENTREPRISES

CAHIER DES CHARGES : CERTIFICATION NF X 50 770 PEPINIERE D ENTREPRISES Communauté de Communes de la Lomagne Gersoise CAHIER DES CHARGES : CERTIFICATION NF X 50 770 PEPINIERE D ENTREPRISES 1 Février 2012 PRESENTATION MAITRE D OUVRAGE ET CONTEXTE Présentation Communauté de

Plus en détail

Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne

Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Christophe RIPERT, Directeur immobilier, SOGARIS Cette présentation porte sur des exemples concrets d

Plus en détail

ÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS. EP4-SD-LI-02a «AN DER UECHT» PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG

ÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS. EP4-SD-LI-02a «AN DER UECHT» PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG SECTION IV - ÉTUDE PRÉPARATOIRE PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG ÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS EP4-SD-LI-02a «AN

Plus en détail

Dossier de Presse. Lundi 24 juin 2013 Centre D Exploitation et de Maintenance LE MET. Nouvelle Billettique LE MET et tarification au 1 er juillet

Dossier de Presse. Lundi 24 juin 2013 Centre D Exploitation et de Maintenance LE MET. Nouvelle Billettique LE MET et tarification au 1 er juillet Dossier de Presse Lundi 24 juin 2013 Centre D Exploitation et de Maintenance LE MET Nouvelle Billettique LE MET et tarification au 1 er juillet Sommaire La nouvelle Billettique LE MET page 3 La Carte Sans

Plus en détail

- Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION

- Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION - Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION PRÉAMBULE Le secteur des services à la personne a connu une croissance très rapide

Plus en détail

DEUX-SÈVRES. F é v r i e r 2015. Viséo 79,

DEUX-SÈVRES. F é v r i e r 2015. Viséo 79, Viséo 79, L O B S E R VAT O I R E D É PA R T E M E N TA L F é v r i e r 2015 L ÉQUIPEMENT EN DE LA PERSONNE DEUX-SÈVRES Chambre de Commerce et d Industrie des Deux-Sèvres Observatoire Economique, Viséo

Plus en détail

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Élaboration du volet «éolien» du schéma régional du climat, de l air et de l énergie DREAL Nord Pas de Calais Service ECLAT CCTP volet éolien du SRCAE page 1

Plus en détail

COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL

COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris

Plus en détail

SOMMAIRE INTRODUCTION... LA REGLEMENTATION DE L URBANISME COMMERCIAL ET LES PARTICULARITES EXISTANTES DANS LES DOM-TOM...

SOMMAIRE INTRODUCTION... LA REGLEMENTATION DE L URBANISME COMMERCIAL ET LES PARTICULARITES EXISTANTES DANS LES DOM-TOM... SOMMAIRE INTRODUCTION... 1ère PARTIE I II LA REGLEMENTATION DE L URBANISME COMMERCIAL ET LES PARTICULARITES EXISTANTES DANS LES DOM-TOM... p. 3 p. 4 Une réglementation complexe, remaniée à différentes

Plus en détail

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)

Plus en détail

vous présente 1, route des Gâtines 78990 ELANCOURT

vous présente 1, route des Gâtines 78990 ELANCOURT vous présente 1, route des Gâtines 78990 ELANCOURT SITUATION GÉOGRAPHIQUE REJOINDRE ELANCOURT : EN VOITURE : Accès direct à l A12 depuis la N12 Autoroute A13 A 30 min de Paris A 55 min de Chartres A 10

Plus en détail

Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail

Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail ILE-DE-FRANCE à la page à la page N 353 - Avril 11 Population Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail Les Franciliens utilisent autant la voiture

Plus en détail

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013) Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du

Plus en détail

Focus sur les politiques publiques de l épargne en France

Focus sur les politiques publiques de l épargne en France Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager

Plus en détail

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

Organisation générale

Organisation générale LE MASTER MARKETING ET COMMERCE Organisation générale Le Master Marketing et Commerce a pour objectif de former des spécialistes de la relation client autour des métiers du marketing et de la vente. La

Plus en détail

PROJET DE PÔLE COMMERCIAL SAINT-LOUIS A BREST

PROJET DE PÔLE COMMERCIAL SAINT-LOUIS A BREST PROJET DE PÔLE COMMERCIAL SAINT-LOUIS A BREST ENQUÊTE PUBLIQUE DE DÉCLASSEMENT DE LA PORTION DE LA RUE DES HALLES SAINT-LOUIS SITUÉE AU DROIT DE LA RUE DUQUESNE NOTICE EXPLICATIVE 1 LE DECLIN DES HALLES

Plus en détail

les évolutions récentes

les évolutions récentes DE L ADEUS les évolutions récentes dans le BAS-RHIN : des territoires plus spécialisés et plus interdépendants 92 DéCEMBRE 2012 TRANSVERSAL Illustration : ADEUS, 2012 Depuis le milieu des années 1970,

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

Grille d'évaluation. Nom:... Prénom:...

Grille d'évaluation. Nom:... Prénom:... Grille d'évaluation Nom:... Prénom:... AMMA ASSURANCES a.m. Association d assurance mutuelle à cotisations fixes conformément à l article 2, 2 de la Loi du 25.06.1992 (M.B. 20.08.1992) agréée sous le code

Plus en détail

Une résidence exploitée par Euro Disney Associés S.C.A. Un référencement

Une résidence exploitée par Euro Disney Associés S.C.A. Un référencement Une résidence exploitée par Euro Disney Associés S.C.A. Un référencement Marne-la-Vallée, puissant pôle d'attraction 40 ans d aménagement novateur : territoire d expérimentation et véritable précurseur

Plus en détail

Circulaire du 13 avril 2006 relative aux ventes au déballage

Circulaire du 13 avril 2006 relative aux ventes au déballage MINISTERE DES PME, DU COMMERCE, DE L ARTISANAT ET DES PROFESSIONS LIBERALES Circulaire du 13 avril 2006 relative aux ventes au déballage Les ventes au déballage, quelle que soit leur dénomination (vide-greniers,

Plus en détail

Dossier de presse. Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état

Dossier de presse. Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état Dossier de presse Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état le mercredi 11 janvier 2015 à la Clusaz Contact : Service

Plus en détail

Annexes. Sources et concepts. Le zonage en zones d emploi 2010

Annexes. Sources et concepts. Le zonage en zones d emploi 2010 Sources et concepts L étude est basée sur le croisement de deux zonage d étude : celui en zones d emploi, mis à jour en 2010, et celui en bassins de vie (2012). La région Midi-Pyrénées est couverte par

Plus en détail

Comité syndical 29 avril 2015 à Janzé

Comité syndical 29 avril 2015 à Janzé Comité syndical 29 avril 2015 à Janzé Les missions du Pays touristique (inscrites dans les statuts du Syndicat Mixte). 1. Élaborer et participer à la mise en œuvre d un projet de développement touristique

Plus en détail

Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010

Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement 28 janvier 2010 1 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement UNE ANNEE CONTRASTEE

Plus en détail

Zone d Aménagement Concerté et Lotissement

Zone d Aménagement Concerté et Lotissement ZAC et Lotissement - Version 1 - Juin 2012 Zone d Aménagement Concerté et Lotissement Définition générale : Il existe deux procédures différentes permettant de réaliser une opération d aménagement : la

Plus en détail

Portrait statistique des entreprises et des salariés

Portrait statistique des entreprises et des salariés Portrait statistique des entreprises et des salariés Commerce de détail de l Habillement et des articles textiles Comité Paritaire de Pilotage de l Observatoire Portrait statistique des entreprises et

Plus en détail

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du logement et de l égalité des territoires

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du logement et de l égalité des territoires RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du logement et de l égalité des territoires Instruction du Gouvernement du 28 Mai 2014 relative au développement de la construction de logement par dérogation aux règles

Plus en détail

Mercredi 27 mai 2015. Les agences et opérateurs dans la modernisation de l Etat

Mercredi 27 mai 2015. Les agences et opérateurs dans la modernisation de l Etat Mercredi 27 mai 2015 Les agences et opérateurs dans la modernisation de l Etat Les agences et opérateurs de l Etat jouent un rôle déterminant dans de nombreuses politiques publiques, en apportant expertise,

Plus en détail

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour

Plus en détail