L ENTRE PLANTATION une solution pour maintenir le potentiel de production?
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- Adam Léger
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1 L ENTRE PLANTATION une solution pour maintenir le potentiel de production? Le vieillissement du vignoble, du fait d un renouvellement insuf sant, et l absence de solution ef cace pour lutter contre les maladies du bois suite à l arrêt des traitements arsénite, impactent directement la baisse le potentiel de production. Ce constat paraît d autant plus d actualité que la campagne 2007 a été marquée par de faibles rendements, un débouché Cognac qui dans bien des cas ne pourra être satisfait. Les rendements convenables des années antérieures, conjugués à une conjoncture moins favorable n ont fait que masquer ce phénomène de vieillissement du vignoble. Les viticulteurs en ont pris conscience, et différentes techniques sont régulièrement mises en œuvre par ces derniers a n d entretenir un potentiel de production et maintenir une longévité des vignes. Parmi celles-ci, l entre est couramment utilisée. Cet article a pour objectif de cerner la faisabilité technique et économique de la démarche. Sur les parcelles du réseau maturation de la Station Viticole, la mortalité observée depuis 1995 varie de 0,6 % à 1,7 % selon les années, une moyenne de 1,1 %. Qu en sera-t-il réellement de la mortalité si l évolution constatée du taux d expression annuelle ESCA/ BDA se poursuit? Différentes simulations laissent entrevoir une mortalité annuelle s établissant à plus de 2 % d ici 10 ans. Age du vignoble : Maladies du bois : un constat inquiétant Sur les 29 parcelles que compte l observatoire des maladies du bois en Charentes, l évolution du taux de symptômes ESCA/BDA est signi catif par rapport aux années antérieures puisqu il s établit à 6.5% en 2006 et 7.8 % en Le constat est identique sur les 55 parcelles du réseau maturation de la Station Viticole 6.2 % de taux d expression des symptômes en Concernant l Eutypiose, le taux annuel d expression est stable à 18-20%. Mortalité imputable aux maladies du bois : Elle est dif cile à estimer précisément étant donné le caractère aléatoire des symptômes d une année sur l autre. Cette uctuation des symptômes doit inciter à n arracher que les souches mortes. De plus, sur plusieurs années, beaucoup de ceps ont exprimé au moins une fois les deux maladies Eutypiose et ESCA/BDA. Les données concernant les classes d âge du vignoble sont peu précises et sont fournies par le dernier recensement agricole de La tendance est à un net vieillissement entre les deux recensements de 1988 et Depuis le début de la décennie actuelle, la tendance ne s est pas inversée, et l âge moyen du vignoble s est encore accru étant donné l insuf sance des renouvellements. 2 Chambre Infos-16 - Viticulture-Oenologie - Dossier technique n 9 - Décembre 2007
2 Un taux de renouvellement moyen minimal de l ordre de 2,5 % devrait être la norme a n de ne pas s exposer à ce phénomène de vieillissement accéléré. Le dispositif incitatif des s anticipées actuellement en vigueur favorise le renouvellement accéléré des parcelles les moins productives, mais son effet restera insuf sant. Organisation et gestion d un chantier d entre : L entre, lorsqu elle est mise en œuvre, est gérée de façon continue dans le temps: Sur les exploitations de taille moyenne (15 à 20 ha), le nombre moyen de complants annuels constatés est de l ordre de 250 à 300 pieds. Ce chiffre peut être largement supérieur si l entretien a été irrégulier les années antérieures ou inexistant. L entre intervient généralement sur la fraction de vignoble la plus jeune, les vieilles vignes audelà de ans font l objet d un entretien limité car en n de cycle de production. Matériels mis en œuvre : Le viticulteur peut organiser luimême son chantier, mais le plus souvent il fait appel à un prestataire pour extraire les pieds et préparer le sol. En général le chantier est effectué à l aide d une tarière à déport animée par la prise de force (Rabaud) ou de mini pelles équipées soit d une tarière hydraulique ou d une lame en U qui peuvent intervenir sur deux rangs à la fois. Ces systèmes permettent d aérer et bien ameublir le sol en profondeur. D autres systèmes existent tel que la Rotobêche, mais paraissent moins adaptés. Souvent, c est le pépiniériste fournissant les plants qui réalise le chantier. Ces travaux sont réalisés lorsque les sols sont bien ressuyés. Le maximum de racines doit être enlevé a n de se prémunir contre le pourridié et le court noué. Il faut laisser le sol s aérer et ne procéder à la mise en terre du plant que quelques semaines plus tard. L apport de fumure doit être modéré et il faut éviter tout contact les racines du complant. En sol pauvre, si apport il y a, privilégier une forme organique lors des travaux de préparation du sol à incorporer au fond du trou. Adapter le porte-greffe en fonction de l âge de : porte-greffe identique au reste de la parcelle dans le cas de remplacement immédiatement après porte-greffe plus vigoureux sur vigne installée, a n de compenser la concurrence des ceps voisins La période optimale de com pour les greffés racinés traditionnels s étale de novembre à n avril, et de septembre à mi-décembre pour les plants en pots. Les plants en pots possèdent une bonne capacité de reprise car le système racinaire est bien développé. Lors de la com automnale, le plant en pot Tarière Rabaud doit être bien aoûté et demande une soignée. Pour les coms printanières, il est nécessaire d arroser lors de la mise en place du plant, puis régulièrement au-delà en fonction de la pluviométrie annuelle. Les grands plants : la longueur du porte-greffe est surdimensionnée (30 cm et plus). Ils sont plus chers (2 à 2.20 le plant). Les plants ne doivent pas être plantés à plus de 25 cm de profondeur. Leur utilisation évite la mise en place d un pochon, et l épamprage du pied n est pas nécessaire. Il faut tout de même faire attention au contact de produits de désherbage lors de la phase d im. L intérêt de ce type de plant est de limiter les plaies de taille sur le tronc. Il importe de bien les tuteurer a n de favoriser une bonne tenue du cep et d éviter une casse lors du passage de la machine à vendanger. Tarière à entraînement hydraulique montée sur mini pelle Décembre Dossier technique n 9 - Viticulture-Oenologie - Chambre Infos-16 3
3 Simulation économique Hypothèses de base : Exploitation de 20 ha Coût de : Amortissement : sur 25 ans, soit 608 de charge annuelle. La charge d amortissement est étalée au prorata de la longévité moyenne du vignoble (30, 35 ou 40 ans dans cette approche). Lame en U montée sur mini pelle Différents prestataires peuvent être contactés, parmi lesquels : Cédrick MARTIN Christian MERCERON Jacques RAFFOUX ou bien contacter son pépiniériste habituel. Coût annuel entre (base 300 pieds): 1157 au prorata pour 470 pieds. Une perte de récolte est estimée sur la fraction supplémentaire renouvelée dans le cas d une longévité 30 et. Les surcoûts liés à l entretien du palissage pour augmenter la longévité du vignoble ne sont pas pris en compte. Coût de l entre Le détail des temps de travaux et coûts des fournitures indicatif est calculé sur une base d un chantier de 300 entre plants : Temps de travaux : (pour 300 pieds) Tronçonnage ou taille des lattes 3 h Arrachage tarière (90 trous à l h) 3 h 20 Plantation à la fourche et mise en place des marquants 6 h 30 Mise en place des pochons et attachage 2 h Arrosage 4 h Total : 18 h 50 Des temps supplémentaires spéci ques d établissement peuvent intervenir en seconde et troisième années. Coût des fournitures Prix unit nb Coût Plants Fertilisant Marquant (1 ou 2/pied) Protection Total : 657 Récapitulatif Coût des matériels : Traction (12 /h) 15 h Frais matériels (tarière) :) Amortissement + entretien 65 Coût main d œuvre : Salarié (13 /h) 18 h Coût des fournitures 657 Total Dans cet exemple, trois longévités de vignoble sont retenues : base de référence : 30 ans 35 années ou entre 40 années ou entre Calcul et affectation de la charge d entre : La com est généralement opérée sur la fraction jeune du vignoble. Les simulations réalisées un taux de mortalité de 1.5%, sur la base d un vignoble de 20 ha renouvelé régulièrement nécessiterait un remplacement d environ 420 à 470 pieds. La fraction d un vignoble plus âgé concernée par l entre est moins importante et se situerait vers 300 à 350 pieds. Détermination des super cies concernées par l entre : La surface entre plantée dans notre exemple est de 12.5 ha 470 entre plants annuels. Cela correspond à un vignoble régulièrement renouvelé. Perte de revenu estimée si parcellaire non entre planté : La perte de volume est aléatoirement xée. 4 Chambre Infos-16 - Viticulture-Oenologie - Dossier technique n 9 - Décembre 2007
4 Simulation 1 : une perte de 10 hl sur 11.3 ha (fraction la plus âgée du vignoble impactée par une baisse de rendement si aucun remplacement de ceps morts n est réalisé dans le temps) est simulée dans le cas d une longévité vignoble de. Sur, la perte est estimée à 15 hl sur 12.6 ha. Le niveaux de valorisation est xé à 75 % Cognac (635 l ha d AP) et 25 % Vin (320 l hl d AP) longevité longévité Simulation 1 Référence 30 ans Charges d' / ha 90,2 90,2 Perte recolte s/ 50,1 30,5 30,5 0,0 0,0 Perte de revenu s/non entrep 282,6 472,7 Total charges 556,7 555,0 747,4 470,2 852,7 différentiel: 1,7-190,7 86,5-296,0 192,4 382,5 S1: Estimation perte de revenu / ha: débouché valorisé à 50 % Cognac; 50 % vin ha 11,29 12,59 hl ,32 151,08 AP 8,13 477,50 13,60 Valorisation Cognac 635,00 635,00 Valorisation Vin 320,00 "50% C 50% V 320,00 477,50 Perte revenu totale: 3881, ,66 Perte revenu ha: 194,08 324,63 Simulation 2 : idem simulation 1 une valorisation plus faible de la perte de volume (25 % à destination du Cognac et 75 % en Vin) longevité longévité Simulation 2 Référence 30 ans Charges d' / ha 90,2 90,2 Perte recolte s/ 28,8 17,6 17,6 0,0 0,0 Perte de revenu s/non entrep 202,6 338,9 Total charges 535,5 542,1 654,4 470,2 718,9 différentiel: 14,6-97,7 86,5-162,1 112,3 248,6 S2: Estimation perte de revenu / ha: débouché valorisé à 25 % Cognac; 75 % Vin ha 11,29 12,59 hl ,90 188,85 AP 10,16 17,00 Valorisation Cognac 635,00 635,00 Valorisation Vin 320,00 320,00 398, , ,35 202,58 338,87 Décembre Dossier technique n 9 - Viticulture-Oenologie - Chambre Infos-16 5
5 Simulation 3 : La valorisation est réalisée sur une base 75 % en jus de raisin à 140 l hl d AP et 25 % en Vin à 320 l hl d AP. longevité longévité Simulation 3 Référence 30 ans Charges d' / ha 90,2 90,2 Perte recolte s/ 20,7 12,6 12,6 0,0 0,0 Perte de revenu s/non entrep 116,9 195,5 Total charges 527,4 537,1 563,8 470,2 575,5 différentiel: 19,6-7,0 86,5-18,7 26,6 105,2 S3: Estimation perte de revenu / ha: débouché valorisé à 50 % Vin; 50 % Jus de Ra nb ha 11,29 12,59 perte hl / ha ,90 188,85 perte en nb AP 10,16 17,00 Valorisation Vin 320,00 320,00 Valorisation JdR 140,00 140,00 230,00 Perte revenu totale: 2337, ,20 Perte revenu ha: 116,85 195,46 L entre permet de générer une économie de charge d amortissement en accroissant la longévité du vignoble (70 ha et 120 ha pour une longévité accrue de 5 et 10 ans respectivement). Quelques soient les simulations l avantage reste toujours en faveur de l entre, surtout lorsque la longivité du vignoble est portée à. L intérêt économique est net si le niveau de valorisation des débouchés est bon. En cas de débouchés insuf samment valorisés, la différence économique est moins marquée, mais dans ce contexte, c est généralement la compensation par le volume qui est recherchée, ce qui milite une fois de plus en faveur du maintien du potentiel de production. Contact : Laurent DUQUESNE BILAN DES COLLECTES D ARSENITE DE SOUDE Le 21 juin 2006, un accord-cadre a été signé par les ministères de l agriculture et de l écologie, les agences de l eau et ADIVALOR pour le nancement de l élimination des stocks d arsénite. COLLECTE ET RESULTATS Les collectes ont eu lieu les 7, 8 et 9 novembre 2006 dans les Charentes. Les viticulteurs ont largement répondu présent. Près de viticulteurs de la région (actifs ou retraités), dont plus de dans les Charentes, se sont déplacés pour rapporter leurs stocks d arsenite de soude. La quantité totale d arsenite éliminée sur la région est d environ 141 Tonnes, dont 132 Tonnes dans les Charentes 6 Chambre Infos-16 - Viticulture-Oenologie - Dossier technique n 9 - Décembre 2007
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