BILAN DES APPUIS TECHNIQUES OVINS VIANDE EN LANGUEDOC-ROUSSILLON

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1 BILAN DES APPUIS TECHNIQUES OVINS VIANDE EN LANGUEDOC-ROUSSILLON Campagne 2010 La mise en œuvre du conseil technique auprès éleveurs ovins vian du Languedoc- Roussillon inclut la réalisation d une Gestion Technico Economique l atelier ovin (GTE). Principalement stiné aux adhérents s organisations producteurs, cet appui technique est réalisé par les techniciens ces structures et ceux s services élevage s chambres départementales d agriculture. Pour la campagne 2010, 107 GTE ont ainsi été réalisées, puis centralisées en base données régionale. Un effectif qui reste stable par rapport aux années précéntes. La centralisation ces données et leur valorisation sont assurées par le maître d œuvre régional l appui technique (Languedoc-Roussillon Elevage) et l Institut l Elevage (Service Action Régionale Sud-Est). Des élevages localisés en zones difficiles A l instar la population totale s éleveurs ovins vian du Languedoc-Roussillon, les élevages suivis en GTE sont localisés préférentiellement dans les départements la Lozère et l Au, et dans les zones pastorales et montagne. Localisation s élevages en GTE Départements Région Zones cultures Zones s Montagnes Pyrénéennes Zones s Montagnes du massif central Zones pastorales Ensemble Nombre % 18,7% 0,9% 0,9% 20,6% Nombre % 1,9% 11,2% 13,1% Nombre % 16,8% 3,7% 0,9% 21,5% Nombre % 28,0% 5,6% 9,3% 1,9% 44,9% Nombre % 44,9% 29,9% 12,1% 10,3% 2,8% 100,0% Région Languedoc Roussillon

2 Des exploitations dimensions variables La classification s élevages par grand type système permet mieux rendre compte la diversité s structures et s mos fonctionnement. Dans notre échantillon, les élevages sont plutôt spécialisés, hormis le type Margeri marqué par une mixité Ovin/Bovin Vian (en moyenne ux tiers d UGB ovines), et, dans le type Caussenard, quelques élevages associant ovins vian et ovins lait. La taille s troupeaux varie d un type à l autre : on retrouve aux extrêmes les élevages type Catalan (petites troupes moins 200 brebis, souvent associées à une activité diversification) et ceux type Caussenard (troupe importante proche 450 têtes, le plus souvent dans s GAEC). Hormis pour le type Audois complètement replié sur sa SFP, la forte mobilisation surfaces pastorales proximité est mise dans tous les autres systèmes, doublée pour certains par la pratique la transhumance estivale. Caractéristiques structurelles Par grand type d élevage Types d élevage Tous Catalan Audois Caussenard Cévenol Margeri Non classé Nombre d élevages Effectif brebis (EMP) Spécialisation ovine (%UGB ovines) 95% 97% 91% 99% 62% 81% 87% Main d œuvre (UTA) 1,1 1,6 1,8 1,2 1,6 1,4 1,5 SAU (ha) SFP (ha) % Cultures / SAU 0% 9% 27% 8% 15% 4% 12% Surfaces parcours (ha) Transhumance estivale (% oui) 85% 0% 0% 48% 13% 10% 23% Des brebis majoritairement races BMC ou Lacaune. Près trois quart s troupeaux sont race Blanche du Massif Central ou Lacaune. La pratique du croisement boucher concerne un tiers s troupeaux et reste peu pratiquée pour la BMC. Les élevages du type Audois sont les seuls utilisateurs la race Romane. Ceux s types Caussenard ou Margeri sont quasi exclusivement en BMC, race aussi très majoritaire pour le type Catalan. L utilisation s races rustiques plus locales (Raiole, Caussenar s Garrigues, Rouge du Roussillon, Tarasconnaise) reste le plus souvent l apanage s éleveurs du type Cévenol. Lourds ou légers, une production diversifiée d agneaux finis Les agneaux produits sont majoritairement élevés sous la mère, finis en bergerie et vendus plus ou moins lourds, dans une large fourchette poids allant 25 à 42 kg poids vif. Ces ventes corresponnt à une gamme produits très différents : du plus léger (agnelets vif pour l exportation ou l engraissement, ou en carcasse pour le marché local) au plus lourd (agneaux boucherie traditionnels, eux-mêmes assez divers puisque leur poids carcasse peut varier 14 à 18 kg). Ces agneaux finis et plus lourds sont pour la plupart collectés par les OP et restent le produit majoritaire dans tous les types d'élevage, hormis pour les élevages du type cévenol qui vennt une part importante leur production en agneaux légers. Les ventes reproducteurs sont plus marginales et se concentrent dans un petit nombre d élevages. 2

3 Profils s ventes d agneaux Par grand type d élevage % s ventes d agneaux Lourds Légers Maigres Repro Audois 91% 2% 0% 7% Catalan 91% 1% 3% 5% Caussenard 90% 7% 0% 2% Cévenol 58% 40% 0% 2% Margeri 92% 4% 3% 0% Non Classé 70% 20% 2% 9% Ensemble 83% 12% 1% 4% Un niveau productivité numérique par brebis très variable. Plus 90 % s éleveurs cet échantillon ont fait le choix d un système reproduction sans recherche d accélération du rythme d agnelage, avec s agnelages répartis sur une ou ux périos la campagne et s variantes dans la répartition saisonnière ces agnelages. En moyenne, la productivité est l ordre un agneau produit par brebis et par an. On note que s il n y a pas relation négative entre la productivité par brebis et la taille s troupeaux, l analyse s bilans reproduction montre une forte variabilité cette productivité numérique. Les élevages qui obtiennent les meilleurs scores cumulent un fort taux mise bas et prolificité, avec une très bonne maitrise la mortalité. Bilans reproduction classés par groupe sur leur niveau productivité Taille du troupeau Bilan reproduction (en %) productivité² mise bas Prolificité mortalité Tiers supérieur Tiers moyen Tiers inférieur Ensemble (103 élevages) ² Calculé par femelle mise en lutte Le croisement par grand type d élevage éclaire un peu les causes cette variabilité. D un côté, les performances s types Audois et Caussenard traduisent une meilleure maîtrise du taux mise bas, couplée à l utilisation races plus prolifiques (Lacaune et Romane). De l autre, les types Catalan et Cévenol dont les bilans reproduction traduisent une conduite plus extensive la reproduction avec s mises à la reproduction tardive s agnelles. 3

4 Bilans reproduction Par grand type d élevage Taille du troupeau productivité² Bilan reproduction (en %) mise bas Prolificité mortalité Audois ,1 Caussenard ,2 Margeri ,3 Catalan ,7 Cévenol ,3 Non classés ,1 Ensemble ² Calculé par femelle mise en lutte Avec ou sans parcours, une diversité systèmes d alimentation Une majorité ces élevages utilise s surfaces pastorales. La mise en regard la Catalan productivité numérique et du bilan l alimentation distribuée en fonction l utilisation plus ou moins importante surfaces pastorales par les troupeaux permet d illustrer la diversité s Caussenard Margeri Cévenol Audois systèmes d alimentation, plus ou moins économes et autonomes 0% 20% 40% 60% 80% 100% sur le concentré distribué et plus ou moins autonomes sur le % s élevages Uniquement sur SF Pastoraux Grand pastoraux fourrage grossier distribué. Le poids cette composante pastorale participe à la différenciation entre les grands types d élevages (Cf. graphique). Type d'élevage Classification s élevages Sur leur composante pastorale Nbre Elev. % Elev. Effectif Agneau Conc. % kg Ms % Troupe Produit kg par Conc. Foin par Foin ovine / brebis brebis acheté brebis acheté Elevages utilisateurs surfaces pastorales Pastoraux % 258 0, % % Pastoraux % 351 1, % 299 8% Elevages non utilisateurs surfaces pastorales 32 30% 378 1, % % Ensemble % 335 0, % % 4

5 Résultats technico-économiques la campagne 2010 Pour l analyse s gestions technico-économiques, notre classification par type d élevage permet mieux rendre compte la diversité s profils résultats en fonction s systèmes et leur adaptation aux conditions production s zones où ils sont localisés. La marge brute moyenne hors prime par brebis, autour 11 pour l ensemble cet échantillon, est d un niveau faible et reste très variable d un groupe à l autre. L affectation s primes et soutiens (Ai ovine, PHAE, ICHN) au produit brut ovin vient réduire les écarts inter groupes la marge brute résultante avec prime, dans une fourchette 75 à 110 par brebis. Les ais et soutiens représentent en moyenne ux tiers du produit brut avec prime et cette part varie du simple au double selon les groupes. Au final, la marge brute totale dégagée par l atelier ovin approche en moyenne les , mais toujours avec s différences importantes inter groupes, expliquées en partie par la dimension s troupeaux. Types d élevages Bilans technico-économiques la campagne 2010 Audois Catalan Caussenard Cévenol Margeri Ensemble Nombre d élevages Effectif brebis (EMP) Marge brute hors primes / brebis Marge brute avec primes / brebis % primes dans le produit brut ovin Marge brute atelier ovin Agneaux produits / brebis EMP 1,1 0,8 1,2 0,8 1,1 1,0 Prix moyen s agneaux % agneaux vendus lourds 91% 92% 90% 58% 92% 83% Concentré / brebis (kg) Fourrage grossier / brebis (kg MS) Charges Opérationnelles / brebis Charges d'alimentation / brebis Dont charges du concentré 40,2 20,2 42,8 23,0 42,6 33,4 Dont achat fourrage / brebis 2,7 33,3 0,2 15,8 1,0 8,9 Dont achat d'herbe / brebis 0,0 3,2 0,0 1,0 0,0 0,8 Charges s SF/ brebis 7,1 1,3 18,9 2,5 11,9 8,2 Frais divers / brebis 10,9 13,3 14,0 9,1 18,5 13,0 5

6 On note la diversité s composantes du profil résultat moyen chacun s groupes. Cela est à mettre en regard s logiques fonctionnement différentes s systèmes d élevage pratiqués dans chacun s groupes : Les types Audois et Caussenard, et dans une moindre mesure le type Margeri, reposent sur une logique plus productive à la brebis, une production d agneaux bergerie lourds, un système d alimentation fondé sur une distribution concentré plutôt libérale et une forte autonomie alimentaire pour le distribué. Les types Cévenol et Catalan reposent sur une logique conduite plus extensive la reproduction, couplée parfois à la production d agneaux légers et un système d alimentation à forte composante pastorale qui doit être obligatoirement fondé sur la recherche d économie pour la distribution du concentré et du fourrage grossier, en raison d une faible autonomie alimentaire sur le distribué. Quelles sont les marges progrès possible? L amélioration l efficience économique la conduite ces différents types d ateliers ovins passe, pour un système donné, prioritairement par la recherche d une meilleure marge brute hors prime par brebis. Le poids s ais et soutiens ne doit pas en effet faire oublier que c est cette rnière qui fera au final la différence. Profil moyen et tiers supérieur s bilans classés sur la marge brute hors prime par brebis Types d élevages Audois Caussenard Margeri Catalan Cévenol 1/3 1/3 1/3 1/3 tous tous tous tous Sup. Sup. Sup. Sup. 1/3 tous Sup. Nombre d ateliers Marge brute hors primes / brebis Marge brute avec primes/ brebis % Primes / produit 30 % 41 % 41 % 57 % 47 % 60 % 94 % 93 % 63 % 80 % Marge brute atelier (Kilo ) Effectif brebis (EMP) Agneaux produit / brebis EMP Prix moyen s agneaux Charges opérationnelles / Brebis Charge d'alimentation / brebis Charges s SF / brebis Frais divers / brebis En classant, pour chaque type d élevage, les résultats technico-économiques sur la marge brute «hors prime» par brebis, on peut ainsi comparer le profil moyen du tiers supérieur à la moyenne son groupe. Cela permet d illustrer les principaux leviers permettant l amélioration la marge brute hors prime : L augmentation la productivité numérique par brebis, par un travail conjoint sur l amélioration du taux mise bas et la prolificité, avec une maîtrise la mortalité s agneaux.

7 La très bonne maîtrise tous les postes charges opérationnelles, en cohérence avec le niveau productivité espéré et l autonomie alimentaire dont on dispose. Sans oublier la recherche permanente d une amélioration la valorisation moyenne s agneaux. Et ceci en restant vigilant, en fonction du type d élevage, à l adéquation avec sa logique fonctionnement, et à la cohérence entre le niveau productivité recherché par brebis et le système d alimentation plus ou moins économe et autonome. Evolutions récentes Obtenue grâce à la reconduction du montant s primes et s soutiens versés aux éleveurs, la progression moste la marge avec primes masque une forte et inquiétante diminution la marge brute hors primes par brebis. C est à la baisse importante la productivité numérique et à l augmentation pratiquement tous les postes charges (alimentation directe, charges la SF et frais divers d élevage) qu il faut pour partie imputer ce score. Ceci malgré une valorisation moyenne l agneau en hausse plus 10 % sur la pério. A l impact sur les coûts production l augmentation du prix s intrants, s ajouteraient toujours les effets «retard» s épisos sécheresse à répétition ces rnières années et les conséquences la FCO? Evolution sur les trois rnières campagnes (2008 à 2010) d un échantillon constant 56 élevages Campagne Evolution 2008/ 2010 Effectif brebis (EMP) % Marge brute hors primes / brebis 10 19,5 4,9-51.1% Marge brute avec primes / brebis 82,7 89,5 85,6 3.5% Produit brut / brebis (avec primes) % % primes dans produit % Marge brute atelier (avec primes) % Agneaux produit / brebis EMP % Prix moyen s agneaux % Charges opérationnelles / Brebis % Charge d'alimentation / brebis % Charges s surfaces fourragères / brebis % Frais divers / brebis % Ont participé à la rédaction ce document : M Candau (LRE), JF Bataille et E Tchakerian (IDELE-SAR Sud Est) 7

8 CONTACTS Jean-François Bataille - Institut l Elevage SAR Sud-Est MRE, Route la Durance, MANOSQUE Tél : / Mel : jean-francois.bataille@ile.fr Maïthé Candau - Languedoc Roussillon Elevage Domaine Saporta, Lattes cex Tél : / Mel : maithe.candau@lr.elevage.com LA BASE DE DONNEES D APPUI TECHNIQUE est un dispositif partenarial associant les Organisations Producteurs ovins vian et les Chambres d Agriculture départementales du Languedoc Roussillon, Languedoc Roussillon Elevage et l Institut l Élevage LES PARTENAIRES FINANCEURS Ce dispositif reçoit l'appui financier France Agrimer. Novembre 2011 Document édité par l Institut l Élevage rue Bercy Paris CEDEX 12 Retrouvez ce document sur le site l institut l élevage PUB IE

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