L erreur est humaine comment améliorer la sécurité des patients? Prof. Pascal BONNABRY
|
|
- Henriette Gaumond
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L erreur est humaine comment améliorer la sécurité des patients? Cours du CAP Genève, le 18 septembre 2008 Lausanne, le 2 octobre 2008 Objectifs Apporter des connaissances sur les limites de la fiabilité humaine et l impact possible sur la sécurité de la chaîne de soins Discuter de quelques outils applicables quotidiennement à l officine et dans les EMS, à partir de l expérience accumulée en milieu hospitalier 1
2 Agenda Définitions et données épidémiologiques L erreur est humaine La situation en officine Stratégies d amélioration Fondation pour la sécurité des patients Erreur médicamenteuse «Tout événement indésirable qui peut causer ou mener à une utilisation inadéquate du médicament ou une lésion du patient pendant que le médicament est sous contrôle des professionnels de la santé, du patient ou du consommateur» «Ces événements peuvent être liés à la pratique professionnelle, aux produits, procédures et systèmes, y compris la prescription, communication des ordres, étiquetage, emballage, nomenclature, dispensation, distribution, administration, formation et suivi thérapeutique» National Coordination Council for Medication error Prevention (NCC MERP) 2
3 Définitions Prévention évitable inévitable Causes ERREUR MEDICAMENTEUSE RISQUE INHERENT A TOUTE PHARMACOTHERAPIE Classification évènement médicamenteux potentiel (potentiel adverse drug event) évènement médicamenteux évitable (preventable adverse drug event) effet indésirable (adverse drug reaction) effet indésirable inattendu COMPLICATION MEDICAMENTEUSE (adverse drug event) Effets pas de dommage dommage D après P. Muff 2005 Exemples évènement médicamenteux potentiel (potentiel adverse drug event) évènement médicamenteux évitable (preventable adverse drug event) effet indésirable (adverse drug reaction) effet indésirable inattendu Effet indésirable Sédation consécutive à la prise d un comprimé de diazépam comme anxiolytique Administration de pénicilline a un patient non connu pour une allergie à la pénicilline, avec déclenchement d une réaction 3
4 Exemples évènement médicamenteux potentiel (potentiel adverse drug event) évènement médicamenteux évitable (preventable adverse drug event) effet indésirable (adverse drug reaction) Evènement évitable Sédation prolongée consécutive à l administration d une dose 10 fois trop élevée de diazépam Administration de pénicilline a un patient connu pour une allergie à la pénicilline, avec déclenchement d une réaction effet indésirable inattendu Exemples évènement médicamenteux potentiel (potentiel adverse drug event) évènement médicamenteux évitable (preventable adverse drug event) effet indésirable (adverse drug reaction) effet indésirable inattendu Evènement potentiel ou «near miss» Préparation d une dose 10 fois trop élevée de diazépam, interceptée avant administration Administration de pénicilline a un patient connu pour une allergie à la pénicilline, mais sans déclenchement d une réaction 4
5 Conséquences des erreurs Pas d erreur Cat A: circonstances ou événements susceptibles de provoquer une erreur Erreur sans préjudice Cat B: le médicament ne parvient pas jusqu au patient Cat C: le médicament parvient jusqu au patient, mais ne cause pas de préjudice pour lui Cat D: l erreur provoque une surveillance accrue du patient sans aucun préjudice pour lui Erreur avec préjudice Cat E: l erreur exige un traitement ou une intervention et provoque un préjudice temporaire pour le patient Cat F: l erreur entraîne ou allonge un séjour hospitalier et provoque un préjudice temporaire pour le patient Cat G: l erreur provoque un préjudice permanent pour le patient Cat H: l erreur provoque un accident mettant en jeu le pronostic vital Erreur avec décès Cat I: l erreur provoque le décès du patient Am J Health-Syst Pharm 1996;53:2384 To err is human (USA) Complications graves dans % des hospitalisations % des événements conduisent à la mort Extrapolation: à décès aux USA chaque année (erreurs de médication: 7 000)! 8 ème cause de mortalité (accidents de la route , cancer du sein , SIDA ) Equivalent d un BOEING 747 qui s écrase tous les 2 jours... To err is human, IOM,
6 Un problème général > 1.5 millions d événements indésirables évitables par an aux USA à l hôpital (coûts = $ 3.5 milliards) dans les institutions de long séjour en milieu ambulatoire Preventing medication errors, IOM, 2006 Circuit du médicament à l hôpital Prescription manuscrite Retranscription Dispensation manuelle 12% 11% 39% Evènements indésirables évitables : 6.5% des admissions Administration 38% Bates DW, JAMA 1995;274:29 6
7 Pas seulement aux USA Etude française (2004) patients, 71 hôpitaux, journées 255 évènements observés 6,6 évènements indésirables graves / jours d hospitalisation 35 % étaient évitables Extrapolations: à évènements évitables par an en France Michel P, Qual Saf Health Care 2007;16:369 Pas seulement aux USA Etude française (2004) Michel P, Qual Saf Health Care 2007;16:369 7
8 Pas seulement aux USA Etude française (2004) Michel P, Qual Saf Health Care 2007;16:369 Incidences Cause d hospitalisation Proportion de patients hospitalisés: 5 % 5 % grave: 1 % fatal: 0.1 % 10 % grave: 2 % fatal: 0.2 % évènement médicamenteux potentiel (potentiel adverse drug event) évènement médicamenteux évitable (preventable adverse drug event) effet indésirable (adverse drug reaction) effet indésirable inattendu 5 % des admissions COMPLICATION MEDICAMENTEUSE (adverse drug event) 15% grave: 3% fatal: 0.3% 8
9 Aviation Accidents concernant les transporteurs réguliers Source Boeing Moins d 1 accident pour 3 millions de décollages Pour un vol par jour, 1 accident tous les 2740 ans Avion Procédures Formation Travail en équipe Année Agenda Définitions et données épidémiologiques L erreur est humaine La situation en officine Stratégies d amélioration Fondation pour la sécurité des patients 9
10 Erreurs de dispensation Infirmières 3,0 % erreurs dispensation Contrôle non testé 20% 6% Erreur sélection Erreur répartition Erreur comptage 74% Pharmacie 3,6 % erreurs dispensation 79% détectées au contrôle 21% 8% 35% Mauvais médicament Mauvais dosage Mauvaise forme Autres 36% Garnerin Ph, Eur J Clin Pharmacol 2007;63:769 Erreurs de sélection 2% Cina JL, Jt Comm J Qual Patient Saf 2006;32:73 Calculs Résolution de calculs courants du domaine médical Taux d erreurs Anesthésistes: 10.4% (n=28) Infirmières: 26.7% (n=30) % volunteers % 9% 18% 27% 36% 45% 72% error rate Garnerin Ph, Eur J Clin Pharmacol 2007;63:769 10
11 Efficacité des contrôles Introduction d erreurs dans le remplissage de doses unitaires Capacité de détection: Pharmaciens: 87.7% Infirmières: 82.1% Facchinetti NJ, Med Care 1999;37:39-43 Efficacité 85% (valeur reconnue en milieu industriel) Se méfier des «doubles-contrôles» Ergonomie des médicaments 11
12 Lisibilité sur les doses unitaires Observations [%] 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 68% 17% 15% Nom de marque 40% 56% 4% 28% 1% 71% 35% Totalement absent Partiellement lisible Totalement lisible 65% 62% 62% 38% Substance Dosage Unité Date expiration N lot 38% n=5108 «Sound-alike» Prava Pravastatine Prednisone - Prednisolone Selipran - Seropram Dalmadorm - Dormicum Antra - Arixtra Carbostésine - Carbostésine Adrénaline Taxol - Taxotère AZT: azathioprine, zidovudine 12
13 Standardisation de l étiquette Méthode Niveau de standardisation 1 2 informations sur 3 Position variable Calcul nécessaire Concentrations en % ou mg/ml Standardisation de l étiquette Méthode Niveau de standardisation 2 3 informations Position variable Pas de calculs Concentrations mg/ml 13
14 Standardisation de l étiquette Méthode Niveaux de standardisation 3 3 informations Position fixe Pas de calculs Concentrations mg/ml Standardisation de l étiquette Résultats Degré de standardisation Taux d'erreur [%] % [ ] 2 infos sur 3 3 infos, position variable OR 1vs3= 12.1 [ ], p<0.001 OR 2vs3= 1.7 [ ], p= % [ ] 4.1% [ ] 3 infos, position fixe n=
15 Standardisation de l étiquette Résultats Expression de la concentration Taux d'erreur [%] % [ ] 24.4% [ ] % mg/ml OR = 1.8 [ ] p<0.001 Etiquetage des injectables AFSSAPS (France) 15
16 Facteurs influençant la performance Etudes sur la dispensation des médicaments (USA, pharmaciens) Distractibilité Charge de travail élevée Interruption Bruit ambiant Mauvais éclairage Rangement serré des médicaments erreurs Flynn & Barker, Auburn University Facteurs influençant la performance Distractibilité intrinsèque Error rate 6% 5% 4% 3% 2% 1% 0% Distractibilité élevée Faible distractibilité R 2 = GEFT score (tests psycho-techniques) Flynn & Barker, Auburn University,
17 Facteurs influençant la performance Charge de travail # errors per half-hour # Rx's filled per half-hour Allan EL, PhD Dissertation, Auburn University, Facteurs influençant la performance Eclairage 5.0% 4.0% 3.0% Error rate 2.0% 1.0% 0.0% 3.80% 3.88% Footcandle level 2.62% N=10,888 Rx s Buchanan,
18 Défaillances humaines Deux types de défaillances défaillance actives défaillances latentes Reason J, Quality in Health care 1995;4:80-9 Défaillances actives Liées aux opérateurs Causes immédiates des incidents 3 types: erreurs d attention (défaillance dans l exécution d une tâche de routine) erreurs de raisonnement (défaillance dans les solutions apportées à un problème) infractions 18
19 Défaillances latentes Liées au management, à l ergonomie, à la conception de l activité ou à la maintenance Présentes de longue date Causes racines des incidents Provoquent les défaillances actives et/ou en amplifient les conséquences Comment un accident arrive culture d établissement management et organisation climat local opportunité d erreur opportunité d infraction exécution erreur infraction barrières de défense accident défaillances latentes dans les défenses 19
20 Swiss-cheese model Reason J, BMJ 2000;320: Agenda Définitions et données épidémiologiques L erreur est humaine La situation en officine Stratégies d amélioration Fondation pour la sécurité des patients 20
21 Processus ambulatoire Détection erreurs Commission erreurs Dispensation (év. fabrication) par le pharmacien Prescription par le médecin Prise par le patient Prescription ambulatoire Peu d études 8-9% des événements indésirables se produiraient en cabinet 18% des patients ambulatoires rapportent une complication médicamenteuse Principales erreurs Retard de diagnostic Insuffisance de mesures préventives Problèmes de communication Erreurs de médication Stager P, Rev Med Suisse 2007;3:
22 Détection par le pharmacien Documentation des interventions (n= 20 pharmacies en Suisse) Interventions cliniques: 0.77 % (0-2.6 %) Interventions techniques: 1.90 % Erreurs non détectées? Krähenbuhl J.-M, Pharm World Sci 2008 Détection par le pharmacien Documentation des interventions (n= 20 pharmacies en Suisse) Krähenbuhl J.-M, Pharm World Sci
23 Erreurs commises Perception par le pharmacien (n=2437 pharmaciens au Texas) 23% : aucun risque perçu 34% : un patient/semaine subit un risque d erreur Risque augmenterait avec la charge de travail Risque diminuerait avec l augmentation de la satisfaction Bond CA, Pharmacotherapy 2001;21:614 Erreurs de dispensation Déclaration spontanée (n= 4 pharmacies en Grande-Bretagne) Erreurs de dispensation: 0.08% Presque-erreurs: 0.48% Taux réel d erreurs? Chua SS, Drug Saf 2003;26:803 23
24 Erreurs de dispensation Déclaration spontanée (n= 4 pharmacies en Grande-Bretagne) Chua SS, Drug Saf 2003;26:803 Détection / erreurs commises Déclaration spontanée (n= 55 pharmacies au Danemark) Knudsen P, Qual Saf Health Care 2007;16:291 24
25 Détection / erreurs commises Déclaration spontanée (n= 55 pharmacies au Danemark) Analyse des causes Knudsen P, Qual Saf Health Care 2007;16:291 Erreurs de dispensation Taux allant en général de 1 à 5% (24% dans une étude!) Répartition des erreurs Erreurs sur l étiquette 80% Mauvaise quantité 7% Faux médicament 6% Faux dosage 6% Flynn E, Am J Health-Syst Pharm 1999;56:
26 Etiquettes Etude de 85 étiquettes pour 4 produits Information la plus en évidence: pharmacie Shrank WH, Arch Intern Med 2007;167:1760 Etiquettes Pas de standardisation des informations Shrank WH, Arch Intern Med 2007;167:
27 Vente sans ordonnance 83% déficient dans la collection d information / conseils donnés 58% non compliant (standard de Grande-Bretagne) 52% des non compliant: violation Watson MC, Qual Saf Health Care 2006;15:244 Vente sans ordonnance Watson MC, Qual Saf Health Care 2006;15:244 27
28 En résumé Le pharmacien détecte des erreurs du médecin, mais en commet lui même Les erreurs touchent essentiellement: La dispensation L information, p.ex. étiquettes (La fabrication) Il est utile de prendre en considération les erreurs et les presque-erreurs Il existe peu de système de report/analyse d incident Agenda Définitions et données épidémiologiques L erreur est humaine La situation en officine Stratégies d amélioration Fondation pour la sécurité des patients 28
29 7 étapes vers la sécurité 1. Construire une culture de la sécurité 2. Leadership: établir un focus fort autour de la sécurité 3. Identifier les risques (analyses de risque) 4. Promouvoir le report d incidents 5. Communiquer avec les patients et le public 6. Apprendre des incidents (analyse de causes racines) 7. Implémenter des solutions NHS, 2004 Culture de l erreur Approche négative «Modèle du héros solitaire» infaillibilité et omniscience faute / culpabilité silence problème individuel 29
30 Culture de l erreur Approche positive ou systémique faillibilité, savoir limité erreur / victime publicité problème collectif Stratégie d amélioration Simplifier Standardiser Réduire le recours à la mémoire Supprimer les retranscriptions Eliminer les étapes manuelles Diminuer la ressemblance Renforcer les barrières Améliorer la communication Réviser les flux produit/information (re-engineering) 30
31 Stratégies pour améliorer la sécurité à l hôpital Approche systémique Standardisation (choix de produit, prescription, processus...) Informatisation Dose unitaire Injectables à haut risque préparés par la pharmacie Protocoles spéciaux pour médicaments à haut risque Pas de solutions iv concentrées dans les unités Visites de pharmaciens cliniciens Rendre l information disponible aux soignants Améliorer la connaissance du traitement par le patient To err is human, IOM, 1999 Stratégie aux HUG 31
32 Stratégies à l officine Ergonomie Informatisation robotisation Standardisation rédaction de procédures Formation du personnel Information / implication du patient Coordination des soins (ex. sortie hôpital) Outils Déclaration et investigation d incidents Analyses de risques Ergonomie A guide to the design of dispensing environment (NPSA, NHS, 2007) 32
33 Ergonomie A guide to the design of dispensing environment (NPSA, NHS, 2007) Informatisation Historique du patient Aides à la décision Interactions médicamenteuses performance? Allergies? Accès à des sources d information Traçabilité de la dispensation MAIS pas de lien direct avec la prescription 33
34 Robotisation Ex. Rowa ARX Informatisation du processus Dispensation robotisée Prescription informatisée Dossier patient informatisé Scanning par le patient 34
35 Exemples de procédures Dispensation d une ordonnance préparation par l assistante contrôle par le pharmacien Tri / vente sans ordonnance Informations à demander au patient Rôles assistante / pharmacien Informations transmises au patient Principes d étiquetage posologies produits fabriqués Gestion de la qualité Un système de gestion de la qualité contribue aussi à améliorer la sécurité 35
36 Contrôle par le pharmacien Contrôle par le pharmacien 36
37 Etiquetage A guide to the design of dispensed medicines (NPSA, NHS, 2007) Etiquetage A guide to the design of dispensed medicines (NPSA, NHS, 2007) 37
38 Formation Sécurité fortement basée sur les connaissances du pharmacien Formation pré-graduée Spécialisation Formation continue Evoluer vers un système de qualification et re-qualification périodique (idem aviation)? Continuité des soins Améliorer la coordination à la sortie de l hôpital Fabrications hospitalières Produits étrangers Information des patients Mettre en place des collaborations pour éviter des ruptures de traitement 38
39 Apprendre des incidents Analyse des causes racines Recommandations d amélioration Déclaration d incidents Suivi Apprendre des incidents Analyse Prescription manuscrite Confusion dosages, emballages Contrôle défaillant Manque de concentration (interruptions) Déclaration d incidents Recommandations Suivi Eliminer prescription manuscrite Liste des produits ressemblants Mesurer la performance des contrôles, double-contrôle Eviter les interruptions, sensibiliser Knudsen P, Qual Saf Health Care 2007;16:285 39
40 La sécurité: apprendre de l aviation Aviation Pharmacie Structure Avion Locaux équipements Organisation Procédures Procédures de vol, d entretien Directives thér. Formation Licence de vol, Pré-, post-graduée, Réévaluations continue Travail Crew Projets interen équipe management disciplinaires Agenda Définitions et données épidémiologiques L erreur est humaine La situation en officine Stratégies d amélioration Fondation pour la sécurité des patients 40
41 Fondation pour la sécurité des patients Fondée en 2003 But: Promouvoir la sécurité des patients en collaboration avec les partenaires du système de santé Financement: Fondateurs (Confédération, associations professionnelles, H+, ASSM, OSP) 20 cantons Donations et contributions de soutien, subventions, dons Fondation pour la sécurité des patients Stratégie Encourager la création de réseaux et la coopération entre les milieux intéressés et les spécialistes en vue de traiter différents aspects de la sécurité des patients Mettre au point et tester des méthodes pratiques ainsi que des mesures permettant d accroître la sécurité; obtenir des améliorations concrètes grâce à des projets menés avec les prestataires de soins et les réseaux Transmettre et diffuser les connaissances, promouvoir la formation Contribuer à analyser les incidents de manière à en tirer des enseignements et des recommandations pour l avenir et éviter qu ils ne se reproduisent 41
42 Fondation pour la sécurité des patients Exemples de projets ERA (Error&Risk Analysis) CIRRNET Infections nosocomiales - CleanCare Sécurité des médicaments (Drug Event Monitoring) Systèmes de déclaration des incidents Identification des patients Prévention des chutes Approche systématique et constructive des incidents au sein des établissements Participation de patients à la prévention des erreurs médicamenteuses en chimiothérapie Recommandations pour la prévention des erreurs de site opératoire Fondation pour la sécurité des patients Congrès 42
La raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailSimulation en aviation
Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailAnalyse des incidents
Analyse des incidents Formation B-Quanum 26/06/2012 N. Jacques Coordinatrice Qualité CMSE Introduction Contexte Contrat SPF Coordinateur qualité Médecine nucléaire Hôpital = Entreprise à Haut Risque Efficacité
Plus en détailAnalyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC
Analyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC Prof. Pascal BONNABRY Certificat qualité des soins Genève, 14 avril 2011 Agenda Introduction: analyse de risques Exemple d application de
Plus en détailPrévention et gestion des incidents médicamenteux
Prévention et gestion des incidents médicamenteux Anne Spinewine Pharmacien clinicien, Dr Sc Pharm Université catholique de Louvain CHU Mont-Godinne et Louvain Drug Research Institute Avec la collaboration
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailLa politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins
La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins Eléments pour une note de politique Introduction Les médicaments prennent une place de plus en plus importante
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 6 : Risque iatrogène Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Emergence
Plus en détailAudit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du
Plus en détailLA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline
LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE C Assouline Principes «Human error is the price we pay for intelligence» 3 buts principaux de la simulation : détecter les erreurs éviter les erreurs
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailLa Liste de Vérification Chirurgicale
La Liste de Vérification Chirurgicale Dre Shannon Fraser Professeure Assistant, Université McGill Chef de la division de chirurgie générale M Bobby Paré Coordonnateur en Soins Infirmiers bloc opératoire
Plus en détailImpact de la publicité sur les professionnels
Suivi pharmaceutique, Approche critique de l information, publicité et conflits d intérêts, 2 ème année MUP Impact de la publicité sur les professionnels Prof. Pascal BONNABRY Pharmacien-chef Pharmacie
Plus en détailglossaire Appellation commerciale Voir nom de marque.
glossaire Accessibilité financière Le coût d un traitement par rapport au revenu de la population. dans cette enquête, le salaire journalier minimum d un employé non-qualifié du secteur public est comparé
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailRisques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010
Risques et dispositifs médicaux «Responsabilités encourues» 1 Le circuit du dispositif médical Responsabilité D.M. approche systématique approche du produit implique analyse des missions et responsabilités
Plus en détailtraçabilité en milieu médical
traçabilité en milieu médical SOLUTIONS - EFFICACITÉ - SÉCURITÉ la traçabilité, pourquoi? Améliorer la sécurité du patient et la qualité des soins Améliorer la qualité des soins de santé est un enjeu majeur
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailConduite des Essais Cliniques en Pharmacie Hospitalière Organisation du circuit du médicament
Conduite des Essais Cliniques en Pharmacie Hospitalière Organisation du circuit du médicament Anne Daguenel-Nguyen Pharmacien Hôpital Saint-Antoine FARC 1 PREMIERE PARTIE: Quel est le rôle du pharmacien
Plus en détailFiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN)
Définition Score individuel Score global Echantillon Critère d inclusion Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Cet indicateur évalue la tenue du dossier anesthésique.
Plus en détailChaîne de production des médicaments
Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailN o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible
Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population
Plus en détail"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse"
"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse" Journées Franco-Suisses de Pharmacie Hospitalière 23 avril 2015, Mâcon Dr Vera Jordan-von Gunten Pharmacien d hôpital,
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailLa Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE
La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE David Pronier Country Manager Europe du Sud Motion Computing Pascal Detemmerman CEO SwissEnov Sommaire La Mobilité
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCollaboration MRS (MRPA) - Pharmacie
Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie 5 mars 2015 Laurent Lamard Sales Manager Care Pharmacien Tom Claes BU Manager Corilus Pharma Pharmacien Hugues Florquin Agenda Le cadre de la TUH Comment démarrer?
Plus en détailTIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire
TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailLa Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation
La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques
Plus en détailActivité des programmes de médicaments
Chapitre 4 Section 4.05 Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Activité des programmes de médicaments Suivi des vérifications de l optimisation des ressources, section 3.05 du Rapport annuel
Plus en détailObservatoire Valaisan de la Santé
Observatoire Valaisan de la Santé 02 Sommaire Un Observatoire de la santé pour décider 03 - Un outil indispensable pour piloter le système de santé 03 Une création par étapes 04 Organisation et Mission
Plus en détailRobyn Tamblyn, B.Sc.Inf., M.Sc., Ph. D.
Améliorer l efficacité du bilan comparatif des médicaments le cas de McGill Examen des défis et avantages éventuels de l utilisation des TI pour effectuer le bilan comparatif des médicaments Robyn Tamblyn,
Plus en détail«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament»
«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament» Prestations proposées par M. (Réactualisation 2010) Á moduler selon vos besoins 1 Contexte/Enjeux/Objectifs : La sécurisation du circuit
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailMONITORING / SUIVI DES PATIENTS
Formation Recherche Clinique OncoBasseNormandie 02/12/2013 MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Jean-Michel GRELLARD ARC Coordinateur - Centre François Baclesse Quelques définitions Cahier d observation ou
Plus en détailAUDIT 2009 des UCPC de Lorraine
AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailQuelle place pour e-toile au cabinet du médecin?
ASSOCIATION DES MÉDECINS DU CANTON DE GENÈVE Quelle place pour e-toile au cabinet du médecin? Dr Pierre-Alain Schneider, président AMG Cabinet médical diverses formes cabinet individuel cabinet de groupe
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailConseils pour réaliser un tableau de sortie
Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer
Plus en détailFirst do no harm Hippocrates (470 360 BC)
PHARMACOVIGILANCE DR A.TEBAA - Pr R. SOULAYMANI BENCHEIKH CENTRE ANTI POISON ET DE PHARMACOVIGILANCE M.COOPER-SHANTHI-PAL QUALITY ASSURANCE ET SECURITY MEDECINE Dakar 5-9 Mars 2006 First do no harm Hippocrates
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détail2. Accords généraux concernant la prescription
2. Accords généraux concernant la prescription INTRODUCTIon La prescription doit permettre au pharmacien de délivrer de manière adéquate le bon médicament. La prescription doit satisfaire à un certain
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailDossier de presse 2013
Dossier de presse 2013 Contact presse : Nathalie Philippe 04 70 07 67 66 06 22 69 23 89 n.philippe@cepisoft.net C EP I 1 b i s ru e G a s p a rd M o n g e - 3 7 2 7 0 M o n t l o u i s s u r L o i re -
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailDakar, Sénégal 5-9 Mars 2006. Dr Joël Keravec MSH/RPM Plus - Brésil et représentant le Globa
éminaire pour les onsultants Francophones - estion des Approvisionments et des Stocks pour VIH, la TB et le Paludisme Assurance Qualité des Médicament s Dakar, Sénégal 5-9 Mars 2006 Dr Joël Keravec MSH/RPM
Plus en détailPreparing healthcare workforce?
Swiss Public Health Conference (Re-)Organizing Health Systems Lausanne 30 août 2012 Preparing healthcare workforce? Prof. Diane Morin, Inf, PhD Plan de présentation Merci au Comité organisateur pour l
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.
SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de
Plus en détailLa responsabilité juridique des infirmiers. Carine GRUDET Juriste
La responsabilité juridique des infirmiers Carine GRUDET Juriste Introduction Dans notre société civile, la responsabilité est un principe juridique selon lequel chacun doit répondre des conséquences de
Plus en détailJour 1 : Les concepts Les forces du système de santé québécois Comparaisons internationales. 22 octobre 2013. Pause réseautage et visite des exposants
8 : 00 am 9 : 00 am 9 : 00 am 10 : 00 am Jour 1 : Les concepts Les forces du système de santé québécois Comparaisons internationales 22 octobre 2013 8 : 00 Inscription et accueil 8 : 30 Ouverture Président
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailBlood derivate (CFC) supply chain in the hospital How to maximise full traceability. CHU-Hôpitaux de Rouen - 1
Blood derivate (CFC) supply chain in the hospital How to maximise full traceability CHU-Hôpitaux de Rouen - 1 Teaching Hospital (CHU) Rouen Multi-site Hospital : 5 sites 2500 beds and places 300 wards
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailDanielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011
+ Miser sur le renouvellement de l organisation des services infirmiers pour améliorer la qualité et la sécurité des soins Danielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011 + Membres de l équipe Carl-Ardy
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailSécurisation des soins et indicateurs en réanimation : taxonomie générale Safety practice and safety indicators: Definition and terminology
Réanimation (2008) 17, 512 516 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com journal homepage: http://france.elsevier.com/direct/reaurg/ MISE AU POINT Sécurisation des soins et indicateurs en réanimation
Plus en détailEdition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25
Edition et intégration de logiciels médicaux Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 LOGICIEL AXILA Le dossier médical informatisé pour les
Plus en détailNouvelle structure des tarifs médicaux suisses:
Nouvelle structure des tarifs médicaux suisses: Le TarMed Etude valaisanne Département de la santé, des affaires sociales et de l'énergie février 2000 TABLE DES MATIERES 1) RESUME 2) QU EST-CE LE TARMED?
Plus en détailEstelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1
Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1 Définition du Monitoring Garantie que la conduite de l essai clinique, les enregistrements et les rapports sont réalisés conformément : Au protocole Aux Procédures
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailQUEL AVENIR POUR LA PHARMACIE HOSPITALIERE EN SUISSE?
QUEL AVENIR POUR LA PHARMACIE HOSPITALIERE EN SUISSE? Regard critique sur nos filières de formation Symposium GSASA, Berne, 12 mai 2009 André Pannatier 1 PLAN 1. Les filières de formation de base et postdiplôme
Plus en détailUn coût, des coûts, quels coûts?
Un coût, des coûts, quels coûts? Robert LAUNOIS (1-2) Journal d Economie Médicale 1999, T. 17, n 1, 77-82 (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailEstelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1
Estelle Marcault 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Définition du Monitoring Surveillance de l avancement d un essai clinique Garantie que la conduite de l essai, les enregistrements et les rapports sont réalisés
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailUne infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource?
Une stomathérapie et soins de plaies : intérêt d une d telle fonction? Marie Magdeleine lefort ULB Erasme re «clinicienne?» re praticienne «nurse practitioner» Prise en charge de pathologies spécifiques
Plus en détailRôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique
Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des
Plus en détailcurité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE
Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p
Plus en détailACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT
ACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT L art de cultiver des savoirs, des expériences, des compétences et des talents www.chuq.qc.ca/fr/info_plus/formations_en_ligne DES ACTIVITÉS DE FORMATION EN LIGNE
Plus en détailLe Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données
www.coopami.org Le Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données TUNIS 17 décembre 2013 Michel Vigneul Conseiller Actuaire PLAN de l exposé : Partie 1 : Contexte général du système de remboursement
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailPharmacovigilance des Essais cliniques
Pharmacovigilance des Essais cliniques Edouard LECHAPTOIS DIU FIEC 22 janvier 2013 1 Introduction S o m m a i r e Eléments de réglementation Définitions Responsabilité des investigateurs / promoteurs Organisation
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE
ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE Instructions Merci : de répondre complètement à toutes les questions, d écrire lisiblement, de signer et dater
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailSystème d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS)
Séminaire SIM 07 FMP de Fès, le 02 juin 2007 Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Auteurs : Mme Drissia ELACHEJAI Ingénieur en chef Centre Hospitalier Ibn
Plus en détailBulletin de l'ismp Canada
L institut pour l utilisation sécuritaire des médicaments du Canada (ISMP Canada) est un organisme indépendant sans but lucratif. L institut recueille et analyse les déclarations d incidents et accidents
Plus en détailMédicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada
Médicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada Contexte L utilisation de médicaments par un professionnel de la santé n étant pas médecin évolue et dépend
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détail