Schéma Directeur Déchets (SDD)
|
|
- Beatrice Breton
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 27/09/2016 Schéma Directeur Déchets (SDD) (GAM) Groupe de travail financement /tarification incitative 27 septembre 2016 SOCODIT ICOM AVRIL
2 Georges OUDJAOUDI Vice Président en charge de la prévention, de la collecte et de la valorisation des déchets Rappel synthétique des objectifs du SDD Vidéo : synthèse COPIL du 24 mai..\..\..\gouvernance\160908_cop IL_N 2\Vidéos VF\Video Vision Dechets Complet.mp4 Objectif de l atelier SOCODIT ICOM AVRIL
3 Les étapes de la concertation sur le SDD Réunion publique habitants 13 septembre Groupes de travail experts Mi-septembre Mi-octobre Concertation publique en ligne (grandes orientations) Oct./Novembre Forum grand public 18 novembre Co-construction des scénarios Janv./Février 2017 Concertation publique en ligne (choix scénarios) Mars/Avril 2017 Copil Copil /!\ Les 2 synthèses de la concertation publique seront prises en compte par les élus (Copil = comité de pilotage) SOCODIT ICOM AVRIL
4 Les étapes de la concertation sur le SDD Participez à la concertation sur VOTRE ATTENTION! SOCODIT ICOM AVRIL
5 Déroulé de la séance Tour de table Point réglementaire + feuille de route Contexte actuel + retours d expériences Ateliers en 3 temps : alimenter la réflexion sur les modes de financement/tarification du service public «déchets» dans le SDD Synthèse SOCODIT ICOM AVRIL
6 Tour de table dynamique en 3 temps 1 Tournez-vous vers votre voisin (binômes) 2 Vous avez 2 pour échanger et répondre à ces 2 questions : 1 Qui êtes vous? 2 Quel est (ou peut-être) votre rôle dans le financement et la tarification incitative sur la Métropole? 3 Vous disposez de 30 secondes pour exposer les réponses de votre voisin SOCODIT ICOM AVRIL
7 Modes de financement du Service Public déchets (SPGD) Dépenses relatives aux services de collecte et de traitement des déchets ménagers et assimilés TEOM - Taxe d Enlèvement d Ordures Ménagères RS redevance spéciale BUDGET GENERAL (de 0 à 100% des dépenses) OU REOM - Redevance d Enlèvement d Ordures Ménagères Modes de financement du service SOCODIT ICOM AVRIL
8 2016 Redevance spéciale communes 02/07 CONTEXTE GENERAL (1/2) Réglementation: Loi du 13/07/92 : obligation à partir du 01/01/93 d instaurer la redevance spéciale. Principe: Financement du service d enlèvement des ordures ménagères financé par un impôt (TEOM) sans rapport avec la quantité de déchets produites et reposant essentiellement sur les ménages. => La redevance spéciale vise à faire payer le coût de gestion des déchets non ménagers (collecte + traitement) par les professionnels eux-mêmes en fonction des quantités produites - Assurer l équité fiscale par la prise en charge de la gestion des déchets par chaque producteur en fonction du service rendu -Inciteràlameilleure gestionetàlaréductiondesdéchets SOCODIT ICOM AVRIL
9 2016 Redevance spéciale communes 03/07 CONTEXTE METROPOLITAIN (2/2) Miseenœuvre: Délibération du 08/08/11 pour une instauration sur tout le territoire à partir du 01/01/12. Application d un dispositif prenant en compte - la situation vis-à-vis de la TEOM - la production hebdomadaire de déchets en volume Déploiement progressif: Recettes RS / redevable (année 2015) Date RS Montant Redevables privés Depuis Principaux bâtiments de la métropole Département (sans les collèges) Collèges publiques Lycées publiques Bâtiments publiques dépendant de l Etat (CROUS, casernes pompiers, police, gendarmerie, CRS, rectorat...) Estimation montant total 2016 > Bâtiments communaux 2017 SOCODIT ICOM AVRIL
10 2016 Redevance spéciale communes 04/07 FORCES ET FAIBLESSES DU DISPOSITIF Forces - Dispositif peu couteux en moyens humains et moyens matériels - Rapidité de mise en place - Incitatif (tarif verte moins important que la grise) Faiblesses - Imprécis : sur la base d estimations mais pas par rapport à un volume réellement collecté - Incomplet : Ne touche pas tous les pros (les + gros et facilement identifiables) SOCODIT ICOM AVRIL
11 2016 Redevance spéciale communes 05/07 PERSPECTIVES Systématiser la gestion publique des bacs pour les pros (fichier des professionnels et de la dotation) Identifier les bacs par un dispositif type puces Facturer au bac levé Points de vigilance : - Entreprises installées dans des copropriétés - Articulation par rapport à la TEOM SOCODIT ICOM AVRIL
12 Synthèse sur le coût et le financement du service Points forts Maîtrise des dépenses entre 2014 et 2015 Evolution de la TEOM sur 2016 Bon niveau d autofinancement Faible niveau d endettement Points de vigilance Faible évolution des recettes Financement par le budget général à hauteur de 4,5 M, soit près de la moitié de la capacité d autofinancement réelle en 2015 La Métropole n amortit pas ses équipements de tri/traitement (pas d obligation en M14). La réalisation de travaux de modernisation des équipements pourrait générer une hausse importante de la dette Nombre de redevables et produit de RS faibles par rapport au seuil d assujétissement à la RS et à la taille de GAM SOCODIT ICOM AVRIL
13 27/09/2016 Schéma Directeur Déchets (SDD) Tarification incitative : principe/retours d expériences SOCODIT ICOM AVRIL
14 Principe Tarification qui établit un lien direct entre la production individuelle et le niveau de paiement Application du principe pollueur-payeur (responsabilité des usagers) L usager peut agir sur sa consommation du service déchets SOCODIT ICOM AVRIL
15 Article 46 de la loi Grenelle I : Loi du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l Environnement Article 195 de la loi Grenelle II du 12 juillet 2010 (loi n ) Article 1522 bis du code général des impôts de la loi de finances pour 2012 du 28 décembre 2011 Décret du 17 décembre 2012 Réponse ministérielle du 20 octobre 2013 à la suite d une question d un député Article 70 de la loi de transition énergétique pour la croissance verte du 17 août 2015 (loi n ) Financement incitatif du service public «déchets» «La redevance d'enlèvement des ordures ménagères et la taxe d'enlèvement des ordures ménagères devront intégrer, dans un délai de cinq ans, une part variable incitative devant prendre en compte la nature et le poids et/ou le volume et/ou le nombre d'enlèvements des déchets.» «Possibilité pour les EPCI d expérimenter, pendant 5 ans, sur tout ou partie du territoire, d une TEOM composée d une part variable calculée en fonction du poids ou du volume des déchets.» «Les communes et leurs EPCI peuvent instituer ( ) une part incitative de la taxe, assise sur la quantité et éventuellement la nature des déchets produits, exprimée en volume, en poids et en nombre d'enlèvements. ( )» Il définit les modalités de transmission des données entre la direction générale des finances publiques et les communes ou les EPCI au profit desquels est perçue une part incitative de la taxe d enlèvement des ordures ménagères (TEOM) «Les collectivités territoriales et leurs EPCI ne sont donc pas tenus d'instaurer une part incitative de TEOM mais peuvent délibérer en ce sens... ( ).» «Les collectivités territoriales progressent vers la généralisation d une tarification incitative en matière de déchets, avec pour objectif que 15 millions d habitants soient couverts par cette dernière en 2020 et 25 millions en ( ).» SOCODIT ICOM AVRIL
16 Principe Prendre en compte la nature et le poids et/ou le volume et/ou le nombre d'enlèvements des déchets (REOM ou TEOM incitative) : En règle générale, c est le flux OMr qui fait l objet d une quantification et qui conditionne la facture de l usager. Les systèmes techniques de collecte sont les suivants : Collecte en sac le sac payant : le prix du sac comprend tout ou partie des coûts de collecte, transport et traitement des déchets la vignette payante : une vignette payante est collée sur les sacs à collecter Ce mode de collecte va à l encontre de la recommandation R437 de la CRAM Collecte en bac roulant le volume du bac le comptage du nombre de présentations du bac d OMR équipé d une puce la pesée du bac équipé d une puce lors de sa levée Ces 3 systèmes peuvent être combinés lors de la facturation Collecte en apport volontaire (conteneurs enterrés / semi-enterrés / aériens) ou en points de regroupement (abri-bacs ou bacs avec contrôle d accès) le volume des apports le poids des apports SOCODIT ICOM AVRIL
17 TI avec des bacs roulants pucés Equipements nécessaires : 1/ Chaque bac est équipé d une puce qui permet lors de son ramassage d identifier son propriétaire 2/ Les bacs sont comptabilisés (voire pesés) automatiquement lors du vidage 3/ Le système informatique associe à chaque ménage le nombre de relevages 4/ Les données sont rassemblées et communiquées avec la facturation SOCODIT ICOM AVRIL
18 TI avec comptage des apports 1) L usager présente sa carte d identification qui permet l ouverture d un tambour d un conteneur enterré (CE), semi- enterré (CSE) ou aérien 2) Après ouverture, il peut introduire son sac de 30 (50 ou 100 ) litres dans un tambour de volume limité 4) Le véhicule de collecte peut ensuite collecter les conteneurs selon les taux de remplissage captés à distance 3) Après fermeture, son apport est comptabilisé et envoyé via gsm (ou gprs) à un logiciel de suivi 5) Le système informatique associe à chaque carte le nombre d apports sur l année, 18 SOCODIT ICOM AVRIL
19 TI avec comptage des apports en conteneurs Conteneurs : Enterrés Mappel - Hollande Semi-enterrés Canton de Vaud - Suisse Aériens La Roche/Yon SOCODIT ICOM AVRIL
20 TI avec comptage des apports en bacs roulants sous abri-bacs avec tambour AVANTAGES : systèmes compatibles avec la collecte au PAP (bacs roulants), comptabilisation individuelle des apports (tambour et accès par badge) INCONVENIENTS : systèmes assez onéreux Abri-bacs aériens A installer sur les secteurs d habitat collectif et en centre-ville Bacs enterrés Système plus coûteux (génie civil) Permet l intégration dans la ville, notamment pour quelques points en centre historique SOCODIT ICOM AVRIL
21 TI avec comptage des apports en bacs roulants avec tambour sur couvercle Nécessité d acquérir des équipements spécifiques : bacs roulants, tambours, système d identification, matériel embarqué et logiciel de traitement Attention : le couvercle seul coûte 10 fois plus cher que le bac SOCODIT ICOM AVRIL
22 La TI dans le Monde SOCODIT ICOM AVRIL
23 La TI dans le Monde SOCODIT ICOM AVRIL
24 La TI en Allemagne Témoignage : Peter Krauss SOCODIT ICOM AVRIL
25 En France au 1er janvier collectivités et 3,5 millions d habitants en financement incitatif du SPGD effectif : 147 collectivités en REOM incitative 3 collectivités en TEOM incitative (une dizaine en 2016) CC du Toulois (54) CC de la Plaine de l Ain (01), SMICTOM de la région d Auneau (28) La collectivité type en TI, c est : 130 kg d OMR par habitant 120 kg de recyclables secs y compris verre 290 kg de déchets en déchèterie Source : Etude ADEME de novembre 2014 SOCODIT ICOM AVRIL
26 Effets de la TI sur les tonnages Impacts sur les ratios d OMR en Lorraine (données ADEME Lorraine 2013) Collectivités en TI en Lorraine Ratio moyen de collecte des OMR 200 Kg/hab Lorraine 2011 Lorraine 2013 Avant TI Année à blanc Avec TI En moyenne, baisse de -146 kg/hab entre l avant TI et la TI en place (-55%, avec une variation de -24 à -77% suivant les collectivités étudiées) Impact déjà important avant l existence de la contrainte financière (-39% entre l année «à blanc» et l année avec TI en place) SOCODIT ICOM AVRIL
27 Effets de la TI sur les tonnages Impacts sur les ratios de DMA (données France, ADEME 2014) Collectivités en France 80% des collectivités (36 collectivités sur 45) connaissent une diminution des déchets collectés sur leur territoire, tous flux confondus, pouvant aller jusqu à -20%. SOCODIT ICOM AVRIL
28 Effets de la TI sur les coûts Impacts sur les couts en Lorraine (données ADEME Lorraine 2013) Impacts de la TI sur les coûts Un coût aide HT / hab. des collectivités en TI effective entre 55,30 /hab. (2012) et 57,60 /hab. (2013), bien inférieur aux données de référence Forte baisse entre avant TI et TI effective (-26% en moyenne) SOCODIT ICOM AVRIL
29 Financement en TEOM incitative Local imposable avec valeur locative et numéro invariant Volume d OMR collecté Base de TEOM Part variable = Volume x Prix au litre collecté Numéro Invariant Part fixe = Taux x Base SOCODIT ICOM AVRIL
30 Limites et dérives d une TI Les limites de la tarification incitative La TI est moins opérante pour les usagers disposant de contenants mutualisés (dans certains cas de l habitat collectif et des points de regroupement) Elle est principalement fonction des OMR uniquement ; elle n est donc pas incitative sur les déchets occasionnels allant en déchèterie Les dérives possibles de la tarification incitative Les dépôts sauvages, les brûlages domestiques Le «tourisme» des déchets : transfert des déchets vers les collectivités voisines L augmentation possible du taux de refus de collecte sélective (effet de «vases communicants» entre OMR et collecte sélective) SOCODIT ICOM AVRIL
31 Les limites de la tarification incitative en habitat collectif Art L du CGCT: La personne morale ou physique chargée de la gestion de la résidence est considérée comme l'usager du service public et procède à la répartition de la redevance globale entre les foyers Difficultés pour individualiser la facture Au niveau technique: manque d espace dans les locaux pour des contenants individuels, lourdeur des entrées/sorties de bacs, collectes parfois spécifiques en centres villes étroits Au niveau social: risque d utilisation des contenants du voisin Pas de prise en compte des revenus (notamment pour les gros foyers, gros producteurs, à revenus modestes) Plus de difficultés pour fournir des solutions pour les fermentescibles Plus de difficulté à faire adhérer à un nouveau dispositif : déresponsabilisation, moindre participation pour les usagers disposant de contenants mutualisés (immeubles mais aussi points de regroupement), contextes parfois «sociaux», mouvements souvent plus importants (locations) SOCODIT ICOM AVRIL
32 Quelques clés de réussite Porter politiquement le projet Donner à l usager les moyens du tri et de la prévention Mettre les contrats en cohérence avec le projet Travailler en partenariat avec les trésoreries Bien préparer en amont le fichier des redevables Se doter de moyens humains suffisants Bien dimensionner la structure du tarif Tenir bon Levier efficace de prévention des déchets Piste potentielle de maîtrise des coûts en fonction des SOCODIT ICOM AVRIL données de départ
33 Ateliers 1/3 Méthode de travail 1 Etape 1 : Tous ensemble 25 min Question : quels thèmes prioritaires en termes de financement du service public «déchets» et de tarification incitative pour le SDD? Thèmes proposés : Quels impacts de la TI sur le service? Comment procéder en habitat collectif? Quel mode de comptabilisation retenir (poids, levée, apport )? Comment se prémunir de tout risque de dérive? Innovations pour le financement du service public déchets? Perspectives de déploiement de la RS? Autre thème? Sélection de 2 à 5 thèmes (groupes de travail) SOCODIT ICOM AVRIL
34 Pause 10 minutes SOCODIT ICOM AVRIL
35 Ateliers 2/3 Méthode de travail 2 Etape 2 (50 min) : ateliers en sous-groupe - 1 groupe par thème sélectionné : Chaque sous-groupe remplit les différentes rubriques de la trame de restitution sur votre table Dans chaque groupe, désigner un rapporteur SOCODIT ICOM AVRIL
36 Ateliers 3/3 Méthode de travail 3 Etape 3 : Tous ensemble 20 min 1 rapporteur de chaque groupe présente le travail collectif à l assemblée. SOCODIT ICOM AVRIL
BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES
BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION
Plus en détailRègles et prescriptions à respecter pour les permis de construire
Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones
Plus en détailLa mise en place de la redevance incitative
SICTOM DE LA ZONE SOUS VOSGIENNE novembre 2010-n 4 La mise en place de la redevance incitative Dans ce numéro : La redevance incitative: qu est-ce que c est? La redevance incitative Astuces pour réduire
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailINCITATIVE REDEVANCE. guide de la. à la réduction, au tri et à une meilleure gestion des déchets
guide de la REDEVANCE INCITATIVE à la réduction, au tri et à une meilleure gestion des déchets COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU VAL DE MORTEAU MORTEAU // VILLERS-LE-LAC // LES FINS // MONTLEBON GRAND COMBE-CHÂTELEU
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailLa collecte des papiers de bureau
Développement durable La collecte des papiers de bureau 1 LE SIVOM DU BAS-BUGEY Compétences La collecte des ordures ménagères La collecte sélective 3 déchetteries : Belley, Culoz et Virieu le Grand Quai
Plus en détailTri et réduction des déchets
Tri et réduction des déchets dans les locaux sociaux de son établissement # 1 - Organiser le tri dans les locaux sociaux # 2 - Valoriser les déchets en organisant la collecte des poubelles # 3 - Communiquer
Plus en détailARTICLE 1 - Réglementation et rôle de la Collectivité
CCPG - 135 Rue de Genève BP 441 01174 GEX Cedex Tel : 04 50 42 26 41 / Fax : 04 50 42 65 01 - dechets@ccpg.fr CONTRAT DE COLLECTE DES DÉCHETS ASSIMILÉS «DIB-DAC» ARTICLES L.2224-14 ET L.2333-78 DU CGCT
Plus en détailCOMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012
COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 Etaient présents : Mrs BLEVIN Pierre ; BONNET Claude ; GODERE Yannick ; MOUE Philippe ; MORICEAU Bertrand ; QUELVEN Jacques ; SEITZ Alfred ; SUISSE Michel
Plus en détailUne facturation incitative doit «aider» à obtenir des résultats probants.
MISE EN PLACE DE LA REDEVANCE INCITATIVE LES QUESTIONS QUI SE POSENT NOUS SOMMES EN PHASE TEST DURANT UN AN! Il ne sert à rien de tricher, de jeter vos déchets chez le voisin, dans la nature, dans les
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS. de la COMMUNAUTE DE COMMUNES du PAYS DE SAINT AUBIN DU CORMIER SEANCE DU JEUDI 8 MARS 2012
EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS de la COMMUNAUTE DE COMMUNES du PAYS DE SAINT AUBIN DU CORMIER SEANCE DU JEUDI 8 MARS 2012 L'an deux mil douze Le huit mars à 18 heures. La Communauté de Communes,
Plus en détailRapport du Conseil communal au Conseil général concernant le système d ouverture et le contrôle d accès des conteneurs enterrés
INFRASTRUCTURES ET ENERGIES 13-011 Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant le système d ouverture et le contrôle d accès des conteneurs enterrés (Du 29 mai 2013) Monsieur le Président,
Plus en détailProspective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010
Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre
Plus en détailCONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI)
3, rue Malakoff Immeuble le forum 38031 Grenoble cedex 01 : 04 76 59 59 59 Fax : 04 76 59 57 26 CONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI) Convention pour
Plus en détailDéchets professionnels
2015 info service+ Des questions? Des informations complémentaires? Des problèmes d équipements? Un changement de situation? Le professionnel est invité à contacter directement le Syndicat du Val de Loir
Plus en détailModification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme
Réunion des Présidents d Offices de Tourisme Bourges - Lundi 4 juillet 2011 Nouveaux critères de classement I - Introduction - modalités d application Extrait du Flash Infotourisme N 53-28 juin 2011 FNOTSI
Plus en détailDE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014
CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02
Plus en détailUNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE. Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux»
UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux» Nantes, 19 juin 2014 1 Elaborer le budget de sa commune : Les fondamentaux
Plus en détailANNEXE 5 MODALITES D ACCES EN DECHETERIE ET OBTENTION D UN BADGE D ACCES POUR LES USAGERS «PROFESSIONNELS ET ASSIMILES»
ANNEXE 5 MODALITES D ACCES EN DECHETERIE ET OBTENTION D UN BADGE D ACCES POUR LES USAGERS «PROFESSIONNELS ET ASSIMILES» Annexe 5 Règlement intérieur du réseau des déchèteries du SYELOM Page 1 1. Définition
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailSIEEOM GRISOLLES & VERDUN Président : M. Denis ROGER. Règlement d attribution et d utilisation des contenants pour la collecte en porte-à-porte
SIEEOM GRISOLLES & VERDUN Président : M. Denis ROGER siège social : Mairie de Verdun-sur-Garonne services : Quai de Transfert Place de la Mairie 350, chemin de la Fraysse 82 600 Verdun-sur-Garonne 82 170
Plus en détailL individualisation des frais de chauffage
L habitat collectif COMPRENDRE L individualisation des frais de chauffage Répartir les frais en fonction des consommations des logements Édition : février 2014 sommaire glossaire introduction Répartir
Plus en détailLES ACQUISITIONS DE TITRES. Analyse des opérations d'acquisition de titres (frais bancaires et TVA). TABLE DES MATIERES
LES ACQUISITIONS DE TITRES Objectif(s) : o Classification des titres. Pré-requis : o Analyse des opérations d'acquisition de titres (frais bancaires et TVA). Modalités : o Immobilisations financières :
Plus en détailG U I D E D ' I N F O R M AT I O N R E D E VA N C E I N C I TAT I V E. Madame, Monsieur,
2 N LA REDEVANCE INCITATIVE LE GUIDE PRATIQUE Madame, Monsieur, Le respect de notre environnement étant un objectif commun, le G U I D E D ' I N F O R M AT I O N R E D E VA N C E I N C I TAT I V E tri
Plus en détailPlan d actions 2011/2014
Plan d actions 2011/2014 Le présent plan d actions s organise en fiches actions, qui précisent les objectifs opérationnels des actions et explicite les modalités de mise en œuvre. Ces fiches répondent
Plus en détailSéance du 13 novembre 2014
Séance du 13 novembre 2014 L an deux mille quatorze, le jeudi 13 novembre à 20h30, le Conseil Communautaire du Canton de Valmont, s est réuni en la salle de la Ferrère de LIMPIVILLE, en séance publique.
Plus en détail19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS
19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des
Plus en détailGuide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées
Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées La tenue de la comptabilité d engagement ou comptabilité administrative est de la responsabilité de l exécutif de la collectivité. Le CGCT prévoit
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailFiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats. d économie d énergie
Octobre 2006 Fiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats d économie d énergie 1) Origine et objectif : C est en Angleterre, puis en Italie que le dispositif des certificats d économie
Plus en détailAudit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés. Septembre 2014
Audit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés Septembre 2014 Synthèse du diagnostic financier de l Agglo du Pays d Aubagne et de l Etoile
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION Projet de règlement no. 3 : Règlement sur la responsabilisation environnementale PRÉSENTATION Présenté par Monsieur Maxime Maheu-Moisan, membre du comité exécutif,
Plus en détailDIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES
LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES EYSINES FÉVRIER 214 POPULATION Population 1999 (sans double compte) Population 26 (municipale) Population 211 (municipale) Classement en fonction de la population (211) Rangs
Plus en détailSOMMAIRE DE CE DOSSIER DE CONSULTATION
Etude de faisabilité pour le passage à la redevance incitative (RI) DOSSIER D'ETUDES - Septembre 2009 Avis d'appel à la concurrence. Marché à procédure adaptée SOMMAIRE DE CE DOSSIER DE CONSULTATION Documents
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015
DOSSIER DE PRESSE Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement Paris, le 15 avril 2015 Contact presse Service de presse du ministère du Logement, de l Égalité des
Plus en détailEdito. La redevance incitative. Sommaire. La Redevance Incitative se profile à l horizon. dans le Pilat Rhodanien. N 2 - Octobre 2012
La redevance incitative dans le Pilat Rhodanien N 2 - Octobre 2012 Edito La Redevance Incitative se profile à l horizon C omme nous vous l avions annoncé dans le précédent numéro spécial de la redevance
Plus en détailPAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES
COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES contact : Sophie Blanc - responsable administrative 04 75 89 80 80 - fax : 04 75 89 80 98 - La Chastelanne 07260 Joyeuse administration@pays-beaumedrobiefr
Plus en détailF.I.C. n 2010/TDM01. Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers. Evolution des exigences de la rubrique
F.I.C. n 2010/TDM01 Fiche d interprétation et / ou complément au référentiel (Ancienne appellation «Jurisprudence technique») Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers Evolution des exigences de
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détail1 er Comité de Pilotage. Etude départementale sur le déploiement de bornes de charge pour véhicules électriques. 16 septembre 2014
1 er Comité de Pilotage Etude départementale sur le déploiement de bornes de charge pour véhicules électriques 16 septembre 2014 Introduction Présentation du Comité de Pilotage Présidé par le SYANE (JP
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailwww.integration.zh.ch
Canton de Zurich Direction de la justice et de l intérieur Bureau cantonal pour l intégration Informations pour nouveaux arrivants de l étranger www.integration.zh.ch Sommaire 03 Immigration & droit des
Plus en détailGuide pour la création d une MAM
LES MAISONS D ASSISTANTS MATERNELS Guide pour la création d une MAM Commission Départementale d Accueil du Jeune Enfant Le cadre législatif La loi n 2010-625 du 9 juin 2010 relative à la création des maisons
Plus en détailCOMMUNAUTE DE COMMUNES DE LA REGION DE NOZAY (C.C.R.N.) Acquisition logiciel pour la gestion de la redevance incitative MARCHE N 2011/M0019 C.C.T.
Marché sur appel d'offres ouvert passé en application des articles 33, 57 à 59 du Code des Marchés Publics (CMP) Le Pouvoir Adjudicateur : COMMUNAUTE DE COMMUNES DE LA REGION DE NOZAY (C.C.R.N.) Acquisition
Plus en détailNouveaux enjeux du mandat. Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée
Nouveaux enjeux du mandat Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée - 121,8-117,1 Déficit budget Etat (en milliards d'euros) - 130,0-120,0-110,0-100,0-90,0-80,0-70,0-60,0-50,0-40,0-30,0-20,0-10,0
Plus en détailLe point sur la couverture du risque maladie au Niger
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions
Plus en détailANNEXES. En vigueur en juillet 2009
ANNEXES En vigueur en juillet 2009 Annexe 1 : Règles de dotation Habitat individuel Règles de dotation pour les déchets recyclables En habitat individuel, la capacité et le type de conteneurs attribués
Plus en détailCOLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles
COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles Rappel : Organisation de la collecte des déchets sur le secteur de SAINT-BRIEUC
Plus en détailLes EPFL sont des établissements publics dont la mission est d assister les collectivités
Fiche B2 juin 2013 CETE Nord Picardie Connaître les acteurs du foncier Les établissements publics fonciers locaux (EPFL) Laurent Mignaux/METL-MEDDE Les EPFL sont des établissements publics dont la mission
Plus en détailVotre guide. Déchets : Stockage des bacs, aménagements et circulation des camions
Votre guide Déchets : Stockage des bacs, aménagements et circulation des camions POUR UNE BONNE GESTION DES DECHETS DANS LES EQUIPEMENTS SOMMAIRE Guide destiné : aux aménageurs, gestionnaires d équipements,
Plus en détailGUIDE FONCTIONNEL. Réaliser une analyse prospective à l aide du tableau financier de Mairie-conseils
GUIDE FONCTIONNEL Réaliser une analyse prospective à l aide du tableau financier de Mairie-conseils SOMMAIRE I - Objectifs 1 - Calculer des indicateurs financiers 2 - Animer la réflexion prospective II
Plus en détailANALYSE FINANCIèRE. RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012
ANALYSE FINANCIèRE RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012 RESSOURCES CONSULTANTS FINANCES SOCIÉTÉ D ETUDE, RECHERCHE ET PROSPECTIVE EN FINANCES LOCALES S.A. au
Plus en détailDéchèteries du SYELOM. Mode d emploi pour les professionnels
Déchèteries du SYELOM Mode d emploi pour les professionnels Sommaire Page Edito du Président 3 Qu est ce que le SYELOM? 4 Quels sont les professionnels 6 acceptés? Vous êtes professionnels? 7 Vous devez
Plus en détailSEANCE DU 31 JANVIER 2013
SEANCE DU 31 JANVIER 2013 PRESENTS : M. Jean GELLÉ, Mme Caroline GUIGNARD, M. Gérard PIERRE, Mme Dominique REGNIER, M. Guy THIBAUDEAU, Mme Maryse THOMAS, M. Michel BIOTEAU, M. Hubert GARNIER, M. Franck
Plus en détailSIEEOM Grisolles-Verdun
SIEEOM Grisolles-Verdun Actions visant la réduction des déchets Intervenante : Elodie Botti Présentation du SIEEOM Grisolles-Verdun Le syndicat regroupe 16 communes soit 20 968 habitants (population INSEE
Plus en détailAnalyse de la gestion des ordures ménagères par les collectivités. UFC-Que Choisir
Analyse de la gestion des ordures ménagères par les collectivités UFC-Que Choisir 1 Résumé La question de la maîtrise de la production des déchets ménagers et de la gestion de leur élimination est au cœur
Plus en détailPOLITIQUE IMMOBILIERE DE LA REGION CHAMPAGNE-ARDENNE PLAN PATRIMOINE ENERGIE ACCESSIBILITE PPEA
1 POLITIQUE IMMOBILIERE DE LA REGION CHAMPAGNE-ARDENNE PLAN PATRIMOINE ENERGIE ACCESSIBILITE PPEA SOMMAIRE 1. OBJECTIFS ET ENJEUX 2. METHODOLOGIE 3. AUDIT ENERGETIQUE ET GROS ENTRETIEN 4. STRATEGIE ENERGETIQUE
Plus en détailRéseau de chaleur de Beauvais
Réseau de chaleur de Beauvais Témoignage d un d abonné Gabriel CANTEINS Chargé de mission développement durable 22/11/2010 (v2) 1/13 Réseau de chaleur de Beauvais (témoignage) Rendez-vous de l ADEME 25
Plus en détailSécurité et cohabitation sur la voie publique au-delà des conflits d'usage. rue Perrod - Ville de Lyon 4e (Source : Certu)
Une voirie pour tous Sécurité et cohabitation sur la voie publique au-delà des conflits d'usage cf`eb køpko j^op=omnm bååçãäêéãéåí=çéë=íêçííçáêë iéë=ä~åë= =çêçìêéë=ã å~ö êéë Éí=ÅçåíÉåÉìêë=ÇÉ=íêá=ë äéåíáñ
Plus en détailVille de Schiltigheim. Audit financier version définitive
Ville de Schiltigheim Audit financier version définitive 10 octobre 2014 Préliminaire Le présent document vise à présenter les conclusions de l audit financier réalisé entre les mois de juillet 2014 et
Plus en détailSolutions de gestion des points de recharge des véhicules électriques
Solutions de gestion des points de recharge des véhicules électriques Décret du 25 juillet 2011 > Bâtiments concernés : - Logements collectifs - Bâtiments à usage tertiaire et immeubles de bureaux.dans
Plus en détail,ES DES RÏGLEMENTAIRES DES PAR #OLLECTION 4EXTES
.............................................................. 5................... 7........ 77..... 132................ 141..................................................... 156................................................
Plus en détailETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES
ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES Juin 2011 Étude réalisée pour le compte de l'ademe par Schwartz and Co et AJI Europe Coordination technique : Patrick
Plus en détailPrésentation des indicateurs techniques du Budget Général
Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Thomas Duquesne Février 2015 Pourquoi utiliser des indicateurs techniques? Notre compte administratif (bilan comptable annuel) est contrôlé par
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailINFOS PRATIQUES. www.metropole-rouen-normandie.fr. duclair PROGRAMME DE REDUCTION DES DECHETS
INFOS PRATIQUES déchets PROGRAMME DE REDUCTION DES DECHETS 205 duclair www.metropole-rouen-normandie.fr édito Chère Madame, cher Monsieur, En matière de gestion des déchets, la Métropole Rouen Normandie
Plus en détailSÉCURISATION DE L EMPLOI
Accompagner les dirigeants de l ess dans la gestion des ressources humaines DOSSIER JURIDIQUE SÉCURISATION DE L EMPLOI Réalisé par : La Loi sur la sécurisation de l emploi La loi de sécurisation de l emploi
Plus en détail#94 NEWS FISCALITÉ LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2014. La LFR 2014 a procédé à certains ajustements techniques :
NEWS #94 FISCALITÉ JANVIER 2015 Les deuxième loi de Finances rectificative (LFR) pour 2014 et loi de Finances (LF) pour 2015 ont été publiées au Journal officiel du 30 décembre 2014. Nous présentons, dans
Plus en détailSociété BIS RECYCLAGE Saint-Jory (31) Audit de conformité réglementaire de la gestion des DEEE
Saint-Jory (31) Audit de conformité réglementaire de la gestion des DEEE 1 INFORMATIONS GENERALES SUR LE SITE...1 2 ELEMENTS TECHNIQUES...2 2.1 PRINCIPALES CARACTERISTIQUES TECHNIQUES... 2 2.2 ELEMENTS
Plus en détailDépartement de l Hérault
Du diagnostic à l opérationnel, quelles priorités? Le cas des collèges de l Hérault Jean-Pierre Quentin, directeur d exploitation du pôle éducation Patrimoine Conseil général de l Hérault mai 2009 AUDIT
Plus en détailPrésentation des indicateurs techniques du Budget Général
Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Thomas Duquesne conseil du 17 octobre 2014 Pourquoi utiliser des indicateurs techniques? Notre compte administratif (bilan comptable annuel) est
Plus en détailDEPARTEMENT DE LA MARTINIQUE
DEPARTEMENT DE LA MARTINIQUE Projet de Plan Départemental de Prévention et de Gestion des Déchets non Dangereux de la Martinique Résumé non technique du rapport d évaluation environnementale Juin 2015
Plus en détailBoulangerie AURANT REST Coiffeur
Boula ngeri e ANT R TAU RES Coiffe ur Remerciements Étude réalisée par In Numeri : Laurence HAEUSLER, Anne-Gaelle MORO-GOUBELY, Guillaume BERTHOIN Coordination technique : Christian MATHERY et Pierre GALIO,
Plus en détailCOMMUNE DE SALINS-LES-BAINS
COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr
Plus en détailLa construction métropolitaine en Ile-de-France
1 La construction métropolitaine en Ile-de-France Eléments d actualité: La réforme territoriale Le devenir du Grand Paris 29 Novembre 2012 Intercommunalité et Métropolisation en Ile-de-France 2 Eléments
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailMobiliser les copropriétés face au défi énergétique. Yoann Girbeau, Chargé de mission Energie Climat, ALEC SQY
Mobiliser les copropriétés face au défi énergétique Yoann Girbeau, Chargé de mission Energie Climat, ALEC SQY c SQY Objectif : promouvoir les économies d énergies et les énergies renouvelables Publics:
Plus en détailLe projet Chorus a été conçu pour doter. Chorus : résultats et perspectives
Danièle LAJOUMARD Inspecteur Général des Finances Chorus : résultats et perspectives Le projet Chorus destiné à permettre la mise en œuvre intégrale de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF)
Plus en détailCOMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DE MONTBETON SÉANCE DU 14 OCTOBRE 2010
COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DE MONTBETON SÉANCE DU 14 OCTOBRE 2010 Nombre de conseillers : en exercice : 22 présents : 19 votants : 19 Pouvoirs : 01 L an deux mille dix le quatorze
Plus en détailBONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION
BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros
Plus en détailCommunauté de Communes du Pays de Ribeauvillé
Communauté de Communes du Pays de Ribeauvillé Approuvé par délibération 2009-5-44 du 8 décembre 2009 COMMUNAUTE DE COMMUNES DU PAYS DE RIBEAUVILLE 1, Rue Pierre de Coubertin 68150 RIBEAUVILLE - 1 - LISTE
Plus en détailANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.
ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B
REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B Les déchetteries intercommunales de la CCVD s inscrivent dans le rôle des collectivités
Plus en détailGuide d utilisation du jeu et des ressources pédagogiques
Guide d utilisation du jeu et des ressources pédagogiques Le jeu Ecoville... p2 Les ressources pédagogiques... p4 Monter un projet pédagogique avec Ecoville... p6 Le jeu Ecoville Le jeu Ecoville est un
Plus en détailCOMMUNAUTE DE COMMUNES DES VALLEES DE THONES
COMMUNAUTE DE COMMUNES DES VALLEES DE THONES MAISON DU CANTON 74230 THONES Téléphone : 04 50 32 13 59 Télécopie : 04 50 32 75 69 RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS à caractère réglementaire Code Général
Plus en détailEDF. Contacts. présentation de l entreprise. activités proposées. www.edf.com
EDF é l e c t r i c i t é d e f r a n c e présentation de l entreprise Le groupe EDF est un énergéticien intégré, présent sur l ensemble des métiers : la production, le transport, la distribution, le négoce
Plus en détailLe réseau régional des acteurs du paysage
Le réseau régional des acteurs du paysage Adrien COUTANCEAU / Geoffrey QUIGNON Service Nature Eau et Paysage Le 4 décembre 2014 www.picardie.developpementdurable.gouv.fr Déroulement Définitions Pourquoi
Plus en détailAudit 360 CONFORT, ENERGIE, SÉCURITÉ, VALORISATION. Une solution pour y voir plus clair dans votre copropriété
Audit 360 CONFORT, ENERGIE, SÉCURITÉ, VALORISATION Une solution pour y voir plus clair dans votre copropriété Socotec en quelques mots 3 valeurs d engagement + 5 métiers structurants + 7 aes stratégiques
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détail«A R A P L de HAUTE NORMANDIE» Association déclarée, régie par la Loi du 1 er juillet 1901 ============ REGLEMENT INTERIEUR TITRE I
«A R A P L de HAUTE NORMANDIE» ASSOCIATION REGIONALE AGREEE DES PROFESSIONS LIBERALES de HAUTE NORMANDIE Association déclarée, régie par la Loi du 1 er juillet 1901 ============ REGLEMENT INTERIEUR TITRE
Plus en détailSimplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF
Simplifiez-vous la avec www.energiespositif.fr , les spécialistes de la et de son financement en Île-de-France 400 000 logements franciliens à rénover d ici à 2020, c est 18 % des copropriétés L énergie
Plus en détailMairie de Lérouville République Française Département de la Meuse
Mairie de Lérouville République Française Département de la Meuse REGLEMENT INTERIEUR 2015 D UTILISATION DES SALLES COMMUNALES DE LEROUVILLE Adopté par le Conseil Municipal par délibération n 58 du 16
Plus en détailPrésentation du protocole d expérimentation à Pôle emploi L EXPERIMENTATION TELETRAVAIL A DOMICILE ET TRAVAIL EN PROXIMITE CCE DU 18/02/2014
L EXPERIMENTATION TELETRAVAIL A DOMICILE ET TRAVAIL EN PROXIMITE Présentation du protocole d expérimentation à Pôle emploi CCE DU 18/02/2014 Dossier du CCE du 10/12/2013 amendé (compléments en bleu dans
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT
Plus en détailV- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014
V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation A- Les marchés du Bâtiment à l horizon 2014 1. Scénario prospectif sur le territoire de la Les prévisions à horizon 2014 reposent sur plusieurs hypothèses
Plus en détailAppel d offres pour l accompagnement du Pôle Fibres Energivie dans l organisation de l Energivie Summit en novembre 2016
Appel d offres pour l accompagnement du Pôle Fibres Energivie dans l organisation de l Energivie Summit en novembre 2016 1. Contexte 1.1 Les Pôles de compétitivité Ce sont des structures, en général associatives,
Plus en détailEnergie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports. Luc Adolphe
Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports Luc Adolphe RÉDUCTION DES BESOINS ÉNERGÉTIQUES DANS LES TRANSPORTS. Contexte : Densité, Mobilité Réduire
Plus en détail