Banque de la République d Haïti. Note Mensuelle sur. Janvier l Inflation.
|
|
- Corinne Blanchette
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Banque de la République d Haïti Note Mensuelle sur l Inflation Janvier
2 Table des matières I.- Introduction...2 II.- Évolution de l inflation courante en janvier III.-Évolution de l inflation sous-jacente IV.-Évolution de l inflation selon l origine des produits V.-Évolution des principales fonctions de consommation en janvier VI.-Facteurs explicatifs de l évolution de l inflation en janvier VII.- Prévisions d inflation...5 1
3 I.- Introduction Cette note analyse l évolution de l Indice des Prix à la Consommation (IPC) en Haïti au cours du mois de janvier Elle apporte quelques éléments explicatifs permettant de comprendre les facteurs qui influencent l évolution de l inflation au cours de ce mois. Elle présente également les prévisions pour les trois prochains mois. II.- Évolution de l inflation globale En janvier 2016, l inflation, mesurée par la variation de l indice des prix à la consommation, s est établie à 13,3 % en glissement annuel. En augmentant de 80 points de base par rapport au mois de décembre 2015, l inflation annuelle a poursuivi sa tendance à la hausse entamée depuis mai Entre mai 2015 et janvier 2016, le taux d inflation a été multiplié par 2. Considérée sur une base mensuelle, l inflation a maintenu le même rythme de croissance enregistré au mois précédent, soit 1,1 %. L inflation mensuelle cumulée sur les 4 premiers mois de l exercice fiscal a atteint 3,9 % contre 2,2 % au cours de la même période de l exercice passé. Graphique No. 1 Évolution de l inflation mensuelle d octobre 2014 à janvier 2016 (en %) 2
4 Graphique No. 2 Évolution de l inflation annuelle d octobre 2014 à janvier 2016 (en %) Graphique No. 3 Contributions à l inflation mensuelle et annuelle (en %) en janvier 2016 Source : Calculs de la BRH 3
5 III.- Évolution de l inflation sous-jacente En janvier 2016, l inflation sous-jacente en variation mensuelle et en glissement annuel, s est établie à 0,94 % et 13,04 % respectivement contre 0,99 % et 12,41 % un mois auparavant. Évoluant à un niveau inférieur à l inflation globale (1,1 %), l inflation de base mensuelle suggère que les prix des produits volatils seraient à la base de la progression de l IPC enregistrée au cours du mois sous étude. Graphique No. 4 Inflation globale et sous-jacente en variation mensuelle (en %) IV.- Évolution de l inflation selon l origine des produits En rythme mensuel, les indices des prix des produits locaux et importés ont affiché la même variation de 1,1 % en janvier 2016 contre 1,2 et 1,1 % respectivement en décembre En glissement annuel, l IPC des produits locaux a crû plus rapidement que celui des produits importés. Établis à 14 % et 8,9 % chacun en décembre 2015, le taux d inflation annuel des produits locaux et celui des produits importés se sont portés à 14,8 % et 9,7 % respectivement. 4
6 V.- Évolution des principales fonctions de consommation en janvier 2016 L évolution de l inflation mensuelle résulte de la variation à la hausse de l IPC de toutes les fonctions de consommation, notamment celle de l «Alimentation, boissons et tabac» et de l «Habillement, tissus et chaussures». Le taux de croissance mensuel de l indice de ces deux fonctions a augmenté de 10 points de base chacune. La première, dont la contribution à l inflation globale s est portée à 63,44 %, est passée à 1,3 % contre 1,2 % en décembre Le deuxième poste, ayant contribué à 12,58 % à l inflation mensuelle, est celui de l «Habillement, tissus et chaussures», dont la variation de l indice a été de 1,9 % en janvier 2016 contre 1,8 % le mois précédent. VI.- Facteurs explicatifs de l évolution de l inflation en janvier 2016 La faiblesse de la production agricole et la dépréciation continue de la gourde sont les principaux facteurs susceptibles d expliquer la hausse de l inflation au mois de janvier Faiblesse de la production agricole Suite à la sécheresse qui sévit depuis quelques années et qui s'est accentuée en 2015, sous l'effet du phénomène "El Niño, les agriculteurs ont perdu jusqu'à 70 % de leur récolte dans certaines régions. Ceci a entraîné une baisse de la production agro-alimentaire et, par voie de conséquence, une hausse des prix des produits de base, ceux-ci ayant, dans certains cas, doublé. 2.- Dépréciation continue de la gourde Au cours du mois de janvier 2016, la dépréciation de la monnaie locale par rapport au dollar américain s est poursuivie. En effet, le taux de change est passé de 56,6970 gourdes en décembre 2015 à 59,4546 gourdes pour un dollar au cours de la période sous revue, soit une dépréciation de 5 % en janvier 2016 par rapport au mois antérieur. VII.-Prévisions d inflation Pour les trois prochains mois de l exercice , les prévisions d inflation du Service des Statistiques de la BRH augurent une évolution à la hausse du taux d inflation tant en variation mensuelle qu en glissement annuel. En effet, l inflation annuelle devrait se chiffrer à 13,5 % en février, 5
7 13,9 % en mars et 14,1 % en avril En variation mensuelle, les prévisions tablent sur des taux de 0,5 %, 0,8 % et 0,7 % pour les trois prochains mois. Graphique No. 5 Prévision de l inflation annuelle (Février, mars et avril 2016) Feb-14 Mar-14 Apr-14 May-14 Jun-14 Jul-14 Aug-14 Sep-14 Oct-14 Nov-14 Dec-14 Jan-15 Feb-15 Mar-15 Apr-15 May-15 Jun-15 Jul-15 Aug-15 Sep-15 Oct-15 Nov-15 Dec-15 Jan-16 Feb-16 Mar-16 Apr-16 inflation estimée (inf) Inflation en glissement annuel inflation estimée (sup) 6
8 Tableau # 1 Indice des Prix à la Consommation (IPC) par postes de dépenses Variation et Contribution à l'inflation mensuelle et annuelle en janvier 2016 Variation IPC (en %) Contribution à l'inflation (en %) Indice des Prix à la Consommation (IPC) Mensuelle Annuelle Mensuelle Annuelle Poste Pondération (en %) Janvier 2015 Décembre 2015 Janvier 2016 Janvier 2016 Janvier2016 Janvier2016 Janvier2016 Indice Général Alimentation, boisson et tabac Habillement, tissus et chaus Loyer, énergie et eau Aménag. et entret. du logem Santé Transport Lois., sp. Ens., Clt Aut. biens & serv
9 Glossaire Variation mensuelle : Variation par rapport au mois précédent. Glissement annuel Inflation Désinflation Déflation : Variation par rapport au même mois de l année antérieure. : Mouvement persistant à la hausse du niveau général des prix. : Ralentissement de la croissance des prix. : Baisse du niveau général des prix associée à une contraction de la masse monétaire et du crédit. Inflation sous-jacente : Tendance de long terme des prix, tout en excluant la volatilité, les mouvements saisonniers, conjoncturels, et les chocs qui affectent les composantes du panier considéré. Région Nord Région Sud Région Reste Ouest : Elle couvre les départements du Nord, Nord-Est et Nord-Ouest. : Elle comprend les départements du Sud de la Grand-Anse et des Nippes. : Y sont inclus les départements du Sud-Est et de l Ouest à l exception de l aire métropolitaine Région Transversale : Elle regroupe les départements du Centre et de l Artibonite. Aire Métropolitaine : Elle contient les villes de Port-au-Prince, de Delmas, de Pétion-Ville, de Carrefour et de Croix des Bouquets. 8
Réunion publique/téléconférence
Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55
Plus en détailDERIVES SUR ACTIONS ET INDICES. Christophe Mianné, Luc François
DERIVES SUR ACTIONS ET INDICES Christophe Mianné, Luc François Sommaire Notre activité Nos atouts La gestion du risque Conclusion 2 Notre activité 3 Les métiers Distribution de produits dérivés actions
Plus en détailRésultats annuels Exercice clos au 30 avril 2015. 18 juin 2015
Résultats annuels Exercice clos au 30 avril 2015 18 juin 2015 1 Alan Parker Président 2 Agenda i. Synthèse ii. iii. iv. Comptes annuels Les 4D Initiatives de croissance 3 Synthèse 4 Nouvelle Confiance
Plus en détailImpact on revenue requirements no Description (000$)
IMPACT OF THE CHANGE IN COST OF GAS ON THE REVENUE REQUIREMENT RESULTING FROM THE 2010 VOLUMES COMPONENTS: Transportation, load balancing and commodity 2010 RATE CASE Impact on revenue Line requirements
Plus en détailAvec Skandia Euro Guaranteed Fund 2012 Maîtrisez les yo-yo des marchés financiers
Avec Skandia Euro Guaranteed Fund 2012 Maîtrisez les yo-yo des marchés financiers Skandia 1, 1, rue de la la Pépinière 75008 PARIS Tél : 01 58 22 27 00 Fax : 01 58 22 27 09 E-mail : servicepartenaires@skandia.fr
Plus en détailEstimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur
Estimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur Marchés concernés Rejoignez la tendance Si vous êtes activement impliqué sur le marché des tôles
Plus en détailConférence téléphonique. Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com
Conférence téléphonique mercredi 6 octobre 2010 11 heures 223, rue Saint honoré 75001 PARIS Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com THEMES DE LA CONFERENCE TELEPHONIQUE 1 ère
Plus en détailAnalyse empirique et modélisation de la dynamique de la topologie de l Internet
Analyse empirique et modélisation de la dynamique de la topologie de l Internet Sergey Kirgizov Directrice de thèse: Clémence Magnien Complex Networks, LIP6, (UPMC, CNRS) Paris, 12 décembre 2014 Plan 1
Plus en détailLE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DES ACTEURS DES FILIÈRES AGRICOLES: L EXPERIENCE DU PROJET MISTOWA. Plan
LE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DES ACTEURS DES FILIÈRES AGRICOLES: L EXPERIENCE DU PROJET MISTOWA Plan Le Projet MISTOWA Activités et Outils Quelques résultats Leçons et recommandations MISTOWA En Bref
Plus en détailModèle de budget mensuel
Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir
Plus en détailLE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS
LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN
Plus en détailModèle de budget mensuel
Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir
Plus en détailProgramme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel
Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel Décembre 2008 TABLE DES MATIÈRES MESSAGE AUX INTERVENANTS... 3 PROGRAMME CANADIEN POUR L ÉPARGNE-ÉTUDES (PCEE)... 4 MÉTHODOLOGIE DU RAPPORT...
Plus en détailÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance
ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance Définition Un accident corporel (mortel ou non mortel) de
Plus en détailORGANIGRAMME. Conseil d'administration. Administration. Caisse. Contrôle de Crédit. Monnaie et Analyse Économique. Affaires Internationales
ORGANIGRAMME Conseil d'administration Unité d'audit Interne Attachés à la Direction Générale Administration Ressources Humaines Comptabilité/Budget Support Informatique Affaires Juridiques Contentieux
Plus en détailTendances du Marché Publicitaire
Tendances du Marché Publicitaire Rapport 2015/07 Compte-rendu mensuel de l évolution du marché suisse de la publicité Les points culminants en juillet 2 Pression publicitaire pour l ensemble du marché
Plus en détailREUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014. Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias.
REUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014 Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias.fr SOMMAIRE LE MARCHE DU PNEUMATIQUE EN FRANCE EN 2013 (Sources : ventes
Plus en détailRapport statistique De Mars - 2015
Rapport statistique MOTOCYCLETTES Le mois de mars a été marqué par une remontée significative des ventes en comparaison du même mois de 2014, soit 17 % ou plus de 1000 unités. La catégorie routière a été
Plus en détailIndicateur du Marché du Transport (Transport Market Monitor)
Indicateur du Marché du Transport (Transport Market Monitor) La récupération des prix du transport est encore loin Édition : 11 (Mai 2012) Ce document confidentiel est la propriété de Capgemini et TRANSPOREON
Plus en détailTable des Matières. 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) Finances Publiques. (sources : BRH / MEF)
Table des Matières 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) 6 Finances Publiques (sources : BRH / MEF) 7 Secteur réel (sources : IHSI / BRH / EDH) 10 Secteur externe (sources : BRH / AGD / Maison
Plus en détailAvril 2014 FC 154/4. Cent cinquante-quatrième session. Rome, 26-30 mai 2014. Rapport sur les placements 2013
Avril 2014 FC 154/4 F COMITE FINANCIER Cent cinquante-quatrième session Rome, 26-30 mai 2014 Rapport sur les placements 2013 Pour toute question relative au contenu du présent document, prière de s'adresser
Plus en détailLes dates SAS expliquées à ma fille
Les dates SAS expliquées à ma fille Eternel sujet de questionnements, les dates SAS ont un fonctionnement qui a tout pour surprendre. Petite série d explications avant qu il vous prenne l envie de passer
Plus en détailRÉSULTATS 2013 RÉUNION SFAF PARIS, LE 21 FÉVRIER 2014
RÉSULTATS 2013 RÉUNION SFAF PARIS, LE 21 FÉVRIER 2014 DES ALLIAGES, DES MINERAIS ET DES HOMMES. DES ALLIAGES, DES MINERAIS ET DES HOMMES. SOMMAIRE RÉSULTATS 2013 3 ACTIVITÉ DES BRANCHES 15 PERSPECTIVES
Plus en détailDynAmiser vos investissements
DynAmiser vos investissements Aequam en quelques mots Jeune entreprise indépendante et innovante Agréée AMF n GP-10000038 Incubée par le Pôle Sponsorisée par Fondatrice de Savoir-faire / Innovation 5 associés
Plus en détailComptabilité énergétique
Comptabilité énergétique :: Willy Otto :: Product Manager :: 2 mars 28 Plan de l exposé :: Comptabilité énergétique - Quoi? Pourquoi? Qui? - En pratique - Exemples - Critères - La comptabilité énergétique
Plus en détailSecteur de la construction au Canada
PIB en G$ CAD Survol des tendances de l industrie Secteur de la construction au Canada Principaux développements T2/214 214 Le PIB réel a atteint un sommet de 1 69 millions de dollars canadiens en novembre
Plus en détailLe poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux
AMBASSADE DE FRANCE AUX ETATS-UNIS MISSION FINANCIÈRE FRENCH TREASURY OFFICE 11 RESERVOIR ROAD, NW WASHINGTON D.C. 7 TEL : () 9-33, FAX : () 9-39 E - M A I L : afny@missioneco.org 1 SEVENTH AVENUE, 3 TH
Plus en détailGestion obligataire passive
Finance 1 Université d Evry Séance 7 Gestion obligataire passive Philippe Priaulet L efficience des marchés Stratégies passives Qu est-ce qu un bon benchmark? Réplication simple Réplication par échantillonnage
Plus en détailBanque de la République d Haïti. Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000
Banque de la République d Haïti Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000 Table des matières Avertissement...5 I- Statistiques monétaires et financières Tableau 1.1 Principaux indicateurs monétaires...10
Plus en détailCatalogue de formations
Catalogue de Janvier 2012 Catalogue par thématiques Microsoft Office 2010 - http://tinyurl.com/formation-office2010 485 vidéos - 38 heures de formation Word, Excel, PowerPoint, Outlook, Access, Publisher,
Plus en détailLa mise en œuvre de la politique monétaire suisse
La mise en œuvre de la politique monétaire suisse La Banque nationale suisse (BNS) dispose aujourd hui d instruments efficaces et souples pour mettre en œuvre sa politique monétaire. Depuis l an 2000,
Plus en détailwww.kaeser.com Récupération de calories pour le chauffage et la production d eau chaude
Récupération calories pour le et la production d eau chau moins d émissions La récupération calories Pourqui récupérer s calories? Ou plutôt : pourquoi pas? Chaque compresseur à vis transforme 100 % l
Plus en détailSurveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies
Surveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies Philippe Vanhems Service Hygiène Hospitalière, Epidémiologie et Prévention Pôle Santé, Recherche, Risques et Vigilances
Plus en détailLaFourchette.com IMC AWARD E-COMMERCE
LaFourchette.com IMC AWARD E-COMMERCE Problématique & objectifs DEVENIR LE LEADER DE L INTERMÉDIATION DE RESTAURANTS EN EUROPE Mettre en relation les internautes et les restaurateurs Permettre aux premiers
Plus en détailCours d analyse technique. Henri Janssen INVESTA
Cours d analyse technique Henri Janssen INVESTA hj@benetis.be www.geocities.com/easylink2000 Moyennes mobiles, sommaire Définitions et calcul des moyennes mobiles SMA, EMA, WMA Les moyennes mobiles et
Plus en détailPROFITER DE LA VAGUE DE FUSIONS-ACQUISITIONS. Exploiter la hausse de l activité corporate grâce aux solutions Risk Arbitrage de Candriam
POSITION PAPER PROFITER DE LA VAGUE DE FUSIONS-ACQUISITIONS Exploiter la hausse de l activité corporate grâce aux solutions Risk Arbitrage de Candriam TABLE DES MATIÈRES EN RÉSUMÉ 2 UNE FORTE REPRISE DE
Plus en détailLes informations sur l accessibilité et les conditions d accès pour les vélos sont disponibles sur eurostar.com.
Performance qualité de service Eurostar Sommaire 1) Informations voyage et achat de billets 2) Ponctualité et annulations 3) Propreté 4) Satisfaction clients 5) Plaintes et compensation 6) Assistance 1)
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailINFRAQUITAINE. Présentation des services. Jean Philippe LAFOND Directeur Technique INFRAQUITAINE
2011 Présentation des services INFRAQUITAINE Ensemble valorisons votre infrastructure informatique... Jean Philippe LAFOND Directeur Technique INFRAQUITAINE Table des matières 1. Présentation du périmètre
Plus en détailFONDS IMMOBILIERS SUISSES UNE CATÉGORIE DE PLACEMENTS QUI A FAIT SES PREUVES. Compact
FONDS IMMOBILIERS SUISSES UNE CATÉGORIE DE PLACEMENTS QUI A FAIT SES PREUVES Compact La Swiss Funds & Asset Management Association SFAMA (SFAMA), fondée en 1992 et ayant son siège à Bâle, est l organisation
Plus en détailLe centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015
Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis
Plus en détailAnalyse, par le personnel de l Office, de la demande de modification du plan de mise en valeur du champ White Rose
ANALYSE, PAR LE PERSONNEL DE L OFFICE, DE LA DEMANDE DE MODIFICATION DU PLAN DE MISE EN VALEUR AYANT TRAIT À L ACCROISSEMENT DU VOLUME DE PRODUCTION DU CHAMP WHITE ROSE ISBN n o 978-1-897101-26-1 Table
Plus en détailL ouverture du capital au Brésil. Pablo Renteria Paris, le 18 juin 2010
L ouverture du capital au Brésil Pablo Renteria Paris, le 18 juin 2010 L auteur de cette présentation est le seul responsable pour toutes les opinions et conclusions ici exposées, lesquelles ne coincident
Plus en détailEmerging Manager Day 18 décembre 2014
Emerging Manager Day 18 décembre 2014 KARAKORAM Agrément AMF n 11000038 SAS au capital de 200 000 euros 112 Boulevard Haussmann 75008 Paris Tel : 01 82 83 47 30 2 1 La Société 3 1 Karakoram Une société
Plus en détailMacroéconomie et Change La BCE frappe fort. L euro s effondre
Semaine du 19/01/2015 au 26/01/2015 Macroéconomie et Change La BCE frappe fort. L euro s effondre Electricité Une semaine plus tendue sur les marchés de l électricité Pétrole Le brut stable autour de $49/b
Plus en détailSMART Manufacturing. Alcoa, Produits primaires mondiaux. Séminaire régional OSIsoft Montréal : 16 Septembre 2014
SMART Manufacturing Alcoa, Produits primaires mondiaux Séminaire régional OSIsoft Montréal : 16 Septembre 2014 1 Survol du projet - SMART Manufacturing Bruno Longchamps, ing. Leader, Projet SMART Manufacturing
Plus en détailEn direct des Marchés
Bruxelles, le mercredi 8 juillet 2015 Madame, Monsieur, La réunion de la dernière chance hier est donc devenue celle de l avant-dernière chance et il faudra attendre dimanche pour connaitre la véritable
Plus en détailRevue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16
9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur
Plus en détailTechnologie Netapp. Novembre 2010
Technologie Netapp Novembre 2010 La Proposition de valeur NetApp Simplification, Performance et ROI 2010 NetApp. All rights reserved. 2 Une valeur unique sur le marché Une solution unique pour adresser
Plus en détailMacroéconomie et Change Vers un durcissement de la politique de la Fed
Semaine du 06/12 au 13/12/2013 Macroéconomie et Change Vers un durcissement de la politique de la Fed Electricité Pas de tendance marquée pour les prix de l électricité sur la courbe Pétrole Prix en baisse
Plus en détailDEA ès Sciences de Gestion. DES en Sciences Economiques. Ingénieur diplômé de l'ecole Polytechnique de Paris.
Education René Demeestere Emeritus Professor, Department Accounting and Management Control DEA ès Sciences de Gestion. DES en Sciences Economiques. Ingénieur diplômé de l'ecole Polytechnique de Paris.
Plus en détailEXPERIAN FOOTFALL: COMPTEZ-LES. ATTIREZ-LES. CONVERTISSEZ-LES.
www.footfall.com + 33 1 55 12 10 00 EXPERIAN FOOTFALL: COMPTEZ-LES. ATTIREZ-LES. CONVERTISSEZ-LES. Vous ne pouvez pas augmenter votre rentabilité sans connaîtrevos clients sur le bout des doigts Comptez-les
Plus en détailEPAIS BROUILLARD SUR DAVOS
EPAIS BROUILLARD SUR DAVOS Février N 222 L INDICATEUR AVANCE EST PRESENTE DANS UN ENCART JOINT Comme tous les ans, quelque 2500 personnalités du monde économique et politique se sont rassemblées à Davos
Plus en détailBANQUE CENTRALE EUROPÉENNE COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 20 avril 2015 BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE COMMUNIQUÉ DE PRESSE STATISTIQUES RELATIVES AUX FONDS D INVESTISSEMENT DE LA ZONE EURO FÉVRIER 2015 En février 2015, l encours de parts émises par les
Plus en détailL Indice des prix à la consommation
N o 62-001-X au catalogue L Indice des prix à la consommation Comment obtenir d autres renseignements Pour toute demande de renseignements au sujet de ce produit ou sur l ensemble des données et des services
Plus en détailSupreme Court of the Northwest Territories Cour Suprême des Territoires du Nord-Ouest
17-Aug-2015 COURTROOM #1 YELLOWKNIFE 17 août 2015 SALLE #1, YELLOWKNIFE S-1-CR-2013-000023 ERASMUS BRIAN JOSEPH ct#1 S.266 CC ct#2 S.264.1(1)(A) CC ct#3 S.271 CC Duration/Durée: 1.00day(s)/jour(s) SET
Plus en détailPRODUITS DÉRIVÉS LES CONTRATS À TERME : MODE D EMPLOI
PRODUITS DÉRIVÉS LES CONTRATS À TERME : MODE D EMPLOI About NYSE Euronext NYSE Euronext (NYX) est l un des principaux opérateurs de marchés financiers et fournisseurs de technologies de négociation innovantes.
Plus en détailLa Banque nationale suisse surprend les marchés
La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,
Plus en détailMobile Paiement: perspectives et axes de développement
1 Mobile Paiement: perspectives et axes de développement Intervenants : Laurent Marie KIBA Directeur Mobile Payments Orange - Sonatel Bertrand MARTIN Directeur Marketing Orange Money Groupe France Télécom
Plus en détailIdentifiant unique : N CIN Etablissement universitaire Gouvernorat Délégation
Identifiant unique : N CIN Etablissement universitaire Gouvernorat Délégation M O N E N T R E P R I S E P L A N D A F FA I R E S P R O M O T E U R S T R U C T U R E D A P P U I D A T E : M O I S / A N
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment
Plus en détailCatalogue de formations 2013
Prêt pour Windows 8 Office 2013 12 660 sur plus de 420 logiciels Catégories Nouveautés Tous Bureautique E-mail Internet Multimédia Périphérique Sécurité Sites Internet Tchat Évaluation Catalogue de 2013
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailEmission et Admission d Obligations Crédit Agricole S.A.
CRÉDIT AGRICOLE S.A. Emission et Admission d Obligations Crédit Agricole S.A. A COUPON ZERO et INDEXEES sur l INDICE DE STRATÉGIE INDEX EURO ACTIONS janvier 2010 / mars 2018 d un montant nominal de 1 150
Plus en détailCHAPITRE 2. Population, ménages et familles
CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de
Plus en détailDossier de presse 28 janvier 2013
Dossier de presse 28 janvier 2013 1. Pourquoi un Centre pour Entreprises en difficulté en Wallonie? Certes, le nombre de faillites augmente. Mais, c est surtout, le fait de voir qu un conseil rapide et
Plus en détailDISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE
DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE Le plan CO.RAIL (Contrat de reprise d activité et d initiative locale) a été initié fin mars 2009 par Yves Jégo, secrétaire d Etat chargé de l Outre-mer
Plus en détailDates and deadlines 2013 2014
(Version française à la page 3) Dates and deadlines 2013 2014 The following are proposed dates and deadlines for the annual renewal cycle. Clubs in BC and Alberta, please note: you may have deadlines preceding
Plus en détailLa gestion de projet collaborative dans un contexte d amélioration continue
Bell Helicopter Textron - Mirabel La gestion de projet collaborative dans un contexte d amélioration continue «un alignement stratégique» Mai 2004 Déroulement 1 : Introduction 2 : Cycle de gestion et amélioration
Plus en détailCatalogue des Prestations. Systèmes d'information. Télécommunications. Audiovisuel
Systèmes d'information Télécommunications Audiovisuel Catalogue des Prestations 2015 7, Bd Moulay Youssef, 20000 - Casablanca-Anfa, Maroc, Fixe : +212 522 481 902 - Mobile : +212 680 153 481 - Fax : +212
Plus en détailLes effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA
Les effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA Auteurs : Abdoulaye DIAGNE et Abdou-Aziz NIANG Introduction Ceci devrait contribuer à réduire l écart entre
Plus en détailInvestir à long terme
BMO Gestion mondiale d actifs Fonds d investissement Investir à long terme Conservez vos placements et réalisez vos objectifs Concentrez-vous sur l ENSEMBLE de la situation Le choix des bons placements
Plus en détailPlanning Formation Juillet 2015- Décembre 2015
Planning Formation Juillet 2015- Décembre 2015 Management Management et Techniques de Management Management Durée HT Jul-15 Aug-15 Sep-15 Oct-15 Nov-15 Dec-15 Réussir dans son rôle de Manager hiérarchique
Plus en détailIGEA Patrimoine FCP agréé par l AMF
IGEA Patrimoine FCP agréé par l AMF Présentation La Société de Gestion IGEA Finance La structure L approche originale Société de gestion agréée par l AMF Gestion diversifiée, patrimoniale Clients privés
Plus en détailExercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible»
Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible» Quand la trésorerie d une entreprise est positive, le trésorier cherche le meilleur placement pour placer les excédents.
Plus en détailGUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO LE LIVRET DU RETRAITÉ. n o 2. Le livret du retraité
GUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO LE LIVRET DU RETRAITÉ Guide salariés n o 2 MARS 2015 Le livret du retraité Sommaire La retraite, en bref... 3 Points clés... 4 Points de repères... 8 Points
Plus en détailIntroduction à la gestion de l entreprise
1 L2S4 Introduction à la gestion de l entreprise Devoirs 2 Devoir 1 La société CEVRERO enregistre les opérations suivantes en 2010 : 1 - vente de marchandises à un client 4 000 à crédit 2 - payement note
Plus en détailSOLUTIONS DE PLACEMENT
COMPRENDRE VOS BESOINS LA PIERRE ANGULAIRE D UNE GESTION PATRIMONIALE PÉRENNE RÉCONCILIER VOS OBJECTIFS ET VOTRE TOLÉRANCE AUX RISQUES Dans la vie, chaque individu possède une combinaison unique de besoins
Plus en détailDes assurances pour la vie. Post Optima Selection 2. Spécial placements en assurance. Investir, c est aussi pour pouvoir se faire plaisir
Les primeurs et les infos de Banque de La Poste n 12 - Octobre 2010 Spécial placements en assurance Des assurances pour la vie Post Optima Selection 2 Investir, c est aussi pour pouvoir se faire plaisir
Plus en détailDIRECTIVES DE PLACEMENT RISK BUDGETING LINE 5
DIRECTIVES DE PLACEMENT RISK BUDGETING LINE 5 29.06.2011 Groupe de placement Prisma Risk Budgeting Line 5 (RBL 5) Caractéristiques du groupe de placement 1. Le RBL 5 est un fonds composé d actifs susceptibles
Plus en détailUn communiqué de presse qui inclut une déclaration du Président du Conseil d administration. Une déclaration de l'administrateur pour le Burundi.
Mars 2015 BURUNDI Rapport pays du FMI N 15/88 SIXIÈME REVUE DE L ACCORD AU TITRE DE LA FACILITÉ ÉLARGIE DE CRÉDIT ET DEMANDE D AUGMENTATION DE L ACCÈS AUX RESSOURCES DU FMI ET DE PROLONGATION D UN AN DE
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détail1 LA SITUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE
LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE LA SITUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE. La situation économique dans la zone euro 0 0.. Les décisions de politique monétaire 0..2 Les marchés obligataires..3 Le marché
Plus en détailPROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE
PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 QUESTION NIVEAU 1: FACTURE... 4
Plus en détailVOLET: GESTION FINANCIÈRE POUR LES COMMIS ET AGENTS ADMINISTRATIFS 25 NOVEMBRE 2011 13H30
VOLET: GESTION FINANCIÈRE POUR LES COMMIS ET AGENTS ADMINISTRATIFS 25 NOVEMBRE 2011 13H30 COMPTABILITÉ 101 Les processus de l'exercice comptable de la fonction publique en abordant: - Le cycle des rapports
Plus en détailCONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE SUR LES RÉSULTATS RÉSULTATS POUR LE TRIMESTRE CLOS LE 31 MARS 2015. 5 mai 2015
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE SUR LES RÉSULTATS RÉSULTATS POUR LE 5 mai 2015 FAITS SAILLANTS La Société a connu un trimestre difficile. Pour le T1 2015, les produits, principalement touchés par des prix défavorables,
Plus en détailDette Corporative. Michel Bourque
Dette Corporative Michel Bourque Décembre 2014 Notes légales Informations à fournir Ventes et Marketing Les commentaires ci-joints sont un produit de Financière Banque Nationale inc. («FBN») (courtier
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée
Plus en détailNOTICE MÉTHODOLOGIQUE SUR LES OPTIONS DE CHANGE
NOTICE MÉTHODOLOGIQUE SUR LES OPTIONS DE CHANGE Avec le développement des produits dérivés, le marché des options de change exerce une influence croissante sur le marché du change au comptant. Cette étude,
Plus en détailAutomne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC
Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailObservatoire de la performance des PME-ETI
Observatoire de la performance des PME-ETI 46 ème édition Avril 2015 OpinionWay 15 place de la République 75003 Paris. Charles-Henri d Auvigny, Matthieu Cassan, Emmanuel Kahn & pour Méthodologie Méthodologie
Plus en détailPanorama de la grande distribution alimentaire en France
N 25 Février 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Panorama de la grande distribution alimentaire
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailUNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE
Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailInvestir dans la volatilité :
Investir dans la volatilité : un nouvel horizon pour les solutions traditionnelles de diversification des portefeuilles Destiné aux clients professionnels au sens de la directive MIF www.seeyond-am.com
Plus en détail