la filière bovin viande
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- Coralie Roux
- il y a 6 ans
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1 zoom sur la filière bovin viande en Hauts-de-France Un avenir pour nos éleveurs en Hauts-de-France états généraux de l élevage
2 La filière bovin viande dans un contexte de crises Évolution du commerce extérieur français en viande bovine MILLIERS DE TONNES 500 Exportations La production de viande bovine française et sa consommation sont tendanciellement en baisse. La filière subit des variations irrégulières selon l existence de crises ou d opportunités permises par le marché Importations 400 érosion ET évolution QUALITATIVE DE LA CONSOMMATION Evolution du nombre d'éleveurs en Hauts-de-France Production et consommation de viande 0 bovine2004 s érodent en France depuis une trentaine d années. Le pouvoir d achat qui s accroît modérément, la concurrence des dépenses d autres postes vis-à-vis du budget alloué à l alimentation et le prix élevé de la viande bovine par rapport à d autres sources -30% protéiques expliquent l érosion progressive de la consommation des ménages. La consommation évolue également sur le plan qualitatif : la demande de viande hachée est en constante augmentation, alors que la viande «piécée» recule. Entre et, le haché a gagné 5 % dans les achats des ménages en viande de bœuf et l on se rapproche progressivement d un niveau de 50 % de parts de marché. La viande hachée étant principalement issue du troupeau laitier, celui-ci est ainsi concurrent des systèmes allaitants UNE FILIèRE SENSIBLE à LA MONDIALISATION ET AUX CRISES SANITAIRES Evolution du prix moyen pondéré des gros bovins et de l'ipampa-viande bovine Référence 100 en ,0 150,0 140,0 130,0 IPAMPA (Indice général Viande bovine) 120,0 110,0 100,0 90,0 Prix moyen pondéré gros bovin (FranceAgriMer) 80,0 70, Source : GEB - Institut de l'élevage 2015 Après l important décrochage des prix en 2001 suivant le choc de l ESB, le prix de vente des bovins est lentement remonté, alors que les coûts de production (approchés avec l indice IPAMPA) continuaient leur lente progression. Les prix payés aux producteurs entre et ont stagné, alors que les coûts de production s envolaient. A partir de, l ouverture du marché turc a contribué au redressement des prix. Depuis la mi-, la baisse des prix reprend en raison de multiples facteurs : baisse de la consommation et des exportations françaises, crise du secteur laitier, et enfin concurrence avec d autres pays européens comme la Pologne. Une filière confrontée à plusieurs crises sanitaires qui met en place des outils de traçabilité et de réassurance Dès, les éleveurs se sont dotés d une démarche collective, véritable code déontologique professionnel : la Charte des Bonnes Pratiques d Elevage à laquelle adhèrent près de 90 % des éleveurs bovins professionnels de la Région et plus de élevages en France. La crise de l ESB - un véritable coup de tonnerre pour les éleveurs et leur filière a eu un fort impact sur la consommation, sur les prix, mais aussi sur l image du métier d éleveur dans la société. En réponse plusieurs démarches structurantes ont été mises en place pour assurer une complète traçabilité des animaux et des aliments du bétail, de la fourche à la fourchette (Base Nationale d Identification, Passeports, Carnets sanitaires ). La filière viande qui a connu d autres crises sanitaires doit également travailler à répondre aux questions et attentes des consommateurs et citoyens.
3 Une filière bovine viande française compétitive à l échelle européenne En France, l association d un troupeau de vaches allaitantes et d un troupeau laitier met la filière bovine viande française à la première place européenne. A l échelle française, la filière représente : 17,6 milliards d euros de chiffre d affaires 4,14 millions de vaches allaitantes 3,7 millions de vaches laitières 570 millions d euros d excédent commercial La France 1 er producteur européen de viande bovine et de veaux de boucherie 1 er pays européen : détenteur de vaches allaitantes (34% du cheptel européen) 1 er exportateur de bétail surtout vers Italie et Espagne Source : Interbev et FranceAgriMer Source : GEB Institut de l Elevage La viande bovine avant tout produite dans le Massif Central et le Grand Ouest de la France Source : Interbev Source : GEB - Institut de l'élevage Veau : jeune bovin de moins de 8 mois Génisse : bovin femelle de plus de 12 mois, qui n a jamais eu de veau Vache : femelle ayant déjà eu un veau Jeune bovin : bovin mâle de 12 à 24 mois Bœuf : mâle castré de plus de 12 mois Taureau : mâle non castré de plus de 24 mois Broutard : jeune animal à la pâture, destiné à être engraissé La viande produite en France est issue à la fois de troupeaux allaitants, élevés uniquement pour la viande (très nombreux dans le Massif Central et l Ouest de la France) et de troupeaux laitiers qui fournissent du lait et de la viande. Aujourd hui, 53 % de la production de viande française est issue de races à viande Depuis une trentaine d année avec les quotas laitiers, le troupeau allaitant français se développe régulièrement, alors que le troupeau laitier régresse du fait de la hausse de la production laitière par vache. La ferme bovine française : des structures de taille raisonnable > En France, 1 exploitation agricole sur deux détient au moins un bovin, soit plus de élevages d'une taille moyenne de 50 vaches. > Parmi eux on compte environ éleveurs laitiers, dont les mâles et les vaches «de réforme» fournissent de la viande et près de élevages avec au moins 5 vaches allaitantes, dont près de pour lesquels cette activité est significative sur le plan économique. L élevage allaitant français : tout un vocabulaire! Différents systèmes d'élevage allaitant spécialisés en France Naisseurs spécialisés Naisseurs-engraisseurs Engraisseurs spécialisés Producteurs de veaux lourds ou veaux sous la mère Les naisseurs spécialisés produisent des animaux «maigres», notamment des «broutards», qui sont vendus à des engraisseurs ou exportés. Ils sont souvent localisés dans des régions herbagères. Les engraisseurs spécialisés achètent des animaux maigres et les engraissent avec des céréales et fourrages de l exploitation, ou des coproduits des industries agro-alimentaires. Les naisseurs engraisseurs associent les deux activités. Source : Institut de l'élevage
4 - 10 % - 2 % L export, un enjeu majeur pour la filière française Source : GEB Institut de l'élevage, d'après Douanes françaises - 60 % - 70 % + 30 % x 34 Estimation des exportations françaises de gros bovins maigres en 2015 : Vers l Italie : têtes Vers l Espagne : têtes vers les autres pays de l UE : têtes vers les pays tiers : têtes dont : - La Turquie : têtes - La Tunisie : têtes - L Algérie : têtes - Le Maroc : têtes La France se trouve dans une situation paradoxale : ses éleveurs produisent des animaux de très bonne qualité qui ne trouvent pas suffisamment de débouchés dans le pays. La France, premier pays européen exportateur de bétail La France exporte une grande partie de ses bovins maigres de race à viande vers l Italie et l Espagne, avec des volumes qui ont tendance à s éroder. Les exportations vers les autres pays européens et les pays tiers sont très variables selon les années, le contexte politique, sanitaire, etc. Globalement, 20% de la production est exportée. Finalement, les importations sont plus importantes que l export en volumes, mais il s agit essentiellement de viande européenne d origine laitière destinée à la fabrication de produits d'entrée de gamme. Un troupeau allaitant de qualité, mais une demande nationale de produits d'entrée de gamme La tendance est à l accroissement régulier du troupeau allaitant français. Les éleveurs naisseurs étant les plus nombreux, il y a une importante production d animaux dits «maigres». En revanche, il y a en France non seulement un manque d éleveurs engraisseurs mais aussi une demande insuffisante pour les produits issus de jeunes bovins viande. Les broutards sont donc exportés vers des pays comme l Italie qui ont développé une forte activité d engraissement et consomment ce type de produits. A l inverse, le troupeau laitier régresse, alors que la demande en produits issus de vaches laitières de réforme, notamment les steaks hachés, ne cesse de croître (près de 50 % de la consommation de viande bovine actuellement). La France doit donc importer des vaches laitières de réforme de pays laitiers comme les Pays Bas, l Allemagne ou l Irlande pour répondre à la demande. 5% 32% 34% Bœufs Jeunes bovins + taureaux 6% 17% 48% vaches 13% génisses 61% femelles 70% femelles Production 1,28 M téc Consommation 1,36 M téc GEB Institut de l'élevage En 2015, un bilan import export favorable pour la filière française En 2015, le manque de viande sur le marché allemand a été salvateur pour les exportations françaises de viande bovine. Celles-ci ont en effet augmenté de 3 % malgré la baisse des ventes vers l Italie et la Grèce. Les importations se sont pour leur part rétractées de 7 %, et ce malgré la hausse des disponibilités européennes. Cela s explique d une part par l augmentation de la production intérieure et d autre part par le plafonnement de la consommation intérieure. Évolution du commerce extérieur français en viande bovine MILLIERS DE TONNES 500 Importations Exportations Source : GEB Institut de l'élevage d'après Eurostat, Douanes et estimations
5 La viande bovine en Hauts-de-France : 28 % du chiffre d affaires de l élevage régional en Hauts-de-France : la rencontre de quatre principaux systèmes d élevage de bovins des «naisseurs», avec des troupeaux à petits effectifs comptant moins de 40 vaches allaitantes, valorisant des prairies, à côté d un atelier principal de grandes cultures. des «naisseurs engraisseurs» qui valorisent des prairies et des coproduits issus des cultures pour faire naitre des animaux puis les engraisser. des «engraisseurs de jeunes bovins» des éleveurs laitiers, qui ont dans 40% des cas un troupeau allaitant ou un atelier de production de viande en complément du lait, et dont les vaches sont valorisées pour la viande en fin de carrière. Ainsi la production de bovins, est le plus souvent associée à une autre production (élevage laitier et/ou céréales). Cela peut être une source de fragilité pour l élevage car certains peuvent être tentés d arrêter cette activité souvent moins rémunératrice que les cultures, notamment s ils peuvent labourer leurs prairies. Mais c est également un facteur de robustesse, chaque production connaissant des cycles économiques plus ou moins favorables. La Région est caractérisée par de nombreux systèmes de polyculture élevage et des élevages spécialisés dans les zones herbagères périphériques. La localisation des élevages et des abattoirs en Hauts-de-France Les éleveurs bovins se situent souvent dans les zones herbagères et mixtes, davantage présentes à l Ouest et à l Est de la région, la partie centrale étant plutôt dévolue aux grandes cultures. On retrouve dans la Région 101 établissements d abattage, de transformation et de conservation de la viande de boucherie. Les plus importants sont situés dans les zones où l élevage est dominant. En 2015, les abattages de bovins en région Hauts-de-France représentaient environ tonnes de viande. Les bovins élevés dans les Hauts-de-France y sont le plus souvent abattus, même si les établissements des départements voisins (Seine Maritime, Marne ) sont également utilisés dans 37 % des cas. La production de viande provient d animaux élevés pour leur viande, issus de races à viande ou de mâles de races laitière, et également de nombreuses vaches laitières en fin de carrière qui sont réformées après quelques années de production. Ainsi, sur les bovins élevés et abattus dans la région en 2015, 52 % étaient de race laitière. Source : INSEE Insee, Clap Source : BDNI et Agreste-SSP traitement Institut de l Elevage Source : DRAAF Nord - Pas-de-Caais - Picardie Comme ailleurs en France l élevage bovin des Hauts-de-France connait une lente érosion. Dans la région Hauts-de-France, le nombre d éleveurs a diminué de 30 % entre 2004 et. En matière de volumes de production, le nombre de vaches allaitantes a légèrement augmenté (+2,9 % entre et ) alors que le nombre de vaches laitières est orienté nettement à la baisse (-15,5% entre et ). On retrouve ici les principales tendances nationales. Source : Agreste, statistique annuelle agricole, recensement Evolution du nombre d'éleveurs en Hauts-de-France -30% 2004
6 Diagnostic stratégique et défis à relever pour la filière viande bovine en Hauts-de-France Les Atouts Région avec un haut potentiel de production agronomique Savoir-faire technique des éleveurs Informations techniques disponibles aval de la filière : Investissements dans les outils industriels consommation Taille et proximité du bassin de consommation nord-européen Les Faiblesses Nécessité d un capital important Concurrence entre cultures et élevage aval de la filière : certains outils régionaux sous-utilisés Niveau des cotations régionales Consommation : Marketing des produits à améliorer Pas d affichage des races OPPORTUNITéS à SAISIR Consommation : circuits courts et consommation locale Développement de l export Marges de progrès techniques et économiques Association cultures et élevage Perspectives favorables sur les marchés mondiaux MENACES Consommation : inadéquation entre production et consommation Erosion de la consommation nationale accompagnement technique sous dimensionné Coûts de production difficiles à maîtriser Les défis à relever pour demain Renouveler les générations en favorisant l installation Bâtir des systèmes durables, rentables et résilients Encourager les troupeaux de taille significative avec un bon niveau technique Améliorer la compétitivité des différents maillons de la filière et augmenter la valeur ajoutée en Région Renforcer la contractualisation entre aval et amont Promouvoir et inciter à la consommation de produits régionaux Réalisation : Bêta Pictoris - Crédits photos : S. CHAMPION - V. Wierzba/Fotolia - l. journaux - B. ducreux - DR/institut de l'élevage - j. weber Réalisé par : L Institut de l élevage est en charge de l organisation et de l animation des états généraux de l élevage, en relation étroite avec les acteurs des filières et du développement dans la région Hauts-de-France. L Institut de l élevage, institut technique de référence au niveau national, est un bâtisseur de connaissances, de références et de projets partenariaux. Il vise la compétitivité et la durabilité des élevages herbivores et de leurs filières. Financé par :
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