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2 Contexte La Maison de l Emploi Périgord Nord (MdE), via les Espaces Economie Emploi (E.E.E.), a réalisé une enquête de conjoncture afin de connaître et d anticiper les évolutions et mutations économiques du territoire. Le but affiché est de déterminer les conséquences de la conjoncture sur les entreprises du Nord Dordogne et de la Vallée de l Isle et de mesurer les perspectives des chefs d établissements pour l année Eléments méthodologiques : La Maison de l Emploi Périgord Nord s est appuyée sur ses antennes, les E.E.E. pour collecter et analyser les données nécessaires à la réalisation de ce document. En effet, chaque Espace a effectué une enquête auprès des établissements de son territoire de compétences au cours du dernier trimestre Les chefs d entreprises ont été invités à répondre sur différents thèmes (niveau d activité, investissements, effectifs, ) sur l année en cours (2013) et sur celle à venir (2014). Ensuite un travail de compilation et de traitement de l information au niveau MdE a été réalisé. L échantillon porte sur les entreprises privées de 3 salariés et plus, tous secteurs d activité confondus. La méthode des quotas a été retenue pour cette enquête (i.e., en respectant les proportions d entreprises par secteurs d activité de l échantillon). Ce sont établissements qui ont reçu le questionnaire d enquête à l échelle du territoire de la MdE. Nous avons obtenu 314 réponses soit un pourcentage de retour de l ordre de 30,8%. Répartition des réponses par secteur d activité : Retours questionnaires Répartition des retours par secteur d'activité Agriculture 5 1,6% Activités industrielles 89 28,3% Construction 70 22,3% Commerce 68 21,7% Services 82 26,1% Total Concernant les résultats ci-après, notamment les prévisions pour l année 2014, ils ne reflètent que le point de vue des 314 chefs d entreprises ayant répondu, et par conséquent ne donnent qu une tendance de la réalité économique du territoire cible. N.B. : Les quatre Espaces Economie Emploi mettent à votre disposition une analyse conjoncturelle sur leur territoire respectif.

3 1 I- L évolution de l activité des entreprises 5 45% Evolution de l'activité % 34% 34% 27% (P) 1 8% 1% Progression Stable Baisse En 2013, les réponses des chefs d entreprises concernant l évolution de l activité sont partagées : - 34% d entre eux ont enregistré une baisse - 34% une activité stable - 31% une progression de leur activité La plus forte baisse d activité est enregistrée sur le bassin du Ribéracois : En effet, 43% des chefs d entreprise interrogés ont signalé une baisse de l activité en A l opposé, la plus forte augmentation d activité est manifestée sur le bassin du Périgord Vert (38%). Pour 2014, les entreprises misent plutôt sur de la stabilité : 45% d entre eux prévoient une relative stabilité de l activité. Néanmoins, un quart des chefs d entreprises pressente une baisse d activité et 8% d entre eux n arrivent pas à se projeter en L incertitude semble être la plus grande sur le bassin du Ribéracois ; une stabilité importante est envisagée sur le Nontronnais (52% des entreprises). Ressenti des chefs d entreprise Indice de confiance pour ,6 / 10

4 2 Evolution sectorielle de l'activité en % 17% 39% 29% Progression % 49% 25% 3 Stable Baisse 29% 34% 36% 39% 1% 1% Industrie Construction Commerce Services Au niveau des secteurs d activité, quelques différences sont à noter : Le secteur industriel parait être le plus dynamique. Les chefs d entreprise constatent plus de progression et de stabilité que dans les autres secteurs (37,1% d entre eux sont en progression et 32,6% enregistrent une activité stable). Le secteur du commerce se comporte également mieux que la moyenne. En effet 38,8% des établissements enregistrent une progression de l activité par rapport à Le secteur de la construction connait la plus forte stabilité d activité en cette année En effet, près d une entreprise sur deux enregistrent une relative stabilité de l activité. Le secteur des services éprouve plus de difficultés : 39% des entreprises enregistrent une diminution de l activité. Les secteurs de la construction et de l industrie devraient évoluer en 2014 de la même manière qu en Par contre, les secteurs du commerce et des services devraient tendre vers plus de stabilité avec respectivement 47,8% et 45,1% des chefs d entreprises prévoyant une activité stable pour Evolution sectorielle de l'activité pour % 11% 19% 49% 39% 48% 45% 18% 34% 28% 28% 15% 6% 4% 7% Industrie Construction Commerce Services Progression Stable Baisse

5 3 II- Principaux freins à l activité Difficulté trésorerie 6,7% Baisse carnet commandes et/ou clients 10,6% Accès crédit bancaire 1,9% Autres 5,5% Concurrence importante 17,4% Freins à l'activité Pénurie MO 5,2% faiblesse du marché 19,2% Coût MP, biens équipements, énergie 12,4% Coût MO 20,8% Les entreprises affichent 3 principaux freins au développement de leur activité : le coût de la main d œuvre (20,8%), la faiblesse du marché (19,2%) et la concurrence importante (17,4%). Le coût de la main d œuvre représente un frein au développement de l entreprise en particulier sur les bassins du Ribéracois et de Thiviers (environ 25%). La faiblesse du marché paraît affecter de manière plus importante les entreprises de la Vallée de l Isle (24%). Sur la Vallée de l Isle, les coûts liés aux matières premières sont en retrait (6,6%) contrairement aux autres territoires où ils représentent 15% en moyenne. Certaines spécificités apparaissent selon le secteur d activité : - Industrie : les chefs d entreprise sont plus impactés par les coûts des matières premières, biens d équipements, énergie (17,9%), - Construction : fort impact de la concurrence (21%), - Commerce : la faiblesse du marché est le premier frein au développement de l activité (23,9%), - Services : le coût de la main d oeuvre a une influence importante sur l activité (26,3%). 10 Freins à l'activité par secteur 12,9% 9,3% 9,4% 10,5% 8 18,9% 20,4% 23,9% 13,8% Baisse carnet commandes 6 7,2% et/ou clients 13, 17,9% 9,4% faiblesse du marché 4 21, 26,3% 18,8% 17,4% Coût MP, biens 14,9% 21, 18,1% 17,8% équipements, énergie Coût MO Concurrence importante

6 4 III- Investissements de l entreprise Investissements 33,2% 40,6% 62,3% 57,8% 1,6% 4,5% (P) Oui Non Autres Sécurité/mise aux normes Formation du personnel Marketing/communication Immobilier Autres matériels Equipement de production - innovation/technologie Equipement de production - remplacement matériel 1, 0,4% 6, 6, 8,9% 15,9% 11,9% 7, 11,1% 12,4% 13,2% Nature des investissements 16,4% 19,9% 16,2% 21,4% 2014 (P) ,3% En 2013, 40,6% des entreprises interrogées ont réalisé des investissements «importants». L investissement concerne essentiellement le remplacement de matériel (32,3%). Ensuite, on trouve l investissement dans l immobilier et l innovation/technologie (respectivement 16,2% et 12,9%). Le bassin de Nontron est le secteur géographique où les opérations d investissements sont les plus fortes. A l opposé, le bassin du Ribéracois enregistre les réalisations les plus faibles. A noter que les investissements liés à l innovation/technologie arrivent en tête sur la Vallée de l Isle avec 19,3%.. Au niveau sectoriel, l industrie est le secteur d activité qui investit le plus en Devant des perspectives moroses, la construction et le commerce sont les secteurs où l investissement est le plus faible. L industrie est le secteur où l innovation/technologie prend une place relativement importante avec 19,7% des investissements réalisés. Le commerce a également donné plus de priorité à ce type d investissement (18%). La construction axe essentiellement les investissements vers le remplacement de matériel (45,9%). Les services consacrent une part importante des investissements dans l immobilier (20,5%). Pour 2014, seuls 33,2% des entreprises prévoient d investir. Le remplacement de matériel devrait être moins source d investissement (21,4%). Les investissements devraient porter principalement sur la sécurité/mise aux normes (16,4%) et la formation du personnel (15,9%). Comme en 2013, le Nontronnais est le territoire où les perspectives d investissement sont les plus importantes et le bassin du Ribéracois où elles sont les plus faibles pour De plus, toujours sur le Ribéracois, près d une entreprise sur deux prévoit d investir dans l immobilier. Les investissements de sécurité/mise aux normes devraient faire l objet d une attention particulière dans l industrie et les services alors que la formation du personnel concernerait tous les secteurs d activité à l exception de l industrie.

7 IV- Les effectifs Estimation des effectifs 15, 11,8% Insuffisant ,4% 77, 9,6% 7,7% 1, 3,5% (P) Suffisant Trop important Evolution des effectifs 11,5% 10,9% 69,6% 74, Hausse Stabilité Baisse 3 25% 15% 1 5% Mouvements de main d'oeuvre ,9% 2014 (P) 16,7% ,7% 2014 (P) 14,1% 4 17,9% 12,2% 1, 2,9% (P) Recrutement Réduction effectif 74,4% des chefs d entreprise considèrent leur effectif suffisant en Par conséquent, l évolution des effectifs reste stable sur le territoire de la MdE. Les prévisions pour 2014 suivent la même tendance : 77% des entreprises estiment que leur effectif sera suffisant. Le bassin du Ribéracois a la plus forte part d entreprises considérant leurs effectifs «suffisants» pour les 2 années (81,5%) mais également concernant les effectifs «trop importants», notamment en 2013 (14,8% des établissements interrogés). En 2013, 23,7% des entreprises ont eu recours à des licenciements ou à des fins de contrats et départs à la retraite non renouvelés (représentant un volume de 149 emplois). Seules 14,1% d entre elles prévoient de réduire leurs effectifs en 2014 (volume estimés : 64 emplois). Les bassins du Ribéracois et de la Vallée de l Isle sont plus affectés par des réductions d effectifs avec 29,6% des entreprises interrogées en 2013 et 18% en ,9% des chefs d entreprise ont recruté en 2013 (228 emplois). A noter qu une centaine de recrutements concerne uniquement deux établissements. 16,7% prévoient de recruter en 2014 représentant 123 emplois. Au niveau sectoriel, les services sont le secteur qui a le plus recruté en A contrario, l industrie est le secteur qui a le plus réduit ses effectifs. Pour 2014, peu d établissements prévoient de recruter ou de réduire ses effectifs quel que soit le secteur d activité.

8 Effectifs intérimaires 30, 25,9% 60,7% 62,9% 9,3% 11,2% (P) Oui Non Concernant l intérim, 3 des entreprises interrogées y ont eu recours en ,9% d entre elles envisagent de faire appel aux services des agences d Intérim en Ce sont essentiellement les secteurs de l industrie et de la construction qui font des recrutements intérimaires (principale variable d ajustement). 47,7% des chefs d entreprises dans l industrie ont eu recours à l intérim en 2013 (43,2% en prévision pour 2014) et 35,7% dans le secteur de la construction (27,1% pour 2014). Les secteurs des services et du commerce ont très peu fait appel à l intérim. A noter également que peu d entreprises (3,8%) ont eu recours au chômage partiel en 2013.

9 Document réalisé dans le cadre des observatoires de la Maison de l Emploi Périgord Nord, Conception / Rédaction Emmanuel MAZEAU (E.E.E. du Bassin de Thiviers & Responsable de l observatoire de la MdE) Stéphanie BARBIER (E.E.E du Ribéracois) Elie UTECHT (E.E.E. du Bassin de Thiviers) Viviane FOUSSETTE (E.E.E. du Bassin de Thiviers) Jacques FAVREAU (E.E.E. du Périgord Vert) Alain VERDIER (E.E.E. de la Vallée de l Isle) Contact : Emmanuel MAZEAU, Chargé d observatoire eeethiviers@free.fr / mde-perigordnord.fr Avec le soutien de l Etat, l Europe & le Conseil Général de la Dordogne

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