Mesdames JOSSE Aurélie et SANHAMUT Nyloufar Infirmières CHU AMIENS PICARDIE. CONTENTIONS PHYSIQUES : Quel sens donner à la privation des libertés?

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1 Mesdames JOSSE Aurélie et SANHAMUT Nyloufar Infirmières CHU AMIENS PICARDIE CONTENTIONS PHYSIQUES : Quel sens donner à la privation des libertés?

2 INTRODUCTION Protéger la personne soignée fait partie du quotidien des infirmiers. Dans notre pratique, nous sommes fréquemment amenées à utiliser des contentions physiques sur prescription médicale. 2

3 Définition contention physique Deux situations cliniques 3

4 DEFINITION Haute Autorité de Santé Recommandations octobre 2000 (1) : «La contention physique, dite passive, se caractérise par l'utilisation de tous moyens, méthodes, matériels ou vêtements qui empêchent ou limitent les capacités de mobilisation volontaire de tout ou d'une partie du corps dans le seul but d'obtenir de la sécurité pour une personne (âgée ) qui présente un comportement estimé dangereux ou mal adapté». 4

5 Différentes contentions possibles «La contention peut être physique passive (mécanique), physique active (intervention du corps), chimique (psychotropes), architecturale (chambre d isolement, unité fermée, vidéosurveillance ) voire psychologique (par l usage d injonctions collectives et répétées de la personne.)» 5

6 SITUATION N 1 auprès d un adolescent en unité de médecine T. 15ans / troubles du comportement Auto et Hétéro agressivité Déploiement de personnel Echec mesures relationnelles et environnementales Contention chimique Contention physique sur prescription médicale 6

7 SITUATION N 2 auprès d un patient adulte en réanimation Indication d ordre préventif Patient arrive du bloc intubé ventilé encore sédaté. Réveil : prescription médicale de contention physique (poignets) risque d extubation, auto ablation de dispositifs médicaux Actions mises en place La prescription médicale levée après extubation du patient 7

8 DILEMME ETHIQUE Comment concilier le respect de la liberté de la personne, de sa dignité et de sa volonté en utilisant des moyens coercitifs tels que la contention physique pour ses soins? 8

9 DILEMME ETHIQUE Principe de BIENFAISANCE Principe d AUTONOMIE Ethique de la sollicitude Paul RICOEUR 9

10 REFLEXION ETHIQUE Code de déontologie décret n du 25 novembre 2016, article R : le devoir d humanité de l infirmière Devoir - Intention : sécurisation, protection de la personne (art.r Code de déontologie décret n du 25 novembre 2016 ) Charte de la personne hospitalisée et loi du 4 Mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé 10

11 REFLEXION ETHIQUE La contention physique : une mesure d exception Vigilance : non banalisation de cet acte de soin conserver son libre arbitre et ajuster son jugement clinique en permanence 11

12 REFLEXION ETHIQUE Pourrions nous anticiper l information à la mise éventuelle de contentions auprès des usagers et de l entourage? Comment déculpabiliser le personnel soignant? Quel sens peut-on donner ensemble (équipe soignante, patients et entourage) à une contention physique nécessaire mais transitoire? 12

13 REFLEXION ETHIQUE La contention physique : nécessité de parler autour d un sujet qui reste tabou. Vécus émotionnels patient/entourage/soignant Analyse des pratiques Formation des professionnels Oser en parler 13

14 REMERCIEMENTS Nous vous remercions d avoir été attentifs. Nous tenions à remercier la direction des soins de notre établissement CHU Amiens Picardie, qui a validé ce projet. Un remerciement particulier à Mme Ducarme, cadre de santé et chargée de mission à l espace éthique du CHU Amiens Picardie, qui nous a accompagnées dans l élaboration de ce projet. 14

15 BIBLIOGRAPHIE Chanques G. et al. La contention physique est-elle prohibée en réanimation?. Le praticien en anesthésie réanimation ; n 19 : Code de déontologie des infirmiers, décret n du 25 novembre Conférence de consensus. L agitation en urgences (petit enfant excepté) JEUR, Masson Paris, 2003; n 16 : Décret n du 29 Juillet 2004 du Code de la santé publique Art R à R , de R à R (LIII, titre 1, Chap 1er et 2e) Relatif à l exercice de la profession et aux règles professionnelles Desmettre T. et al. Sédation ou contention physique : que choisir? Le congrès infirmier(e)s d urgence. Sfar.2013 Mettre lien net Estrade M. et al. La contention lors des soins en pédiatrie. Savoirs et pratique. Soins pédiatrie-puériculture septembre/octobre 2016 ; n 292:39-43 Furstenberg C. Les clés des soins relationnels : la sollicitude en chemin au domicile. consulté le 25/02/2017 Gateau V. Introduction à la bioéthique origines historiques sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/contention.pdf; France, octobre 2000 consulté le 14/02/2017 Loi n du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé. Titre II Chap 1er: droit de la personne. Lombart B. et al. Eviter la contention lors des soins : facile à dire! 21ème Journées La douleur de l enfant. Quelles réponses?, décembre 2014; Lombart B.Les soins en pédiatrie : Faire face au refus de l enfant, Paris:Ed.Seli Arslan ; 2016 Menier C. et al. La contention physique passive : une enquête de prévalence dans un centre hospitalo-universitaire. Médecine palliative, Soins de support-accompagnement-ethique ; n 9 : Mignot S. La contention, responsabilités individuelles et collectives. Objectif soins et management. novembre 2016 ; N 250 : RICOEUR P. Soi même comme un autre, ed. Seuil; 1990 Smadja J. et al. La contention mécanique dans les services d Urgences et de réanimations. Revue Réanimation ; n 21 : Svandra P. Le soin entre sollicitude et responsabilité, une lecture croisée de Ricoeur et de Levinas. consulté le 25/02/2017 Trouvé A. L éthique de la sollicitude en éducation et en formation : le soin et le soucis d autrui. consulté le 25/02/2017 Van de Vyvere A. et al. Procédures et contention physique. Ethique et économie, Rev med Brux-2013 ; n 34 :

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