RAPPORT DE STAGE DE BACTERIOLOGIE ET DE PARASITOLOGIE
|
|
- Jean-Bernard Breton
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RAPPORT DE STAGE DE BACTERIOLOGIE ET DE PARASITOLOGIE Effectué au Laboratoire de Microbiologie et de Parasitologie E.S.S.Agro. Du 03 Août 2014 au 31 Octobre 2014 Présenté par : RAZAFINDRABE Tsiriniaina Jean Luco Doctorant à l A2E E.S.S.Agro.
2 i REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier : - Le Programme des Nations Unies pour le Developpement (PNUD), l Organisme des Nations Unies pour l Education, la Science et la Culture (UNESCO) et du Comité Scientifique (CS) ; - L Université d Antananarivo à travers toute l équipe G/DHD dirigée par Monsieur le Vice Président de la Formation et de la Recherche ; - Tout le personnel du Laboratoire de Microbiologie et de Parasitologie ESSAgro. Nous adressons, particulièrement, nos vifs remerciements et toutes nos chaleureuses gratitudes à Monsieur le Professeur RAKOTOZANDRINDRAINY Raphaël, Chef de Laboratoire de Microbiologie et de Parasitologie ESSAgro. et aussi notre encadreur. C est avec un grand plaisir que nous réservons ces lignes en signe de gratitude et de reconnaissance à tous ceux qui ont contribué de près ou de loin pour la réalisation de ce stage.
3 SOMMAIRE Pages REMERCIEMENTS... i INTRODUCTION... 1 CONTEXTE... 1 HISTORIQUE ET ACTIVITES DU SITE D ACCUEIL... 2 METHODOLOGIE... 3 I. COLLECTE DE FECES DE BOVIN... 3 I.1. Nature et condition de prélèvement... 3 I.2. Lieu et modalité de prélèvement... 3 I.3. Etiquetage... 3 I.4. Acheminement et transport... 3 I.5. Réception au laboratoire... 3 II. EXAMEN BACTERIOLOGIQUE DES SELLES (COPROCULTURE)... 3 II.1. Examen macroscopique des prelevements... 3 II.2. Culture : ensemencement et isolement... 4 II.2.1. Milieu de culture... 4 II.2.2. Technique de culture et isolement... 5 II.3. Identification... 5 II.3.1. Aspect des colonies... 5 II.3.2. Examen microscopique direct... 5 II.3.3. Tests metaboliques (glucidiques, protéiques, lipidiques)... 7 II.3.4. Autres tests d identification... 7 II.4. Antibiogramme... 8 II.4.1. Technique et réalisation sur gélose Mueller Hinton... 8 II.4.2. Lecture et interprétation... 8 III. EXAMEN PARASITOLOGIQUE DES SELLES... 9 III.1. Technique de sédimentation... 9 III.2. Différents types d œuf d helminthes des bovins observés... 9
4 RESULTATS CONCLUSION ET PERSPECTIVES ANNEXES REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES... 15
5 1 INTRODUCTION Dans le cadre de la préparation du doctorat en santé animale au sein de l Ecole doctorale A2E ESSAgro de l Université d Antananarivo, le Programme des Nations Unies pour le Developpement (PNUD), l Organisme des Ntions Unies pour l Education, la Science et la Culture (UNESCO) en coopération avec l Université d Antananarivo à travers la Gouvernance et Développement Humain Durable (G/DHD) nous a offert un stage académique 3 mois au sein du Laboratoire de Microbiologie et de Parasitologie ESSA-Université d Antananarivo. Notre thème concerne «la diarrhéé bovine : causes microbienne et parasitaire dans les régions d Amoron i Mania et Vakinankaratra». C est pourquoi l objectif de notre stage focalisé sur le savoir-faire des analyses bactériologiques et parasitologiques relatifs à la connaissance des causes de la diarrhée bovine. CONTEXTE A Madagascar, l elevage bovin occupe une place très importante dans le cadre du développement en intervenant dans plusieurs domaines économiques, sociologiques et culturels (1). Comme toute spéculation, il rencontre des problèmes de maladies telles que la diarrhée banale, le météorisme, les helminthoses (2). La diarrhée entraine des pertes économiques pour les éleveurs alors que sa cause exacte reste encore méconnue.
6 2 HISTORIQUE ET ACTIVITES DU SITE D ACCUEIL Le Laboratoire de Microbiologie et de Parasitologie ESSA-Université d Antananarivo a été fondé en 1990 grâce au sutien financier de la Suisse sous la direction du Docteur TYBERAENC (vétérinaire). En 1996, la coopération française a contribué pour l appui technique et financier. En 2007, l Union Européenne a assuré la réhabilitation du laboratoire. Le Professeur RAKOTOZA NDRINDRAINY Raphaël a dirigé le laboratoire depuis mai Les activités de ce laboratoire se focalisent sur les examens parasitologiques et bactériologiques pour les stages et les travaux pratiques des étudiants ainsi que les travaux de recherches pour les mémoires de fin d étude et les thèses de doctorat. Le personnel est composé du Chef de Laboratoire, de 2 Docteurs vétérinaires Doctorants et de 2 Techniciens de laboratoire et d un Assistant Administratif.
7 3 METHODOLOGIE I. COLLECTE DE FECES DE BOVIN I.1. Nature et condition de prélèvement Les prélèvements sont des matières fécales fraichement émises provenant des bovins présentant de signes de diarrhée. I.2. Lieu et modalité de prélèvement Les prélèvements ont été pris dans les tueries d Ampasika et chez quelques éleveurs situés dans les Fokontany Andraisoro et Ambatomaro. Pour le receuil du prélèvement, la fouille rectale a été pratiquée. I.3. Etiquetage Bien emballé dans un sachet, ces matières fécales sont étiquetées pour éviter toute confusion. I.4. Acheminement et transport Les prélèvements ont été transportés jusqu au laboratoire d analyse de l ESSAgro. dans une glacière munie d accumulateurs de froid pour bloquer la multiplication bactérienne et l évolution des œufs de parasites (Annexe 1). I.5. Réception au laboratoire Arrivés au laboratoire, ces prélèvements sont mis dans un réfrigérateur (conservation maximale 8 heures à 4 C) jusqu au moment du début de l analyse. II. EXAMEN BACTERIOLOGIQUE DES SELLES (COPROCULTURE) L'examen bactériologique des selles se fait par coproculture, en ensemençant ces dernières sur des milieux de culture appropriés. Le but est de rechercher des bactéries réputées pathogènes. II.1. Examen macroscopique des prelevements Chaque prélèvement est observé pour noter son aspect et sa consistance : la présence de mucus, sa couleur noirâtres, son odeur (nauséabonde).
8 4 II.2. Culture : ensemencement et isolement II.2.1. Milieu de culture II Types Plusieurs types de milieu de culture sont utilisés : o Gélose au sang et gélose au chocolat : gélose ordinaire favorable à la croissance et multiplication bactérienne et même ceux qui ont besoin d un facteur de croissance. o Bouillon selenite o Gélose Salmonella-Shigella o Gélose Mac Conkey : c est un milieu sélectif pour les bacilles Gram négatifs o Gélose Mueller-Hinton : milieu adapté pour l antibiogramme o Autres milieux : bouillon au sélénite, Salmonella Shigella agar. II Procédure de préparation Pour la gélose au sang et la gélose au chocolat, on a utilisé le «Columbia blood agar base CM0331» qui se présente sous forme de poudre à dissoudre à raison de 39g/l d eau distillée et stériliser pendant 15mn à 121 C à l autoclave. Ce milieu est refroidit jusqu à 50 C à la bain-mari pour la gélose au sang (70 C pour la gélose au chocolat) puis ajouter 5% de sang de mouton et repartition dans des boîtes de Pétri (20ml par boîte) et conserver dans un refrigerateur après solidification. Pour la gélose Mac Conkey (Mac Conkey agar CM0115), 51,5 gsont dissous dans un litre d eau distillée et porter à ébullition jusqu à ébullition complète. Stériliser 15mn à 121 C à l autoclave, laisser refroidir puis repartir dans des boîtes de Pétri (20ml par boîte) puis conserver dans un réfrigérateur après solidification. La même opération est respectée pour la gélose Mueller-Hinton (Mueller-Hinton agar CM0337) avec dissolution de 38gdans un litre d eau distillée (Annexe 2). Pour Sélénite broth base CM0395, la préparation se fait comme suit : dissoudre 4g de biselenite de sodium dans 1l d eau distillée et ajouter 19g de milieu de base, chauffer jusqu à dissolution complète puis bien melanger et repartir en tubes sur une hauteur de 5cm, steriliser au bain-marie bouillant pendant 10mn, ne pas autoclaver.
9 5 Pour S.S.Agar CM0099 : dissoudre 63g de poudre dans un litre d eau distillée puis porter à l ébullition en agitant fréquemment et maintenir un leger frénissement jusqu à dissolution complète puis refroidir jusqu à 50 C, mélanger et répartir. II.2.2. Technique de culture et isolement La culture permet d obtenir des colonies bactériennes. Elle se fait en strie à l aide d une anse en platine sur le milieu de culture et renverser la boîte (milieu en haut) et incuber à 37 C pendant 18 à 24 heures. L'isolement est une technique qui permet de séparer les différentes bactéries d'un échantillon. L'isolement permet d'observer les colonies. Si les colonies sont isolées, on peut procéder à l identification. II.3. Identification II.3.1. Aspect des colonies Cet examen apprécie : La couleur de la colonie qui peut être jaune, blanche, blanchâtre, grise ou gris blanc. La forme de la colonie : arrondie ou irrégulière La taille de la colonie : petite, moyenne (1mm de diamètre) ou grande L aspect de la colonie : lisse ou rugueuse (Annexe 3) Le pouvoir hémolytique : se voit sur gélose au sang avec différents types : o β-hémolytique o α-hémolytique II.3.2. Examen microscopique direct II Examen direct a l état frais a. Matériels Lame et lamelle Microscope optique
10 6 b. Principe Que ce soit leprélèvement (calque d organe, pus, plaie) ou prise d un échantillon de la colonie dans le milieu ensemencé, il faut respecter les étapes suivantes : Prendre une lame bien stérile Y déposer quelques gouttes d eau distillée Prendre un échantillon de la colonie du milieu ensemencé par un oese et mélanger avec les gouttes d eau. Recouvrir d une lamelle et lecture au microscope avec objectif X 40. Résultat : cet examen direct permet d observer : La forme de la bactérie (cocci, bacille, coccobacille) La mobilité de la bactérie : Mobile pour le cas d un bacille à ciliature péritriche comme Salmonella et Escherichia coli ; Immobile pour les cocci comme les Staphylocoques et Streptocoques (mouvement brownien) (Annexe 4). II Examen direct apres coloration de Gram a. Matériels et colorants o Lame bien propre o Feu o Anse de platine avec boucle o Violet de Gentiane o Lugol o Ethanol o Safranine o Microscope b. Principe o Utiliser une lame propre o Prélever les colonies o Etaler et fixer à la chaleur o Colorer au Violet de Gentiane pendant 1mn
11 7 o Rejeter le colorant o Verser le lugol pour fixer le colorant pendant 1 mn o Rejeter le lugol et verser l alcool pour décolorer la préparation o Rejeter l alcool et rincer avec l eau o Verser l encre de fuschine pendant 30 secondes et rejeter de nouveau o Rincer avec l eau et sécher la lame o Verser de l huile de Cèdre o Lecture au microscope avec objectif X100 c. Résultats o Bactérie à Gram positif : préparation de couleur violet au microscope ; o Bactérie à Gram négatif : préparation de couleur rose (Annexe 5). II.3.3. Tests metaboliques (glucidiques, protéiques, lipidiques) Métabolisme glucidique : fermentation des sucres comme le glucose, le lactose, le saccharose. Métabolisme protéique : désamination, décarboxylation. Métabolisme lipidique : présence de différente lipase. API. Ces différents tests métaboliques peuvent être faits en plaquette comme la galerie II.3.4. Autres tests d identification Test d oxydase Il existe plusieurs types de matériels pour vérifier le test de l oxydase : disques, solution. Le contact des bactéries au disque entraîne le changement de la couleur de ce dernier en violet : oxydase positive. Si la bactérie a une oxydase négative, il n y a pas de changement de couleur.
12 8 Test de Catalase Les bactéries réduisent l eau oxygénée (H 2 O 2 ) en eau avec dégagement d O 2. On met les colonies dans une goutte d eau oxygénée. Les bactéries sont catalase positive s il y a formation de bulles d air.si non, les bactéries sont catalase négative. Galerie API Il existe de nombreux kit Api : API 20E pour les entérobactéries, Api 20NE pour les non entérobactéries, API NH pour les cocci gram- tels Neisseria et Haemophilus, API Staph pour les staphylocoques. Réalisation : - Préparer les souches : mettre des souches dans d eau physiologique NaCl 0,9% de façon à avoir la turbidité d un Mac Farland 0.5 ; - Remplir les cupules ; - Incuber à 37 C pendant 18 à 24 heures ; - Faire la lecture (Annexe 6). II.4. Antibiogramme II.4.1. Technique et réalisation sur gélose Mueller Hinton o Préparer les souches : mettre des souches dans d eau physiologique NaCl 0,9% de façon à avoir la turbidité d un Mac Farland 0.5 ; o Ensemencer et étaler sur milieu gélose Mueller Hinton à l aide d un écouvillon ; o Placer les disques d antibiotique ; o Incuber pendant 24 heures à 37 C. II.4.2. Lecture et interprétation L efficacité de l antibiotique est mesurée par le diamètre de la surface vide autour du disque correspondant à l activité de l antibiotique. La mesure du diamètre de la zone d inhibition se fait avec une règle et exprimée en mm. L interprétation des résultats suit la référence CLSI (Clinical Laboratory Standard International).
13 9 Penicilline (P 10): 6mm (R) Ampicilline (AMP 20): 6mm (R) Clindamicine (DA 2) : 6mm (R) Imipèneme (IPM 10) : 29mm (S) Ciprofloxacine (CIP 5) : 30mm (S) Tetracycline (TE 30) : 24mm (S) R : résistant S : sensible Antibiogramme d Escherichia coli sur gélose Mueller Hinton III. EXAMEN PARASITOLOGIQUE DES SELLES III.1. Technique de sédimentation Cinq grammes de matières fécales ont été pesés et déposés dans un becher de 100 ml contenant 50 ml d eau, mélanger bien avant de la faire passer à travers le passoir puis laisser reposer durant une heure et rejeter le surnageant, 3 gouttes du sédiment sont examinées au microscope à l objectif X10. Chaque examen doit être vérifié 3 fois à partir du même échantillon avant d être classé négatif. Les fèces ont été gardés au froid pour éviter l évolution de l œuf (Annexe 6). III.2. Différents types d œuf d helminthes des bovins observés Œuf de strongle Œuf de Fasciola gigantica
14 10 Différents types d œufs sont observés : - Toxocara vitulorum : arrrondi, taille moyenne, paroi épaisse ; - Strongles digestifs tels Oesophagostomum radiatum, Haemonchus contortus, Trichostrongylus axei : ovalaire ou ellipsoïde, paroi mince, contenant des blastomères ; - Fasciola gigantica : ovalaire, operculeux à l un des pôles, grande taille, contenu granuleux, jaune doré ; - Trichuris globulosa : ovalaire, petite taille, deux pôles pourvus de bouchon polaire (3). RESULTATS Cette étude nous permet de savoir la cause de la diarrhée des bovins, d ameliorer le contrôle de la présence de la maladie et d orienter le programme de vermifugation et les soins des animaux. Ce qui reduit le taux de mortalité des animaux et augmente ses productivités. Il y aura donc un impact sur la vie des paysans et le developpement économique du pays. Parmi les bactéries pathogènes causant la diarrhéé bovine, on peut citer en premier lieu Escherichia coli entérotoxinogènes présent dans le tube digestif, y produisent des toxines et perturbent le bon fonctionnement des entérocytes (cellules de l'intestin). Il y a aussi les bactéries entéro-invasives qui dégradent les entérocytes comme Salmonella, Shigella et Campylobacter (4). Pour les parasites, on peut citer en premier lieu Fasciola gigantica dans la famille des trématodes, les strongles digestifs et Toxocara vitulorum pour les nématodes (5). Les causes de la diarrhée bovine peuvent être diverses comme le stress, la fatigue, l insuffisance en alimentation, le changement climatique. A part ces causes possibles, la diarrhée peut être aussi d origine virale, non seulement d origine bactérienne ou parasitaire. L'étude bactériologique des selles est un examen techniquement délicat. Le prélèvement doit être fait et conservé dans de bonnes conditions. Les milieux de cultures doivent être de bonne qualité, et de préparation récente. Le non-respect des conditions opératoires peut conduire à des résultats faussement négatifs. Elle nécessite un laboratoire de bactériologie bien équipé, disposant de tout le matériel pour réaliser des cultures et d'un personnel entraîné.
15 11 CONCLUSION ET PERSPECTIVES Ce stage nous a rapporté beaucoup de connaissance concernant le monde du laboratoire, sa structure, son fonctionnement et surtout son activité. Le laboratoire est un pilier pour une meilleure prise en charge des maladies. Les analyses effectuées permettent la prise en charge thérapeutique. Il est très important de bien maîtriser les étapes des examens bactériologique et parasitologique à partir d un prélèvement. Les objectifs sont atteints et nous espérons une continuité de l accord de coopération cadre entre les divers acteurs pour mieux approfondir d avantage sur les autres analyses de laboratoire concernant la serologie (test ELISA) et la biologie moleculaire (PCR) et l implication de la zootechnie pour ameliorer la production.
16 12 ANNEXES Annexe 1 : Prélèvement et condition de transport Bovin présentant une diarrhée Glaciaire remplie de prélèvements Annexe 2 : Préparation de la gélose Gélose au sang Annexe 3 : Résultat de la culture Sur gélose au sang : colonies rondes, lisses, de taille moyenne, de couleur blanchâtre et non hémolytique Colonies sur gélose au sang
17 13 Annexe 3 : Identification Préparation pour examen direct Annexe 4 : Identification Lames pour coloration de Gram Annexe 5 : Api 20 E API 20E après 24 heures d incubation
18 14 Annexe 6 : Technique de sédimentation Préparation sédiment
19 15 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 1- Claire G. La combinaison des analyses quantitatives et qualitatives pour une étude des dynamiques de pauvreté en milieu rural Malgaches. Thèse pour Doctorat es Sciences Economiques : Université Montesquieu Bordeaux IV ; Droit Sciences sociales et politique.2006 ; SEDES. Recensement et caractéristiques du cheptel ; 2 : Frederic B. Atlas de coproscopie Pilet C et al. Bactériologie médicale et vétérinaire. Doin Editeurs, 2 ème édition : 437p. 5- Rousset J.J., Copro-parasitologie pratique. Edition ESTEM.1993 :251p
RAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705
356-3961 356-3963 356-4705 DOMAINE D APPLICATION La gélose RAPID Salmonella est un milieu chromogénique utilisé pour la recherche des Salmonella spp. lors de l'analyse des produits d alimentation humaine
Plus en détailDétermination de la sensibilité aux antibiotiques. Méthode EUCAST de diffusion en gélose
Détermination de la sensibilité aux antibiotiques Méthode EUCAST de diffusion en gélose Version Sommaire Page Modifications des documents Abréviations et terminologie 1 Introduction 4 2 Préparation des
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailScience et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène
Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la
Plus en détailCATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS
(1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE
Plus en détailTravaux pratiques de pâtisserie CFA Avignon http://cfa84patis.free.fr
Brioche Farine de force type 45 500g Sel 10g Sucre 50g Levure 25g Œufs 7 Eau pour délayer la levure beurre 300g Pétrir doucement en hydratant la pâte petit à petit Eviter de chauffer la pâte en pétrissant
Plus en détailPlanches pour le Diagnostic microscopique du paludisme
République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic
Plus en détail1.3 Recherche de contaminants au cours de la production de Saccharomyces boulardii
Série STL Biochimie génie biologique EPREUVE PRATIQUE 1. CONTROLE MICROBIOLOGIQUE DE PROBIOTIQUES Les préparations de probiotiques sont utilisées préventivement comme additifs dans l alimentation humaine
Plus en détailANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE
1 ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE Membres (2012 2013) MADEC Jean-Yves Coordonnateur, Anses Lyon DECOUSSER Jean-Winoc CHU Antoine Béclère
Plus en détailEmission 2 1 ère épreuve : Baba
Emission 2 1 ère épreuve : Baba Gaelle et Cédric: «Babatomic» Pour 4 personnes Temps de Préparation : 3 h environ Temps de Cuisson : 60 minutes PREPARATION Pâte à baba au chocolat - 500 g de farine - 13
Plus en détailMEDIACLAVE. La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux
MEDIACLAVE La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux MEDIACLAVE La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux Les milieux de culture bactérienne sont très largement utilisé,
Plus en détailLes Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire
Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailLes solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution
Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une
Plus en détailCompétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali
Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailMesure de la teneur en alcool
37 Mesure de la teneur en alcool 1 Rôle de l alcool dans les vins 285 1.1. Sur le plan organoleptique 285 1.2. Sur le plan biologique 285 1.3. Sur le plan réglementaire 285 1.4. Sur le plan commercial
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailSTAGE CUISINE MARDI 6 OCTOBRE 2009 CUISINE DU MARCHE
STAGE CUISINE MARDI 6 OCTOBRE 2009 CUISINE DU MARCHE RECETTE N 1 Escalope de foie gras rôti, pommes de terre confite, oignon rouge et jus au vin rouge. 100 g d échalotes 4 g poivre mignonnette 2 g de coriandre
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détail33-Dosage des composés phénoliques
33-Dosage des composés phénoliques Attention : cette manip a été utilisée et mise au point pour un diplôme (Kayumba A., 2001) et n a plus été utilisée depuis au sein du labo. I. Principes Les composés
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION. La méthode HACCP. olet 1 : Informations générales
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 1 : Informations générales 1 Textes 2 Réseau 3 Formations obligatoires 4 Offres de formations Année : 2005-2006 1 Textes (Extraits) J.O n 247 du
Plus en détailTableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe
1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour
Plus en détailLes caramels mous, les pâtes de fruits, la guimauve, les bonbons de chocolat LES CARAMELS MOUS
LA CONFISERIE Les caramels mous, les pâtes de fruits, la guimauve, les bonbons de chocolat Préambule LES CARAMELS MOUS Du latin «cannamella» qui signifie «canne à sucre» Proprement dit, le caramel est
Plus en détailSHAMPOOINGS ET SOINS REPIGMENTANTS GUIDE TECHNIQUE
SHAMPOOINGS ET SOINS REPIGMENTANTS GUIDE TECHNIQUE Une alternative naturelle aux colorations traditionnelles 7 couleurs déclinées en 7 shampooings et 7 soins > Pour apporter des reflets aux cheveux naturels,
Plus en détailGâteau à la mousse au chocolat. Recette par Adriano Zumbo
1. Pâte du sablé à la cannelle 285 g de beurre froid en cubes 185 g de sucre en poudre 375 g de farine blanche 1 œuf 2 g de cannelle moulue ¼ de gousse de vanille râpée 1. Préchauffer le four à 160 ºC.
Plus en détailBiscuits de Noël. Milan
Biscuits de Noël Milan - 225 g de beurre - 150 g de sucre - 75 g d œufs - 300 g de farine - 1 pincée de sel - 1 zeste de citron - 1 pincée de poudre de vanille - Battre le beurre et le sucre - Ajouter
Plus en détail(ERWINIA PECTINOLYTIQUES)
TESTS BIOCHIMIQUES CLASSIQUES POUR L IDENTIFICATION DES PECTOBACTERIUM (ERWINIA PECTINOLYTIQUES) ET DES PSEUDOMONAS FLUORESCENTS Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste
Plus en détailIntroduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité
Gestion raisonnée du parasitisme gastro-intestinal chez le jeune bétail laitier à l herbe Remience Virginie, attachée scientifique 1 ;Vanvinckenroye Caroline, assistante 2 ; Decruyenaere Virginie, attachée
Plus en détailProblèmes de qualité du lait? Causes possibles et mesures à prendre
Problèmes de qualité du lait? Causes possibles et mesures à prendre 1 ère édition septembre 2003 Tables des matières 1) Généralités... 3 a) Sources de germes... 3 b) Laver et nettoyer dans les règles de
Plus en détailLes vers de nos compagnons
Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur
Plus en détailListe des matières enseignées
Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailGL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.
PRESENTATION DE LA SOCIETE GL BIOCONTROL GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.com - Web : www.gl-biocontrol.com
Plus en détailConduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage. Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris
Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris Troubles digestifs au retour de voyage Diarrhée (> 2 selles/j de consistance anormale)
Plus en détailCODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)
SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détailNETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION
NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION OBJECTIFS SPECIFIQUES : ENUMERER SANS ERREUR LES ELEMENTS QUI COMPOSENT LE MATERIEL COURANT DE SOINS EXPLIQUER CHACUNE DES TECHNIQUES
Plus en détailCATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE
Ensemble pour s'améliorer CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE Association AGLAE Parc des Pyramides 427 rue des Bourreliers 59320 Hallennes lez Haubourdin +33 (0)3 20 16 91
Plus en détailMaîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet?
1. Introduction : Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? P. Rondia* et J. Wavreille** Centre wallon de recherches agronomiques *Unité Nutrition
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailObjet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution
Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailLes rôles de l oxygène en phase post fermentaire
CONTRIBUTION SCIENTIFIQUE Les rôles de l oxygène en phase post fermentaire De Dominique Delteil, consultant L article a été publié sur le site Internet de l Institut Coopératif du Vin- ww.icv.fr- Flash
Plus en détailMarquage laser des métaux
62 Colorer Marquage laser des métaux TherMark Produit à base aqueuse pour un nettoyage rapide. Appliquer une fine couche de produit sur le métal, laisser sécher moins de 2 minutes et graver au laser. L
Plus en détailComment conserver le lait maternel à domicile? Conseils pratiques
Comment conserver le lait maternel à domicile? Conseils pratiques Stocker votre lait Précautions quand vous tirez votre lait Lavez-vous les mains avant de tirer votre lait. Installez-vous au calme, confortablement,
Plus en détailTenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active!
aide à guérir. TenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active! Soin de plaies Tenderwet active, le pansement irrigopour la détersion efficace et pratique de toutes La
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailItem 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détail1) Teneur en amidon/glucose. a) (Z F) 0,9, b) (Z G) 0,9, où:
L 248/8 Journal officiel de l Union européenne 17.9.2008 RÈGLEMENT (CE) N o 900/2008 DE LA COMMISSION du 16 septembre 2008 définissant les méthodes d analyse et autres dispositions de caractère technique
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailCake aux fruits. Pastis Landais
Cake aux fruits Couper les fruits secs en cubes (taille au-dessus de la brunoise). r des moules à cake. Chemiser les moules de papier cuisson prévu à cet effet. Tamiser la farine et la poudre à lever.
Plus en détailRestauration collective. quelques aspects réglementaires
Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient
Plus en détailLivre de Recettes *** Tracy Allesina
Livre de Recettes Tracy Allesina Entremets Sablé Noisettes, crémeux à la passion Pâte sablée à la noisettes - 250 g de farine - 100 g de sucre - 50 g de poudre de noisettes - 125 g de beurre - 1 oeuf -
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailBrest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012
Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les
Plus en détailEvaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires
Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailpumpkin crumble Bons petits plus des fruits confits Potiron / Bigarreau / Pavot 1 > Pâte à Cake 2 > Base Crumble 3 > Cake potiron fruits confits
Cake potiron fruits confits - (28 pièces) > Base cake neutre 200 gr > Purée potiron 75 gr > Cubes de pastèque rouge confit 70 gr > Bigarreaux rouges confits 50 gr > Quatre épices-gingembre 1.5 gr > Pavot
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailA l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés
A l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés Temps de Préparation : 2 h environ RECAPITULATIF Monsieur moustache : Œuf noir pulvérisé au flocage noir, moustache pâte amande orange
Plus en détailExemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014
Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailGANACHE AU CHOCOLAT BLANC. Lait Selection 33,5% Lait Caramel 34,5% Crème fraîche à 35% 250 250 250 250 250 250 250 250
Ganac h e pour enrobage Préparation : Chauffer la crème et le sucre inverti à 80 C. Verser ensuite la crème chauffée directement sur le chocolat (+ beurre de cacao si nécessaire), et bien mélanger. Ajouter
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailFormations 2014 SECURITE DES ALIMENTS
Formations 2014 SECURITE DES ALIMENTS Nous contacter : Tél. : 09 69 32 22 72 - Fax : 08 20 56 90 05 - E-mail : formation@alpagroupe.fr Contexte : La sécurité alimentaire est une priorité de santé publique
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailCONNAISSANCES, ATTITUDES ET PRATIQUES DE L HYGIENE EN RESTAURATION SCOLAIRE A ABIDJAN RESUME
CONNAISSANCES, ATTITUDES ET PRATIQUES DE L HYGIENE EN RESTAURATION SCOLAIRE A ABIDJAN RESUME Auteurs SACKOU K.J. OGA A.S. CLAON S. KIRÉ K.N. BLEDOU T.D. POHÉ L. *DIBY Y. KOUADIO K.L. Services Département
Plus en détailSommaire de la séquence 7
Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailTUILES AMANDES TUILE FINE AU CHOCOLAT
TUILES AMANDES 250 gr de sucre glace 125 gr de blancs 100 gr d œufs 50 gr de beurre ajouter 1 gousse de vanille Laisser maturer 1 heure Gratter la gousse Puis incorporer délicatement Laisser poser 12 heures.
Plus en détail10. Instruments optiques et Microscopes Photomètre/Cuve
0. Instruments s et Microscopes GENERAL CATALOGUE 00/ Cuve à usage unique pour spectrophotomètre Cuve jetable, moulée en et en pour UV. Avec parois traitées Kartell ment pour une transparence optimale
Plus en détailJOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S
JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S 16 /01/2013 PROGRAMME DE LA JOURNEE Matinée à l ISTO : 9h-12 h, Accueil par Gaëlle Prouteau Maître de conférences et les IA- IPR, Michel Khairallah et Guy Lévêque Conférence
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailCONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE
CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans
Plus en détailLaboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche
Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailSPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET
AGENT DE MAÎTRISE TERRITORIAL Concours interne et de 3 ème voie Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France SESSION 2015 Epreuve écrite d admissibilité Vérification
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailRésistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque
Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int
Plus en détailles deux premières années du Bachelor of Science en sciences pharmaceutiques
UNIVERSITÉ DE FRIBOURG SUISSE FACULTÉ DES SCIENCES UNIVERSITÄT FREIBURG SCHWEIZ MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHE FAKULTÄT Plan d'études pour les deux premières années du Bachelor of Science en sciences
Plus en détailVisite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS.
Visite à l ICV Cette entreprise analyse les échantillons que les viticulteurs leur transmettent de toute la région PACA (départements 13, 83, 84 et un peu du 06, ce sont en général des coopératives viticoles
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailProcédure de tri et traitement des déchets Pro 032
Service de Sécurité Ferme de la Mouline Tél. 021 692 2570 / Fax 021 692 2575 Procédure Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Contenu 1. Objet... 1 2. Domaine d application... 1 3. Abréviations...
Plus en détailPeroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires
P3-oxonia active Description Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires Qualités Le P3-oxonia active est efficace à froid. Il n'est ni rémanent ni polluant. Il ne contient pas d'acide
Plus en détailCHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE
CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailL audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation
L audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation Jean-Paul Klein a, *, Pierre-Olivier Bazin b RÉSUMÉ L audit est un outil de progrès et d aide à la décision au service de l entreprise et
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailIBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire
IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l
Plus en détail