Un enjeu majeur : décrypter les codes neuronaux

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Un enjeu majeur : décrypter les codes neuronaux"

Transcription

1 Le cervea IRM (séqence DTI). Visalisation de la connectivité anatomiqe cérébrale. Un enje majer : décrypter les codes neronax D nerone à la cognition, d gène à la maladie, de l abeille a primate : l institt des sciences d cervea de Tolose covre n large champ de recherche mltidisciplinaire. François Chollet, professer de nerologie, directer de l Institt des sciences d cervea de Tolose et Yves Trotter, directeradjoint de l ISCT et directer de recherche CNRS a Centre de recherche cervea et cognition (CERCO, nité mixte UPS/CNRS). Le nerone, élément fondamental constittif d système nervex est ajord hi miex conn grâce ax progrès de la biologie celllaire et moléclaire et de la génétiqe. Décrypter les codes neronax qi sos tendent les grandes fonctions cognitives q il s agisse de perception, d attention, de planification d movement, d apprentissage, de mémoire, de langage o de pensée constite n objectif stratégiqe affirmé de la recherche en nerosciences. Cet objectif ne pet être atteint qe par ne approche mltidisciplinaire qi inclt des compétences, des techniqes, des modèles différents et complémentaires. C est ator de pôles rénissant ces otils qe se bâtit cette stratégie. L imagerie dans ses différentes modalités constite le lien technologiqe et scientifiqe commn qi fédère la recherche en nerosciences dans ses composantes intégratives et cognitives. Voir le cervea fonctionner, identifier les réseax ne- ronax qi sos-tendent les fonctions cognitives et sivre a cors d temps ler activité constite l objectif commn des cherchers de l Institt des sciences d cervea de Tolose (ISCT). L ISCT est ne strctre fédérative de recherche, qi a por objectif de favoriser les interactions entre les différents acters de la recherche en nerosciences de Tolose en associant ne recherche fondamentale et ne recherche finalisée ator de l élcidation des mécanismes des fonctions cognitives et de lers dysfonctionnements a cors de maladies d système nervex. Il dispose d ne IRM3T (IRM à 3 teslas) dédiée à la recherche. Un site Inagré en octobre 2011, le site réhabilité d pavillon Badot à Prpan regrope environ 220 personnes (cherchers, cliniciens, ingéniers 14 pal sabatier avril 2012

2 Le cervea et étdiants) sr m 2 de locax tertiaires, ator d n platea techniqe modernisé et renovelé. Porté par l Inserm, le CNRS, l UPS, l niversité d Mirail et le CHU de Tolose, ce projet a bénéficié d sotien des collectivités et de l Etat à travers dex plans Etat-Région sccessifs. Un large éventail de compétences C est en fait ne collaboration entre des disciplines telles qe la nerophysiologie intégrative, les nerosciences cognitives, la nerologie cliniqe, la neropsychologie, la pharmacologie, la lingistiqe, la nero-imagerie, la neroanatomie et la biologie d développement d cervea qi constite le moter de l ISCT ator d échanges à la fois théoriqes, méthodologiqes et technologiqes. Dans ce cadre, diverses fonctions cérébrales telles qe la vision, l adition, l olfaction, la motricité, le langage, l apprentissage et la mémoire sont étdiées à travers des méthodologies complémentaires qi nécessitent à la fois ne approche cliniqe, pharmacologiqe et ne approche expérimentale chez l animal (avec n continm de l abeille a primate), l homme sain et le patient. C est ainsi qe les éqipes regropent des compétences dans ne large variété de domaines tochant à la fois ax sciences de la vie, ax sciences de l ingénier et ax sciences hmaines et sociales. De gros éqipements de neroimagerie Ces éqipes bénéficient de la mise en commn de gros éqipements de nero-imagerie fonctionnelle associant IRM, TEP, potentiels évoqés, et stimlation magnétiqe transcrânienne por l étde des primates hmains et non-hmains. Ler complémentarité permet de valider et renforcer l interprétation des observations, à la base de noveax champs de recherche qe ce soit dans le domaine fondamental o cliniqe. Il est maintenant possible de jstifier en termes de circit neronal des hypothèses psychologiqes spécifiqes sr le comportement et de somettre à ne expérimentation rigoresement contrôlée le problème des relations entre le cervea et la cognition. C est bien là qe se trove l objectif de l ISCT qi, en mettant en parallèle ces techniqes, sera capable de décrire les opérations neronales, localisées dans des strctres cérébrales identifiées et mises en je lors des différentes fonctions cognitives étdiées. Des modèles et des approches complémentaires Les connaissances chez l homme restent globales, et certains niveax de description des corrélats strctre/fonction (connectivité cérébrale, caractérisation des activités neronales qi sos-tendent ces fonctions) restent inaccessibles. Ces connaissances fines nécessitent des méthodes d investigation invasives et ne pevent être réalisées qe chez l animal. A sein de l ISCT, l approche physiopathologiqe cliniqe et neropsychologiqe, qi analyse les pertrbations fonctionnelles liées ax lésions cérébrales chez l homme est menée en parallèle avec l expérimentation animale invasive qi met en relation l activité neronale et les fonctions intégrées. Elcider les mécanismes des fonctions cognitives Un des objectifs-clef des cherchers de l Institt consiste à élcider le fonctionnement cérébral dans ses fonctions les pls élaborées. L approche intégrée à l échelle de l organe permet grâce ax différents modèles et ax différentes techniqes d approcher ces fonctions de façon transversale et cohérente. C est le cas par exemple por la mémoire qi fait l objet d ne approche mltiple fondamentale à travers des modèles animax et hmains et appliqée à travers des patients porters d affections nero-dégénératives. Qelqes exemples sont présentés dans ce dossier. Déficits nerologiqes et maladies d système nervex Cette approche intégrée trove ainsi n terrain d investigation privilégié dans le domaine de la caractérisation des déficits nerologiqes et de lers mécanismes, dans le champ de la réorganisation cérébrale, de la récpération fonctionnelle, ainsi qe dans la prise en charge des handicaps faisant site à diverses lésions cérébrales aigës o chroniqes. Certaines thématiqes en particlier font l objet de développements parallèles et complémentaires a sein des différentes formations de l institt. C est le cas d vieillissement et de la maladie d Alzheimer et des maladies nerodégénératives o nerovasclaires qi font l objet d ne approche transversale allant de la caractérisation de pertrbations motrices o cognitives sr des modèles de soris porteses de plaqes amyloïdes o de lésions focales jsq a diagnostic IRM de l épaisser corticale et à l évalation thérapetiqe en imagerie moléclaire florée chez les patients en passant par l élcidation de dysfonctionnements dans le champ de la catégorisation viselle. n francois.chollet@inserm.fr yves.trotter@cerco.ps-tlse.fr Les six laboratoires de l ISCT L ISCT regrope six laboratoires o éqipes : Le Centre de recherche cervea et cognition (Cerco, nité mixte UPS/CNRS) ; le Centre de recherche sr la cognition animale (CRCA, nité mixte UPS/CNRS) ; le laboratoire Imagerie cérébrale et handicaps nerologiqes (ICHN, nité mixte Inserm/UPS) ; le Laboratoire d adaptation perceptive motrice et apprentissage (Lapma, éqipe UPS) ; l nité de recherche interdisciplinaire Octogone (niversité de Tolose-Le Mirail) et le pôle de nerosciences cliniqe de Prpan. IRM fonctionnelle. Résea fonctionnel de la motricité activé a cors d n movement de doigts. avril 2012 pal sabatier 15

3 Mémoires La mémoire hmaine est compartimentée. L identification et la caractérisation de ses différents systèmes a été ne des grandes avancées des nerosciences cognitives de ces dernières décennies. Le cervea A A : Cervea hmain en cope sagittale (hippocampe en orange et régions sos hippocampiqes en ble) ; B : Cervea de ronger B Emmanel Barbea, chargé de recherche CNRS a Centre de recherche cervea et cognition (Cerco, nité mixte UPS/CNRS) ; Virginie Voltzenlogel, maître de conférences de l niversité d Mirail dans l nité de recherche interdisciplinaire Octogone ; Pascal Rollet, professer UPS a Centre de Recherches sr la Cognition Animale (Crca, nité mixte UPS/CNRS) et Jérémie Pariente, maître de conférence UPS et praticien hospitalier a Laboratoire imagerie cérébrale et handicaps nerologiqes (ICHN, nité mixte UPS/Inserm) Ces systèmes constitants la mémoire hmaine sont relativement indépendants les ns des atres et pevent être affectés de manière sélective par différentes pathologies et en particlier par les maladies nerodégénératives. Par exemple, la maladie d Alzheimer affecte la mémoire déclarative (mémoire sémantiqe et mémoire épisodiqe) mais laisse intacte la mémoire procédrale qi est-elle altérée dans la maladie de Parkinson o la maladie de Hntington. La mémoire déclarative dépend d n ensemble de strctres sitées dans la partie interne des lobes temporax, dont la pls conne est l hippocampe. C est cette partie interne d lobe temporal qi est en particlier étdiée par les cherchers tolosains spécialisés dans la mémoire. Trobles de la mémoire Des cherchers d Cerco et d Laboratoire imagerie cérébrale et handicaps nerologiqes s intéressent de manière conjointe à l organisation intrinsèqe de la mémoire déclarative. Lers travax ont permis d évaler la mémoire de patients soffrant de lésions cérébrales focales (accidents vasclaires cérébrax-avc, encéphalites) o de lésions pls diffses (maladie d Alzheimer). Un de lers thèmes de recherche vise à montrer les corrélats neronax qi existent entre la mémoire de rappel et la mémoire de reconnaissance qi seraient sos-tendes par des régions différentes de la partie interne d lobe temporal (l hippocampe et les régions sos-hippocampiqes, respectivement). Dans n travail sr la maladie d Alzheimer à n stade très précoce, ils ont combiné des techniqes d imagerie différentes. Ceci a permis de préciser les lésions strctrales (IRM), métaboliqes (PET scan a glcose) et moléclaires (PET scan AV45, spécifiqe de l amyloïde) en lien avec l apparition des trobles de la mémoire déclarative. Dans n atre cadre nosologiqe, les cherchers d Cerco condisent ne étde chez des patients épileptiqes pharmaco-résistants. Le bt de cette étde est de montrer, à l aide d électrodes intracérébrales mises en place dans le cadre des soins apportés ax patients, la dimintion temporelle et spatiale de l activité cérébrale dans des tâches de mémoire. Ces travax sont réalisés en lien avec des médecins d CHU de Tolose. Normalisation de la mémoire Une éqipe de l Unité de recherche interdisciplinaire Octogone de l niversité de Tolose le Mirail travaille sr ne poplation de patients présentant ne épilepsie d lobe temporal médian o de patients ayant sbi ne lobectomie temporale dans le bt de contrôler ne épilepsie pharmacorésistante. Ce travail de recherche porte sr la mémoire atobiographiqe et la mémoire des faits pblics. Dans n grope de patients présentant ce type d épilepsie il a été montré l existence d n déficit de la mémoire des faits pblics et d rappel d épisodes atobiographiqes, avec ne sémantiqe personnelle préservée. Certains patients ont été re-testés n an après ne lobectomie temporale. Cette chirrgie n a pas e d impact sr la mémoire atobiographiqe et la mémoire des faits pblics. En revanche, cette étde a mis en évidence, niqement dans le grope ayant sbi ne lobectomie droite, ne normalisation de la mémoire atobiographiqe, por le rappel d épisodes personnels ayant e lie après l intervention. Stress post-tramatiqe La mémoire chez le ronger et en particlier le rôle de l hippocampe et de sa région CA3, dans les processs de consolidation et de reconsolidation de la mémoire est le thème de recherche d ne éqipe d Crca. Ce dernier processs est très important, car la réactivation d ne trace mnésiqe préalablement consolidée la rend à novea labile. Afin de re-stabiliser cette trace réactivée et de la stocker de novea à long terme, celle-ci doit sbir n processs nommé reconsolidation. Il est donc possible d agir sr cette reconsolidation mnésiqe et de modler o d effacer n sovenir en bloqant la synthèse o la dégradation protéiqe a moment de la réactivation d sovenir. On a réssi à bloqer la reconsolidation d n sovenir aversif chez l animal grâce à n béta-bloqer, le propranol. En collaboration avec le Service de psychiatrie, d CHU de Tolose des résltats similaires ont p être obtens chez des patients soffrants d n syndrome de stress post-tramatiqe. n emmanel.barbea@cerco.ps-tlse. fr ; voltzenl@niv-tlse2.fr ; rollet@ cict.fr ; jeremie.pariente@inserm.fr 16 pal sabatier avril 2012

4 Le cervea Le cervea révélé par l imagerie mltimodale Por explorer le cervea hmain en fonctionnement, il fat disposer de marqers qi, somis à l imagerie, mettent en relief des fonctions spécifiqes. De tels biomarqers sont mis a point et validés sr les plateax techniqes de l Institt des sciences d cervea de Tolose (ISCT). Patrice Péran, chargé de recherche Inserm (UMR825, nité mixte Inserm/UPS), Pierre Payox, professer niversitaire et hospitalier, cherchers a laboratoire imagerie cérébrale et handicaps nerologiqes (ICHN, nité mixte Inserm/UPS), et Rffin VanRllen, directer de recherche CNRS a Centre de recherche cervea et cognition (CerCo, nité mixte UPS/CNRS) Impossible ajord hi de comprendre comment fonctionne le cervea sans disposer d instrments d imagerie médicale. Ces instrments sont à l origine d n nombre important d avancées. Atrophie La majorité des travax actels, en neroimagerie strctrale, se focalise sr la mesre de l atrophie comme marqer des modifications physiologiqes et physiopathologiqes. Mais, d atres marqers des modifications microstrctrales sont tilisables en IRM. En effet, l IRM permet de mesrer également le dépôt de fer, l intégrité et l orientation microstrctrale. Les éqipes de l ISCT ont ainsi montré qe l IRM était capable de faire la distinction entre cerveax de patients parkinsoniens et cerveax de sjets sains, a cors d ne étde impliqant 30 patients parkinsoniens et 22 sjets contrôle. Un simple examen d IRM a permis à partir de plsiers mesres simltanées, de diagnostiqer avec pls de 95% de fiabilité la maladie de Parkinson et donc de révéler sa «signatre cérébrale». Laboratoire d excellence A l ISCT, de noveax tracers dans le domaine des nerosciences et notamment dans les pathologies liées ax trobles cognitifs, à l ischémie cérébrale et à la neroinflammation sont développés. Les synthèses sont réalisées grâce à ne plateforme permettant la floration et le contrôle qalité en conditions radiopharmacetiqes. L ISCT bénéficie de la proximité immédiate d ne caméra TEP coplée à n appareil de Tomodensitométrie. La combinaison de ces dex techniqes permet l exploration in vivo en TEP de nombrex processs physiologiqes et physiopathologiqes après injection des radio pharmacetiqes. Ces avancées ont été récompensées en février 2012 par l obtention d LABEX IRON (Innovative Radiopharmaceticals in Oncology and Nerology). De nombrex projets translationnels et cliniqes sont actellement en cors tilisant la complémentarité d TEP et de l IRM. Par exemple, n tracer de la plaqe amyloïde en TEP et ne mesre de l épaisser corticale en IRM sont actellement tilisés dans différents protocoles afin de miex comprendre les mécanismes physiopathologiqes de la maladie d Alzheimer. Précision temporelle Enfin, l électro-encéphalographie (EEG) est ne techniqe qi permet d enregistrer l activité électriqe d cervea grâce à des dizaines d électrodes placées a nivea d scalp. Si elle est moins indiqée qe l IRM por isoler précisément les zones cérébrales participant à chaqe mécanisme cognitif, elle est par contre très précise sr le plan temporel. Ainsi l on pet sivre à l échelle de la milliseconde la dynamiqe de l ac- tivation cérébrale, o s intéresser à des rythmes oscillatoires rapides de plsiers dizaines de cycles par seconde, fréqemment observés dans des tâches de traitement sensoriel. Comme l ont montré des travax récents de l éqipe CREMe d CerCo, on pet ainsi détecter certains rythmes qi pevent indiqer n état de perte de vigilance o «divagation attentionnelle». La perception viselle, qant à elle, va et vient de manière périodiqe en sivant la phase d n rythme EEG spécifiqe. Loin de s exclre mtellement, ces techniqes de neroimagerie apparaissent donc tot à fait complémentaires. n patrice.peran@inserm.fr, payox.p@ch-tolose.fr et rfin.vanrllen@cerco.ps-tlse.fr Sbstance noire Dépôt de fer Signatre IRM mltiparamétriqe de la maladie de Parkinson. Sbstance noire perte de l orientation microstrctrale Striatm Perte de l intégrité microstrctrale avril 2012 pal sabatier 17

5 Percer les secrets d système visel Le cervea L homme est d ne exceptionnelle efficacité dans sa perception d monde qi l entore. Une efficacité qi s appie essentiellement sr la vision qi occpe chez le primate environ le tiers d cortex. Par lers spécificités et la diversité de lers approches, les laboratoires de l ISCT pevent aborder les différentes facettes de la vision, q elle soit normale o pathologiqe. L originalité de l ISCT est de s intéresser à la vision le long de mltiples continm : de la vision des stimli simples à celles de stimli éthologiqes, de la vision préattentive à la vision attentive, de la vision de l abeille à celle d singe, de la vision de l enfant à celle de l adlte, de celle d système biologiqe à celle des systèmes artificiels. Vision épisodiqe D importants résltats ont été obtens ces dernières années, qi boleversent parfois certaines idées reçes. Ainsi, si la perception viselle nos semble contine, nos avons montré qe l excitabilité corticale dans le système visel flcte périodiqement en sivant le rythme oscillatoire «alpha» (ator de 10 Hz). La perception viselle ne serait donc pas contine dans le temps mais procéderait de façon épisodiqe, à la manière d ne caméra vidéo. Le cervea est également capable de privilégier ne région importante de l espace : celle d «droit devant». Por analyser en détail n objet nos yex vont se poser desss afin qe l image de l objet se forme sr la «fovéa», la région de la rétine la pls dense en récepters. Mais il nos arrive de torner les yex vers n objet d intérêt (ne botiqe par exemple) tot en continant à marcher dans la re. L image d «droit devant» se forme donc sr la rétine périphériqe beacop moins performante. Le cervea traite alors cette région de l espace de façon très spécifiqe. Ainsi, lorsqe le déplacement de nos Le cervea miniatre de l abeille Lorsqe le champ récepter périphériqe d n nerone de l aire viselle primaire est porté dans l axe «droit devant» par la déviation d regard on observe ne agmentation de son activité. yex amène le champ récepter d n nerone d système visel dans la région d «droit devant» on constate ne agmentation de la réponse d nerone. Un stimls y est détecté pls rapidement qe dans ne zone de même excentricité par rapport à notre point de fixation. Saccades oclaires Les saccades oclaires nos permettent d explorer le monde. Ethologiqement, s il pet être fatal de déclencher n movement vers n objet dangerex, il n est pas coûtex de faire ne saccade erronée, il sffira de la corriger. L tilisation d n test de choix saccadiqe qi tilise ces réponses rapides a permis de contraindre de façon draconienne les limites temporelles d fonctionnement d système visel. Nos avions déjà montré l impressionnante rapidité de l homme à catégoriser des animax, des visages o des véhicles dans des scènes natrelles. Les réponses manelles les pls précoces étaient observées avec des latences de millisecondes (ms). Mais c est avec ne latence de selement 120 ms qe l on pet boger les yex vers n animal, ne drée rédite à 100 ms si les yex doivent s orienter vers n visage! La complexité des traitements qi doivent être réalisés dans ce laps de temps mettent à mal les actels modèles de reconnaissance d objets et solèvent la qestion des voies cérébrales tilisées dans de tels comportements. Vision améliorée par l adition Mais la perception de notre monde n est pas niqement viselle, elle est mltisensorielle. La vision pet ainsi permettre d améliorer n percept médié par ne atre modalité comme l adition. Nos avons récemment démontré l importance joée par l apprentissage. Ainsi, en tilisant ne sele oreille, la localisation spatiale d n son est difficile, portant les performances s améliorent après qelqes séances d entraînement drant lesqelles le son est associé à ne information viselle congrente. Un tel mécanisme ovre les portes à des stratégies de réhabilitation basées sr les interactions mltimodales chez des patients atteints de srdité profonde et porters d n implant cochléaire. n Michèle Fabre-Thorpe, directrice de recherche CNRS et Simon Thorpe, directer de recherche CNRS, respectivement directrice et directer-adjoint d Centre de recherche cervea et cognition (CerCo Unité mixte CNRS-UPS) L abeille est n modèle animal por l étde de la vision. Les abeilles perçoivent et apprennent des colers et des formes qand ces stimli sont appariés avec de la soltion scrée. Récemment, ler capacité à catégoriser des stimli visels a été mise à jor. D atre part, l imagerie calciqe a dévoilé n traitement rétinotopiqe complexe dans ler cervea. Ces recherches menées a CRCA (nité mixte UPS/CNRS) montrent comment le cervea miniatre des abeilles réalise des performances viselles sophistiqées. mft@cerco.ps-tlse.fr thorpe@cerco.ps-tlse.fr 18 pal sabatier avril 2012

6 Le cervea La plasticité cérébrale Le cervea possède des capacités d adaptation étonnantes. Bien comprises, elles pevent être mises à profit por récpérer de l habileté après ne lésion cérébrale o améliorer l adition... La plasticité cérébrale est n mécanisme par leqel le cervea modifie sa strctre et son fonctionnement por adapter le comportement ax challenges de l environnement o de l état physiologiqe. Cette plasticité s exprime depis les réseax cérébrax jsq ax réglations génétiqes a sein même des nerones. Plsiers laboratoires de l ISCT s intéressent à ces phénomènes de plasticité chez l hmain et l animal, dans des perspectives fondamentales o cliniqes. Récpération motrice L éqipe «Innovation thérapetiqe dans la pathologie vasclaire cérébrale» d laboratoire Imagerie cérébrale et handicaps nerologiqes s intéresse ax stratégies thérapetiqes qi aront n impact majer sr les traitements cliniqes de l accident vasclaire cérébral (AVC), première case de handicap. Lers travax indiqent q il fat solliciter la plasticité cérébrale spontanée et pls précisément l activité cérébrale d côté lésé. Une stimlation non invasive focalisée sr ce cortex cérébral s avère assez efficace sr la récpération motrice. De pls, le Prozac, n antidépresser, modle la plasticité cérébrale et aide les patients à retrover ler indépendance. D atres espoirs reposent sr les bioprothèses (thérapie celllaire combinée à des biomatériax) qe cette éqipe s emploie à tester chez l animal. Noveax nerones (en vert) dans l hippocampe de soris adlte. (A centre) Activation d résea de compréhension de la parole visoaditive chez des patients implantés cochléaire. Scanner d ne insertion d n implant dans la cochlée d n patient sord profond. (à droite) Gidage neronal sr bioprothèse cérébrale. Améliorer la coordination Lorsqe nos vieillissons, la coordination des dex mains s altère, entraînant des difficltés dans les activités de type botonnage, pianotage etc. Les travax de l éqipe «Programme de recherche en sciences d sport et d movement hmain» visent à améliorer ces coordinations. Lers travax indiqent qe les performances psychomotrices des personnes âgées s améliorent lorsq on les fait interagir avec d atres stimlations sensorielles. Si on demande à des sjets de prodire des coordinations bimanelles complexes en synchronisation avec le rythme d n métronome aditif (sons), visel (images) o mltimodal (sons + images), il apparaît qe les sjets âgés tilisent atant les informations mltimodales qe les informations aditives seles por améliorer la stabilité et la précision de ler coordination. Ainsi, la plasticité cérébrale permettrait d optimiser la commnication entre aires cérébrales responsables de l intégration des informations mltimodales chez les sjets âgés. Réhabilitation d ne srdité Les capacités de plasticité d cervea joent n rôle prépondérant dans le sccès de la réhabilitation d ne srdité profonde par n implant cochléaire. Une éqipe d Cerco, associée a service ORL d CHU Prpan, explore chez le sord profond les modifications des aires d cervea Claire Rampon, chargée de recherche CNRS a Centre de recherche sr la cognition animale (Crca, nité mixte UPS/CNRS) ; Jessica Tallet, maître de conférences UPS a Laboratoire Adaptation Perceptivo- Motrice et Apprentissage (LAPMA, éqipe UPS), Isabelle Lobinox, directer de recherche Inserm a Laboratoire Imagerie cérébrale et handicaps nerologiqes (ICHN, nité mixte UPS/Inserm) et Pascal Barone, directer de recherche CNRS a Centre.de recherches cervea et cognition (Cerco, nité mixte UPS/CNRS) privées d entrées aditives pis la récpération de la compréhension de la parole après ne neroprothèse. Drant la longe période de srdité, les régions dédiées a traitement de l adition sont colonisées par la vision. Ceci reflète n mécanisme de vicariance développé par les patients qi s appient sr la lectre labiale por la compréhension d langage. Après implantation cochléaire, cette réorganisation régresse a fr et à mesre qe les patients récpèrent l adition. Ces travax sont encorageants por la réhabilitation par l implant, basée sr le potentiel de plasticité corticale d patient et combiné à ne réédcation adaptée. Trobles de la mémoire La formation de la mémoire repose sr des modifications d fonctionnement cérébral qi mettent en je la plasticité cérébrale. L éqipe «Mémoire, plasticité et vieillissement» d Crca traqe ces modifications cérébrales chez la soris saine o modèle de la maladie d Alzheimer. Lers travax montrent qe la mémorisation reqiert la synthèse de novelles protéines a sein de l hippocampe, siège de la mémoire. Pls étonnant, d atres protéines doivent être dégradées por qe le sovenir sbsiste. Des étdes de l éqipe indiqent assi qe les noveax nerones qi naissent dans le cervea adlte participent a codage de la mémoire. Ce processs est pertrbé chez les soris modèles de la maladie d Alzheimer et porrait contriber ax trobles de la mémoire qi caractérisent cette pathologie. n pascal.barone@cerco.ps-tlse.fr Claire.Rampon@cict.fr jessica.tallet@niv-tlse3.fr isabelle.lobinox@inserm.fr avril 2012 pal sabatier 19

7 Le cervea Comment le cervea traite le langage Le langage figre parmi les fonctions cérébrales les pls complexes et joe n rôle primordial dans la relation de l homme avec son environnement et en particlier avec les atres hmains. L étde de son sbstrat cérébral est n vrai défi por les cherchers et nécessite le recors à des méthodes combinées et plridisciplinaires. Dans les dyslexies d développement, l évalation de l effet de l entraînement des habiletés phonologiqes vs. viso-orthographiqe par des mesres comportementales et la méthode des potentiels évoqés a permis de montrer qe ces entraînements ont des effets différenciés en fonction de la tâche et en fonction d type de dyslexie. Ici nos voyons la «modlation de l activité cérébrale» à la site de la présentation viselle de lettres après entraînement phonologiqe. Xavier de Boissezon, professer niversitaire hospitalier UPS et chercher a laboratoire imagerie cérébrale et handicaps nerologiqes (ICHN, nité mixte Inserm/ UPS), Barbara Köpke, professer, et Mélanie Jcla, maître de conférences à l niversité de Tolose le Mirail à l nité de recherches interdisciplinaires Octogone- Lordat (éqipe d acceil de l Université d Mirail). Longtemps, l étde des mécanismes cérébrax impliqés dans le traitement d langage n a été possible q à travers l étde des pathologies d langage tant chez des patients cérébrolésés site à n accident cardiovasclaire (AVC), qe chez des personnes soffrant d ne tmer, d ne maladie dégénérative o d n troble développemental (dyslexie par exemple). Ajord hi, les données de la patho- logie pevent être complétées par celles obtenes avec les différentes méthodes d imagerie cérébrale tilisables également avec des sjets sains. Ainsi nos avons p explorer, grâce à l IRM et la TEP principalement, les réseax neronax d langage dans plsiers poplations. Chez le sjet sain, les résltats ont permis d identifier des voies différentes por l analyse sémantiqe (voie ventrale, passant par le lobe temporal) et phonologiqe (voie dorsale, passant par le lobe pariétal). Par aillers, l intervention relative de chaqe hémisphère, pls bilatérale por la compréhension et pls latéralisée à gache por la prodction d langage, a été explorée. Récpération A nivea des pathologies d langage, plsiers travax ont cherché à comprendre qels sont les mécanismes par lesqels le cervea lésé après n AVC pet réorganiser son fonctionnement por récpérer n comportement lingistiqe efficace (o non) après ne aphasie. Nos avons ainsi montré qe cette plasticité cérébrale pet avoir recors ax aires immédiatement voisines de celles détrites par l AVC, a sein de l hémisphère gache qi est l hémisphère principal por la fonction lingistiqe. Lorsqe ces aires périlésionnelles gache pevent être ré-tilisées por les fonctions lingistiqes, la récpération est meillere qe lorsqe le langage doit tiliser des aires pls distantes, en particlier a sein de l hémisphère droit. Par aillers, l exploration des aires cérébrales joant n rôle dans la récpération à la site d ne réédcation orthophoniqe, sggère qe les aires péri-lésionnelles gaches sont pls à même de spporter ne bonne récpération d langage qe celles de l hémisphère droit, portant symétriqes des aires détrites. L étde de la dynamiqe des systèmes nerofonctionnels a cors de l adaptation a handicap permet ainsi de développer et d améliorer des options thérapetiqes, en particlier à des stades précoces de la maladie. Le siège de l écritre Une combinaison d ne techniqe d inactivation transitoire de l activité corticale a cors d interventions nerochirrgicales en condition «chirrgie éveillée» et de l IRM fonctionnelle a permis d étdier la fonction d ne des régions liées à l écritre: le cortex pré-moter spérier. Cette zone, désignée a siècle dernier par Exner comme «aire de l agraphie», a ainsi formellement été identifiée comme siège de l écritre. La même techniqe permet d explorer les aires intervenant dans le traitement des différentes langes chez ne personne plrilinge. Les résltats, encore préliminaires, sggèrent qe le traitement d ne lange apprise pls tardivement sollicite sovent des aires pls étendes à l intérier des aires d langage qe des langes acqises de façon précoce. De pls, le cortex préfrontal dorsolatéral, par exemple, semble joer n rôle essentiel dans le contrôle et la sélection de la lange appropriée. Avec n nombre croissant de sjets plrilinges dans le monde, les recherches sr le traitement de chacne des langes se développent ajord hi rapidement. Le développement de recherches interdisciplinaires entre lingistiqe et nerosciences permet d aborder de noveax champs d étdes portant sr des fonctions lingistiqes pls complexes telles qe la pragmatiqe o la prosodie par exemple. n xavier.deboissezon@inserm.fr & melanie.jcla@niv-tlse2.fr & bkopke@niv-tlse2.fr 20 pal sabatier avril 2012

Accompagner les familles d aujourd hui

Accompagner les familles d aujourd hui Mtalité Française et petite enfance Accompagner les familles d ajord hi ACCOMPAGNER LES FAMILLES D AUJOURD HUI L engagement de la Mtalité Française en matière de petite enfance La Mtalité Française est

Plus en détail

Risques professionnels et qualité de vie au travail dans les crèches : les pratiques de prévention

Risques professionnels et qualité de vie au travail dans les crèches : les pratiques de prévention Petite enfance Risqes professionnels et qalité de vie a travail dans les crèches : les pratiqes de prévention Rédaction : Emmanelle PARADIS, Chef de projet «Prévention des risqes professionnels», por CIDES

Plus en détail

MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR, DE L'OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES Connaître Rédire Aménager Informer

Plus en détail

Email Academy 2012. Florence Consultant 231 Route des Camoins 13011 Marseille Siret : 43214620700035 - N formateur : 93130994113

Email Academy 2012. Florence Consultant 231 Route des Camoins 13011 Marseille Siret : 43214620700035 - N formateur : 93130994113 Email Academy 2012 L'emailing et les noveax canax internet La législation de l'emailing et des bases de données Vendre par l'emailing Améliorer la délivrabilité de ses emailing Développer son email en

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2 EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2 Version 1.3 Gide de conception et de mise en œvre H12347.3 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié en Mai, 2014

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS Version 1.3 Gide de conception et de mise en œvre H12387.3 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié en Mai, 2014 EMC estime

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW

EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW Version 1.2 Gide de conception et de mise en œvre H12388.2 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié

Plus en détail

La complémentaire santé. des 16-30 ans CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ. adaptée à vos besoins pour faciliter votre accès aux soins :

La complémentaire santé. des 16-30 ans CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ. adaptée à vos besoins pour faciliter votre accès aux soins : La complémentaire santé des 16-30 ans CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ la réponse santé adaptée à vos besoins por faciliter votre accès ax soins : avec le tiers payant por ne pls avancer vos frais

Plus en détail

Microphones d appels Cloud avec message pré-enregistrés intégré

Microphones d appels Cloud avec message pré-enregistrés intégré Microphones d appels Clod avec message pré-enregistrés intégré Clearly better sond Modèles PM4-SA et PM8-SA Description générale Les microphones d appels nmériqes Clod de la gamme PM-SA ont été développés

Plus en détail

Votre expert en flux documentaires et logistiques. Catalogue des formations

Votre expert en flux documentaires et logistiques. Catalogue des formations Votre expert en flx docmentaires et logistiqes Cataloge des formations Qelles qe soient les entreprises, les salariés pevent sivre, a cors de ler vie professionnelle, des actions de formation professionnelle

Plus en détail

Plan de formation pour l Ordonnance sur la formation professionnelle initiale réalisateur publicitaire

Plan de formation pour l Ordonnance sur la formation professionnelle initiale réalisateur publicitaire 79614 Plan de formation por l Ordonnance sr la formation professionnelle initiale réalisater pblicitaire Partie A Compétences opérationnelles Partie B Grille horaire Partie C Procédre de qalification Partie

Plus en détail

Étudier si une famille est une base

Étudier si une famille est une base Base raisonnée d exercices de mathématiqes (Braise) Méthodes et techniqes des exercices Étdier si ne famille est ne base Soit E n K-espace vectoriel. Comment décider si ne famille donnée de vecters de

Plus en détail

Les qualifications INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES. Forage géothermique. Solaire thermique. Aérothermie et géothermie

Les qualifications INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES. Forage géothermique. Solaire thermique. Aérothermie et géothermie INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES Les qalifications Edition jillet 2014 Solaire thermiqe Forage géothermiqe Solaire photovoltaïqe Bois énergie Aérothermie et géothermie Les énergies renovelables : des

Plus en détail

AVEC LA DOUANE PRODUIRE EN FRANCE. # produireenfrance. Présentation des entreprises participant aux tables rondes. Octobre 2014 - Bercy

AVEC LA DOUANE PRODUIRE EN FRANCE. # produireenfrance. Présentation des entreprises participant aux tables rondes. Octobre 2014 - Bercy 16 Octobre 2014 - Bercy PRODUIRE EN FRANCE AVEC LA DOUANE Présentation des entreprises participant ax tables rondes # prodireenfrance Live tweet sr le compte officiel de la doane @doane_france la doane

Plus en détail

PRÉSENTATION DU CONTRAT

PRÉSENTATION DU CONTRAT PRÉSENTATION DU CONTRAT 2 L ASSURANCE VIE UN FANTASTIQUE OUTIL DE GESTION PATRIMONIALE Le fait qe l assrance vie soit, depis plsiers décennies, le placement préféré des Français n est certes pas le frit

Plus en détail

pour toute la famille

pour toute la famille La gamme santé solidaire por tote la famille CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ Nos sommes ne vraie mtelle à bt non lcratif. À tot moment, nos vos en donnons les preves : pas de sélection à l entrée

Plus en détail

JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE

JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE Diocèses de Paris, Nanterre, Créteil et Saint-Denis JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE FAITES DE VOS BIENS

Plus en détail

annexes circulaire interministérielle n DGUHC 2007-53 du 30 novembre 2007

annexes circulaire interministérielle n DGUHC 2007-53 du 30 novembre 2007 annexes circlaire interministérielle n DGUHC 2007-53 d 30 novembre 2007 relative à l accessibilité des établissements recevant d pblic, des installations overtes a pblic et des bâtiments d habitation Annexes

Plus en détail

La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS. Un nouveau service pour faciliter les paiements

La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS. Un nouveau service pour faciliter les paiements La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS TIPI Titres Payables par Internet Un novea service por faciliter les paiements Un moyen de paiement adapté à la vie qotidienne TIPI :

Plus en détail

La Communauté d Agglomération agit pour le Développement Durable. Petit guide des éco-gestes au bureau

La Communauté d Agglomération agit pour le Développement Durable. Petit guide des éco-gestes au bureau gide_eco:gide eco-gest 07/12/2010 10:40 Page 1 La Commnaté d Agglomération agit por le Développement Drable Petit gide des éco-gestes a brea gide_eco:gide eco-gest 07/12/2010 10:40 Page 2 Épisement des

Plus en détail

MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA

MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA Ade Hbrecht, Fabienne Gerra To cite this version: Ade Hbrecht, Fabienne Gerra. MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE

Plus en détail

Le travail c est la santé... bien se positionner devant son écran, c est aussi la conserver!

Le travail c est la santé... bien se positionner devant son écran, c est aussi la conserver! Santé et travail sr poste informatisé bonnes postres et bonnes pratiqes Le travail c est la santé... bien se positionner devant son écran, c est assi la conserver! www.simt.fr Santé et prévention a bénéfice

Plus en détail

mettez le casque et savourez votre calme! Réduction active des bruits de fond (ANC):

mettez le casque et savourez votre calme! Réduction active des bruits de fond (ANC): & pls03/ 2014 Une conversation de vive voix en dit pls qe mille corriers électroniqes Page 3 Série Jabra Evolve Pages 4 5 Micros-casqes UC Pages 6 7 freevoice SondPro 355 Page 8 Jabra PRO925/935 Page 9

Plus en détail

Mesures générales de prévention pour l utilisation des fardeleuses

Mesures générales de prévention pour l utilisation des fardeleuses la fardelese Les fardeleses, machines semi-atomatiqes d emballage de palettes, assi nommées palettisers o «wrapeses» sont d sage corant dans le secter de l imprimerie. On s en sert por envelopper d ne

Plus en détail

L e mobilier, le matériel et le linge au r estaurant

L e mobilier, le matériel et le linge au r estaurant Technologie (baccalaréat Professionnel) L e mobilier, le matériel et le linge a r estarant 1 : L e m o b i l i e r 1. 1 - L e m o b i l i e r d e s t i n é à l a c l i e n t è l e 1.1.1 - Dimensions et

Plus en détail

Préparez tous vos événements de l année en quelques clics!

Préparez tous vos événements de l année en quelques clics! Cataloge 014 Préparez tos vos événements de l année en qelqes clics! 600 événements packagés à réserver Des prix fixes, tot compris et affichés sr les sites 1 000 artistes et prestataires professionnels

Plus en détail

par Jacques RICHALET Directeur société ADERSA

par Jacques RICHALET Directeur société ADERSA Commande prédictive par Jacqes RICHALET Directer société ADERSA 1. Les qatre principes de la commande prédictive... R 7 423 2 1.1 Modèle interne... 2 1.2 Trajectoire de référence... 3 1.3 Strctration de

Plus en détail

Université du Québec en Abitibi~e

Université du Québec en Abitibi~e Université d Qébec en Abitibi~e Etde des besoins forxlalœntax des personnes diabétiqes d secter de Rcyn-Norarrla selon le modèle de soins de Virginia Hen:ierson par Brigitte Gagnon Kiyan:la Rapport de

Plus en détail

concernant la déclaration d impôt Impôt cantonal et communal Impôt fédéral direct

concernant la déclaration d impôt Impôt cantonal et communal Impôt fédéral direct CANTON DE VAUD Administration cantonale des impôts GUIDE 2013 concernant la déclaration d impôt Impôt cantonal et commnal Délai por le renvoi de la déclaration : 15 mars 2014 Impôt fédéral direct Simplifiezvos

Plus en détail

Système isolateur de ligne de haut-parleurs

Système isolateur de ligne de haut-parleurs Systèmes de commnications Système isolater de ligne de hat-parlers Système isolater de ligne de hat-parlers www.boschsecrity.fr Fornit des bocles de hat-parler redondantes por les systèmes de sonorisation

Plus en détail

Réalisez des simulations virtuelles avec des outils de test complets pour améliorer vos produits

Réalisez des simulations virtuelles avec des outils de test complets pour améliorer vos produits SOLIDWORKS Simlation Réalisez des simlations virtelles avec des otils de test complets por améliorer vos prodits SOLUTIONS DE SIMULATION SOLIDWORKS Les soltions de simlation SOLIDWORKS permettent à tot

Plus en détail

Guide pratique du recours au procureur de la République

Guide pratique du recours au procureur de la République les gides d pôle national de ltte contre l habitat indigne Dihal - ltter contre l habitat indigne : gide pratiqe d recors a procrer de la Répbliqe - mars 2013 Ltter contre l habitat indigne : Gide pratiqe

Plus en détail

Enregistreur numérique Divar

Enregistreur numérique Divar Vidéo Enregistrer nmériqe Divar Enregistrer nmériqe Divar www.boschsecrity.fr Versions 6, 9 et 16 voies Technologie en option Enregistrement, lectre et archivage simltanés Contrôle des caméras AtoDome

Plus en détail

SALLE PLENIÈRE : 10h00 12H00

SALLE PLENIÈRE : 10h00 12H00 4 MERCREDI 21 JANVIER 2015 SALLE PLENIÈRE : 10h00 12H00 g, (Paris), (Nice) Epidémiologie des infections à HPV. Vaccination préventive et thérapetiqe. Recommandations Françaises. (Paris) Vaccination HPV

Plus en détail

À VOS CÔTÉS QUI COMPTENT DANS LES MOMENTS RAPPORT D ACTIVITÉ 2014-2015 DEVELOPPONS ENSEMBLE L ESPRIT D EQUIPE

À VOS CÔTÉS QUI COMPTENT DANS LES MOMENTS RAPPORT D ACTIVITÉ 2014-2015 DEVELOPPONS ENSEMBLE L ESPRIT D EQUIPE À VOS CÔTÉS DANS LES MOMENTS QUI COMPTENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2014-2015 DEVELOPPONS ENSEMBLE L ESPRIT D EQUIPE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE INSURANCE EST AU CŒUR DE LA STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT DU GROUPE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE,

Plus en détail

Montages à plusieurs transistors

Montages à plusieurs transistors etor a men! ontages à plsiers transistors mplificaters à plsiers étages Dans de nombrex amplificaters, on cerce à obtenir n grand gain, ne impédance d entrée élevée (afin de ne pas pertrber la sorce d

Plus en détail

en chiffres : 1000 Clients en 5 ans. 97% De satisfaction. 100 Agences événementielles qui nous font confiance.

en chiffres : 1000 Clients en 5 ans. 97% De satisfaction. 100 Agences événementielles qui nous font confiance. Cataloge 2015 SHOwPACK & CO en chiffres : Visels : Base Showpack & Co et Thinkstock 1000 Clients en 5 ans. 97% De satisfaction. 100 Agences événementielles qi nos font confiance. Des partenaires AMEX,

Plus en détail

AMC2 - (Contrôleur d'accès modulaire - Access Modular Controller)

AMC2 - (Contrôleur d'accès modulaire - Access Modular Controller) Engineered Soltions AMC2 - (Contrôler d'accès modlaire - Access Modlar Controller) AMC2 - (Contrôler d'accès modlaire - Access Modlar Controller) www.boschsecrity.fr Gestion intelligente des accès por

Plus en détail

VRM Video Recording Manager

VRM Video Recording Manager Vidéo VRM Video Recording Manager VRM Video Recording Manager www.boschsecrity.fr Stockage réparti et éqilibrage de la configrable Basclement sr n enregistrer de secors iscsi en cas de défaillance, por

Plus en détail

ISC-PDL1-W18x Détecteurs TriTech Série Pro

ISC-PDL1-W18x Détecteurs TriTech Série Pro Systèmes d'alarme intrsion ISC-PDL-W8x Détecters TriTech Série Pro ISC-PDL-W8x Détecters TriTech Série Pro www.boschsecrity.fr Covertre de détection 8 m x 5 m, avec ne sélection de covertre rédite à 8

Plus en détail

Logiciel Bosch Video Management System v3.

Logiciel Bosch Video Management System v3. Vidéo Logiciel Bosch Video Management System v3. Logiciel Bosch Video Management System v3. www.boschsecrity.fr Système de gestion vidéo client/server Gestion des tilisaters, gestion des alarmes, srveillance

Plus en détail

Conettix D6100IPv6. Systèmes d'alarme intrusion Conettix D6100IPv6. www.boschsecurity.fr

Conettix D6100IPv6. Systèmes d'alarme intrusion Conettix D6100IPv6. www.boschsecurity.fr Systèmes d'alarme intrsion Conettix D6100IPv6 Conettix D6100IPv6 www.boschsecrity.fr Jsq'à 3 200 raccordements en résea local (LAN) o étend (WAN) Dex lignes por les commnications de résea téléphoniqe commté

Plus en détail

Bosch Video Management System v.4

Bosch Video Management System v.4 Vidéo Bosch Video Management System v.4 Bosch Video Management System v.4 www.boschsecrity.fr Système de gestion vidéo client/server Gestion optimale des alarmes inclant des niveax de priorité et ne répartition

Plus en détail

Maxwell 10. Administration

Maxwell 10. Administration Maxwell 10 Administration Conten Conten Aperç........................................................................... 4 Connexions....................................................................................

Plus en détail

TRANSLATION ET VECTEURS

TRANSLATION ET VECTEURS TRNSLTION ET VETEURS 1 sr 17 ctivité conseillée ctivités de grope La Translation (Partie1) http//www.maths-et-tiqes.fr/telech/trans_gr1.pdf La Translation (Partie2) http//www.maths-et-tiqes.fr/telech/trans_gr2.pdf

Plus en détail

SAVERNE. Couleurs d été. Politique de la ville. Dossier. Retrouvez toutes les informations locales sur internet www.saverne.

SAVERNE. Couleurs d été. Politique de la ville. Dossier. Retrouvez toutes les informations locales sur internet www.saverne. N 27-2015 SAVERNE Colers d été Dossier Politiqe de la ville L E M A G A Z I N E M U N I C I P A L D E S S A V E R N O I S Retrovez totes les informations locales sr internet www.saverne.fr Nméros d rgence

Plus en détail

Marché à procédure adaptée (Article 28 du CMP)

Marché à procédure adaptée (Article 28 du CMP) Marché à procédre adaptée (Article 28 d CMP) Rénovation de la salle Egène DELACROIX Marché 08/203 02/05/203 Nom et adresse de l organisme acheter Chambre de Métiers et de l Artisanat d Val d Oise avene

Plus en détail

DINION IP 7000 HD. Vidéo DINION IP 7000 HD. www.boschsecurity.fr. Capteur CMOS jour/nuit 1/2,7" avec balayage progressif

DINION IP 7000 HD. Vidéo DINION IP 7000 HD. www.boschsecurity.fr. Capteur CMOS jour/nuit 1/2,7 avec balayage progressif Vidéo DINION IP 7000 HD DINION IP 7000 HD www.boschsecrity.fr Capter CMOS jor/nit 1/2,7" avec balayage progressif Hate résoltion 1080p, format HD La rédction intelligente d brit permet de diminer de 30

Plus en détail

Instructions complémentaires

Instructions complémentaires Canton de Vad Instrctions complémentaires concernant la propriété immobilière 2013 Impôt cantonal et commnal Impôt fédéral direct Renseignements : 021 316 00 00 info.aci@vd.ch Délai général por le renvoi

Plus en détail

Conettix D6600 Récepteur/passerelle

Conettix D6600 Récepteur/passerelle Systèmes d'alarme intrsion Conettix D6600 Récepter/passerelle Conettix D6600 Récepter/passerelle www.boschsecrity.fr 32 lignes por les commnications sr le résea téléphoniqe pblic commté (RTPC) avec adio

Plus en détail

Commande prédictive des systèmes non linéaires dynamiques

Commande prédictive des systèmes non linéaires dynamiques Rébliqe Algérienne Démocratiqe et olaire Ministère de l Enseignement Sérier et de la Recherche Scientifiqe Université Molod Mammeri de Tizi-Ozo Faclté de Génie Electriqe et Informatiqe Déartement Atomatiqe

Plus en détail

DINION capture 5 000. Vidéo DINION capture 5 000. www.boschsecurity.fr. La technologie DINION 2X génère des images nettes, cohérentes et précises

DINION capture 5 000. Vidéo DINION capture 5 000. www.boschsecurity.fr. La technologie DINION 2X génère des images nettes, cohérentes et précises Vidéo DINION captre 5 000 DINION captre 5 000 www.boschsecrity.fr La technologie DINION 2X génère des images nettes, cohérentes et précises Night Captre Imaging System garantit n fonctionnement 24 heres

Plus en détail

Français CE1. Corrigés. Rédaction : Nicolas Olivier MOREAU, conseiller pédagogique. Coordination : Frank GROSSHANS, chef de projet

Français CE1. Corrigés. Rédaction : Nicolas Olivier MOREAU, conseiller pédagogique. Coordination : Frank GROSSHANS, chef de projet Français CE1 Corrigés Réaction : Nicolas Olivier MOREAU, conseiller péagogiqe Coorination : Fran GROSSHANS, chef e projet Ce cors est la propriété Cne. Les images et textes intégrés à ce cors sont la propriété

Plus en détail

FLEXIDOME IP starlight 7000 VR

FLEXIDOME IP starlight 7000 VR Vidéo www.boschsecrity.fr Excellentes performances par faible lminosité (sensibilité à la coler de 0,017 lx) Analyse de la scène basée sr le conten por optimiser le traitement des images La rédction intelligente

Plus en détail

DIVAR AN 3000 960H RT APP. Vidéo DIVAR AN 3000. www.boschsecurity.fr. 960H RT haute résolution sur sortie HDMI

DIVAR AN 3000 960H RT APP. Vidéo DIVAR AN 3000. www.boschsecurity.fr. 960H RT haute résolution sur sortie HDMI Vidéo www.boschsecrity.fr 960H RT APP 960H RT hate résoltion sr sortie HDMI Prise en charge des périphériqes mobiles (ios, Android) Notification des alarmes à distance Fonction résea por la visalisation,

Plus en détail

Centrale B8512G. Systèmes d'alarme intrusion Centrale B8512G. www.boschsecurity.fr

Centrale B8512G. Systèmes d'alarme intrusion Centrale B8512G. www.boschsecurity.fr Systèmes d'alarme intrsion Centrale B8512G Centrale B8512G www.boschsecrity.fr Grâce à l'intégration totale de la détection d'intrsion, de l'alarme incendie et d contrôle d'accès, ne sele interface sffit

Plus en détail

Easy Series Système de sécurité

Easy Series Système de sécurité Systèmes d'alarme intrsion Easy Series Système de sécrité Easy Series Système de sécrité www.boschsecrity.fr Prend en charge jsq'à 32 points d'entrée L'analyse intelligente des alarmes pemert la rédction

Plus en détail

Les mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007

Les mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée

Plus en détail

Dome Conference HD. Vidéo Dome Conference HD. www.boschsecurity.fr. Résolutions HD 1080p et 720p. Sortie standard HD-SDI

Dome Conference HD. Vidéo Dome Conference HD. www.boschsecurity.fr. Résolutions HD 1080p et 720p. Sortie standard HD-SDI Vidéo Dome Conference Dome Conference www.boschsecrity.fr Résoltions 1080p et 720p Zoom x160 (optiqe x10/nmériqe x16) Sortie standard -SDI Contrôle et configration via Ethernet Option ligne de trame por

Plus en détail

LBC 341x/0 - Enceintes

LBC 341x/0 - Enceintes Systèmes de commnications LBC 41x/ - Enceintes LBC 41x/ - Enceintes www.boschsecrity.fr Reprodction vocale et msicale hate fidélité Plage de fréqences étende Entrées 8 ohms et 1 V réglables Enceinte compacte

Plus en détail

juillet 2011 N 304 Bonnes vacances à Décines! Les équipements à l heure d été A L AFFICHE p.14 Forum des associations, samedi 17 septembre

juillet 2011 N 304 Bonnes vacances à Décines! Les équipements à l heure d été A L AFFICHE p.14 Forum des associations, samedi 17 septembre jillet 2011 N 304 A L AFFICHE p.14 Bonnes vacances à Décines! Les éqipements à l here d été Form des associations, samedi 17 septembre BLOC notes MAIRIE Place Roger Salengro BP175-69151 Décines cedex.

Plus en détail

Solutions de Verrouillage Électronique et Monnayeurs

Solutions de Verrouillage Électronique et Monnayeurs Soltions de Verroillage Électroniqe et Monnayers MONNAYEURS OMEGA 100 Boîtier en acrylonitrile btadiène styrène (ABS) Utilisation en environnement sec Fonction retor de pièce 2 clés nickelées Jsq à 3000

Plus en détail

LBC 14xx/x0 U40 - Atténuateurs, et LBC 1431/10 - Sélecteur de sources

LBC 14xx/x0 U40 - Atténuateurs, et LBC 1431/10 - Sélecteur de sources Systèmes de commnications LBC 14xx/x0 U40 - Atténaters, et LBC 1431/10 - Sélecter de sorces LBC 14xx/x0 U40 - Atténaters, et LBC 1431/10 - Sélecter de sorces www.boschsecrity.fr Versions 12 W, 36 W et

Plus en détail

Quick Start Guide Touch Tone Capture. Guide de démarrage rapide Saisie à l aide du clavier

Quick Start Guide Touch Tone Capture. Guide de démarrage rapide Saisie à l aide du clavier Qick Start Gide Toch Tone Captre Gide de démarrage rapide Saisie à l aide d clavier 1 Getting Started To help yo get started, this gide otlines some of the most common transactions for the Toch Tone Captre

Plus en détail

A gauche Toute! UNIs et unies pour. changer vraiment

A gauche Toute! UNIs et unies pour. changer vraiment Page 2 Page 4-5 Page 6 Page 7 Page 7 Points forts «Nos volons ne vraie gache de gache!» Les candidat(e)s «A Gache tote!» a Grand Conseil Les jenes sans papiers assi ont droit à ne formation LES PERMANENCES

Plus en détail

EVALUATION PARTIELLEMENT SEQUENTIELLE DES OPTIONS A BARRIERE

EVALUATION PARTIELLEMENT SEQUENTIELLE DES OPTIONS A BARRIERE EVALUATION PARTIELLEMENT SEQUENTIELLE DES OPTIONS A BARRIERE Jean-Clae AUGROS Professer à l'isfa Université Clae Bernar Lyon I Bât 0 ISFA 43, B novembre 98 69622 Villerbanne CEDEX Michaël MORENO Allocataire

Plus en détail

Catalogue formations

Catalogue formations Cataloge formations Le Centre de Formation Alpix Notre vocation n est pas de transmettre n savoir, mais de commnier n savoir-faire. Qi sommes nos? Alpix, n partenaire de alité Depis pls de 20 ans, Alpix

Plus en détail

LOT N 06 : MENUISERIES INTERIEURES Construction d une maison médicale CIVRY 28200 Cahier des Clauses Techniques Particulières (C.C.T.P.

LOT N 06 : MENUISERIES INTERIEURES Construction d une maison médicale CIVRY 28200 Cahier des Clauses Techniques Particulières (C.C.T.P. Commnaté de commnes des plaines et vallées dnoises Constrction d ne maison médicale CIVRY 28200 Cahier des Clases Techniqes Particlières (C.C.T.P.) Page 1 Sommaire 1. CONSISTANCE DES TRAVAUX 2. TRAVAUX

Plus en détail

Semaine du Cerveau, 15-21 mars 2010. Programme

Semaine du Cerveau, 15-21 mars 2010. Programme Semaine du Cerveau, 15-21 mars 2010 Programme Lundi 15 mars 18h : Ouverture par François Chollet, Directeur de l Institut des Sciences du Cerveau de Toulouse (invitation Mairie, Conseil Régional, Conseil

Plus en détail

Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Automatique

Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Automatique Vidéo Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Atomatiqe Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Atomatiqe www.boschsecrity.fr Optiqe de hate qalité Constrction fiable et robste Format d'image 1/3" avec coande DC

Plus en détail

GRANDE ÉCOLE GÉNÉRALISTE CENTRE DE RECHERCHE INTERNATIONAL

GRANDE ÉCOLE GÉNÉRALISTE CENTRE DE RECHERCHE INTERNATIONAL UNE ET UN GRANDE ÉCOLE GÉNÉRALISTE CENTRE DE RECHERCHE INTERNATIONAL EN SCIENCES ET TECHNOLOGIES DE L INFORMATION A GRADUATE ENGINEERING SCHOOL AND AN INTERNATIONAL RESEARCH CENTRE IN INFORMATION AND COMMUNICATION

Plus en détail

mentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.

mentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux. Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Encodeur vidéo VideoJet X20/X40 XF E H. 264

Encodeur vidéo VideoJet X20/X40 XF E H. 264 Vidéo Encoder vidéo VideoJet X20/X40 XF E H.264 Encoder vidéo VideoJet X20/X40 XF E H. 264 www.boschsecrity.fr Vidéo H.264 de hate qalité sr IPv4 et IPv6 Encodage d débit adaptatif compatible avec la bande

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Le logiciel EduAnatomist.

Le logiciel EduAnatomist. Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,

Plus en détail

Comment pratiquer le tiers payant complémentaire avec la MSA?

Comment pratiquer le tiers payant complémentaire avec la MSA? agir ensemble Comment pratiqer le tiers payant avec la MSA? n Hospitalisation et soins externes www.msa.fr COMMENT PRATIQUER LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE avec la MSA? EN CAS D HOSPITALISATION y compris

Plus en détail

2004 70 Logements en réhabilitations PALULOS Façades de gaine technique grilles ventilation haute / ventilation basse à poser u

2004 70 Logements en réhabilitations PALULOS Façades de gaine technique grilles ventilation haute / ventilation basse à poser u ANNEE DENOMINATION NOM OPERATION DESIGNATION ARTICLES Q P TOTAL 2003 EQUIPEMENT PUBLIC MAISON DOUILLET portes pleines por local techniqe 2003 EQUIPEMENT PUBLIC MAISON DOUILLET Bloc Porte cope-fe 1/2 h

Plus en détail

Fonction dont la variable est borne d intégration

Fonction dont la variable est borne d intégration [hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.

Plus en détail

Votre solution de gestion et de sécurisation des postes de travail

Votre solution de gestion et de sécurisation des postes de travail Vtre sltin de gestin et de sécrisatin des pstes de travail Les entreprises, de tte tailles et de ts secters, deviennent de pls en pls dépendantes de ler résea infrmatiqe pr assrer ler rentabilité et accrître

Plus en détail

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat

Plus en détail

Dynamique du point matériel

Dynamique du point matériel Chaptre III Dynaqe d pont atérel I Généraltés La cnéatqe a por objet l étde des oveents des corps en foncton d teps, sans tenr copte des cases q les provoqent La dynaqe est la scence q étde (o déterne)

Plus en détail

La spirale de Théodore bis, et la suite «somme=produit».

La spirale de Théodore bis, et la suite «somme=produit». Etde d e vrite de l spirle de Théodore, dot issce à e site dot les sommes prtielles sot égles x prodits prtiels. Mots clés : spirle de Théodore, théorème de Pythgore, site, série, polyôme. L spirle de

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

CENTRE HOSPITALIER DE GUINGAMP. 17 rue d Armor 22 205 GUINGAMP. Tél 02 96 32 21 04. Tél 02 96 61 42 38 Fax 02 96 61 42 37

CENTRE HOSPITALIER DE GUINGAMP. 17 rue d Armor 22 205 GUINGAMP. Tél 02 96 32 21 04. Tél 02 96 61 42 38 Fax 02 96 61 42 37 17 re d Aror 22 205 GUINGAMP Tél 02 96 32 21 04 Maitre d Œvre : Didier COLDEFY Architecte DPLG 7, bd de la Cone 22000 SAINT-BRIEUC Tél 02 96 61 42 38 Fax 02 96 61 42 37 Mise en service incendie d service

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

RNV3P Recherche de pathologies émergentes

RNV3P Recherche de pathologies émergentes EPSP Ecole Doctorale Ingénierie Santé Cognition Environnement RNV3P Recherche de pathologies émergentes V Bonneterre, L Faisandier, DJ Bicout, R De Gaudemaris pour les membres du RNV3P Laboratoire Environnement

Plus en détail

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités

Plus en détail

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan

Plus en détail

u THÉÂTRE OLYMPE DE GOUGES

u THÉÂTRE OLYMPE DE GOUGES THÉÂTRE OLYMPE DE GOUGES & EURYTHMIE saison 2013-2014 Tote la programmation sr www.montaban.com Théâtre Olympe de Goges - Erythmie Informations 05 63 21 02 40 ÉDITO SISON THÉÂTRLE 2013-2014 Madame, Mademoiselle,

Plus en détail

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l

Plus en détail

Introduction à l informatique temps réel Pierre-Yves Duval (cppm)

Introduction à l informatique temps réel Pierre-Yves Duval (cppm) Introduction à l informatique temps réel Pierre-Yves Duval (cppm) Ecole d informatique temps réel - La Londes les Maures 7-11 Octobre 2002 -Définition et problématique - Illustration par des exemples -Automatisme:

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

LES TROUBLES DU GRAPHISME LA RÉÉDUCATION: QUAND ET COMMENT PASSER PAR L ORDINATEUR?

LES TROUBLES DU GRAPHISME LA RÉÉDUCATION: QUAND ET COMMENT PASSER PAR L ORDINATEUR? LES TROUBLES DU GRAPHISME LA RÉÉDUCATION: QUAND ET COMMENT PASSER PAR L ORDINATEUR? BUJWID Alexandra Ergothérapeute SMPRE CRTLA CHU RENNES Octobre 2012 L écriture est un geste complexe L écriture est une

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

RESTRUCTURATION DE 4 LOGEMENTS DANS L ANCIEN PRESBYTERE A HAUT DU THEM - CHATEAU-LAMBERT (70440)

RESTRUCTURATION DE 4 LOGEMENTS DANS L ANCIEN PRESBYTERE A HAUT DU THEM - CHATEAU-LAMBERT (70440) RESTRCTRATION DE 4 LOGEMENTS DANS L ANCIEN PRESBYTERE A HAT D THEM - CHATEA-LAMBERT (70440) MAITRISE D OVRAGE Commne de HAT D THEM CHATEA-LAMBERT 3, Re de la Vierge 70440 HAT D THEM CHATEA-LAMBERT tel.

Plus en détail