Les syndromes d apnées centrales du sommeil. Du diagnostic au traitement

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les syndromes d apnées centrales du sommeil. Du diagnostic au traitement"

Transcription

1 Les syndromes d apnées centrales du sommeil Du diagnostic au traitement Thibaut Gentina Laboratoire du sommeil Pneumologie Clinique de la Louvière - Lille La Rochelle SAV 2014

2 Les Syndromes d Apnées Centrales du sommeil I- Nosologie Diagnostic positif II- Physiopathologie Diagnostic étiologique III- Cas particulier de l insuffisance cardiaque IV- Traitements en dehors de l IC La Rochelle SAV 2014

3 SAS Central : Nosologie Diagnostic Positif Description polygraphique : - Déterminer la nature centrale de l évènement - Déterminer le % d évènements d origine centrale - Préciser la répartition des évènements centraux

4 SAS Central : Nosologie Diagnostic Positif Diagnostic polygraphique : - Déterminer la nature centrale de l évènement - Déterminer le % d évènements d origine centrale - Préciser la répartition des évènements centraux

5 Différents types de SAS

6 Actualisation des règles de scorage AASM 2007 RCP 2010 AASM

7 Règles de scorage d une hypopnée RCP 2010 : Soit - une diminution > 50% d un signal de débit validé - une diminution < 50% ou aspect de plateau inspiratoire + désaturation > 3% et/ou micro-éveil AASM définitions - Recommandée : Diminution > 20% du signal de P nasale + désaturation > 4% - Définition alternative : Diminution > 50% du signal de débit de P nasale, + désaturation > 3% et/ou micro-éveil AASM Up date 2012 : 1 seule définition Diminution > 30% du signal de P nasale, de durée > 10 secondes + désaturation > 3% et/ou micro-éveil Berry J Clin Sleep Med 2012 :8:

8 Hypopnées centrales ou obstructives? AASM 2012 Une hypopnée peut être scorée comme obstructive si l un des critères suivants est présent : - Existence de ronflements pendant l évènement - Accentuation de limitation de débit inspiratoire - Décalage de phase thoraco-abdominale, s il n existait pas avant l évènement

9 Hypopnée centrale = Diagnostic indirect Hypopnée obstructive Hypopnée centrale

10 Respiration de Cheyne-Stokes Au moins 3 cycles consécutifs de respiration cyclique crescendo decrescendo Durée d un cycle > 10 secondes ET au moins 1 des critères suivants : - > 5 apnées ou hypopnées centrales / heure - Durée de la respiration cyclique crescendo decrescendo > 10 min NB : Courbe de désaturation sinusoïdale et régulière

11 41 patients Double lecture à l aveugle - PSG (Algoritme étude) - PSG + Pression oesophagienne

12

13

14 SAS Central : Nosologie Diagnostic Positif Description polygraphique : - Déterminer la nature centrale de l évènement - Déterminer le % d évènements d origine centrale - Préciser la répartition des évènements centraux

15 Définition du SAS central 1- > 5 apnées ou hypopnées par heure de sommeil +/- une respiration de Cheyne-stokes 2- Prédominance d évènements centraux > 50% d évts respiratoires d origine centrale Pour d autres, > 70%, voire même > 80% des événements d origine centrale Yumino et al, Boutin et al, 2009

16 SAS Central : Nosologie Diagnostic Positif Description polygraphique : - Déterminer la nature centrale de l évènement - Déterminer le % d évènements d origine centrale - Préciser la répartition des évènements centraux

17 Apnées centrales avec RPCS Apnées centrales avec respiration «ataxique»

18 Cas particulier : Les SAS mixtes ou alternants SAS Mixte SAS mixte «Alternant»

19 Les syndromes d apnées centrales du sommeil I- Nosologie Diagnostic positif II- Physiopathologie Diagnostic étiologique III- Cas particulier de l insuffisance cardiaque IV- Traitements en dehors de l IC

20 = Instabilité de la commande = Diminution de commande

21 1- SAS centraux physiologiques Contrôle ventilatoire : Rappel physiologique Chémo-récepteurs centraux - Site : Face ventrale du bulbe - Détection des ions H+ du LCR (reflet ph et PaC02 sang) - Augmentation H+ = Stimulation de la ventilation Groupe respiratoire dorsal - Contrôle diaphragme - Respiration de repos Groupe respiratoire ventral - M intercostaux et abdominaux - Respiration à l effort Chémo-recepteurs périphériques : - Site : Glomus carotidiens et aortiques - Détection PaO2 - Diminution de Pa02 = Stimulation de la ventilation

22 Respiration et sommeil SAS centraux physiologiques 1- Diminution de la chemo-sensibilité à l O2 et CO2 de 20 à 50% = Diminution de la ventilation alvéolaire csq : Augmentation PaC à 8 mmhg Diminution Pa02-3 à 10 mmhg Baisse de SpO2-2% 2- La valeur de PaCO2 pour laquelle la ventilation augmente est plus haute qu à l éveil La pente de relation entre la ventilation et la PaCO2 diminue Boutin I, Revue de Pneumologie clinique, 2009

23 SAS centraux physiologiques

24 2- SAS centraux hypocapniques : = Instabilité de la commande

25 2- SAS centraux hypocapniques : = Instabilité de la commande

26 SASC et IC : Physiopathologie 1- Augmentation du temps de circulation Source: Yumino, Bradley, Proc Am Thorax Soc, 2008

27 SASC et IC : Physiopathologie 2- Théorie du «fluid shift» - Mouvement des fluides = Répartition des fluides (Volume d eau extra-vasculaire) en position de décubitus dorsal Bradley J Physiol 2013 Accumulation de fluides vers le thorax = Augmentation de la Pression Capillaire Pulmonaire SAS Central Accumulation de fluides vers le cou = Augmentation de la Pression extra luminale SAS Obstructif

28 Yumino Circulation 2010 Théorie du «fluid shift» - Mouvement des fluides Modifications du périmètre cervical en décubitus dorsal et effets sur : - FEVG - IAH chez des patients IC Retentissement sur l IAH surtout dans les SAS centraux

29 Théorie du «fluid shift» - Mouvement des fluides Kasai Circulation 2012 Effet moindre chez la femme IC (sur l IAH et FEVG) = Vaisseaux abomino-pelviens de grande capacitance

30 Etude de l effet d Apport de NaCL sur l IAH chez des patients IC n = 54 patients Insuffisants cardiaques

31 SASC et IC : Physiopathologie 3- Autre particularité liée au sexe Prévalence des Apnées centrales dans l IC différente selon le sexe Hommes : 40 % Femmes < 60 ans : 18% Mais augmente > 60 ans (période de post ménopause) Rôle protecteur de la progestérone sur l instabilité ventilatoire: = diminution de l instabilité ventilatoire en sommeil NREM

32 SASC et IC : Physiopathologie «Cercle vicieux du SAS de l IC»

33 2- SAS centraux hypocapniques : = Instabilité de la commande

34 SAS central d altitude Sujets Sains +++ Action préventive de la Dexaméthasone (Test à J2-2 fois 8mg le soir) - Stimulation de l activité sympathique - Modification de l architecture du sommeil (SLP et REM)

35 SAS central d altitude Sujets Sains +++ PLOS ONE 2013

36 SAS central d altitude 34 Patients SAOS non traités sans PPC

37 SAS central d altitude 7 patients SAOS sous auto-ppc En cas de SAOS sous Auto-PPC : Privilégier la mode PPC fixe en altitude

38 2- SAS centraux hypocapniques : = Instabilité de la commande

39 SAS central Idiopathique Clinique : Insomnie, somnolence Non obèse, peu ronfleur Des cycles courts (20 sec.- 40sec.) Éveil à la fin de l apnée Désaturations peu sévères Prédominant en stade 1 et 2 Mécanisme Réponse ventilatoire au CO2 augmentée Traitement : Acétazolamide (2 études non randomisées)

40 SAS central Idiopathique : Facteur positionnel?

41

42 «Complex Sleep Apnea Syndrome» Lors du diagnostic : Syndrome d apnées/hypopnées de type obstructif (SAOS) Morgenthaler TI, Sleep 2006 Etude rétrospective sur 223 patients, 34 SAS complexes => Prévalence de 15%! Endo Y, 2008 : Etude rétrospective sur 1312 patients, 66 SAS complexes => Prévalence de 5% Lors de la 1 ière nuit de titration sous PPC : Syndrome d apnées/hypopnées de type central (SAC) et/ou respiration de Cheyne Stokes

43 Apnées centrales et RP Prédominance en de fin de nuit

44 Evolution naturelle des apnées centrales sous PPC Prévalence du Comp SAS Nuit de Titration : 6,5% 3 mois : 1,5% The prevalence and natural history of complex apnea. J Clin sleep Med 2009

45 SAS complexe «Comp-SAS» Quels facteurs de risque prédictifs?

46 SAS complexe «Comp-SAS» Quels facteurs de risque prédictifs? Curr treat options Neurol 2008 Sep10(5)336-41

47 SAS complexe «Comp-SAS» : Physiopathologie 1- Correction des AO et de l hypoventilation par la PPC générant une «vidange du CO2» et une hypocapnie en dessous du seuil apnéique 2- Pressions délivrées par la PPC trop élevées induisant des Apnées centrales (en cas d IC) 3- La déstructuration du sommeil sous PPC (fuites, variations de pressions) induit des accès d hyperventilation Gilmartin - Curr Opin Pulm Med 2005

48 = Diminution de commande

49 SAS central et Substances Opiacées Prévalence = 10 15% Effet dose dépendant Morgenthaler, JCSM, 2008

50 Respiration Ataxique Eckert, Chest, 2007

51 SAS central et Substances Opiacées Respiration ataxique sous opiacés Effet dose

52 SAS central et Substances Opiacées Action des opïodes sur les récepteurs du complexe de Botzinger Dépression respiratoire et allongement du temps expiratoire Suppression de l activité du M Génioglosse Apnées de nature Centrale ET Obstructive

53 SAS Central : quel bilan? GDS (PCO2) Revoir le traitement médicamenteux Evaluation cardiologique Evaluation neurologique : Examen neurologique systématique Imagerie cérébrale au moindre doute Si bilan négatif : SAS central idiopathique Boutin et al., 2009

54 Les syndromes d apnées centrales du sommeil I- Nosologie II- Physiopathologie - Etiologies III- Cas particulier de l insuffisance cardiaque IV- Traitements en dehors de l IC Cours de perfectionnement CPLF 2011 Lille Session Sommeil

55 Cas particulier : Troubles Respiratoires du sommeil de l insuffisance Cardiaque 1. Particularités cliniques 2. SAS obstructif et IC 3. SAS central et IC 4. SAS mixte et IC

56 Prévalence du SAS dans l insuffisance cardiaque Javaheri, Clin Chest Med, 2010

57 SAS et IC : Particularités cliniques SAS Central SAS Obstructif BMI Normal +++ Somnolence Sommeil Nbx éveils- Sommeil agité Peu de somnolence Diminution du TTS Somnolence Artz Arch Inter Med 2006 Hyperstimulation sympathique : Activité cérébrale adrénergique éveillante GdS Hypocapnie - PaCO2 < 35 mmhg Tendance Hypercapnique FEVG < 40%

58 SAS et IC Hétérogénéité des évènements respiratoires nocturnes Eckert et al. Progress in Cardiovascular Diseases 2009

59 SAS et IC : Particularités polygraphiques Variabilité inter nuit : - de l IAH - Particulièrement de l IAH central Vazir, Respir Med, 2008

60 Pronostic du SAS dans IC T damy ERJ Fail 2012 n = 384 patients FEVG < 45% - Suivi 6 mois Lié à la sévérité du SAS Indépendant du type de SAS Obstructif ou Central

61 Pronostic du SAS dans IC : Amélioration par la ventilation (PPC ASV) n = 384 patients FEVG < 45% 31 % de patients ventilés : CPAP ASV (Comp SAS, SAS central non corrigé par CPAP) Observance > 3 heures La ventilation du SAS améliore le pronostic de l IC La ventilation du SAS de type obstructif améliore le pronostic de l IC T damy ERJ Fail 2012

62 Cas particulier : Ventilation auto-asservie des Troubles Respiratoires du sommeil de l insuffisance Cardiaque 1. Particularités cliniques 2. SAS obstructif et IC 3. SAS central et IC 4. SAS mixte et IC

63 SAOS et IC : Quel mode ventilatoire proposer?

64 SAOS et IC PPC et IC : Particularités et précautions 1. Effets de la PPC sur le débit cardiaque 2. Evènements respiratoires d origine centrale induits par la PPC : SAS Complexe

65 Effets de la PPC sur le débit cardiaque SAS et IC : Contre-indication - des Hautes Pressions - des PPC Autopilotées

66 FEVG < 40%

67 Pas d effet hémodynamique délétère de la CPAP dans l IC (FEVG <40%) pour des valeurs de 4 à 10 cmh20

68 SAOS et IC SAOS et IC en résumé Dans l Insuffisance cardiaque, Le traitement du SAOS conditionne le pronostic de l IC Seule la PPC fixe est utilisable - La PPC autopilotée est conte indiquée Les hautes pressions appliquées par la PPC ont un effet délétère sur le débit cardiaque Limiter les pressions max : P < 10 cm20 Haute prévalence de SAS complexe

69 Cas particulier : Ventilation auto-asservie des Troubles Respiratoires du sommeil de l insuffisance Cardiaque 1. Particularités cliniques 2. SAS obstructif et IC 3. SAS central et IC 4. SAS mixte

70 SAS Central et IC : Prise en charge Bradley, Circulation 2003 Pépin, Sleep Med Rev 2006

71 Ventilation du SAS CENTRAL dans l IC Aucune recommandation sur le SAS central

72 3 mode Ventilatoires possibles : PPC VNDP ASV

73 SASC et IC : PPC Constante Amélioration de la survie? NON! Peut-être pour les Répondeurs! CANPAP Bradley, NEJM, 2005 Analyse post-hoc Artz, Circulation, 2007

74 SASC IC et ASV : Principe de fonctionnement Ventilation à 2 niveaux de Pression. Délivrant une AIDE INSPIRATOIRE AI VARIABLE Algorithmes spécifiques selon les machines disponibles Débit Patient Pression Délivrée PEP Fréquence de sécurité «automatique» (8-30 BPM) par défaut - Dépend du % de respirations spontanées du patient : - Plus le % de respiration spontanée diminue, plus la fréquence minimale automatique augmente

75 Ventilation asservie IC et SACS-RCS * Teschler H, AJRCCM, 2001* Pepperell JC, AJRCCM, 2003** Philippe C, Heart, 2006*** ** Observance (h/j) Δ de variation Osler (min) BNP (pg/ml) Metadrenalin (nmol) Placebo VSC * -56.0* p< * ***

76 IC et SACS-RCS Ventilation asservie IAH FEVG

77 Ventilation asservie IC et Troubles respiratoires complexes (SASC SAOS RCS) RanderathWJ, Sleep Med, 2008* Javaheri, ERS 2009 Kasai T, circulation 2010** * IAH/h = 46,4+/-4 22,4+/-4 4+/-1 n = 14 patients, 3 nuits consécutives ** n = 32 3 mois Comparatif PPC vs ASV

78 Ventilation asservie dans l IC diastolique Bitter Eur Resp J 2010 Amélioration de : - Données échographiques - VO2

79 Ventilation asservie - SAS et IC Etudes de morbi-mortalié en cours - SERVE HF : SAS Central et IC Etude multicentrique internationale Période d inclusion terminée (n=1200) - FACE : SAS Central et IC Suivi de patients IC + SACS traités par autoset CS en pratique courante - Etude française - ADANCED HF : SAS Central ou Mixte et IC Période d inclusion en cours

80 Etude rétrospective FEVG < 45% SAS Central (IAH 25-30/h) ASV CS II : PEP 5 - AI = % > 4h

81 Amélioration de : - FEVG - BNP «Effet dose»

82 > 4h 1 à 4h < 1h

83 Ventilation du SAS dans IC CONCLUSION SAS Obstructif SAS Mixte SAS Central + RCS PPC Fixe PPC fixe Ventilation Asservie En cas d échec

84 Les syndromes d apnées centrales du sommeil I- Nosologie II- Physiopathologie - Etiologies III- Cas particulier de l insuffisance cardiaque IV- Traitements en dehors de l IC SAV La Rochelle

85 Ventilation des SASC en dehors de l IC = Instabilité de la commande

86 Etude rétrospective n= 74 patients SASC + RCS hypocapniques 36 mmhg 35 mmhg 9 AVC 5 CompSA 1 Charcot Marie Tooth 2 HTAP 1 Dystrophie 1 Narcolepsie 1 Parkinson 21 Idiopathiques

87

88 = Diminution de commande

89 Ventilation asservie et opiacés 21 patients ( > 100 mg de morphines) Durée 3 mois Servo Ventilation Versus CPAP Therapy in Chronic Pain Patients with Sleep Disordered Breathing P. Wylie Poster APSS 2013

90 ASV : Alternative à la PPC Diminution de la commande Hypoventilation Forme hypercapnique Instabilité de la commande Hyperventilation Forme normo-hypocapnique «won t breathe» Défaillance de la commande centrale Pathologie congénitale (Syndrome d Ondine) Traumatisme,Tumeurs (tronc cérébral) Substances opiacées (dose dépendant /10-50% des cas) Syndrome obésité hypoventilation «can t breathe» Défaillance de la commande périphérique Pathologies neuromusculaires : (Myasthénie, SLA ) Cyphoscliose Endormissement Haute altitude SAS Complexe Idiopathique Insuffisance cardiaque Mode : AI VS + PEP + Fqce de sécurité Mode : Servo-ventilation - ASV

91

Groupe 1 somnovni 12/12/14

Groupe 1 somnovni 12/12/14 Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas

Plus en détail

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil TEXTE COURT DU RAPPORT D ÉVALUATION TECHNOLOGIQUE Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil Mai 2012 Service évaluation des

Plus en détail

Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble

Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Troubles de la vigilance au travail Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Sandrine Launois-Rollinat Patrick Lévy, Jean-Louis Pépin,

Plus en détail

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement

Plus en détail

Traitement des troubles respiratoires du sommeil en cas d insuffisance cardiaque

Traitement des troubles respiratoires du sommeil en cas d insuffisance cardiaque Traitement des troubles respiratoires du sommeil en cas d insuffisance cardiaque BiPAP autosv Advanced Auteurs : S. Coughlin, B. Favier et F. Abdenbi Prévalence des troubles respiratoires du sommeil chez

Plus en détail

Une solution simple pour vos patients complexes

Une solution simple pour vos patients complexes Une solution simple pour vos patients complexes L appareil de ventilation mécanique leader du marché, le System One BiPAP autosv Advanced, simplifie le traitement des patients souffrant de troubles respiratoires

Plus en détail

Séminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18

Séminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18 Séminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18 Lundi 18 Octobre 2010 (Responsable MF Vecchierini )

Plus en détail

Quand doit-on passer d une PPC à une VNI???

Quand doit-on passer d une PPC à une VNI??? Quand doit-on passer d une PPC à une VNI??? 2émes Journées Pratiques Respiration Sommeil 24 et 25 Septembre 2010, Montpellier Dr L. LEROUSSEAU Service de pneumologie, CHG d Antibes Juan les Pins Dr D.

Plus en détail

Diagnostic et Monitoring de la pathologie respiratoire du sommeil en 2010. Peut-on faire plus simple?

Diagnostic et Monitoring de la pathologie respiratoire du sommeil en 2010. Peut-on faire plus simple? Diagnostic et Monitoring de la pathologie respiratoire du sommeil en 2010 Peut-on faire plus simple? Dr Dan Adler, Février 2011 Plan Diagnostic du SAHOS Vers moins de technologie Vers de nouvelles technologies

Plus en détail

La ventilation non invasive aux soins intensifs

La ventilation non invasive aux soins intensifs La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)

Plus en détail

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les

Plus en détail

Pathologies respiratoires du sommeil

Pathologies respiratoires du sommeil Pneumologie fondée sur les preuves : actualisations SPLF Séminaire n 5 Pathologies respiratoires du sommeil Sommaire Pathologies respiratoires du sommeil Les apnées centrales P. Escourrou (Expert), J.C.

Plus en détail

Syndrome d'apnées du Sommeil

Syndrome d'apnées du Sommeil Collaboration Labo : ASTRAZENECA Page 1 sur 7 Article de synthèse réalisé le 28 Avril 2001_Patrick Lévy, Jean Louis Pépin, Bruno Lepaulle Secteur Sommeil et Respiration. CHU Grenoble 38043 France Syndrome

Plus en détail

Orthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS

Orthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS rthèse Narval.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAS Traitement du SAS par orthèse Narval.R.M. Entre 19 et 27% 1-2 des patients apnéiques traités par pression positive continue

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

Ventilation mécanique à domicile

Ventilation mécanique à domicile RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation

Plus en détail

VNI: Pratiques actuelles et futures, monitoring

VNI: Pratiques actuelles et futures, monitoring VNI: Pratiques actuelles et futures, monitoring Dr Claudio Rabec Service de Pneumologie et Réanimation Respiratoire Centre Hospitalier Universitaire de Dijon L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière

Plus en détail

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation

Plus en détail

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation

Plus en détail

Urgent- information de sécurité

Urgent- information de sécurité Urgent- information de sécurité Risque augmenté de décès cardiovasculaire chez les patients insuffisants cardiaques chroniques symptomatiques avec une fraction d'éjection du ventricule gauche (FEVG) altérée,

Plus en détail

Comment évaluer. la fonction contractile?

Comment évaluer. la fonction contractile? Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie

Plus en détail

Quelle évaluation préthérapeutique d un patient avec SAHOS nouvellement diagnostiqué?

Quelle évaluation préthérapeutique d un patient avec SAHOS nouvellement diagnostiqué? ISSN 0761-8425 Organe Officiel de la Société de Pneumologie de Langue Française www.splf.org Numéro réalisé avec le soutien institutionnel de l Antadir Société Française de Cardiologie Maladies Revue des

Plus en détail

Maladies neuromusculaires, conséquences respiratoires, rééducation : aspects pédiatriques

Maladies neuromusculaires, conséquences respiratoires, rééducation : aspects pédiatriques Maladies neuromusculaires, conséquences respiratoires, rééducation : aspects pédiatriques Dr Anne DESCOTES MPR Unité de coordination en rééducation pédiatrique CHU Grenoble Dr Isabelle PIN pneumo pédiatre

Plus en détail

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI? Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille

Plus en détail

LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE

LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance

Plus en détail

Tronc Artériel Commun

Tronc Artériel Commun Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE

Plus en détail

Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités

Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités SECTION I DISPOSITION GÉNÉRALE 1. En vue de l'exercice des activités visées

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus

Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier

Plus en détail

UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS

UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS COllection Les rapports du 7 Les facteurs prédictifs à la désaturation nocturne chez les patients ayant une maladie pulmonaire obstructive chronique rapport UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS

Plus en détail

Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD

Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Emergency and Pre-Hospital divisions SAMU 74 INSERM UMR 955 Eq13 REVA: European Network on Mechanical Ventilation CONFLICTS OF

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Marseille 21 > 23. Novembre

Marseille 21 > 23. Novembre Marseille P a R C C H A N O T 21 > 23 Novembre 2013 PROGRAMME PROVISOIRE APPEL À COMMUNICATION INSCRIPTION Conférences plénières Le sommeil des animaux I. Tobler Syndrome d apnée : potentiel des biomarqueurs

Plus en détail

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3 Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,

Plus en détail

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans. Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,

Plus en détail

Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010

Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la

Plus en détail

Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?

Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

1. Mandat des autorités. 2. Principes pour la certification de "Centre de Médecine du Sommeil"

1. Mandat des autorités. 2. Principes pour la certification de Centre de Médecine du Sommeil Directives pour la certification de "Centres de Médecine du Sommeil" et pour l obtention du certificat pour l enregistrement de polygraphies respiratoires 1. Mandat des autorités Selon l'"ordonnance sur

Plus en détail

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

Plus en détail

Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque

Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,

Plus en détail

prise en charge médicale dans une unité de soins

prise en charge médicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3

A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 Chapitre 121 La ventilation non invasive (VNI) de l enfant A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 1. Définition La VNI se définit comme une technique destinée à augmenter la ventilation alvéolaire sans utiliser

Plus en détail

Programme de réhabilitation respiratoire

Programme de réhabilitation respiratoire Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez

Plus en détail

Recommandations pour la Pratique Clinique. Syndrome d apnées hypopnées obstructives du sommeil de l adulte

Recommandations pour la Pratique Clinique. Syndrome d apnées hypopnées obstructives du sommeil de l adulte Revue des Maladies Respiratoires (2010) 27, 806 833 Recommandations pour la Pratique Clinique Syndrome d apnées hypopnées obstructives du sommeil de l adulte Texte court Société de Pneumologie de Langue

Plus en détail

Guide SPLF à l usage des patients et de leur entourage. Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil

Guide SPLF à l usage des patients et de leur entourage. Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil Guide SPLF à l usage des patients et de leur entourage Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil Préface L annonce

Plus en détail

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique

Plus en détail

TRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.

TRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D. TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE

Plus en détail

Les définitions des saignements ACS/PCI

Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une

Plus en détail

La fonction respiratoire

La fonction respiratoire La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur

Plus en détail

TRONC COMMUN SOINS CRITIQUES : Cardiologie - Document du participant Module 2 DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS ET DES REGROUPEMENTS CLIENTÈLES

TRONC COMMUN SOINS CRITIQUES : Cardiologie - Document du participant Module 2 DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS ET DES REGROUPEMENTS CLIENTÈLES TRONC COMMUN SOINS CRITIQUES : Cardiologie - Document du participant Module 2 DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS ET DES REGROUPEMENTS CLIENTÈLES Tous droits réservés, CHUM, août 2014 1 Situation infirmière

Plus en détail

Fonctions non ventilatoires

Fonctions non ventilatoires UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA. COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste

Plus en détail

Monitoring non invasif dans l état de choc

Monitoring non invasif dans l état de choc Monitoring non invasif dans l état de choc Congrès AER - Lyon 2013 Pr Carole SCHWEBEL Réanimation Médicale - CHU Grenoble Inserm 1039 Radiopharmaceutiques Biocliniques mon intervention ne présente aucun

Plus en détail

ÉDITORIAL 3 SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) ET MORBI-MORTALITÉ CARDIOVASCULAIRE 4

ÉDITORIAL 3 SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) ET MORBI-MORTALITÉ CARDIOVASCULAIRE 4 sommeil bulletin de la société française de e t VIGILANCE recherche sur le sommeil N 13 - OCTOBRE 2004 NUMÉRO THÉMATIQUE : SYNDROME D APNÉES DU SOMMEIL ÉDITORIAL 3 SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PRISE EN CHARGE POSTOPÉRATOIRE DANS LES UNITÉS DE SOINS INTENSIFS DES PATIENTS AYANT UNE COMORBIDITÉ D APNÉE DU SOMMEIL

ÉVALUATION DE LA PRISE EN CHARGE POSTOPÉRATOIRE DANS LES UNITÉS DE SOINS INTENSIFS DES PATIENTS AYANT UNE COMORBIDITÉ D APNÉE DU SOMMEIL Et al. ÉVALUATION DE LA PRISE EN CHARGE POSTOPÉRATOIRE DANS LES UNITÉS DE SOINS INTENSIFS DES PATIENTS AYANT UNE COMORBIDITÉ D APNÉE DU SOMMEIL Rapport d évaluation 07-13 Unité d évaluation des technologies

Plus en détail

Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition

Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,

Plus en détail

VS2000V+CAPNO. Moniteur de paramètres vitaux À usage vétérinaire. Manuel d utilisation

VS2000V+CAPNO. Moniteur de paramètres vitaux À usage vétérinaire. Manuel d utilisation VS2000V+CAPNO Moniteur de paramètres vitaux À usage vétérinaire Manuel d utilisation Sommaire Information et garantie... Propriété de la notice... Limite de garantie... Rejet des garanties... Conditions

Plus en détail

Troubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009)

Troubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009) Troubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009) 1. Introduction Le sommeil est un comportement qui occupe 1/3 de notre temps et qui s inscrit dans un

Plus en détail

quelques points essentiels

quelques points essentiels actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile

Plus en détail

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction

Plus en détail

La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle

La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

La mesure de la réserve coronaire

La mesure de la réserve coronaire Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI

Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé

Plus en détail

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot

Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université

Plus en détail

Voies aériennes supérieures et ventilation non invasive Upper airway and noninvasive ventilation

Voies aériennes supérieures et ventilation non invasive Upper airway and noninvasive ventilation Réanimation 13 (2004) 13 20 www.elsevier.com/locate/reaurg Mise au point Voies aériennes supérieures et ventilation non invasive Upper airway and noninvasive ventilation J.-C. Glérant b, D.O. Rodenstein

Plus en détail

Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte

Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Réanimation DOI 10.1007/s13546-011-0243-1 RÉFÉRENTIEL / GUIDELINES Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Guide to skills and abilities

Plus en détail

QUI PEUT CONTRACTER LA FA?

QUI PEUT CONTRACTER LA FA? MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Le sommeil Des milliards de neurones en activité

Le sommeil Des milliards de neurones en activité Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé www.lepetitsitesante.fr A la source de l'information Santé L'actualité de la Santé et de la Recherche médicale Le sommeil Des milliards de neurones

Plus en détail

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Syndrome d apnées du sommeil : implications péri-opératoires

Syndrome d apnées du sommeil : implications péri-opératoires Syndrome d apnées du sommeil : implications péri-opératoires Samir Jaber (1), Moez El Kamel (1), Mustapha Sebbane (1), Jean- François Payen (2) (1) Service d Anesthésie-Réanimation B (SAR B), Hôpital Saint-Eloi

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail

Oxygénothérapie à domicile

Oxygénothérapie à domicile RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire et de l apnée du sommeil Oxygénothérapie à domicile

Plus en détail

SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) UN VRAI DANGER POUR LES CONDUCTEURS

SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) UN VRAI DANGER POUR LES CONDUCTEURS SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) UN VRAI DANGER POUR LES CONDUCTEURS de plusieurs nuits consécutives passées au domicile. Chez les sujets qui dorment six heures ou moins par nuit, la prévalence

Plus en détail

La migraine chronique

La migraine chronique La migraine chronique - Céphalées chroniques quotidiennes -Abus médicamenteux Avec le soutien des laboratoires Novartis Un concept en évolution 1ère classification IHS 1988 : pas de mention 1982: Mathew

Plus en détail

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses

Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients

Plus en détail

recommandations pour les médecins de famille

recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

IMMED Monitoring vidéo porté

IMMED Monitoring vidéo porté IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées

Plus en détail

Ronchopathie chronique et syndrome de l apnée-hypopnée obstructive du sommeil chez l enfant

Ronchopathie chronique et syndrome de l apnée-hypopnée obstructive du sommeil chez l enfant Orthod Fr 2003;74:000-000 1 CHAPITRE 10 Ronchopathie chronique et syndrome de l apnée-hypopnée obstructive du sommeil chez l enfant F. DE CARLOS VILLAFRANCA, J. COBO PLANA, B. DÍAZ-ESNAL,P. FERNÁNDEZ-MONDRAGÓN,

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Monitorage du CO 2 expiré Capnometry

Monitorage du CO 2 expiré Capnometry Réanimation 13 (2004) 62 70 www.elsevier.com/locate/reaurg Mise au point Monitorage du CO 2 expiré Capnometry C. Soltner, J. Huztinger, L. Beydon * Département d anesthésie réanimation, CHU d Angers, 49000

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail