Les confusions entre indice, benchmark, allocation stratégique et passive
|
|
- Élodie Robillard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les confusions entre indice, benchmark, allocation stratégique et passive Noël Amenc PhD, Professeur de Finance, Edhec Business School Directeur de la Recherche, Misys Asset Management Systems 27 Novembre 2003
2 Sommaire Benchmarks versus Indices Les arguments «indiciels» L importance du choix du benchmark Peut-on se passer d un benchmark? Conclusion
3 Benchmarks versus Indices Qu est-ce qu un benchmark? Un benchmark est un portefeuille de référence pour la gestion. A ce titre, il est représentatif des risques de la gestion sur la période de référence. Ce portefeuille sert à la fois à gérer et à évaluer la performance. Une gestion «non benchmarkée» limite le rôle du benchmark à l évaluation de la performance. Choisir un benchmark pour sa gestion, c est se fixer un objectif en termes de risques systématiques du portefeuille. Même quand la gestion se veut sans benchmark (bottom-up, absolute return ), cela ne signifie pas qu elle est sans risque. Il est donc toujours possible a postériori de reconstituer un benchmark.
4 Benchmarks versus Indices Qu est-ce qu un indice? Un indice est un portefeuille représentatif d un ou de plusieurs facteurs de risques : un indice géographique se fixe pour objectif de représenter le risque du marché boursier du pays considéré indice de style : représentatif du risque du style concerné indice sectoriel : représentatif du risque de secteur Une gestion «indexée» signifie que l indice est le benchmark du gérant.
5 Benchmarks versus Indices Les indices sont-ils de bons benchmarks? Si par «bon», on entend «représentatif du risque de la gestion» : Oui, si le gérant décide de ne pas s écarter de l indice qu il a choisi comme benchmark. Seule lui est autorisée une tracking-error faible ou pour le moins essentiellement constituée du risque spécifique des titres de son portefeuille. Non, si le gérant construit sa performance à partir d un choix de risques systématiques différents de celui du benchmark. Si par «bon», on entend «efficient», qu il n y a pas de meilleur choix possible : Non, mais est-ce l objectif d un indice? Un indice se veut représentatif d un risque. Il n est pas le «portefeuille optimal de marché» introuvable de la littérature financière (Roll, 1977).
6 Les arguments «indiciels» Les lectures «rapides» de la littérature académique Le modèle de Black-Litterman (1990) Il est bien connu que de faibles variations dans les inputs (rendements moyens, matrice de variance-covariance des actifs) entraînent de fortes variations dans les outputs (composition des portefeuilles efficients) Cette sensibilité aux conditions initiales est d autant plus dommageable qu il est difficile d estimer les moments d ordre 1 (et aussi, mais dans une moindre mesure, les moments d ordre 2) de la distribution des rentabilités des actifs avec une grande précision (Merton (1980), Jorion (1985, 1986)) Typiquement, l optimisation moyenne-variance conduit à surpondérer les classes d actifs pour lesquelles l erreur d estimation est la plus grande!
7 Les arguments «indiciels» Les lectures «rapides» de la littérature académique Le modèle de Black-Litterman (1990) - suite Black et Litterman ont proposé une méthode permettant d effectuer des optimisations moyenne-variance plus robustes L idée est d extraire des estimations des rendements moyens qui sont explicites dans la composition d un benchmark donné Ces estimations des rendements moyens sont alors utilisées comme points de référence, et les vues (paris actifs) des investisseurs sont exprimées comme des paris relatifs à ces points de référence Portée et généralité de l approche : L investisseur a également la possibilité de préciser le niveau d incertitude sur ses vues, ainsi que les corrélations éventuelles entre ses vues ; l investisseur «bayesien» est un peu mois passéiste. En revanche, l approche conserve le caractère statique et moyenne-variance propre à Markowitz.
8 Les arguments «indiciels» Les lectures «rapides» de la littérature académique La fausse contrainte de Black-Litterman Il est parfois dit que la méthode de Black-Litterman légitimait le rôle des indices de marché comme portefeuilles de référence Rien n exige en fait que le benchmark utilisé dans la méthode de Black- Litterman soit un indice de marché ; ce benchmark peut très bien être le portefeuille stratégique de référence de l investisseur Alternative à Black-Litterman : Une autre façon, moins subtile mais assez proche dans son esprit, consiste à imposer des contraintes de tracking error vis-à-vis d un indice, ou plus généralement vis-à-vis d un benchmark de référence On peut montrer que de telles contraintes de tracking error reviennent à implémenter une technique de «statistical shrinkage» (amélioration des propriétés des estimateurs par structuration du problème).
9 Les arguments «indiciels» Les lectures «rapides» de la littérature académique Les travaux «oubliés» : des indices plus efficients De récents travaux ont mis en évidence la possibilité de créer des benchmarks plus efficients que les indices de marché Par exemple, Alexander et Dimitriu (2003) proposent la réplication de la première composante principale d un ensemble de titres, plutôt qu un portefeuille équipondéré ou capi-pondéré, cr? à partir de ces titres. En s appuyant sur une estimation débruitée de la matrice de variancecovariance des titres, ils montrent que cette approche permet une meilleure stabilité et une surperformance par rapport aux benchmarks de marché Une approche polaire consiste à utiliser comme benchmark un portefeuille minimum-variance constitué à partir des titres individuels.
10 Les arguments «indiciels» Les lectures «rapides» de la littérature académique L efficience des indices «bute» aussi sur l inobservabilité du portefeuille de marché. Dans le cas du modèle de marché (CAPM) : modèle d équilibre = indice général des actifs. Cf. la critique de Roll (1977) pour lequel les indices ne sont pas représentatifs de l univers d investissement et ne tiennent pas compte des revenus liés au capital humain (salaires, stock options, etc.) Existe-t-il un indice efficient ou des modèles de construction de portefeuille efficient? Si le CAPM n est pas un bon modèle, i.e., s il existe des facteurs (par exemple, taille, B/M) autres que l exposition au rendement du marché qui commandent une prime de risque, le portefeuille optimal sera impacté par la présence de ces facteurs (cf. hedging demands dans le modèle de Merton (1971)).
11 Les arguments «indiciels» Fama, French et les autres... La logique de représentativité pour les capitalisations boursières est issue du CAPM et de l idée que le risque et la rentabilité sont liés, le risque de marché étant le seul risque pris en compte. Si l on prend en considération d autres risques, et notamment le risque de faillite plus important pour les petites capitalisations ou pour des valeurs ayant de faibles perspectives de profit (appelées à tort «value»), les portefeuilles construits ont des profils de risques différents. Cette diversification à partir d une approche multifactorielle est à la base des offres de type «enhanced indexation» et justifie le recours aux modèles multifactoriels (Fama et French, Barra etc). Dimensional Fund Advisors s est fait le promoteur de ce type d approche aux USA avec des surperformances de 400 bps / an aux indices value-weighted.
12 Les arguments «indiciels» Fama, French et les autres... Cela suppose bien entendu que la diversification s effectue sur un modèle factoriel spécifique pour les risques de l univers d investissement. Earnings / Assets ,38 Value Stock Company Size and Financial Strength Annual Data: Earnings 9,68 Growth Stock Annualized Compound Return 18,00% 16,00% 14,00% 12,00% 10,00% 8,00% 6,00% 4,00% 2,00% 0,00% Returns 16,85% Value Stocks 12,25% Growth Stocks Earnings / Assets Earnings 4,16 6,2 Annualized Compound Return 18,00% 16,00% 14,00% 12,00% 10,00% 8,00% 6,00% 4,00% 2,00% 0,00% Returns 16,12% 12,25% Small Stocks Large Stocks Small Stocks Large Stocks Source: Dimensional Fund Advisors Inc., April 2001
13 Les arguments «indiciels» Les indices sont des choix de risques particuliers La logique de représentativité n est pas une logique de «pureté» Exposition du DJ EURO STOXX 50 aux secteurs Juin 96 à Fev 00 Mars 00 à Nov 03 DJ EURO STOXX ES BASIC MATS. - PRICE INDEX 1,03% 9,94% DJ EURO STOXX ES CNS. NON. CYC. - PRICE INDEX 8,19% 10,60% DJ EURO STOXX ES CNS. CYCLICAL - PRICE INDEX 21,57% 1,37% DJ EURO STOXX ES ENERGY - PRICE INDEX 11,74% 15,00% DJ EURO STOXX ES FINANCIAL - PRICE INDEX 20,00% 24,60% DJ EURO STOXX ES HEALTHCARE - PRICE INDEX 0,00% 0,67% DJ EURO STOXX INDUSTRIAL - PRICE INDEX 0,00% 0,00% DJ EURO STOXX ES TECHNOLOGY - PRICE INDEX 13,40% 15,74% DJ EURO STOXX ES TELECOM. - PRICE INDEX 20,54% 12,58% DJ EURO STOXX ES UTILITIES - PRICE INDEX 3,53% 9,49% Source: Edhec Risk and Asset Management Research Centre (2003) Analyse d exposition effectuée selon une analyse RBSA par approche de régression contrainte de W. Sharpe (1992)
14 Les arguments «indiciels» Les indices sont des choix de risques particuliers La logique de représentativité n est pas une logique de «pureté» Exposition du DJ EURO STOXX 50 aux styles growth et value Mars 00 à Nov 03 Juin 96 à Fev 00 0% 20% 40% 60% 80% 100% MSCI EUROPEAN UNION :V - TOT RETURN IND MSCI EUROPEAN UNION :G - TOT RETURN IND Source: Edhec Risk and Asset Management Research Centre (2003) Analyse d exposition effectuée selon une analyse RBSA par approche de régression contrainte proposée par W. Sharpe (1992)
15 Les arguments «indiciels» Les indices sont des choix de risques particuliers La logique de représentativité ne peut pas toujours être appréhendée par un critère simple et objectif comme les capitalisations boursières L exemple des indices de style: Table 2. List of Competing Indexes for each Style Style List of competing indexes Small Cap Small Cap Growth Small Cap Value Mid Cap Mid Cap Growth Mid Cap Value Large Cap Large Cap Growth Large Cap Value IIA, Fama French, S&P BARRA, Dow Jones US, Russell, Wilshire IIA, Fama French, Russell, S&P BARRA, Dow Jones US, Wilshire IIA, Fama French, Russell, S&P BARRA, Dow Jones US, Wilshire IIA, S&P BARRA, Russell, Dow Jones US, Wilshire Russell, S&P BARRA, Dow Jones, Wilshire Russell, S&P BARRA, Dow Jones, Wilshire IIA, S&P BARRA, Fama French, Russell, Dow Jones US, Wilshire IIA, Fama French, Russell, S&P BARRA, Dow Jones US, MSCI, Wilshire IIA, Fama French, Russell, S&P BARRA, Dow Jones US, MSCI, Wilshire
16 Les arguments «indiciels» Les indices sont des choix de risques particuliers Hétérogénéité des indices actions Style Maximum Return Differential Small Cap (Feb 00: IIA (-4.04) / Dow Jones Indexes (24.50)) Small Cap Growth (Feb00 : IIA (1.56) / Dow Jones Indexes (33.34)) Small Cap Value (Jan01 : Fama French (0.774) / Dow Jones Indexes (18.71)) Mid Cap (Feb00 : Russell (-4.18) / Wilshire (13.90)) Mid Cap Growth (Dec91 : S&P Barra (14.45) / Russell (0.00)) Mid Cap Value 8.99 (Dec91 : S&P Barra (8.99) / Russell (0.00)) Large Cap (Sept98 : Dow Jones Indexes -0.62) / IIA (6.947)) Large Cap Growth (Feb01 : Dow Jones indexes (-18.36) / S&P Barra (11.75)) Large Cap Value (Sept90 : Russell (-13.20) / IIA (-2.21)) This table provides the maximum monthly return difference between competing indices for the same style Source: Edhec Risk and Asset Management Research Centre, 2003
17 Les arguments «indiciels» Les indices sont des choix de risques particuliers Figure 2. Heterogeneity Index Hétérogénéité des indices 0,180 0,160 0,155 0,162 0,140 0,131 0,120 0,114 0,114 0,100 0,104 0,102 0,080 0,073 0,060 0,040 0,025 0,020 0,000 Small Cap Small Cap Growth Small Cap Value Mid Cap Mid Cap Growth Mid Cap Value Large Cap Large Cap Growth Large Cap Value Source: Edhec Risk and Asset Management Research Centre, 2003 L indice d hétérogénéité est calculé à partir des corrélations entre chaque indice d une même catégorie de style. Ainsi, pour chaque catégorie, un indicateur (HI) est déterminé par différence entre 1 et la valeur du coefficient de corrélation inter-catégorie. Si HI=0, cela signifie donc que la catégorie est parfaitement homogène.
18 Les arguments «indiciels» Les indices sont des choix de risques particuliers Dans l univers alternatif, la complexité des stratégies et l opacité des fonds exacerbent le problème. Les indices de style de hedge-funds souffrent à la fois de problèmes de représentativité et de pureté (cf. Amenc, Martellini , et Vaissié ).
19 Les arguments «indiciels» Les fausses évidences empiriques Le «data mining» de John Bogle (ou l art de choisir la période pour dénoncer ses petits camarades ) Managed Fund Risk-Adusted Return Average Value Blend Growth Large 17,79% 0,23% 11,95% Medium 11,23% 6,91% 24,32% Small -4,85% 32,88% 158,96% Managed Fund Risk-Adusted Return Average Value Blend Growth Large -20,13% -16,79% -18,37% Medium -22,58% -22,83% -19,28% Small -28,57% -16,96% 9,52% Source: Minor (2001)
20 Les arguments «indiciels» Les fausses évidences empiriques Plus généralement, la sous-performance constatée d un grand nombre de fonds est plus liée à l aversion à la perte des investisseurs qu à la fatalité ou l efficience des indices. Ainsi, une étude célèbre de Dalbar (1996) sur les investisseurs US montre que leur souci d éviter le risque de faillite par le stock picking a pour conséquence une sous-performance annuelle de 10% par rapport au S&P500.
21 L importance du choix du benchmark Strategy Benchmarks Les poids «normaux» ou neutres Le benchmark est considéré dans la littérature académique et professionnelle sur l analyse et la gestion de portefeuille comme le portefeuille constitué des poids «normaux» ou neutres sur la période d analyse. Bailey, Richard et Tierney (1990) ont formalisé cette approche par : avec P=B+(P-B)=B+A B : Benchmark A : Position Active si M est un indice de marché, on peut écrire : P=M+(B-M)+A=M+S+A où S est l exposition au style du benchmark, et donc du marché.
22 L importance du choix du benchmark Strategy Benchmarks Les qualités d un benchmark (Bailey et alii, 1990, Bailey 1992) Non ambigu Investissable Mesurable Approprié Reflète les vues de l investisseur Spécifié à l avance Kuenzi distingue deux cas de gestion (2003) : «PBC disciplines» : le gérant n a pas de biais stratégique en dehors des indices (M=B donc S=0) «MS Strategy» : le gérant a un biais stratégique (M?B donc S?0)
23 L importance du choix du benchmark Strategy Benchmarks Le choix d un benchmark cohérent avec la stratégie conditionne la surperformance et sa mesure. Le tableau présente l impact du choix de sociétés à faible ratio d endettement sur la composition sectorielle d un benchmark stratégique vs S&P500 Published Index Sector Weights/Risk Controls and Those implied by Strategy (1) (2) (3) (4) (5) (6) S&P 500 Maximum Minimum Strategy Difference Risk Limits Weights Exposure Exposure Weight Strat - S&P Energy 3,57% +/- 7,5% 11,07% 0,00% 12,15% 8,58% Matrials 5,78% +/- 7,5% 13,28% 0,00% 1,68% -4,10% Industrials 11,80% +/- 7,5% 19,30% 4,30% 4,55% -7,25% Consumer Discrt 15,27% +/- 7,5% 22,77% 7,77% 11,75% -3,52% Consumer Stpls 11,65% +/- 7,5% 19,15% 4,15% 6,70% -4,95% Health Care 11,60% +/- 7,5% 19,10% 4,10% 22,34% 10,74% Financials 17,02% +/- 7,5% 24,52% 9,52% 5,07% -11,95% Info Technology 12,83% +/- 7,5% 20,33% 5,33% 34,84% 22,00% Telecom Services 3,20% +/- 7,5% 10,70% 0,00% 0,92% -2,28% Utilities 7,28% +/- 7,5% 14,78% 0,00% 0,00% -7,28% Source: "Strategy Benchmarks", David E. Kuenzi, The Journal of Portfolio Management, Winter 2003
24 L importance du choix du benchmark Strategy Benchmarks Attribution Example Using a Published and a Strategy Benchmark Using Published Benchmark Using Strategy Benchmark Outperformance of Technology Sector 10% 10% Portfolio Technology Exposure 23% 25% Benchmark technology Exposure 15% 25% Overweight (Portfolio Exposure - Index Exposure) 10% 0% Outperformance Attribuable to Technology Exposure * 1% 0% * Calculated as Overweight X Outperformance Source: "Strategy Benchmarks", David E. Kuenzi, The Journal of Portfolio Management, Winter 2003
25 L importance du choix du benchmark Strategy Benchmarks Return, Standard Deviation, and Sharpe Ratio Comparison - S&P500, S&P/BARRA Growth, and Strategy Benchmark (Annualized from Full Period 4/97-3/02 3 Years 4/97-3/00 2 Years 4/00-3/02 Monthly Data) S&P500 Growth Strategy S&P500 Growth Strategy S&P500 Growth Strategy Geometric Total Return 10,19% 10,15% 10,27% 27,43% 35,76% 37,78% -11,39% -19,50% -21,05% Standard Deviation 17,72% 20,55% 22,69% 17,43% 20,89% 19,42% 16,52% 20,89% 24,28% Sharpe Ratio 0,31 0,24 0,24 1,07 1,29 1,69 NM NM NM Source: "Strategy Benchmarks", David E. Kuenzi, The Journal of Portfolio Management, Winter 2003 Return, Standard Deviation, and Sharpe Ratio Comparison - S&P500, S&P/BARRA Growth, and Strategy Benchmark Full Period 4/97-3/02 3 Years 4/97-3/00 2 Years 4/00-3/02 versus S&P500 versus Growth versus S&P500 versus Growth versus S&P500 versus Growth Beta 1,20 1,08 1,04 1,03 1,41 1,14 Alpha -0,97% -0,27% 7,27% 0,80% -4,68% 1,69% Total Tracking Error 8,55% 5,31% 7,12% 5,15% 9,64% 5,61% Residual Tracking Error 7,75% 5,08% 7,09% 5,13% 6,82% 4,82% Information Ratio -0,13-0,05 1,03 0,16-0,69 0,35 Source: "Strategy Benchmarks", David E. Kuenzi, The Journal of Portfolio Management, Winter 2003
26 L importance du choix du benchmark L étude de Brinson, Singer, Beebower (1991) L étude de Brinson, Singer, Beebower (1991) analyse les causes de la variation de performance du portefeuille sur longue période en comparant les évolutions trimestrielles du portefeuille avec celles des classes d actifs dans lesquelles il est investi. L étude ne conclut que sur une évidence : quand les marchés représentatifs des classes d actifs dans lesquelles est investi le portefeuille s apprécient, le portefeuille voit sa valeur croître (quand l eau monte, le bateau monte!). Explication des variations de rendement sur longue période Explication des variations de rendement sur longue période 1,8% 2,1% 4,6% 91,5% Strategic Asset Allocation Market Timing Autres Stock Picking Source : Brinson, Beebower, Singer (1991)
27 L importance du choix du benchmark L étude de Brinson, Singer, Beebower (1991) Et pourtant, les professionnels s évertuent à lui en faire dire beaucoup plus Les mauvaises interprétations de l étude Brinson, Singer & Beebower étude de Nutall et Nutall (1998) Le pourcentage des auteurs qui interprètent mal l'œuvre de Brinson, en étant une solution à la relation entre l'allocation d'actifs et le niveau de rendement. Par exemple : Une étude suggère que plus de 91 % du rendement d'un 75% portefeuille est attribuable à son mix de classes d'actifs. Dans cette étude, la sélection d'actions individuelles et le market timing représentaient ensemble moins de 7 % du rendement d'un portefeuille diversifié." Vanguard Group Le pourcentage des auteurs qui interprètent mal l'œuvre de Brinson, en étant une solution aux conséquences du choix d'une politique d'allocation d'actifs par rapport à une autre. Par exemple : Une étude sur les gestionnaires de fonds de pension, 10% largement citée, démontre que 91,5 % de la différence entre les performances de deux portefeuilles distincts est due à l'allocation d'actifs." Fidelity Investments Autres citations erronées 13% Le pourcentage des auteurs qui ont cité Brinson avec précision 2% (seulement une interprétation juste)
28 L importance du choix du benchmark L étude de Brinson, Singer, Beebower (1991) La bonne question que n ont pas abordée Brinson, Singer & Beebower et qui a été posée par Ibbotson et Kaplan (2000) est celle de l explication de la différence entre les fonds. Explication des différences de rendement entre les fonds 3,5% 11,0% 40,0% Strategic Asset Allocation 45,5% TacticalAsset Allocation Stock Picking Fees Source : Edhec (2002) and Ibbotson, Kaplan (2000)
29 L importance du choix du benchmark L étude de Brinson, Singer, Beebower (1991) En 1997, Singer, en réponse aux critiques de l étude de 1991, admet que lorsque les valeurs de rentabilité et de risques s éloignent significativement de celles justifiant l allocation initiale, il convient de modifier cette dernière. L allocation stratégique n est pas synonyme d immobilisme.
30 L importance du choix du benchmark Comment évaluer le choix du benchmark? Le choix d un benchmark stratégique est une valeur ajoutée que les mesures traditionnelles du talent du gérant ne prennent pas en compte. L alpha est défini comme une capacité à surperformer le benchmark par le market timing et/ou le stock picking. Dans un article récent, Kuenzi (2003) a tenté de proposer une mesure de la valeur ajoutée du choix du benchmark par le gérant : Le benchmark doit être comparé à un indice de référence qui l englobe L indice de référence doit pouvoir minimiser sur longue période la tracking-error du benchmark Le changement de style conditionnera le choix d un benchmark et d une tracking-error.
31 Peut- on se passer d un benchmark? Peut-on se passer de stratégie? Les gestions en rentabilité absolue ont souvent un benchmark qui est le taux sans risque. Le choix d un benchmark est au cœur d un grand nombre de technologies de construction de portefeuille (optimisation relative). C est le choix d un benchmark qui, pour une même série de paris ou de prévisions, déterminera la rentabilité ajustée du risque du portefeuille. Choix du benchmark et performance du portefeuille. Benchmark Euribor 1 month EuroStoxx 50 50%/50% Benchmark Benchmark TAA Portfolio Benchmark TAA Portfolio Benchmark TAA Portfolko Cumulative Return 12.12% 27.52% % % % % Annualised Return 3.82% 8.28% % % -8.80% -3.91% Annualised Volatility 0.25% 5.55% 25.73% 22.45% 12.84% 10.08% Sharpe NA % Negative Returns NA 13.89% 61.11% 61.11% 38.89% 47.22% Worst Monthly Drawdown NA -3.39% % % -7.55% -6.56% Annualised Tracking Error NA NA NA 5.61% NA 5.64% Information Ratio NA NA NA NA Source: Amenc, Malaise, Sfer, Martellini (2003). Résultats d un portefeuille géré en Tactical Style Asset Allocation (Eurostoxx50 versus cash). Travaux de recherche soutenus par Eurex.
32 Peut- on se passer d un benchmark? Peut-on se passer de stratégie? Le choix d un benchmark est le fondement d un process de délégation de gestion. Sans choix de benchmark, il ne peut y avoir de fixation pour l investisseur d un niveau de risque. Plus généralement, en présence d une rémunération fondée sur la surperformance, l absence d un benchmark peut conduire à des prises de risque de la part du gérant peu compatibles avec le profil et l aversion au risque de l investisseur (Basak, Pavlova & Shapiro, 2003).
33 Peut- on se passer d un benchmark? Le benchmark n interdit pas d être actif Il est difficile de battre le marché si on ne s en éloigne pas! Grinold et Kahn (2000) ont montré qu il était totalement inefficace de rechercher des managers sans leur laisser de liberté de décision. Les fortes contraintes de tracking-error ne laissent la place qu à des paris sur des risques diversifiables et non rémunérés La mise en place d une approche core-satellite rend compatible le respect d un benchmark et les bénéfices d une allocation active du portefeuille.
34 Peut- on se passer d un benchmark? Comment implémenter la gestion active? La mauvaise interprétation de la loi fondamentale de la gestion active (Grinold, 1989, Clarke, de Silva et Thorley, 2002) IR = IC IR = TC(IC N N) IC n est pas identique selon que l on travaille sur les styles, les secteurs, les classes ou les titres. La faiblesse de IC dans le cas du stock picking relativise l intérêt d une multiplication des positions(n) ou d un desserrement des contraintes (TC). L excès de rendement ne compense alors pas la tracking-error.
35 Conclusion Le choix du benchmark est une source essentielle de performance ajustée du risque. Le benchmark est au cœur du process d investissement des asset managers Européens. Which investment process do you favour? (Europe) 33% Country France Germany UK A top/down approach separating the strategic and tactical allocation phase from the stock picking stage 100% 75% 37% An opportunitic approach based on stock selection without reference to a process or to asset allocation constraints 0% 0% 0% A bottom up approach based on stock selection with allocation constraints 0% 25% 63% 3% 64% Percentage is established based on number of responses, eleven percent of respondents did not answer this question. A top/down approach separating the strategic and tactical allocation phase from the stock picking stage Source: Edhec European Asset Management Practices Survey 2003 An opportunistic approach based on stock selection without reference to a process or to asset allocation constraints A bottom up approach based on stock selection with allocation constraints
36 Conclusion Malheureusement, celui-ci est trop souvent assimilé à un indice ou ne fait pas l objet pour sa construction de l attention que justifierait son influence sur le risque et la performance du portefeuille. Is portfolio composition for one or more asset classes, categories or styles based on: 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Optimisation of absolute risk basedon a mean-variance approach Optimisation of absolute risk basedon a mean-var approach An approach based on a minimum acceptable level of riskor return The minimisation of volatilityrisk The minimisation of extreme risk A relative riskapproachcompared to a benchmark that represents the long-term allocation policy No quantitative methods for optimisation Others France Germany United Kingdom Others Europe
37 Références Amenc, N., P. Malaise, L. Martellini and D. Sfeir, October 2003, Portable alpha and portable beta strategies in the Euro zone Implementing active asset allocation decisions using equity index options and futures (preliminary version), Edhec Risk and Asset Management Research Centre, working paper. Amenc N., and L. Martellini, 2002, The brave new world of hedge fund indices, USC / Edhec Risk and Asset Management Research Centre, working paper. Bailey, J. V., Spring 1992, Are manager universes acceptable performance benchmarks?, The Journal of Portfolio Management, pp Bailey, J. V., T. M. Richards and D. E. Tierney, 1990, Benchmarks portfolios and the manager/plan sponsor relationship, in Frank J. Fabozzi and T. Dessa Fabozzi eds., Current Tropics in Investment Management, New York: Harper Collins, pp Basak S., A., Pavlova, and A., Shapiro, April 2003, Offsetting the incentives: Risk shifting and benefits of benchmarking in money management, MIT Sloan School of Management, working paper Black, F., and R. Litterman, 1990, Asset allocation: combining investor views with market equilibrium, Goldman Sachs, Quantitative Research Group.
38 Références Bogle, J., The Implication of Style Analysis for Mutual Fund Performance Evaluation, The journal of Porfolio Management, Summer 1998,pp Brinson G. P., B. D. Singer and G. L. Beebower, May-June 1991, Determinants of portfolio performance II : An update, Financial Analysts Journal. Clarke R., H. de Silva and S. Thorley, September/October 2002, Portfolio construction and the fundamental law of active management, Financial Analysts Journal, pp Dalbar study, 1996, Quantitative analysis of investor behavior, Fourth Quarter Update. Dimensional Fund Advisors Inc., April 2001 Dimitriu, A., and C., Alexander, 2003, Common trends, mean reversion and herding: sources of abnormal returns in equity returns, working paper, ISMA Center Edhec, 2003, Edhec European Asset Management Practices Survey, Edhec Risk and Asset Management Research Center Fama E. F., and K. R., French, 1992, The cross-section of expected stock returns, The Journal of Finance, 47, pp Grinhold R. C., Spring 1989, The fundamental law of active management, The Journal of Portfolio Management, pp
39 Références Grinold R. C. and R. N., Kahn, 2000, Active Portfolio Management : A Quantitative Approach for Producing Superior Returns and Controlling Risk, Irwin, 2e éd. Ibbotson R. G., and P. D., Kaplan, January-February 2000, Does asset allocation policy explain or 100 percent of performance?, The Financial Analysts Journal, January- February. Jorion, P., 1985, International portfolio diversification with estimation risk, Journal of Business, 58, Jorion, P., 1986, Bayes-Stein estimation for portfolio analysis, Journal of Financial and Quantitative Analysis, 21, 3, Kuenzi D. E., Winter 2003, Strategy benchmarks, The Journal of Portfolio Management, pp Merton, R., 1980, On estimating the expected return on the market: an exploratory investigation, Journal of Financial Economics, 8, Merton R. C., 1971, Optimal Consumption and Portfolio Rules in a Continuous-Time Model, Journal of Economic Theory, 3, Minor D. B., Summer 2001, Beware of index fund fundamentalists, The Journal of Portfolio Management.
40 Références Nuttall J. A., 1998, Asset Allocation Claims Truth or Fiction?, Unpublished. Roll R., 1977, A critic of the asset pricing theory s test, The Journal of Financial Economics, Singer B., October 1997, Asset Allocation, Hoaxes, and the Creation of Straw Men, Journal of Financial Planning. Sharpe W. F., 1992, Asset allocation: Management style and performance measurement, Journal of Portfolio Management, vol. 18, Winter, p Vaissié M., 2003, Une analyse détaillée des méthodes de construction et des principes de gestion des indices de hedge funds, Edhec Risk and Asset Management Research Centre, working paper.
Les Benchmarks dans la Gestion d Actif 27 Novembre 2003
Les Benchmarks dans la Gestion d Actif 27 Novembre 2003 Construction de Benchmarks et Risk Profiling Lionel Martellini Risk and Asset Management Research Center, EDHEC Graduate School of Business lionel.martellini@edhec.edu
Plus en détailBest Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions
Stratégie Best Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions La recherche des primes de risque constitue une stratégie relativement courante sur les marchés obligataires
Plus en détailBCGE. Profession de foi de la BCGE
L investissement en entreprise Profession de foi de la BCGE Septembre 2012 Sommaire 1. La BCGE est bien placée pour connaître les entreprises 2. La performance est produite par l économie réelle et ses
Plus en détailDynAmiser vos investissements
DynAmiser vos investissements Aequam en quelques mots Jeune entreprise indépendante et innovante Agréée AMF n GP-10000038 Incubée par le Pôle Sponsorisée par Fondatrice de Savoir-faire / Innovation 5 associés
Plus en détailGestion de Portefeuille. Mesures de Performance Ajustées du Risque
Gestion de Portefeuille Mesures de Performance Ajustées du Risque Le Ratio de Sharpe La mesure de performance (ajustée du risque) la plus utilisée Rappel: Propriétés du ratio de Sharpe Mesure de la stratégie:
Plus en détailTable des matières. l a r c i e r
Chapitre 1 Introduction... 1 1.1. Objectifs et structure du livre.... 1 1.2. Qu est-ce que la gestion de portefeuille?.... 2 1.3. Qu est-ce que «investir»?.... 3 1.4. Canalisation des flux d épargne et
Plus en détailMatinale recherche. Gestion des risques comme source inexploitée de performance : impact sur la gestion d actifs et la gestion actif-passif
Matinale recherche Gestion des risques comme source inexploitée de performance : impact sur la gestion d actifs et la gestion actif-passif Intervenante : Adina GRIGORIU, Directrice de recherche, AAAiC,
Plus en détailwww.styleanalytics.com
www.styleanalytics.com Style Analytics EuroPerformance a le plaisir de vous présenter Style Analytics, outil de mesure des risques et de la performance des fonds d investissement. Style Analytics offre
Plus en détailMERCER INVESTIR. La gestion actions en beta-test SEPTEMBRE 2013
MERCER INVESTIR SEPTEMBRE 2013 La gestion actions en beta-test Avertissement : Cette publication est un état des lieux sur la gestion smart beta qui n engage que son auteur, elle s adresse aux professionnels
Plus en détailDoes it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities
Does it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities Joseph GAWER NATIXIS Asset Management Université Paris Dauphine joseph.gawer@am.natixis.com Association Française
Plus en détailKoris International. Historique
Koris International Historique Koris International est une société de conseil en investissements financiers spécialisée dans la conception et le développement de modèles d allocation d actifs. La société
Plus en détailD Expert en Finance et Investissements
MODULES FINAL D Expert en Finance et Investissements Copyright 2014, AZEK AZEK, Feldstrasse 80, 8180 Bülach, T +41 44 872 35 35, F +41 44 872 35 32, info@azek.ch, www.azek.ch Table des matières 1. Modules
Plus en détailL approche mondiale en matière d allocation d actifs stratégique
L approche mondiale en matière d allocation d actifs stratégique Une étude menée par Vanguard Juillet 2012 Sommaire. L importance du choix d une allocation d actifs stratégique est désormais reconnue par
Plus en détailSéance 4 - Les rachats d engagements de retraite sur le marché américain. Caitlin Long Groupe de solutions en matière de retraite
Séance 4 - Les rachats d engagements de retraite sur le marché américain Caitlin Long Groupe de solutions en matière de retraite Ce sont GM et Verizon qui ont ouvert le marché des rachats d engagements
Plus en détailÉtude de nouvelles stratégies de gestion indicielle
Étude de nouvelles stratégies de gestion indicielle Une étude menée par Vanguard Novembre 2011 Résumé. Une petite partie de la communauté des investisseurs (qui parvient toutefois à se faire entendre)
Plus en détailThèmes de recherche. Projets en cours
Formation Michel Baroni Professeur, Département Finance Responsable Pédagogique des Mastères Spécialisés en Techniques Financières et Finance & Asset Management Habilitation à Diriger des Recherches, Université
Plus en détailUne approche rationnelle Investir dans un monde où la psychologie affecte les décisions financières
La gamme de fonds «Finance Comportementale» de JPMorgan Asset Management : Une approche rationnelle Investir dans un monde où la psychologie affecte les décisions financières Document réservé aux professionnels
Plus en détailGestion obligataire passive
Finance 1 Université d Evry Séance 7 Gestion obligataire passive Philippe Priaulet L efficience des marchés Stratégies passives Qu est-ce qu un bon benchmark? Réplication simple Réplication par échantillonnage
Plus en détailPLAN DE COURS. Description du cours. Approche pédagogique. Matériel pédagogique. 3-203-99 Gestion de portefeuille Automne 2005
3-203-99 Gestion de portefeuille Automne 2005 PLAN DE COURS Professeurs : Kodjovi Assoé Téléphone : 340-6615, bureau 4.222, kodjovi.assoe@hec.ca Jean-Philippe Tarte Téléphone : 340-6612, bureau 4.261,
Plus en détailAction quote-part d'une valeur patrimoniale; participation au capital-actions d'une société.
Glossaire Action quote-part d'une valeur patrimoniale; participation au capital-actions d'une société. Alpha Alpha est le terme employé pour indiquer la surperformance d un placement après l ajustement
Plus en détailOutils théoriques du modèle standard. MASTER 2003 Paris IX [Dauphine] François Jubin
Outils théoriques du modèle standard MASTER 2003 Paris IX [Dauphine] François Jubin Le portefeuille : la notion centrale du modèle standard On ne s intéresse pas ici à la dynamique du prix d un titre mais
Plus en détailLa gestion actions. Nicolas Pelletier Responsable de la Gestion active Actions américaines BCV Asset Management 05.11.2014
La gestion actions Nicolas Pelletier Responsable de la Gestion active Actions américaines BCV Asset Management 05.11.2014 Sommaire Le marché des actions Les styles de gestion et les outils Business case
Plus en détailINFORM GESTION DE FORTUNE ACTIVE OU PASSIVE? INFORMATIONS FINANCIÈRES ESSENTIELLES POUR LES CAISSES DE PENSION
1 2002 INFORM INFORMATIONS FINANCIÈRES ESSENTIELLES POUR LES CAISSES DE PENSION GESTION DE FORTUNE ACTIVE OU PASSIVE? On prône souvent en faveur de la gestion de fortune passive en arguant que la plupart
Plus en détailHedge funds: des faiblesses dans la gestion des risques
Avec leurs rendements supérieurs aux actifs traditionnels et leur faible volatilité, les hedge funds attirent toujours de nombreux investisseurs. Néanmoins, ils restent risqués. Hedge funds: des faiblesses
Plus en détailL Après Comité D Amours. Commentaires et Enjeux. Et les perspectives de rendement Octobre 2013. Richard Guay Ph.D., CFA, FRM
L Après Comité D Amours Commentaires et Enjeux Et les perspectives de rendement Octobre 2013 Richard Guay Ph.D., CFA, FRM Professeur titulaire en finance, ESG-UQAM, Groupe Finance CIRANO et Chaire CDPQ
Plus en détailMémoire du MASTER 104 FINANCE. Master 104 Finance dirigé par Edith Ginglinger, Professeur http://www.master104finance.com
Mémoire du MASTER 104 FINANCE Master 104 Finance dirigé par Edith Ginglinger, Professeur http://www.master104finance.com Les méthodes alternatives d allocation entre matières premières Hubert Corpechot
Plus en détailAmundi Oblig Internationales
Amundi Oblig Internationales Une gestion obligataire de convictions Janvier 2015 Document à usage strictement professionnel au sens de la Directive Européenne MIF Amundi Oblig Internationales Caractéristiques
Plus en détailExchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations. 12 Mai 2011
Exchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations 12 Mai 2011 Sommaire I Présentation du marché des ETF II Construction des ETF III Principales utilisations IV Les ETF dans le contexte
Plus en détailQuestion 1: Analyse et évaluation des obligations / Gestion de portefeuille
Question 1: Analyse et évaluation des obligations / Gestion de portefeuille (33 points) Monsieur X est un gérant de fonds obligataire qui a repris la responsabilité de gestion du portefeuille obligataire
Plus en détailLa gestion à succès d une stratégie «market neutral» alternative
Stratégie 24 Update II/2014 La gestion à succès d une stratégie «market neutral» alternative Depuis la fin de l année 2007, le secteur des hedges funds a entamé une traversée du désert. Pourtant, le nouveau
Plus en détailUn nouveau standard pour mesurer la performance des gérants
Données de performance amleague Euro Equities Année en cours Période du 31 Décembre 2013 au 28 novembre 2014 Un nouveau standard pour mesurer la performance des gérants Un univers de compétition équitable
Plus en détailConstruire des portefeuilles durables dans un environnement incertain
PORTFOLIO RESEARCH AND CONSULTING GROUP Construire des portefeuilles durables dans un environnement incertain Tirer parti de l approche Durable Portfolio Construction * Nous pensons que les investisseurs
Plus en détailDERIVES SUR ACTIONS ET INDICES. Christophe Mianné, Luc François
DERIVES SUR ACTIONS ET INDICES Christophe Mianné, Luc François Sommaire Notre activité Nos atouts La gestion du risque Conclusion 2 Notre activité 3 Les métiers Distribution de produits dérivés actions
Plus en détailAllocation Robuste et Restrictions sur les Contributions au Risque
Allocation Robuste et Restrictions sur les Contributions au Risque QuantValley/QMI Workshop, Geneve, 26 Septembre, 2013 http://ssrn.com/abstract=2192399 1/33 Les contributions du papier: Nous définissons
Plus en détailLes ETF immobiliers dans le monde au 28 février 2011, par zone d exposition, en milliards d euros. Nombre Actif net Poids Nombre Actif net
ÉTUDE EN BREF Juin 2011 Les ETF immobiliers dans le monde et en France Les ETF ou Exchange-Traded Funds immobiliers sont des produits financiers cotés en Bourse répliquant la performance d un indice immobilier
Plus en détailLes matières premières : une classe d actifs à part entière?
Les matières premières : une classe d actifs à part entière? PHILIPPE MONGARS, CHRISTOPHE MARCHAL-DOMBRAT Direction des Opérations de marché Service de Suivi et d Animation des marchés L intérêt des investisseurs
Plus en détailSérie Smart Beta Partie 2 : Smart ne rime pas toujours avec intelligence
Série Smart Beta Partie 2 : Smart ne rime pas toujours avec intelligence John F. Brown John F. Brown Vice-Président Senior, Directeur du Développement jbrown@intechjanus.com (561) 775.1163 L efficacité
Plus en détailIndices Pictet LPP 2015. Une nouvelle référence pour les caisses de pension suisses
Indices Pictet LPP 2015 Une nouvelle référence pour les caisses de pension suisses Pictet Asset Management Janvier 2015 Table des matières Une nouvelle famille d indices 3 Un examen des indices LPP existants
Plus en détailLe théorème des deux fonds et la gestion indicielle
Le théorème des deux fonds et la gestion indicielle Philippe Bernard Ingénierie Economique& Financière Université Paris-Dauphine mars 2013 Les premiers fonds indiciels futent lancés aux Etats-Unis par
Plus en détailProcessus et stratégie d investissement
FCP Bryan Garnier Long Short Equity Recherche de performance par le «stock picking» Processus et stratégie d investissement FCP Bryan Garnier Long Short Equity TABLE DES MATIERES Introduction 2 I Méthodologie
Plus en détailLes Obligations Convertibles (introduction)
TROISIEME PARTIE Les Obligations Convertibles (introduction) Avril 2011 Licence Paris Dauphine 2011 Sommaire LES OBLIGATIONS CONVERTIBLES Sect 1 Présentation, définitions Sect 2 Eléments d analyse et typologie
Plus en détailThéorie Financière 2014-2015
Théorie Financière 2014-2015 1. Introduction Professeur Kim Oosterlinck E-mail: koosterl@ulb.ac.be Organisation du cours (1/4) Cours = Théorie (24h) + TPs (12h) + ouvrages de référence Cours en français
Plus en détailAvantages de la gestion indicielle: étude appliquée à des fonds domiciliés en Europe et «offshore»
Avantages de la gestion indicielle: étude appliquée à des fonds domiciliés en Europe et «offshore» Recherche Vanguard août 2012 Résumé. Un indice est un panier de titres représentatif d un marché ou d
Plus en détailGestion Flexible Pays Émergents
Gestion Flexible Pays Émergents Alexandre Narboni 27.11.2014 Pavillon Cambon, Paris Pour les investisseurs professionnels uniquement 2 MAGELLAN Performance* (nette, en EUR) Performance cumulée depuis la
Plus en détailÉligible PEA. La recherche de la performance passe par une approche différente
Éligible PEA La recherche de la performance passe par une approche différente FIDELITY EUROPE : UNE GESTION Sur la durée, on constate qu il est difficile pour les Sicav de battre les indices des grandes
Plus en détailFiche info financière Assurance-vie Top Protect Alpha Turbo 08/2018 1
Fortis AG - Vos assurances chez votre courtier Top Protect Alpha Turbo 08/208 Fiche info financière Assurance-vie Top Protect Alpha Turbo 08/208 Cette fiche d information financière Assurance-vie décrit
Plus en détailQUEL EST L INTÉRÊT D INVESTIR EN BOURSE?
QUEL EST L INTÉRÊT D INVESTIR EN BOURSE? L attrait de l investissement en actions sur le long terme et présentation des stratégies des deux fonds TreeTop Thierry Beauvois Senior Financial Advisor TREETOP
Plus en détailgestion de patrimoine vaut-il plus que 1%?
A L USAGE EXCLUSIF DES PROFESSIONNELS DE L EPARGNE Opinion et recherche Russell Mon conseiller en gestion de patrimoine vaut-il plus que 1%? Par Michaël Sfez Directeur général, Russell Investments France
Plus en détailDIRECTIVES DE PLACEMENT RISK BUDGETING LINE 5
DIRECTIVES DE PLACEMENT RISK BUDGETING LINE 5 29.06.2011 Groupe de placement Prisma Risk Budgeting Line 5 (RBL 5) Caractéristiques du groupe de placement 1. Le RBL 5 est un fonds composé d actifs susceptibles
Plus en détailBLACKROCK GLOBAL FUNDS
CE DOCUMENT EST IMPORTANT ET REQUIERT VOTRE ATTENTION IMMEDIATE. En cas de doute quant aux mesures à prendre, consultez immédiatement votre courtier, votre conseiller bancaire, votre conseiller juridique,
Plus en détailDIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS. Semestre d hiver 2001-2002
Département d économie politique DIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS Semestre d hiver 2001-2002 Professeurs Marc Chesney et François Quittard-Pinon Séance
Plus en détailCLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION
CLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION Club AM No17, Novembre 2007 David Angel, ITG (c) 2007 All rights reserved. Not to be reproduced without permission. Sommaire ITG experts en Best Execution Notion
Plus en détailAFIM MELANION DIVIDENDES RAPPORT ANNUEL. Exercice clos le 31 décembre 2014
AFIM MELANION DIVIDENDES RAPPORT ANNUEL Exercice clos le 31 décembre 2014 Code ISIN : Part A : FR0011619345 Part B : FR0011619352 Part C : FR0011619402 Dénomination : AFIM MELANION DIVIDENDES Forme juridique
Plus en détailBASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE
BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE CETMO-ASE Version 08.01 Année de référence 2008 Février 2013 BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE
Plus en détailSession : Coût du capital
Session : Coût du capital 1 Objectifs Signification du coût du capital Mesure du coût du capital Exemple illustratif de calcul du coût du capital. 2 Capital fourni par les actionnaires ou les banques L
Plus en détailLa première étape du modèle était consacrée
What IF: Liability-Asset Management Gabriele Farei-Campagna Université de Lausanne Résumé Ce document interne au groupe de travail du Think Tank 2013 a pour but de préparer la séance qui aura lieu Mercredi
Plus en détailGérer le risque actions dans un environnement de taux bas. www.seeyond-am.com UNE EXPERTISE
Gérer le risque actions dans un environnement de taux bas www.seeyond-am.com UNE EXPERTISE Les livres blancs de la Recherche Quantitative # 2 2 # 2 Les livres blancs de la Recherche Quantitative SOMMAIRE
Plus en détailSMART BETA UN CONCEPT MAIS PLUSIEURS APPROCHES DÉBATS & OPINIONS. Entretien avec. Yves Choueifaty Tobam Président
DÉBATS & OPINIONS SMART BETA UN CONCEPT MAIS PLUSIEURS APPROCHES Entretien avec Yves Choueifaty Tobam Président Nicolas Just Seeyond Responsable Smart Beta François Millet Lyxor ETF Responsable du Développement
Plus en détailL Entreprise, première valeur de notre gestion
L Entreprise, première valeur de notre gestion M.U.S.T. une discipline de gestion Actions européennes reconnue ***** Style Rating : EUROPERFORMANCE - EDHEC au 13/01/2012 2 M.U.S.T. une gestion transparente
Plus en détailListe des OPCA INSTITUTIONNELS.
Liste des OPCA INSTITUTIONNELS. Liste des organismes de placement collectif alternatifs à nombre variable de parts institutionnels et des compartiments établie sur base de l article 3 de l AR du 7 décembre
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détailOrchidée I Long Short
Orchidée I Long Short Concilier performance, décorrélationet faible volatilité 1er trimestre 2015 Document d information non contractuel réservé à des investisseurs professionnels au sens du Règlement
Plus en détailIGEA Patrimoine FCP agréé par l AMF
IGEA Patrimoine FCP agréé par l AMF Présentation La Société de Gestion IGEA Finance La structure L approche originale Société de gestion agréée par l AMF Gestion diversifiée, patrimoniale Clients privés
Plus en détailNatixis Global Risk Parity un an après : une performance au rendez-vous dans le cadre d une approche équilibrée en risque
DOCUMENT RESERVE EXCLUSIVEMENT AUX CLIENTS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF Natixis Global Risk Parity un an après : une performance au rendez-vous dans le cadre d une approche équilibrée en
Plus en détailDirectives relatives au règlement d'examen professionnel supérieur d expert en finance et investissements
Commission AQ pour l examen professionnel supérieur d expert en finance et investissements Directives relatives au règlement d'examen professionnel supérieur d expert en finance et investissements Où l'obtenir:
Plus en détailLes ETFs Physiques vs Synthétiques : Quelle Structure A Privilégier?
Les ETFs Physiques vs Synthétiques : Quelle Structure A Privilégier? S. Owen Williams, CFA est doctorant au Grenoble Ecole de Management, Grenoble, France et membre du CFA Institute. owen.williams@grenoble-em.com
Plus en détailLa gestion des risques IT et l audit
La gestion des risques IT et l audit 5èmé rencontre des experts auditeurs en sécurité de l information De l audit au management de la sécurité des systèmes d information 14 Février 2013 Qui sommes nous?
Plus en détailExperts en finance et investissements
Guide d examens Professionnels Supérieurs pour Experts en finance et investissements (Diplôme Fédéral) Copyright 2007, SFAA SFAA, Feldstrasse 80, 8180 Bülach, T +41 44 872 35 40, F +41 44 872 35 32, info@sfaa.ch,
Plus en détailEpargner à long terme et maîtriser les risques financiers
Epargner à long terme et maîtriser les risques financiers Olivier GARNIER David THESMAR 2 juin 2009 Le champ du rapport Point de vue des ménages-épargnants, plutôt que celui du financement de l économie
Plus en détailINFORM OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE JUSTE COMBINAISON
2 2002 INFORM INFORMATIONS FINANCIÈRES ESSENTIELLES POUR LES CAISSES DE PENSION OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE
Plus en détailun environnement économique et politique
Vision d un économiste sur le risque agricole et sa gestion un sol un climat un environnement économique et politique Jean Cordier Professeur Agrocampus Ouest Séminaire GIS GC HP2E Prise en compte du risque
Plus en détailDivulgation d information
Tulett, Matthews & Associés gestion de portefeuille Divulgation d information Les relations entre notre firme et ses clients sont construites sur de solides assises caractérisées par une transparence et
Plus en détailL impact de la crise financière sur les PPPs
+ Infrastructureeconomics Frédéric Blanc-Brude, PhD Research fellow, King s College London L impact de la crise financière sur les PPPs IAE, Chaire d Economie des PPPs 26 Mai 2010 + Plan Les PPPs et le
Plus en détailNeuflize USA Opportunités $
Conférence téléphonique Neuflize USA Opportunités $ Neuflize Ambition 4 mai 2011 1 Usage réservé aux investisseurs professionnels Neuflize Private Assets Organigramme simplifié du groupe Etat hollandais
Plus en détailNormaliser l investissement des fonds de pension: processus historiques aux USA, 1960-1990
Normaliser l investissement des fonds de pension: processus historiques aux USA, 1960-1990 Sabine Montagne IRISSO- Université Paris-Dauphine sabine.montagne@dauphine.fr Colloque Les normes de la finance.
Plus en détailInvestir dans la volatilité :
Investir dans la volatilité : un nouvel horizon pour les solutions traditionnelles de diversification des portefeuilles Destiné aux clients professionnels au sens de la directive MIF www.seeyond-am.com
Plus en détailL impact des délais de paiement et des solutions appropriées. Dominique Geenens Intrum Justitia
L impact des délais de paiement et des solutions appropriées Dominique Geenens Intrum Justitia Groupe Intrum Justitia Leader du marché en gestion de crédit Entreprise européenne dynamique avec siège principal
Plus en détailLe plus grand risque en bourse est d y aller seul..followjack. TreeTop Asset Management
Le plus grand risque en bourse est d y aller seul..followjack TreeTop Asset Management UN SERVICE DE HAUTE QUALITÉ CONÇU POUR TOUS LES INVESTISSEURS «Je suis heureux de pouvoir partager ma passion et de
Plus en détailmaster Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE
Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Table des matières Introduction... 9 Chapitre 1 L entreprise : l investissement
Plus en détail22 ème congrès Fapics
22 ème congrès Fapics Invités par et avec la contribution de : Grâce à nos partenaires : Instituts de formation 22 ème congrès Fapics Cabinets de conseil : Grâce à nos sponsors : 22 ème congrès Fapics
Plus en détailNote TDTE N 44 bis. Didier Folus, Profession de gestion à l Université Paris-Ouest Nanterre la Défense et chercheur associé à la Chaire TDTE
Note TDTE N 44 bis Quelle épargne-retraite en France? Une proposition out of the box 1 Auteur Didier Folus, Profession de gestion à l Université Paris-Ouest Nanterre la Défense et chercheur associé à la
Plus en détailPrivate banking: après l Eldorado
Private banking: après l Eldorado Michel Juvet Associé 9 juin 2015 Toutes les crises génèrent de nouvelles réglementations Le tournant de 2008 Protection des clients MIFID, UCITS, FIDLEG Bilan des banques
Plus en détailModification des services d administration
Informations importantes Aucune démarche n est nécessaire Introduction Afin de pouvoir offrir aux investisseurs un service client de premier ordre, nous avons désigné International Financial Data Services
Plus en détailMéthodes de la gestion indicielle
Méthodes de la gestion indicielle La gestion répliquante : Ce type de gestion indicielle peut être mis en œuvre par trois manières, soit par une réplication pure, une réplication synthétique, ou une réplication
Plus en détailApplication Form/ Formulaire de demande
Application Form/ Formulaire de demande Ecosystem Approaches to Health: Summer Workshop and Field school Approches écosystémiques de la santé: Atelier intensif et stage d été Please submit your application
Plus en détailSéminaire IST Insight du 23 avril 2013
Séminaire IST Insight du 23 avril 2013 Comment investir sur le marché des actions suisses Serge Ledermann Directeur s.ledermann@retraitespopulaires.ch Caroline 9 CP 288-1001 Lausanne Tél. 021 348 21 11
Plus en détailPIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.
PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique
Plus en détailImproving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises
Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Workshop on Integrated management of micro-databases Deepening business intelligence within central banks statistical
Plus en détailMSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE. Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine
MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine Mot du directeur Le département «Master Sciences des
Plus en détailDEA ès Sciences de Gestion. DES en Sciences Economiques. Ingénieur diplômé de l'ecole Polytechnique de Paris.
Education René Demeestere Emeritus Professor, Department Accounting and Management Control DEA ès Sciences de Gestion. DES en Sciences Economiques. Ingénieur diplômé de l'ecole Polytechnique de Paris.
Plus en détailExpertise Crédit Euro. La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion. Décembre 2014
Expertise Crédit Euro La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion Décembre 2014 destiné à des investisseurs professionnels au sens de la Directive Européenne MIF Performance cumulée
Plus en détailMan Canada Investment Strategies Fund
Man Canada Investment Strategies Fund Stratégie de placement non traditionnelle utilisée exclusivement dans le cadre du Programme de placements privés Tapestry de Placements Franklin Templeton À propos
Plus en détailLe WACC est-il le coût du capital?
Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.
Plus en détailEfficience des marchés et finance comportementale
Efficience des marchés et finance comportementale Martin Vlcek, Quantitative Investment Manager (BCV) 06.12.2013 Contenu 1. Introduction 2. Théorie de l efficience du marché 3. Finance comportementale
Plus en détailLA GESTION DE PORTEFEUILLE SPÉCIALISÉE OU DE TYPE BOUTIQUE. Benoit Brillon, CFA Chef des placements et gestionnaire de portefeuille
LA GESTION DE PORTEFEUILLE SPÉCIALISÉE OU DE TYPE BOUTIQUE Benoit Brillon, CFA Chef des placements et gestionnaire de portefeuille 22 mai 2015 SURVOL DE LA PRÉSENTATION Qu est-ce qu une firme de gestion
Plus en détailLE GUIDE DE L INVESTISSEUR
LE GUIDE DE L INVESTISSEUR Nous avons élaboré un guide des principes de base en investissement. Si vous les comprenez bien et les respectez, vous obtiendrez plus de succès dans vos investissements et par
Plus en détailUSA : Indices boursiers américains
- 1 USA : Indices boursiers américains Mots clés :! indice! Dow Jones Industrial Average (DJIA)! S&P 500! pension fund! mutual fund! index futures! pondération par le prix! pondération par la capitalisation
Plus en détailTravail de projet sur VBA
Travail de projet sur VBA Calcul du Ratio de Sharpe Page 1 sur 25 Table des matières : 1. Introduction 3 2. Démarche générale 3 2.1 Récolte de données 3 2.2 Calculs de rendements 4 2.3 Calculs de volatilités
Plus en détailPour fins d'illustration seulement. Rapport préparé pour M. Albert Client et Mme Louise Client
Rapport préparé pour M. Albert Client et Mme Louise Client Préparé par Charles M. Courtier Conseiller ÉlémentsPatrimoine Téléphone: 123-456-7890 Courriel: cmcourtier@email.com Date: 2014-07-17 INTRODUCTION
Plus en détail