Molécules d adhésion et Cancer
|
|
- Brigitte Landry
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Molécules d adhésion et Cancer M2 Génomique fonctionnelle 15 Novembre 2011 Anne-Catherine Lhoumeau Département de Biopathologie. Institut Paoli-Calmettes
2 Molécules d adhésion et Cancer Généralités / rappels sur le mécanisme de transformation maligne Rôle des molécules d adhésion dans l organisation de l épithélium Transition épithélio-mésenchymateuse Les grands types de molécules d adhésion et leurs rôles respectifs dans: - Processus d invasion tumorale - Angiogenèse
3 Progression d un carcinome
4 Métastase, processus multi-étapes. 1/ Perte de la capacité d adhésion 2/ Détachement de la matrice extracellulaire 3/ Sécrétion d enzymes qui dégradent la matrice 4/ Envahissement des tissus voisins et des vaisseaux 5/ Dissémination et l indépendance vis à vis de la tumeur primaire. dissémination directe, par voie hématogène, par voie lymphatique
5 Rôle des molécules d adhésion Assurent la cohérence de l épithelium
6 Transition épithélio-mésenchymateuse
7 Transition épithélio-mésenchymateuse (2) Perte des contacts jonctionnels + modification polarité
8 Les grandes familles de molécules d adhésion Superfamille des immunoglobulines Intégrines Sélectines Mucines membranaires Cadhérines
9 Les grandes familles de molécules d adhésion Superfamille des immunoglobulines Glycoproteines de surface 7 membres impliqués dans le cancer: NCAM: Neural Cell Adhesion Molecules VCAM: Vascular CAM ICAM: Intercellular CAM PECAM : platelet-endothelial CAM MadCAM : mucosal addressin CAM CEA : carcinoembryonic antigen Autres rôles biologiques: développement du SNC, réponse immunitaire Dans certains cas, leur expression peut être induite par des cytokines (TNFa,IFNg,IL1): lien entre inflammation et tumorigenèse.
10 Mode d interaction Superfamille des immunoglobulines Adhésion homotypique : association de 2 molécules identiques Ex: NCAM-1 (cellules nerveuses, musculaires, lymphocytes : CD56) PECAM-1 (cellules endothéliales, plaquettes, leucocytes circulants) Interaction hétérotypique : interaction entre deux éléments différents de la même superfamille (LFA-3/ CD2) Ou avec un membre d autres familles de proteines: intégrines ICAM-1/CD54 VCAM-1(CD106)/ VLA-4 (α4β1) : interaction cellule endothéliale/leucocyte
11 NCAM: Neural Cell Adhesion Molecules Particulièrement exprimé sur cellules d origine neurale et mésenchymateuses Tumeurs du cerveau, colon, pancréas, thyroïde, poumon à petites cellules, 3 isoformes chez l homme adulte: 120, 140 et 180 kda. Rôle controversé: Cancer du colon: expression de l isoforme 180 corrèle avec la progression tumorale Cancer du pancréas: expression de NCAM corrèle avec la survie.
12 VCAM: Vascular Cell Adhesion Molecules VCAM-1 est impliqué dans l adhésion des leucocytes à l endothélium, via des interactions avec les intégrines, notamment α4β1. Molécule exprimée par les cellules endothéliales activées (un stimulus imflammatoire peut induire l expression de VCAM-1 et ICAM-1) Dans le mélanome, l expression de VCAM-1 est corrélée avec le potentiel métastatique via une interaction avec α4β1, qui faciliterait la migration trans-endothéliale des cellules malignes. Augmentation de la forme soluble de VCAM-1 dans le plasma de patients atteints de différents cancers.
13 ICAM : Intercellular Cell Adhesion Molecules Expression d ICAM-1 associée au potentiel métastatique de cellules de mélanome ACE Glycoproteine de haut poids moleculaire initialement décrite dans le plasma de patients atteints de carcinome colique (Gold and Freedman 1965). Actuellement utilisée dans le suivi post-opératoire des cancers colo-rectaux et du poumon.
14 Les grandes familles de molécules d adhésion Superfamille des immunoglobulines Intégrines Sélectines Mucines membranaires Cadhérines - Glycoproteines de surface - Hétérodimères constituées de 2 sousunités associées de manière non covalente -18 α et 8 β 24 combinaisons -Grande hétérogénéité structurale et fonctionnelle -domaine extracellulaire: récepteur pour les molécules de la matrice extra-cellulaire: Fibronectine, fibrinogène,vitronectine, laminine, collagène. Rôle dans la physiologie vasculaire et dans la coagulation (FW)
15 Les intégrines Mode d interaction Séquences du ligand reconnues variables (ex: αvβ3, αiibβ3: reco sequence RGD; α4β1 reco séquence LDV ) spectre d interaction très complexe Signal bi-directionnel: -inside-outside: modification conformationnelle du récepteur -outside-inside: transmission signaux, cytosquelette d actine, protéines de signalisation (FAK, Src family, MAPK, PI3K ) Association avec ces molécules au niveau des adhésions focales. site de convergence entre composants MECcytosquelette. Régulation de nombreux processus cellulaires : expression génique, cycle cellulaire, survie et prolifération, migration, différenciation.
16 Les intégrines Transformation et croissance tumorale: altérations dans de nombreuses tumeurs: sous-expression ou sur-expression ex: mélanome: αv exprimé dans lésions bénignes et malignes. Β3 est exprimée dans les stades de croissance verticale de la tumeur et les formes métastatiques : - αv s associe avec différentes sous-unités β - β3 est important dans le processus d invasion. l augmentation d expression d α6β4 amplifie le signal Erb2 via l activation des facteurs de transcription c-jun et STAT3 augmentation de la prolifération cellulaire, baisse de la sensibilité à l apoptose. baisse ou perte d expression α3,α5,α6,β1,β4 durant le processus de transformation maligne. baisse des interactions avec composants de la membrane basale. dérégulation: adhésion + altération des réponses aux facteurs de croissance (Héréguline et αvβ3).
17 Invasion et migration Les intégrines -Rupture de la cohésion de l épithélium: Perte de E-cadherine par endocytose provoquée par phosphorylation complexe E-Cadhérine/β caténine : requiert signalisation par intégrines et phosphorylation de FAK. -Signalisation du TGFβ dans l EMT : -augmente l expression de certaines intégrines (αvβ6 dans colon; αvβ3 dans gliome, α5β1 et α3β1 dans carcinome hépatocellulaire). -TGFβ entraine la sous-expression de α6 (rôle important dans la stabilisation des contacts cellule-cellule.) -Remodelage de la matrice extra-cellulaire. L activation de plusieurs intégrines comme αvβ1 ou αvβ3 augmente la maturation des MMPs. Αvβ3 recrute MPP2 à la surface cellulaire et permet la dégradation locale de la MEC durant l invasion. Interactions intégrines-mpp permettent d augmenter la migration cellulaire.
18 Les intégrines Colonisation des organes à distance -expression d αvβ3 : protection contre les forces de cisaillement en permettant interactions avec les plaquettes et leucocytes puis l arrêt en fonction du flux sanguin. -interaction αvβ3 avec ostéopontine, sialoprotéines: protéines de la matrice osseuse: rôle dans les métastases K sein, mélanome, prostate -α6β4: liaison canaux ClCa 2 : facilite fixation cellules K sein sur canaux exprimés sur cellules endothéliales pulmonaires. -contribution à la survie cellulaire et à la prolifération au niveau du site métastatique: interaction β4-mclca1 (chloride channel protein) active FAK favorise la croissance des métastases précoces. dérégulation: adhésion + altération de la signalisation cellulaire
19 Les intégrines Angiogenèse Rôle actif des intégrines dans l angiogenèse αvβ3: 1 ère intégrine décrite dans l angiogenèse. Très fortement exprimée par les cellules endothéliales angiogénique mais absente des cellules quiescentes. -Blocage sélectif de αvβ3 inhibe angiogenèse tumorale sans affecter les vaisseaux préexistants. -Activation de αvβ3, α6β4 ou leur signalisation augmente l expression de VEGF. Inversement VEGF active αvβ3 en augmentant la capacité d adhésion aux cellules endothéliales. Toutes les intégrines vasculaires représentent des cibles potentielles pour les thérapies anti-angiogéniques dérégulation: adhésion + altération de la signalisation cellulaire
20 Les grandes familles de molécules d adhésion superfamille des immunoglobulines intégrines Sélectines Mucines membranaires Cadhérines -Domaine N-term lectine: site de fixation au ligand -domain EGF-like -2-9 séquence répétitives régulatrices -transmembrane et queue cytoplasmique. 3 membres: E- :Endothelial selectin L- : Leukocytes P-: Platelet
21 superfamille des immunoglobulines intégrines Sélectines Mucines membranaires Cadhérines Principal ligand de la P-sélectine: PSGL-1 ( P selectin glycoprotein ligand 1): mucine: axe polypeptidique riche en Ser et Thr liées à des chaines polysaccharidiques. Les sélectines reconnaissent les déterminants sialylés portés par les mucines
22 Les Sélectines -participation au trafic général des leucocytes, inflammation. -participation à la «capture» de la cellule tumorale circulante et à sa dissémination dans un organe cible. -expression de E-sélectine est associée aux K sein et colon invasifs -P-selectin: controversé Expression plus forte ds K sein et gastrique Baisse d expression dans formes progressives de mélanome et colo-rectal Corrélation entre P-sélectine soluble et progression du cancer. Ligand CD24: surexpression ds K sein, colon, prostate, utérus associé à une augmentation des formes métastatiques
23 Les grandes familles de molécules d adhésion superfamille des immunoglobulines intégrines Sélectines Mucines membranaires Cadhérines Chaine transmembranaire glycoprotéique Adhésion cellule-cellule en présence de Ca 2 +: jonctions adhérentes Interaction homotypique -classic cadherins -E (epithelial) -N- (neural) -P-(Placental) -nonclassic cadherins -desmosomal cadherins -proto-cadherins
24 Liaison avec β et γ caténine Complexe α caténine-interaction avec filaments d actine Les Cadhérines Interaction voie de signalisation Wnt: -développement -migration cellulaire -polarité apico-basale et planaire Voie de signalisation dérégulée dans de nombreux cancers. β cat γ cat Complexe E-cadherine/caténine: présent aux jonctions adhérentes et nécessaire à leur fonction.
25 Les Cadhérines Perte d expression et/ou fonction E-cadhérine Perte de la polarité cellulaire Perte de l architecture du tissu Ds la plupart des cancers d origine épithéliale, la perte de la E-cadhérine est concomittente de l acquisition d un phénotype agressif et invasif. Progression vers dysplasie et transformation en adénocarcinome. Etudes in vitro sur cellules K: le réétablissement de la fonction de la E- cadhérine peut réverser le phénotype invasif vers un phénotype bénin.
26 Comment/Pourquoi la cellule perd-elle sa E-Cadhérine? Mécanismes épigénétiques/ génétiques: -hyperméthylation du promoteur gène silencieux -mutations gènes E-cadherines et caténines fonctionnelles (formes familiales de cancer gastrique) protéines non -inactivation transcriptionnelle: certains facteurs Snail, Slug, SIP1, E12- E47 vont réprimer l expression génique de la E-cadhérine. Signalisation cellulaire -phosphorylation de la caténine entraine une rupture du complexe E- cadherine-catenine et sa perte de fonction. (redistribution E-cadh des jonctions vers la surface apicale et perturbation de l adhésion cellule-cellule) Clivage protéolytique par les MMPs. Fragments solubles de cadhérine: inhibition fonction E-cadh via voie paracrine.
27 Inactivation du système d adhésion E-cadherine Invasion et progression tumorale Transition épithélio-mésenchymateuse Perte E-cadherine est accompagnée de l expression de cadhérines mésenchymales (N-cadh): facilite la motilité des cellules de K sein et induit la migration cellulaire, l invasion et les métastases. Switch des cadhérines: passage cadhérine épithéliale à cadhérine mésenchymale qui s accompagne pour la cellule K: 1/facilité à se détacher de l épithélium 2/acquisition d un phénotype motile permettant d envahir le stroma. N-cadherine exprimée sur cellules endothéliales et participe à la maturation des vaisseaux angiogéniques.
28 Récapitulatif Exemples de récepteurs Superfamille des Immunoglobulines N-CAM PECAM-1/CD31 CD2 ICAM-1 VCAM-1 Famille des integrines LFA-1 MAC-1 VLA 4 α2β1 α4β1, α5β1 α6β1 Famille des sélectines P-sélectine E-sélectine L-sélectine Mucines membranaires CD44 Exemples de ligands Superfamille des Immunoglobulines N-CAM PECAM-1/CD31 LFA-3/ CD58 Intégrines LFA-1 (α1β2 = CD11aCD18) MAC-1 (α M β2= CD11bCD18) VLA 4 (α4β1) Superfamille des Immunoglobulines ICAM-1 ICAM-1 VCAM-1 Molécules des matrices extracellulaires Collagène Fibronectine Laminine Mucines membranaires PSGL-1 CD34 Molécules des matrices extracellulaires Acide hyaluronique Cadhérines Cadhérines
29 A ce stade 2/ Dégradation de la matrice extracellulaire 1/ EMT 3/ envahissement tissus voisins et vaisseaux 4/Dissémination 5/Angiogenèse Makrilia et al, 2009
30 Interactions molécules d adhésion- Matrice extracellulaire Matrice extracellulaire constituée de différentes protéines sécrétées qui servent de support aux cellules spécialisées: fibronectine, laminines, collagènes, protéoglycanes, tenascines. Concept de rôle actif de la matrice et du microenvironnement de la tumeur (souris expriment un collagène clivé: inhibiteur de l angiogenèse) Etat physiologique: perte adhésion cellule-matrice mort cellulaire par anoïkis Caractéristique de la cellule K: -résistance à l anoïkis -croissance indépendante de l adhésion
31 Les MMPs et les ADAMs MMP: Matrix-metallo-proteinase. Endopeptidase Zn dépendente Remodelage des tissus par dégradation protéolytique. 20 MMPs humains: -sécrétées -liées à la membrane Sécrétion sous forme de pro-enzymes inactifs: pro-mmp MMP sécrétés plasma: inhibition par α2 macroglobuline MMP tissulaires ou extracellulaires: inhibition par TIMP (Tissue Inhibitor of Metalloproteinases) ADAMs «a disintegrin and metalloprotease» family: zinc proteases Propriétés des MPPs et de liaison des intégrines
32 Relations entre MMPs et molécules d adhésion Protéolyse des molécules d adhésion: -MMP-3 et MMP-7 clivent E-cadhérine: cellules MCF7 (K sein) -ADAMS10 clive E-cadhérine -Formes actives de MMP-2 ou MT1-MMP interagissent avec αvβ3 et affectent leur localisation membranaire (mélanome). Proteolyse de substrats spécifiques entraine la formation de fragments de dégradation qui peuvent avoir un effet spécifique (signalisation): ex:clivage collagen IV et laminine 5 croissance tumorale, migration angiogenèse MPPs ciblent :-les composants de la matrice extracellulaire - les molécules d adhésion - altération des réponses cellulaires vis-à-vis du microenvironnement.
33 Les TIMPs (Tissue Inhibitor of Metalloproteinases) 4 membres: TIMP-1, -2, -3, -4 Effet inhibiteur des MMPs Effet biologique propre: Interaction TIMP-1 et CD63 (tétraspanine)-intégrine β1: inhibition de l apoptose. Effet anti-angiogénique de TIMP-1, TIMP-2 et TIMP-3 par des mécanismes différents.
34 MMPs et molécules d adhésion 1/ MMPs activées clivent ligands de la MEC (colllagène, laminine, fibronectine.) Remodelage de la matrice et détachement tumoral 2/ MMPs ciblent molécules d adhésion (integrines, cadhérines) et favorisent la rupture des interactions cellule-cellule et cellule-matrice Dégradation matrice Rupture adhésion cellulaire 3/ Régulation transcriptionnelle des MMPs (mécanismes spécifiques de la tumeur, EMT ou angiogenèse) Perte polarité, motilité Augmentation de l activation des MMPs et de la dégradation du substrat 4/ Désequilibre Ratio MPP/TIMP Développement de la métastase Intravasation Dissemination
35 2/ Dégradation de la matrice extracellulaire 1/ EMT 3/ envahissement tissus voisins et vaisseaux 4/Dissémination 5/Angiogenèse
36 Angiogenèse et molécules d adhésion VEGF-A Remodelage ECM et dégradation Membrane basale par MMP-9 Implication de αvβ3 co-localisation avec MMP-2 (facilite la dégradation collagène) liaison vitronectine, fibrinogène, ostéopontine signalisation Erk, activation GTPases Rac-1 et CdC42 fonction dans la survie, régulateur de l angiogenèse -αvβ3 lié favorise angiogenèse -αvβ3 non lié, pas de ligand: apoptose, inhibition de l angiogenèse
37 Angiogenèse et molécules d adhésion (2) Formation du vaisseau initial integrines Formation du lumen Jonctions, VE-cadhérines Maturation vaisseau ICAM-1-2 Recrutement péricytes β1 integrine-vcam Stabilisation structure Cadherines JAMs family
38 En résumé 2/ Dégradation de la matrice extracellulaire 1/ EMT 3/ envahissement tissus voisins et vaisseaux 4/Dissémination 5/Angiogenèse
39 Molécules d adhésion.mais pas seulement Rôle de E-cadherine: rôle central, voie de signalisation Wnt Rôle des intégrines: adhésion, interaction avec voies de signalisation intracellulaire: RTK, FAK, MAPK, ERK -interaction avec MMPs -régulation de l apoptose et survie Rôle des sélectines dans dissémination Rôle des Ig-CAM notamment dans l angiogenèse et la stabilisation des néovaisseaux.
40 Bien plus qu une simple adhésion Résistance aux drogues et aux radiations - Participation à la réponse inflammatoire post radiothérapie. K col; résistance aux radiations attribuée à l augmentation d ICAM-3. - Résistance innée aux drogues: CAM-DR (mélanome, K poumon petites cellules) (activation β1-rtk: suppression de l effet pro-apoptotique des drogues) Marqueur diagnostique? -Nouveaux marqueurs: Soluble E-cadhérine se-cad corrélée avec le grade de la tumeur colorectal, ovaires.
41 Bien plus qu une simple adhésion Marqueur pronostique? -soluble ICAM-1 est associé négativement à la survie K rein. -forts taux sériques ICAM-1 liés aux métastases hépatiques GI and pancréatique K -Forts taux VCAM lié à un plus grand risque de dissémination du K prostate -. -études à valider Cibles thérapeutiques -Effets prometteurs phase I et II -Pas de bénéfice en phase III pour l instant -Inhibiteurs intégrines: monoclonal Ab αvβ3: cible antiangiogénique (effet anti-thrombotique) -Cilengitide: peptide anti-αvβ3: pas significatif -N-cadherine antagoniste (Exherin)
42 Molécules d adhésion en hématologie Cellules isolées, non organisées en épithéliums
43 Molécules d adhésion en hématologie Interactions HSC avec niches endostéales et vasculaires N-cadh CXCL12-CXCR4 Rôle majeur de cette interaction dans le maintien de la quiescence des CSHs.
44 Niche et rechute des LA Niche hypoxique, peu vascularisée, protection contre apoptose induite par les chimiothérapies LIC:leukemic initiating cell
Biomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailTHÈSE PRÉSENTÉE A L UNIVERSITÉ BORDEAUX 1 ÉCOLE DOCTORALE DES SCIENCES CHIMIQUES POUR OBTENIR LE GRADE DE DOCTEUR SPÉCIALITÉ : CHIMIE ORGANIQUE
N d ordre : 3934 THÈSE PRÉSENTÉE A L UNIVERSITÉ BRDEAUX 1 ÉCLE DCTRALE DES SCIENCES CHIMIQUES par SEBASTIEN LAVIELLE PUR BTENIR LE GRADE DE DCTEUR SPÉCIALITÉ : CHIMIE RGANIQUE SYNTHESE DE MLECULES FLUREES
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailPRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailTHERANOSTIC. Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011
THERANOSTIC Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011 THERANOSTIC Therapy + Diagnostic Nouveau mot reliant le choix d un médicament à la détection d une anomalie génétique (mutation ). Ex.: Cancers
Plus en détailTHÈSE présentée par :
UNIVERSITÉ FRANÇOIS - RABELAIS DE TOURS ÉCOLE DOCTORALE : Santé, Sciences, Technologies INSERM U618 : Protéases et Vectorisation Pulmonaires Equipe 3 : Aérosols et Cancer Bronchopulmonaire THÈSE présentée
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailM. Fabrice SCHNEIDER
THÈSE DE DOCTORAT ECOLE DOCTORALE SCIENCES DE LA VIE ET DE LA SANTE Spécialité PHARMACOLOGIE ET BIOTHÉRAPIES Présentée par M. Fabrice SCHNEIDER NÉ LE 24 JUIN 1971 à La Ferté-Bernard Soutenue le Novembre
Plus en détailBases Fondamentales de l Angiogenèse
Bases Fondamentales de l Angiogenèse Fabrice SONCIN Directeur de Recherche INSERM Institut de Biologie de Lille fabrice.soncin@ibl.fr Angiogenèse: la mise en place de nouveaux vaisseaux sanguins à partir
Plus en détailLes grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous?
Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Dynamique des réseaux de signalisation et réponse aux thérapies ciblées Pascal GAUDUCHON Unité "Biologie et Thérapies Innovantes
Plus en détailM2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser
M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailPLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération
Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL SIGNALETIC PARTNERS OF MTl-MMP IN HYPOXIC MESENCHYMAL STEM CELLS AND SURVIVAL FUNCTIONS IN GLiOBLASTOMA MULTIFORM CELLS THESIS PRESENTED AS PARTIAL REQUIREMENT OF THE MASTERS
Plus en détailThérapies ciblées en Onco-Hématologie
Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailSysmex Educational Enhancement & Development
Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailL INITIATIVE EN M ATIÈRE DE MÉDIC A MENTS INNOVANTS
L INITIATIVE EN MATIERE DE MEDICAMENTS INNOVANTS d e s m é d i c a m e n t s a u s e r v i c e d e l h u m a n i t é l a r e c h e r c h e d a u j o u r d h u i, l e s t r a i t e m e n t s d e d e m a
Plus en détailThrombose et cancer en oncogériatrie. Dr BENGRINE LEFEVRE Centre Georges François Leclerc lbengrine@cgfl.fr
Thrombose et cancer en oncogériatrie Dr BENGRINE LEFEVRE Centre Georges François Leclerc lbengrine@cgfl.fr Contexte Facteurs de risque de MTEV chez patients cancéreux: 1- liés au cancer localisation tumorale
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailCellules souches hématopoïétiques
Cellules souches hématopoïétiques Pr Bernard Klein INSERM-UM1 U1040: BIOTHERAPY OF NORMAL AND CANCER STEM CELLS INSTITUTE FOR RESEARCH IN BIOTHERAPY http://irb.chu-montpellier.fr Hématopoïèse! Plaquettes
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailQue reste-t-il du bilan d extension systématique? Le CA 15-3 : quel intérêt dans le bilan d extension systématique?
Que reste-t-il du bilan d extension systématique? Le CA 15-3 : quel intérêt dans le bilan d extension systématique? CA 15-3: which interest in the staging assessment of primary breast cancer? Mots-clés
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES. MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT
MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Science de la vie et de la terre MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT Pour l obtention du diplôme de l Ecole Pratique des Hautes Etudes
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailGènes de prédisposition au diabète, une belle avancée!
imprimer la page Gènes de prédisposition au diabète, une belle avancée! Philippe Froguel, directeur de l'umr 8090, Institut Pasteur de Lille La question du diabète est actuellement très préoccupante, partout
Plus en détailUNIVERSITÉ DU QUÉBEC MÉMOIRE PRÉSENTÉ À L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À TROIS-RIVIÈRES
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC MÉMOIRE PRÉSENTÉ À L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À TROIS-RIVIÈRES COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN BIOPHYSIQUE ET BIOLOGIE CELLULAIRES PAR L YNE LAFONTAINE IMPACT DU FACTEUR TRANSFORMANT
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailLes Polypes coliques. DES du 4 mars 2011 Pr Benamouzig Anne Vauthier. Muqueuse normale
Les Polypes coliques DES du 4 mars 2011 Pr Benamouzig Anne Vauthier Muqueuse normale Plan Pourquoi s intéresser aux polypes? Les différents types de polypes : analyses macro/microscopique Les voies de
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailDévelopper l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France. Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer
Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer Plan cancer 2009-2013 Organisation des tests de génétique en France 2 programmes
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailImagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire
4ème Journée inter-régionale RENATEN Centre / Poitou-Charente Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire Maria João Santiago-Ribeiro CHRU Tours Université François Rabelais
Plus en détailQuelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique?
Quelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique? À la recherche du test «idéal» pour diagnostiquer les troubles de l hémostase C. Lecut, P. Peters, A. Gothot
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailONCOLOGIE PÉDIATRIQUE
ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE SURVOL ET PERSPECTIVES MARIE JUTRAS MAI 2014 Plan Modalités thérapeutiques Cancers pédiatriques les plus fréquents Impact des traitements à court et long termes 1 Introduction Grâce
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDES de Pathologie AFIAP
DES de athologie AFIA 21 novembre 2009 J. Audouin,, S. ain IMMUNOHISTOCHIMIE Introduction I - Différentes méthodes AC conjugués Enzyme - anti-enzyme : A, AAA rotéine conjuguée : avidine, streptavidine
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détail