Caractéristiques des récepteurs

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Caractéristiques des récepteurs"

Transcription

1 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Antenne de Bretagne Caractéritique de récepteur Ce document raemble de note de cour detinée aux élève de préparation à l Agrégation de Génie Electrique. Toute le remarque qui pourraient contribuer à on amélioration ont le bienvenue. Certaine inormation ont tirée d ouvrage dont le réérence ont donnée en in de document. Si certaine d entre elle venaient à manquer, je m en excue par avance auprè de leur auteur et le invite à m en aire part. Mon adree et la uivante : renea@bretagne.en-cachan.r

2 Support de cour 3-4 Marie Frénéa STRUCTURE DES RECEPTEURS Introduction : Complément ur la tructure de émetteur (Conulter [], []) L architecture de émetteur et généralement plu imple que celle de récepteur. Un émetteur comporte troi module principaux : - Un dipoiti de traitement du ignal en bande de bae - Un circuit modulateur - Un ampliicateur de puiance Meage à émettre Traitement en bande de bae Modulateur Ampliicateur de ortie Signal émi Figure - Schéma tructurel d'un émetteur Quel que oit le type de modulation enviagé, on borne le pectre du ignal modulant à la réquence lor d une étape préliminaire de iltrage. Cela permet de limiter la bande B max occupée par le ignal modulé : AM-DBAP AM-DBSP AM-BLU AM-BLR FM Largeur de bande (B). max. max max + avec α << ( α).max ( β + ). max Si le ignal à tranmettre et modulé en réquence, on compte parmi le traitement réalié en amont du modulateur une étape de préaccentuation (pre-emphai). Cette opération conite à relever le niveau de compoante ituée dan la partie haute du pectre avant modulation. En eet, le pectre et généralement décroiant en onction de la réquence, et le ignaux ont par conéquent peu d énergie dan le bande où le bruit et le plu important (en MF, le bruit démodulé croît avec la réquence). Ain de conerver une tranmiion an ditorion, il era néceaire à la réception d eectuer l opération invere (déaccentuation = de-emphai), qui conite à atténuer la partie haute du pectre BF. L architecture du modulateur et la clae de onctionnement de l ampli de ortie dépendent du type de modulation => c. cour MA et MF Un circuit d adaptation d impédance doit être intercalé entre cet étage de ortie et la charge, qui peut être une antenne, un câble coaxial ou biilaire, un guide d onde, etc.

3 Support de cour 3-4 Marie Frénéa I Principe de la réception hétérodyne Un récepteur doit être capable : - D ampliier le ignaux modulé (de aible niveau, en raion de la ditance éparant l émetteur du récepteur) - De électionner le canal déiré dan la bande d intérêt - De démoduler la porteue correpondante et de retituer le meage tranmi. Ce opération doivent eectuer en préence de bruit et l on ne doit pa oublier que l antenne captera une multitude d émiion dan le bande de réquence environnante. Le principe de la réception hétérodyne repoe ur un changement de réquence conitant à tranpoer le pectre d un ignal Radio Fréquence (RF) capté par l antenne autour d une réquence ixe appelée Fréquence Intermédiaire (FI, généralement beaucoup plu bae que celle de la porteue RF). Ce changement de réquence et réalié à l aide d un mélangeur et d un ocillateur local. Intérêt du changement de réquence (hétérodynage): - Elimine le beoin de réalier un iltre électi en haute réquence de réquence centrale variable (pour aurer la élection d un eul canal) - Le démodulateur onctionne à réquence porteue ixe - L ampli FI onctionne à réquence ixe et peu élevée, ce qui permet d avoir un gain important. Tou le récepteur radio et TV du commerce ont uage de ce principe. On retrouve cette tructure dan le analyeur de pectre à balayage, aini que dan le analyeur de réeau. Antenne LA Mélangeur Démodulateur Duplexeur Filtre RF Filtre RF Emetteur Filtre FI Ocillateur local OL Ampli FI Figure - Principe du récepteur hétérodyne En ortie du mélangeur, le pectre de la porteue modulée et tranlaté autour de réquence OL + RF et FI = OL RF. Aprè iltrage autour de FI, il rete un ignal identique au ignal RF, mai dont la réquence centrale et égale à la réquence intermédiaire FI = OL RF. Deux ca ont enviageable : 3

4 Support de cour 3-4 Marie Frénéa ) RF OL < => Récepteur uperhétérodyne FI = OL RF OL RF RF OL OL RF FI FI OL + RF ) RF OL > => Récepteur inradyne FI = OL + RF RF OL OL RF OL RF FI FI OL + RF La plage de variation relative ( ) d un VCO étant limitée, on privilégie en principe l architecture uperhétérodyne : Plage de variation relative dan le ca ) : RF min + RF RF max + FI 4

5 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Plage de variation relative dan le ca ) : RF min + RF RF max Le premier choix conduit donc à une gamme de variation de réquence relative plu aible de l ocillateur local. II Fréquence image Dan le ca d un récepteur uperhétérodyne, une porteue de réquence démodulée en réglant l ocillateur local à la réquence OL RF + FI FI RF pourra être =. Une autre porteue ' ' de réquence RF telle que RF = OL + FI produirait la même diérence OL RF. Si ce deux ignaux ont préent en amont du mélangeur, il e retrouveront imultanément ' dan la bande paante du iltre FI. La réquence RF, non déirée, et ituée à une ditance de la réquence et et appelée réquence image. FI RF OL ignal à recevoir OL OL FI OL + FI OL FI OL + FI OL FI OL + FI FI FI OL FI OL + FI Figure 3 Problème de la réquence image Pluieur procédé permettent de rejeter la réquence image, ain d empêcher la élection imultanée de deux émetteur : Choix approprié de la réquence intermédiaire ( FI ) : Le choix de la réquence intermédiaire intègre pluieur paramètre contradictoire : plu la réquence intermédiaire et élevée, plu il era acile d éliminer la réquence image par iltrage RF. Cependant, l ampliication et le iltrage dan la chaîne FI eront d autant plu délicat que la réquence intermédiaire era haute. Si la largeur de bande occupée par tou le canaux pouvant être reçu et peu importante, une valeur uiamment grande de la réquence intermédiaire contitue une olution. 5

6 Support de cour 3-4 Marie Frénéa gabarit du iltre d'entrée n canaux RF min RF max +. RF min FI Figure 4 - Choix de FI en onction de la bande occupée par le n canaux pouvant être reçu Si ce n canaux ont compri entre et, avec RF min RF max OL FI + RF = (récepteur uperhétérodyne) le réquence image e ituent dan l intervalle +. ;. ]. [ RF min FI RF max+ FI Ce réquence eront rejetée par l étage de iltrage RF à condition que : +. >. RF min FI RF max Le choix de la réquence intermédiaire doit permettre de vériier: FI Exemple : RF max > RF min On ouhaite recevoir tou le canaux dan la bande de radio-diuion FM 87.5 à 8 MHz => FI > oit.5 MHz. FI > Dan la pratique, la valeur tandard retenue et égale à.7 MHz. Filtre d entrée à accord variable électionnant un groupe de canaux : Lorque la bande couverte par le récepteur et trè large (ex : TV), on ne peut plu appliquer la méthode précédente. On introduit alor une électivité réquentielle au niveau du iltre RF ' de réquence centrale variable, laiant paer RF tout en bloquant RF. La commande de ce iltre et couplée avec celle de l ocillateur local, de açon à repecter : = +. Il n et pa néceaire de rechercher une grande préciion du gabarit du iltre d entrée. En eet, il uit de électionner un enemble de canaux comportant le ignal utile. Aprè tranpoition autour de la réquence intermédiaire, il appartient au iltre FI de rejeter le ignaux itué en-dehor du canal choii. OL RF FI 6

7 Support de cour 3-4 Marie Frénéa gabarit du iltre RF à réquence centrale variable RF min OL FI OL + FI réquence d'accord réquence image RF max FI Tranpoition de la bande d'entrée électionnée autour (mélange) de FI FI Filtrage électi à réquence ixe (iltre FI) Figure 5 Réjection de la réquence image à l aide d un iltre d'entrée à accord variable L hétérodynage permet donc la élection d un canal parmi n grâce à un iltre de largeur de bande et de réquence centrale ixe valant repectivement et. Le acteur de FI urtenion Q du iltre FI et par conéquent ixe : QFI =. FI Si l on n avait pa eu recour à ce changement de réquence, il aurait allu reporter la élection du canal ouhaité ur le iltre RF, dont le coeicient de urtenion aurait alor valu : RF RF Q RF = =. Q FI. On aurait donc eu à réalier un iltre à réquence centrale variable FI FI élevée ayant un acteur de urtenion trè important! La électivité d un récepteur et d autant meilleure que le coeicient de urtenion du iltre FI et élevé. On utilie généralement de iltre céramique, à quartz et à onde de urace qui permettent d obtenir de coeicient de urtenion élevé avec une grande implicité de mie en œuvre et un coût relativement aible. Ce iltre exitent pour un certain nombre de réquence intermédiaire tandard : 455 khz (Radio MA),.7 MHz (Radio MF),.4 MHz, 7 MHz, 3 MHz, 4 MHz, 48 MHz, etc. Ce réquence ont liée à de application «grand public» telle que le récepteur radio en MA et MF, le récepteur de téléviion terretre et atellite, le téléphone mobile On trouve pour toute ce réquence intermédiaire diérente largeur de bande. La diponibilité de ce iltre tandard peut également être un critère de choix pour une réquence intermédiaire : elle permet de e paer du développement d un iltre péciique. FI FI 7

8 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Récepteur à double changement de réquence : Pour réoudre le problème lié au compromi entre réjection de la réquence image et électivité, on a paroi recour à une architecture à double changement de réquence. Un premier ocillateur local variable permet de électionner le canal et de le tranpoer ver une réquence intermédiaire uiamment élevée pour pouvoir éliminer la réquence image. Un deuxième ocillateur à réquence ixe ramène le ignal autour de la econde réquence intermédiaire où et eectué un iltrage trè électi. (Exemple de récepteur pour le GSM : ère réquence intermédiaire : 5 MHz ème réquence : 45 MHz). III - Caractériation d une chaîne de réception (C. [], [3]). Bruit (Conulter [4], [5]) Le bruit thermique (bruit de JOHSO) et le réultat du mouvement brownien de électron dan un conducteur. Il produit aux borne d une réitance R une tenion aléatoire de valeur quadratique moyenne : V = 4kTBR oit V = 4kTBR avec : V : tenion eicace de bruit (V) k : contante de Boltzmann k =.38. T : Température exprimée en K R : réitance (Ω) B : bande de réquence (Hz) 3 J. K La puiance maximale de bruit pouvant être tranérée à une charge (ca R charge =R) vaut : = V 4R = ktb Pour une température de 9 K (7 C), ervant généralement de réérence, on a : (dbm) = 74 + log B Température équivalente de bruit d un quadripôle: Conidéron l ampliicateur idéal de la Figure 6. Le ignal à l entrée et contitué d une compoante à la réquence, de puiance S et d un bruit de puiance k.t. B ( T : température de bruit de la ource en K) e e = 8

9 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Figure 6 - Ampliicateur idéal (ne produiant pa de bruit) En notant G le gain de l ampliicateur, on récupère en ortie : S = S.G = e k.t BG Le rapport ignal ur bruit en ortie et identique au rapport ignal ur bruit en entrée : S S = e Dan le ca d un ampliicateur réel, la puiance de bruit en ortie e et plu importante que celle obtenue dan le ca de l ampliicateur idéal (c. Figure 7). Le bruit électronique d un circuit peut être imparti à pluieur ource (bruit thermique, bruit de Grenaille, bruit de cintillement). Caractérier le bruit d un ampliicateur revient à combiner ce diérente ource et à le aimiler à du bruit thermique. A partir de la contribution de bruit de l ampli, on peut déinir une température équivalente de bruit Teq telle que : eq = k.t eq eq. B. Cette valeur peut être trè diérente de la température phyique du circuit. Tout e pae comme i le bruit interne de l ampliicateur provenait d une ource de bruit à la température ituée à on entrée. T eq Figure 7 Contribution du bruit de l ampliicateur Le rapport ignal ur bruit en ortie en ortie vaut aini : rapport ignal ur bruit en entrée exprime par : S e = e S S e kt B G.Se =, tandi que le G.k(T + T )B eq 9

10 Support de cour 3-4 Marie Frénéa D où: S = T + T eq S. e e Facteur de bruit : Le acteur de bruit d un quadripôle meure la dégradation du rapport ignal ur bruit à la traverée du quadripôle : F = S S e e D aprè la relation précédente, on a donc : F = + Cette déinition préente néanmoin un inconvénient : le acteur de bruit dépend de la température de bruit de la ource, paramètre indépendant du quadripôle que l on ouhaite T caractérier. Par convention, le acteur de bruit d un quadripôle era donc péciié en uppoant que la ource et à la température T = 9 K (convention IEEE) : Teq T F = + Teq T La notion de acteur de bruit et généralement employée lorque le ource de bruit ont à une température proche de 9 K. C et notamment le ca de ytème de tranmiion par voie hertzienne. Dan le ca de tranmiion par atellite, pour lequelle on éloigne de cette valeur, on utiliera de préérence la notion de température équivalente en entrée. Remarque : S Se On exprime généralement F en db : F db =. log F. On a alor : = F db db e db En anglai, on ditingue le terme «noie actor» (acteur de bruit) et «noie igure» (acteur de bruit exprimé en db).

11 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Figure 8 Figure 9 - le acteur de bruit traduit la dégradation du rapport ignal ur bruit Facteur de bruit d un quadripôle pai : Conidéron un quadripôle pai à la température T attaqué par une impédance à la même température (phyique). Son gain en puiance G et inérieur à l unité, et on déinit l atténuation du quadripôle comme : A = / G Le quadripôle reçoit à on entrée une puiance de bruit e = ktb. On a donc : = GkTB + G eq Du point de vue de la ortie, l enemble et équivalent à une impédance à la température T. La puiance de bruit diponible en ortie écrit donc : = ktb. D où : ktb eq = A( ) = (A )ktb = A D où : = T(A ) T eq kt eq B Remarque : Un quadripôle an perte ne comporte aucun élément diipati, donc aucun élément bruyant. La température et alor nulle et il n y a aucune dégradation du rapport T eq ignal à bruit apportée par le quadripôle. T eq = A =. Le gain en puiance diponible d un quadripôle an perte et égal à l unité. On dit aui que le perte d inertion ont Z Z g

12 Support de cour 3-4 Marie Frénéa nulle (le perte d inertion correpondent à l atténuation en puiance du quadripôle, exprimée en db). Teq T On en déduit : F = + = + (A ) T T Si le quadripôle Q et à la température première approximation), on a F = A T = 9 K (ce que l on conidère ouvent en Le acteur de bruit (en db) du quadripôle et alor égal à e perte d inertion. Aociation de pluieur quadripôle en cacade: Température de bruit équivalente en entrée : Figure - Aociation de deux quadripôle en cacade Conidéron deux ampliicateur bruyant en cacade, de gain en puiance repecti G et de température équivalente de bruit en entrée Teqet T eq. Le ytème reçoit à on entrée une puiance de ignal S et un bruit à la température T. La température de bruit équivalente bruit totale diponible en ortie peut écrire: e T eq G en entrée de l enemble et telle que la puiance de = G G k(t + T eq )B et Par ailleur, on a : = = G G + G G G G kt B + G G kt e eq + G eq B + G eq kt eq B En identiiant le deux relation précédente, on aboutit à : Teq T eq = Teq + G

13 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Figure - Aociation de n quadripôle en cacade On démontrerait par récurrence que l aociation de n quadripôle en cacade donne une température équivalente de bruit en entrée de valeur telle que : T eq Teq = Teq + Teq G Teq3 + GG Facteur de bruit de l enemble : Teqn GG... Gn Le acteur de bruit de l enemble e déduit immédiatement de la relation précédente : Teq Teq Teq Teqn F = + = T T G.T G G...G T n Soit : F = F F 3 n G GG GG... G n F F Cette relation indique que le bruit apporté par le premier étage d un ytème intervient de açon prépondérante dan le bruit en ortie (la contribution au bruit de chaque étage et diviée par le gain de étage précédent, à l exception de ce premier quadripôle). Il audra donc accorder une attention particulière à la conception de l ampliicateur placé en entrée d une chaîne de réception. On cherchera à avoir aible et G élevé. Remarque : F Ce ormule, donnant la température équivalente de bruit en entrée et le acteur de bruit de n quadripôle en cacade, portent le nom de ormule de Frii.. Prie en compte de non-linéarité du récepteur..point de compreion à db : Dan le ca idéal, la caractéritique de tranert d un ampliicateur et une droite de pente G (en échelle linéaire!), telle que P = G.. En pratique, la dynamique d un ampliicateur et P e limitée et la puiance de ortie cee de croître linéairement avec la puiance d entrée lorque l ampli arrive à aturation. Le point de compreion à db et le point pour lequel la puiance de ortie de l ampliicateur e itue db en deou de a valeur théorique. 3

14 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Figure - Déinition du point de compreion à db..ditorion d intermodulation Le diérent ampliicateur entrant dan la compoition du récepteur poèdent idéalement une caractéritique linéaire. Ce n et malheureuement pa le ca en pratique, et le nonlinéarité inhérente à ce circuit peuvent perturber de açon importante la réception d un ignal. Il aut donc en tenir compte lor de la conception du récepteur. Ain d illutrer l eet de la non-linéarité de la caractéritique d un ampli, on peut conidérer 3 que a onction de tranert et de la orme : V = G.Ve + G.Ve + G 3.Ve +... Si on préente à l entrée de ce circuit deux ignaux de pulation et ω de même amplitude : Ve = A(co ωt + co ωt) en e limitant aux terme d ordre 3, on a : ω [ A(co ω t + co ω t) ] + G.[ A(co ω t + co ω t) ] + G.[ A(co ω t + co ω t ] 3 V = G. 3 ) Aprè développement, on obtient : 4

15 Support de cour 3-4 Marie Frénéa G A 9.G A 3 3 V = G A + G A co( ω ω )t + GA + co ωt + GA + co ωt G A G A 3.G 3A + co ω t G A co( )t + ω + ω + co ωt + co(ω ω )t G 3A 3.G 3A 3.G 3A + co(ω ω )t + co(ω +ω )t + co(ω +ω )t G3A G3A + co 3ωt + co 3ωt 4 4 On montrerait aini que la ortie de l ampliicateur comporte tou le produit d intermodulation de la orme ω ± n avec m et n entier. m ω Suppoon que le deux réquence uivante oient préente en entrée d un ampliicateur : = 4 MHz = 5 MHz En ortie, on retrouve le produit d intermodulation uivant : Ordre Ordre 3. = 8 MHz 3. = 3 MHz. = MHz 3. = 35 MHz + = 9 MHz. = 6 MHz = MHz. = 3 MHz. + = 34 MHz. + = 33 MHz Le compoante aux réquence. et. iue de produit d intermodulation d ordre 3 ont généralement impoible à éliminer par iltrage, car dan la bande utile du ignal. 5

16 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Puiance de ortie (dbm) Point d'interception d'ordre 3(IP3) Fondamental IM3 Puiance d'entrée (dbm) Figure 3 - Déinition du point d'interception d'ordre 3 Le courbe de la Figure 3 repréentent le caractéritique de tranert en puiance de l ampliicateur réel pour le ignal utile et le produit d intermodulation d ordre 3. Ce courbe ont de pente de valeur repective et 3 (le puiance étant exprimée en db) et e coupent en un point déini comme le point d interception d ordre 3. La valeur donnée dan le documentation contructeur déigne généralement l ordonnée de ce point (c et-à-dire la puiance de ortie correpondante). Pour rapporter cette valeur à l entrée, il uit de lui outraire le gain de l ampliicateur (en db). IP3 e = IP3 GdB Le point d interception d ordre 3 et un point théorique, car la aturation de l ampliicateur e maniete bien en-deçà de cette valeur (Le point de compreion à db e itue typiquement db en-deou du point IP 3 ). Le point d interception d ordre 3 permet de caractérier la ditorion d intermodulation tant que le phénomène de compreion n intervient pa. Le deux courbe uivante montrent l évolution de l amplitude de produit d intermodulation pour deux valeur de l amplitude de ignaux d entrée. 6

17 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Figure 4 - Début d'apparition de produit d intermodulation Figure 5 Augmentation de la ditorion d'intermodulation 7

18 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Point d interception d ordre 3 de pluieur étage en cacade : Figure 6 - Cacade de n étage ayant chacun un point d'intreception IP3 i G (db) Soit une cacade de n étage, chacun ayant un gain G = IP3 (dbm) exprimé à l entrée en mw : IP 3 =. IP3 i i G GG GG...Gn T(entrée) IP3 IP3 IP33 IP3n i i et un point d interception = (IP3 T en mw) On alor: IP 3T(ortie) = IP3T(entrée).G.G... Gn On contate que plu le gain du premier étage et aible, plu on aura un point d interception d ordre 3 global élevé, meilleure era la linéarité de l enemble. Cependant, nou avon vu qu un gain élevé pour le premier étage contribue à réduire le acteur de bruit. Ain d arriver à un compromi on cherchera plutôt à avoir un point d interception d ordre 3 le plu élevé poible pour le econd étage. 3. Senibilité d un récepteur La enibilité déinit le niveau de ignal minimum pour aurer une réception de qualité donnée. Pour le modulation analogique, la enibilité découle de contrainte d intelligibilité ou de qualité onore du ignal audio démodulé. Dan le cadre de modulation numérique, la contrainte et ixée en terme de taux d erreur binaire (BER : Bit Error Rate). Dan tou le ca, ce contrainte e traduient par une péciication du rapport ignal ur bruit en entrée du démodulateur. La connaiance de élément de la chaîne de réception (gain et acteur de bruit de étage) aini que de la température de bruit de l antenne permettent de déterminer le niveau de ignal minimum en entrée de la chaîne de réception pour que cette contrainte oit remplie. Le problème et paroi poé dan l autre en, le norme impoent à la oi le rapport ignal ur bruit en entrée du démodulateur et la enibilité du récepteur ; le travail du concepteur et alor de dimenionner la chaîne de réception permettant de repecter ce norme. 8

19 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Pour le calcul de la enibilité, on introduit le ignal minimum détectable (MDS : Minimum Detectable Signal) : c et le niveau de ignal en entrée du récepteur pour lequel le niveau en ortie de la chaîne de réception et identique au niveau du bruit : G TdB + MDSdBm = =. log(fktb) + GTdB d où : MDSdBm =. log(kt ) + FdB +. log(b) MDSdBm = 74.dBm + FdB +. log(b) Le ignal minimum détectable permet tout jute d arriver au niveau de bruit en ortie de la chaîne de réception, il aut donc lui ajouter le rapport ignal ur bruit déiré pour trouver la S enibilité du récepteur : Senibilité dbm= MDSdBm + dbm IV Rôle de diérent étage du récepteur Reprenon le chéma de la Figure ain d identiier le rôle de chacun de bloc entrant dan la compoition d un récepteur : Duplexeur Un duplexeur permet d utilier la même antenne en émiion et en réception. (On trouve par exemple ce type de circuit en téléphonie mobile). On rencontre pluieur technologie de duplexeur : - onctionnement en interrupteur commandé mécaniquement (type talkie-walkie) ou électroniquement (diode PI). - Lorque le bande de réquence à l émiion et à la réception ont uiamment diérente (ex : GSM), l aiguillage de ignaux peut e aire par iltrage. On utilie alor de iltre appelé «diplexeur». en émiion : en réception : émetteur récepteur émetteur récepteur duplexeur Figure 7. Source [6] duplexeur - On réalie paroi de duplexeur à bae de circulateur (c. cour hyperréquence). Un circulateur et un dipoiti à 3 port permettant au ignal RF de circuler dan une eule direction. Un ignal injecté au port et tranmi au port et iolé du port 3, tandi qu un ignal entrant via le port et tranmi au port 3 et iolé du port, etc. On caractérie un duplexeur par e perte d inertion (ordre de grandeur : de.5 à 3 db). Celle-ci doivent être aible, ain de ne pa dégrader le acteur de bruit. 9

20 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Filtre RF : Ce iltre et centré autour de la bande de réception et permet d éliminer tou le ignaux hor-bande. (Ce ignaux étant uceptible de aturer le étage d entrée et de produire une ditorion d intermodulation). Il peut agir d un iltre à onde acoutique de urace, d un iltre céramique, ou d un iltre LC. Se perte d inertion doivent également être aible, puiqu elle correpondent à on acteur de bruit. Ampliicateur aible bruit (LA : Low-oie Ampliier) : Le ignal et enuite ampliié par l intermédiaire du LA auquel on demande le perormance uivante : - ort gain (5- db) - aible acteur de bruit (.5 à db). - point d interception d ordre 3 élevé. Le deux premier critère permettent de réduire la participation de l ampliicateur au acteur de bruit global. Filtre RF : De nouveau, le ignal et iltré par un autre pae-bande, qui élimine la réquence image. Mélangeur Le mélangeur ramène le ignal en réquence intermédiaire. L une de caractéritique principale d un mélangeur et le rapport entre la puiance du ignal à la réquence intermédiaire et la puiance du ignal préent ur le port RF : P (ou G ) = c c P P IF RF On ditingue le mélangeur pai (exemple Figure 8), caractérié par leur perte de converion (égale au acteur de bruit) et le mélangeur acti (ex : cellule de Gilbert), P c pouvant apporter un gain de converion ( G c ). L iolation entre le port OL-FI et RF-OL et importante pour éviter la propagation du ignal OL ayant un ort niveau, pouvant générer de problème de ditorion d intermodulation dan le étage RF et FI. Figure 8 - Mélangeur pai couramment employé

21 Support de cour 3-4 Marie Frénéa Figure 9 - Caractéritique du SA6A (Mélangeur à cellule de Gilbert) Ocillateur local Son architecture repoe généralement ur une boucle claique de ynthèe de réquence. Un microcontrôleur permet de programmer la valeur du divieur dan la boucle de retour et de électionner aini le canal. Le perormance dépendent du bruit de phae et de raie paraite au voiinage de la porteue (réquence de comparaion d une PLL, par exemple). Dan le récepteur plu ancien, la réquence d accord était réglée manuellement (généralement par un condenateur variable). Filtre FI Ce iltre ixe électionne le canal et rejette le terme indéirable obtenu aprè mélange (ignaux centré autour de + ). La bande paante de ce iltre détermine la bande OL RF paante B du bruit (bande équivalente B ur le chéma de la Figure ). La enibilité du récepteur et directement liée à ce paramètre. Ampli FI Figure - Bande équivalente de bruit Le acteur de bruit de cet ampliicateur n inluence que aiblement le acteur de bruit de l enemble (c. ormule de Frii). Cet ampliicateur ait généralement partie d un CI intégrant le démodulateur, aini qu un certain nombre de onctionnalité telle que celle décrite dan le paragraphe uivant.

22 Support de cour 3-4 Marie Frénéa On retrouve dan le récepteur de circuit de régulation qui permettent de corriger en temp réel le onctionnement de circuit de réception. Le deux exemple le plu courant ont le circuit de commande automatique de gain (CAG ou AGC Automatic Gain Control) et de commande automatique de réquence (CAF ou AFC Automatic Frequency Control). - CAG : Un récepteur doit être capable de recevoir de ignaux trè aible mai aui puiant elon la ditance et la puiance de l émetteur. Il et donc néceaire de tabilier le niveau moyen du ignal reçu. Un récepteur en modulation d amplitude an commande automatique de gain préenterait un volume onore variant en permanence. Le variation du niveau moyen de ignal reçu ont trè lente par rapport aux variation du modulant mai poèdent une orte dynamique. On extrait alor de étage du démodulateur un ignal dont le niveau et une image du niveau de réception qui ert à piloter un ou pluieur ampli à gain variable (généralement l ampli FI). En modulation d amplitude, la contante de temp de cet aerviement doit être uiamment petite pour compener le variation du niveau de ignal reçu mai également uiamment grande pour ne pa annuler la modulation. La commande du gain de étage concerné peut e aire par variation de la polariation ou encore en agiant ur la deuxième grille de tranitor MOSFET à double grille. - CAF : Ce dipoiti et réaliable dan le récepteur en modulation de réquence. Il permet d eectuer une commande automatique de l ocillateur local il exite un écart entre la réquence tranpoée en FI et la réquence porteue. Le principe, pour le dicriminateur en quadrature, conite à extraire la valeur moyenne de la tenion de ortie du dicriminateur. La valeur moyenne de la réquence pour un ignal modulé en réquence par un ignal audio (ne comportant pa de compoante continue) et égale à la réquence porteue. Si le récepteur et réglé ur la réquence porteue exacte, la valeur moyenne de la tenion de ortie du dicriminateur et nulle. Dan le ca contraire, la valeur moyenne de ce ignal donne une meure de l écart entre la réquence reçue et la porteue. Ce ignal peut donc être utilié pour corriger l ocillateur local. Cette erreur ur la réquence reçue peut provenir d une dérive de compoant dan le récepteur ou de l eet doppler dan le ca d un récepteur en mouvement (autoradio).

23 Support de cour 3-4 Marie Frénéa AEXE I Figure. Source [7] AEXE II Schema bloc Hitachi HD55F : ource [8] 3

24 SCHE Support de cour 3-4 Marie Frénéa Schema bloc de l interace radio d un téléphone mobile 4

25 Support de cour 3-4 Marie Frénéa REFERECES BIBLIOGRAPHIQUES [] R. Gra and S. William, Emetteur HF de aible puiance à contruire oi-même, Publitronic. [] F. de Dieuleveult, Electronique appliquée aux haute réquence, Dunod. [3] "Undertanding and enhancing enitivity in receiver or wirele application," Technical Brie SWRA3: Texa Intrument (999). [4] D. Ventre, Communication analogique, Ellipe. [5] A. Pacaud, Electronique radioréquence, Ellipe, collection Technoup-Supélec. [6] "Agrégation externe de Génie Electrique (999), épreuve d'électronique." [7] [8] 5

TP6 : ALIMENTATION A DECOUPAGE : HACHEUR SERIE ET CONVERTISSEUR STATIQUE ABAISSEUR DE TENSION

TP6 : ALIMENTATION A DECOUPAGE : HACHEUR SERIE ET CONVERTISSEUR STATIQUE ABAISSEUR DE TENSION P6 : ALIMNAION A DCOUPAG : HACHUR SRI CONVRISSUR SAIQU ABAISSUR D NSION INRODUCION Le réeau alternatif indutriel fournit l énergie électrique principalement ou de tenion inuoïdale de fréquence et d amplitude

Plus en détail

Progressons vers l internet de demain

Progressons vers l internet de demain Progreon ver l internet de demain COMPRENDRE LA NOTION DE DÉBIT La plupart de opérateur ADSL communiquent ur le débit de leur offre : "512 Kb/", "1 Méga", "2 Méga", "8 Méga". À quoi ce chiffre correpondent-il?

Plus en détail

Caractérisation de l interface Si/SiO 2 par mesure C(V)

Caractérisation de l interface Si/SiO 2 par mesure C(V) TP aractériation de l interface Si/SiO par meure (V) aractériation de l interface Si/SiO par meure (V) Introduction p I Effet de champ à l interface Si/SiO p Fonctionnement d une capacité MOS p Principe

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

Trouver des sources de capital

Trouver des sources de capital Trouver de ource de capital SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Emprunt garanti et non garanti Vente de part de capital Programme gouvernementaux Source moin courante SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Quelque principe

Plus en détail

Projet. Courbe de Taux. Daniel HERLEMONT 1

Projet. Courbe de Taux. Daniel HERLEMONT 1 Projet Courbe de Taux Daniel HERLEMONT Objectif Développer une bibliothèque en langage C de fonction relative à la "Courbe de Taux" Valeur Actuelle, Taux de Rendement Interne, Duration, Convexité, Recontitution

Plus en détail

Table des matières. Introduction. 1

Table des matières. Introduction. 1 Avant propo Le travail préenté dan ce mémoire a été réalié au ein du laboratoire d électromécanique de Compiègne (LEC) ou la direction de Monieur Jean Paul Vilain dan le cadre d une convention indutrielle

Plus en détail

Cap Maths. Guide de l enseignant. Nouveaux programmes. cycle. Roland CHARNAY Professeur de mathématiques en IUFM

Cap Maths. Guide de l enseignant. Nouveaux programmes. cycle. Roland CHARNAY Professeur de mathématiques en IUFM Cap Math CP 2 cycle Guide de l eneignant Nouveaux programme SOUS LA DIRECTION DE Roland CHARNAY Profeeur de mathématique en IUFM Marie-Paule DUSSUC Profeeur de mathématique en IUFM Dany MADIER Profeeur

Plus en détail

Le paiement de votre parking maintenant par SMS

Le paiement de votre parking maintenant par SMS Flexibilité et expanion L expanion de zone de tationnement payant ou la modification de tarif ou de temp autorié peut e faire immédiatement. Le adree et le tarif en vigueur dan le nouvelle zone doivent

Plus en détail

Le compte épargne temps

Le compte épargne temps 2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation

Plus en détail

RETIRER DE L ARGENT DE VOTRE SOCIÉTÉ

RETIRER DE L ARGENT DE VOTRE SOCIÉTÉ LETTRE MENSUELLE DE CONSEILS DESTINÉS À MAXIMALISER LE FLUX DE REVENUS RETIRÉS DE VOTRE SOCIÉTÉ OPTIMALISATION DU MOIS Déterminer le taux du marché... Si votre ociété vou vere un intérêt, elle doit de

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.lifeinsuranceinsights.com/life-insurance-2/what-will-your-hobby-cost-you.

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.lifeinsuranceinsights.com/life-insurance-2/what-will-your-hobby-cost-you. Erwan, d une mae de 65 kg, fait un aut de Bungee. Il tombe de 0 m avant que la corde du bungee commence à étirer. Quel era l étirement maximal de la corde i cette dernière agit comme un reort d une contante

Plus en détail

La lettre. La Gestion des filiales dans une PME : Bonnes Pratiques et Pièges à éviter. Implantations à l étranger : Alternatives à la création

La lettre. La Gestion des filiales dans une PME : Bonnes Pratiques et Pièges à éviter. Implantations à l étranger : Alternatives à la création Doier : Getion d entreprie 42 La Getion de filiale dan une PME : Bonne Pratique et Piège à éviter Certaine PME ont tout d une grande. entreprie. A commencer par la néceité d avoir de filiale. Quel ont

Plus en détail

Conception de convertisseurs DC/DC à base de MEMS

Conception de convertisseurs DC/DC à base de MEMS onception de convertieur D/D à bae de MEMS S. Ghandour To cite thi verion: S. Ghandour. onception de convertieur D/D à bae de MEMS. Micro and nanotechnologie/microelectronic. Univerité Joeph-Fourier -

Plus en détail

Dérivation : Résumé de cours et méthodes

Dérivation : Résumé de cours et méthodes Dérivation : Résumé de cours et métodes Nombre dérivé - Fonction dérivée : DÉFINITION (a + ) (a) Etant donné est une onction déinie sur un intervalle I contenant le réel a, est dérivable en a si tend vers

Plus en détail

Impact de l éolien sur le réseau de transport et la qualité de l énergie

Impact de l éolien sur le réseau de transport et la qualité de l énergie 1 Impact de l éolien ur le réeau de tranport et la qualité de l énergie B. Robyn 1,2, A. Davigny 1,2, C. Saudemont 1,2, A. Anel 1,2, V. Courtecuie 1,2 B. Françoi 1,3, S. Plumel 4, J. Deue 5 Centre National

Plus en détail

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement

Plus en détail

Fonctions de la couche physique

Fonctions de la couche physique La Couche physique 01010110 01010110 Couche physique Signal Médium Alain AUBERT alain.aubert@telecom-st-etienne.r 0 Fonctions de la couche physique 1 1 Services assurés par la couche physique Transmettre

Plus en détail

Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes

Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Avant Propos : Le sujet comporte deux parties : une partie théorique, jalonnée de questions (dans les cadres), qui doit être préparée

Plus en détail

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007 BAREME ur 40 point Informatique - eion 2 - Mater de pychologie 2006/2007 Bae de donnée PRET de MATERIEL AUDIO VISUEL. Remarque : Le ujet comporte 7 page. Vérifier qu il et complet avant de commencer. Une

Plus en détail

Systèmes de transmission

Systèmes de transmission Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un

Plus en détail

Ventilation à la demande

Ventilation à la demande PRÉSENTATION Ventilation à la demande Produit de pointe pour ventilation à la demande! www.wegon.com La ventilation à la demande améliore le confort et réduit le coût d exploitation Lorque la pièce et

Plus en détail

Module : systèmes asservis linéaires

Module : systèmes asservis linéaires BS2EL - Physique appliquée Module : systèmes asservis linéaires Diaporamas : les asservissements Résumé de cours 1- Structure d un système asservi 2- Transmittances en boucle ouverte et ermée 3- Stabilité

Plus en détail

Dossier. Vtech, leader en France. Lexibook, leader en Europe

Dossier. Vtech, leader en France. Lexibook, leader en Europe Doier Par Yoan Langlai La tablette pour enf Si 6 million de tablette devraient e vendre cette année en France (préviion GfK), on etime à 1 million le nombre de vente de tablette pour enfant en 2013. Sur

Plus en détail

Chapitre I La fonction transmission

Chapitre I La fonction transmission Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

La structure du mobile GSM

La structure du mobile GSM La structure du mobile GSM Jean-Philippe MULLER Décembre 2000 Sommaire : 1- Le schéma fonctionnel d un mobile GSM 2- Le traitement numérique du signal à l émission 3- Le principe de base du vocodeur 4-

Plus en détail

Produire moins, manger mieux!

Produire moins, manger mieux! Raak doier d Alimentation : o Produire moin, manger mieux! Nou voulon une alimentation de qualité. Combien de foi n entendon-nou pa cette revendication, et à jute titre. Mai i tout le monde et d accord

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

TP Modulation Démodulation BPSK

TP Modulation Démodulation BPSK I- INTRODUCTION : TP Modulation Démodulation BPSK La modulation BPSK est une modulation de phase (Phase Shift Keying = saut discret de phase) par signal numérique binaire (Binary). La phase d une porteuse

Plus en détail

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig 1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

MIPOLAM EL. gerflor.fr

MIPOLAM EL. gerflor.fr MIPOLAM EL gerflor.fr MIPOLAM EL Électronique Salle propre et térile Santé, Plateaux technique 2 Une gamme complète de produit pour tou locaux enible aux rique ESD L électricité tatique L électricité tatique

Plus en détail

unenfant Avoir en préservant ses droits

unenfant Avoir en préservant ses droits Avoir unenfant en préervant e droit Guide adreant aux travailleue et travailleur du ecteur public du réeau de la anté et de ervice ociaux Le comité de condition féminine de la La mie à jour de ce guide

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL

Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux Comment mesurer le temps de propagation de groupe sur des convertisseurs de fréquence dans lesquels le ou les oscillateurs

Plus en détail

Parcours Hydrologie-Hydrogéologie. Apport des méthodes d infiltrométrie à la compréhension de l hydrodynamique de la zone non-saturée des sols.

Parcours Hydrologie-Hydrogéologie. Apport des méthodes d infiltrométrie à la compréhension de l hydrodynamique de la zone non-saturée des sols. Univerité Pierre et Marie Curie, École de Mine de Pari & École Nationale du Génie Rural de Eaux et de Forêt Mater Science de l Univer, Environnement, Ecologie Parcour Hydrologie-Hydrogéologie Apport de

Plus en détail

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème

Plus en détail

Guide de configuration d'une classe

Guide de configuration d'une classe Guide de configuration d'une clae Viion ME Guide de configuration d'une clae Contenu 1. Introduction...2 2. Ajouter de cour...4 3. Ajouter de reource à une leçon...5 4. Meilleure pratique...7 4.1. Organier

Plus en détail

Modélisation d une section de poutre fissurée en flexion

Modélisation d une section de poutre fissurée en flexion Moéliation une ection e poutre fiurée en flexion Prie en compte e effort tranchant Chritophe Varé* Stéphane Anrieux** * EDF R&D, Département AMA 1, av. u Général e Gaulle, 92141 Clamart ceex chritophe.vare@ef.fr

Plus en détail

Equipement. électronique

Equipement. électronique MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

ANALYSE GÉNÉRALE - PROPOSITION DE CORRIGÉ. Exercice 1

ANALYSE GÉNÉRALE - PROPOSITION DE CORRIGÉ. Exercice 1 ANALYSE GÉNÉRALE - PROPOSITION DE CORRIGÉ OLIVIER COLLIER Exercice 1 Le calcul de la banque. 1 Au bout de deux ans, la banque aurait pu, en prêtant la somme S 1 au taux d intérêt r pendant un an, obtenir

Plus en détail

Prudence, Epargne et Risques de Soins de Santé Christophe Courbage

Prudence, Epargne et Risques de Soins de Santé Christophe Courbage Prudence, Epargne et Rique de Soin de Santé Chritophe Courbage ASSOCIATION DE GENÈVE Introduction Le compte d épargne anté (MSA), une nouvelle forme d intrument pour couvrir le dépene de anté en ca de

Plus en détail

Courrier Fédéral @ @ N 320 EDITORIAL INDUSTRIE PLUS LOIN QUE NOS DROITS. PUBLICITE page 8. Adresse du site de la FTM-CGT. http://www.ftm-cgt.

Courrier Fédéral @ @ N 320 EDITORIAL INDUSTRIE PLUS LOIN QUE NOS DROITS. PUBLICITE page 8. Adresse du site de la FTM-CGT. http://www.ftm-cgt. Courrier Fédéral N 320 du 13.10.12 au 19.10.12 @ @ Adree du ite de la FTM-CGT http://www.ftm-cgt.fr Fédération de travailleur de la métallurgie CGT ISSN 0152-3082 EDITORIAL Aprè la journée de mobiliation

Plus en détail

Introduction aux algorithmes de bandit

Introduction aux algorithmes de bandit Mater MVA: Apprentiage par renforcement Lecture: 3 Introduction aux algorithme de bandit Profeeur: Rémi Muno http://reearcher.lille.inria.fr/ muno/mater-mva/ Référence bibliographique: Peter Auer, Nicolo

Plus en détail

Chapitre 2 : communications numériques.

Chapitre 2 : communications numériques. Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

La direction des solidarités Se loger à Moissy

La direction des solidarités Se loger à Moissy La direction de olidarité Se loger à Moiy La direction de olidarité La Source - Place du Souvenir - BP24-77550 Moiy-Cramayel cedex Tél. : 01 64 88 15 80 - Fax : 01 64 88 15 26 QU EST CE QUE LA GUP LA GESTION

Plus en détail

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE Jacques Mézan de Malartic / F2MM MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE 1- Objectif des mesures (Page 1) 1-1 Critères de qualité radio 1-2 Principe des mesures

Plus en détail

Comment aborder en pédagogie l aspect «système» d une chaîne télécom?

Comment aborder en pédagogie l aspect «système» d une chaîne télécom? Comment aborder en pédagogie l aspect «système» d une chaîne télécom? Introduction : Guillaume Ducournau, Christophe Gaquière, Thierry Flamen guillaume.ducournau@polytech-lille.fr Plate-forme PolyCOM,

Plus en détail

Systèmes de communications numériques 2

Systèmes de communications numériques 2 Systèmes de Communications Numériques Philippe Ciuciu, Christophe Vignat Laboratoire des Signaux et Systèmes CNRS SUPÉLEC UPS SUPÉLEC, Plateau de Moulon, 91192 Gif-sur-Yvette ciuciu@lss.supelec.fr Université

Plus en détail

ASSURANCE AUTO. conditions générales

ASSURANCE AUTO. conditions générales ASSURANCE AUTO condition générale VOTRE CONTRAT Le contrat d'aurance auto ditribué par idmacif.fr et auré par Macifilia, SA au capital de 8 840 000, entreprie régie par le code de aurance - RCS Niort n

Plus en détail

Trilax. Données Faits. La spécificité de ce siège tient à la découverte qu il faut trois points d articulation

Trilax. Données Faits. La spécificité de ce siège tient à la découverte qu il faut trois points d articulation Donnée Fait La pécificité de ce iège tient à la découverte qu il faut troi point d articulation pour aurer au corp un outien ergonomique efficace dan toute le poition. vou relaxe et vou accompagne comme

Plus en détail

Chaine de transmission

Chaine de transmission Chaine de transmission Chaine de transmission 1. analogiques à l origine 2. convertis en signaux binaires Échantillonnage + quantification + codage 3. brassage des signaux binaires Multiplexage 4. séparation

Plus en détail

Centrale d'alarme SI 80-3

Centrale d'alarme SI 80-3 Centrale d'alarme SI 80-3 Notice d'intallation Siemen AG Siemen AG 01.011 Caractéritique technique ou réerve de modification. Livraion ou réerve de diponibilité. Le donnée et la conception peuvent être

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

Les techniques de multiplexage

Les techniques de multiplexage Les techniques de multiplexage 1 Le multiplexage et démultiplexage En effet, à partir du moment où plusieurs utilisateurs se partagent un seul support de transmission, il est nécessaire de définir le principe

Plus en détail

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 EMETTEUR ULB Architectures & circuits David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006 Introduction Emergence des applications de type LR-WPAN : Dispositif communicant

Plus en détail

Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity)

Le réseau sans fil Wi - Fi (Wireless Fidelity) Professionnel Page 282 à 291 Accessoires Page 294 TPE / Soho Page 292 à 293 Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity) Le a été défini par le Groupe de travail WECA (Wireless Ethernet Compatibility

Plus en détail

La modulation d amplitude

La modulation d amplitude Physique appliquée Guglielmo Marconi Sommaire 1- Structure d un système de communication radio 2- L expérience de Hertz 3- Le rôle de la fréquence porteuse 4- Spectre des ondes radio 5- Fréquence de porteuse

Plus en détail

Les parcours S4 traditionnels : Robotique, Radio Communication Numérique, Traitement de l information. Informatique Industrielle

Les parcours S4 traditionnels : Robotique, Radio Communication Numérique, Traitement de l information. Informatique Industrielle Projet S 4 Présentation des Projets du S 4 Plan de la présentation 1 Thématique des projets S 4 2 Organisation, encadrement, évaluations Les sujets de projets proposés 4 Questions, constitutions des équipes

Plus en détail

TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires

TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires I ) Ecrire l'expression analytique des signaux représentés sur les figures suivantes à l'aide de signaux particuliers. Dans le cas du signal y(t) trouver

Plus en détail

Somm@ire. Édito. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Édito. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Depui maintenant ept an, l Univerité Numérique Pari Île-de France vou accompagne dan la découverte de

Plus en détail

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences

Plus en détail

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier :

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier : SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION Contenu du dossier : 1. PRESENTATION DU SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO....1 1.1. DESCRIPTION DU FABRICANT....1

Plus en détail

LABO 5-6 - 7 PROJET : IMPLEMENTATION D UN MODEM ADSL SOUS MATLAB

LABO 5-6 - 7 PROJET : IMPLEMENTATION D UN MODEM ADSL SOUS MATLAB LABO 5-6 - 7 PROJET : IMPLEMENTATION D UN MODEM ADSL SOUS MATLAB 5.1 Introduction Au cours de séances précédentes, nous avons appris à utiliser un certain nombre d'outils fondamentaux en traitement du

Plus en détail

LE LIVRET DE L AIDANT

LE LIVRET DE L AIDANT LE LIVRET DE L AIDANT Vou accompagnez un parent âgé à domicile Ce livret et fait pour vou! Information, coneil, adree utile pour vou aider et vou accompagner au quotidien www.orpea.com www.afer.ao.fr www.afer.ao.fr

Plus en détail

Connaissances VDI 1 : Chapitres 1 2 3 4 5 6 7 + annexe

Connaissances VDI 1 : Chapitres 1 2 3 4 5 6 7 + annexe Connaissances VDI 1 : Chapitres 1 2 3 4 5 6 7 + annexe Page 1 sur 8 COMMENT FONCTIONNE UN RESEAU DOMESTIQUE COMMUNIQUANT? BEP : Identifier les composants et S informer sur l évolution des matériels. BAC

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

8563A. SPECTRUM ANALYZER 9 khz - 26.5 GHz ANALYSEUR DE SPECTRE

8563A. SPECTRUM ANALYZER 9 khz - 26.5 GHz ANALYSEUR DE SPECTRE 8563A SPECTRUM ANALYZER 9 khz - 26.5 GHz ANALYSEUR DE SPECTRE Agenda Vue d ensemble: Qu est ce que l analyse spectrale? Que fait-on comme mesures? Theorie de l Operation: Le hardware de l analyseur de

Plus en détail

Filtres passe-bas. On utilise les filtres passe-bas pour réduire l amplitude des composantes de fréquences supérieures à la celle de la coupure.

Filtres passe-bas. On utilise les filtres passe-bas pour réduire l amplitude des composantes de fréquences supérieures à la celle de la coupure. Filtres passe-bas Ce court document expose les principes des filtres passe-bas, leurs caractéristiques en fréquence et leurs principales topologies. Les éléments de contenu sont : Définition du filtre

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

PROTOCOLE DE MESURE DOCUMENTATION DE REFERENCE : ANFR/DR 15-3.1

PROTOCOLE DE MESURE DOCUMENTATION DE REFERENCE : ANFR/DR 15-3.1 PROTOCOLE DE MESURE Visant à vérifier sur site pour les stations émettrices fixes, le respect des limitations, en termes de niveaux de référence, de l exposition du public aux champs électromagnétiques

Plus en détail

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment B3510--II APPLIICATIIONS DE TRANSDUCTEURS A ULTRASONS MANUEL D IINSTRUCTIIONS POUR L ETUDIIANT Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE

Plus en détail

TV NUMERIQUE MOBILE : DU DVB-T AU DVB-H

TV NUMERIQUE MOBILE : DU DVB-T AU DVB-H 115189_TechnoN32 21/11/05 16:11 Page 56 56-57 : DU DVB-T AU DVB-H Gérard POUSSET, V.P. Marketing : Business Development chez DiBcom Grâce à ses circuits de traitement de signal spécifiques, DiBcom propose

Plus en détail

COMMUNE DE FELLETIN. P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 septembre 2011

COMMUNE DE FELLETIN. P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 septembre 2011 R E P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E DEPARTEMENT DE LA CREUSE ARRONDISSEMENT D AUBUSSON COMMUNE DE FELLETIN P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 eptembre

Plus en détail

Le transistor bipolaire. Page N 6 Tranlin

Le transistor bipolaire. Page N 6 Tranlin V. Etude d'un montage à 1 transtor. (montage charge répart ac découplage d'émetteur Pour toute la suite, on utilera comme exemple le schéma suivant appelé montage charge répart ac découplage d'émetteur

Plus en détail

s 1 un skatepark public 100 pages pour arrêter d improviser Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk

s 1 un skatepark public 100 pages pour arrêter d improviser Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk Contruire 1 un katepark public 100 page pour arrêter d improvier Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk 2 3 Contruire un katepark public 100 page pour arrêter d improvier Une publication

Plus en détail

Exemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations

Exemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations Exemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations Valérie Pommier-Budinger Bernard Mouton - Francois Vincent ISAE Institut Supérieur de l Aéronautique et de

Plus en détail

2. Garantie En cas de problème ou de question technique, vous pouvez contacter notre hotline au numéro indigo ci-contre :

2. Garantie En cas de problème ou de question technique, vous pouvez contacter notre hotline au numéro indigo ci-contre : 1. Important Prenez le temps de lire ce manuel utilisateur avant d utiliser votre antenne terrestre d intérieur. Ce manuel contient des informations importantes concernant le fonctionnement de votre antenne.

Plus en détail

ADSL. Étude d une LiveBox. 1. Environnement de la LiveBox TMRIM 2 EME TRIMESTRE LP CHATEAU BLANC 45120 CHALETTE/LOING NIVEAU :

ADSL. Étude d une LiveBox. 1. Environnement de la LiveBox TMRIM 2 EME TRIMESTRE LP CHATEAU BLANC 45120 CHALETTE/LOING NIVEAU : LP CHATEAU BLANC 45120 CHALETTE/LOING THEME : ADSL BAC PROFESSIONNEL MICRO- INFORMATIQUE ET RESEAUX : INSTALLATION ET MAINTENANCE ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS 2 EME TRIMESTRE NIVEAU : TMRIM Étude d une LiveBox

Plus en détail

Mesures en réception télévision

Mesures en réception télévision 1. Télévision terrestre analogique Rappels En bande terrestre analogique pour une prise utilisateur le niveau doit être compris entre 57 et 74 dbµv Ces niveaux sont donnés pour un signal de grande qualité.

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Scarlett Plug-in Suite

Scarlett Plug-in Suite Scarlett Plug-in Suite Mode d emploi FA0000-01 1 Contents Installation... 3 Activation du Logiciel... 3 Modules Scarlett Plug-in Suite... 5 Compressor... 5 EQ... 6 Gate... 7 Reverb... 9 2 Installation

Plus en détail

Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable

Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable RÉSUMÉ U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E par Lycée Victor Hugo - 25000

Plus en détail

QUELQUES RELATIONS ENTRE LES PRINCIPAUX MOMENTS REPRÉSENTATIFS DU RISQUE EN ASSURANCE AUTOMOBILE, SUR LA BASE D'UN ÉCHANTILLON SEGMENTÉ

QUELQUES RELATIONS ENTRE LES PRINCIPAUX MOMENTS REPRÉSENTATIFS DU RISQUE EN ASSURANCE AUTOMOBILE, SUR LA BASE D'UN ÉCHANTILLON SEGMENTÉ QUELQUES RELATIONS ENTRE LES RINIAUX MOMENTS RERÉSENTATIFS DU RISQUE EN ASSURANE AUTOMOBILE, SUR LA BASE D'UN ÉHANTILLON SEGMENTÉ I. INTRODUTION harles HELBRONNER Institut des Actuaires 1 La connaissance

Plus en détail

info-réseau Un projet partagé Chaque situation locale est particulière, mais toutes répondent à un même projet, Sommaire Éditorial

info-réseau Un projet partagé Chaque situation locale est particulière, mais toutes répondent à un même projet, Sommaire Éditorial info-réeau Journal d information du Comité National de Liaion de Régie de Quartier 62 N juillet 2014 Un projet partagé Sommaire 2-3 En direct de Régie À Libourne (33) et à Saint-Pierre-d Albigny (73) Portrait

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

Fiche technique Analyseurs de spectre portables: 9102 Handheld Spectrum Analyzer 9103 Handheld Spectrum Analyzer

Fiche technique Analyseurs de spectre portables: 9102 Handheld Spectrum Analyzer 9103 Handheld Spectrum Analyzer Fiche technique Analyseurs de spectre portables: 9102 Handheld Spectrum Analyzer 9103 Handheld Spectrum Analyzer boosting wireless efficiency Analyseurs de spectre portables : Willtek 9102 et 9103 Les

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

Chapitre. Chapitre 12. Fonctions de plusieurs variables. 1. Fonctions à valeurs réelles. 1.1 Définition. 1.2 Calcul de dérivées partielles

Chapitre. Chapitre 12. Fonctions de plusieurs variables. 1. Fonctions à valeurs réelles. 1.1 Définition. 1.2 Calcul de dérivées partielles 1 Chapitre Chapitre 1. Fonctions e plusieurs variables La TI-Nspire CAS permet e manipuler très simplement les onctions e plusieurs variables. Nous allons voir ans ce chapitre comment procéer, et éinir

Plus en détail

Compatibilité Électromagnétique

Compatibilité Électromagnétique Compatibilité Électromagnétique notions générales et applications à l électronique de puissance Ir. Stéphane COETS 18 mai 2005 Journée d étude en Électronique de Puissance 1 Plan de l exposé La Compatibilité

Plus en détail

BAC BLANC 2014 / CORRECTİON

BAC BLANC 2014 / CORRECTİON BAC BLANC 04 / CORRECİON EXERCİCE EXERCICE I :: Le L ÉLÉMEN saut de F IODE Baumgartner D HIER À AUJOURD HUI (6pts) (9 Première partie du saut : La orce d'attraction gravitationnelle qui s'exerce sur Félix

Plus en détail

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr Siège France Cadeaux 84 rue de Courbiac 17100 Sainte 00 33 (0)5 46 74 66 00 RC.424 290 211 00012 Cadeaux d affaire, cadeaux d entreprie, objet publicitaire www.france-cadeaux.fr - ervice@france-cadeaux.fr

Plus en détail

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le

Plus en détail

Le concept cellulaire

Le concept cellulaire Le concept cellulaire X. Lagrange Télécom Bretagne 21 Mars 2014 X. Lagrange (Télécom Bretagne) Le concept cellulaire 21/03/14 1 / 57 Introduction : Objectif du cours Soit un opérateur qui dispose d une

Plus en détail