Hémoptysie d'origine artérielle pulmonaire: du diagnostic à la thérapeutique
|
|
- Judith Lachance
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Hémoptysie d'origine artérielle pulmonaire: du diagnostic à la thérapeutique A Khalil, L Jarboui, R Dhiab, M Fartoukh, A Parrot, M-F Carette AP-HP, Hôpital Tenon, Paris UFR Pitié Salpêtrière site St-Antoine
2 Objectifs pédagogiques Connaître les mécanismes de l'hémoptysie d origine artérielle pulmonaire. Connaître les signes en angio-tdm volumique des hémoptysies d'origine artérielle pulmonaire. Connaître les possibilités thérapeutiques : radiologie interventionnelle et/ou chirurgie.
3 Protocole d acquisition Le but est de visualiser le mécanisme le plus fréquent d une hémoptysie à savoir les artères systémiques et les artères pulmonaires. Le déclenchement de l acquisition se fait avec un suivi de bolus, quant le rehaussement de l aorte atteint 150 UH (TDM 16 barettes) ou 200 UH (TDM 64 barettes). Débit : 3,5 ml/sec Quantité : Contraste: 80 ml Serum: 50 ml Direction : Cranio-caudale Partition : 0,75 mm Pitch : 1
4 Les images obtenues sont à analyser en MIP fin de 3 à 5mm
5 Angio-TDMV MIP 3mm dans le plan coronal
6 Angio-TDMV MPR haute résolution Axial parenchyme
7 Angio-TDMV Rendu de volume
8 DG? Faux anévrysme de Rasmussen (flèches) chez un patient hospitalisé pour une tuberculose active et une hémoptysie massive
9 les mécanismes de l'hémoptysie d origine artérielle pulmonaire
10 Hémoptysie et nécrose infectieuse Tuberculose et pneumopathie nécrotique Aspect normal: l artère bronchique est de taille normale (<1,5mm), la bronche à une paroi fine sans dilatation, elle est plus petite que l artère pulmonaire. Inflammation bronchique: l artère bronchique s hypertrophie, elle augmente de taille (>1,5mm), le parenchyme est le siège d un processus inflammatoire sans nécrose. L hémoptysie est d origine systémique. Pneumopathie nécrotique: En plus de l hypervascularisation systémique la nécrose peut éroder une artère pulmonaire provoquant une hémoptysie avec formation d un faux anévrysme artériel pulmonaire. Bronches Artères pulmonaires Artères bronchiques
11 Erosion de l artère pulmonaire avec la formation d un anévrysme de Rasmussen (flèche) chez un patient ayant une pneumopathie tuberculeuse nécrotique. Vasoocclusion de l artère pulmonaire. Absence de récidive.
12 Hémoptysie et cancer bronchique Le processus tumoral est en contact avec la lumière bronchique. Ce processus est vascularisé par les artères bronchiques. En cas de nécrose superficielle ou d inflammation localisée, l hémoptysie est d origine systémique artérielle bronchique. Tumeur Bronches Artères pulmonaires Artères bronchiques
13 Hémoptysie et cancer bronchique Le processus tumoral peut envahir les artère pulmonaires. En cas de nécrose tumorale importante, les artères pulmonaires peuvent être englobée dans ce processus nécrotique. Ceci aboutit à une hémoptysie d origine artérielle pulmonaire avec ou sans formation de faux anévrysme. Tumeur Bronches Artères pulmonaires Artères bronchiques
14 Artères bronchiques ou artères pulmonaires? Mr, C. âgé de 65 ans est suivi pour des dilatations de bronches. Il présentait une hémoptysie de ml. Une radiographie thoracique est pratiquée. Syndrome bronchique bilatéral avec des dilatations de bronches et une masse hilaire gauche excavée.
15 Artères bronchiques ou artères pulmonaires? Angio-TDMV en fenêtre parenchymateuse confirme le diagnostic de masse excavée hilaire gauche avec des dilatations de bronches diffuses.
16 MIP de 3mm dans le plan axial centrées sur la masse hilaire nécrotique montre une hypertrophie des artères bronchiques (flèches) et des artères pulmonaires sous segmentaires dans la paroi (têtes de flèches) de la masse nécrotique sans image faux anévrysme.
17 Artères bronchiques ou artères pulmonaires? Le patient a eu une embolisation bronchique. Six jours plus tard, récidive de l hémoptysie de 400 ml, la chirurgie est contre indiquée. Un deuxième angio-tdmv est effectué. L angio-tdmv montre un faux anévrysme d une branche de l artère pulmonaire (flèche)
18 MIP coronal MIP Sagittal VRT Angio Les reconstruction dans le plan coronal, sagittal en MIP fin et en rendu de volume montrent bien le faux anévrysme. L opacification sélective montre une bonne corrélation avec l angio-tdmv.
19 Hémoptysie et vascularite L hémoptysie dans la vascularite peut avoir un double mécanisme, systémique et pulmonaire. L occlusion artérielle pulmonaire (embolie cruorique ou artérite locale avec occlusion de l AP) provoquent une hypervascularisation systémique de suppléance pouvant être à l origine d une hémoptysie d origine systémique. Lés anévrysmes des AP au cours des vascularites (syndrome de Behçet ou d Hughes-Stovin) ont une inflammation pariétale pouvant s éroder dans la bronche et provoquer une hémoptysie massive. Bronches Artères pulmonaires Artères bronchiques
20 Mr C. âgé de 42 ans ayant une histoire de thrombose veineuse profonde et d embolie pulmonaire. Il est hospitalisé en réanimation pour une hémoptysie massive de 600 ml en 1 fois. Une radiographie thoracique est faite Hémoptysie et vascularite Masse hilaire droite avec opacité lobaire moyenne
21 Hémoptysie et vascularite * Angio-TDMV montre un anévrysme à paroi épaisse inflammatoire au dépend de l origine de l AP du lobe moyen. Il contient une bulle d air (flèche) secondaire à la communication avec la bronche (origine de l hémoptysie). * * Thrombose de l artère pulmonaire inférieure gauche(*), anévrysme artériel pulmonaire d une segmentaire du LSG (*) et du LIG associées (*) à une hypertrophie majeure des artères bronchiques (têtes de flèches)
22 Hémoptysie et vascularite
23 Hémoptysie et traumatisme Sonde de Swan-Ganz Le cathéter de Swan-Ganz est utilisé en réanimation pour la surveillance hémodynamique des patients fragiles. L emplacement trop distal de l extrémité du cathéter peut être à l origine de la rupture d une petite artère pulmonaire lors du gonflement du ballonnet créant un faux anévrysme AP. La rupture de ce faux anévrysme dans une bronche est à l origine d une hémoptysie. Cathéter de Swan-Ganz Bronches Artères pulmonaires Artères bronchiques
24 Hémoptysie: Artères bronchiques ou artères pulmonaires? Origine artérielle pulmonaire du saignement: <5% Principales causes en fonction des étiologies et du mécanisme: Artères pulmonaires Cavité de BK Takayashu Cancer excavé Behçet Aspergillose KT de Swan Ganz Artères bronchiques
25 Angio-TDMV Artères bronchiques ou artères pulmonaires? L hémoptysie d origine artérielle pulmonaire est un problème diagnostic des patients admis en soins intensifs pour le traitement d une hémoptysie. Le diagnostic adéquat et le traitement précoce diminue la morbidité et prévient la mortalité.
26 Angio-TDMV Artères bronchiques ou artères pulmonaires? Hémoptysie d origine artérielle pulmonaire n=13 (6,9%) Étiologies Tuberculose active n = 4 Maladie de Behçet n = 3 Cancer n = 2 Aspergillose invasive n = 1 Aspergillome n = 1 Pneumopathie nécrosante n = 1 Lymphome hodgkinien nécrosé n = 1 Khalil A, et al. Chest 2008;
27 Angio-TDM volumique: Artères bronchiques Taille normale n = 5 Hypertrophie des AB (>1.5 mm): n = 7 Premier traitement par vaso-occlusion n = 3 Embolisation des AB» Durant la première session n= 1» Récidive de l hémoptysie n = 2 (1S et 6M) Premier traitement par embolisation des AB n = 4 Vaso-occlusion des AP Hémoptysie fatale Angio-TDMV Artères bronchiques ou artères pulmonaires? n = 3 (<1W) n = 1 (<6H) La visualisation d AB hypertrophiée associée à un éventuel mécanisme artériel pulmonaire doit être traité dans la même séance ou programmé sinon le risque de récidive de l hémoptysie est important. Khalil A, et al. Chest 2008;
28 Angio-TDMV signes en faveur d origine artérielle pulmonaire d une hémoptysie Les signes angio-tdmv de l hémoptysie d origine artérielle pulmonaire: - Présence d un processus nécrotique (+) - Artère pulmonaire en contact direct avec une nécrose ou une excavation sans faux anévrysme artériel pulmonaire (++) - Visualisation d un faux anévrysme dans une nécrose ou dans la paroi d une cavité (++++) - Masse proximale excavée (++) - Anévrysme de Rasmussen (++++) - Maladie systémique avec anévrysme artériel pulmonaire (+++)
29 Angio-TDMV signes en faveur d origine artérielle pulmonaire d une hémoptysie Les signes angio-tdmv de l hémoptysie d origine artérielle pulmonaire: - Présence d un processus nécrotique Hémoptysie massive chez une patiente traitée pour une tuberculose. L angio-tdmv montre une condensation nécrotique du segment antérieur du LSD (flèche) associée à un faux anévrysme artériel pulmonaire (tête de flèche).
30 Angio-TDMV signes en faveur d origine artérielle pulmonaire d une hémoptysie Les signes angio-tdmv de l hémoptysie d origine artérielle pulmonaire: - Artère pulmonaire en contact direct avec une nécrose ou une excavation sans faux anévrysme artériel pulmonaire Aspergillose invasive chez un patient ayant une chimiothérapie pour LAM6. Hémoptysie de moyenne abondance, l angio-tdmv montre en fenêtre parenchymateuse deux lésions une à droite entourée par des surdensité en verre dépoli (flèche) et une à gauche avec un aspect de grelot (tête de flèche). Le saignement est à droite.
31 En fenêtre médiastinale, présence d un processus nécrotique avec une artère pulmonaire exposée au fond de la nécrose à droite et légèrement irrégulière. Vaso-occlusion de cette sous-segmentaire (hémoptysie lors de l opacification) sans récidive avec 4 mois de recul.
32 Angio-TDMV signes en faveur d origine artérielle pulmonaire d une hémoptysie Les signes angio-tdmv de l hémoptysie d origine artérielle pulmonaire: - Visualisation d un faux anévrysme dans une nécrose ou dans la paroi d une cavité
33 Angio-TDMV signes en faveur d origine artérielle pulmonaire d une hémoptysie Les signes angio-tdmv de l hémoptysie d origine artérielle pulmonaire: - Anévrysme de Rasmussen Patient hospitalisé pour une tuberculose bacilifère, il présente une hémoptysie massive (>1litre). L angio-tdmv montre un anévrysme de Rasmussen (flèche) lobaire inférieur gauche
34 Angio-TDMV signes en faveur d origine artérielle pulmonaire d une hémoptysie Les signes angio-tdm de l hémoptysie d origine artérielle pulmonaire: - Maladie systémique avec anévrysme artériel pulmonaire Hémoptysie chez un patient suivi pour une maladie de Behçet. L angio-tdmv montre deux anévrysmes du LID thrombosés dont un est entouré par une surdensité en verre dépoli. Mais
35 Mais hypertrophie des artères bronchiques comme conséquence de la thrombose artérielle pulmonaire. Traitement concomitant du versent systémique et artériel pulmonaire avec des ressorts. Angio-TDMV de contrôle. Le patient a reçu un traitement pour la maladie de Behçet, absence de récidive avec 2 ans de recul.
36 Traitement Hémoptysie d origine artérielle pulmonaire Les possibilités thérapeutiques sont: 1- le traitement médical Traitement de la maladie à l origine de l hémoptysie (antibiotique, chimiothérapie.) 2- Le traitement endovasculaire Ressorts, liquide ou prothèse couverte; le choix se fait en fonction de la configuration anatomique 3- Le traitement chirurgical Rarement à la phase aiguë sauf échec de la voie endovasculaire. A distance de l hémoptysie, discute un éventuel traitement de la lésion
37 Traitement Hémoptysie d origine artérielle pulmonaire 2- Le traitement endovasculaire Ressorts, liquide ou prothèse couverte; le choix se fait en fonction de la configuration anatomique Ressort: à distance de la nécrose, faux anévrysme avec un collet long. Liquide (Onyx R ): Collet court d un faux anévrysme ou nécessité d un traitement anti-coagulant. Prothèse couverte: Érosion des gros troncs avec nécessité de garder le vaisseau perméable.
38 Traitement endovasculaire Le Ressort Faux anévrysme artériel pulmonaire sur cancer proximal nécrotique. Aspect irrégulier de l origine de la sous-segmentaire probablement fragilisée par la nécrose. Le ressort a été déployé en amont même en occluant une sous-segmentaire saine. Absence de complication de l occlusion plus en amont chez ce patient. Absence de récidive avec un suivi de 24 mois sans chirurgie.
39 Traitement endovasculaire Le Ressort Faux anévrysme artériel pulmonaire (flèche) très distale sur tuberculose active (Anévrysme de Rasmussen) occlus par un micro ressort (tête de flèche). Pas de récidive.
40 Traitement endovasculaire Le Liquide (Onyx) * * * Faux anévrysme artériel pulmonaire (flèche) sur une pneumopathie nécrosante (*) à l origine d une hémoptysie et arrêt cardio-respiratoire. *
41 Traitement endovasculaire Le Liquide (Onyx) A B C D Angiographie sélective (A) confirme la présence d un faux anévrysme à collet court avec fuite de produit de contraste en aval. Cathétérisme sélectif avec un microcathéter et injection douce d Onyx (B, C). Le contrôle final (D), montre l occlusion du faux anévrysme d une façon satisfaisante.
42 Traitement endovasculaire Prothèse couverte Avril 2007 Septembre 2007 Patient suivi pour un cancer épidermoide hilaire gauche. Il est traité par radio-chimiothérapie. 5 mois après la fin du traitement survenue d une hémoptysie massive. TDM de fin de traitement (avril 2007) et lors de l hémoptysie (septembre 2007) Aspect irrégulier avec faux anévrysme de la paroi inférieure de l AP gauche (flèche)
43 Traitement endovasculaire Prothèse couverte Angiographie de l AP gauche de face confirme la présence d un faux anévrysme (flèche). Déploiement d une prothèse couverte. 8 mois après le patient à repris 11 kg avec disparition d une dysphonie. Diagnostic: Faux anévrysme de l AP gauche post radique.
44 Conclusion La connaissance de la physiopathologie de l hémoptysie d origine artérielle pulmonaire est fondamentale pour une bonne prise en charge d une hémoptysie. L angio-tdmv a fait avancer le diagnostic précoce de l origine artérielle pulmonaire. Les modalités thérapeutiques sont surtout endovasculaire avec un choix du matériel entre les ressorts, le liquide et les prothèses couvertes.
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailDr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger
Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailCancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailEMBOLIE PULMONAIRE. E Ferrari. Service de cardiologie. CHU Nice.
EMBOLIE PULMONAIRE E Ferrari. Service de cardiologie. CHU Nice. GENERALITES 1) Définition. L Embolie pulmonaire (EP) est la conséquence de l obstruction des artères pulmonaires ou de leurs branches par
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailRETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORAX
Marcelcave, le 10 février 2009 RETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORA Drs Marie-Claude LELEU et Pierre DUPONT 1 PRE TEST Vrai Faux Les complications chirurgicales après chirurgie thoracique sont fréquentes.
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailLe sevrage de la trachéotomie
Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMaladie des valves. Changer leur évolution. Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral
Maladie des valves Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral Quelques repères épidémiologie éditorial Pr Bernard Iung Quelques repères Les maladies des valves
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailChambres à cathéter implantables
Chambres à cathéter implantables Pas de conflits d intérêt avec le sujet traité APHAL Formation PPH Jeudi 19 mars 2015 Sébastien GEORGET Pharmacie Centre Psychothérapique de Nancy Définition (1) Définition
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailL'imputabilité et l'état antérieur dans le dommage corporel
L'imputabilité et l'état antérieur dans le dommage corporel Pr. Chadly Ali Service de Médecine Légale Hôpital Universitaire-Faculté de Médecine de Monastir Chadly.ali@rns.tn Introduction : L'imputabilité
Plus en détailB08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs
B08-1 B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs 1. I n t r o d u c t i o n La thrombose veineuse profonde (TVP) des membres inférieurs est indissociable de sa complication
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailEt si c était une embolie pulmonaire? Pierre Baril
La thrombo-embolie veineuse dévoilée Pierre Baril M me Élisa T., 53 ans, se présente au service d urgence ambulatoire en raison d une douleur thoracique droite associée à de la dyspnée dont elle souffre
Plus en détailEndocardites. Le candida albicans est parfois mis en cause, retrouvé sur culture en milieu de Sabouraud.
~ Échocardiographie - Doppler ~ 1 Échocardiographie - Doppler S. Lafitte, M. Lafitte, P. Réant, R. Roudaut C.H.U. de Bordeaux ~ Hôpital Cardiologique du Haut Lévêque Pessac ~ France Endocardites Sommaire
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailSinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés. Rapport protection juridique
2012 Sinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés Rapport protection juridique NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-10 NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-19
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailMANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998
Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailPREVENTION DE LA MALADIE THROMBO- EMBOLIQUE VEINEUSE (MTEV) EN PERI- OPERATOIRE QUOI DE NEUF?
PREVENTION DE LA MALADIE THROMBO- EMBOLIQUE VEINEUSE (MTEV) EN PERI- OPERATOIRE QUOI DE NEUF? Chokri Ben Hamida Service de réanimation médicale de Sfax La Thrombose une réalité qui tue La maladie thrombo-embolique
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailINTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX
INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX F. COLAS, R. CARLIER, C. LE BRETON, D. SAFA, D. MOMPOINT, F. ROFFI, E. M. KOCHEIDA, S. MOKHTARI, S. M KAOUAR, C. VALLÉE HÔPITAL RAYMOND
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailUn guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE
Un guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE Table des matières Introduction...2 Qu est-ce que la conscience?...3 Comment la conscience
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détail