EXPLORATION MORPHOLOGIQUE DE L INTESTIN GRÊLE EN 2015 DU TRANSIT DU GRÊLE A L ENTERO-IRM
|
|
- Claudette Gilbert
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AGELA association des Gastro-Entérologues Libéraux de L Algérois EXPLORATION MORPHOLOGIQUE DE L INTESTIN GRÊLE EN 2015 DU TRANSIT DU GRÊLE A L ENTERO-IRM R.SAICHI CHU MUSTAPHA ALGER SEMINAIRE DE FORMATION CONTINUE DE PATHOLOGIE DIGESTIVE AGELA HILTON ALGER 2015
2 INTRODUCTION -Les nouvelles techniques d exploration de l intestin grêle (Entéro- IRM et Entéroscanner) ont aujourd'hui pris la place du Transit du grêle, longtemps considéré comme l examen radiologique de référence. -L objectif de cette présentation est de décrire les différentes étapes de réalisation d un Entéroscanner et d une Entéro-IRM, et de définir leurs indications respectives dans l exploration de la pathologie de l intestin grêle afin d éviter des redondances ou des indications inutiles d examens d imagerie. Martin DR. Top Magn Reson Imaging 2005 Patak MA. Radiol Clin North Am 2005
3 Transit du grêle De réalisation de moins en moins fréquente voir exceptionnelle, Les lésions peuvent concerner la muqueuse et la paroi à type d ulcération, fistule, sténose Clichés de TG centrés sur le carrefour iléo-caecal Dernière anse iléale caecum Clichés de TG centrés sur la dernière anse iléale Lésions ulcéreuses et rétrécissement de la DAI
4 ENTERO SCANNER L entéro scanner est une méthode d exploration de l intestin grêle qui combine deux techniques (l entéroclyse et le scanner hélicoïdal),actuellement c est la meilleure méthode d exploration radiologique du grêle du fait sa résolution spatiale et sa rapidité de réalisation. Permet d étudier la totalité des segments de l intestin grêle, l ambiance péri-intestinale et les organes intra-abdominaux.
5 ENTERO SCANNER: COMMENT? Pose d une sonde naso jéjunale sous contrôle fluoroscopique chez un patient a jeun (6h) Administration d eau à l aide d un entéroclyseur avec un débit d injection d eau de 100 à 200 ml/min A défaut d entréroclyseur, on remplie le grêle par voie orale avec un mélange : eau (2/3) + produit hyperosmolaire type mannitol ou fortrans (1/3).
6 ENTERO SCANNER POUR QUI? Maladie de Crohn Tumeurs de l intestin grêle +++ Occlusion du grêle +++ Maladie cœliaque réfractaire Anémie chronique Certaines anomalies vasculaires (angiomatose)
7 PROTOCOLE D EXPLORATION Injection IV d un anti spasmodique (spasfon) pour obtenir de l hypotonie. Hélice abdominopelvienne en basse dose. Hélice AP après injection IV de produit de contraste iodé au temps parenchymateux (60 à 70 s). Lecture des images sur console et reformatage multiplanaire
8 AVANTAGES LIMITES Accessible. Réalisation facile. Bonne tolérance. Bonne résolution spatiale. Durée d examen courte (environ 10 MN) Irradiation. Effets secondaires liés aux produits iodés. Contre indiqué chez la femme enceinte.
9 Irradiation 0,5-1 msv (entéroclyse) + 6 msv (scanner): Schmidt et al. Eur Radiol 2005 (Max=13mSv),avec un danger réel pour des doses >35mSv L irradiation est un mal caché et une véritable bombe à retardement qu il faut savoir maitriser!
10 RÉSULTAT NORMAL AXIALE CORONALE
11 MALADIE DE CROHN Maladie inflammatoire chronique du tractus gastro-intestinal caractérisée par une atteinte élective du grêle terminal prédominante. Atteinte transmurale, segmentaire. Evolution chronique de la maladie, par des poussées entrecoupées par des phases de rémission. Diagnostic: repose sur un faisceau d arguments cliniques, radiologiques et histologiques.
12 SÉMIOLOGIE TDM Forme aigue: Signes pariétaux Epaississement pariétal: aspect stratifié, en cible >à 3 mm sur anse bien distendue ( en général 1à 2 cm en cas de MC). Rehaussement intense: muqueuse et séreuse et œdème de la sous muqueuse: image en cible (lésion active) Sténose et dilatation pré-sténotique.
13 *Iléite terminale inflammatoire Maladie de Crohn
14 *Epaississement iléal distal étendu, rehaussé après contraste *Important phénomène inflammatoire +(signe peigne) *Abcès mésentérique
15 Diagnostic différentiel Tuberculose iléo-caecale: les signes sont similaires à celles de la maladie de Crohn, en faveur de la tuberculose on retient: *le caractère modéré de l infiltration de la graisse mésentérique *la fréquence moins élevée des fistules *le caractère nécrosé des adénopathies et leur taille plus grande - Épaississement pariétal de la dernière anse iléale - Collection de la fosse iliaque droite - Rehaussement du péritoine pariétal - Coulée d adénopathies à centre nécrosé
16 SÉMIOLOGIE TDM Signes extra-pariétaux: Infiltration de la graisse : travées hypodenses. Engorgement vasculaire (Vasa Recti) : «signe du peigne». Adénomégalies inflammatoires. Complications extramurales : phlegmons, abcès.
17 - Epaississement pariétal avec œdème de la sous muqueuse -Sclérolipomatose -Multiples ganglions mésentériques Atteinte de l intestin grêle proximal
18 * ILÉITE TERMINALE STENOSANTE. * COLITE. * APPENDICITE SECONDAIRE. * SIGNE DU PEIGNE DE LA GRAISSE, SIÈGE D ADÉNOPATHIE INFLAMMATOIRE.
19 *Epaississement du carrefour iléo caecal et du bas fond caecal *Sténosant avec distension en amont. *Avec un appendicite secondaire, et densification de la graisse mésentérique
20 * épaississement iléale multifocal * sténosant au niveau du flanc droit avec distension du segment d amont
21 Forme chronique: Transformation graisseuse de la sous-muqueuse: «Fat-halo Sign». Atteinte de la graisse mésentérique: sclérolipomatose.
22 les complications abdominales: Les fistules entéro-entérales, entéro-coliques et entéro-vésicales. Abcès et des phlegmons. l atteinte colique. Evaluation des occlusions de bas grade: -Siège de l obstacle. -Caractérisation des sténoses: inflammatoire ou fibreuse. -Étendue de la sténose.
23 *Iléite terminale sténosante occlusive
24 *Invagination iléo caecale *iléite terminale inflammatoire
25 *Double foyers d épaississement pariétal iléal *Volumineuse masse tumorale pariétale Tumeur desmoide
26 FISTULE ENTÉRO-ENTÉRALE
27 COLLECTION ET ABCÈS Atteinte multifocale (jéjunum et iléon distal)
28 Autres indications de l enteroscanner
29 TUMEUR STROMALE DU JÉJUNUM PROXIMAL
30 TUMEUR CARCINOÏDE DU GRÊLE
31 MÉTASTASE DU GRÊLE D UN CARCINOME OVARIEN
32 SYNDROME DE PEUTZ JEGHERS POLYPES HAMARTOMATEUX MULTIPLES
33 MALADIE COELIAQUE Jéjunisation de l iléon Aspect de grêle inversé
34 ENTERO IRM
35 INTRODUCTION L entéro IRM est un examen fiable, simple et non irradiant pour l exploration du grêle particulièrement dans la maladie de Crohn. permet l analyse des anomalies pariétales transmurales et des anomalies extramurales. Intéressante pour l évaluation de l inflammation et la recherche de complications.
36 ENTERO IRM POUR QUI? Maladie de Crohn Tumeurs de l intestin grêle +++ Occlusion du grêle +++ Maladie cœliaque réfractaire Anémie chronique Certaines anomalies vasculaires (angiomatose)
37 Objectifs de l IRM dans la maladie de Crohn Faire le diagnostic de MC du grêle Non (capsule, endoscopie, biologie) Faire une cartographie de la maladie Oui +++ Diagnostiquer les complications fistule, abcès, sténose Evaluer l activité inflammatoire -Score?
38 TECHNIQUE Un jeûn d environ six heures. Remplissage de la lumière intestinale par entéroclyse ou voie orale+++ (meilleure tolérance). produits de contraste: -positifs (chélates de gadolinium). -biphasiques +++ (l eau + manitol,peg...). Antispasmodique IV ou IM avant l acquisition (glucagon). Installation du patient en décubitus ventral, favorise la compression des anses.
39 PROTOCOLE D EXAMEN coupes coronales T2 en ½ plan de Fourier (SSFSE, Haste) coupes coronales True FISP coupes coronales 3D sans injection (Lava, Thrive, Vibe) coupes coronales 3D après injection au temps portal, temps tardif (5-10 min) un autre plan (axial) en T2 et/ou après gadolinium On peut ajouter selon les machines et les équipes : Séquence coronale dynamique (ciné-irm) Diffusion ++++ Durée de l examen : environ 25 minutes.
40 AVANTAGES LIMITES Absence d irradiation. Possibilité chez les femmes enceintes, sans injection de chélates de gadolinium. Résolution en contraste acceptable, avec possibilité de combiner les séquences. analyse fonctionnelle (ciné-irm). Faible toxicité du gadolinium. Acquisition d emblée multiplanaire explorer le colon et le périnée en même temps. Résolutions temporelle et spatiale. Artéfacts de mouvements d origine respiratoire ou digestive Longueur, coût, accessibilité. Contre-indications à l IRM et à l injection de gadolinium.
41 Entéro IRM: aspect normal : séquence T2 séquence T1 injecté Rehaussement normal de la paroi du grêle
42 Pseudo épaississement Après remplissage
43 SÉMIOLOGIE IRM Anomalies pariétales: Epaississement pariétal Rehaussement pariétal «en cible» Dilatation pré- sténotique Hyper signal T2 pariétal :œdème de la sous-muqueuse (signes d activité inflammatoire) Ulcérations profondes
44 1-Anomalies pariétales: Hypersignal T2 pariétal: Correspond à un oedème de la sous muqueuse et évoque l activité inflammatoire de la maladie. Hyper signal pariétal en T2 et diffusion
45 Ulcérations profondes: Elles se présentent sous la forme d une érosion de la paroi ne dépassant pas la limite externe, en hypersignal T2. Ulcérations profondes
46 Atteinte inflammatoire active de: *la dernière anse iléale et du *bas fond caecale
47 *Iléite terminale en poussée inflammatoire *Etendue a la valvule de Bauhin.
48 Anomalies extra pariétales: Fistules (entéro-entérales, entérocoliques, entérovésicales, entérocutanées). Masse inflammatoire (infiltration de la graisse péridigestive) Abcès Hypervascularisation du mésentère Sclérolipomatose (augmentation de la graisse autour d une anse pathologique) Ganglions mésentériques
49 Entéro-IRM : séquences T1 SANS INJECTION TEMPS PRECOCE Prise de contraste inflammatoire en cible TEMPS TARDIF
50 Iléite distale active étendue au colon transverse un autre foyer d épaississement inflammatoire colique gauche
51 ILÉITE DISTALE PRÉ ANASTOMOTIQUE
52 STÉNOSE ET DILATATION
53 Iléite bifocale :* la dernière anse et * une anse iléale distale Attraction des deux anses iléales épaissies et du *sigmoïde, en regard suggérant des *fistules iléo iléale et * iléo sigmoïdienne.
54 Iléite terminale avec fistule iléo-cutanée
55 Maladie de Crohn: Fistule extra sphinctérienne gauche se drainant vers le périnée postérieur à 6H Maladie de Crohn: Fistule en fer à cheval T1 Fat Sat + Gado
56 Atteinte ancienne: fibreuse T1 SANS GADO PAS DE REHAUSSEMENT T1 AVEC GADO
57 Atteinte ancienne Infiltration graisseuse de la paroi en hypersignal T2 identique à la graisse et en hyposignal T1 avec saturation de graisse témoin de lésion ancienne
58 Evaluation de l inflammation en IRM
59 Pourquoi évaluer l inflammation en imagerie? Décision thérapeutique (Traitement médical ou chirurgical) Evaluation de l efficacité thérapeutique Evaluation des lésions au-delà de la muqueuse Pour apprécier la cicatrisation transmurale en plus de la cicatrisation muqueuse = aide à la décision d arrêt des traitements
60 Buisson, Aliment Pharmacol Ther 2013 Hordonneau, AJG 2013 Bouhnik, ECCO 2013 Steward, Eur J Radiology 2012 Makanyanga, Eur Radiol 2014 Scores radiologiques d inflammation MaRIA: mesure quantitative, objective et reproductible de l activité inflammatoire Barcelone, -Premier publié et validé Score de diffusion de Clermont MaRIA + Diffusion 1.646*épaisseur paroi *ADC *oedème * ulcérations Score CDAS (Londres) épaisseur paroi score signal T2 paroi Validation : endoscopie + histologie Score du GETAID : CDMRIS
61 Score MaRIA L analyse au niveau de la paroi du segment digestif le plus atteint, le cas échéant, l analyse au niveau de la paroi de la dernière anse des 4 paramètres suivants permet de calculer le score IRM: score MaRIA: Epaisseur : mm Hyper signal T2 : Oui / Non Rehaussement à 70 s : % Ulcération : Oui/Non Ce score est calculé selon la formule suivante: 1,5 x paroi (mm) + 5 (si œdème) + 10 (si ulcération) x RCE RCE: Rapport de contraste
62 Score MaRIA Le calcul du score MaRIA permet de classer la maladie de Crohn (MC) comme suit : Score < 7: MC inactive 7< Score <13: MC active Score > 13: MC sévère
63 AUTRES INDICATIONS DE L ENTERO IRM
64 TUMEUR STROMALE DU JEJUNUM
65 TUMEUR CARCINOÏDE
66 ADÉNOCARCINOME GRELIQUE épaississement circonférentiel avec dilatation d amont T2 T1 GADO
67 Lymphome de l iléon terminal T2 T2 T2 Fat Sat T1 Fat Sat+Gado Patiente de 82 ans, Masse tissulaire de l iléon terminal, discrète majoration du signal en T2, iso signal T1, augmentation modéré du signal après injection de Gadolinium
68 léiomyome Patiente de 60 ans présentant un léiomyome du grêle On retrouve une lésion bien délimitée arrondie, prenant fortement le contraste
69 SYNDROME DE PEUTZ JEGHERS POLYPES HAMARTOMATEUX
70 ANOMALIES VASCULAIRES DU GRELE Angiomatose du grêle
71 MALADIE CAELIAQUE Jéjunisation de l iléon
72 Les 5 points forts 1-Entéroscanner et Entéro IRM ont prouvé leurs performances diagnostiques et ont détrôné le transit du grêle. 2-L entéroscanner dans la maladie de Crohn permet, d établir une cartographie précise des lésions et de leurs complications mais reste un examen irradiant, il sera privilégié pour la détection tumorale. 3-l entéro IRM est l examen de référence pour la maladie de Crohn, en plus de la cartographie lésionnelle apprécie l activité inflammatoire (sténose fibreuse ou inflammatoire) 4-Véritable outil d évaluation et de surveillance en raison de son caractère non invasif, non irradiant, et de son excellente résolution en contraste 5-Plusieurs scores d inflammation disponibles (lequel choisir?) :MaRIA +++
73 Pourquoi du TG à l entéro-irm? IRRADIATION +++ sujets jeunes examens répétés (surveillance)
74 Merci
Apport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailMise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme
Mise au point sur l IRM l et les troubles de la statique pelvienne chez la femme V.FAUTH P.MESTDAGH M.COSSON J.P.LUCOT E.PONCELET Service d imagerie d médicalem Hôpital Jeanne de Flandres - CHRU Lille
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailEntérocolpodéfécographie associée à l'étude du temps de transit colique: procédure diagnostique pour exécution en même temps.
Entérocolpodéfécographie associée à l'étude du temps de transit colique: procédure diagnostique pour exécution en même temps. Marco Estienne, Piero Glorialanza, Veronica Giasotto, Fabrizio Gandolfo, Marianella
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailJanvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA
Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER
Plus en détailPathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie
Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Szwarc D.(1), Bour L.(1), Chapron J.(2), Gibault L.(3), Gouya H.(1), Abdelli O.(1), Fregeville A.(1), Silvera
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailL Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit le surpoids comme un IMC égal ou supérieur à 25 l obésité comme un IMC égal ou supérieur à 30
Introduction L obésité est une maladie susceptible d entraîner de multiples complications altérant la qualité et l espérance de vie des patients. Sa fréquence est en augmentation et elle constitue désormais
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailLombalgies inflammatoires de l homme jeune
Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Auteur : Dr Éric TOUSSIROT, Besançon Comité éditorial : Dr Laure GOSSEC, Paris Dr Henri NATAF, Mantes-La-Jolie Relecteurs CFMR : Pr Bernard DUQUESNOY, Lille Pr
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailUN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C
CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que
Plus en détailSITUS INVERSUS ET MESENTERE COMMUN : A PROPOS D UN CAS REVELE PAR UNE INVAGINATION INTESTINALE AIGUE CHEZ UN GARÇON DE 15 ANS
SITUS INVERSUS ET MESENTERE COMMUN : A PROPOS D UN CAS REVELE PAR UNE INVAGINATION INTESTINALE AIGUE CHEZ UN GARÇON DE 15 ANS CHARDOT C., LECOEUR J., HABINEZA C., RUDAKUBANA C., HITIMANA L., HUSSEIN A.
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailCase report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access
Case report Open Access Hernie de Spiegel: a propos d un cas Karim Ibn Majdoub Hassani 1,&, Fatimzohra Zahid 1, Hicham Anoune 1, Imane Toughrai 1, Said Ait Laalim 1, Khalid Mazaz 1 1 Service de chirurgie
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détail«J ai mal au ventre» :
«J ai mal au ventre» : La douleur abdominale chronique Georges Ghattas, MD Présenté à la Journée d éducation médicale continue de l Université de Montréal, le 10 octobre 2003. Il n existe pas d algorithme
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailDr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger
Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailMI1:Métabolisme et Nutrition Séméiologie des troubles du transit Année universitaire 2007-2008
Introduction Séméiologie des troubles du transit Dans sociétés occidentales, où la quantité de fibres alimentaires est faible, le transit digestif normal se manifeste par : émission de selle de consistance
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS DU REIN PAR RADIOFRÉQUENCE
TRAITEMENT DES TUMEURS DU REIN PAR RADIOFRÉQUENCE J. M. COR- REAS ET COLL. par J.M. CORREAS*, A. MÉJEAN**, D. JOLY*** et O. HÉLÉNON* Le développement du traitement faiblement invasif des cancers du rein
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailMaladies inflammatoires chroniques intestinales: une approche globale
World Gastroenterology Organisation Global Guidelines Maladies inflammatoires chroniques intestinales: une approche globale juin 2009 Reviewers Dr. Charles N. Bernstein (président, Canada) Prof. Michael
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détail