Métastases synchrones des cancers rectaux
|
|
- Francine Bellefleur
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Métastases synchrones des cancers rectaux Dr Olivier Dubreuil Oncologie Digestive La Pitié-Salpêtrière, Paris
2 Objectifs pédagogiques Avantages et inconvénients stratégiques de la radiothérapie, de la chimiothérapie et de la chirurgie dans la phase métastatique
3 Les métastases hépatiques synchrones (MHS) : Prise en charge difficile Synchrones Métachrones Résection colorectale 62% 100% Résection hépatique 7% 20% Survie à 5 ans 11% 30% Pas d attitude consensuelle (études faible NP) Manfredi et al., Ann Surg
4 Cancer du rectum métastatique Faut-il privilégier: Le traitement loco-régional? Le traitement systémique? Risque de progression des lésions secondaires hépatiques, pulmonaires... Risque de progression de la tumeur primitive douleurs++, troubles neurologiques...
5
6
7
8 Quelles stratégies? Les métastases hépatiques sont-elles - résécables (classe I) - potentiellement résécables (classe II) - non résécables (classe III) Le cancer du bas rectum est-il - symptomatique ou compliqué - asymptomatique localement avancé (CRM < 1 mm) - non localement avancé (résection R0 possible)
9 Métastases résécables Deux questions : Comment traiter? Modifications du «traitement standard» - du cancer rectal? - des métastases? Quand réséquer? - Chirurgie en un ou deux temps? - Avant ou après CT?
10 Métastases résécables Analyse des Facteurs influençant la stratégie: Liés à la tumeur primitive : Haut / Bas et moyen rectum => résection plus aisée T1-T2 N0 : pas de traitement pré-op T3-T4 NX => IRM pour apprécier la marge circonférentielle et RT-CT ou RT courte?
11 Métastases résécables Liés aux métastases : Indication d une CT péri-opératoire (Nordlinger B, 2008) Augmente la survie sans récidive Importance de l extension métastatique qui conditionne - le type d hépatectomie simple (classe I) complexe (classe II) - le risque de non résécabilité en cas de progression?
12 CAS n 1: TP symptomatique + MHS non résécables Mauvais pronostic : maladie localement avancée Quel traitement de 1 ère intention pour traiter les symptômes? Chirurgie d exérèse rectale Traitement local (endoscopique ou chirurgical) Chimiothérapie Radiochimiothérapie Toutes les options peuvent se discuter Il n y a pas d essai randomisé qui comparent ces options RPC Gastroentérol Clin Biol 2005 Recommandations HAS-INCa 2011
13 Exérèse rectale Avantages - Les symptômes (douleur, hémorragie, obstruction) : 95% - Bilan d extension précis - Facilite la chimiothérapie Problèmes - Risque de chirurgie incomplète (R1-R2) - Risque de chirurgie non conservatrice (stomie définitive QdV) - Mortalité : 1-11% - Morbidité : 15-33% - Absence de chimiothérapie postopératoire: 10% Longo WE, Dis Colon Rectum 1998 Chu QD, J Surg Oncol 2002 Poutlsides, JCO 2009 Nash G et al., Ann Surg Oncol 2002
14 Gestes endoscopiques Endoprothèse - Ne traite que l occlusion - Risque de douleurs et migration ++ (colostomie) Exérèse partielle par TEM ou laser - efficacité : 80% Stipa F, Anticancer Res 2004 Türler A, Scand J Gastroenterol 1997 Kimmey MB,J Gastrointest Surg 2004 Fazio VW, J Gastrointest Surg 2004 Jakobs R, Z Gastroenterol 2002
15 La chimiothérapie Chau I, Lancet Oncol pts Réponse objective en IRM: 88% Réponse clinique : Réponse histologique* *Karoui M et al., Ann Surg Oncol 2008 TRG2 Poultsides G et al., J Clin Oncol 2009 Cameron S et al., BMC Cancer 2009
16 La radiochimiothérapie Avantages - Contrôle des symptômes 80% à 1 an - Morbidité < 10% - Taux de colostomie à 1 an : 21% - Permet de traiter la maladie métastatique Crane CH et al., Int J Radiat Oncol Biol Phys 2001 Problèmes? - Chimiothérapie non optimale sur les métastases
17 L expérience Rouennaise n = 96 K rectum symptomatique avec MHS Etude rétrospective Critère principal de jugement : la résolution des symptômes liés à la TP Exérèse rectale d emblée* RCT puis exérèse rectale RCT CT n Persistance des symptômes 0% 7% 35% 25% * HR 2.80 [ ], p<0.001 Mortalité 2% Morbidité 23% Stomie définitive 20% Tougeron D, Gastroenterol Clin Biol 2009
18 CAS n 1: TP symptomatique + MHS non résécables En l absence de complications relevant d une chirurgie ou d un traitement endoscopique en urgence, la RCT représente l option la plus appropriée: - elle permet un contrôle des symptômes chez plus de 80% des malades, - elle est associée à un taux de complications faibles, - elle permet de débuter un traitement non différé des MH (non optimal) - elle préserve la qualité de vie. RPC Gastroentérol Clin Biol 2005 Recommandations HAS-INCa 2011
19 CAS n 2: TP Asymptomatique + MHS non résécables Quel traitement de 1 ère intention? Chirurgie d exérèse rectale +/- RCT néoadjuvante Chimiothérapie puis traitement adapté à la réponse tumorale Les 2 options peuvent se discuter Il n y a pas d essai randomisé qui comparent ces options RPC Gastroentérol Clin Biol 2005 Recommandations HAS-INCa 2011
20 Exérèse rectale Avantages - Bilan extension précis - Prévient le risque de complications liées à la TP en place (<10%) Problèmes - Morbidité postopératoire Risque de retarder la chimiothérapie Benoist et al., Br J Surg 2005
21 Résultats de l exérèse carcinologique Rapport de l AFC patients Résultats n (%) Mortalité 32 (2,4) Morbidité chirurgicale 364 (27) Fistule anastomotique 160 (12) Morbidité médicale 332 (25) Réopération 188 (14) Hospitalisation 12 j (1-98) Rapport de l AFC, Paris 2009
22 Survie à 3 ans: 73% Vs 35% Smith et al., Ann Surg Oncol 2013
23 Résection colorectale R0 R1 Métastases hépatiques Connues (n = 112) 73 % 27% Non connues (n = 158) 85 % 15% p 0.03 Récidive intra-abdominale extrahépatique P<0.001 Eur J Surg Oncol 2008
24 La chimiothérapie Avantages - Traite la maladie métastatique sans délai - Efficace sur la tumeur primitive Karoui M, Ann Surg Oncol 2008 Chau I, Lancet Oncol 2010 Problèmes - Absence de facteur prédictif de complications 11% Poultsides et al., J Clin Oncol Chirurgie en urgence pour complications : morbidité, stomie ++ - Risque de progression locale?
25 Chirurgie vs. Chimiothérapie : impact sur la survie? - Impact sur la qualité de vie?
26 CAS n 2: TP Asymptomatique + MHS non résécables La chimiothérapie première représente l option la plus appropriée: - elle permet de traiter sans délai la maladie métastatique, - elle est associée à un taux faible de complications locales (<10%), traitement adapté à la réponse (chirurgie ou 2 ème ligne) RPC Gastroentérol Clin Biol 2005 Recommandations HAS-INCa 2011
27 CAS n 3: K rectum + MHS résécables Objectif CURATIF Stratégie dépend : - Extension du K rectum (RCT néoadjuvante?) - Extension de la maladie métastatique (hépatectomie) - Patient (état général, âge) 1- La présence des MH synchrones doit faire modifier le traitement pré-opératoire du K du rectum? 2- Quand faut il opérer les MH synchrones?
28 Faut-il modifier le traitement néoadjuvant d un K rectum + MHS résécables? Tumeur T1-T2 N0: pas de traitement néoadjuvant. Tumeur T2 (très basse) T3-T4 et/ ou N+ (CRM < 1 mm) traitement néoadjuvant par RCT Traitement dépend de l extension de la maladie métastatique
29 OUI MAIS non optimal sur les MHS? Faut-il modifier le traitement néoadjuvant d un K rectum + MHS résécables? 1 er cas: la maladie métastatique est peu étendue Gérard JP, J Clin Oncol 2006 RCT (CAP 50) > RT seule: - Taux de stérilisation tumorale : 11% vs 4% - Taux de récidive locale à 5 ans : 8% vs 16,5% - Mais toxicité grade III-IV : 14% vs 2%
30 Critères d inclusion malades opérés pour un cancer du rectum à l Hôpital Ambroise Paré 20 malades sélectionnés Tumeur du moyen ou bas rectum localement évoluée ut3-t4 +/- N+ avec marge latérale < 2mm à l IRM MH résécables Traités par radio-chimiothérapie première Manceau G. et al, SFCD-ACHBT 2009
31 Protocole radio-chimiothérapie Radiothérapie Dose : Grays Etalement : 5 semaines Chimiothérapie Drogues 5FU : 4 Capécitabine: 3 A base d oxaliplatine : 13 Manceau G. et al, SFCD-ACHBT 2009
32 Résultats 41 MH étudiées chez les 20 malades Taille moyenne initiale : 2,3 ± 1,8 cm Réponse selon RECIST: Toutes les lésions (n=41) Avec RCT à base oxaliplatine (n=25) Avec RCT à base 5FU (n=16) Réponse complète Réponse partielle Stabilisation Progression Manceau G. et al, SFCD-ACHBT 2009
33 Facteurs associés à réponse/stabilité (analyse univariée) Stable ou réponse n = 34 Progression n = 7 p Drogues chimio - 5FU / oxaliplatine 7 / 27 6 / 1 0,002 Schéma Chimio ème / Hebdomadaire 3 / 15 2 / 5 NS Nombre de cures 3,9 ± 1,6 4,1 ± 1,2 0,879 MH - Taille moyenne avant RCT 2,3 ± 1,9 2,2 ± 1,2 0,848 - Nécrose initiale 2 1 0,479 Manceau G. et al, SFCD-ACHBT 2009
34 Conclusions Au cours d une radio-chimiothérapie pour cancer du rectum avec MH synchrone Une stabilité ou une réponse objective des MH : Plus de 80% des cas Plus de 95% en cas d utilisation oxaliplatine Evolution des MH pendant radio-chimiothérapie N a jamais compromis une stratégie curative lorsqu elles étaient initialement résécables N a jamais permis une stratégie curative lorsqu elles étaient initialement potentiellement résécables Manceau G. et al, SFCD-ACHBT 2009
35 Traitement néo-adjuvant d un K rectal avec MH synchrones résécables Cependant... Toxicité ++ Gerard JP, J Clin Oncol 2012; Aschele C, J Clin Oncol 2009 diminution significative du risque métastatique R Capecitabine 1650 mg/m² 5j/7 5FUc IV 225mg/m² 5j/7 R Oxaliplatine 50 mg/m² hebdo rien NS. Roh et al., ASCO 2011, A#3503 Oxali Pas d oxali p pcr 21% 19% NS Préservation Sphinctérienne 60% 64% NS Réduction tumorale 19% 23% NS Diarrhée % 7% 0,0001
36 Faut-il modifier le traitement néoadjuvant d un K rectum + MHS résécables? 2ème cas: la maladie métastatique est étendue PRIORITE aux lésions METASTATIQUES RCT (5FU +/- oxali) néoadjuvante non optimale RCT intensifiée (Bevacizumab, Cetuximab)? Radiothérapie courte puis chimiothérapie néo-adjuvante Ou l inverse... Cetuximab, Bevacizumab? Chimiothérapie première Dewdney et al., ASCO 2011, A3513 Van Dijk et al, Ann of Oncol March 2013
37 Faut-il modifier le traitement néoadjuvant d un K rectum + MHS résécables? Tumeur T3-T4 et/ ou N+ (CRM > 1 mm) traitement néoadjuvant doit se discuter ( Tx de RL) 1 er cas: la maladie métastatique est peu étendue Chirurgie d emblée (-) RT courte (5x5 TME J7) RCT (+oxaliplatine?) 2ème cas: la maladie métastatique est étendue Chimiothérapie+++
38 Quand opérer les métastases hépatiques? Avant la lésion rectale? Après la lésion rectale? Exérèse simultanée?
39 Quand opérer les MH par rapport au K du rectum? Exérèse simultanée Morbidité Faisable morbidité durée hospitalisation Survie identique Facteurs prédictifs de morbidité: - hépatectomie majeure - âge > 70 ans Pas d étude spécifique au rectum
40 Pas d exérèse simultanée si: Patient Agé Découverte per-op des métastases Chirurgie complexe (foie ou rectum) Chirurgie en urgence
41 Quand opérer les MH par rapport au K du rectum? Exérèse différée Classique : Rectum puis Foie Avantages - Eviter la progression et les complications de la TP - Faciliter la chimiothérapie Problèmes - Risque de progression de la maladie métastatique - Délai ou absence de chimiothérapie si morbidité chirurgicale
42 Quand opérer les MH par rapport au K du rectum? Reverse : Foie puis Rectum
43 Reverse : Foie puis Rectum Ayez et al. Dis Colon Rectum 2013
44 Reverse : Foie puis Rectum Survie globale médiane de 49 mois [34-64] Taux de survie à 1 an de 98%, à 3 ans de 60% et 43% à 5 ans 74% des patients ont pu avoir le traitement complet: Survie globale médiane de 69 mois [30-108] Taux de survie à 1 an de 100%, à 3 ans de 79% et 67% à 5 ans Analyse rétrospective sans groupe contrôle... Ayez et al. Dis Colon Rectum 2013
45 CAS n 3: K rectum + MHS résécables - Le traitement est curatif (traitement optimal des 2 sites +++) - La présence de MHS ne doit pas modifier les indications de traitement néoadjuvant - Stratégie : traiter en 1 er le site tumoral le plus évolué RPC Gastroentérol Clin Biol 2005 Recommandations HAS-INCa 2011
46 ETUDE DE PHASE II : TRAITEMENT DE PREMIERE LIGNE PAR FOLFIRINOX POUR LES PATIENTS AYANT UN CANCER DU RECTUM AVEC METASTASES SYNCHRONES NON RESECABLES FFCD 1102 Objectif principal Taux de contrôle tumoral à 4 mois (tumeur primitive & méta)
47 CONCLUSION La chirurgie rectale est difficile et morbide Les complications post-op grèvent le pronostic de la maladie Mais c est la meilleure pour le contrôle des symptômes locaux La RCT sous-traite peut-être la maladie hépatique Faut-il maintenir l oxaliplatine? Bon contrôle local, peu morbide La chimiothérapie non spécifique Pas de facteur prédictif d efficacité Mais permet de traiter a priori efficacement les 2 sites
48 CONCLUSION Pas d attitude consensuelle dans la majorité des cas Pas d étude contrôlée randomisée dans cette situation Equilibre entre les meilleurs traitements pour chaque site atteint Décision en fonction de la taille, la masse tumorale, les symptômes... Discussion multi-disciplinaire+++
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailSession plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438
CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailChimiotherapie neo-adjuvantes dans les cancers du rectum : perspectives
e-mémoires de l'académie Nationale de Chirurgie, 2015, 14 (1) : 075-081 75 Chimiotherapie neo-adjuvantes da les cancers du rectum : perspectives Neoadjuvant Chemotherapy in the Treatment of Locally Advanced
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailLe point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes
Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailTumeurs rectales Bilan initial et Imagerie
Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Ou en est on plus de 10 ans après? Valérie LAURENT(1) François JAUSSET (1) Laurence CHONE(2) Laurent BRESLER(3) Adeline GERMAIN (3) Thibaut FOUQUET(3) Didier
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailLA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi?
LA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi? P. Martinive (1), D. Vandaele (2), E. Lennerts (3), M. Polus (2), C. Coimbra (4), L. Kohnen (4), J. Vanderick (1), J. Collignon (5),
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailInnovation. Research. Care. Excellence
n e w s l e t t e r 6 - j u i n 2 0 0 8 Innovation Research Care Excellence Dans ce numéro Spécial Cancer colorectal le groupe fête ses 10 ans La chirurgie pour cancer colorectal en 2008 Progrès dans le
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailQu est-ce que le cancer du pancréas?
Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailTraitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008
Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traiter un symptôme Position du problème Ampleur de la plainte Histoire naturelle Mode de prise en charge actuelle Règles hygiéniques Rééducation
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailclinique d un médicament
DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer colorectal
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer colorectal Février 2008 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailBilan du suivi des produits traceurs 2008
OMIT PACA CORSE Agence Régionale de l Hospitalisation de Provence Alpes Côte d Azur PACA Corse OMIT ARH PACA CORSE Page 1 sur 77 Sommaire Introduction Préambule Contexte Objectifs du dispositif national
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailiuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN
iuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN jj) Numéro de dépôt: 90403174.7 Int. Cl.5: A61 K 37/66 g) Date
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailM2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser
M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailObjectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay
2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailM Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale
M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale Plan Deux situations: Adjuvante Métastatique Pas de scoop Des nouveautés. Des espoirs, lumières. En situation adjuvante Abstract 7513 Adjuvant erlotinib (E)
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détail