IRM DE DIFFUSION ET CANCER DE LA PROSTATE: à 1,5 Tesla

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "IRM DE DIFFUSION ET CANCER DE LA PROSTATE: à 1,5 Tesla"

Transcription

1 IRM DE DIFFUSION ET CANCER DE LA PROSTATE: expérience préliminaire à 1,5 Tesla I Boulay-Coletta (1), P Hervo (2), M Rodallec (1), V Molinié (1), H Baumert (1), M Zins (1) (1) Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph, Paris (2) General Electric, Buc

2 IRM DE DIFFUSION ET CANCER DE LA PROSTATE Les principes physiques de la séquence de diffusion Les données actuelles de la littérature Notre protocole d examen, limites actuelles Notre expérience: corrélations macro et microscopiques dans la prostate apport de la séquence de diffusion Perspectives d avenir: Etude ganglionnaire Développement de nouvelles séquences Le post-traitement

3 IRM DE DIFFUSION ET CANCER DE LA PROSTATE Les principes physiques de la séquence de diffusion Les données actuelles de la littérature Notre protocole d examen, limites actuelles Notre expérience: corrélations macro et microscopiques dans la prostate apport de la séquence de diffusion Perspectives d avenir: Etude ganglionnaire Développement de nouvelles séquences Le post-traitement

4 Principes de la diffusion (DWI) permet une étude biophysique au niveau microscopique cellulaire utilise les mouvements aléatoires des protons de l eau dans un tissu biologique Basée sur le mouvement incohérent intravoxel Induit une réduction d intensité de signal S (intensité de signal en pixels) Après l application des gradients pour une valeur donnée b, S0 le signal à b0= 0, l ADC est le coefficient apparent de diffusion (mm 2 /s) L ADC est obtenu par l analyse voxel par voxel ADC= Log(S0/S1)/(b1/b0), b1 et b0 = gradients appliqués

5 La séquence de diffusion donne des informations sur les mouvements de l eau. Le signal en diffusion dépend de: - la répartition de l eau dans les différents compartiments - eau intra-cellulaire - eau extra-cellulaire - eau libre (LCR) - de certaines propriétés du milieu: - densité cellulaire densité protéique - de la quantité d eau (effet T2)

6 Diminution des mouvements des molécules d H2O = Hypersignal en diffusion Œdème cytotoxique (augmentation du compartiment intracellulaire où l eau diffuse moins bien) Milieu de densité protéique élevé (Pus) Milieu de densité cellulaire élevée (cancérologie)

7 Augmentation des mouvements des molécules d H2O: Diminution du signal de diffusion Œdème vasogénique Lyse cellulaire >>> traitement aprés chimiothérapie ou radiothérapie, interêt dans le suivi thérapeutique

8 Que se passe t-il dans les tissus malins? Tissus à croissance rapide >> La densité tissulaire augmente, par conséquent le nombre de barrières membranaires Diminution des capacités de diffusion >> baisse de l ADC >> Hypersignal en diffusion

9 IRM DE DIFFUSION ET CANCER DE LA PROSTATE Les principes physiques de la séquence de diffusion Les données actuelles de la littérature Notre protocole d examen, limites actuelles Notre expérience: corrélations macro et microscopiques dans la prostate apport de la séquence de diffusion Perspectives d avenir: Etude ganglionnaire Développement de nouvelles séquences Le post-traitement

10 Les données actuelles de la littérature: valeurs de l ADC dans la prostate périphérique Références Champs tesla B ADC (10-3 ) Prostate ZP bénin ADC (10-3 ) prostate ZP cancer Hosseinzadeh J Magn resonnance Imaging 2004 Gibs Invest radiology 2006 Kozlowski J Magn resonnance Imaging 2006 Pickles J Magn resonnance Imaging 2006 Sato J Magn resonnance Imaging , ,61+/-0,27 1,34 +/- 0, ,86+/-0,47 1,33+/-0,32 1, ,5730+/-0,32 0,993+/-0, ,95+/-0,27 1,38+/-0,32 1, ,68+/- 0,4 1,11+/-0,44

11 Les données actuelles de la littérature: valeurs du coefficient apparent de diffusion (ADC) dans la prostate périphérique 1. Il existe une zone de recouvrement des valeurs entre la bénignité et les zones de cancer dans la plupart des études. 2. Limites des études: La corrélation histologique s est effectuée à la fois sur 1. des biopsies prostatiques (source d erreurs possible) 2. et sur des pièces de prostatectomie

12 IRM DE DIFFUSION ET CANCER DE LA PROSTATE Les principes physiques de la séquence de diffusion Les données actuelles de la littérature Notre protocole d examen, limites actuelles Notre expérience: corrélations macro et microscopiques dans la prostate apport de la séquence de diffusion Perspectives d avenir: Etude ganglionnaire Developpement de nouvelles séquences Le post-traitement

13 Matériel IRM 1.5 Tesla, signa excite HDX (GE) Antenne de surface torso (12 éléments) centrée sur l abdomen et le pelvis: 8 éléments inférieurs sont utilisés pour l étude prostatique 12 éléments pour l étude abdominale

14 Notre protocole d examen I les séquences standards Sagittale et Coronale FSE T2 Épaisseur 3mm/0, 4 nex, Fov =24 cm, Matrice: 256 x 256, TR= 3000 à 4000, TE= 126 Axiale stricte FSE T2, Même paramètre sauf l épaisseur 4mm/0 Axiale T2 grand champ abdomino pelvienne: Épaisseur= 6mm/0.5, 1 nex,fov 46 cm matrice 352x256, TR= 9231, TE= 90 avec trigger respiratoire,

15 Notre protocole de d examen: II la séquence de diffusion Séquence de diffusion EPI (single shot écho planar imaging) avec excitation sélective de l eau: Axiale stricte 4mm/0 16 nex, Fov =44 cm Matrice: 128 x 128, TR= 3000, TE= 76 B0-B600 (temps de la séquence 100 s) Répétée par pallier du pelvis jusqu au pôle inférieur des reins avec chevauchement de 3 coupes. 5 à 6 paliers de 15 coupes sont nécessaires pour couvrir le pelvis et l abdomen

16 Notre protocole de d examen: III l étude dynamique L examen se termine par une étude dynamique 3D fast SPGR (T1) (Pava GE), sans et avec gadolinium Épaisseur 4mm/0, 1,46 nex, Fov 26cm Matrice 160x160, TR= 3, TE= 1,4, 10 phases Temps de réalisation actuel de l examen 45 mm

17 Limites actuelles de la séquence de diffusion Limitation du nombre de coupes à 15 par acquisition rendant l étude abdominale en diffusion longue (10 mm) avec nécessitée d additionner les différentes acquisitions >> travail de post-traitement important

18 Les images de diffusion obtenues Le cancer est facilement identifié dès la séquence de diffusion B0 B 600, Hypersignal de l apex B 600 hypo signal en inversion de fenêtrage

19 Les images de diffusion: suite Sur la séquence de diffusion, le cancer n apparaît pas toujours en hypersignal (*). Pour le détecter, il est nécessaire de calculer le coefficient apparent de diffusion (ADC) grâce aux logiciels de traitement d image. (*) le contenu hydrique de la prostate varie avec l âge

20 Nécessité de calculer l ADC ADC L ADC est abaissé au niveau de l apex - Zone intermédiaire D et G. La coupe IRM passe entre les coupes de macroscopie 1et 2

21 Le calcul de L ADC: Post-traitement: ADW functool Pour chaque niveau de coupe, on obtient: (1) image de diffusion (2) cartographie de l exponentiel du coefficient apparent de diffusion (3) cartographie du coefficient de apparent de diffusion Dans cet exemple le coefficient apparent de diffusion est très abaissé au niveau de la base dt (0,797x10-3 mm 2 /sec)

22 Post-traitement: suite DWI L image T2 est ensuite superposée avec la cartographie ADC avec visualisation en transparence élevée = superposition de l image fonctionnelle et anatomique ADC T2

23 Limites actuelles du posttraitement en diffusion Nécessité de travailler l image fonctionnelle avec l image anatomique de référence: Actuellement on réalise une superposition d image entre la cartographie ADC et l acquisition axiale T2 afin de pouvoir correctement identifier le siége anatomique des lésions. Mais du fait de la distorsion de l image en diffusion, il peut exister un décalage de plusieurs mm. En utilisant cette méthode de superposition d image, cette pratique apparaît forcément imparfaite d où la nécessité de placer le ROI de l ADC sur la séquence de diffusion et non sur la séquence T2

24 Exemple de décalage entre la superposition de l image T2 et de diffusion, la ROI de l ADC est à placer sur l image de diffusion (gg +)

25 IRM DE DIFFUSION ET CANCER DE LA PROSTATE Les principes physiques de la séquence de diffusion Les données actuelles de la littérature Notre protocole d examen, limites actuelles Notre expérience: corrélations macro et microscopiques dans la prostate apport de la séquence de diffusion Perspectives d avenir: Etude ganglionnaire Developpement de nouvelles séquences Le post-traitement

26 Corrélations radio-histologiques: Objectifs Définir l intérêt de la diffusion dans le dépistage du cancer de la prostate de la zone périphérique Corréler la pièce macroscopique avec la cartographie ADC et définir le coefficient de apparent de diffusion du cancer de la prostate de la zone périphérique Montrer l intérêt complémentaire de la diffusion par rapport aux séquences T2 et dynamiques

27 Corrélations radio-histologiques: Matériel et Méthode 7 patients inclus: PSA 6-20 ng/mg Biopsies prostatiques + IRM pré opératoire (cf protocole) Prostatectomie par coelioscopie +/- bandelette Inclusion de la pièce en totalité (méthode de Standford) coupes de 5 mm d épaisseur, photographie macroscopique Inclusion en méga cassette Analyse histologique: localisation, volume, corrélation avec la macroscopie

28 Corrélation radio-histologiques: Relecture de l IRM Relecture des IRM avec le résultat histologique Relevé des différents coefficients de diffusion et corrélations avec les données histologiques Relevé des cas discordants entre les différentes séquences d IRM

29 Résultats: ADC Prostate périphérique Normale Prostate Périphérique Cancer ADC (10-3 ) 1,8888+/- 0, , 0494+/- 0,12426

30 Cas 1 T2 Toucher Rectal= stade T2 clinique, PSA 9,35ng/ml T1 IV Le T2, le T1 avec gadolinium et la diffusion sont en faveur d un cancer au niveau de la zone intermédiaire droite Nette baisse de l ADC À droite

31 Cas 1 VS Base Apex

32 Cas 1 La baisse de l ADC reflète la diminution de mobilité des molécules d eau dans un tissu très cellulaire (adénocarcinome) comparativement au tissu adjacent normal

33 Cas 2 Toucher Rectal= stade T2 clinique, PSA 7,8ng/ml T2 T1 IV? Le T1 IV montre une prise de contraste au niveau des deux apex mais plus intense à G, Le T2 montre un hyposignal à l apex G T1 IV soustraction

34 Cas 2 La diffusion lève le doute sur l apex droit Diminution de l ADC à l apex gauche 0,87 x 10-3 ADC limite inférieure de la normale à Dt 1,44x 10-3 Le cancer est uniquement localisé à l apex G

35 Cas 3 T2a clinique induration droite, PSA 10 ng/ml, IRM: apex et base Dt suspecte en T2 et T1 IV T2 T1 IV +

36 Cas 3 Discordance T2/T1 IV et DWI Apex Dt ADC trés abaissé pathologique Exponentiel ADC ADC/T2 Base Dt, ADC limite inférieure de la normale non pathologique

37 Cas 3 Corrélation histologique apex base ant base Apex post

38 Cas 3 apex Hyposignal T2, ADC abaissé à 0,937x 10-3, Adénocarcinome peu différencié, Gleason 9 de 17 x 9 mm

39 Cas 3 Discordance entre le franc hyposignal T2 et le coefficient de diffusion non abaissé de façon pathologique base Histo: Prostatite inlammatoire Dans cet exemple, la diffusion a permis d éviter un faux positif sur un foyer secondaire

40 Pourquoi détecter les foyers d adénocarcinomes prostatiques? Pour mieux détecter les foyers de cancer par conséquent mieux détecter l envahissement capsulaire ou vésiculaires. Pour mieux cibler les biopsies de saturation en cas de négativité des premières biopsies. Pour certaines équipes, diriger les biopsies initiales La diffusion nous parait intéressante à rajouter dans le protocole standard dans l étude IRM de la prostate puisqu elle semble améliorer la sensibilité de détection du cancer par rapport à la séquence T2 seule ou T1 dynamique avec IV seule.

41 IRM DE DIFFUSION ET CANCER DE LA PROSTATE Les principes physiques de la séquence de diffusion Les données actuelles de la littérature Notre protocole d examen, limites actuelles Notre expérience: correlations macro et microscopiques dans la prostate apport de la séquence de diffusion Perspectives d avenir: Etude ganglionnaire Developpement de nouvelles séquences Le post-traitement

42 Cas 4 Perspectives d avenir: étude ganglionnaire PSA 27 ng/ml, 12 biopsies prostatiques positives (DT et G), Gleason 8 Deux volumineux ganglions métastatiques iliaques ADC = 0,965x10-3

43 Cas 4 Chez le même patient, visualisation de ganglions rétroperitoneaux dont L ADC est trés abaissé

44 Cas 4 A l étage pelvien, chez le même patient, visualisation de nombreux petits ganglions dont certains sont peu visibles sur la séquence T2, par contre le coefficient de diffusion est bas et similaire aux gros ganglions, ils sont également vraisemblablememt métastatiques (absence de curage gg, traitement hormonal)

45 Cas 4 Cette image 3D MIP coronale type PET est obtenue chez le même patient par: - la sommation des différentes acquisitions Axiales en 4mm sur l abdomen - inversion du fenêtrage Il s agit d une lympho IRM de diffusion visualisant de gros ganglions iliaques et rétroperitoneaux, dont l ADC est trés diminué.

46 Cas 5 Etude ganglionnaire: PSA = 12ng/ml Curage ganglionnaire iliaque négatif ADC élevé

47 Etude ganglionnaire Aucune étude dans la littérature n est publiée concernant la valeur de l ADC des ganglions métastatiques dans le cancer de la prostate. Nous avons constaté sur les quelques cas illustrés que la valeur de l ADC semble assez superposable à celle du cancer primitif de la prostate de la zone périphérique. Quelle est la place de l IRM de diffusion comparativement aux USPIO (nanoparticules supermagnétiques ultrapetites)

48 Limitations possibles à l étude ganglionnaire 1- Corrélation radio-histologique difficile à réaliser lorsque le curage est realisé par voie coelioscopie car le chirurgien collecte les gg dans un sac au mieux territoire par territoire et non un par un 2- Séquence de diffusion: - temps d acquisition long (10mm) de la séquence de diffusion - Artefacts des structures vasculaires et nerveuses qui apparaissent en hypersignal 3- Post-traitement - peu convivial et long avec absence d intégration du 3D MIP et de la cartographie fonctionnelle, - l avenir est à une intégration des images 3D MIP et fonctionnelles dans le même menu de post traitement

49 Etude osseuse T2 DIW Séquence de diffusion réalisée lors de l étude prostatique: - visualisation en fenêtrage inversé reproduisant la visualisation scintigraphique - métastase de l ischion droit

50 Perspectives d avenir: fusion d images PAVA Exp ADC Obtenir une imagerie fusionnée anatomique et fonctionnelle corrigeant la distorsion de la séquence de diffusion. AW Software Development Team T2 w. ADC Développement de ce logiciel «AW Registration (WIP)» par l équipe AW Software Development Team (GE, BUC)

51 Conclusions I : L étude ganglionnaire La «MR lymphodiffusion» semble détecter beaucoup de ganglions dont tous ne sont pas pathologiques (spécificité faible). Par contre, la mesure du coefficient de diffusion semble intéressante pour séparer les ganglions métastatiques. Une large étude de validation est nécessaire ainsi qu une évaluation par rapport aux USPIO.

52 Conclusions II: Que peut-on demander aux constructeurs? Séquence 3D T2 avec fusion d image 3D diffusion en coupes fines sur l étage abdomino pelvien (voire corps entier) avec accés direct à une mesure du coefficient apparent de diffusion possiblement complétée d un système de CAD diffusion. L IRM pourrait alors être le seul examen necéssaire pour le bilan local et d extension du cancer de la prostate.

53 Bibliographie 1: Charles-Edwards EM, desouza NM. Diffusion-weighted magnetic resonance imaging and its application to cancer. Cancer Imaging Sep 13;6: : Kozlowski P, Chang SD, Jones EC, Berean KW, Chen H, Goldenberg SL. Combined diffusion-weighted and dynamic contrast enhanced MRI for prostatecancer diagnosis--correlation with biopsy and histopathology. J Magn Reson Imaging Jul;24(1): : Gibbs P, Pickles MD, Turnbull LW. Diffusion imaging of the prostate at 3.0 tesla. Invest Radiol Feb;41(2): : Pickles MD, Gibbs P, Sreenivas M, Turnbull LW. Diffusion-weighted imaging of normal and malignant prostate tissue at 3.0T. J Magn Reson Imaging Feb;23(2): :Shimofusa R, Fujimoto H, Akamata H, Motoori K, Yamamoto S, Ueda T, Ito H. Diffusion-weighted imaging of prostate cancer. J Comput Assist Tomogr Mar-Apr;29(2): : Sato C, Naganawa S, Nakamura T, Kumada H, Miura S, Takizawa O, Ishigaki T. Differentiation of noncancerous tissue and cancer lesions by apparent diffusioncoefficient values in transition and peripheral zones of the prostate. J Magn Reson Imaging Mar;21(3): : Haider MA, van der Kwast TH, Tanguay J, Evans AJ, Hashmi AT, Lockwood G,Trachtenberg J. Combined T2-weighted and diffusion-weighted MRI for localization of prostatecancer. AJR Am J Roentgenol Aug;189(2):323-8.

54 8:Lichy MP, Aschoff P, Plathow C, Stemmer A, Horger W, Mueller-Horvat C, SteidleG, Horger M, Schafer J, Eschmann SM, Kiefer B, Claussen CD, Pfannenberg C,Schlemmer HP. Tumor detection by diffusion-weighted MRI and ADC-mapping--initial clinicalexperiences in comparison to PET-CT. Invest Radiol Sep;42(9): : Morgan VA, Kyriazi S, Ashley SE, DeSouza NM.Evaluation of the potential of diffusion-weighted imaging in prostate cancer detection. Acta Radiol Jul;48(6): : Reinsberg SA, Payne GS, Riches SF, Ashley S, Brewster JM, Morgan VA, desouza NM. Combined use of diffusion-weighted MRI and 1H MR spectroscopy to increase accuracy in prostate cancer detection. AJR Am J Roentgenol Jan;188(1): : Manenti G, Squillaci E, Di Roma M, Carlani M, Mancino S, Simonetti G. In vivo measurement of the apparent diffusion coefficient in normal and malignant prostatic tissue using thin-slice echo-planar imaging. Radiol Med (Torino) Dec;111(8): Epub 2006 Dec 20. English, Italian. 12: Tanimoto A, Nakashima J, Kohno H, Shinmoto H, Kuribayashi S.Prostate cancer screening: the clinical value of diffusion-weighte imaging and dynamic MR imaging in combination with T2-weighted imaging. J Magn Reson Imaging Jan;25(1): : Choi YJ, Kim JK, Kim N, Kim KW, Choi EK, Cho KS. Functional MR imaging of prostate cancer. Radiographics Jan-Feb;27(1):63-75; discussion Review.

55 14: Hosseinzadeh K, Schwarz SD. Endorectal diffusion-weighted imaging in prostate cancer to differentiate malignant and benign peripheral zone tissue. J Magn Reson Imaging Oct;20(4): : Hricak H. New horizons in genitourinary oncologic imaging. Abdom Imaging Mar-Apr;31(2): Review. 16: Miao H, Fukatsu H, Ishigaki T. Prostate cancer detection with 3-T MRI: Comparison of diffusion-weighted and T2-weighted imaging. Eur J Radiol Nov 3; [Epub ahead of print] 17: Johnston C, Brennan S, Ford S, Eustace S. Whole body MR imaging: applications in oncology. Eur J Surg Oncol Apr;32(3): Epub 2006 Jan 19. Review. 18: Schmidt GP, Baur-Melnyk A, Herzog P, Schmid R, Tiling R, Schmidt M, Reiser MF, Schoenberg SO. High-resolution whole-body magnetic resonance image tumor staging with the useof parallel imaging versus dual-modality positron emission tomography-computedtomography: experience on a 32-channel system. Invest Radiol Dec;40(12): : Koh DM, Collins DJ. Diffusion-weighted MRI in the body: applications and challenges in oncology. AJR Am J Roentgenol Jun;188(6): Review.

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière

IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière Prise en charge du cancer de prostate 120000 patients 7% active surveillance

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel

Plus en détail

Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie

Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Szwarc D.(1), Bour L.(1), Chapron J.(2), Gibault L.(3), Gouya H.(1), Abdelli O.(1), Fregeville A.(1), Silvera

Plus en détail

IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir

IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre

Plus en détail

L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.

L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri. L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,

Plus en détail

Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie

Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Ou en est on plus de 10 ans après? Valérie LAURENT(1) François JAUSSET (1) Laurence CHONE(2) Laurent BRESLER(3) Adeline GERMAIN (3) Thibaut FOUQUET(3) Didier

Plus en détail

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE

Plus en détail

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des

Plus en détail

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie

Plus en détail

Échographie normale et pathologique du grand pectoral

Échographie normale et pathologique du grand pectoral Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Thierry DELZESCAUX. «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France. Thierry.Delzescaux@cea.

Thierry DELZESCAUX. «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France. Thierry.Delzescaux@cea. Thierry DELZESCAUX «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France Thierry.Delzescaux@cea.fr Thierry DELZESCAUX Ingénieur chercheur CEA Experience Since 2008:

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

REPRODUCTIBILITÉ INTRA/INTER- INDIVIDUELLE DES MESURES DU COEFFICIENT APPARENT DE DIFFUSION (ADC) SUR LES MASSES PELVIENNES N.GOOSSENS, C.PORTEFAIX, F.VITRY, P.FORNES, C.MARCUS, C.HOEFFEL. CHU REIMS JFR

Plus en détail

Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque

Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface

Plus en détail

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques?

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie

Plus en détail

APPORT DE L'IRM DANS LE BILAN D'EXTENSION LOCOREGIONALE DES TUMEURS RECTALE

APPORT DE L'IRM DANS LE BILAN D'EXTENSION LOCOREGIONALE DES TUMEURS RECTALE ROYAUME DU MAROC UNIVERSITE SIDI MOHAMMED BENABDELLAH FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE FES UNIVERSITESIDI MOHAMMED BEN ABDELLAH FES APPORT DE L'IRM DANS LE BILAN D'EXTENSION LOCOREGIONALE DES TUMEURS

Plus en détail

PET/CT et Sarcoïdose. Daniel O Slosman

PET/CT et Sarcoïdose. Daniel O Slosman PET/CT et Sarcoïdose Daniel O Slosman Objectifs (PET-FDG) Rappel technique (SPECT vs. PET) Rappel biologique (Radiotraceurs et FDG) Investigations scintigraphiques (Ga-67 vs autres) Utilité clinique du

Plus en détail

Réunion publique/téléconférence

Réunion publique/téléconférence Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55

Plus en détail

Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel

Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R

Plus en détail

GE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal

GE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal GE Healthcare Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal. Le mammographe Senographe* Crystal facilite la transition vers la mammographie

Plus en détail

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Gestion obligataire passive

Gestion obligataire passive Finance 1 Université d Evry Séance 7 Gestion obligataire passive Philippe Priaulet L efficience des marchés Stratégies passives Qu est-ce qu un bon benchmark? Réplication simple Réplication par échantillonnage

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale.

Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Exécution en bloc opératoire de procédures planifiées en préopératoire Réduction

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

ATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :

ATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE

Plus en détail

Impact on revenue requirements no Description (000$)

Impact on revenue requirements no Description (000$) IMPACT OF THE CHANGE IN COST OF GAS ON THE REVENUE REQUIREMENT RESULTING FROM THE 2010 VOLUMES COMPONENTS: Transportation, load balancing and commodity 2010 RATE CASE Impact on revenue Line requirements

Plus en détail

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a

Plus en détail

Développements en imagerie RMN spirale et application

Développements en imagerie RMN spirale et application Développements en imagerie RMN spirale et application à la caractérisation de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique sur deux modèles de tumeurs intracérébrales Marine Beaumont To cite this

Plus en détail

Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée

Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée M-A Gomez, M Nasser-Eddin, M Defontaine, B Giraudeau, F Jacquot, F Patat INTRODUCTION L ostéoporose

Plus en détail

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN

Plus en détail

Règles de Rédaction d un Article

Règles de Rédaction d un Article Règles de Rédaction d un Article Philippe Soyer Service de Radiologie Viscérale & Vasculaire Hôpital Lariboisière-APHP Université Paris 7 Unité INSERM 965 Les Buts de la Publication Valoriser sa propre

Plus en détail

Les cancers de la prostate

Les cancers de la prostate Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE:

ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: FAISABILITÉ ET PERSPECTIVES FUTURES Fabien THAVEAU, Nabil CHAKFE, Jean-Georges KRETZ Service de Chirurgie Vasculaire, Strasbourg INTRODUCTION CHIRURGIE MINI-INVASIVE: but:

Plus en détail

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Irène Buvat U494 INSERM CHU Pitié-Salpêtrière, Paris buvat@imed.jussieu.fr http://www.guillemet.org/irene

Plus en détail

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France 18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital

Plus en détail

Mention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité

Mention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

Ziehm Compact Petite taille, haute performance

Ziehm Compact Petite taille, haute performance Ziehm Compact Petite taille, haute performance Ziehm Compact Programmes anatomiques orientés applications Les mouvements de l arceau sont parfaitement contrebalancés dans toutes les positions Écran 46

Plus en détail

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein? Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie

Plus en détail

Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif

Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement

Plus en détail

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un

Plus en détail

Surveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies

Surveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies Surveillance épidémiologique : application à la détection et la prédiction des épidémies Philippe Vanhems Service Hygiène Hospitalière, Epidémiologie et Prévention Pôle Santé, Recherche, Risques et Vigilances

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

Analyse empirique et modélisation de la dynamique de la topologie de l Internet

Analyse empirique et modélisation de la dynamique de la topologie de l Internet Analyse empirique et modélisation de la dynamique de la topologie de l Internet Sergey Kirgizov Directrice de thèse: Clémence Magnien Complex Networks, LIP6, (UPMC, CNRS) Paris, 12 décembre 2014 Plan 1

Plus en détail

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l

Plus en détail

mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet

mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet Le conflit fémoro-acétabulaire concept (Ganz 2003*) explication des lésions labrales et cartilagineuses

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

REUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014. Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias.

REUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014. Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias. REUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014 Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias.fr SOMMAIRE LE MARCHE DU PNEUMATIQUE EN FRANCE EN 2013 (Sources : ventes

Plus en détail

Anticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne

Anticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne Anticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne Pr Gilles EDAN, Dr Emmanuelle LEPAGE, Morgane PIHAN (Interne), Virginie OLIVE, (Attaché de recherche clinique), Neurologie,

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils

Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils LAPEGUE Franck (1-2), LOUSTAU Olivier (2), DENIS Aymeric (2), BOUSCATEL Elodie (1), PONSY Sylvie (1), SANS

Plus en détail

Le dépistage. du cancer de la prostate - mise à jour 2013. Lignes directrices. du Collège des médecins du Québec

Le dépistage. du cancer de la prostate - mise à jour 2013. Lignes directrices. du Collège des médecins du Québec Le dépistage du cancer de la prostate - mise à jour 2013 Lignes directrices du Collège des médecins du Québec juin 2013 Table des matières Pertinence de la mise à jour 4 Méthodologie 5 Synthèse de l analyse

Plus en détail

Prostate Une petite glande de grande importance

Prostate Une petite glande de grande importance Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire

Plus en détail

Le signal GPS. Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz

Le signal GPS. Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz Le signal GPS Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz Deux signaux en sont dérivés: L1 (fo x 154) = 1.57542 GHz, longueur d onde = 19.0 cm

Plus en détail

STENTS ET FLOW-DIVERTERS : la porosité finale peut différer de la porosité théorique

STENTS ET FLOW-DIVERTERS : la porosité finale peut différer de la porosité théorique STENTS ET FLOW-DIVERTERS : la porosité finale peut différer de la porosité théorique Bing Fabrice, Darsaut Tim, Tieu Tai, Salazkin Igor, Guylaine Gevry, Guilbert François, Roy Daniel, Weill Alain, Raymond

Plus en détail

DERIVES SUR ACTIONS ET INDICES. Christophe Mianné, Luc François

DERIVES SUR ACTIONS ET INDICES. Christophe Mianné, Luc François DERIVES SUR ACTIONS ET INDICES Christophe Mianné, Luc François Sommaire Notre activité Nos atouts La gestion du risque Conclusion 2 Notre activité 3 Les métiers Distribution de produits dérivés actions

Plus en détail

Extraction de caractéristiques visuelles d'images médicales pour la recherche par similitude et l'aide au diagnostic

Extraction de caractéristiques visuelles d'images médicales pour la recherche par similitude et l'aide au diagnostic Extraction de caractéristiques visuelles d'images médicales pour la recherche par similitude et l'aide au diagnostic Jérôme Palayret 1,2, Auréline Quatrehomme 1,2, Denis Hoa 1, William Puech 2 IMAIOS,

Plus en détail

Appel à Projets. Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie. Action 3.1 et 23.2

Appel à Projets. Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie. Action 3.1 et 23.2 Appel à Projets Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie Action 3.1 et 23.2 Soumission en ligne: http://www.e-cancer.fr/aap/bcb11 Date limite de candidature

Plus en détail

VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules

VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers

Plus en détail

OCT et MYOPIE. Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes

OCT et MYOPIE. Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes OCT et MYOPIE Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes OCT & Myopie «OCT has had the largest clinical impact in ophthalmology.» Fujimoto, 2001. «OCT has

Plus en détail

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie

Plus en détail

Incontinence urinaire : trop souvent taboue

Incontinence urinaire : trop souvent taboue Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :

Plus en détail

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Microscopie de fluorescence Etat de l art Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Nous avons augmenté de manière significative notre productivité avec le même effectif

Nous avons augmenté de manière significative notre productivité avec le même effectif Nous avons augmenté de manière significative notre productivité avec le même effectif SMART Automation, optimiser la productivité SMART Automation, optimiser la productivité Introduction Depuis plus de

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail