ETUDE DE LA PRÉVALENCE DES ESCARRES EN EHPAD EN BRETAGNE
|
|
- Clementine Mathieu
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ETUDE DE LA PRÉVALENCE DES ESCARRES EN EHPAD EN BRETAGNE B Nicolas**,MP Le Bot*,L.Jouatel***, S Robineau**, A Chopin** P Gallien**, A Durufle** * Centre hospitalier de Saint Malo, ** Pôle MPR Saint Hélier; *** EHPAD Les champs bleus
2 MATÉRIELS ET MÉTHODE 550 EHPAD bretons interrogés (questionnaire postal) sur : la population accueillie dans la structure (nombre de résidents le jour de l enquête, âge, GIR ) les moyens humains ( nombre de personnels formés) et techniques (matelas, échelle utilisée ) le nombre escarre un jour donnéle 20 juin 2013 avec description des stades et localisation des escarres. Les résultats préliminaires portent sur 174 structures soit un taux de réponse de 31.6%. NB : Exclusion Structures GIR inférieur à 300
3 LA POPULATION Nombre de résidents : Moyenne d âge : 85.6 ans GMP moyen : Nombre alimentation entérale: 37 (0.02%) PM moyen: Résidents incontinents : 58% % 33.5% 13.5% GIR 1 GIR 2 GIR 3 GIR 4 GIR 5 GIR 6
4 PRÉVALENCE DES ESCARRES BRETAGNE (858 escarres déclarées) Prévalence: 5.73% Stade des escarres % 30.3% 29% stade 1 stade 2 stade 3 stade 4
5 PRÉVALENCE DES ESCARRES BRETAGNE Topographie Localisation des escarres % 42.3% 2.5% talons sacrum ischion autres
6 PRÉVALENCE DES ESCARRES par territoire
7 PRÉVALENCE SELON LES TERRITOIRES DE SANTÉ Territoire T1 T2 T3 T4 T5 T6 T7 T8 Nombre escarres Nombre résidents Prévalence 6,47 5,84 5,21 6,74 4,66 7,27 5,82 6 GMP 689, ,7 667,5 643,9 656,7 674,8 734 Pathos 175, ,4 180,5 184, ,7 187,5 Age 85,5 85,1 86,1 85,4 85,6 86,7 85,9 83,6
8 RÉPARTITION DES EHPAD EN FONCTION DE LA PRÉVALENCE pas d'escarre 0,1à 5 % 5 à 10 % 10 à 15% sup à 15%
9 COMPARAISON EN FONCTION DU GMP GMP inf à à 799 sup à 800 Nombre résidents Pathos ,9 197,9 Age 86,4 85,5 85 Nombre escarres Prévalence 4,08 5,66 9,6 Incontinents 50% 63% 33% nutrition entérale stade 1 45% 43% 27% stade 2 33% 27,40% 31,40% Stade 3 et 4 22% 29,60% 41% talon 48% 41% 53,40% sacrum 37,50% 43,50% 45,80% IDE formés 12,60% 17% 4% AS formés 7,20% 9,30% 4%?
10 SALARIÉS DES EHPAD EN BRETAGNE Nombre EHPAD : 174 Nombre salariés : ETP Moyenne par EHPAD salariés Médecin co: IDE: 5.3 AS: 21.4 Ergo: Formation personnels IDE (2012) : 14.7% AS (2012) : 8.4%
11 COMPARAISON EN FONCTION DU GMP Inf à à 700 sup à 800 Total Med Co 0,52 0,4 0,83 0,46 IDE 4,44 5,95 7,57 5,7 AS 17,06 23,93 30,74 23 Ergo 0,1 0,28 0,42 0,26
12 TEMPS SOIGNANTS EN HEURE / PATIENT / JOUR inf à à 700 sup à 800 Tout Temps IDE 0,22 0,3 0,38 0,285 Temps AS 0,85 1,19 1,54 1,15
13 QUALITÉDE LA PRISE EN CHARGE 99 EHPAD utilisent une échelle de risques : 57.2% Norton Braden autres échelles suivent l évolution ou la PEC des escarres sur un logiciel : 74.5%
14 MATELAS ET ESCARRES
15 PREVALENCE BIEN CONNUE EN FRANCE EnquêtesPERSE Nationales(tousles 10 ans) Dans les hôpitaux(prochaîne en 2014) Première enquête nationale en 1994 : => patients / prévalence : 8,6% tous services confondus (10,1% en SLD) Populationsspécifiques : Réanimation en 1996: prévalence : 22,6% / 800 lits Première enquête àdomicile en 1998: prévalence:13% Barrois B, Allaert FA, Colin D A survey of pressure sore prevalence in hospitals in the greater Paris region. J Wound Care May;4(5): Journal Article Colin D, Barrois B, Allaert FA Nursing and medical care of pressure ulcers in hospitals in France. Advances in wound care: the journal for prevention and healing 8(5):54, Barrois B, Allaert FA, Colin D. Escarre et épidémiologie. Techniques Hospitalières 1996; 606:39-41 Barrois B, Collin D, Dosjolat S. L épidémiologie de l escarre. L escarre : évaluation et prise en charge; Paris: édition Frison- Roche 1995:11-9
16 ENQUÊTE NATIONALE DE 2004 Questionnaire adresséà1149 hôpitaux Taux de réponse : 93 % 1170 unités avec patients inclus Age Moyen : 72,3 a ; Age Médian : 75 a (33 à92) patients avec au moins une escarre, p = 8,9% Escarre unique: 64,3 % (n=2117) 63,2 % femmes /Age moyen: 87,7 ans Patients avec escarres plus âgés que la moyenne des patients hospitalisés (p< 0,0001) Barrois, B., C. Labalette, and P. Rousseau, et al. (2008). A national prevalence study of pressure ulcers in French hospital inpatients. J Wound Care 17:
17 ENQUÊTE NATIONALE DE 2004 Localisation Sacrum : 34 % 1 ou 2 talons: 28,4 % Sacrum + talon(s) : 13,4 % Stades 32% stade 1 stade1 et 2: 62.4% Stades 3 et 4: 37.6% (n=1104) Stade(%) talon(s) (n=599) Sacrum stade 1 23,7 36,8 stade 4 26,0 7,2
18 Évolutionmodérée, Prévalence quasi-identique 1994: 8.6% 2004: 8.9% Escarres moins sévères 1994: 50% stade 1 et : 62.4% stade 1 et 2 ENQUÊTE NATIONALE PERSE ENTRE 1994 ET 2004 B Barrois. Epidémiologie des escarres en France. L escarre. Juin 2013;4-6 Philippe Geluck
19 EN GÉRIATRIE Enquête observationnelle prospective en patients en service de gériatrie avec risque élevé ou très élevé -Age moyen: 84,7 ans - Incidence : 15,7% - Localisation & Incidence: 10% pelvis, 7% talon(s) -Occurrence plus haute si risque plus élevé et incontinence mixte (P<0,001) Meaume S, Colin D, Barrois B, et al. Preventing the occurence of pressure ulceration in hospitalised elderly patients. Journal of Wound Care 2005; vol 14, n 2 :
20 Notre étude: 5,73% sur 174 EHPAD résidents Autres études françaises : 6,4% : dans le Haut-Rhin sur 992 SLD 6.5% : EhpadVille de Paris, 1474 résidents 5,2% : en Drome sur 1479 résidents, 4,6% étude PRIAM sur résidents Clement F, Cousin J, Moreau E, Morille H. Epidéliologie des escarres: résultats de l enquête sur la prévalence des escarres des résidents des EHPAD du Centre d Action Sociale de la ville de Paris. La revue francophone de gériatrie et gérontologie. Oct Vol 15. N 148: Caron-Mazet J, Roth B, Guillaume J.C. Enquête de prévalence et des pratiques de prise en charge des plaies chroniques dans 14 établissements gériatriques du Haut-Rhin. Ann Dermatol Venerol 2007;134: Armand N, Faure C, Comte C. Enquête de prévalence des infections en EHPAD. 21ème Congrès de la Société d Hygiène Hospitalière. Chami K, Gavazzi G, Piette F, de Wazieres B, Lejeune B, Rothan-Tondeur M. Enquête PRIAM- prévalence des infections dans les établisements d hébergement pour personnes âgées dépendantes. Revue d Epidémiologie et de Santé Publique. Sept 2008, Vol 56; N 5S, P282
21 PARTICULARITÉS DE NOTRE POPULATION COMPARÉE AUX DONNÉES DE L OBSERVATOIRE DES EHPAD, JANVIER 2013, KPMG notre étude observatoire GMP moyen 663,6 647 % EHPAD entre 600 et % 40% Age moyen 85,6 85 Nombre résidents moyen par EHPAD 86 77
22 GESTION DES RISQUES Echelles 57,2% des Ehpaddéclarent utiliser une échelle Braden et Norton essentiellement Sur l enquête du Haut-Rhin : échelles remplies pour 27 escarres sur 75 (36%) Stade des escarres Les escarres stade 1 représentent 40% Enquête PERSE nationale 2004 : 32 % Caron-MazetJ, Roth B, Guillaume J.C. Enquête de prévalence et des pratiques de prise en charge des plaies chroniques dans 14 établissements gériatriques du Haut-Rhin. Ann Dermatol Venerol 2007;134:
23 QUALITÉDE LA PRISE EN CHARGE Les AS sont globalement moins formés que les IDE Taux de formation faible pour établissement GMP élevé? Rappel : Formation personnels IDE formées en % AS formées en 2012: 8.4% GMP inf à à 700 sup à 800 IDE formés 12,60% 17% 4% AS formés 7,20% 9,30% 4% Sur l enquête Haut-Rhin : 44% des IDE ont eu une formation spécifique 72% estiment leurs connaissances moyennes voire insuffisantes Caron-Mazet J, Roth B, Guillaume J.C. Enquête de prévalence et des pratiques de prise en charge des plaies chroniques dans 14 établissements gériatriques du Haut-Rhin. Ann Dermatol Venerol 2007;134:
24 CONCLUSION Prévalence = le marqueur des bonnes pratiques (effort) des équipes Formation des IDE et AS : les stades 1 sont déclarés en nombre Coût de l escarre : humain et matériel Changer le regard, investir la prévention
25 FIN MERCI DE VOTRE ATTENTION
Prévention des escarres
Prévention des escarres MOBILISATION ET POSITIONNEMENT Historique 1848 : Robert Graves Ecrivait qu il était possible de prévenir les escarres par une mobilisation régulière. 1961 : Kosiak Etude sur les
Plus en détailACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES
OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailObservatoire des EHPAD
Observatoire des EHPAD Janvier 2013 KPMG et les équipes Économie Sociale et Solidaire, Santé et Secteur Public sont heureux de vous présenter la nouvelle édition de l observatoire des EHPAD 1. Les évolutions
Plus en détailFaciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau
Faciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau de soins palliatifs du Québec, Montréal Julia Sohi
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détail«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE»
IMPLANTATION D UN MODÈLE DE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : UN PROJET INTÉGRÉ D ORGANISATION DU TRAVAIL 27 e colloque Jean-Yves Rivard Climat de travail : gage de qualité et de performance Esther Leclerc, inf.,
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailQui sont les infirmières et infirmiers cliniciens spécialisés?
Série de Webinaires de l AIIC : Progrès de la pratique Qui sont les infirmières et infirmiers cliniciens spécialisés? Donna Cousineau Infirmière en pratique avancée Hôpital Carleton Queensway Le 12 décembre
Plus en détailMaître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine
Challenge start-up Maître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine Sanilea Régulation des transports et des soins Performance, simplicité, connectivité, intuitivité, mobilité
Plus en détailEvaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires
Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailLA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline
LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE C Assouline Principes «Human error is the price we pay for intelligence» 3 buts principaux de la simulation : détecter les erreurs éviter les erreurs
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailDanielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011
+ Miser sur le renouvellement de l organisation des services infirmiers pour améliorer la qualité et la sécurité des soins Danielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011 + Membres de l équipe Carl-Ardy
Plus en détailLa communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe
La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien
Plus en détailLES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET. Restitution - 13 octobre 2014
LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET Restitution - 13 octobre 2014 ATTENTION Ne pas cumuler! LE DISPOSITIF D ÉTUDE Evaluer la contribution à l économie locale
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailSOMMAIRE 1 PANORAMA DU PAYS...
Page 9 SOMMAIRE 1 PANORAMA DU PAYS... 11 1.1 UNE ÉCONOMIE PERFORMANTE...11 Le PIB...11 Les investissements directs étrangers (I.D.E.)...11 Les finances publiques...12 La fiscalité Charges sociales...12
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailLes différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire
Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un
Plus en détailProcédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)
Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)
Plus en détailBilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010
Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Le suivi de l activité des établissements ayant une activité d accueil de jour et
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailV. GUILLERMINET, E. EUVRARD, C. MEYER Service de Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie CHRU Jean Minjoz, Besançon
V. GUILLERMINET, E. EUVRARD, C. MEYER Service de Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie CHRU Jean Minjoz, Besançon 1 Définition : Santé bucco-dentaire (OMS Avril 2012) Essentielle pour l état général
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détaild évaluation de la toux chez l enfant
Validation d un questionnaire d évaluation de la toux chez l enfant Mémoire présenté par Caroline TROCCY Pour l obtention du diplôme de master(e) en kinésithérapie Promoteur: Monsieur G. Reychler Année
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailGuinée - Epidémie de la Maladie à virus Ebola Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 07 Juin 2015
Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 7 Juin 215 I. Points saillants Deux (2) nouveaux cas confirmés ont été notifié ce jour dans les préfectures de Forécariah et de Kindia
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailDes dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer
La lettre de L observatoire Des dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer Novembre 203 - Numéro double 28-29 La fin de vie suscite depuis plusieurs années des questionnements
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailBulletin de veille sanitaire octobre 2012
CELLULE DE L INVS EN RÉGION BRETAGNE Bulletin de veille sanitaire octobre 01 Les intoxications au monoxyde de carbone survenues en Bretagne en 011 Page 1 Introduction Page Matériel et méthode Le système
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailUne protection d assurance de premier choix et de qualité suisse. Notre offre pour les expatriés
Une protection d assurance de premier choix et de qualité suisse Notre offre pour les expatriés Bienvenue chez le leader de l assurance-maladie en Suisse. Vous pouvez compter sur notre longue expérience
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailHôpitaux de Jour. Accueils de Jour. Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour. «Un programme pour la Gériatrie»
Hôpitaux de Jour Accueils de Jour B. Durand-Gasselin Capacité de Gériatrie Janvier 2007 Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour Hôpitaux de Jour Historique Définition Les HJ en France : l AP HJ PA Preuves
Plus en détailEtat des lieux de la recherche en soins infirmiers en France
Etat des lieux de la recherche en soins infirmiers en France Impact de l universitarisation sur la recherche en soins infirmiers et son autonomie Catherine BARGIBANT- CHRU de LILLE Introduction 1. Enracinement
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailL ANALYSE DES MANUTENTIONS L AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL
DE L ANALYSE DES MANUTENTIONS À L AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL Participants Mme Nathalie ARGENSON Mme Eliane CONDE Sandrine LOISEAU Mme Anne Sophie TOURNON M Yann REYNAUD M Lionel MARKO M Jean
Plus en détailCONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012
CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :
Plus en détailComment devenir référent? Comment le rester?
Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailEtablissements de prise en charge des seniors
Etablissements de prise en charge des seniors Claudine Fabre I. Introduction Qui est vieux? Dans le langage courant, le terme de personnes âgées sousentend un individu retraité ou > 65 ans Sous cette étiquette
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailVaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers
Série de Webinaires de l AIIC : Progrès de la pratique Vaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers Caroline Quach Pédiatre microbiologiste-infectiologue, Hôpital de Montréal
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailAMENDMENT TO BILL 32 AMENDEMENT AU PROJET DE LOI 32
THAT the proposed clause 6(1), as set out in Clause 6(1) of the Bill, be replaced with the following: Trustee to respond promptly 6(1) A trustee shall respond to a request as promptly as required in the
Plus en détailen toute simplicité!
BIEN COMPRENDRE LES NOUVELLES RÉFORMES DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ. en toute simplicité! 1 LA GÉNÉRALISATION DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ D ici le 1 er janvier 2016, toutes les entreprises devront mettre
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailFAIRE FAIRE DES ECONOMIES A VOTRE ETABLISSEMENT:
FAIRE FAIRE DES ECONOMIES A VOTRE ETABLISSEMENT: supprimer l inutile, valoriser les actions, chiffrer, négocier.. Dr O. BELLON Centre hospitalier de Brignoles Centre gérontologique g départemental d de
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailPortail de bases de données. et d instruments de mesure. en santé et sécurité au travail : Susan Stock, responsable
Portail de bases de données et d instruments de mesure en santé et sécurité au travail : Susan Stock, responsable Collaborateurs, par ordre alphabétique : Jean Arteau, Marie-France Coutu, Alain Delisle,
Plus en détailAnalyse des incidents
Analyse des incidents Formation B-Quanum 26/06/2012 N. Jacques Coordinatrice Qualité CMSE Introduction Contexte Contrat SPF Coordinateur qualité Médecine nucléaire Hôpital = Entreprise à Haut Risque Efficacité
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailLE TRAVAIL EN DYADE: UN ART QUI S APPRIVOISE!
LE TRAVAIL EN DYADE: UN ART QUI S APPRIVOISE! Présentation au XVII e Colloque des CII-CIR Montréal, le 2 Mai 2012 Josée F. Breton, Inf., B. Sc., MBA, conseillère en organisation des soins et du travail
Plus en détailLa e-santé pour communiquer
GCS e-santé BRETAGNE Professionnels de la santé, du médico-social, en structure ou en libéral... La e-santé pour communiquer Présentation des services e-santé en Bretagne BIPS², réseau très haut débit
Plus en détail12-13/06/2013 C.COLIN / MA. BLOCH
Réunionn du Conseil Scientifique de l EHESP 11 juin 2013 Compte rendu synthétique et relevé de décisions Référence Révision Date d application Version CS _juin_2013 Validation Rédigé Date 11/06/2013 Prénom
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailUrgent- information de sécurité
Urgent- information de sécurité Risque augmenté de décès cardiovasculaire chez les patients insuffisants cardiaques chroniques symptomatiques avec une fraction d'éjection du ventricule gauche (FEVG) altérée,
Plus en détailLes quarts de travail de 12 heures
Catherine Hupé inf. M.Sc (c) UQAR Les quarts de travail de 12 heures L état des connaissances en sciences infirmières Les quarts de travail de 12h Chapitre II du projet : la recension des écrits Introduction
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailRéflexions autour d un RESUME DE SORTIE pour les soins infirmiers
Annexe 4 Réflexions autour d un RESUME DE SORTIE pour les soins infirmiers («résumé de soins infirmiers») Juin 2006 Table des matières Table des matières... 2 Avant-propos... 3 1. Le processus de sortie
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailMASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ
MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ Résumé de la formation Type de diplôme : MASTER 2 Domaine ministériel : Santé Présentation Les parcours du Master Management du social et de la santé s'efforcent
Plus en détailCHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan
CHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan 2 Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan Depuis le début des années 2000 3 domaines d actions : Les hébergements
Plus en détailCONSULTANTE CADRE ERGOTHERAPEUTE FORMATRICE
ANNE MOREAU 2, rue Blainville 75005 PARIS Tél. 06 28 34 58 05 annmor@hotmail.fr Nationalité française, née le 23/08/59, mariée, 1 enfant CONSULTANTE CADRE ERGOTHERAPEUTE FORMATRICE CADRE ERGOTHERAPEUTE
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailLa stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand
La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections
Plus en détailETUDIER À L ÉTRANGER BELGIQUE
ETUDIER À L ÉTRANGER BELGIQUE BIENVENUE EN BELGIQUE Vous avez décidé de venir étudier en Belgique, félicitations! Notre pays est reconnu pour la qualité de son accueil, son sens de l'humour, ses bières,
Plus en détailRecommandations pour apprécier les besoins en personnels paramédicaux
Recommandations pour apprécier les besoins en personnels paramédicaux Directeurs des soins Conseillers techniques en soins 1/48 2/48 SOMMAIRE RESUME... 5 RECOMMANDATIONS... 5 INTRODUCTION... 7 I METHODOLOGIE
Plus en détail*Dans tout le document lire : infirmier/infirmière
*Dans tout le document lire : infirmier/infirmière F L O R E N C E A M B R O S I N O, C É C I L E B A R R I È R E, G A L A D R I E L B O N N E L, C H R I S T O P H E D E B O U T, P A S C A L L A M B E
Plus en détailL Observatoire officiel hôtelier & para-hôtelier du Grand Lyon réalisé pour le compte de la CCI de Lyon et du Grand Lyon
Les résultats du mois de février 2014 L Observatoire officiel hôtelier & para-hôtelier du Grand Lyon réalisé pour le compte de la CCI de Lyon et du Grand Lyon GRAND LYON, les performances de février 2014
Plus en détailPROJET D ETABLISSEMENT 2010-2014 DE L E.H.P.A.D. «MARCEL CANTELAUBE»
PROJET D ETABLISSEMENT 2010-2014 DE L E.H.P.A.D. «MARCEL CANTELAUBE» 1/123 NOTE LIMINAIRE Le présent projet d établissement adopté par le Conseil d Administration de l E.H.P.A.D. «Marcel Cantelaube» le
Plus en détailles secteurs ucopia www.ucopia.com
les secteurs ucopia www.ucopia.com Leader Européen sur le marché des contrôleurs d accès haute performance, UCOPIA Communications sécurise les réseaux IP à destination des utilisateurs nomades, visiteurs
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailAudit Clinique Ciblé : thème :+ titre ACC Rapport
Nom de l'établissement (Logo éventuel) Audit Clinique Ciblé : thème :+ titre ACC Rapport Nom du Coordonnateur :... Date :... Sommaire [à mettre à jour en fin de rédaction (cliquer dans la table avec le
Plus en détail