grandir Editorial N 13 mai 2006 Découvrir le diocèse Initiatives Vie pastorale Education et pédagogie Chantiers et projets Quelques brèves...

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1 Blletin d Information et de Liaison de l Enseignement Catholiqe de Saint-Etienne N 13 mai 2006 Editorial Editorial Un le por soff grandir «Die insffla dans les narines de l homme l haleine de la vie, et l homme devint n être vivant» Gen2. Le premier soffle d novea-né se tradit par n cri : doler et force novelle qi le fait ETRE. Dès ce moment, le soffle pet s éteindre :» Qand mon soffle s éteint, toi t sais où je vais» Ps142. Le soffle donne créativité, vitalité, énergie. Les parents insfflent à l enfant tos les ingrédients de l édcation, d savoir-vivre. L école, en lien avec ex procre le soffle d savoir, d vivreensemble, d savoir-être. Les adltes qi gravitent ator de l enfant, d jene, participent à l élan créater por n être debot, dans totes ses dimensions. A ces derniers de s approprier cette âme, animation afin de devenir soi-même créater de son devenir. Prendre ce soffle por grandir, s épanoir, ETRE tojors pls dans ne immanence et vers ne transcendance qi attire. S enfermer sr soi est ne privation d être, s ovrir à la commnaté, à ne responsabilité critiqe, à l édcabilité de soi et d atri, a dépassement, donne véritable EXISTENCE et REUSSITE. «Ils se mirent à parler d atres langes», ils sortent d ex, de lers tracas, ennis por comprendre l atre dans sa lange, sa vie et ses ennis. Ovrons-nos à ce qi n était pas programmé. Le soffle de vie est n allié por aller vers les atres et être enrichi. Il mrmre, décoiffe, il est brise o tempête, mais il ovre et dérange ce qi est installé ; il relance ce qi s arrête. Tos membres de nos commnatés édcatives, c est ne invitation à grandir por soi et ensemble, à raviver nos flammes et relancer nos élans dans ne ESPERANCE indicible. J. Clade STAUDT Chantiers et projets Décovrir le diocèse LA TUTELLE : q est ce qe la Ttelle? Q est-ce qe le Conseil de ttelle? Initiatives DIRECTION PARTAGEE : ne expérience de direction collégiale... Vie pastorale PAROLE DE JEUNES : week-end à Taizé por des élèves de St-Michel à St-Etienne. Edcation et pédagogie FRERES DU SACRE COEUR : fondés à Lyon en 1821 par le Père André Coindre, Missionnaire Diocésain. AFEP : lie d intégration progressive à la vie professionnelle. LES ETATS GENERAUX DE L EVALUATION ET DE LA REUSSITE : regropement national les lndi 3 et mardi 4 Avril 2006 à Evry Qelqes brèves... LE STATUT DES ENSEIGNANTS CONFERENCE SUR LE FAIT RELIGIEUX LE FINANCEMENT DES ECOLES LES COMMISSIONS DU CODIEC EPISCOPAT ET SGEC Avez-vos conslté Arrêt sr images DU CHANGEMENT A LA DEC le site de la DDEC? :

2 Décovrir le diocèse LE CONSEIL DE TUTELLE Christian LIOGER Les statts de l Enseignement Catholiqe remodelés en 1992 organisent n Conseil de Ttelle Diocésaine. Q est-ce qe la Ttelle? Q est-ce qe le Conseil de Ttelle? Un établissement catholiqe d enseignement prend existence dans ne ttelle d Eglise, congréganiste o diocésaine. Les atorités de ttelle, le Spérier majer o le Directer Diocésain, se portent garants, devant l Evêqe, de l athenticité d projet édcatif et de sa mise en œvre dans les écoles catholiqes. Ils nomment le chef d établissement qi reçoit lettre de mission. La Ttelle assre por les établissements et les chefs d établissement n lien ecclésial, donne inspiration a nom de l Evangile, veille à la participation et la commnication (conseil d établissement et conseil pastoral). La Ttelle aide donc à la réflexion sr l enseignement, y compris la cltre religiese. Elle porte le soci de la Pastorale scolaire, pas selement à l Amônerie. Elle examine, en lien avec l OGEC, la gestion de l établissement. Les statts précisent enfin qe chaqe établissement œvre «selon son inspiration particlière». Le Conseil de ttelle comprend donc l Evêqe et le Directer diocésain ainsi qe six membres désignés par l Evêqe et le CODIEC. Il se rénit périodiqement à l Evêché et pet tenir ne session extraordinaire en fonction de l actalité. Le Père Joatton a le soci d y être présent. Une tache essentielle en fin d année scolaire est la désignation des noveax directers d école ; le nombre des écoles dans le diocèse expliqe l importance de ce movement chaqe année. La visite de Ttelle d n établissement est donc ne site logiqe. Assrée par des bénévoles, c est ne aide apportée. Les visiters, bénévoles por cette mission, ne viennent pas prendre en défat, mais servir et s enrichir des décovertes et rencontres ainsi permises. La visite de ttelle s intéresse à la vie de l établissement dans tos ses aspects : la pédagogie, la pastorale, le relationnel, le projet édcatif, la gestion et l immobilier. Elle mesre l adéqation entre véc et projet, la réalisation de la mission donnée a directer. A la site de la visite est établi n rapport. Il permet de dégager orientations et recommandations por le Chef d établissement, l école, la commnaté édcative et la commnaté chrétienne. Le travail des bénévoles de ce Comité de ttelle et des visiters est sovent méconn. Mais il s agit de personnes intéressées à la bonne marche de l Instittion. Edcation et pédagogie LES FRERES DU SACRE COEUR Les Frères d Sacré-Cœr ont été fondés à Lyon, en 1821, par le Père André Coindre, René SANCTORUM missionnaire diocésain, qi a participé également à la fondation des sœrs de Jéss-Marie, avec Cladine Thévenet. Les dex premières œvres ont été des providences por garçons (acceil, formation, apprentissage d n métier por jenes de la re, délinqants, orphelins, enfants très pavres) : l ne à Lyon, l atre à Valbenoîte (Saint-Etienne). Cette dernière a vite périclité par la sécession de la commnaté trois mois après la fondation! A cors de ses missions en monde rral, dans le Lyonnais, la Loire et la Hate-Loire, André Coindre a constaté l abandon des enfants et des jenes, sans édcation ni avenir. Il a donc décidé de créer assi des écoles primaires rrales. Drant le XIX ème siècle, elles se sont développées srtot dans le Lyonnais et le Massif Central. En 1903, il y avait 136 écoles en France dont qelqes-nes dans la Loire. Les derniers établissements dirigés par les Frères dans ce département ont été Saint-Héand et Firminy (Bénad). A cors des temps, les oevres se sont diversifiées : orphelinats, collèges, lycées classiqes, agricoles, professionnels, foyers... En 1846, cinq Frères ont implanté la commnaté à la Novelle- Orléans, noya des actelles provinces américaines. De là, en 1872, l Institt a fondé a Canada. Les événements de 1903 l ont amené en Espagne et en Belgiqe. A dater de 1927, srtot à partir de l Espagne, d Canada et des Etats-Unis, les Frères ont essaimé dans les pays d Sd. Actellement, l institt compte des gropes assez étoffés a Sénégal, à Madagascar, dans le Pacifiqe Sd, a Brésil. Répand dans 30 pays, il se consacre tojors ax jenes dans des établissements scolaires, des foyers d acceil, de réhabilitation o de promotion de divers genres. A cœr de ler vie de commnaté et d action, les Frères d Sacré-Cœr placent la contemplation de Jéss a cœr overt sr la croix, icône de l amor d Père por tos, et d abord les pls petits et les pls loin. Cette spiritalité inspire ler attitde pédagogiqe qi met l accent sr : * ne compassion active : le Frère va a-devant des enfants et des jenes a cœr blessé ; * ne confi ance indéfectible en ex : chacn(e) est capable de grandir en hmanité et en vie spiritelle, qels qe soient ses handicaps, ses attitdes et ses comportements ; * n soci d éveiller et de former à la jstice.

3 Chantiers et projets LES ETATS GENERAUX DE L EVALUATION ET DE LA REUSSITE Jean-Pierre LE MEUR Dans la folée de la jornée des Commnatés Edcatives d 2 décembre 2005, les «Etats Générax de l évalation et de la réssite» ont proposé dex jors de regropement national à Evry por : - dire comment l évalation est véce dans sa réalité qotidienne par chacn - interroger ce q elle dit de notre projet édcatif, de nos exigences, de nos méthodes, de notre conception de la réssite - la repenser dans sa première dimension : la relation - proposer des voies novelles qi permettent le développement de la personne, de la commnaté. Les travax de ce rassemblement, qi se vet assi «célébration», ont permis à l Enseignement Catholiqe de rappeler qe la personne est d abord «relation». Edqer consiste à la faire grandir. Elémentaire? Certes, mais pas tojors vérifiable sr le terrain. Hélas! A partir de la réalité qotidienne de nos établissements, on s aperçoit qe beacop de pré-spposés sont des contresens de l édcation de la personne. Il est donc important de rappeler le socle anthropologiqe de l Edcation dans l Enseignement Catholiqe. Ces dex jors ont permis de mettre en évidence qelqes principes fondamentax de l Edcation qi prennent en compte la relation à la personne «élève». Le diocèse de St-Etienne a été représenté à Evry ces 3 et 4 avril par ne délégation de 4 personnes en pls des dex représentants des observatoires Diocésains. Nos avions emmené le pannea mettant en exerge la «pépite» qe le Comité de pilotage des Assises a reten à la lectre des «cahiers de la réssite» qe vos avez bien vol nos retorner en décembre. Il a été affiché à l Agora d Evry avec cex des atres diocèses. Dex jors consacrés à la prise d informations et à l échange pendant la première matinée. Après déjener, analyse des paroles rapportées des diocèses reprises par Marice Bellet, prêtre et psychanalyste, entre atres, sos l animation de la jornaliste Nathalie Lebreton. Le lendemain, dans la tote moderne cathédrale d Evry, la matinée a été consacrée à la déclaration des articles de fond, fondements de nos projets d établissement dans ne ambiance de célébration de la Parole et de l Echaristie. Ces dex jors ne sont pas la «fin» d n travail de réflexion sr l évalation mais ne étape por reprendre le soffle nécessaire por n renovea de nos pratiqes. Qelqes brèves... LE STATUT DES ENSEIGNANTS Délégé général a Secrétariat Général de l Enseignement Catholiqe, M. Bizot est le président de la Commission nationale de l emploi. Il a été n des principax négociaters d statt des enseignants q il est ven présenter ax directers d Secondaire et ax syndicats signataires des accords ce jedi 9 mars à Ollins por expliqer ce qi reste, ce qi a changé, les problèmes solevés et répondre ax qestions. LE FAIT RELIGIEUX Mercredi 8 mars, conférence de M. Descolers sr le fait religiex. Dans la lignée de des Assises, il convient de faire entrer le fait religiex dans les programmes. Des formations sont proposées par l IFER de Dijon. Des gropes de professers existent comme à St-Pal à St-Etienne. Enfin, le Père Joatton a chargé le père Morea d être le coordinater de cette mission. LE FINANCEMENT DES ECOLES La circlaire interministérielle est enfin pbliée a BO. Les dépenses éligibles a coût de l élève sont agmentées. La participation financière des commnes de résidence est obligatoire. Les établissements pblics de coopération intercommnale (commnatés de commnes o atres) sont explicités. Le préfet pet intervenir en cas de conflit mais, saf accord pls ancien, les élèves de maternelle ne sont pas forcément pris en compte. Enfin, ne cellle d information et de médiation est créée ator d Directer diocésain. LES COMMISSIONS DU CODIEC Les 3 novelles COMMISSIONS d CODIEC : Observatoire Pédagogiqe, Observatoire Pastoral et Prospective, afin de dynamiser les Etablissements por les aider ensite, créer des liens et diffser le sentiment d appartenance à la même INSTITUTION ont établi, pis envoyé n qestionnaire dans le 1er et le 2nd degré. Les membres attendent n retor de la part de chacn por constrire des réssites. EPISCOPAT ET SGEC Les dex noveax Evêqes chargés de l Enseignement Catholiqe de France, Mgr Amonier, de Versailles et Mgr Maillard de Laval, ont proposé à la Conférence des Evêqes la recondction dans ses fonctions por n an, de M. Pal MALARTRE. L accord a été donné. De pls, M. Clade BERRUER, Directer Diocésain de Borges et Chartes a été nommé por 3 ans Secrétaire Général-Adjoint.

4 Edcation et pédagogie L AFEP, UNE ECOLE DE LA REUSSITE Lare BOUIS Le projet de l AFEP, Association loi 1901, est de donner ne formation à des jenes n ayant pas le goût por les étdes théoriqes et qi sohaitent apprendre n métier par la pratiqe. Sovent, ils ont échoé dans les fi lières traditionnelles de l enseignement. La problématiqe des écoles de prodction est de donner d poids ax objets, à ce qe les jenes en formation fabriqent. Ils sont là por se former mais en prodisant des pièces qi sont commandées et vendes à des indstriels. Il fat qe chaqe prodit soit bon por être livré. Le jgement sr le prodit se fait selon les exigences imposées par les «donners d ordres». La strctre relationnelle s éqilibre atrement qe dans les lycées et les collèges traditionnels et permet à certains de trover n meiller éqilibre et à d atres qi sont trop lents por les formations classiqes, d acqérir confiance en ex et ne compétence pratiqe a fil d temps. Les objectifs fixés ax élèves sont simples et rapproché: ce sont les pièces à prodire et à livrer, pièces dont ils sont responsables. Comme dans tos les métiers, la compétence techniqe n est rien sans l attitde hmaine. Les jenes en formation acqièrent cette attitde grâce a compagnonnage avec les professionnels qi travaillent avec ex et qi les forment. A l AFEP, ces maîtres professionnels sont nombrex por mener à bien le travail demandé par les clients, il fat assi la compétence de professionnels d n bon nivea. C est en les côtoyant qe les jenes apprennent : - la vie d éqipe - la notion de responsabilité et de service a client - la riger dans le travail - la globalité d processs de prodction qi va de la réception de la matière à l emballage et à la livraison. La valer personnelle et la compétence des Maîtres professionnels sont donc essentielles. Les enseignements théoriqes prennent appi sr les nécessités de la pratiqe. C est à partir des prodits et des plans de la prodction qe se fait l initiation a dessin indstriel et à la commnication techniqe. Ce q ils dessinent, les élèves le voient réalisé, ils expérimentent ce qe signifient les tolérances fixées. C est à partir des qestions pratiqes qe beacop de domaines mathématiqes sont abordés : tolérances et nombres décimax, métrologie et trigonométrie, etc... Ces enseignements sont dispensés par des retraités de la profession qi velent faire bénéficier les jenes de ler expérience. Le français fait l objet d n enseignement pls atonome. Il vise à développer ler capacité à : commniqer, s informer, se docmenter, comprendre et réaliser n message. Compte ten des échecs scolaires qe les élèves ont déjà conns, les lacnes sont parfois importantes dans des domaines élémentaires, comme le calcl o la lectre. De façon à les acheminer vers le nivea reqis por le certificat d Opérater Régler en Tornage o en Fraisage o le CAP Serrrier Métallier et por ler vie professionnelle, nos donnons les enseignements en tot petits gropes de 2 o 3 jenes maximm. Ils représentent 10 heres par semaine : 2 heres de français, 2 heres de maths et 4 heres de dessin indstriel. Des cors de législation d travail ont lie por les 2ème année. Tot cet enseignement général est donné par des bénévoles (ne trentaine). En raison de son principe pédagogiqe qi est la prodction de pièces indstrielles, l AFEP est en relation permanente avec ne qarantaine d entreprises. Ce sont elles qi font vivre l Ecole. En tant qe clientes, elles viennent évaler réglièrement l Atelier et nos faire passer des adits. Dès la première année de formation, les jenes effectent plsiers stages en entreprise. Ils pevent ainsi se siter rapidement dans la perspective de ler avenir professionnel et constater q ils sont capables de trover ler place dans le monde indstriel. La première année est essentielle por acqérir ne attitde «professionnelle». L AFEP est n lie d intégration progressive à la vie professionnelle par ses liens indstriels avec ses rythmes, ses liens sociax et ses exigences. Les dex sections de l AFEP : Mécaniqe et Métallerie permettent d acceillir 25 élèves chacne.

5 Vie pastorale PAROLE DE JEUNES : L amônerie d Lycée St-Michel a Anne de Srmont proposé ax lycéens de vivre n week-end à Taizé. Porqoi faire cette propositon ax jenes? Aller à Taizé, c est être invité à aller ax sorces de l Evangile par la prière, le silence, les rencontres, les échanges, le chant 45 jenes de seconde, première et terminale répondirent oi 8 adltes se joignirent à ex. A retor nos avons pris n temps de relectre. Voici qelqes nes de lers PAROLES «Taizé c est à la fois n lie de partage, de vie en commnaté, mais également n lie où on pet prendre des temps personnels de retor sr soi, n moment por faire n «break» a cors de l année.» Amandine «A Taizé, on ne porte pas de jgement. Taizé m a aidé à comprendre la vie. Taizé, c est n village, n lie, ne façon de vivre.» Hgo «Taizé a été ne grande expérience por moi. Les chants m ont particlièrement marqée. On povait chanter des heres sans voir le temps passer. La rencontre avec n frère m a overt les yex et redonné confiance. Dans la commnaté, les valers d amitié, de solidarité, d entraide sont omniprésentes. Taizé, ce n est pas selement moi, c est NOUS.» A. Sophie «Nos avons prié dans ne grande sérénité. Il y avait fole dans l Eglise mais le silence régnait. Chacn était totalement receilli. Notre prière était personnelle a milie de tos C était extraordinaire d avoir ce temps personnel avec atant de monde Pis ensemble nos avons chanté por prier d ne même voix.» Alexandra «Taizé, por moi ce ft ne décoverte. Il y avait des jenes très différents, ce qi nos rassemble à Taizé, c est la FOI. Je retiens assi, les chants dans l Eglise, symbole por moi d rassemblement.» Anaïs «Taizé Une novelle manière de voir l Eglise por moi» Paline «Taizé = chants, amitiés, rencontres, engagement Avenir» Alexandre «Taizé, ne grande diversité, il y en a qi ont fait ne jornée et nit de car por venir ici, c est fablex!» Pal et l avenir comment le voient-ils? Voici qelqes nes de lers réponses : Grandir avec cette expérience Sorire ax atres sans préjgés, aller vers les atres M engager dans n grope Retorner à Taizé ne semaine cette fois ci! Oser parler de Taizé, de ma foi Prier avec les chants de Taizé Des liens se sont tissés entre élèves de Saint Michel, mais assi avec des jenes «d aillers» C est assi cela les frits de Taizé! Initiatives Véroniqe ROUSTAIN ECOLE DE BEAULIEU ROCHE LA MOLIERE : Une Direction partagée Depis trois ans, l école de Bealie à Roche-la-Molière vit ne expérience de direction collégiale : c est à dire qe nos sommes dex à diriger l école. Comment cela fonctionne-t-il? Les tâches et les responsabilités sont partagées (ainsi qe l indemnité), et assmées par l n o par l atre. La direction académiqe est assrée par l n des dex por ne période de trois ans, et est ensite confiée à l atre. Des rencontres réglières nos permettent de coordonner les actions et les décisions. Après ces trois années de direction partagée, le bilan est positif : on ne se sent pas sel, il y a d avantage d échanges d idées, cela crée n dynamisme dans l éqipe et dans l école. Por réssir il fat de la motivation, n certain sens d partage. C est ne expérience exigeante, mais intéressante. Por cette qatrième année, c est donc Véroniqe Rostain qi prend le relais de la direction académiqe, Pal Bessy reste co-directer.

6 Arrêt sr images Arrêt sr visages DEPARTS ET ARRIVEES A LA DEC Avec le regret de les voir partir, nos sohaitons ne retraite bien méritée à C. Lioger et S. Semay. Christian Lioger qittera la DEC en jillet. Sa carrière, tote de fidélité à l enseignement catholiqe depis ses étdes à Lyon (St-Lois de la Croix Rosse), l a condit à enseigner l histoire et la géographie à Chevrel et à Saint-Michel avant de le voir diriger les collèges de Sainte-Marie et de Bénad. Depis 11 ans il assiste le Directer Diocésain por le second degré. Qi miex qe li connaît le tiss hmain de nos collèges et lycées? Je l ai si sovent entend en commission de l emploi dire le parcors de tel o tel depis les origines à nos jors qe je me sis plsiers fois demandé si la Loire n était pas son village, o sa famille. Qi rivaliserait avec Christian dans l art de manier la podre (je vex parler des DHG) avec tojors le mot et le trait d hmor propres à désamorcer les bombes académiqes? Avec li jamais de drame. Témoin les tonnes de comptes rends fidèles des mltiples commissions axqelles il participe qi jamais n amplifient o n égratignent. Serviter conciliant et soriant d diocèse et de ses convictions chrétiennes, Christian l est avec constance, éqanimité et dévoement. Je sis sûr qe ses élèves de Saint-Joseph (a Chambon Fegerolles) assi bien qe les coples nombrex q il a aidés dans ler préparation a mariage à Saint-Genest-Malifax ne me démentiront pas. En 2002 Simone Semay s est longement préparée à sccéder à Marie-Jo Play. Le défi n était pas mince à ce poste-clé por le second degré, avec, entre atres, dans la corbeille, les maîtres, les sppléants, la commnication et l assistance d Directer Diocésain. Il fallait por cela bien connaître Simone qe plsiers années d expérience dans l entreprise privée, 14 ans de service dans l Enseignement catholiqe avait bien formée et qe 3 ans passés à Saint-Lois m avaient permis d apprécier à la site de Jean Brn et de Jean Vandamme. De fait, notre novelle assistante s est rapidement montrée à la hater d poste, aidée en cela par ne excellente maîtrise informatiqe, ne belle clarté d esprit et ne solide résistance ax max de tête générés par les cops de téléphone à répétition et l instrction longe et difficltese des dossiers de l emploi. Le tot avec ne bienveillance soriante, ne disponibilité et ne vaillance jamais mises en défat. C est en jillet qe Simone Semay fera valoir ses droits à la retraite. Après li avoir fait confiance por la formation et l édcation de ses trois enfants, l enseignement catholiqe s est trové largement bénéficiaire de son activité et de ses services. L ancien et le novea Directer diocésain en témoignent ici bien volontiers. Pierre Gadry Nos acceillons, en remplacement de C. LIOGER, Mme Nicole GOFFOZ, comme ADJOINTE por le 2d degré après de M. STAUDT. Après ne longe carrière a service de l Enseignement Privé, en particlier à l IPES a moment de la fsion avec St-Michel, elle vient mettre ses valers à notre service. En remplacement de S. SEMAY, Mme Sandrine PAWELAK, comme ASSISTANTE de DIRECTION après de M. STAUDT. Ses tâches s étendront sr l ensemble de la DEC, avec n sivi pls particlier d 2nd degré avec Mme Goffoz. En remplacement de Céline BERNE, qi devient Secrétaire de Direction à St-Lois, et à qi nos formlons des vœx de réssite dans sa novelle fonction, Mlle Cécile PEYRON, chargée d Secrétariat d Premier Degré en lien direct avec les Animaters-Formaters, Mme CHANUT et M. LE MEUR. Son parcors est jalonné par diverses expériences : réceptionniste, gide toristiqe, srveillante en école, animatrice en MJC. Le 1 er Mars 2006, Anne-Marie FANGET dont la gentillesse et l esprit de service ont été appréciée de tos, a pris sa Retraite, et a de site adhéré à l AREC por rallier les voyages proposés. Nos avons alors acceilli Mme Isabel SORROCHE, qi a laissé sa place de secrétaire à La Salésienne por rejoindre la DEC. A l acceil, elle gère plsiers domaines, dont la messagerie informatiqe, le corrier, et l aide a secrétariat des 1 er et 2d degrés sivant les besoins. Ses enfants ont fréqenté nos écoles, et elle a elle-même été ax breax d OGEC et APEL. Le Service de Psychologie et d Orientation est li même en movement. Cela a commencé dès la rentrée 2005 avec le retor d congé parental de Sylviane THUEL-CHASSAIGNE, qi a remplacé Céline BERNE a secrétariat. Elle a assi la responsabilité sr ne atre partie de son temps, d blletin, des statistiqes, de «EC-OL» sr le Diocèse. Après presqe 16 ans de travail assid a service de psychologie, Lydie GOARIN a décidé d ovrir son cabinet. Nos la remercions por tot ce q elle nos a apporté a cors de cette longe collaboration et li sohaitons bonne chance por sa novelle entreprise. Nos avons le plaisir d acceillir Fanny CROZE en remplacement de Delphine JARRY partie por la Sisse en jin dernier et Benoît FAUCOUP por compléter l éqipe après le départ de Lydie. Psychologe formé à Lyon II por l ne et à l école de psychologie pratiqe por l atre, nos ler sohaitons la bienvene dans le diocèse. Direction de l Enseignement Catholiqe 9, re Chevrel Saint-Etienne Corriel : acceil@ddec42.net Tél Fax Pblication semestrielle : DEC de Saint-Etienne Directer de pblication : J. Clade Stadt Responsables d édition : Christian Lioger - Simone Semay - Sylviane Thel-Chassaigne Envoi de brève, point de ve, article par corriel : decoverte@ddec42.net