L EDUCATION DU PATIENT DIABETIQUE EN FRANCE : MYTHE OU REALITE?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L EDUCATION DU PATIENT DIABETIQUE EN FRANCE : MYTHE OU REALITE?"

Transcription

1 L EDUCATION DU PATIENT DIABETIQUE EN FRANCE : MYTHE OU REALITE?

2 1. LifeScan France est spécialisé dans le domaine de l AutoSurveillance Glycémique et s est donné pour mission de développer, de produire et de mettre sur le marché mondial des produits et des services ayant pour objectif l amélioration de la qualité de vie des patients diabétiques. Plus d information : Info@LifeScanFrance.com et au N Vert LifeScan Services : h /24h et 7 jours sur 7 2. L ALFEDIAM est la société savante de référence dans le domaine de la diabétologie qui contribue à l organisation des réseaux et filières de soins en diabétologie, à la mise en place des procédures d accréditation en matière de soins et de pédagogie, à l élaboration du dossier de soins informatisé et à l amélioration de la prise en charge paramédicale du diabète en milieu libéral. L ALFEDIAM contribue à l élaboration de recommandations de bonne pratique clinique en relation avec l HAS et favorise les initiatives en matière de prévention. C est bien sûr l interlocuteur privilégié de la diabétologie auprès des Ministères, des autorités de tutelle et des caisses de la Sécurité Sociale. 3. Le DELF est une association loi 1901 composée de soignants, de médecins et non médecins créée en janvier Ce groupe est en étroite relation avec l ALFEDIAM et l ALFEDIAM Paramédical, et au niveau européen représente la France et le monde francophone au sein du Diabetes Education Study Group, groupe de l EASD dédié à l éducation thérapeutique. Le DELF veille : à la reconnaissance et la promotion de l éducation comme partie intégrante du traitement du diabète et des maladies métaboliques, au recensement, à la promotion et à la mise à disposition de moyens pédagogiques et de la formation d éducateurs en diabétologie, et s assure de la mise en place de stratégies d évaluation et de l élaboration de référentiels en éducation en vue de leur diffusion. 4. Les experts membres du comité scientifique : Pr Serge Halimi : Diabétologue - CHU Grenoble - Président Alfediam Pr Gérard Reach : Diabétologue - Centre Hospitalier Avicennes - Bobigny - Membre Actif Alfediam Dr Ghislaine Hochberg : Diabétologue - Paris Présidente DELF Dr Helen Mosnier-Pudar : Diabétologue - Hôpital Cochin - Paris- Secrétaire Général Alfediam Dr Dominique Simon : Diabétologue - Pitié Salpétrière - Paris - Membre Actif Alfediam

3 Introduction OBSIDIA, UNE ENQUÊTE POUR COMPRENDRE LES ENJEUX EN MATIÈRE D ÉDUCATION DU PATIENT DIABÉTIQUE Introduction Aujourd hui, l importance de l éducation du patient et de son entourage dans la prise en charge du diabète n est plus à démontrer. Elle est reconnue par tous les experts comme indispensable à la mise en place d un traitement de qualité, garant du bien-être physique et psychologique du malade. Mais dans la pratique quotidienne des services, comment cette nécessité est-elle appréhendée? Poser cette question, c est en réalité aborder celle des moyens techniques et humains dont disposent les différentes structures hospitalières, publiques et privées, qui prennent en charge les patients diabétiques. Pour les professionnels de terrain impliqués dans la qualité de vie du patient diabétique, la réponse à cette question est fondamentale. Elle l est aussi pour LifeScan (1), société leader dans le domaine de l AutoSurveillance Glycémique (ASG), qui est très investie dans l amélioration de la qualité de vie du patient diabétique. C est pourquoi LifeScan (1) a souhaité réaliser, en collaboration avec l ALFEDIAM (2) et le DELF (3), un état des lieux de l éducation du patient diabétique en France : l enquête OBSIDIA (Observatoire de l Information et de l éducation des patients Diabétiques). Cette enquête avait pour ambition de collecter des informations de terrain concernant tous les aspects relatifs à l éducation du patient diabétique et d analyser ces données. Ses principaux objectifs étaient les suivants : Réaliser un bilan de la prise en charge des patients diabétiques en termes d information et d éducation thérapeutique dans les établissements publics et privés, avec ou sans service de diabétologie. Mettre à jour l ensemble des besoins et des attentes des soignants (diabétologues, infirmières et diététiciennes), en matière d éducation thérapeutique des patients diabétiques. Un troisième objectif, qui peut être qualifié de «bénéfice secondaire», consistait à permettre à chaque service d évaluer ses pratiques selon plusieurs indicateurs et de se situer par rapport au niveau de l offre nationale en matière d éducation.

4 Les premiers résultats phases I et II PREMIERS RESULTATS DES PHASES I et II : DES ACQUIS POSITIFS SUR LESQUELS LA DÉMARCHE D ÉDUCATION PEUT S APPUYER

5 Résultats Un consensus réel sur les objectifs de la démarche d éducation Il semble exister, au travers des réponses recueillies lors de la phase II, un consensus non seulement entre médecins et infirmières, mais aussi entre les différents centres sur les objectifs à atteindre par l éducation. Ceux-ci sont au nombre de 4 : Les premiers résultats phases I et II Responsabiliser le patient et le rendre autonome vis-à-vis des divers aspects de la prise en charge du diabète. En effet, la maîtrise des savoirs faire techniques (d AutoSurveillance Glycémique (ASG), d injection d insuline), la connaissance et l application des règles hygiéno-diététiques, l adaptation des doses d insuline en fonction des apports glucidiques sont autant d éléments jugés indispensables. Il faut donc instaurer chez le patient une motivation à se prendre en charge de façon efficace à trois niveaux complémentaires que sont la prise médicamenteuse (antidiabétiques oraux (ADO) ou insuline), l alimentation et l activité physique. Lui permettre d acquérir une compréhension globale de la maladie, une connaissance des risques qui y sont liés et de leur prévention (hypoglycémie et hyperglycémie, surveillance des yeux et des pieds ). Un des objectifs étant de diminuer ainsi le nombre et la durée des hospitalisations, de prévenir les réhospitalisations d urgence, les complications, les amputations et les décès. Lui transmettre la nécessité du contrôle glycémique quotidien (ASG) et du suivi trimestriel avec l HbA1c, véritable indicateur de l observance et de la bonne conduite du traitement. Enfin, il est reconnu comme nécessaire de remettre à niveau les connaissances des patients plus anciens. Il faut leur rappeler des points importants pour la prévention, valider leurs comportements hyiéno-diététiques, les remotiver et les informer sur les nouvelles pratiques, et éventuellement leur présenter le nouveau matériel.

6 Résultats L importance de l éducation est acquise auprès des médecins comme des infirmières. En effet, non seulement 97% des services interrogés considèrent la formation du patient diabétique comme une priorité mais ses corollaires (éducation de l entourage ) sont également valorisés. La motivation des équipes soignantes : une ressource essentielle! En théorie, l équipe en charge de l éducation et de l information des patients diabétiques est constituée de 15 à 20 professionnels. Cependant, dans la pratique, c est le trio diabétologue, infirmière et diététicienne qui constitue le noyau dur de ces équipes pluridisciplinaires. Si on rentre plus dans le détail, le rôle des infirmières d éducation, des diététiciennes et des aides soignantes apparaît majeur par rapport à celui des médecins. Ceux-ci, le plus souvent, ne disposent que de peu d heures à consacrer à l éducation thérapeutique, excepté dans les grands services où un praticien hospitalier peut être dédié à cet aspect. Les premiers résultats phases I et II Les résultats phases I et II d inte un ac l infir Motivation du personnel paramédical Motivation du personnel médical Travail multidisciplinaire (travail équipe) Mise à disposition des locaux Accés à des formations régulières 89% 97% 86% 93% 89% 88% 85% 84% 82% 79% Une remarque néanmoins à pondérer si on considère que chaque consultation et chaque contact avec le patient fait partie de la démarche éducative. L infirmière a donc un rôle central dans le processus d éducation et c est elle qui anime, le plus souvent, les sessions de groupe. Les diététiciennes interviennent pour leur part sur les sessions de diététique, alimentation, organisation des repas, avec ou sans cuisine équipée, avec ou sans prise de repas en commun selon l établissement. Mise à disposition de matériel Soutien de la hierarchie Aménagement du temps de travail Financement par les laboratoires Financement ARH classique Financement réseau dotation (DRDR*) Financement par réseau (env.) 17% Renfort en14% personnel dédié 17% 29% 26% 53% 45% 40% 69% 75% 64% 89% Ressources sur lesquelles reposent les actions mises en place dans le service Réponses recueillies lors de la phase II (75 services) avec en rouge les infirmières et en bleu les diabétologues - endocrinologues 100% Les aides soignantes (lorsqu elles sont formées et qu elles disposent de temps) assurent la formation et l information individuelle autour du pied du diabétique (prévention, soins podologiques, etc.). Les autres acteurs - podologue, assistante sociale, éducateur médico-sportif ou psychologue - ne sont présents que dans une équipe sur deux et interviennent à la demande plutôt que dans une démarche systématisée. Leur volonté d éducation est intacte et quand on interroge médecins et infirmières au sujet des ressources sur lesquelles reposent les actions d éducation dans le service, c est bien la motivation du personnel médical et paramédical qui est citée par tous comme le ressort principal. *dotation régionale du développement des réseaux

7 Résultats Le nombre moyen total de patients qui ont bénéficié d une action d éducation thérapeutique ne dépasse pas 60%. Un décalage important entre les convictions ou les ambitions des équipes, et les résultats sur le terrain Si l on tient compte du niveau de motivation des équipes soignantes concernant l éducation, OBSIDIA permet de faire un constat surprenant : seulement la moitié des établissements proposent une éducation en groupe dans le cadre de l hôpital de semaine, de jour ou en dehors. Et si l on considère le nombre moyen total de patients qui ont bénéficié d une action d éducation thérapeutique (sur l échantillon considéré pendant la durée de l étude) on s aperçoit qu il n atteint que 60%. Les premiers résultats phases I et II Il s agit bien sûr d une moyenne avec des disparités selon les structures puisque ce chiffre s élève par exemple à 50% en CHG ou CH et à 70% en CHU. Les raisons de ce décalage sont multiples, mais plusieurs points émergent clairement au travers des informations recueillies avec OBSIDIA : Des structures disparates Des priorités différentes selon les familles de soignants Côté patients, des freins difficiles à contourner Côté soignants, un malaise dû au manque de reconnaissance Pour tous, une pénurie générale de moyens

8 Résultats Des structures disparates Un décalage important entre les convictions ou les ambitions des équipes, et les résultats sur le terrain Comme on pouvait s y attendre intuitivement, selon la taille et les moyens du service, l organisation de la démarche éducative peut être très différente : Les premiers résultats phases I et II Les grands CHU en région, les hôpitaux de l AP-HP, des Hospices Civils de Lyon et de l AP de Marseille mettent en place un véritable programme éducatif qui permet de fixer des objectifs et d instaurer un «contrat» avec le patient. Les moyens dont disposent ces structures autorisent la priorité à l éducation et la généralisation du statut d éducateur à tous les soignants. Ils disposent de personnel (temps plein ou partiel) dédié à l éducation leur permettant de mettre en place des sessions éducatives en groupe, des collaborations avec d autres services. A l inverse, les petits Centres Hospitaliers sans service de diabétologie et les petites cliniques privées se voient souvent contraints d improviser leur démarche éducative. Ils proposent alors un programme réduit aux savoirs faire de base, sans session en groupe, sans accueil en hôpital de jour ou de semaine. Dans ces établissements, la priorité à l éducation individuelle au pied du lit du malade est logiquement mise en avant. Le plus souvent il n y a aucun travail en groupe, les thèmes éducatifs sont limités et proposés «à la carte», faute d effectif suffisant pour les assurer. Enfin, entre ces deux extrêmes on trouve les CHG avec service de diabétologie et les hôpitaux privés qui disposent de moyens intermédiaires. A une plus large échelle, le manque de relais en ville est aussi en cause (réseau diabète, médecin traitant, maison du diabète) et diminuerait l impact des actions éducatives.

9 Résultats Des priorités différentes selon les familles de soignants Quand on interroge les médecins et les infirmières (phase II) sur leurs priorités concernant l éducation des patients diabétiques de type 1, on constate qu elles ne convergent pas complètement. Les médecins sont plus centrés sur l autocontrôle de la glycémie et la compréhension de la maladie, tandis que les infirmières s attachent en premier lieu à la maîtrise des savoirs faire techniques, avant de citer les autres objectifs. On peut bien entendu penser que ceci est lié au rôle initial de chacun. La dichotomie est encore plus marquée concernant les diabétiques de type 2. La priorité du médecin est l amélioration des objectifs glycémiques, suivie de la prévention des complications, là où les infirmières font émerger la remise à jour des connaissances et la remotivation devant l amélioration de l AutoSurveillance Glycémique et l autocontrôle. Un décalage important entre les convictions ou les ambitions des équipes, et les résultats sur le terrain Côté patients, des freins difficiles à contourner Si tous les patients sont concernés par l éducation quelque soit leur profil (consensus diabétologue et infirmière), il existe pourtant des freins difficilement contournables comme celui de la langue. L absence de maîtrise du français constitue un réel frein à l éducation des patients diabétiques pour 26% des médecins contre 16% des infirmières. De même, en dépit d un niveau socioculturel moyen, il apparaît que 1 patient sur 5 ne maîtrise pas notre langue et rencontre des difficultés pour lire. Il est par ailleurs surprenant d apprendre que seulement 13% des patients utilisent Internet pour s informer sur l éducation du diabète. En ce qui concerne l âge avancé ou le déni de la maladie, ils sont également cités comme autant de freins à la bonne compréhension et à la mise en œuvre efficace de l éducation. Au total, environ 75% des patients seraient «éducables» (médiane à 80%) selon les infirmières et les médecins qui ont des opinions similaires. Les premiers résultats phases I et II Seulement 75% des patients seraient «éducables» selon les infirmières et les médecins. Comme on pouvait s y attendre, les patients les plus «difficilement éducables» sont mieux pris en charge dans les grands services qui disposent de plus de moyens et d une offre plus large en hôpital de jour ou de semaine. Pour pallier en particulier au problème de la langue, certaines structures comme les CHU et les CHRU mettent en place des sessions d éducation avec un intervenant maîtrisant la langue des patients concernés.

10 Résultats Côté soignants, un malaise dû au manque de reconnaissance Malgré des disparités selon les services, le bilan de l éducation dressé par les diabétologues est consensuel : tous sont mécontents! Un décalage important entre les convictions ou les ambitions des équipes, et les résultats sur le terrain Pour tous, une pénurie générale de moyens Le manque de moyens et de personnel affecte de façon chronique tous les établissements visités. Même si, la démarche éducative est mieux organisée et structurée dans les grands centres qui traitent les patients les plus «lourds». Les premiers résultats phases I et II Au-delà du manque de moyens, c est le statut même de l éducation des patients diabétiques qui est en cause : l éducation thérapeutique n est en effet pas reconnue comme une activité hospitalière à part entière, ni dans la nomenclature, ni dans les projets d établissements. Plus de 95% des soignants réclament une reconnaissance officielle, professionnelle et financière, de l acte d éducation thérapeutique. 89% des infirmières souhaitent disposer de plus de matériel éducatif. Les besoins concernent surtout : Des aspects généraux liés à l organisation des services : manque de locaux (salle dédiée, cuisine équipée avec possibilité de prise de repas, salle de sport, etc..), le manque de personnel, de budget et de temps pour l éducation. L accès à la formation professionnelle, qui est également cité, même si parmi les professionnels de l équipe soignante 85% ont reçu une formation spécifique en ETP, toutes modalités confondues. Cette moyenne reflète des chiffres plus variables selon les catégories : 100% des médecins, 75% des infirmières et diététiciens, 50% des aides soignants déclarent avoir bénéficié d une formation. Les diplômes universitaires, les formations du DELF et de l IPCEM sont les plus souvent citées, avec celles proposées par les laboratoires. Pour la plupart d entre eux cette formation date de plus de 2 ans et il n y a pas de formation continue. Ainsi, 74% des médecins et 79% des infirmières soulignent les besoins en formation dans les domaines suivants : évaluation, pédagogie, démarche éducative, approche psychologique, analyse des pratiques, relation soignant/soigné qui tous sont cités plus de une fois sur deux. Le matériel éducatif à destination des patients, cité par 89% des infirmières qui souhaiteraient en disposer en plus grand nombre. Actuellement, 47% des documents remis aux patients sont élaborés dans les services.

11 Conclusion Conclusion Si les premiers résultats de l enquête OBSIDIA confirment qu aujourd hui en France, l éducation du patient diabétique est une réalité grâce à la forte mobilisation des équipes soignantes, ils permettent aussi d isoler les principaux freins humains et matériels qui entravent le développement de cette éducation. Leur hiérarchisation diffère selon les structures des centres qui sont évidemment assez disparates en termes de taille et de moyens. Dans ce contexte, trois actions sont à privilégier : 1 Accéder à une reconnaissance officielle professionnelle et financière de l acte d éducation thérapeutique. Les soignants réclament une cotation permettant de pérenniser une activité qui risquerait d être remise en cause du jour au lendemain. 2 Compléter la formation des soignants pour optimiser la prise en charge des patients. 3 Développer et mettre à disposition des moyens matériels, techniques et humains. Une démarche réellement indispensable si l on veut donner aux patients diabétiques les meilleures chances de «co-gérer» efficacement leur maladie.

12 Méthodologie L enquête OBSIDIA : 3 phases pour 3 approches Méthodologie La phase I est une phase préliminaire d étude sur un petit échantillon (16 centres répartis sur 6 régions entre le 15 et le 30 juin 2007) qui a pour but essentiel de valider les critères d évaluation du fonctionnement, des pratiques et des besoins des différents centres en matière d éducation des patients diabétiques. C est une phase d observation déstinée à mettre en place les indicateurs nécessaires et suffisants d ordre structurel, fonctionnel, émotionnel, permettant de rendre compte de l activité d information et d éducation dans les services. L enquête a été menée dans chaque centre auprès d un diabétologue responsable de l éducation thérapeutique et d une infirmière. Cette première approche a permis d observer une grande variété de comportements et d organisation au-delà des attitudes éducatives consensuelles. Nombre moyen total de diabétiques pris en charge durant l année 2006 dans les 75 services de l enquête Total 1626 CHU/CHRU 2085 CHG/CH avec diabétologie 773 CHG/CH sans diabétologie 655 Cliniques privées Lors de la phase II, qualitative mais à plus grande échelle, le recueil d information a été réalisé au cours de deux entretiens face à face d une durée de 30 à 50 minutes en moyenne avec un diabétologue-endocrinologue et une infirmière en charge de l éducation des patients. Ces entretiens ont été menés entre le 1er et 20 juillet 2007, dans 75 centres publics (CHRU, CHR/CHG ) et privés impliqués directement au travers d un service dédié ou indirectement (services de médecine interne) dans la prise en charge et le suivi de patients diabétiques de type 1 ou 2. La phase III, quantitative, est actuellement en cours de réalisation sur un panel plus exhaustif (qui intègre d autres intervenants comme des podologues, psychologues ) et à plus large échelle (600 centres) par courriers électronique et papier. % nouveaux diabétiques/nombre moyen total des diabétiques pris en charge 24% 20% 26% 21% 31% En moyenne 1344 patients ont été pris en charge dans les services interrogés. Les services de diabétologies en CHU et en CHG ont logiquement les files actives* les plus importantes. Le pourcentage de nouveaux patients apparaît plus important en CHG, avec service de diabétologie, et en cliniques privées. * Files actives : ensemble des patients vus au moins une fois pendant la période de référence par un ou plusieurs membres des équipes soignantes, quelques soient le nombre et la durée des prises en charge.

13 Contact Presse Betty Godgrand betty.godgrand@orange.fr D.E.L.F.

PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I

PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I UN PROJET DU PROGRAMME CANTONAL DIABÈTE Jérôme Spring Maître de sport APA Diabétologie pédiatrique Riviera-Chablais

Plus en détail

Education Thérapeutique (ETP)

Education Thérapeutique (ETP) Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline

Plus en détail

Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.

Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site

Plus en détail

Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients

Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées

Plus en détail

Renseignements : Secrétariat Dispositif Diabest Tél. 021 923 48 89 www.reseau-sante-haut-leman.ch, rubrique diabétologie

Renseignements : Secrétariat Dispositif Diabest Tél. 021 923 48 89 www.reseau-sante-haut-leman.ch, rubrique diabétologie INFORMATION EN SANTE PUBLIQUE Cours et ateliers DIABEST 2015 Le Dispositif Diabest est composé d un ensemble de professionnels reconnus dans leurs domaines respectifs de spécialisation et proposant différentes

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

Rôles de l infirmière dans une maison du diabète: un point de vue personnel.

Rôles de l infirmière dans une maison du diabète: un point de vue personnel. Rôles de l infirmière dans une maison du diabète: un point de vue personnel. Motivation initiale: Besoin de rencontre avec d autres personnes atteintes du diabète (Nostalgie des activités organisées par

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

Le jeune diabétique à l école

Le jeune diabétique à l école Le jeune diabétique à l école Défis et Solutions Prof. Marc Maes Equipe de diabétologie pédiatrique Centre de convention Cliniques Universitaires St Luc 1200 Bruxelles Marc.Maes@uclouvain.be Le jeune diabétique

Plus en détail

Décret n 2010-1229 du 19 octobre

Décret n 2010-1229 du 19 octobre Télémédecine et diabète : le plan d éducation personnalisé électronique para médical (epep) Lydie Canipel Colloque TIC Santé 2011, 8 et 9 février 2011, Paris Décret n 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif

Plus en détail

FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36

FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 PROJET RÉGIONAL «ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE ET MALADIES CHRONIQUES» DÉBUT EN 2007 DANS LE LOIRET, LE

Plus en détail

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules

Plus en détail

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08 Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,

Plus en détail

Rapport de synthèse Février 2002

Rapport de synthèse Février 2002 TYPOLOGIE DESCRIPTIVE DE L ACTIVITÉ D ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE EN GROUPE DANS LE CADRE DE LA PRISE EN CHARGE DE L ASTHME ET DU DIABÈTE Rapport de synthèse Février 2002 CNAMTS PERNNS DHOS SOMMAIRE MISSION...

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

ntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques

ntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

CENTRE DU DIABETE CLINIQUE SAINT-JEAN. Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques

CENTRE DU DIABETE CLINIQUE SAINT-JEAN. Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques CLINIQUE SAINT-JEAN Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques 1 Madame, Mademoiselle, Monsieur, Bienvenue au Centre du Diabète de la. Nous sommes un centre de traitement multidisciplinaire

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Plus en détail

Mise au point. Dossier. Zoom. www.magpatients.org. Moi, mon diabète, mon entourage. Observance aux règles d hygiène de vie et au traitement

Mise au point. Dossier. Zoom. www.magpatients.org. Moi, mon diabète, mon entourage. Observance aux règles d hygiène de vie et au traitement Mise au point Moi, mon diabète, mon entourage Dossier Observance aux règles d hygiène de vie et au traitement Zoom Le diabète des populations africaines et nord-africaines Informations communiquées en

Plus en détail

Education thérapeutique du patient diabétique en pharmacie de ville : Etude au sein du réseau Paris Diabète

Education thérapeutique du patient diabétique en pharmacie de ville : Etude au sein du réseau Paris Diabète IPCEM MEMOIRE du cycle de formation Diabète 2006-2007 Education thérapeutique du patient diabétique en pharmacie de ville : Etude au sein du réseau Paris Diabète Présenté par Sandrine MASSERON Année de

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49

Plus en détail

DIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS

DIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre

Plus en détail

Institut de FORMATION

Institut de FORMATION Institut de FORMATION plaquette.indd 1 28/11/2012 20:52:47 edito L INSTITUT DE FORMATION J.LEPERCQ Fondé en 1946, l institut de formation est un établissement situé dans le centre ville, à taille humaine

Plus en détail

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation

Plus en détail

En savoir plus sur le diabète

En savoir plus sur le diabète En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Ma fille est diabétique de type 1

Ma fille est diabétique de type 1 Ma fille est diabétique de type 1 Anneli, fille de Martina Equilibrée grâce à sa pompe depuis 2011 A l annonce du diagnostic de diabète de type 1 de leur enfant, de nombreux parents se demandent : «Pourquoi

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

DIABÈTE : LE FLÉAU SILENCIEUX

DIABÈTE : LE FLÉAU SILENCIEUX DIABÈTE : LE FLÉAU SILENCIEUX Si le diabète de type 1 est facile à identifier, le diabète de type 2, très fréquent, évolue de façon silencieuse jusqu aux premiers signes de complication. Ce diabète est

Plus en détail

Le programme de soutien des soins primaires pour diabétiques de London : Des soins pour diabétiques différents

Le programme de soutien des soins primaires pour diabétiques de London : Des soins pour diabétiques différents Le programme de soutien des soins primaires pour diabétiques de London : Des soins pour diabétiques différents S U C C E S S S T O R Y 1 Diabetes Care with a Difference: The London Primary Care Diabetes

Plus en détail

Centrer l éducation du patient sur son projet de vie, incidence sur les pratiques d une équipe soignante. Conférence CIESP - 11 octobre 2007

Centrer l éducation du patient sur son projet de vie, incidence sur les pratiques d une équipe soignante. Conférence CIESP - 11 octobre 2007 Centrer l éducation du patient sur son projet de vie, Reçu le 29 janvier 2008 Accepté le 1 février 2008 incidence sur les pratiques d une équipe soignante par François Zito(1) Mots clés : éducation thérapeutique,

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins»

CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» La Bourse Mutualiste pour la Recherche Infirmière et Paramédicale LE CONTEXTE GÉNÉRAL La recherche infirmière et paramédicale - c est-à-dire l étude

Plus en détail

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat

Plus en détail

REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN

REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN En Belgique, chaque mutuelle est libre de choisir sa "politique de remboursement". Tout dépend donc de la mutualité à laquelle vous (votre patient)

Plus en détail

L éducation thérapeutique des patients

L éducation thérapeutique des patients Claude Dreux (a), Fabienne Blanchet (b) (a) Président du Cespharm (Comité d éducation sanitaire et sociale de la pharmacie française) Ordre national des Pharmaciens Membre des Académies nationales de médecine

Plus en détail

J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire?

J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire? Simon Equilibré grâce à sa pompe depuis 2004 J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire? L hypoglycémie peut être l une des préoccupations majeures des diabétiques de type 1,

Plus en détail

UNIVERSITE MONTPELLIER I UFR de PHARMACIE

UNIVERSITE MONTPELLIER I UFR de PHARMACIE UNIVERSITE MONTPELLIER I UFR de PHARMACIE DOPAGE «DE L ANALYSE A LA PREVENTION» EN PARTENARIAT AVEC DOPAGE : de l analyse à la prévention PORTEURS DU PROJET RESPONSABLES S Michel AUDRAN Professeur de pharmacie

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se

Plus en détail

Journée Mondiale du Diabète

Journée Mondiale du Diabète Compte-rendu de la Journée Mondiale du Diabète - SAMEDI 13 novembre 2010 - Espace Encan - La Rochelle Organisé par : l équipe du Réseau Atlantique Diabète. En partenariat avec : Les services de diététique,

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

BILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite

BILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité

Plus en détail

L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1

L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.

Plus en détail

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation

Plus en détail

Note de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011

Note de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une

Plus en détail

Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil)

Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Centre de Rééducation et de Réadaptation Fonctionnelles PASTEUR «Tout faire pour la personne, ne rien faire à sa place»

Plus en détail

INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE

INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

Dispenses et allègements pour les diplômes du secteur SANITAIRE et SOCIAL

Dispenses et allègements pour les diplômes du secteur SANITAIRE et SOCIAL Dispenses et allègements pour les diplômes du secteur SANITAIRE et SOCIAL (Document réalisé par la CIO Paramédical Février 2014 www.cioparamedical.com) Les références des textes législatifs figurant dans

Plus en détail

NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF

NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE

Plus en détail

Une infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource?

Une infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource? Une stomathérapie et soins de plaies : intérêt d une d telle fonction? Marie Magdeleine lefort ULB Erasme re «clinicienne?» re praticienne «nurse practitioner» Prise en charge de pathologies spécifiques

Plus en détail

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique + La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #

Plus en détail

LE DOSSIER DU PATIENT EN PEDICURIE-PODOLOGIE MAI 2001. Service des recommandations et références professionnelles

LE DOSSIER DU PATIENT EN PEDICURIE-PODOLOGIE MAI 2001. Service des recommandations et références professionnelles LE DOSSIER DU PATIENT EN PEDICURIE-PODOLOGIE MAI 2001 Service des recommandations et références professionnelles Les recommandations pour la pratique clinique sur le thème «Dossier du patient en pédicuriepodologie»

Plus en détail

INAUGURATION Du service de Pédiatrie Dossier de presse JEUDI 14 NOVEMBRE 2013

INAUGURATION Du service de Pédiatrie Dossier de presse JEUDI 14 NOVEMBRE 2013 Dossier de presse INAUGURATION Du service de Pédiatrie JEUDII 14 NOVEMBRE 2013 Le dossier Le service de Pédiatrie Introduction La Pédiatrie : Ses activités Quelques données chiffrées Son fonctionnement

Plus en détail

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Dr Denis BABORIER CH LONS-LE-SAUNIER 31 Août 2009 La géographie du projet ISYS Projet d informatisation du système de soins Franche-Comté EMOSIST-fc

Plus en détail

Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?

Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd

Plus en détail

La nomenclature des métiers se compose de : 5 domaines fonctionnels, 22 familles de métiers, 64 sous-familles de métiers, 183 fiches métiers.

La nomenclature des métiers se compose de : 5 domaines fonctionnels, 22 familles de métiers, 64 sous-familles de métiers, 183 fiches métiers. 4.2. Liste des métiers par domaines, familles et sous-familles La nomenclature des métiers se compose de : 5 domaines fonctionnels, 22 familles de métiers, 64 sous-familles de métiers, 183 fiches métiers.

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

1. Mettre en place des coordinateurs régionaux pour chaque région sanitaire

1. Mettre en place des coordinateurs régionaux pour chaque région sanitaire Rapport d activités 2011 Introduction Le se déploie suivant 5 axes : évaluation (caractéristiques des patients diabétiques et évaluation de leur prise en charge, coûts directs du diabète dans le canton

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

présentation générale

présentation générale présentation générale des installations médicales et sportives de pointe Conçu pour les meilleurs footballeurs, ouvert à tous les sportifs de haut niveau L arsenal thérapeutique du centre médical comprend

Plus en détail

D'UNE MAISON DE SANTE

D'UNE MAISON DE SANTE PROJET DE CREATION D'UNE MAISON DE SANTE PLURIDISCIPLINAIRE St Genix sur Guiers 73 INTRODUCTION UN CONTEXTE LOCAL Inquiétude Partagée 2 médecins sont initiateurs du projet Une volonté très déterminée de

Plus en détail

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité

Plus en détail

Santé, bien-être et plaisir par l alimentation et la cuisine

Santé, bien-être et plaisir par l alimentation et la cuisine LICENCE PRO Santé, bien-être et plaisir par l alimentation et la cuisine Carte d identité de la formation Diplôme Licence professionnelle Spécialité Santé, bien-être et plaisir par l alimentation et la

Plus en détail

«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école. Pour les parents et les enseignants

«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école. Pour les parents et les enseignants «Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école Pour les parents et les enseignants C est parti! Compréhensible et compacte: par le biais de cette brochure, parents

Plus en détail

Les plateformes de génétique

Les plateformes de génétique Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012

Plus en détail

Certaines tables sont contextualisées : Version Territoriale ou hospitalière ; T ou H)

Certaines tables sont contextualisées : Version Territoriale ou hospitalière ; T ou H) Nom de la table référentiel Nombre de pages Version 1 Régime-statut 1 Grade 33 Métier 13 Horaire 1 Discipline d'équipement (uniquement hospitalier) 5 Elément matériel 7 Nature de lésion 1 Siège de lésion

Plus en détail

SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org

SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre

Plus en détail

MONSIEUR DELMAS Cadre expert-mission recherche et développement

MONSIEUR DELMAS Cadre expert-mission recherche et développement Madame Caroline PICHON Coordinatrice générale des soins MONSIEUR DELMAS Cadre expert-mission recherche et développement 1 PRESENTATION DE LA SEMAINE INTERNATIONALE DE L INFIRMIERE Du 11 au 15 mai 2009

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion Tableau de bord Tableau de bord Le diabète à La Réunion Décembre 2012 2 Sommaire Introduction 4 Définitions 6 Répertoire des sigles 7 Contexte 8 Prévalence du diabète traité à La Réunion 10 Admissions

Plus en détail

Masseur Kinésithérapeute

Masseur Kinésithérapeute CP Concours Prépa Santé Optimum : 896 h/an Access : 700 h/an de septembre à mai Masseur Kinésithérapeute Le Métier de Masseur Kinésithérapeute Le masseur-kinésithérapeute ASSURE des rééducations de motricité.

Plus en détail

Les HUG en bref. Chiffres-clés basés sur l exercice 2013

Les HUG en bref. Chiffres-clés basés sur l exercice 2013 2014 Les HUG en bref Chiffres-clés basés sur l exercice 2013 Stratégie Missions, vision, valeurs 3 missions : soins, enseignement, recherche 1 vision : être l hôpital des Genevois et un centre universitaire

Plus en détail

LES PROFESSIONNELS DE SANTE ET LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE Enquête Mut Santé/TNS Healthcare auprès de 150 pharmaciens

LES PROFESSIONNELS DE SANTE ET LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE Enquête Mut Santé/TNS Healthcare auprès de 150 pharmaciens LES PROFESSIONNELS DE SANTE ET LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE Enquête Mut Santé/TNS Healthcare auprès de 150 pharmaciens Nouvel opérateur de la gestion du Tiers Payant Complémentaire, Mut Santé a souhaité

Plus en détail

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

Catalogue des formations

Catalogue des formations Catalogue des formations FORMATION INTER Mise à disposition de l apprentissage par l exemple Mesure de l évolution et de la performance du groupe des participants Travail en atelier par petits groupes.

Plus en détail

Information au patient

Information au patient Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même

Plus en détail

équilibre glycémique du diabétique insuliné

équilibre glycémique du diabétique insuliné La télésurveillance t des maladies chroniques à domicile Aide à la décision en diabétologie Docteur Pierre FONTAINE Service de diabétologie, CHRU de Lillle Faculté de médecine, m Université de Lille 2

Plus en détail

Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.

Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil. Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.org I. Informations diverses présentées par AS. Rigaud & B. Dubois

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant

Plus en détail

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics) Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

Programme DPC des infirmiers

Programme DPC des infirmiers Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE

Plus en détail

Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise

Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Communiqué de presse Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Paris, le 27 mai 2013 L Institut Randstad et l Observatoire du Fait Religieux en Entreprise

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail