Monitorage du volume d éjection systolique par Doppler œsophagien

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Monitorage du volume d éjection systolique par Doppler œsophagien"

Transcription

1 mt cardio 2008 ; 4 (3) : Monitorage du volume d éjection systolique par Doppler œsophagien Bernard Cholley Service d anesthésie-réanimation, Hôpital européen Georges-Pompidou ; Université René-Descartes, Faculté de Médecine, Paris <bernard.cholley@egp.aphp.fr> doi: /mtc Résumé. Le Doppler œsophagien est un outil de monitorage du débit cardiaque battement par battement, peu invasif et simple d utilisation. Sa fiabilité est comparable à celle des autres techniques utilisées en pratique clinique. Il permet de guider les apports liquidiens en quantifiant l augmentation de débit qui en résulte et d éviter les excès d apports si l on arrête de remplir quand le plateau de la courbe de fonction cardiaque du patient est atteint. Au bloc opératoire, une stratégie fondée sur l optimisation du débit cardiaque a prouvé des effets bénéfiques chez les patients chirurgicaux «à haut risque». Mots clés : volume d éjection systolique, débit cardiaque, monitorage, optimisation hémodynamique, patient chirurgical à haut risque Abstract. Stroke volume monitoring using esophageal Doppler Esophageal Doppler is a noninvasive, instantaneous cardiac output monitor. Its reliability has been shown to be comparable to that of other current techniques used in the clinical arena to measure cardiac output. It helps to guide intravascular fluid resuscitation by quantifying the increase in flow in response to fluid challenges and by indicating the plateau of the patient s cardiac function curve. When the plateau has been reached, further fluid loading may result in congestion without an improvement in the systemic flow. A strategy based on cardiac output optimization has proven beneficial in high-risk surgical patients. Key words: stroke volume, cardiac output, monitoring, hemodynamic optimization, high risk surgical patient quate dans l ensemble des organes du patient, ce qui sous-entend une pression suffisante et un débit garantissant un bon transport d oxygène aux tissus. Si la pression est toujours monitorée, parfois même en continu chez les patients à haut risque, le débit est souvent ignoré par manque d outils simples pour le mesurer. Or, le débit est le paramètre le plus sensible aux variations de retour veineux car il est moins étroitement régulé que la pression, et la période peropératoire est marquée par de nombreuses altérations du retour veineux : remplissage vasculaire, hémorragie, pertes insensibles, vasodilatation liée aux agents anesthésiques... De plus, en chirurgie non cardiaque, l immense majorité des situations hémodynamiques critiques est liée à un problème aigu de retour veineux, et seule une minorité est liée à un problème de défaillance cardiaque. Par conséquent un outil simple de mesure du volume d éjection systolique comme le Doppler œsophagien répond précisément à l attente essentielle des anesthésistesmtc Tirés à part : B. Cholley En réanimation ou au bloc opératoire, la nécessité de monitorer l hémodynamique des patients susceptibles de présenter des variations brutales et dangereuses de leur état cardio-circulatoire est une évidence. Les moyens à mettre en œuvre pour assurer ce monitorage sont plus controversés. Un outil de monitorage est cliniquement indiqué quand il a la capacité de détecter des anomalies ou des changements dans l état physiologique du patient et quand il peut aider à guider la thérapeutique. Les anesthésistes et les réanimateurs ont désormais bien admis que l échocardiographie transœsophagienne (ETO) est un outil très puissant pour diagnostiquer la cause de situations critiques en réanimation comme au bloc opératoire. Pour ce qui est du monitorage proprement dit, c est-à-dire la réalisation de mesures répétées (ou continues) de paramètres physiologiques, l ETO n est pas forcément l outil idéal. Un des objectifs de la réanimation est de maintenir une perfusion adé- 237

2 Monitorage du volume d éjection systolique par Doppler œsophagien réanimateurs : avoir un reflet direct et sensible des variations de retour veineux. Liste des abréviations ETO : échographie transœsophagienne ITV : intégrale temps-vitesse VES : volume d éjection systolique Principe de fonctionnement Le calcul du débit cardiaque par Doppler œsophagien repose sur la mesure instantanée de la vitesse du flux aortique descendant (figure 1) [1, 2], qui permet de calculer la distance parcourue par la colonne de sang durant chaque systole (intégrale temps-vitesse). Le volume de sang déplacé à chaque systole dans l aorte descendante est obtenu par le produit de cette distance systolique Vélocité aortique (cm/sec) ITV Temps (sec) Figure 1. Principe de l estimation du volume d éjection systolique (VES) à partir de la mesure de la vitesse instantanée dans l aorte thoracique descendante : la distance systolique parcourue par les globules rouges est calculée par l intégrale temps-vitesse (ITV). Cette distance est multipliée par une estimation de la surface aortique descendante (S) pour obtenir le volume éjecté dans l aorte descendante. VES ITV S Figure 2. En haut, sonde de Doppler œsophagien en place, illustrant la proximité anatomique entre l œsophage et l aorte thoracique descendante. En bas, profil de vitesse Doppler caractéristique dans l aorte thoracique descendante. La représentation spectrale montre que la plupart des globules rouges (bande de couleur orange-blanche) se déplacent à la vitesse maximum (proche de l enveloppe verte) pendant la systole et que le flux diastolique est minime. 238

3 (cm) par un facteur qui incorpore l estimation de la surface de section de l aorte descendante (cm 2 ) et la répartition du débit entre troncs supra-aortiques et aorte descendante. Selon les appareils, la surface de section de l aorte descendante est soit estimée par un abaque (Cardio Q, Deltex ; Waki, Atys Medical) ou bien calculée à partir de la mesure directe du diamètre par écho TM (Hemosonic, Arrow). Ce volume doit ensuite être multiplié par un facteur de correction pour obtenir le volume d éjection systolique global, en admettant que la répartition entre aorte thoracique descendante et troncs supra-aortiques est connue et constante. Enfin, en multipliant le volume d éjection systolique par la fréquence cardiaque on obtient le débit cardiaque en litres par minute. Utilisation pratique du Doppler œsophagien La sonde munie d un capteur Doppler à son extrémité est introduite dans l œsophage par voie orale chez un patient anesthésié et ventilé (figure 2). L usage de cet outil est à éviter chez les patients conscients en raison de l inconfort, bien que de nouvelles sondes nasales soient actuellement conçues pour être laissées en place après l arrêt de la sédation ou de l anesthésie (plus souples, mieux tolérées). Le capteur est orienté «à l aveugle» vers l aorte pour détecter le signal de vélocité sanguine aortique, tout en s aidant de la représentation à l écran du moniteur (figure 2). La profondeur d insertion et la rotation de la sonde sont modifiées pour optimiser la qualité du signal en se basant sur le pic de vélocité aortique et la brillance du spectre Doppler. Le pic de vélocité doit être le plus élevé possible pour assurer le meilleur alignement avec le flux sanguin (figure 3). La brillance du spectre témoigne de l intensité des ultrasons réfléchis, laquelle est maximale quand le capteur fait face au flux de globules rouges dans l aorte. Pour certaines sondes couplées à un capteur écho TM, il n y a pas d affichage spectral du signal, mais une simple ligne traçant la vitesse maximale des globules rouges. Il faut donc se fier à l image des parois aortiques pour confirmer le positionnement face à l aorte. Figure 3. Exemple illustrant l importance de rechercher la localisation œsophagienne où la vélocité aortique est la plus élevée possible. La valeur obtenue le plus loin dans l œsophage (panneau du bas) était double de celle obtenue au plus haut (panneau du haut). L alignement du faisceau Doppler avec le flux aortique peut varier avec la profondeur d insertion, comme cela est représenté sur le schéma de droite. Plus l angle est faible et plus grande sera la vitesse calculée, alors que la vélocité sanguine «réelle» est la même dans toutes les positions. Il faut donc impérativement vérifier que l on est toujours placé à l endroit fournissant la meilleure vitesse, seul moyen d être sûr que l on mesure une vraie variation hémodynamique et non l effet d un simple déplacement de la sonde. 239

4 Monitorage du volume d éjection systolique par Doppler œsophagien Le gain est ajusté pour obtenir un spectre Doppler bien défini. Une fois positionnée, la sonde peut être laissée telle quelle ou maintenue en place à l aide de fixateurs spéciaux. Néanmoins, les mobilisations du patient ou la déglutition peuvent être responsables d une perte ou d une altération du signal. Aussi, il est indispensable, avant toute acquisition de données, de vérifier que la position de la sonde est toujours optimale en modifiant très légèrement la rotation et la profondeur d insertion et en s assurant que l on obtient toujours un spectre bien défini, dont la vitesse maximale est la plus élevée possible. La perte spontanée du signal est très fréquente (un patient sur deux). Ceci est inhérent au caractère peu invasif de la méthode et implique de facto que le monitorage continu n est pas possible pour tous les patients. Par ailleurs, la présence d une sonde gastrique est exceptionnellement Baseline un obstacle à l obtention d un signal de vélocité sanguine aortique satisfaisant. Validité de la méthode Malgré les approximations utilisées, la validité de ce principe de mesure du débit a été établie par plusieurs travaux utilisant les différents appareils du marché [3-8] et confirmée par une mise au point récente [9]. La précision de la mesure du débit cardiaque obtenue par Doppler œsophagien n est ni meilleure ni pire que celle des techniques classiques (thermodilution, calorimétrie indirecte, échographie-doppler transthoracique) [4]. Cependant la reproductibilité de la mesure est plutôt meilleure avec le Doppler qu avec la thermodilution (8 vs 12 % respectivement) [3, 4]. Les valeurs absolues de débit sont donc 250 ml 125 ml 500 ml Figure 4. Effet d épreuves de remplissage itératives sur la mesure du volume d éjection systolique (gélatine, 125 ml 2, suivie par 250 ml). Les premiers 125 ml génèrent 27 % d augmentation du VES, de 60 à 76 ml. Les 125 ml suivants n entraînent que 18 % d augmentation (de 76 à 90 ml), alors que les derniers 250 ml n ont quasiment aucun effet (de 90 à 93 ml). 240

5 souvent peu précises, mais leurs variations mesurées par Doppler œsophagien sont au moins aussi fiables que celles mesurées par la thermodilution. VES (ml) 100 Utilisation du Doppler œsophagien pour guider le remplissage 75 En mesurant le débit et ses variations en réponse à des épreuves de remplissage, on peut construire la courbe de fonction cardiaque de chaque patient. En titrant les apports liquidiens par petites fractions on peut sans risque de surcharge déterminer la valeur maximale du débit (figure 4). Quand cette valeur est atteinte il faut arrêter le remplissage pour éviter toute congestion et ne reprendre les apports que lorsque le débit redescend en dessous de la valeur maximum. Il est clair que cette attitude ne s entend que si les variations de débit sont en rapport avec des variations de retour veineux (effet vasoplégiant des anesthésiques, saignement chirurgical...). Si la baisse du débit est liée à une défaillance cardiaque, le remplissage sera inefficace et délétère. Dans l immense majorité des situations, en dehors de cas particuliers (chirurgie cardiaque, patients insuffisants cardiaques...), les variations peropératoires du débit sont liées à des variations de retour veineux et peuvent être traitées par du remplissage et/ou des vasoconstricteurs (éphédrine ou néosynéphrine). Le Doppler est alors parfaitement adapté pour suivre l évolution du débit du patient et sa réponse aux différentes interventions. Une information importante fournie par le Doppler est que de très petites quantités de remplissage peuvent avoir un effet hémodynamique important (par exemple : + 25 % de volume d éjection systolique (VES) avec les 125 premiers ml sur l exemple de la figure 4). De plus, la répétition des épreuves de remplissage confirme bien que les premiers millilitres sont les plus efficaces pour augmenter le débit, comme l indique la courbe de fonction cardiaque (figure 5). Ainsi, l utilisation du Doppler œsophagien pour guider le remplissage permet d éviter les deux écueils que sont : l insuffisance d apport et l hypoperfusion qui peut en résulter ; l excès de remplissage et les complications congestives. A ce titre, la mesure du VES est un appoint majeur pour la conduite raisonnée du remplissage et le Doppler œsophagien la rend facilement accessible chez tout patient sédaté. Il a été montré que l utilisation peropératoire du monitorage du débit pour «titrer» le remplissage vasculaire jusqu à obtenir le meilleur volume d éjection systolique possible permettait d améliorer le pronostic des patients «à haut risque». Initialement proposé par Shoemaker [10], ce concept «d optimisation hémodynamique» a maintes fois montré son intérêt sur la prédiction de la réduction de la morbidité. Certains auteurs l ont appliqué en utilisant le cathéter artériel pulmonaire pour guider le remplissage associé à d éventuelles catécholamines [10-12], mais un certain nombre de travaux ont reproduit des résultats tout aussi intéressants en utilisant le Doppler œsophagien et le remplissage seul [13-17]. Conclusion Le Doppler œsophagien est un outil simple et peu invasif permettant de monitorer le volume d éjection systolique et ses variations chez les patients devant être opérés sous anesthésie générale ou sédatés en réanimation. Son utilisation permet notamment de rationaliser l administration du remplissage vasculaire, ce qui modifie les pratiques habituelles des anesthésistes au bloc opératoire et semble améliorer le pronostic des patients chirurgicaux à haut risque. Références ml Epreuves de remplissage (ml) Figure 5. Construction de la courbe de fonction cardiaque résultant des épreuves de remplissage conduites chez le patient de la figure 4. On voit bien que le plateau de la courbe semble atteint à la fin du second bolus de 125 ml, indiquant que le remplissage ne doit pas être poursuivi sous peine d entraîner une congestion veineuse délétère sans amélioration de la perfusion systémique (stagnation du VES). 1. Cholley B. Monitorage du débit cardiaque par le Doppler œsophagien : principe, intérêt et limites. Réanimation 2002 ; 11 : Cholley BP, Singer M. Esophageal Doppler : Noninvasive cardiac output monitor. Echocardiography 2003 ; 20 : Singer M, Clarke J, Bennett ED. Continuous hemodynamic monitoring by esophageal Doppler. Crit Care Med 1989 ; 17 : Valtier B, Cholley BP, Belot JP, de la Coussaye JE, Mateo J, Payen D. Noninvasive monitoring of cardiac output in critically ill patients using transesophageal Doppler. Am J Respir Crit Care Med 1998 ; 158 :

6 Monitorage du volume d éjection systolique par Doppler œsophagien 5. Lavandier B, Cathignol D, Muchada R, Bui Xuan B, Motin J. Noninvasive aortic blood flow measurement using an intraesophageal probe. Ultrasound Med Biol 1985 ; 11 : Cariou A, Monchi M, Joly LM, et al. Noninvasive cardiac output monitoring by aortic blood flow determination : evaluation of the Sometec Dynemo-3000 system. Crit Care Med 1998 ; 26 : Su NY, Huang CJ, Tsai P, Hsu YW, Hung YC, Cheng CR. Cardiac output measurement during cardiac surgery : esophageal Doppler versus pulmonary artery catheter. Acta Anaesthesiol Sin 2002 ; 40 : Jaeggi P, Hofer CK, Klaghofer R, Fodor P, Genoni M, Zollinger A. Measurement of cardiac output after cardiac surgery by a new transesophageal Doppler device. J Cardiothorac Vasc Anesth 2003 ; 17 : Dark PM, Singer M. The validity of trans-esophageal Doppler ultrasonography as a measure of cardiac output in critically ill adults. Intensive Care Med 2004 ; 30 : Shoemaker WC, Appel PL, Kram HB, Waxman K, Lee TS. Prospective trial of supranormal values of survivors as therapeutic goals in high risk surgical patients. Chest 1988 ; 94 : Boyd O, Grounds RM, Bennett ED. A randomized clinical trial of the effect of deliberate perioperative increase of oxygen delivery on mortality in high- risk surgical patients. JAMA 1993 ; 270 : Wilson J, Woods I, Fawcett J, et al. Reducing the risk of major elective surgery : randomised controlled trial of preoperative optimisation of oxygen delivery. BMJ 1999 ; 318 : Mythen MG, Webb AR. Perioperative plasma volume expansion reduces the incidence of gut mucosal hypoperfusion during cardiac surgery. Arch Surg 1995 ; 130 : Sinclair S, James S, Singer M. Intraoperative intravascular volume optimisation and length of hospital stay after repair of proximal femoral fracture : randomized controlled trial. BMJ 1997 ; 315 : Venn R, Steele A, Richardson P, Poloniecki J, Grounds M, Newman P. Randomized controlled trial to investigate influence of the fluid challenge on duration of hospital stay and perioperative morbidity in patients with hip fractures. Br J Anaesth 2002 ; 88 : Gan TJ, Soppitt A, Maroof M, et al. Goal-directed intraoperative fluid administration reduces length of hospital stay after major surgery. Anesthesiology 2002 ; 97 : Conway DH, Mayall R, Abdul-Latif MS, Gilligan S, Tackaberry C. Randomised controlled trial investigating the influence of intravenous fluid titration using oesophageal Doppler monitoring during bowel surgery. Anaesthesia 2002 ; 57 :

Mesure non invasive du débit cardiaque

Mesure non invasive du débit cardiaque Mesure non invasive du débit cardiaque Pr. Jean-Luc Fellahi fellahi-jl@chu-caen.fr Pôle Réanimations Anesthésie SAMU/SMUR, CHU de Caen, France UFR de Médecine, EA 4650, UCBN, France Déclara'on de conflits

Plus en détail

Comment évaluer. la fonction contractile?

Comment évaluer. la fonction contractile? Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie

Plus en détail

EVALUATION HEMODYNAMIQUE PAR LE MONITEUR PICCO

EVALUATION HEMODYNAMIQUE PAR LE MONITEUR PICCO Hémodynamique et monitorage en réanimation 347 EVALUATION HEMODYNAMIQUE PAR LE MONITEUR PICCO F. Michard, C. Richard, J-L. Teboul. Réanimation Médicale, CHU de Bicêtre, 78 rue du Général Leclerc, 94275

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque

Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,

Plus en détail

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI? Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille

Plus en détail

Mesure du débit et volume sanguins. Cause des décès au Canada

Mesure du débit et volume sanguins. Cause des décès au Canada Mesure du débit et volume sanguins Damien Garcia Damien.Garcia@ircm.qc.ca Laboratoire de génie biomédical IRCM, Montréal Cause des décès au Canada Autres ( 16% ) Respiratoire ( 9% ) Diabète ( 3% ) Cancer

Plus en détail

MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013

MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013 MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op

Plus en détail

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites

Plus en détail

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un

Plus en détail

Avis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA

Avis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters

*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que

Plus en détail

Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD

Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Emergency and Pre-Hospital divisions SAMU 74 INSERM UMR 955 Eq13 REVA: European Network on Mechanical Ventilation CONFLICTS OF

Plus en détail

Monitoring non invasif dans l état de choc

Monitoring non invasif dans l état de choc Monitoring non invasif dans l état de choc Congrès AER - Lyon 2013 Pr Carole SCHWEBEL Réanimation Médicale - CHU Grenoble Inserm 1039 Radiopharmaceutiques Biocliniques mon intervention ne présente aucun

Plus en détail

Les maladies valvulaires

Les maladies valvulaires CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies

Plus en détail

Tronc Artériel Commun

Tronc Artériel Commun Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE

Plus en détail

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation

Plus en détail

La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle

La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités

Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités SECTION I DISPOSITION GÉNÉRALE 1. En vue de l'exercice des activités visées

Plus en détail

La mesure de la réserve coronaire

La mesure de la réserve coronaire Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation

Plus en détail

Modalités d évaluation en Simulation

Modalités d évaluation en Simulation Modalités d évaluation en Simulation Définition de l évaluation n Evaluation en pédagogie = «analyse systémique de la qualité de l enseignement et de l apprentissage» (Mac Dougall 2010) Le cercle vertueux

Plus en détail

CREATION D UNE CHAINE DE REFERENCE POUR

CREATION D UNE CHAINE DE REFERENCE POUR CREATION D UNE CHAINE DE REFERENCE POUR LA MESURE DE LA PRESSION ARTERIELLE La mesure de la pression artérielle par méthode auscultatoire au moyen d un sphygmomanomètre est l une des méthodes les plus

Plus en détail

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la

Plus en détail

Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients

Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite

Plus en détail

Item : Souffle cardiaque chez l'enfant

Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...

Plus en détail

Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE

Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter

Plus en détail

Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus

Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier

Plus en détail

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation

Plus en détail

PICCO2. PROTOCOLE DE SERVICE Année 2010 MISE À JOUR 2012. Hôpital de Bicêtre Département d'anesthésie-réanimation Réanimation Chirurgicale

PICCO2. PROTOCOLE DE SERVICE Année 2010 MISE À JOUR 2012. Hôpital de Bicêtre Département d'anesthésie-réanimation Réanimation Chirurgicale Hôpital de Bicêtre Département d'anesthésie-réanimation Réanimation Chirurgicale PICCO2 PROTOCOLE DE SERVICE Année 2010 MISE À JOUR 2012 1 PROTOCOLE PICCO2 DAR BICETRE DEPARTEMENT D ANESTHESIE REANIMATION

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

Evaluation en Simulation. Dr François LECOMTE Urgences-SMUR-UMJ Cochin-Hôtel Dieu Université Paris Descartes

Evaluation en Simulation. Dr François LECOMTE Urgences-SMUR-UMJ Cochin-Hôtel Dieu Université Paris Descartes Evaluation en Simulation Dr François LECOMTE Urgences-SMUR-UMJ Cochin-Hôtel Dieu Université Paris Descartes Plan Evaluation en simulation en France Formateurs Structures Programmes Apprenants Evaluation

Plus en détail

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

iliaque ZENITH abdomina aortique ale) 244 février 2015 : COOK France Demandeur Les modèles Indications retenues : Service Attendu (SA) :

iliaque ZENITH abdomina aortique ale) 244 février 2015 : COOK France Demandeur Les modèles Indications retenues : Service Attendu (SA) : COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 244 février 2015 CONCLUSIONS ZENITH ALPHA SPIRAL Z, jambage abdomina ale) Demandeur : COOK France

Plus en détail

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux

Plus en détail

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2 Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné

POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné Congrès SFSP, Jeudi 3 novembre 2011 Contexte et objectifs Sécurité transfusionnelle = Préoccupation

Plus en détail

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Épreuve d effort électrocardiographique

Épreuve d effort électrocardiographique Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment

Plus en détail

La ventilation non invasive aux soins intensifs

La ventilation non invasive aux soins intensifs La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

QUESTIONNAIRE DESTINE AUX VETERINAIRES ET AUX RESPONSABLES DE CLINIQUE VETERINAIRES

QUESTIONNAIRE DESTINE AUX VETERINAIRES ET AUX RESPONSABLES DE CLINIQUE VETERINAIRES SNVEL - France QUESTIONNAIRE DESTINE AUX VETERINAIRES ET AUX RESPONSABLES DE CLINIQUE VETERINAIRES QUESTIONNAIRE FOR VETERNARY SURGEONS AND PERSONS IN CHARGE OF VETERNARY CLININCS Ce questionnaire a été

Plus en détail

Hand-held ultrasonography in critically ill patients

Hand-held ultrasonography in critically ill patients Réanimation 14 (2005) 692 699 Mise au point Échographie portable chez les patients en état critique Hand-held ultrasonography in critically ill patients P. Vignon a, *, B. Cholley b http://france.elsevier.com/direct/reaurg/

Plus en détail

Le cathéter artériel pulmonaire

Le cathéter artériel pulmonaire Le cathéter artériel pulmonaire PLAN : Ø Paramètres mesurés Ø Pressions Ø Débit Ø SvO2 Ø Avantages Ø Inconvénients Ø Indica=ons Thierry Boulain Réanimation Médicale CHR Orléans L auteur n a pas déclarer

Plus en détail

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR

DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR H e a r t S t a r t ( Philips ) Démonstration réalisée par les Docteurs Alain LIAGRE & Thierry LEDANT Membres du Conseil Syndical DOMAINE DE SAINT PIERRE

Plus en détail

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie

Plus en détail

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle

Plus en détail

La campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections

La campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections La campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections Annie Laberge, CSSS Drummond et INSPQ Lise-Andrée Galarneau, CSSSTR présidente du CINQ Congrès annuel de l OIIQ,

Plus en détail

Services Techniques de Boston Scientific - Tél. : 0 800 08 2000

Services Techniques de Boston Scientific - Tél. : 0 800 08 2000 Boston Scientific S.A.S 14, place Georges Pompidou BP 32 78184 Saint Quentin en Yvelines Cedex France Tel 33 (0)1 39 30 49 00 Fax 33 (0)1 39 30 49 01 www.bostonscientific.com Objet : Information sur les

Plus en détail

URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor

URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC)

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire

Plus en détail

Monitorage de la température. Dr Th. DEPRET Clinique d Anesthésie réanimation Hôpital Jeanne de Flandre

Monitorage de la température. Dr Th. DEPRET Clinique d Anesthésie réanimation Hôpital Jeanne de Flandre Monitorage de la température Dr Th. DEPRET Clinique d Anesthésie réanimation Hôpital Jeanne de Flandre Galilée, 1597 - Thermoscope. Santorio de padoue, 1612 - Thermomètre. Fahrenheit, 1717 Premier thermomètre

Plus en détail

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.

Plus en détail

Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA?

Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? (césarienne élective = césarienne pratiquée "à froid", en dehors du travail) C Dageville réanimation néonatale,

Plus en détail

Télémédecine. F. Brunet 28 octobre 2010

Télémédecine. F. Brunet 28 octobre 2010 Télémédecine F. Brunet 28 octobre 2010 Définition Idée générale : Faire voyager les informations plutôt que les patients Selon le CNOM (Conseil National de l Ordre des Médecins) : La télémédecine est une

Plus en détail

Gelsoft Plus LA SEULE PROTHESE VASCULAIRE AU MONDE EN POLYESTER A STRUCTURE TRICOTEE KOPER IMPREGNEE DE GELATINE, RESISTANT A LA DILATATION

Gelsoft Plus LA SEULE PROTHESE VASCULAIRE AU MONDE EN POLYESTER A STRUCTURE TRICOTEE KOPER IMPREGNEE DE GELATINE, RESISTANT A LA DILATATION Gelsoft Plus LA SEULE PROTHESE VASCULAIRE AU MONDE EN POLYESTER A STRUCTURE TRICOTEE KOPER IMPREGNEE DE GELATINE, RESISTANT A LA DILATATION Structure tricotée Köper exclusive offrant: - une dilatation

Plus en détail

Information au patient

Information au patient Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?

Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance

Plus en détail

SEMEIOLOGIE CARDIO-VASCULAIRE Mesure de la Pression Artérielle

SEMEIOLOGIE CARDIO-VASCULAIRE Mesure de la Pression Artérielle SEMEIOLOGIE CARDIO-VASCULAIRE Mesure de la Pression Artérielle Plan de cours I-Principes généraux... 2 I-1.La mesure exacte : la pression artérielle «intravasculaire»... 2 I.1- La mesure indirecte : notion

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

Aspects juridiques de l anesthésie pédiatrique hors centre de référence

Aspects juridiques de l anesthésie pédiatrique hors centre de référence Aspects juridiques de l anesthésie pédiatrique hors centre de référence 1 Gilles Orliaguet 1 Nadège Salvi 1 1 Hôpital Necker Enfants Malades. Assistance Publique Hôpitaux de Paris. Université Paris Descartes.

Plus en détail

glycémique en réanimation

glycémique en réanimation Les techniques de surveillance glycémique en réanimation M. Kopff-Uberall, M. Hasselmann Service de Réanimation Médicale, Hôpitaux Universitaires Université Louis Pasteur - Strasbourg Les Hôpitaux Universitaires

Plus en détail

Les risques et Les complications du tabac : bénéfices du sevrage

Les risques et Les complications du tabac : bénéfices du sevrage Les risques et Les complications du tabac : bénéfices du sevrage Sébastien Lagouche, Bertrand Dureuil Département d Anesthésie Réanimation CHU Hôpital Charles Nicolle, 1, rue de Germont, 76031 Rouen Cedex

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie

Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,

Plus en détail

IVème journée normande d'anesthésie-réanimation

IVème journée normande d'anesthésie-réanimation Département d'anesthésie, Réanimation Chirurgicale, SAMU IVème journée normande d'anesthésie-réanimation PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT PORTEUR D'UN STIMULATEUR CARDIAQUE OU D'UN D'UN DEFIBRILLATEUR IMPLANTABLE

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire

Plus en détail

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.

Plus en détail

Applications Manométriques de la SWS

Applications Manométriques de la SWS Applications Manométriques de la SWS G. Desuter MD, MS, FACPE Service ORL et Chirurgie Cervico-Faciale Cliniques universitaires St-Luc, Bruxelles Constat de départ Vidéofluorographie de déglutition et

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC)

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement

Plus en détail

Échographie normale et pathologique du grand pectoral

Échographie normale et pathologique du grand pectoral Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement

Plus en détail

AVIS 1 / 7. Afssa Saisine n 2009-SA-0153. Maisons-Alfort, le 30 octobre 2009

AVIS 1 / 7. Afssa Saisine n 2009-SA-0153. Maisons-Alfort, le 30 octobre 2009 Maisons-Alfort, le 30 octobre 2009 AVIS LE DIRECTEUR GÉNÉRAL de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments sur un projet d arrêté relatif à l emploi de la taurine et de D-glucurono-gamma-lactone

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu

FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu Bertrand Dureuil Pôle Réanimations R Anesthésie sie et SAMU CHU Rouen Fédération des Spécialit cialités s MédicalesM Absence

Plus en détail

Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire

Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert

Plus en détail

quelques points essentiels

quelques points essentiels actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile

Plus en détail

ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE:

ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: FAISABILITÉ ET PERSPECTIVES FUTURES Fabien THAVEAU, Nabil CHAKFE, Jean-Georges KRETZ Service de Chirurgie Vasculaire, Strasbourg INTRODUCTION CHIRURGIE MINI-INVASIVE: but:

Plus en détail

Céphalée post-rachis: Mythes et Réalités. Dr Maxime Côté CHUL-CHUQ

Céphalée post-rachis: Mythes et Réalités. Dr Maxime Côté CHUL-CHUQ Céphalée post-rachis: Mythes et Réalités Dr Maxime Côté CHUL-CHUQ Objectifs Connaître mécanisme et les moyens de prévenir la CPPD Connaitre les différents traitements existants Devenir l expert en CPPD

Plus en détail