Evolution d un technosol issu d un procédé de réhabilitation de friche industrielle. Impacts sur la dynamique des polluants et la qualité des eaux
|
|
- Augustin Bouchard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Evolution d un technosol issu d un procédé de réhabilitation de friche industrielle Impacts sur la dynamique des polluants et la qualité des eaux Geoffroy Séré Séminaire de l Ecole Doctorale RP2E 13 janvier 25 Cadre de la thèse σ Programme de recherche «Reconstitution de sol sur friche industrielle à l aide de déchets et produits dérivés» : Laboratoire Sols et Environnement (ENSAIA-INPL/INRA) Société «Traitement Valorisation Décontamination» (TVD) Convention CIFRE (ANRT) Programme s inscrivant dans les thématiques de recherche du Groupement d Intérêt Scientifique sur les Friches Industrielles (GISFI) Soutiens techniques et financiers : ADEME, Bail Industrie, EPFL 1
2 Contexte σ Reconstitution d écosystèmes sur des milieux fortement anthropisés/dégradés : Mise en place d un sol fonctionnel NOUVEL ECOSYSTEME réhabilitation par remplacement abandon? abandon? ECOSYSTEME D ORIGINE réhabilitation par restauration ECOSYSTEME DEGRADE Milieu de vie de la faune et de la flore Fondation pour des bâtiments, routes, ponts,... Contamination Source, réceptacle de pollutions Cycles d'éléments nutritifs SOL Cycle de l'eau Fonctions du sol Ancrage de racines Milieu de croissance et de développement de végétaux Fourniture d'aliments à certains animaux (oiseaux) Contexte σ Reconstitution d écosystèmes sur des milieux fortement anthropisés/dégradés : Mise en place d un sol fonctionnel σ Utilisation de déchets et sous-produits : voie alternative de valorisation et de retour au sol de Matières Organiques Exogènes intérêt économique et environnemental σ Caractéristiques des friches industrielles : fortes hétérogénéités conditions physico-chimiques extrêmes (fertilité basse, activités biologiques faibles, milieux filtrants ou scellés ) pollutions simples ou complexes, concentrées ou diffuses 2
3 Objectifs σ Ingénierie : validation du procédé selon plusieurs critères (végétalisation pérenne, cycle de l eau ) ; innocuité environnementale (impacts sur les différents compartiments de l environnement : aquifères, biosphère, substrat en place) ; σ Scientifiques : compréhension et modélisation des mécanismes d évolution pédogénétique des technosols ; processus d altération et de transport des solutés (éléments majeurs et traces)?? Sol dégradé Reconstitution du profil Evolution des matériaux Matériels et Méthodes (1) σ Déchets et produits dérivés : compost de déchets verts sous-produit papetier terre industrielle traitée σ Analyses physico-chimiques : paramètres agronomiques : ph eau Teneur en argile Matière organique C/N CEC (cmol/kg) (g/kg) (g/kg) COMPOST 8, ,4 42,3 SOUS-PRODUIT 7, ,5 4,56 TERRE TRAITEE 8, ,4 97 6,7 teneurs en éléments en traces métalliques : Concentrations (en mg/kg) Cd Cu Pb Zn COMPOST <,5 6,4 64,1 287 SOUS-PRODUIT <,5 47,8 1,1 41,1 TERRE TRAITEE,89 37,
4 TD - File: sere-2.r AW - Type: 2Th/Th locked - Start: 3. - End: Step:.35 - Step time: 3. s - Temp.: 25 C (Room) - Time Started: 1 s - 2-Theta: 3. - Theta: Phi:. - Aux1:. - Aux2:. - Aux3:. O p erations : Im p ort 2-Theta - Scale (*) - C alcite, syn - CaCO3 - Y: 5. % - d x by: 1. - W L: Hexagonal (R h) - a b c alp ha 9. - beta 9. - gamma P rimitive - R-3c (167 ) I/Ic PDF 2. - S -Q (*) - Quartz, syn - SiO2 - Y: 5. % - d x by: 1. - W L: Hexagonal - a b c alpha 9. - beta 9. - gam ma Prim itive - P3221 (154) I/Ic PDF S-Q 37. d= Matériels et Méthodes (2) σ Analyses minéralogiques : d=7.59 d=4.248 d=3.849 d=2.854 d=2.524 d=2.49 d=2.28 d=2.129 d=2.92 d=2.38 d=1.922 d=1.98 d=1.87 Lin (Cps) d=3.343 DRX ; 1 µm MEB-EDX ; mise en évidence des principales phases minéralogiques : compost : quartz, calcite, anorthite sous-produit papetier : calcite, kaolin, talc terre industrielle traitée : calcite, quartz, oxydes de fer, gypse Matériels et Méthodes (3) σ Modalités de reconstitution de sol : compost DV terre industrielle traitée,6 m compost DV mélange terre/sous-produit substrat en place Terre industrielle traitée substrat en place Mélange terre/sous-produit 4
5 Matériels et Méthodes (4) σ Expérimentations en conditions contrôlées technique de chromatographie éluto-frontale Solution d alimentation CaCl 2 1-3M Pompe piston (1 ml.h -1) Colonne garnie de matériaux Sonde ph Sonde conductivité Acquisition de données Collecteur de fractions + Analyses (ICP, CI) couplé à un suivi analytique : éléments majeurs (C.I.) éléments en traces (I.C.P.) Matériels et Méthodes (5) σ Expérimentations en conditions réelles in situ : mise en place de parcelles lysimétriques de grande taille : Modalité témoin Modalité sol reconstitué Observations pédologiques Mesure des paramètres météorologiques Prélèvements réguliers Évolution pédogénétique Bilan hydrique du système Analyse des percolats 5
6 Etude des mécanismes réactionnels (1) test en colonne sur le mélange terre/sous-produit : 1 ) échange d ions Concentration (en méq.l) ) dissolution de gypse (CaSO 4 ) Cl SO4 PO4 NO3 HCO3 Na NH4 K Mg Ca 3 ) dissolution de calcite (CaCO 3 ) 5 Concentration en méq.l) Cl Hauteur d'eau (en l.m²) SO4 PO4 NO3 1 HCO3 Na NH4 8 K Mg Ca 6 Concentration (en méq.l) 4 Cl SO4 PO4 NO3 HCO3 Na NH4 K Mg Ca Hauteur (en l/m²) terre industrielle traitée Hauteur d'eau (en l.m²) sous-produit papetier Etude des mécanismes réactionnels (2) σ Résultats / interprétations : les phases mineures sont soit totalement dissoutes (ex. du gypse), soit inaltérées (quartz, oxydes de fer) ; le processus dominant est la décarbonatation (dissolution de calcite) dont la cinétique est lente ; analogie avec les sols naturels : décarbonatation de sols / roches calcaires ; hypothèse : mobilisation limitée d éléments en traces métalliques ; 6
7 Dynamique des polluants (1) σ Expériences en colonne sur les matrices : évolution des concentrations en Zinc au cours du test de lixiviation 5 Boue Mélange 5 Terre 4 Compost Concentration (en ug/l) Volume de CaCl2 percolé (en l/m²) lixiviation significative des métaux présents dans le compost par dissolution / complexation avec la matière organique soluble ; très faible mobilisation des métaux présents dans le sous-produit papetier, la terre industrielle traitée et le mélange ; évolution des concentrations en Zinc dans les 2 profils en fonction de la pluviométrie 3 25 Dynamique des polluants (2) σ Expériences au terrain sur les profils : Pluvio pluviométrie témoin terre industrielle traitée sol reconstitue mélange terre/sous-produit 7 6 Hauteur d'eau (en l/m²) Concentration en ETM (en µg/l) 5 1 t les métaux sont globalement faiblement mobilisés, en accord avec les résultats obtenus au laboratoire ; les épisodes pluvieux (phases humectation/dessication) semblent contribuer au transport des métaux dans les profils ; t 6 mois 7
8 Conclusions σ Evolution pédogénétique : le processus dominant est la décarbonatation ; analogie avec l évolution des matériaux calcaires naturels ; les essais de laboratoire permettent la simulation des premiers stades de la pédogenèse de ce type de Technosol ; σ Dynamique des polluants : dans les premiers stades de la pédogenèse, une fraction limitée des métaux lourds peut être mobilisée (complexation, transport colloïdal?) ; les résultats de laboratoire et de terrain concordent pour montrer que la lixiviation des éléments en traces métalliques est limitée ; Perspectives (1) σ Observations pédologiques : compost compost terre de désorption thermique mélange terre/boue Modalité terre industrielle traitée Modalité mélange terre/sous-produit début de structuration et de différenciation des profils de sol ; les mesures réalisées in situ mettent en évidence des conditions plus favorables dans la modalité mélange que dans la modalité terre industrielle traitée (porosité, ph/eh) 8
9 Perspectives (2) σ Interactions entre les expérimentations au laboratoire et les expérimentations au terrain : juxtaposition de plusieurs processus d évolution pédogénétique ; σ Validation du procédé : les premières observations sont positives quant à l efficacité du procédé (innocuité, bonne structuration du sol ) ; σ Exemple de valorisation de travaux de recherche dans le milieu industriel Remerciements LSE : C. Schwartz, S. Ouvrard, J.L. Morel B. Colin, S. Colin, A. Rakoto GISFI : N. Raoult LSGC : M.O. Simonnot ; LEM : I. Bihannic TVD : C. Payet, J.C. Renat Bail Industrie EPFL Ademe 9
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailMesures in situ et sur site
Mesures in situ et sur site Avantages de la mesure in-situ pas de perturbation du milieu pas d échantillonnage (prélèvement, conditionnement, stockage) mesure en temps réel Senseurs chimiques Biocapteurs
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailSuivi environnemental de réalisation (SER)
Assainissement définitif de la décharge industrielle de Bonfol Suivi environnemental de réalisation (SER) Commission d information et de suivi, séance du 11.12.2009 Grégoire Monin, directeur de CSD Porrentruy,
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailP R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
P R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE Affaire suivie par : Mme Gisèle ATOUBA 02 32 76 53 91 mél : 02 32 76 54 60 gisele.atouba@seine-maritime.pref.gouv.fr
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailDétermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon
Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec MA. 200 Mét. 1.2 Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon 2014-05-09 (révision 5) Comment
Plus en détailImpacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie?
Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? 8 juin 2010 Journée InTech (INRIA) Françoise Berthoud Francoise.Berthoud@grenoble.cnrs.fr Groupe
Plus en détailComment valoriser sa toiture plate en milieu urbain
Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs
Plus en détailFor the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention
Ancien site des Ferronneries du Midi Future ZAC Ponts Jumeaux Projet de dépollution 15 décembre 2004 For the benefit of business and people 1 - Présentation du projet de la ZAC 2 - Rappel de l historique
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailIntroduction. Henri Poincaré
Introduction «On fait la science avec des faits comme une maison avec des pierres, mais une accumulation de faits n est pas plus une science qu un tas de pierres n est une maison.» Henri Poincaré Après
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailCadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces
Banque de terres Simon Ouellet Agent de développement rural Un outil pour le développement territorial CLD des Collines-de-l Outaouais Emmanuel Roy Agent de développement écologique Cadre légal des CLD
Plus en détailLIVRET D AMENAGEMENT. VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand
22 09 2010 VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand Mathieu BOOGHS Guillaume COUEPEL Caroline COUFFIGNAL Aurore DESGROUX Morgane GRASSELLY Estelle PAULHIAC LIVRET D AMENAGEMENT Vulgarisation d une
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détailPRESENTATION GROUPE LHP
PRESENTATION GROUPE LHP 1. PRESENTATION DU GROUPE Micropolluants Technologie : Laboratoire d analyses spécialisé dans la détection de polluants présents à l état de traces et d ultra traces dans les domaines
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailPrélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote
Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote Matthias CARRIERE Plan de l intervention Introduction : I. méthodes et outils de prélèvement. 11. Les normes d échantillonnage
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailMASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)
MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailAnne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs
La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction
Plus en détailDemande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau
Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Les plans d'eau peuvent avoir des usages différents à savoir agrément, défense contre l'incendie, élevage de poissons, irrigation,
Plus en détailSECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise Identificateur de produit Nom commercial Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations
Plus en détailCODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)
SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du
Plus en détailRéalisation d un avis d experts : «Bruit de fond» des polluants dans l environnement
Réalisation d un avis d experts : «Bruit de fond» des polluants dans l environnement Analyse des données existantes et identification des lacunes RECORD 09-0812/1A décembre 2010 RECORD ETUDE N 09-0812/1A
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailUne production économique! Echangeur d ions TKA
Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION
Plus en détailTraitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables
Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables d à la prise Thèse Tangi Le Borgne Directeur de thèse : F. Masrouri (LAEGO) Conseillers d étude : O. Cuisinier
Plus en détailREACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION
CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»
Plus en détailProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008
ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 Cette page présente un résumé des derniers développements effectués dans le logiciel ProSimPlus HNO3. Ceux-ci correspondent à de nouvelles
Plus en détailMobilité et biodisponibilité des Éléments Trace Métalliques (ETM) du Sol : Approches physicochimiques
Mobilité et biodisponibilité des Éléments Trace Métalliques (ETM) du Sol : Approches physicochimiques Période : février 2010 à août 2010 AgroParisTech Chimie Analytique Paris Mots clés : Biodisponibilité,
Plus en détailBAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30
Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailPrésentation du programme
FILIERE UNIVERSITAIRE FRANCOPHONE Master recherche Ecotoxicologie, Environnement et Gestion des Eaux (MEEGE) Présentation du programme Master recherche «Ecotoxicologie, Environnement et Gestion des Eaux»
Plus en détailLES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans
Plus en détailCorrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN.
TD 6 corrigé - PFS Résolution analytique (Loi entrée-sortie statique) Page 1/1 Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN. Question : Réaliser le graphe de structure, puis compléter
Plus en détailDu zinc dans les rejets miniers
Confidentiel non publié Institut National Polytechnique de Lorraine École Nationale Supérieure de Géologie Rue du Doyen Marcel Roubault B.P. 40 54501 Vandœuvre-lès-Nancy Du zinc dans les rejets miniers
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailLa gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet
La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet T. Wassenaar, J. Queste, J.M. Paillat Assemblée Générale du RMT Fertilisation &
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailSystème de gestion d une citerne de récupération des eaux de pluies
Système de gestion d une citerne de récupération Page 1/25 1. Mise en situation Le contexte L'eau distribuée en France augmente de manière forte et continue : +38% entre 1995 et 2005 et la même augmentation
Plus en détailLes principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin
FICHE AGRI - MIEUX août 2011 Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin Pourquoi est-il important de connaître les sols? ARAA Objectifs de ce document Ce document présente une synthèse
Plus en détailEnvironmental Research and Innovation ( ERIN )
DÉpartEment RDI Environmental Research and Innovation ( ERIN ) Le département «Environmental Research and Innovation» (ERIN) du LIST élabore des stratégies, des technologies et des outils visant à mieux
Plus en détailLaboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche
Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailUne solution parfaitement adaptée
INFORMATIONS ANALYSE EN CONTINU DES NITRATES NISE SC / NITRATAX SC NOUVEAU! ME SU RE DES N I T R AT ES EN LIGNE Une solution parfaitement adaptée Sondes de nitrate utilisant les technologies UV et électrodes
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailQuand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques.
Parole d experts Quand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques. Panel d experts autour de Prof. Eric PIRARD, ULg - GeMMe Avec le soutien de : Les déchets
Plus en détailLA MESURE DE MASSE POUR LA DÉTERMINATION DE PÉRIODES RADIOACTIVES
LA EURE DE AE POUR LA DÉTERINATION DE PÉRIODE RADIOACTIVE CEA ACLAY, DEN/DAN/DPC ervice d Études Analytiques et de Réactivité des urfaces Laboratoire de développement Analytique Nucléaire Isotopique et
Plus en détailAssociation des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,
Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement
Plus en détailLes sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?
Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailPOLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE
POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.
Plus en détailCONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES
CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailChapitre 1: Les métaux et leurs utilisations
Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations 1. Depuis quand utilise-t-on les métaux? 1) Le seul métal qui existe à l état natif est l or. 2) Les métaux obtenus à partir de minerais sont l argent, le cuivre,
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailLES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION
LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute
Plus en détailDésherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole
Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailMatériel de laboratoire
Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN
Plus en détailSpectrophotomètres. www.jenway.com
Imlab Oude Vijvers 1 B-3370 Boutersem Spectrophotomètres www.jenway.com Bibby Scientific France - ZI du Rocher Vert - BP 79-77793 Nemours Cedex Tél. : 01 64 45 13 13 - Fax : 01 64 45 13 00 - email : bsf@bibby-scientific.fr
Plus en détailEco-Conception. Démarche et livrables Guy Laudereau Sept 2008 technique. environnement. attentes des clients. coût
Eco-Conception Démarche et livrables Guy Laudereau Sept 2008 technique environnement attentes des clients coût Eco-Conception : Schneider Electric s engage Schneider Electric s engage à : - Respecter et
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détail