SUITES USUELLES BCPST 1A 1 SUITE ARITHMÉTIQUE. Cours de Mathématiques
|
|
- Heloïse Fortin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Année SUITES USUELLES 1 SUITE ARITHMÉTIQUE Définition 1.1 Suite arithmétique u n est une suite arithmétique de raison r R si n N, u n+1 u n + r Théorème 1. : Si u n est une suite arithmétique de raison r, alors a n N, u n u 0 + nr b p,n N, u n u p + n pr c a Si r > 0 la suite est strictement croissante de limite +, b Si r < 0 la suite est strictement décroissante de limite, c Si r 0 la suite est constante. a Par récurrence. Initialisation : pour n 0, u 0 u r. La relation est donc vérifiée au rang n 0. Hérédité : on suppose la relation vraie au rang n N fixé, et on montre qu elle est vraie au rang n + 1. u n+1 u n + r u 0 + nr + r par hypothèse de récurrence u 0 + n + 1r Donc la relation est vraie au rang n + 1. Conclusion : par principe de récurrence, n N, u n u 0 + nr b u n u 0 +nr et u p u 0 +pr d après le point précédent. Donc en soustrayant les deux égalités on obtient : u n u p n pr, c est-à-dire u n u p + n pr. c u n u 0 + nr a Si r > 0, alors lim nr +. Donc lim u n +. n + n + b Si r < 0, en exercice. c Si r 0, n N, u n u 0 + n 0 u 0, donc la suite est constante. Propriété 1.3 : Soient m n, deux entiers n m + 1m + n m + m n n m + 1m + n On note aussi cette somme : k Page 1 sur 10
2 Année On pose S m + m n On écrit deux fois la somme, en sens contraire. S m + m m n 1 + n + n + n 1 + n + + m m m + n + m + n + m + n + + m + n + m + n Or dans la somme, il y a n m + 1 termes, donc S n m + 1 m + n. Ainsi n m + 1m + n S Pour se familiariser avec la notation somme, on propose d écrire à nouveau cette preuve en utilisation la notation Σ. C est un peu difficile, surtout lorsqu il faut retourner la somme. On pose S n u k S k k k + k + k + k n + m j changement d indice pour retourner la somme j m n + m j m n + m n m + 1n + m j m j linéarité de la somme Donc k n m + 1 n + m Corollaire 1.4 : Soit n N, nn + 1 k n k1 C est un cas particulier de la propriété 1.3, avec m 1 ou m 0. Ce résultat se généralise avec les suites arithmétiques. Page sur 10
3 Année Théorème 1.5 Somme arithmétique Soit u n une suite arithmétique, Soient m n deux entiers, u k u m + u m u n n m + 1 u n + u m On peut retenir la formule : Cette somme se note u m + u m u n nombre de termes moyenne des termes extrêmes n u k u m + u m u n u 0 + mr + u 0 + m + 1r + + u 0 + nr Si on rassemble les u 0, il y en a autant que de termes dans la somme : n m + 1. Donc u m + u m u n n m + 1u 0 + mr + m + 1r + + nr n m + 1u 0 + m + m nr n m + 1m + n n m + 1u 0 + r n m + 1 u 0 + mr + nr n m + 1 u 0 + mr + u 0 + nr n m + 1 u n + u m En utilisant le signe Σ. On pose S n u k S u k u 0 + kr u 0 + r k n m + 1u 0 + r n m + 1 n + m linéarité de la somme d après : 1.3 n m + 1 u 0 + r n + m factorisation n m + 1 u 0 + r n + u0 + r m n m + 1u n + u m Donc u k n m + 1 u n + u m Page 3 sur 10
4 Année SUITE GÉOMÉTRIQUE Définition.1 Suite géométrique u n est une suite géométrique de raison q R si n N, u n+1 qu n Théorème. : Si u n est une suite géométrique de raison q, alors a n N, u n q n u 0 b p,n N, p n u n q n p u p c si q 0, p,n N, u n q n p u p q 0 car l exposant n p peut être négatif Exercice Propriété.3 : Soit n N, Pour q 1 fixé, On note aussi cette somme : 1 + q + q + q q n n+1 q k n m+1 Si on note la somme S n q 0 + q 1 + q + q q n, alors qs n qq 0 + qq 1 + qq + qq qq n q 1 + q + q 3 + q q n+1 Lorsqu on calcule la différence S n qs n, beaucoup de termes s annulent : S n qs n q 0 + q 1 + q + + q n q 1 + q + + q n + q n+1 q 0 q n+1 Donc en factorisant par S n : S n n+1 Comme q 1, on peut diviser par de chaque côté de l égalité : S n q 0 + q 1 + q + q q n n+1 Même preuve en utilisant la notation Σ. On pose S n q k. Page 4 sur 10
5 Année Or q 1, donc S S qs q k q k+1 q k q k+1 q k n+1 q j changement d indice : j k + 1 k1 j 1 q 0 + q k q j q n+1 k1 j 1 q 0 + q k q k q n+1 q 0 q n+1 k1 changement du nom de l indice : j k dans la ième somme q k n+1 Corollaire.4 : Soient m n, deux entiers, Pour q 1 fixé, q m + q m+1 + q m+ + + q n q m n m+1 On factorise par q m la somme et on retrouve l expression de la propriété.3. Théorème.5 Somme géométrique Soit u n une suite géométrique de raison q 1, Soient m n deux entiers, u m + u m u n u m n m+1 Exercice Remarque : Dans le cas où la raison vaut 1, on additionne simplement n + 1 fois le même terme u 0. 3 SUITE ARITHMÉTICO-GÉOMÉTRIQUE On combine les suites arithmétiques et géométriques en une seule : Définition 3.1 Suite arithmético-géométrique Soient a,b R, une suite arithmético-géométrique est une suite de la forme u n+1 au n + b Remarque : Pour a 1, c est une suite arithmétique, et pour b 0, c est une suite géométrique. Page 5 sur 10
6 Année Attention : a et b sont des constantes qui ne dépendent pas de n. Théorème 3. : Soit la suite u n R N définie par une relation de récurrence de la forme u n+1 au n + b avec a,b R et a 1 Alors l équation x ax + b admet une unique solution l et la suite définie pour tout n N par v n u n l est géométrique de raison a. Explications : La recherche de l correspond à la recherche d un point fixe, c est-à-dire une suite constante qui est solution particulière de la relation de récurrence. La suite de terme général v n u n l est alors solution de l équation homogène : v n+1 av n. L équation homogène est l équation dont le second membre b est nul. Nous retrouverons ce vocabulaire dans d autres chapitres cette année. b 1 a. Comme a 1, l équation ax + b x admet une unique solution l Alors v n+1 u n+1 l au n + b l au n + b al + b au n l av n Exemple Soit une suite u n définie par la relation de récurrence : n N, 3u n+1 + u n Donnez l expression de u n en fonction de n et de u 0 pour tout n N. Solution : On met déjà la suite sous la bonne forme : u n+1 3 u n 5 3 On résout l équation x 3 x 5 3 et on trouve le point fixe l 1. On pose pour tout n N, v n u n 1 u n + 1. v n est une suite géométrique de raison 3, donc pour tout n N, on a v n n v 0 3 c est-à-dire u n + 1 n u u n n u Théorème 3.3 limite de la suite u n est une suite arithmético géométrique de raison a et de point fixe l. Si u 0 l, alors la suite est constante égale à l. Si u 0 l, alors si a < 1 alors lim n + u n l si a > 1 alors lim n + u n ± le signe de la limite est celui de u 0 l si a 1, alors u n n admet pas de limite en +. Page 6 sur 10
7 Année En exercice 4 SUITE RÉCURRENTE LINÉAIRE D ORDRE Les suites arithmético-géométriques peuvent être qualifiées de suites récurrentes linéaires d ordre 1. Nous allons voir l ordre. On pourrait ensuite généraliser à un ordre n quelconque, mais cela fait intervenir de l algèbre linéaire que vous ne connaissez pas encore. On s en passera donc. Définition 4.1 Suite récurrente d ordre Une suite récurrente linéaire d ordre à coefficients constants est une suite de la forme au n+ + bu n+1 + cu n 0 avec a,b,c R 3 et a non nul On appelle équation caractéristique l équation ax + bx + c Théorème 4. Solutions de la récurrence d ordre Soit une suite u n comme dans la définition précédente. On note le discriminant de l équation caractéristique : Si > 0, on note r 1,r les deux solutions de l équation caractéristique, Alors λ,µ R, tel que n N, u n λr n 1 + µr n Si 0, on note r la racine double de l équation caractéristique, Alors λ,µ R, tel que n N, u n λr n + µnr n Si < 0, on note r ± ρ e ±iθ les racines complexes conjuguées de l équation caractéristique, Alors λ,µ R, tel que n N, u n ρ n λcosnθ + µsinnθ λ et µ sont déterminés de façon unique par u 0 et u 1. Remarque : si a 0, alors c est une suite récurrente d ordre 1. La méthode fonctionne mais n a aucun intérêt. Théorème admis en classe. Ce théorème semble tomber du ciel, et la preuve qui suit n expliquera pas d où vient ce résultat et pourquoi les solutions sont de cette forme. En réalité, c est un cas particulier d un résultat beaucoup plus général sur les suites récurrentes linéaires de n importe quel ordre. L étude de l algèbre linéaire et des matrices permettrait de justifier et d expliquer le théorème précédent de façon beaucoup plus élégante, mais nous n avons pas encore ces outils. Nous devrons donc nous contenter de cette preuve, qui est juste mathématiquement, bien qu elle n explique rien. Si > 0, soit u n une suite solution, alors on peut trouver A,B deux réels tels que λ u 1 r 1 u 0 r r 1 On résout et on trouve une unique solution : µ u 1 r u 0 r r 1 On montre ensuite par récurrence double, que pour tout n N, u n+ λr1 n + µr n Si 0. { u0 λ + µ u 1 λr 1 + µr On peut supposer que la solution est non nulle. En effet, elle est nulle si b c 0, auquel cas, la suite solution est immédiate u n 0 pour n et la formule donnée par le théorème convient. Page 7 sur 10
8 Année Supposons donc r 0, alors on pose λ u 0, et µ tel que u 1 λr + µr, c est-à-dire µ u 1 r u 0 r. Comme r est l unique racine du polynôme caractéristique, on sait que b ar et c ar. On montre par récurrence double que pour tout n N, u n+ λr n + µnr n Si < 0, alors on peut utiliser une récurrence double avec les formules trigonométriques. Sinon, pour ceux qui aiment s amuser, on peut utiliser une autre méthode : On utilise le résultat pour > 0 dans C pour voir qu il s agit simplement d un cas particulier. En effet, si on se place dans C, alors le raisonnement pour > 0 reste valable et dit que pour tout n N, u n λr1 n +µr n λr n e i nθ +µr n e i nθ r n λ + µ ei nθ i nθ + e + λ µ ei nθ e i nθ r n λ cosnθ + µ sinnθ Montrons que les coefficients trouvés λ et µ sont bien réels. On peut s en assurer en résolvant pour n 0 et n 1, mais comme on aime compliquer les choses et voir que tout est cohérent, on va le vérifier à partir des expression en λ et en µ trouvées pour > 0 D après le cas > 0, on a Donc λ 1 λ + µ i r sinθ µ 1 λ µi r sinθ λ u 1 r e iθ u 0 1 r e iθ r eiθ r µ u 1 r e iθ u 0 r e iθ r e iθ 1 r u 1 r e iθ u 0 i sinθ u 1 r e iθ u 0 i sinθ u 1 + r e iθ u 0 + u 1 r e iθ u 0 u 0 R u 1 + r e iθ u 0 u 1 + r e iθ u 0 sinθ 0 et r 0 car < 0 1 r sinθ u 1 + r u 0 cosθu 1 u 1 r cosθu 0 R r sinθ Exemple Étude de la suite de Fibonacci définie par Solution : La suite est une suite récurrente linéaire d ordre. L équation caractéristique est x x + 1. Les solutions de cette équation sont bien connues : r est appelé le nombre d or. u 0 0 et u 1 1 et n N, u n+ u n+1 + u n r et r Les suites solution de cette relation sont donc les suites de la forme u n λ Ici u 0 0, donc λ + µ 0 donc µ λ et u 1 1, donc λ 1 5 λ λ 5 1 λ n + µ 1+ 5 n. Donc n N, u n 1 n 1 + n 5 1 n 5 5 Page 8 sur 10
9 Année Théorème 4.3 Suite récurrente d ordre avec second membre Soient a,b,c R 3 avec a et c différents de 0, et d n une suite réelle. Soit la suite u n R N définie par la relation de récurrence d ordre E d : au n+ + bu n+1 + cu n d n On appelle relation homogène associée, la relation de récurrence sans le second membre : E 0 : a u n+ + b u n+1 + cũ n 0 On note S d l ensemble des solutions de la relation E d S 0 l ensemble des solutions de la relation homogène E 0 obtenues grâce au théorème 4.. On suppose connue une solution particulière de E d : u d n S d. Alors, la suite u n est solution de E d si et seulement si u n u d n est solution de E 0 : u n S u n u d n S 0 Que l on peut aussi écrire en comprenant bien le sens du signe + : S d S 0 + u d n Explications : C est la même chose qu à l ordre 1. En général, dans les exercices, d est une constante. Ce théorème est en fait un exemple d un résultat beaucoup plus général lié directement à la notion de linéarité. u n S d n N, au n+ + bu n+1 + cu n d n n N, au n+ + bu n+1 + cu n aun+ d + bud n+1 + cud n u n+ un+ d + b u n+1 un+1 d n N, a u n un d S 0 + c u n u c n 0 Exercice Trouver une solution particulière lorsque d n est une suite constante égale à d. Solution : Quitte à tout diviser par a, on peut supposer a 1. Lorsque le second membre est constant, on s inspire des suites arithmético-géométriques et on cherche une suite constante qui soit solution en résolvant x + bx + c 0. Si 1 + b + c 0, on trouve ainsi une suite constante solution. Terminé. Si 1 + b + c 0, alors on ne trouve pas de solution constante pour d 0. u n+ + bu n+1 + cu n d u n+ 1 + cu n+1 + cu n d u n+ u n+1 c u n+1 u n + d v n+1 cv n + d avec v n u n+1 u n Si c 1, alors on peut trouver une solution particulière v n constante n N, v n d 1 c λ R. Alors n N, u n+1 λ + u n. Il existe donc une suite arithmétique qui soit solution particulière. Si c 1, alors v n est une suite arithmétique de la forme λ + nc, On cherche une solution sous la forme αn + βn on a besoin de n pour faire sortir des n dans la relation de récurrence. En remplaçant dans l équation, on trouve une solution particulière avec α d et β λ 3 d. Page 9 sur 10
10 Année La recherche de la solution en n apparaît facilement si on utilise les sommes télescopiques : n N, v n λ + nd n N, v k λ + kd n N, u k+1 u k λn k nn + 1 n N, u n+1 u 0 λn d α,β,γ R 3, n N, u n+1 α + βn + γn On peut se rappeler que lorsque le second membre est constant, on pourra toujours trouver une solution particulière de la forme u d n α + βn + γn. d Page 10 sur 10
Exercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailNOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :
Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1
Plus en détailReprésentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailIntroduction à l étude des Corps Finis
Introduction à l étude des Corps Finis Robert Rolland (Résumé) 1 Introduction La structure de corps fini intervient dans divers domaines des mathématiques, en particulier dans la théorie de Galois sur
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailProgrammation linéaire
1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailBaccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailCHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE. EQUATIONS DIFFERENTIELLES.
CHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE EQUATIONS DIFFERENTIELLES Le but de ce chapitre est la résolution des deux types de systèmes différentiels linéaires
Plus en détailExo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailCorrigé Problème. Partie I. I-A : Le sens direct et le cas n= 2
33 Corrigé Corrigé Problème Théorème de Motzkin-Taussky Partie I I-A : Le sens direct et le cas n= 2 1-a Stabilité des sous-espaces propres Soit λ une valeur propre de v et E λ (v) le sous-espace propre
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours.
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailIII- Raisonnement par récurrence
III- Raisonnement par récurrence Les raisonnements en mathématiques se font en général par une suite de déductions, du style : si alors, ou mieux encore si c est possible, par une suite d équivalences,
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailaux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.
MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailChapitre 2. Matrices
Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailDOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.
A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés 2012-2013 1 Petites questions 1) Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? 2) Si F et G sont deux tribus, est-ce que F G est toujours une tribu?
Plus en détailEnoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.
Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailPartie 1 - Séquence 3 Original d une fonction
Partie - Séquence 3 Original d une fonction Lycée Victor Hugo - Besançon - STS 2 I. Généralités I. Généralités Définition Si F(p) = L [f(t)u (t)](p), alors on dit que f est l original de F. On note f(t)
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détail1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.
Angles orientés Trigonométrie I. Préliminaires. Le radian Définition B R AB =R C O radian R A Soit C un cercle de centre O. Dire que l angle géométrique AOB a pour mesure radian signifie que la longueur
Plus en détailRappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie
Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailPolynômes à plusieurs variables. Résultant
Polynômes à plusieurs variables. Résultant Christophe Ritzenthaler 1 Relations coefficients-racines. Polynômes symétriques Issu de [MS] et de [Goz]. Soit A un anneau intègre. Définition 1.1. Soit a A \
Plus en détailFormes quadratiques. 1 Formes quadratiques et formes polaires associées. Imen BHOURI. 1.1 Définitions
Formes quadratiques Imen BHOURI 1 Ce cours s adresse aux étudiants de niveau deuxième année de Licence et à ceux qui préparent le capes. Il combine d une façon indissociable l étude des concepts bilinéaires
Plus en détailOptimisation des fonctions de plusieurs variables
Optimisation des fonctions de plusieurs variables Hervé Hocquard Université de Bordeaux, France 8 avril 2013 Extrema locaux et globaux Définition On étudie le comportement d une fonction de plusieurs variables
Plus en détailRappels sur les suites - Algorithme
DERNIÈRE IMPRESSION LE 14 septembre 2015 à 12:36 Rappels sur les suites - Algorithme Table des matières 1 Suite : généralités 2 1.1 Déition................................. 2 1.2 Exemples de suites............................
Plus en détailChapitre 1 : Évolution COURS
Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir
Plus en détailUne forme générale de la conjecture abc
Une forme générale de la conjecture abc Nicolas Billerey avec l aide de Manuel Pégourié-Gonnard 6 août 2009 Dans [Lan99a], M Langevin montre que la conjecture abc est équivalente à la conjecture suivante
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détaila et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe le nombre ax + b
I Définition d une fonction affine Faire l activité 1 «une nouvelle fonction» 1. définition générale a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe
Plus en détailRésolution de systèmes linéaires par des méthodes directes
Résolution de systèmes linéaires par des méthodes directes J. Erhel Janvier 2014 1 Inverse d une matrice carrée et systèmes linéaires Ce paragraphe a pour objet les matrices carrées et les systèmes linéaires.
Plus en détailCours de mathématiques Première année. Exo7
Cours de mathématiques Première année Eo7 2 Eo7 Sommaire Logique et raisonnements 9 Logique 9 2 Raisonnements 4 2 Ensembles et applications 9 Ensembles 20 2 Applications 23 3 Injection, surjection, bijection
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détailMoments des variables aléatoires réelles
Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................
Plus en détailSuites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite
Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n
Plus en détailI. Ensemble de définition d'une fonction
Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux
Plus en détailTaux d évolution moyen.
Chapitre 1 Indice Taux d'évolution moyen Terminale STMG Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Indice simple en base 100. Passer de l indice au taux d évolution, et réciproquement.
Plus en détailBaccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 204 Corrigé EXERCICE 4 points Commun à tous les candidats. Proposition fausse. La tangente T, passant par les points A et B d abscisses distinctes, a pour coefficient
Plus en détailReprésentation des Nombres
Chapitre 5 Représentation des Nombres 5. Representation des entiers 5.. Principe des représentations en base b Base L entier écrit 344 correspond a 3 mille + 4 cent + dix + 4. Plus généralement a n a n...
Plus en détailDérivation : cours. Dérivation dans R
TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailLE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )
LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 4 Janvier 007 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble ( Année 006-007 ) 1 Table des matières 1 Grille d autoévaluation
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailEteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques :
MTH EN JEN 2013-2014 Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : Lycée Michel Montaigne : HERITEL ôme T S POLLOZE Hélène 1 S SOK Sophie 1 S Eteindre Lycée Sud Médoc : ROSIO Gauthier 2 nd PELGE
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailCours d Analyse I et II
ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE DE LAUSANNE Cours d Analyse I et II Sections Microtechnique & Science et génie des matériaux Dr. Philippe Chabloz avril 23 Table des matières Sur les nombres. Les nombres
Plus en détailComplément d information concernant la fiche de concordance
Sommaire SAMEDI 0 DÉCEMBRE 20 Vous trouverez dans ce dossier les documents correspondants à ce que nous allons travailler aujourd hui : La fiche de concordance pour le DAEU ; Page 2 Un rappel de cours
Plus en détailPrésentation du cours de mathématiques de D.A.E.U. B, remise à niveau
i Présentation du cours de mathématiques de D.A.E.U. B, remise à niveau Bonjour, bienvenue dans votre début d étude du cours de mathématiques de l année de remise à niveau en vue du D.A.E.U. B Au cours
Plus en détailCoefficients binomiaux
Probabilités L2 Exercices Chapitre 2 Coefficients binomiaux 1 ( ) On appelle chemin une suite de segments de longueur 1, dirigés soit vers le haut, soit vers la droite 1 Dénombrer tous les chemins allant
Plus en détailAngles orientés et trigonométrie
Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailQuelques tests de primalité
Quelques tests de primalité J.-M. Couveignes (merci à T. Ezome et R. Lercier) Institut de Mathématiques de Bordeaux & INRIA Bordeaux Sud-Ouest Jean-Marc.Couveignes@u-bordeaux.fr École de printemps C2 Mars
Plus en détailCours arithmétique et groupes. Licence première année, premier semestre
Cours arithmétique et groupes. Licence première année, premier semestre Raphaël Danchin, Rejeb Hadiji, Stéphane Jaffard, Eva Löcherbach, Jacques Printems, Stéphane Seuret Année 2006-2007 2 Table des matières
Plus en détailLeçon 01 Exercices d'entraînement
Leçon 01 Exercices d'entraînement Exercice 1 Etudier la convergence des suites ci-dessous définies par leur terme général: 1)u n = 2n3-5n + 1 n 2 + 3 2)u n = 2n2-7n - 5 -n 5-1 4)u n = lnn2 n+1 5)u n =
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailLogique. Plan du chapitre
Logique Ce chapitre est assez abstrait en première lecture, mais est (avec le chapitre suivant «Ensembles») probablement le plus important de l année car il est à la base de tous les raisonnements usuels
Plus en détailExtrait du poly de Stage de Grésillon 1, août 2010
MINI-COURS SUR LES POLYNÔMES À UNE VARIABLE Extrait du poly de Stage de Grésillon 1, août 2010 Table des matières I Opérations sur les polynômes 3 II Division euclidienne et racines 5 1 Division euclidienne
Plus en détailCORRECTION EXERCICES ALGORITHME 1
CORRECTION 1 Mr KHATORY (GIM 1 A) 1 Ecrire un algorithme permettant de résoudre une équation du second degré. Afficher les solutions! 2 2 b b 4ac ax bx c 0; solution: x 2a Solution: ALGORITHME seconddegré
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailMathématiques Algèbre et géométrie
Daniel FREDON Myriam MAUMY-BERTRAND Frédéric BERTRAND Mathématiques Algèbre et géométrie en 30 fiches Daniel FREDON Myriam MAUMY-BERTRAND Frédéric BERTRAND Mathématiques Algèbre et géométrie en 30 fiches
Plus en détailIV- Equations, inéquations dans R, Systèmes d équations
IV- Equations, inéquations dans R, Systèmes d équations 1- Equation à une inconnue Une équation est une égalité contenant un nombre inconnu noté en général x et qui est appelé l inconnue. Résoudre l équation
Plus en détailExercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques.
14-3- 214 J.F.C. p. 1 I Exercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques. Exercice 1 Densité de probabilité. F { ln x si x ], 1] UN OVNI... On pose x R,
Plus en détailTESTS PORTMANTEAU D ADÉQUATION DE MODÈLES ARMA FAIBLES : UNE APPROCHE BASÉE SUR L AUTO-NORMALISATION
TESTS PORTMANTEAU D ADÉQUATION DE MODÈLES ARMA FAIBLES : UNE APPROCHE BASÉE SUR L AUTO-NORMALISATION Bruno Saussereau Laboratoire de Mathématiques de Besançon Université de Franche-Comté Travail en commun
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailCours d arithmétique Première partie
Cours d arithmétique Première partie Pierre Bornsztein Xavier Caruso Pierre Nolin Mehdi Tibouchi Décembre 2004 Ce document est la première partie d un cours d arithmétique écrit pour les élèves préparant
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailChapitre 11. Séries de Fourier. Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction 2 - périodique :
Chapitre Chapitre. Séries de Fourier Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction - périodique : c c a0 f x dx c an f xcosnxdx c c bn f xsinn x dx c L objet de
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST) Discipline : Mathématiques Seconde année Préambule Programme
Plus en détailLe théorème de Perron-Frobenius, les chaines de Markov et un célèbre moteur de recherche
Le théorème de Perron-Frobenius, les chaines de Markov et un célèbre moteur de recherche Bachir Bekka Février 2007 Le théorème de Perron-Frobenius a d importantes applications en probabilités (chaines
Plus en détailBien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction
Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses
Plus en détailAnnexe 1 Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Annexe 1 Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Physique, chimie et sciences de l ingénieur (PCSI) Discipline : Mathématiques Première année Classe préparatoire
Plus en détailt 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :
Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant
Plus en détailReprésentation d un entier en base b
Représentation d un entier en base b 13 octobre 2012 1 Prérequis Les bases de la programmation en langage sont supposées avoir été travaillées L écriture en base b d un entier est ainsi défini à partir
Plus en détail