ANALYSE STRATEGIQUE I
|
|
- Matthieu Rousseau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ANALYSE STRATEGIQUE I NOTION DE DECISION STRATEGIQUE Typologie des décisions Caractéristiques de la décision stratégique Le pouvoir de décision stratégique LES STRATEGIES DE POSITIONNEMENT Les stratégies concurrentielles La domination par les coûts La différenciation La focalisation Le désengagement Les stratégies relationnelles L impartition La croissance externe LES STRATEGIES DE DEVELOPPEMENT Les stratégies de diversification Les stratégies d internationalisation ANALYSE DE L ENVIRONNEMENT Le diagnostic externe Le diagnostic interne 1
2 NOTION DE DECISION STRATEGIQUE Typologie des décisions On peut distinguer les décisions de gestion courante ou opérationnelles appelées décisions tactiques et les décisions stratégiques. Caractéristiques des décisions Caractéristiques décisions tactiques décisions stratégiques Impact local, limité à un service global, toute l etp Durée de préparation Et de mise en œuvre courte longue Réversibilité aisée difficile et coûteuse Dimensions à intégrer peu nombreuses multiples Environnement et temps contrainte variable Objectifs plutôt clairs souvent flous Structuration du processus algorithmique faible de décision Niveau hiérarchique tous niveaux direction uniquement Nature de la décision exploitation de potentiel création de potentiel existant nouveau Compétences requises rigueur créativité Utilité de la distinction décisions tactiques / décisions stratégiques : - définition des profils à recruter - situation de l entreprise dans la grille ci-dessous : 2
3 GESTION COURANTE Efficace Inefficace Risque à MT défaillance probable performances durables risque à CT Mauvaise bonne GESTION STRATEGIQUE Le pouvoir de décision stratégique nécessite l anticipation, l action, la mobilisation Parmi les choix stratégiques qui s offrent au manager, on peut distinguer les stratégies de positionnement et les stratégies dites de développement LES STRATEGIES DE POSITIONNEMENT Ce sont des stratégies intra- secteur. 1. Les stratégies concurrentielles (PORTER) CIBLE VISEE Totalité Du marché Un segment différenciation focalisation par différenciation domination par les coûts focalisation par les coûts Hors coût coût AVANTAGE 1.1 LA DOMINATION PAR LES COUTS Cible : la totalité du marché Particularité : Avantage concurrentiel par les coûts les plus bas du secteur pour une qualité donnée. 3
4 Conditions de succès (entre autres): atteindre la position de leader et s y maintenir, une parfaite maîtrise des coûts, efforts constants dans la recherche et le développement, des segments de marché à demande forte et croissante, produire su une grande échelle (économies d échelle+effets d expérience) Risques : risque d imitation, risque de progrès technique, baisse de la capacité d innovation 1.2 LA DIFFERENCIATION Cible : la totalité du marché Particularité : Avantage hors prix en s appuyant sur les caractéristiques propres du produit (usages, longévité, réseau de distribution, ) ; un prix plus élevé à justifier par l avantage supplémentaire. Risques : le changement de goût du consommateur, le risque prix 1.3 LA FOCALISATION LA FOCALISATION PAR DIFFERENCIATION Cible : un segment de clientèle, sensible aux caractéristiques physiques du produit qui est à un très haut niveau de performances et à un prix élevé. Conditions de succès : bien définir les caractéristiques du produit proposé au consommateur, avoir des objectifs de profits et non de volume Risques : imitation et réduction de l écart LA FOCALISATION PAR LES COUTS Cible : un segment de clientèle sensible au prix et exclusivement au prix Conditions de succès : doit être le fruit d une volonté délibérée de l entreprise et non d une mise à l écart par le marché Risques : risque de nouveaux entrants. 1.4 LES STRATEGIES DE DEGAGEMENT, DE RETRAIT, DE RECENTRAGE Si l attrait du secteur diminue, on peut opter pour une stratégie de retrait Le recentrage c est céder les activités non stratégiques. Le retrait, qui doit être planifié, peut être le point de départ d un nouveau positionnement. 2. Les stratégies relationnelles Ce sont des stratégies de positionnement et inter entreprises. 2.1 LES STRATEGIES D IMPARTITION 4
5 Objectif : dégager des effets de synergie. Les formes de l impartition LA SOUS TRAITANCE Situation où l entreprise sous traitante produit pour le compte de l entreprise donneur d ordre un produit donné. LA CO TRAITANCE Situation où les partenaires partagent la production d un bien (produit final) (produit intermédiaire) ou bien la réalisation de certaines pièces d un bien (produit intermédiaire) LA CONCESSION Situation où une entreprise fait réaliser par une autre entreprise, une partie de ses opérations. LA COMMISSION Situation où une entreprise confie la responsabilité d une de ses fonctions à une autre. L ACCORD DE LICENCE Situation où une entreprise confie l exploitation d une technologie ou la fabrication d un bien ; dont elle possède la propriété intellectuelle. LE FRANCHISAGE Situation où une entreprise, le franchiseur, concède à une (ou d autres) entreprise (s) le (s) franchisé (s) le droit de se présenter sous sa raison sociale et sa marque, pour vendre des produits. LES AVANTAGES ET LES INCONVENIENTS DE L IMPARTITION avantages inconvénients -effets de synergie économique et technologique -réduction des coûts (effet de taille) -allégement des tâches -accès à l information -risque de perte d indépendance -risque de mauvaise foi du partenaire risque de perte de confidentialité risque de perte de contrôle qualité 2.2 LES STRATEGIES DE CROISSANCE EXTERNE Les formes de la croissance externe LA FUSION PAR REUNION dissolution de 2 (ou plus) sociétés, sans liquidation, pour en constituer une nouvelle. LA FUSION PAR ABSORPTION 5
6 une société dite absorbante absorbe une autre société absorbée qui disparaît également sans liquidation. Les modalités de la croissance externe la négociation avec les dirigeants de la société visée. le ramassage boursier régulier d actions de la société visée en bourse. L offre publique d achat d actions faite par l entreprise qui achète aux actionnaires de l entreprise ciblée. LES AVANTAGES ET LES INCONVENIENTS DE LA CROISSANCE EXTERNE Avantages inconvénients - rapidité d action - risque d échec de l opération de contrôle - n augmente pas l offre du secteur - risque financier - contournement des barrières à l entrée - risque de synergie négative - n attise pas la lutte concurrentielle - risque d image - acquisition d un savoir faire - possibilités d économies d échelle LES STRATEGIES DE DEVELOPPEMENT 1. LES STRATEGIES DE DIVERSIFICATION Objectif : des activités et des marchés nouveaux. A distinguer : la diversification marketing (cas d une entreprise qui lance un nouveau produit dans son métier) de la diversification stratégique (cas d une entreprise qui se lance dans un nouveau métier). LES AVANTAGES ET LES INCONVENIENTS DE LA DIVERSIFICATION avantages inconvénients - réduction du risque - ampleur des investissements - création de richesse par synergie - risque de dispersion des ressources - équilibre des activités - risque de manque d unité entre activités - développement de nouvelles compétences - difficultés de maîtrise par les - diminution des coûts dirigeants des différentes activités (Économies d échelle et effet d apprentissage) - risque de perte d identité - plus grande flexibilité stratégique - risque d affaiblissement de la culture 6
7 2. LES STRATEGIES D INTERNATIONALISATION Application des stratégies sur le plan international pour entre autres, la diversification de marché, le bénéfice des écarts favorables sur coûts des facteurs, l accès à des sources privilégiées de matières, Plusieurs modalités : l internationalisation commerciale, l internationalisation productive. LES AVANTAGES ET LES INCONVENIENTS DE L INTERNATIONALISATION avantages inconvénients - découverte de nouveaux débouchés - augmentation des risques - contournement des barrières protectionnistes - risque politique - prolongation du cycle de vie du produit - risque économique - diminution des coûts d approvisionnement - risque financier - diminution des coûts de production - éloignement culturel - économie d échelle et effet d apprentissage - obligation d adaptation des produits et de leur stratégie - augmentation des coûts marketing - croissance de la complexité Organisationnelle. 7
8 LE DIAGNOSTIC EXTERNE ANALYSE DE L ENVIRONNEMENT Objectif : repérer les opportunités présentées par l environnement et identifier les menaces qui pèsent sur l entreprise étape indispensable à toute prise de décision stratégique. LA DEMANDE L étude de la demande pour identifier non seulement le marché actuel mais également le marché futur. L OFFRE L étude de l offre pour analyser la situation actuelle et les évolutions possibles. L INTENSITE CONCURRENTIELLE (PORTER) - le pouvoir de négociation des fournisseurs - le pouvoir de négociation des clients - la menace de nouveaux entrants - la menace de produits substituables - la rivalité entre firmes existantes LA CONCURRENCE Nécessité d un système d informations aussi précis que possible. ELEMENTS DU DIAGNOSTIC INTERNE un diagnostic interne pour déterminer les forces et faiblesses de l entreprise par fonction et selon des indicateurs de mesure remarquables à confectionner par l entreprise, selon les spécificités de l activité et les exigences de l analyse. 8
9 VARIABLES INTRA ENTREPRISE (éléments d analyse interne) FONCTIONS INDICATEURS DE MESURE R/D nombre de licences ou brevets disponibles, nombre de nouveaux produits lancés, APPRO évolution des quantités achetées, évolution des prix, Stockage évolution des superficies de stockage ; évolution des coûts de stockage; Production évolution du niveau d activité ; obsolescence ; Marketing Prix Produit Promotion Publicité Distribution Ventes évolution de la valeur ajoutée ; quantités vendues ; saisonnalité des ventes; Service après vente qualité de service exigée ; compétence des membres du SAV exigée ; Finances évolution des ratios rentabilité Indépendance Trésorerie Évolution du FR, du BFR, du SNT évolution du cash flow de la capacité d autofinancement ; Administration analyse de la structure et du management Direction responsabilité et autorité par produit Décision par produit, Personnel potentiel humain ; évolution des effectifs ; Évolution du climat social ; évolution des heures de main d œuvre directe, indirecte, 9
10 10
MARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES
MARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES Sommaire Introduction au marketing international Types de marketing international La stratégie d internationalisation La politique internationale du produit
Plus en détailMarketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique
Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Dossier 2 : Approches et modèles d analyse stratégique Ce dossier présente, en particulier sur un plan méthodologique, des approches
Plus en détailLES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT
LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009 Une bonne stratégie à l export ne s improvise pas CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailDROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER GESTION DE PRODUCTION, LOGISTIQUE, ACHATS LOGISTIQUE ET TRANSPORT. www.univ-littoral.fr
DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER GESTION DE PRODUCTION, LOGISTIQUE, ACHATS LOGISTIQUE ET TRANSPORT www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Aujourd hui, la chaîne logistique globale est désormais
Plus en détailForum Agropur Coopératives agricoles : Renforcer la compétitivité et saisir les nouvelles opportunités
www.pwc.com Forum Agropur Coopératives agricoles : Renforcer la compétitivité et saisir les nouvelles opportunités Un modèle fortement développé en Europe Nombre de coopératives du Top 50 par région 38
Plus en détailPremière installation : comment réussir en temps de crise?
FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA
BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés
Plus en détailRésultats annuels 2014 & perspectives. «Du mobile au Big Data»
Résultats annuels 2014 & perspectives «Du mobile au Big Data» Sommaire 1. Profil du Groupe Du mobile au Big Data 2. Résultats annuels 2014 Excellente année : croissance et rentabilité 3. Stratégie & perspectives
Plus en détailLa marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global
La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global Historique Les marques existent depuis les premiers échanges commerciaux et servaient essentiellement à authentifier l origine
Plus en détailMETHODES D EVALUATION
METHODES D EVALUATION C.R.A. PANSARD & ASSOCIES Présentation du 27 septembre 2004 G. Lévy 1 METHODES D EVALUATION SOMMAIRE 1 Définition et approche de la «valeur» 2 - Les principales méthodes d évaluation
Plus en détailChapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement. Plan
Chapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement Plan Maximisation et création de valeur Le concept de Valeur Actuelle Nette Les différents types d investissements Les critères du choix d investissement
Plus en détailPROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES
29 septembre 2006 PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES DOCUMENT DE TRAVAIL REMARQUES PREALABLES SUR LES MODALITES D ELABORATION DU
Plus en détailLe plan d action marketing et commercial : De la réflexion marketing à l action commerciale
Le plan d action marketing et : De la réflexion marketing à l action e Un document qui oblige à réfléchir et à prendre du recul sur l activité, en mêlant l analyse marketing à l action e 1 L analyse marketing
Plus en détailRésultats annuels 2013 & perspectives. «Du mobile au Big Data»
Résultats annuels 2013 & perspectives «Du mobile au Big Data» Sommaire 1. Profil du Groupe Du mobile au Big Data 2. Résultats annuels 2013 Croissance et rentabilité 3. Perspectives Confiance pour 2014
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013
La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés aux différents stades d élaboration et de contrôle des sujets. Pour autant, ce document
Plus en détailAcquisition de la société allemande
Acquisition de la société allemande Réunion d information le 02 décembre 2005 Sommaire Le groupe SECURIDEV Présentation du groupe DOM : son positionnement ses produits L opération d acquisition : pourquoi?
Plus en détaildéveloppement innovation
phases d un projet de recherche développement innovation Programme, projet et opération Programme : un ensemble de projets concourant à un même objectif. Projet : un ensemble finalisé d activités et d
Plus en détailMaîtriser les mutations
Maîtriser les mutations Avec UNE Supply chain AGILE La réflexion porte ses fruits www.cereza.fr TALAN Group Notre savoir-faire : maîtriser les mutations et en faire une force pour l entreprise Cereza,
Plus en détailDEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing
2012/2013 Démarche Marketing MODULE : BTS : DEMARCHE MARKETING Aouichaoui Moez Conseiller d apprentissage moez.aouichaoui@atfp.tn - Janvier 2014 www.logistiquetn.me.ma, Tunis Aouichaoui Moez 1 Plan N.B
Plus en détail4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés.
4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés. C est un droit et non une obligation. L acheteur d une option
Plus en détailSOMMAIRE RÉSULTATS SEMESTRIELS 2011 PRÉAMBULE 2 PERFORMANCE COMMERCIALE 6 RÉSULTATS CONSOLIDÉS 9 STRUCTURE FINANCIÈRE 13 SQLI EN BOURSE 18
SOMMAIRE RÉSULTATS SEMESTRIELS 2011 PRÉAMBULE 2 PERFORMANCE COMMERCIALE 6 RÉSULTATS CONSOLIDÉS 9 STRUCTURE FINANCIÈRE 13 SQLI EN BOURSE 18 STRATÉGIE & PERSPECTIVES 21 CONCLUSION 28 1 RAPPEL DU POSITIONNEMENT
Plus en détailEtude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise
Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière
Plus en détailManagement Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques
L Management Chapitre 4 La I) La notion de stratégie A) Caractéristiques 1) Définition a stratégie : consiste pour une entreprise, à se fixer des objectifs à long terme et à se donner les moyens de les
Plus en détailGROUPE SYNERGIE PME INC. 800, boul. René-Lévesque O., #161, Stn B, Montréal, QC, H3B 3J5 Tél. : 514.805.8448
GROUPE SYNERGIE PME INC. Société spécialisée en développement des affaires AUGMENTATION DES VENTES 800, boul. René-Lévesque O., #161, Stn B, Montréal, QC, H3B 3J5 Tél. : 514.805.8448 AUGMENTATION DES VENTES
Plus en détailRENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003
RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA 17 novembre 2003 Pascal PICHON LES ASSUREURS RC ONT-ILS PEUR DES RISQUES EMERGEANTS? INTRODUCTION LA RC EN CRISE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES HAUSSES TARIFAIRES NOUVELLES POLITIQUES
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détailMARKETING MIX. Politique Produit. Les composantes d un produit POLITIQUE PRODUIT
MARKETING MIX POLITIQUE PRODUIT Sandrine Monfort Politique Produit! Les composantes d un produit! Les classifications produit! Lancement produit! Politique de gamme! Politique de marque Les composantes
Plus en détailPartie 1 : Évaluer le marché
Partie 1 : Évaluer le marché 1.1 Établir un diagnostic de ces 2 segments. Conclure Remarques préliminaires : Forces : Faiblesses : utiliser la matrice SWOT la conclusion doit tendre vers un élargissement
Plus en détailAUDIT - GESTION - FISCALITE Collection dirigee par Thierry Lamorlette
AUDIT - GESTION - FISCALITE Collection dirigee par Thierry Lamorlette Lawrence Marie-Laure BOY BERMOND 3 ECONOMICA 49. rue HAricart. 75015 Paris TABLE DES MATTERES Avant-propos V Introduction 1 Section
Plus en détailLe Marketing Relationnel Universitaire : 2010.2011 0
Universitaire : 2010.2011 0 Introduction : Chaque jour à travers le monde, des managers déplorent la baisse de fidélité de leurs clients qui sont courtisés plus fébrilement par des concurrents offrant
Plus en détailChiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M
Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars
Plus en détailMaster "Generating Eco Innovation"
International chair in "Generating Eco-innovation" Master "Generating Eco Innovation" Programme pédagogique 2009-2010 UE 1 : Prospective et compétitivité internationale (88 heures) UE 11 : Nature de l
Plus en détailRésultats semestriels et guidances. 14 septembre 2006
Résultats semestriels et guidances 14 septembre 2006 1 Prolégomène Un 1er semestre de préparation de l exercice 2007 avec des actions nécessaires qui porteront leurs fruits à court terme L affirmation
Plus en détailREGLEMENT DU JEU «GET LUCKY AVEC CORSAIR» DU 17 SEPTEMBRE 2013 AU 7 OCTOBRE 2013
REGLEMENT DU JEU «GET LUCKY AVEC CORSAIR» DU 17 SEPTEMBRE 2013 AU 7 OCTOBRE 2013 En participant au jeu «Get lucky avec Corsair», vous acceptez le présent règlement. Toute contravention au présent règlement
Plus en détailADMINISTRATION (BI COMMERCE ET GESTION)
Descriptions des cours Administration ADMINISTRATION (BI COMMERCE ET GESTION) L entreprise et son environnement ADM-B01-12 401-B01-BR 3-0-3 Automne À la fin de ce cours, l étudiant sera capable d identifier
Plus en détailsofipaca UNIVERSITE D ORAN ES SENIA Michel POURCELOT 17-18 FEVRIER 2007 1
sofipaca UNIVERSITE D ORAN ES SENIA Michel POURCELOT 17-18 FEVRIER 2007 1 1 GENERALITES SUR LE CAPITAL INVESTISSEMENT LE CAPITAL DEVELOPPEMENT ET LE CAPITAL TRANSMISSION 17-18 FEVRIER 2007 2 2 DEFINITIONS
Plus en détailUne nouvelle dimension pour le Groupe
+ Une nouvelle dimension pour le Groupe Plan Les atouts du rapprochement - Un changement de dimension - Des synergies importantes - De fortes complémentarités Les modalités de l opération Plan d action
Plus en détailProjet de création / reprise d entreprises
Projet de création / reprise d entreprises Repère méthodologique pour élaborer votre plan d affaires Cet outil est destiné à vous aider dans l élaboration de votre plan d affaires. Il est scindé en 2 parties
Plus en détailPATISSERIE : NIVEAU DE MAITRISE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION PATISSERIE
Plus en détailPlateforme Formations www.bridgeconsulting.fr. SEMINAIRES programmés -en 2014-2013-2014 Bridge Consulting SARL. Tous Droits Réservés.
programmés -en 2014-1 SOMMAIRE Plateforme Formations programmés en 2014 (liste non exhaustive) CALCUL FINANCIER SOUS EXCEL : Outils et techniques....p.4 GESTION DE TRESORERIE ET REPORTING : Outils et méthodes
Plus en détailSCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING
MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING www.univ-littoral.fr PRESENTATION ET OBJECTIFS DE LA FORMATION Pour leur conduite de leurs entreprises
Plus en détailOuvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3
Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 SOMMAIRE DÉTAILLÉ INTRODUCTION : L évolution de l environnement a transformé les métiers de la finance
Plus en détailProcessus de déploiement d une stratégie CRM
CRM odyssey Inc. SYNTHESE DE LA MÉTHODOLOGIE CRM odyssey est aussi la marque de commerce d une méthodologie de déploiement de stratégie CRM dans les entreprises. Elle repose sur un processus dynamique
Plus en détailBREVET D ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE CONSEILLER EN ADMINISTRATION ET GESTION DU PERSONNEL
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE SECTION BREVET D ENSEIGNEMENT
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailMonia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi
Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est
Plus en détailNE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA OU AU JAPON COMMUNIQUE PUBLIE EN APPLICATION DU REGLEMENT GENERAL DE L AUTORITE DES MARCHES FINANCIERS
Informations NE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA OU AU JAPON Air France place avec succès 402,5 millions d euros d OCEANE en actions Air France-KLM sur les marchés de capitaux Visa de l Autorité
Plus en détailConditions d utilisation du service www.upcontact.com
Conditions d utilisation du service www.upcontact.com Les présentes conditions d utilisation sont conclues entre les parties suivantes: - EXECUTIVE PARTNERS SOFTWARE, SARL au capital de 8 000 dont le siège
Plus en détailLivre blanc. CRM: Quels sont les bénéfices pour votre entreprise?
Livre blanc CRM: Quels sont les bénéfices pour votre entreprise? Longtemps considéré comme un outil de luxe exclusivement réservé aux grands groupes, le CRM a su démontrer au fil du temps, que son efficacité
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailPrésentation des résultats 2006. 15 mars 2007
Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma
Plus en détailMAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits
MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits Préambule La performance flux, quel que soit le vocable sous lequel on la désigne ( Juste
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détailChap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE
I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler
Plus en détailPROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE)
1 PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) STRATEGIE DE DISTRIBUTION DES CARTES PREPAYEES 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 1.
Plus en détailL évolution des besoins et des solutions d intégration
L évolution des besoins et des solutions d intégration Philippe COURTY, CFPIM 1970 1990 L informatisation par grandes fonctions Stocks Appro Achats Comptabilité Ressources humaines Production Etc Premier
Plus en détailS84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle. 842 - La segmentation de la clientèle
S84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle 842 - La segmentation de la clientèle 843 - Les actions personnalisées utilisation des procédures de consultation
Plus en détailPoints forts : Amélioration de la génération et de la qualification des listes de clients potentiels
TÉLÉMARKETING Le module de télémarketing de Microsoft Business Solutions Axapta vous permet d'exécuter et de gérer les ventes assistées par téléphone, ainsi que les activités de marketing à partir d une
Plus en détailEpargne longue : la nouvelle donne
Epargne longue : la nouvelle donne Septembre 2008 Etude disponible le 1 er septembre 2008 Les objectifs Traiter les questions de fond -réglementation, fiscalité, taille et segmentation du marché, etc.-
Plus en détailLes Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques
Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques 1. Contexte et enjeux de l enquête L état des lieux des collectifs d agriculteurs en PACA (Trame / FRGEDA PACA - 2010) Intérêt grandissant
Plus en détailA Toute Vitesse (FR0010050773 MLATV) FAIR VALUE : 12
Guy Cohen guy@nexfinance.fr www.nexresearch.fr 30 août 2006 A Toute Vitesse (FR0010050773 MLATV) FAIR VALUE : 12 Données boursières Compte de résultat, M 2005 2006 e 2007 e 2008e Dern. Cours 7,70 Chiffre
Plus en détailLa boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins
La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur
Plus en détailINTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre
INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le
Plus en détailBOULANGERIE : NIVEAU DE MAITRISE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION BOULANGERIE
Plus en détailI) Le diagnostic externe
Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux
Plus en détailOPÉRATIONS DE CESSION
OPÉRATIONS DE CESSION Anticipation des difficultés de mise en œuvre de la norme IFRS 5 «Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées» Paris le 23/09/2014 Sandra Dujardin Antoine
Plus en détailProgramme détaillé DIPLÔME SPECIALISE MARKETING DES PRODUITS INDUSTRIELS. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation
Programme détaillé Objectifs de la formation Le diplôme spécialisé en Marketing des Produits Industriels est une formation de niveau BAC +5. Il valide votre qualification professionnelle et votre aptitude
Plus en détailRésultats annuels 2004 Stratégie et Perspectives
Résultats annuels 2004 Stratégie et Perspectives Emmanuel Olivier Directeur Général Paris, le 22 mars 2005 1 Sommaire Esker en bref Stratégie et Perspectives Bilan de l activité et résultats 2004 2 Esker
Plus en détailRésultats de l exercice 2014 Paris, 20 mars 2015
Résultats de l exercice 2014 Paris, 20 mars 2015 NOTRE PROFIL Solutions logicielles pour l optimisation des flux vidéo multi-écrans INNOVATION Création en 2003 Des logiciels aux avantages compétitifs décisifs
Plus en détailObservatoire des courtiers d assurance. Point 0 - Avril 2011
Observatoire des courtiers d assurance Point 0 - Avril 2011 APRIL Courtage Un réseau de 11 sociétés grossistes spécialistes. Une large gamme de plus de 140 produits sur tous les segments de marché et toutes
Plus en détailLa gestion du fichier client. 04/12/2013 Le marketing en soutien aux forces de vente
La gestion du fichier client 1 Le Marché Mes prospects Abordable Fidélisation Ma clientèle Bon marché Prospection Coûteux Publicité 2 Publicité Prospection Fidélisation Publicité Presse Annonces Internet
Plus en détailFinance pour non financiers
Finance pour non financiers Managers non financiers Responsables opérationnels ayant à dialoguer avec les comptables et les financiers Savoir communiquer avec les financiers dans l entreprise : comptabilité,
Plus en détail2. La croissance de l entreprise
2. La croissance de l entreprise HEC Lausanne Vincent Dousse 2007 1 2.1. Les succursales Définition: Etablissement commercial qui, sous la dépendance d une entreprise dont elle fait juridiquement partie(établissement
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailHôtellerie & Tourisme
SALARY SURVEY 2014 & & Sélection et approche directe de cadres confirmés www.michaelpage.fr INTRODUCTION Michael Page & est une division de Michael Page, leader du conseil en recrutement, spécialiste de
Plus en détailLe terme «ERP» provient du nom de la méthode MRP (Manufacturing Ressource Planning) utilisée dans les années 70 pour la gestion et la planification
Séminaire national Alger 12 Mars 2008 «L Entreprise algérienne face au défi du numérique : État et perspectives» CRM et ERP Impact(s) sur l entreprise en tant qu outils de gestion Historique des ERP Le
Plus en détailDirection de l Entreprise - OUTILS DE PILOTAGE DE L ENTREPRISE (OPE) «Gestion de la P.M.E, gérer un Centre de Profit»
Direction de l Entreprise - OUTILS DE PILOTAGE DE L ENTREPRISE (OPE) «Gestion de la P.M.E, gérer un Centre de Profit» Public visé : - Prendre du recul sur l action quotidienne, d élargir sa Dirigeants,
Plus en détailLes formations agroalimentaires dans la Loire
Les formations agroalimentaires dans la Loire INFOS PRATIQUES FORMATIONS CENTRES DE FORMATION petit mémorendum des métiers d avenir édition 2010 production, fabrication, conditionnement, maintenance, vente,
Plus en détailCONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL MORPH M SOUS LA FORME MORPH M PYTHON
CONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL MORPH M SOUS LA FORME MORPH M PYTHON Version du 3 mai 2007 PREAMBULE ARMINES via le Centre de Morphologie Mathématiques commun à ARMINES et l Ecole des Mines
Plus en détailLe concept. Des prestations «chic à prix mini» proposées dans des espaces Beauté Bien Être
Le concept Des prestations «chic à prix mini» proposées dans des espaces Beauté Bien Être 1 Séduction, Evasion et Performance sont réunis dans un cadre haut de gamme pour accueillir aussi bien les femmes
Plus en détailFiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic
Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,
Plus en détailDISCOUNTED CASH-FLOW
DISCOUNTED CASH-FLOW Principes généraux La méthode des flux futurs de trésorerie, également désignée sous le terme de Discounted Cash Flow (DCF), est très largement admise en matière d évaluation d actif
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailPROTECTION DE PRODUITS EN IG
PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr
Plus en détailLE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel
LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel Sommaire PRESENTATION GENERALE DU MARKETING: Qu est-ce que le Marketing? Introduction et définition
Plus en détailCes formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente
FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon
Plus en détailUE Marketing Stratégique
UE Marketing Stratégique Modèles et Méthodes du Marketing Stratégique Les différents modèles et méthodes en Marketing Stratégique Introduction Analyse des besoins (du marché de référence) Analyse d attractivité
Plus en détailC ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats
C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.
Plus en détailCRM pour le marketing
CRM pour le marketing Créer l information, solliciter, séduire et retenir les clients de manière rentable Intégrés à Maximizer, les outils de marketing vous permettent simplement et efficacement de planifier,
Plus en détailManagement Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1.
Management Stratégique Saïd YAMI Maître de onférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier ours de Master Plan du Module hap.- Les stratégies corporate et les matrices des cabinets de
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D UTILISATION. 1.1 On entend par «Site» le site web à l adresse URL www.creativlink.fr édité par CREATIV LINK.
CONDITIONS GENERALES D UTILISATION Les présentes Conditions Générales lient tout Utilisateur du Site à CREATIV LINK à compter de la création d un compte sur le Site afin de bénéficier d une Prestation
Plus en détailDOCUMENT CONFIDENTIEL
DOCUMENT CONFIDENTIEL Comment devenir franchisé du leader des cocktails bar en Europe. SOMMAIRE Présentation du concept JAMAICA HAPPY PUB Les 11 points forts du concept JAMAICA HAPPY PUB Profil candidat
Plus en détailWorkshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises. Vers quelles formes de partenariats s orienter?
Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises Vers quelles formes de partenariats s orienter? Sommaire Définitions - rappels Les stratégies de croissance de l entreprise Les différentes
Plus en détailDOSSIER GUIDE DE CREATION ET REPRISE D'ENTREPRISE
DOSSIER GUIDE DE CREATION ET REPRISE D'ENTREPRISE SOMMAIRE I. PRÉSENTATION DU PORTEUR DE PROJET. PAGE 3 I.1- Présentation générale I.2- Situation familiale I.3- Scolarité et formation professionnelle II.
Plus en détailComment évaluer une banque?
Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans
Plus en détail