PARAMÈTRES STATISTIQUES DE BASE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PARAMÈTRES STATISTIQUES DE BASE"

Transcription

1 PARAMÈTRES STATISTIQUES DE BASE En analye chimique comme dan beaucoup d autre cience, le méthode tatitique ont incontournable. Le tracé de chaque droite d étalonnage en contitue une application de tou le jour, de même qu un réultat d analye n a de valeur que il et aorti d une etimation de l erreur poible. Dè qu une meure et répétée, une exploitation tatitique impoe, mai le loi d échantillonnage et le tet d hypothèe doivent être maîtrié pour éviter toute concluion an valeur, ou bien permettre la mie en place de l aurance qualité. Le erreur ytématique (peronnelle, intrumentale...) ou le erreur groière qui conduient heureuement à de réultat hor limite ne rentrent pa dan ce domaine. Seule le erreur indéterminée ont prie en conidération avec le tet le plu courant rencontré en chimie..1 VALEUR CENTRALE, JUSTESSE ET FIDÉLITÉ D UN ENSEMBLE DE MESURES Quand on répète une meure faite ur un même échantillon (au en chimique du terme), on obtient, d autant plu fréquemment que ce meure e veulent précie, de valeur individuelle légèrement différente. Dan ce ca on etime que pour calculer le réultat final il et préférable de e baer ur la moyenne arithmétique de ce n meure, déignée par la valeur centrale x,oumoyenne, plutôt que ur une de meure individuelle prie au haard : x = x 1 + x x n n = xi n (.1) Une alternative à la moyenne ou valeur centrale, plu rarement utiliée en analye chimique, conite à prendre la médiane : aprè avoir claé le valeur expérimentale par ordre croiant, on extrait celle qui et ituée au milieu de la érie, auf i le nombre de valeur et pair auquel ca on prend la moyenne de deux valeur ituée au centre. La médiane a l avantage de ne donner aucun poid particulier à une valeur aberrante. Par exemple i le valeur ont 1,01 ; 1,03 ; 1,05 ; 1,68, la moyenne arithmétique et 1,19 et la médiane 1,04, une valeur certainement meilleure que la moyenne arithmétique, car elle ne tient pa compte de la dernière valeur qui apparaît anormale dan l exemple choii (diperion de 0,67). La médiane fait partie d un autre type de tatitique (méthode non-paramétrique,.8). La valeur centrale, de même que le meure ont de variable aléatoire, puique impoible à connaître par avance. 1

2 Chapitre Paramètre tatitique de bae Cependant ce n et pa parce qu en répétant une meure un grand nombre de foi, on trouve de valeur peu différente entre elle, que la valeur centrale et proche de la valeur exacte, déignée par la valeur vraie x 0, (que l on ne connaît pa) par uite de l exitence poible d erreur ytématique. On conidère que chaque meure x repréente la omme de la valeur vraie x 0 et d une erreur expérimentale abolue. L erreur abolue i ur la meure i et donc exprimée par : i = x i x 0 (.) Si n devient trè grand (ca d une population tatitique), la valeur centrale x devient la moyenne vraie, m, qui e confondra avec la valeur vraie x 0 en l abence d erreur ytématique et à condition que le meure uivent la loi dite Normale, encore appelée ditribution de Gau (fig..). Si la valeur vraie x 0 et connue (analye effectuée, par exemple, ur un étalon de compoition parfaitement définie), on caractérie la jutee (ou exactitude) du réultat ou de la méthode utiliée par l erreur totale calculée comme uit à partir de la moyenne vraie (cf. tableau.1). = m x 0 (.3) L erreur relative E R ur une meure (ou ur la valeur centrale) correpond au quotient de la valeur abolue de l écart correpondant i (ou ), par la valeur vraie. E R peut exprimer en % ou en ppm. E R = x x 0 (x pour x i ou x) (.4) x 0 Si on ne connaît pa x 0, ce qui et en général le ca en analye chimique, on calcule l erreur expérimentale de la meure i, oite i, en remplaçant dan., x 0 par la moyenne x : e i = x i x (.5) e i repréente l écart algébrique entre la moyenne et la i e meure. L erreur expérimentale moyenne d, ou moyenne de écart, calculée ur le n meure, permet d apprécier la fidélité : xi x d = (.6) n Dan cette dernière relation on fait intervenir le valeur abolue de erreur expérimentale, inon d tendrait rapidement ver 0 avec n.. VARIANCE ET ÉCART-TYPE La moyenne de écart a cependant pour inconvénient qu elle n et pa interprétable tatitiquement, car le grande et petite déviation individuelle, qui ne ont pa également probable, ont le même poid. Aui choiit-on plutôt de ommer le carré de différence. On aboutit aini à la définition la plu employée de la préciion (reproductibilité) en tatitique, repérée par la variance, dont l etimation vaut,

3 . Variance et écart-type pour n meure : (xi x) = n 1 (.7) La racine carrée de la variance et l écart-type (aui appelé écart quadratique ou déviation tandard par trancription littérale du terme anglo-axon qui lui correpond, mai qu il faut éviter). Il et déigné par lorqu on et en préence d un petit nombre n de meure et par lorqu il agit d une population tatitique de valeur. L écarttype, «indicateur de diperion», et donc exprimé avec le unité de x. Le calculatrice et le tableur dipoent de fonction correpondante (pour un nombre «infini» de meure, et noté, etn remplace n 1). = = (xi x) n 1 (.8) Tableau.1 Exemple de réultat d une analye regroupant le différent paramètre de.1 et. (la valeur vraie et x 0 = 0) Dunod La photocopie non autoriée et un délit chimite meure 1 0,16 19,76 0,38 0,08 meure 0, 0,8 19,58 19,96 meure 3 0,18 0,04 19,38 0,04 meure 4 0, 19,6 0,1 19,94 meure 5 0,4 0,4 19,56 0,08 moyenne arithm. 0, 0,0 19,8 0,0 médiane 0,0 0,04 19,58 0,04 jutee erreur relative E R (expreion.4) 0, 0,0 0, 0,0 0,01 ou 1 % ou 10 4 ppm ou 0,1 % ou ppm 0,01 ou 1 % ou 10 4 ppm * ou 0,1 % ou ppm variance ( ) 7, ,1183 0,177 * 3, écart-type () 0,08 0,344 0,41 0,006 commentaire ur préci impréci impréci préci le réultat non jute jute non jute jute Pour comparer de réultat ou exprimer l incertitude d une méthode on préente aez ouvent de manière relative. Aini on calcule l écart-type relatif (ou RSD pour relative tandard déviation), encore appelé coefficient de variation (CV) exprimé le plu ouvent en % : CV = 100 (.9) x 3

4 Chapitre Paramètre tatitique de bae Quand un réultat d analye découle d un calcul dan lequel interviennent pluieur valeur expérimentale, chacune ayant on propre écart-type, il y a propagation de erreur. La préciion du réultat et calculée à l aide d équation imple que l on trouvera dan tou le ouvrage généraux ur le tatitique x 19, 19,4 19,6 19,8 0,0 0, 0,4 0,6 x x Figure.1 Illutration graphique de réultat du tableau.1. Pour illutrer jutee et préciion ont été reporté ur le graphe le écart-type calculé d aprè la formule.8. On remarquera le différence entre le moyenne arithmétique pointée ur le graphe par un petit trait vertical et le valeur médiane correpondante qui ont fléchée. Pour le réultat de chimite 3 et 4, la différence et aez importante. Le chimite 1 a commi trè probablement une erreur ytématique. À droite, illutration claique de la préciion et de la jutee à l aide d une cible. Cette image et moin imple qu il n y paraît car il règne une incertitude en x et en y. x 3 1 y 4 x.3 ERREURS ALÉATOIRES OU «INDÉTERMINÉES» En l abence d erreur ytématique, on a affaire aux erreur accidentelle «due au haard» qui ne peuvent être contrôlée car indéterminée. Le en et l amplitude de ce type d erreur varient de manière non reproductible d une meure à l autre. L analye mathématique de la courbe d erreur conduit à la concluion que la moyenne arithmétique x de valeur individuelle et la meilleure etimation de la moyenne vraie m (fig..). La ymétrie de cette courbe et on apect montrent que : il y a un nombre égal d erreur poitive et négative par rapport à la valeur centrale ; le petite erreur ont plu nombreue que le grande erreur ; la valeur la plu ouvent rencontrée et la valeur centrale m (an erreur). La loi de ditribution Normale (courbe de ditribution de Gau) et le modèle mathématique qui repréente le mieux la répartition de erreur due au haard 4

5 .3 Erreur aléatoire ou «indéterminée» (équation.10) : f (x) = 1 ] [ p exp (x m) (.10) Afin de rendre cette expreion univerelle, on prend pour origine de x la moyenne vraie m de la population et pour unité de meure on écart-type (fig..). 1 3 fréquence valeur expérimentale y f(x) σ μ(1) μ() valeur meurée Figure. Courbe de Gau. Quand le nombre de meure devient grand, et i l intervalle de clae et étroit, le contour de cet empilement (meure /fréquence) époue la forme d une courbe de Gau (loi de ditribution Normale). En ba, deux érie de réultat centré ur deux moyenne différente. Si le nombre de meure et petit on ne peut pa deviner la moyenne (ou la valeur) vraie. À droite, forme réduite de la courbe de Gau. x Dunod La photocopie non autoriée et un délit Avec X = x m la relation.10 devient f (X) = 1 p exp [ x ] (.11) Si le nombre de meure n et pa trè grand, il et important de connaître leur ditribution. La courbe obtenue informe ur la fiabilité Re de réultat (du terme anglai reliability). La fiabilité d une moyenne en tant que moyen d etimation de la valeur vraie croît comme la racine carrée du nombre n de meure. Re = K n (.1) C et pourquoi, i on pae de n 1 meure à un nombre upérieur n, on améliore la fiabilité Re d un facteur k tel que : n k = (.13) n 1 5

6 Chapitre Paramètre tatitique de bae La fonction de répartition et l intégrale de la fonction f (X). Cette courbe et telle que 95,4 % de l aire et comprie dan un intervalle de ± autour de la valeur centrale. On dit encore que le chance ont de 95,4 % pour que l erreur d une meure donnée oit comprie dan un intervalle de ±. Une valeur élevée de l écart-type ignifie une courbe d erreur évaée. Si le nombre de valeur et modete (quelque unité), on doit prendre (fig..). Plu n et grand, meilleure et la correpondance. Aini et x ont de etimation de et de la moyenne vraie m qui e rapportent à la population totale. En pratique, on ne connaît ni la moyenne vraie m ni l écart-type puiqu on ne dipoe que d un nombre limité n de valeur. On doit e contenter de calculer. D autre part, quand on dipoe de beaucoup de meure répétitive concernant un échantillon, on utilie le tet x pour avoir i la ditribution de fréquence (c et-à-dire du nombre de foi où on a une valeur donnée) diffère de manière ignificative de celle d une population qui uit la loi Normale. Ce tet de normalité et cependant long à calculer an logiciel..4 INTERVALLE DE CONFIANCE DE LA MOYENNE Quand le nombre n de meure et petit, (n compri entre 4 et 15 par exemple), et qu il n y a pa d erreur ytématique, la moyenne vraie m peut être aez différente de la valeur centrale x. On et donc réduit à faire on etimation en calculant un intervalle de confiance à l intérieur duquel on e donne une probabilité que l on impoe (par exemple 95 %), que la valeur vraie y trouve. Cette opération entraîne un rique d erreur. L intervalle de confiance à prendre autour de x, afin qu il englobe la moyenne vraie m (ou x 0 en l abence de toute erreur ytématique) et donné par la formule uivante : x t m x + t (.14) n n t, paramètre de Student, et un facteur tatitique qui dépend de n et du niveau de confiance choii. Se valeur ont raemblée dan le tableau.. Plu n et grand, plu cet intervalle diminue. et l écart-type de la érie de meure. Ce tet de la variable t de Student permet également d ajuter le nombre de meure à effectuer pour atteindre un réultat avec un niveau de confiance choii par avance. Si on connaît, outre la moyenne x, la valeur vraie x 0 (ou la moyenne vraie m), l expreion.14 permettra inverement de calculer la valeur de t, elon le niveau de confiance choii (expreion.15 i n < 0, ou.16). Une valeur de t upérieure à celle de la table, lue à la ligne correpondant à la valeur de n, era due à une erreur ytématique. t = x m n (.15) ou t = x x 0 n (.16) 6

7 .5 Comparaion de réultat Tet paramétrique Tableau. Valeur du coefficient de confiance bilatéral t (calcul de la ditribution de Student). n niveau de confiance 90 % niveau de confiance 95 % niveau de confiance 99 % 6,31 1,71 63,66 3,9 4,30 9,93 4,35 3,18 5,84 5,13,78 4,60 6,0,57 4,03 7 1,94,45 3,71 8 1,90,36 3,50 9 1,86,31 3, ,83,6 3,5 11 1,81,3 3,17 1 1,80,0 3, ,76,14,98 0 1,73,09, ,70,05, ,67,00, ,66 1,98, ,65 1,96,58 Dunod La photocopie non autoriée et un délit On calcule également cet intervalle de confiance quand on tete une méthode de doage avec un échantillon dont on connaît la valeur vraie x 0 correpondante. Il rete à voir i cette dernière et ituée dan l intervalle de confiance calculé. Dan la formule qui permet de calculer l intervalle de confiance on peut faire apparaître l écart-type de la moyenne, ou incertitude de l écart type, achant qu il répond à la formule uivante (.17) : x = ± (.17) n.5 COMPARAISON DE RÉSULTATS TESTS PARAMÉTRIQUES Quand il agit de comparer le réultat de deux méthode de doage ur un même échantillon ou le réultat de deux appareil appliquant la même méthode ou bien encore le réultat de deux laboratoire pour un même échantillon il et d uage de faire appel à de tet tatitique. Le un ont appelé tet paramétrique qui uppoent que le donnée e ditribuent elon une loi Normale (telle le valeur de la table de Student), et le autre dit tet non paramétrique baé ur le tatitique dite robute, c et-à-dire peu enible à une valeur aberrante. En chimie analytique, on ne recueille pa ouvent de grande quantité de donnée, i bien que le tet préentent un certain rique, choii traditionnellement ou forme de pourcentage de 10 ou 5 ou 1 %. 7

8 Chapitre Paramètre tatitique de bae.5.1 Comparaion de deux variance, loi de Fiher-Snedecor On recherche i l écart-type 1 du premier enemble de réultat et ignificativement différent de celui du econd enemble,. C et ce qu on appelle le tet d égalité de variance. On calcule le rapport F en plaçant la plu grande variance au numérateur afin que F > 1: F = 1 (.18) L hypothèe nulle (terminologie de tatiticien) conite à dire que il n y a pa de différence ignificative, le rapport doit être proche de 1. On va donc e reporter à la table de valeur critique de F, de Fiher-Snedecor, établie pour de nombre d obervation variée (tab..3). Si la valeur calculée excède la valeur tabulée, le moyenne ont conidérée comme ignificativement différente. La variance 1 étant upérieure à, la econde érie de meure et donc plu précie. La tranpoition de ce tet en tatitique robute (tet non paramétrique) conite tout implement à faire le rapport F = R 1 /R de diperion (écart entre le meure extrême) de deux érie à comparer. Tableau.3 Abrégé de valeur euil de F établie pour un niveau de confiance de 95 %. Nombre de meure Nombre de meure (numérateur de la fraction F) (dénominateur) ,00 19,16 19,5 19,30 19,33 19,38 19,50 4 9,55 9,8 9,1 9,01 8,94 8,81 8,53 5 6,94 6,59 6,39 6,6 6,16 6,00 5,63 6 5,79 5,41 5,19 5,05 4,95 4,78 4,36 7 5,14 4,76 4,53 4,39 4,8 4,10 3, ,6 3,86 3,63 3,48 3,37 3,18,71 100,99,60,37,1,09 1,88 1,00 Parmi le exemple du tableau.1, on trouvera qu il n y a pa de différence ignificative entre le réultat de chimite et 3 pour un degré de confiance de 95 %. OntrouveeneffetF = 1,5 alor que dan le tableau, F = 6, Comparaion de deux moyenne expérimentale x 1 et x On cherche à avoir i le moyenne obtenue à partir de deux érie de réultat doivent être conidérée comme ignificativement différente achant que l on ignore la valeur vraie. On doit commencer par vérifier qu il n y a pa de différence ignificative concernant le préciion ur ce deux moyenne (cf..5.1). Enuite on calcule elon l expreion.19 l écart-type p groupé (de l enemble, pooled)) pui la valeur de t correpondante (.0) qu il faut comparer à la valeur du tableau pour 8

9 .6 Tet de rejet Quotient Q ou tet de Dixon n = n 1 + n meure et pour le niveau de confiance choii. Si la valeur de t dan la table et upérieure à la valeur calculée, on peut conclure que ce deux moyenne ne ont pa ignificativement différente. (n 1 1) 1 p = +(n 1) (.19) n 1 + n t = x 1 x p n1 n n 1 + n (.0).5.3 Etimation d une limite de détection d un analyte Le deux expreion.19 et.0 ont utile pour etimer la plu petite concentration d un analyte pouvant être détectée mai non quantifiée avec un niveau de confiance choii. On conidère que l une de deux moyenne (x par exemple) réulte d une érie de meure ur le blanc analytique. Elle era notée x b avec un écart-type b. En remarquant, i n 1 = 1, que l expreion.19 e implifie en p = b,on écrira (la valeur de t étant extraite du tableau., à la ligne n 1 + n b ) : Dx = x 1 x b = ±t b n1 + n b n 1 n b (.1) Dunod La photocopie non autoriée et un délit Si 6 meure effectuée ur un blanc analytique conduient à un écart-type de 0,3 mg pour le doage conidéré, on trouvera avec. et pour un degré de confiance de 99 % 1,31 mg pour limite de détection i on fait une eule meure et 0,59 mg i on en fait 5, (x b = 0). Empiriquement on admet que la limite de détection intrumentale correpond à la concentration qui conduit à un ignal dont l intenité (valeur centrale x) relativeetdoubledel écart-typecalculéur 10 valeur obtenue avec le blanc analytique (niveau de confiance de 95 %). La limite de quantification et toujour nettement plu élevée..6 TEST DE REJET QUOTIENT Q OU TEST DE DIXON Il peut arriver qu une valeur dan un enemble emble aberrante. On peut être tenté de la rejeter, bien qu une meure ne oit aberrante qu en référence à une loi de probabilité donnée. Il exite un critère tatitique imple pour conerver ou rejeter cette valeur «hor-la-loi». On fait le tet de Dixon qui conite à calculer le rapport uivant (à condition qu il y ait au moin 7 meure) : Q = valeur en quetion valeur la plu proche (valeur la plu grande valeur la plu petite) (.) 9

10 Chapitre Paramètre tatitique de bae On compare Q aini calculé à une table de valeur critique de Q en fonction du nombre de donnée (tableau.4). Si Q calculé et upérieur à Q critique, la donnée peut être rejetée. Note : la norme ASTM (American Society for Teting Material) utilie un tet différent, dit de la valeur centrée réduite e i = (x i x) aorti d une table de valeur critique qui lui et propre. Le tracé de la droite de Henry, dont on trouvera le principe dan le livre plu complet traitant de tatitique, contitue également une bonne méthode pour détecter, par une approche viuelle, un point aberrant. Tableau.4 Abrégé de la table de valeur critique de Q (tet de Dixon). Source : M.Neuilly, Technique de l ingénieur, Analye et Caractériation, 1996 nombre de meure niveau de confiance bilatéral n 95 % 99 % 3 0,94 0,99 4 0,77 0,89 5 0,64 0,78 6 0,56 0,70 7 0,51 0,64 8 0,47 0,59 9 0,44 0, ,41 0,53.7 COURBES D ÉTALONNAGE L analye quantitative intrumentale et baée ur de méthode comparative. On admettra, par exemple, que l échantillon qui contient l analyte, et un tandard qui contient la même quantité de cet analyte donnent avec un intrument dont le réglage n ont pa été modifié, de ignaux de ortie identique. Dan la majorité de ca on préparera non pa une eule mai pluieur olution (ou pécimen olide) contenant de concentration connue en analyte. Pour e mettre à l abri d effet de matrice, on pourra utilier la méthode de addition tandard. Le quelque valeur de référence aini obtenue vont être reportée ou forme de point figuratif ur un graphe dont le abcie correpondent aux concentration et le ordonnée aux valeur de ignaux. Suivant l hypothèe choiie et achant que la poition de chaque point et entachée d une erreur on va définir la courbe d étalonnage. Autrement dit on modélie le ignal de ortie de l appareil (placé en Y ) en fonction de la concentration (portée en X). On adopte une fonction modèle Y = F(X) qui permet enuite d évaluer Y connaiant X et cette fonction. L incertitude ur le réultat cumule l incertitude liée à la meure et ur la forme choiie pour la fonction (qui peut être trop imple ou trop complexe). 10

11 .7 Courbe d étalonnage L interprétation de réultat de l étalonnage fait appel à de méthode tatitique. Le logiciel d analye quantitative utilient de nombreux modèle de calcul. On e bornera ici de donner le principaux réultat concernant la régreion linéaire approche tatitique la plu ouvent rencontrée en analye quantitative (fig..3)..7.1 Régreion linéaire imple En uppoant que la répone du détecteur et rectiligne pour la variable à meurer, compte-tenu de écart du aux condition expérimentale aini qu à l appareil, le but et de déterminer le paramètre de la droite qui correpondent le mieux aux obervation. Quelle erreur fait-on? Tou le point expérimentaux doivent-il intervenir avec le même poid? L ajutement par la méthode de moindre carré conidère apriori qu une de deux variable et an erreur et l autre oumie à de fluctuation aléatoire. C et la méthode la plu ouvent appliquée. Le coefficient a et b de la droite de régreion y = ax + b, aini que l écart-type ur a et l etimation ur y, ont repréenté par un certain nombre de formule préente dan le logiciel d analye quantitative. La liaion entre le deux variable et caractériée par l etimation du coefficient de corrélation de Pearon, R, an dimenion. Une valeur de +1 ou de 1 traduit une forte liaion entre le deux variable. Cette méthode uppoe au départ que le erreur ur y uivent la loi de ditribution Normale. R et le coefficient de détermination. Il permet de avoir quel pourcentage de variation de x recouvre le variation de y. et a = n x i y i x i yi n x i ( x i ) (.3) b = y ax (.4) Dunod La photocopie non autoriée et un délit n x i y i x i yi R = [n x i ( x i ) ] [n yi ( y i ) ] (.5) Dan ce calcul claique on conidère que l erreur expérimentale e répercute uniquement en y et qu elle et indépendante de la concentration placée en x. Sice n et pa le ca, le point n ont donc pa la même qualité pour etimer la droite de régreion. D où l idée d affecter moin de valeur aux point éloigné de la droite. On aboutit par de calcul itératif à l équation d une droite qui tient compte d une pondération de chaque point. Pour rechercher i deux méthode de doage donnent de réultat fortement corrélé, on analye une érie de n tandard de concentration différente par le deux voie. On repréente enuite chaque échantillon par un point ur un graphe en portant en x le réultat de la méthode 1 et en y, celui de l autre méthode. On détermine le coefficient de corrélation R et on applique la formule.6. Si la valeur de t et upérieure à la valeur lue dan la table pour n degré de liberté, il y a forte corrélation. n t = R (.6) 1 R 11

12 Chapitre Paramètre tatitique de bae Aborbance 0,8 0,7 0,6 0,5 0,4 0,3 Y R = 0,971 droite de régreion : Y = 0,064 X + 0,0161 droite de Thiel 0, 0,1 Concentration (mg/l) X Figure.3 Droite de régreion et droite de Thiel correpondant aux donnée de la figure.4. Bien que voiine le deux droite conduient à de réultat différent. Aini pour y = 0,5, on trouvera x = 18,85 (Thiel) et x = 18,33 (régreion), oit une différence de prè de 3 %..7. Régreion linéaire multiple L analye par régreion linéaire multiple permet de prévoir un réultat (la variable dépendante) lorqu il dépend d un certain nombre de facteur (le variable indépendante). Le tableur permettent de faire ce type de calcul dan lequel la contribution de chaque facteur et établie à partir d étalon. La préviion du réultat et calculée par une formule générale, telle.7 dan l hypothèe de troi facteur : y = a + bx 1 + cx + dx 3 (.7) À titre d exemple, le taux de protéine d un fromage et par uite le % d azote (réultat) peuvent être établi à partir de l aborbance IR meurée à pluieur longueur d onde. Cette méthode et également utiliable pour calculer le paramètre A, B et C de l équation de Van Deemter ( 1.10), correpondant aux donnée expérimentale..8 MÉTHODES ROBUSTES OU TESTS NON-PARAMÉTRIQUES Le tet tatitique développé ci-deu uppoent que le réultat uivent la loi de ditribution Normale. Or il exite de méthode d analye dont le réultat montrent de ditribution différente. Ou bien elle ne ont pa ymétrique, ou bien elle ont ymétrique mai non normale. On le conidère, dan certain calcul, 1

13 .8 Méthode robute ou tet non-paramétrique comme réultant de la uperpoition d une ditribution normale et de point aberrant. L uage de la médiane (cf..1), à la place de la moyenne arithmétique, fait partie de cet autre type d approche. L écart-type et remplacé par la déviation moyenne DM. DM = p xi x n (.8) De même, le tracé d une droite d étalonnage peut être reconidéré, comme le montre l exemple uivant qui illutre la méthode de Thiel. Soit à etimer la meilleure droite pour le ept couple de point (x, y) d un doage colorimétrique où l on a pri oin tout d abord de claer x dan l ordre croiant (fig..4). La méthode exigeant un nombre pair de point, on rejette dan notre ca la valeur médiane. La démarche du calcul et la uivante. On calcule tout d abord le pente de troi droite qui paent, pour la première d entre elle, par le premier point et celui qui uit immédiatement la valeur médiane et aini de uite pour le deux autre. On prend la valeur médiane de troi valeur aini calculée, qui devient le terme a de la droite cherchée. On calcule maintenant le 6 b i = y i ax i. Enfin on clae ce 6 valeur pour en extraire la médiane qui devient le terme b de la droite (fig..3 et.4). entrée conc. Ab. n (x) (y) calcul de 3 aij terme bi claement 1 0 0,0 0,0-0,01 5 0,14 0,01-0, ,5 0,39 0,03 0,06-0,01 0, ,65 0,06 0,13 0, ,66 0,01 0,0 Dunod La photocopie non autoriée et un délit ,77 Équation de la droite Y = 0,060 X + 0,010-0,01 0,13 Figure.4 Conduite du calcul de la droite par la méthode de Thiel (y = ax + b). En chimie cette méthode gagnerait à être plu utiliée lorqu on ne dipoe pa d aez de meure pour faire une étude érieue de la normalité de la ditribution. Troi point, qui peuvent être de avantage, méritent d être ouligné : on ne uppoe pa que toute le erreur ont en y ; on ne uppoe pa d abord que ce erreur uivent une ditribution normale ; on remarque qu un point aberrant n affecte pa la droite. 13

14 Chapitre Paramètre tatitique de bae.9 OPTIMISATION PAR LA MÉTHODE UN SEUL FACTEUR À LA FOIS Lorqu un doage dépend d un ignal de meure (aborbance, ou intenité de fluorecence...) qui et lui-même influencé par pluieur facteur, on recherche généralement le condition qui conduient globalement au ignal le plu élevé. Si le facteur ont indépendant, on peut étudier l influence de chacun d eux ur le réultat global par une méthode répétitive imple comme il et indiqué dan l exemple uivant. Suppoon que la valeur donnée par un capteur de détection dépende de deux facteur indépendant x et y. Aprè avoir fixé le facteur x à la valeur x 1, on étudie l influence ur le ignal (3 e dimenion) du econd facteur y. On oberve que pour la valeur Y, le ignal pae par un maximum. On choiit cette valeur Y et on fait maintenant varier x en uivant l évolution du ignal de façon à optimier a valeur, oit X (fig..5). Généralement, en répétant ce procédé, on trouve un nouveau couple XY donnant un ignal un peu meilleur. Cette méthode répétitive ne contitue pa toujour la meilleure approche du problème. Si le courbe d iorépone forment de urface complexe préentant notamment une arête, illutration mathématique d une interaction entre le deux facteur, la méthode précédente peut conduire à un faux optimum uivant le paramètre choii au départ. En fait, il et préférable de faire varier tou le facteur à la foi. Cette approche différente a pour but de trouver le condition optimale avec le minimum d eai. Elle et illutrée par la méthode d optimiation implexe équentielle et par le plan d expérience expliqué dan de ouvrage pécialié. a facteur y b facteur y Y Y 3 Y Y 1 x 1 X x 1 facteur x 3 x 3 x 1 facteur x Figure.5 Méthode «un eul facteur à la foi». Si on a une urface continue de répone, et qu on ait établi le courbe d iorépone, on pourra e trouver en préence de pluieur ituation type. 14

15 Exercice Exercice.1 Avec la même colonne dont la phae tationnaire et du qualane, et dan de condition différente d utiliation, on détermine l indice de Kovat du benzène (valeur reconnue moyenne : 653). On trouve le valeur uivante : 650, 65, 648, 651, et 649. La valeur de 653 et-elle ignificativement différente de l enemble de valeur calculée? (On e fixera un niveau de confiance de 95 %).. a) La valeur vraie d un doage et de 131,9 mg L 1. Quatre chimite (A à D) répètent chacun 6 foi le doage. Il trouvent le valeur individuelle uivante. Commentez le réultat en terme de jutee et de préciion (utilier l indicateur de diperion ou écart-type ). Chimite A 130,7 131,6 133,5 13,3 13,6 19,1 Chimite B 15,0 13,3 136,9 137,9 15,9 131,6 Chimite C 136,7 134,5 134,1 135,4 136,0 137,3 Chimite D 130,7 109,9 131,9 115,6 131,3 13,6 b) On uppoe que le deux chimite A et B ont utilié deux appareil ditinct. Appliquer le tet d égalité de variance (F) afin d indiquer i le préciion de appareil ont ignificativement différente..3 En reprenant le réultat trouvé par le chimite A et C (voir problème.), aini que la valeur vraie (131,9) calculer le valeur correpondante du paramètre t de Student. Peut-on conclure il y a préence d une erreur ytématique pour A ou pour C? Dunod La photocopie non autoriée et un délit.4 a) Le réultat d un doage répété 5 foi ont le uivant : 4,4 ; 4,36 ; 4,8 ; 4,0 ; 4,10. Vérifier i la troiième valeur, qui emble trop élevée, mérite d être conidérée comme une valeur aberrante. b) On procède à deux meure complémentaire qui ont de 4,1 et 4,5. Revoir la quetion poée ci-deu et conclure en appuyant ur le calcul de écart-type..5 Pour deux méthode différente, le meure répétée 7 foi chacune pour un doage, donnent : moyenne 4 ( = 0,3) et moyenne 45 ( = 0,). Ce deux méthode donnent-elle de réultat ignificativement différent?.6 Un compoé et accompagné d un certificat d analye indiquant que a pureté et de 99 % avec = 0,08 établi ur 5 meure. Un doage de contrôle répété 4 foi ur ce compoé conduit aux valeur uivante 98,58 ; 98,91 ; 98,6 et 98,80. La valeur d origine et-elle à rejeter? 15

16 Chapitre Paramètre tatitique de bae.7 Une érie de olution étalon utiliée en aborption atomique conduit aux meure uivante : concentration mg L 1 1, aborbance 0,06 0,19 0,36 0,68 1,1 1,58 a) Peut-on utilier une méthode de régreion linéaire? b) Si oui, pour quel domaine de concentration?.8 Une méthode de doage doit être répétée 5 foi. 8 meure ucceive du blanc analytique ont donné le valeur uivante : 0,3 ; 0,75 ; 0,3 ; 1,5 ; 0,9 ; 1,8 ; 0,6 ; 1,. Calculer la limite de détection en adoptant un degré de confiance de 99 %. 16

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

Le compte épargne temps

Le compte épargne temps 2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation

Plus en détail

Caractérisation de l interface Si/SiO 2 par mesure C(V)

Caractérisation de l interface Si/SiO 2 par mesure C(V) TP aractériation de l interface Si/SiO par meure (V) aractériation de l interface Si/SiO par meure (V) Introduction p I Effet de champ à l interface Si/SiO p Fonctionnement d une capacité MOS p Principe

Plus en détail

La lettre. La Gestion des filiales dans une PME : Bonnes Pratiques et Pièges à éviter. Implantations à l étranger : Alternatives à la création

La lettre. La Gestion des filiales dans une PME : Bonnes Pratiques et Pièges à éviter. Implantations à l étranger : Alternatives à la création Doier : Getion d entreprie 42 La Getion de filiale dan une PME : Bonne Pratique et Piège à éviter Certaine PME ont tout d une grande. entreprie. A commencer par la néceité d avoir de filiale. Quel ont

Plus en détail

TP6 : ALIMENTATION A DECOUPAGE : HACHEUR SERIE ET CONVERTISSEUR STATIQUE ABAISSEUR DE TENSION

TP6 : ALIMENTATION A DECOUPAGE : HACHEUR SERIE ET CONVERTISSEUR STATIQUE ABAISSEUR DE TENSION P6 : ALIMNAION A DCOUPAG : HACHUR SRI CONVRISSUR SAIQU ABAISSUR D NSION INRODUCION Le réeau alternatif indutriel fournit l énergie électrique principalement ou de tenion inuoïdale de fréquence et d amplitude

Plus en détail

Trouver des sources de capital

Trouver des sources de capital Trouver de ource de capital SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Emprunt garanti et non garanti Vente de part de capital Programme gouvernementaux Source moin courante SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Quelque principe

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.lifeinsuranceinsights.com/life-insurance-2/what-will-your-hobby-cost-you.

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.lifeinsuranceinsights.com/life-insurance-2/what-will-your-hobby-cost-you. Erwan, d une mae de 65 kg, fait un aut de Bungee. Il tombe de 0 m avant que la corde du bungee commence à étirer. Quel era l étirement maximal de la corde i cette dernière agit comme un reort d une contante

Plus en détail

Projet. Courbe de Taux. Daniel HERLEMONT 1

Projet. Courbe de Taux. Daniel HERLEMONT 1 Projet Courbe de Taux Daniel HERLEMONT Objectif Développer une bibliothèque en langage C de fonction relative à la "Courbe de Taux" Valeur Actuelle, Taux de Rendement Interne, Duration, Convexité, Recontitution

Plus en détail

RETIRER DE L ARGENT DE VOTRE SOCIÉTÉ

RETIRER DE L ARGENT DE VOTRE SOCIÉTÉ LETTRE MENSUELLE DE CONSEILS DESTINÉS À MAXIMALISER LE FLUX DE REVENUS RETIRÉS DE VOTRE SOCIÉTÉ OPTIMALISATION DU MOIS Déterminer le taux du marché... Si votre ociété vou vere un intérêt, elle doit de

Plus en détail

Progressons vers l internet de demain

Progressons vers l internet de demain Progreon ver l internet de demain COMPRENDRE LA NOTION DE DÉBIT La plupart de opérateur ADSL communiquent ur le débit de leur offre : "512 Kb/", "1 Méga", "2 Méga", "8 Méga". À quoi ce chiffre correpondent-il?

Plus en détail

Cap Maths. Guide de l enseignant. Nouveaux programmes. cycle. Roland CHARNAY Professeur de mathématiques en IUFM

Cap Maths. Guide de l enseignant. Nouveaux programmes. cycle. Roland CHARNAY Professeur de mathématiques en IUFM Cap Math CP 2 cycle Guide de l eneignant Nouveaux programme SOUS LA DIRECTION DE Roland CHARNAY Profeeur de mathématique en IUFM Marie-Paule DUSSUC Profeeur de mathématique en IUFM Dany MADIER Profeeur

Plus en détail

Introduction aux algorithmes de bandit

Introduction aux algorithmes de bandit Mater MVA: Apprentiage par renforcement Lecture: 3 Introduction aux algorithme de bandit Profeeur: Rémi Muno http://reearcher.lille.inria.fr/ muno/mater-mva/ Référence bibliographique: Peter Auer, Nicolo

Plus en détail

Parcours Hydrologie-Hydrogéologie. Apport des méthodes d infiltrométrie à la compréhension de l hydrodynamique de la zone non-saturée des sols.

Parcours Hydrologie-Hydrogéologie. Apport des méthodes d infiltrométrie à la compréhension de l hydrodynamique de la zone non-saturée des sols. Univerité Pierre et Marie Curie, École de Mine de Pari & École Nationale du Génie Rural de Eaux et de Forêt Mater Science de l Univer, Environnement, Ecologie Parcour Hydrologie-Hydrogéologie Apport de

Plus en détail

unenfant Avoir en préservant ses droits

unenfant Avoir en préservant ses droits Avoir unenfant en préervant e droit Guide adreant aux travailleue et travailleur du ecteur public du réeau de la anté et de ervice ociaux Le comité de condition féminine de la La mie à jour de ce guide

Plus en détail

Prudence, Epargne et Risques de Soins de Santé Christophe Courbage

Prudence, Epargne et Risques de Soins de Santé Christophe Courbage Prudence, Epargne et Rique de Soin de Santé Chritophe Courbage ASSOCIATION DE GENÈVE Introduction Le compte d épargne anté (MSA), une nouvelle forme d intrument pour couvrir le dépene de anté en ca de

Plus en détail

Modélisation d une section de poutre fissurée en flexion

Modélisation d une section de poutre fissurée en flexion Moéliation une ection e poutre fiurée en flexion Prie en compte e effort tranchant Chritophe Varé* Stéphane Anrieux** * EDF R&D, Département AMA 1, av. u Général e Gaulle, 92141 Clamart ceex chritophe.vare@ef.fr

Plus en détail

Le paiement de votre parking maintenant par SMS

Le paiement de votre parking maintenant par SMS Flexibilité et expanion L expanion de zone de tationnement payant ou la modification de tarif ou de temp autorié peut e faire immédiatement. Le adree et le tarif en vigueur dan le nouvelle zone doivent

Plus en détail

Guide de configuration d'une classe

Guide de configuration d'une classe Guide de configuration d'une clae Viion ME Guide de configuration d'une clae Contenu 1. Introduction...2 2. Ajouter de cour...4 3. Ajouter de reource à une leçon...5 4. Meilleure pratique...7 4.1. Organier

Plus en détail

Impact de l éolien sur le réseau de transport et la qualité de l énergie

Impact de l éolien sur le réseau de transport et la qualité de l énergie 1 Impact de l éolien ur le réeau de tranport et la qualité de l énergie B. Robyn 1,2, A. Davigny 1,2, C. Saudemont 1,2, A. Anel 1,2, V. Courtecuie 1,2 B. Françoi 1,3, S. Plumel 4, J. Deue 5 Centre National

Plus en détail

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007 BAREME ur 40 point Informatique - eion 2 - Mater de pychologie 2006/2007 Bae de donnée PRET de MATERIEL AUDIO VISUEL. Remarque : Le ujet comporte 7 page. Vérifier qu il et complet avant de commencer. Une

Plus en détail

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr Siège France Cadeaux 84 rue de Courbiac 17100 Sainte 00 33 (0)5 46 74 66 00 RC.424 290 211 00012 Cadeaux d affaire, cadeaux d entreprie, objet publicitaire www.france-cadeaux.fr - ervice@france-cadeaux.fr

Plus en détail

Dossier. Vtech, leader en France. Lexibook, leader en Europe

Dossier. Vtech, leader en France. Lexibook, leader en Europe Doier Par Yoan Langlai La tablette pour enf Si 6 million de tablette devraient e vendre cette année en France (préviion GfK), on etime à 1 million le nombre de vente de tablette pour enfant en 2013. Sur

Plus en détail

Ventilation à la demande

Ventilation à la demande PRÉSENTATION Ventilation à la demande Produit de pointe pour ventilation à la demande! www.wegon.com La ventilation à la demande améliore le confort et réduit le coût d exploitation Lorque la pièce et

Plus en détail

Courrier Fédéral @ @ N 320 EDITORIAL INDUSTRIE PLUS LOIN QUE NOS DROITS. PUBLICITE page 8. Adresse du site de la FTM-CGT. http://www.ftm-cgt.

Courrier Fédéral @ @ N 320 EDITORIAL INDUSTRIE PLUS LOIN QUE NOS DROITS. PUBLICITE page 8. Adresse du site de la FTM-CGT. http://www.ftm-cgt. Courrier Fédéral N 320 du 13.10.12 au 19.10.12 @ @ Adree du ite de la FTM-CGT http://www.ftm-cgt.fr Fédération de travailleur de la métallurgie CGT ISSN 0152-3082 EDITORIAL Aprè la journée de mobiliation

Plus en détail

Table des matières. Introduction. 1

Table des matières. Introduction. 1 Avant propo Le travail préenté dan ce mémoire a été réalié au ein du laboratoire d électromécanique de Compiègne (LEC) ou la direction de Monieur Jean Paul Vilain dan le cadre d une convention indutrielle

Plus en détail

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. . MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision

Plus en détail

MIPOLAM EL. gerflor.fr

MIPOLAM EL. gerflor.fr MIPOLAM EL gerflor.fr MIPOLAM EL Électronique Salle propre et térile Santé, Plateaux technique 2 Une gamme complète de produit pour tou locaux enible aux rique ESD L électricité tatique L électricité tatique

Plus en détail

Statistiques Descriptives à une dimension

Statistiques Descriptives à une dimension I. Introduction et Définitions 1. Introduction La statistique est une science qui a pour objectif de recueillir et de traiter les informations, souvent en très grand nombre. Elle regroupe l ensemble des

Plus en détail

Produire moins, manger mieux!

Produire moins, manger mieux! Raak doier d Alimentation : o Produire moin, manger mieux! Nou voulon une alimentation de qualité. Combien de foi n entendon-nou pa cette revendication, et à jute titre. Mai i tout le monde et d accord

Plus en détail

Conception de convertisseurs DC/DC à base de MEMS

Conception de convertisseurs DC/DC à base de MEMS onception de convertieur D/D à bae de MEMS S. Ghandour To cite thi verion: S. Ghandour. onception de convertieur D/D à bae de MEMS. Micro and nanotechnologie/microelectronic. Univerité Joeph-Fourier -

Plus en détail

ASSURANCE AUTO. conditions générales

ASSURANCE AUTO. conditions générales ASSURANCE AUTO condition générale VOTRE CONTRAT Le contrat d'aurance auto ditribué par idmacif.fr et auré par Macifilia, SA au capital de 8 840 000, entreprie régie par le code de aurance - RCS Niort n

Plus en détail

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Précision d un résultat et calculs d incertitudes Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................

Plus en détail

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

Chapitre 3. Les distributions à deux variables Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

Représentation d une distribution

Représentation d une distribution 5 Représentation d une distribution VARIABLE DISCRÈTE : FRÉQUENCES RELATIVES DES CLASSES Si dans un graphique représentant une distribution, on place en ordonnées le rapport des effectifs n i de chaque

Plus en détail

SERVICE PUBLIC DE WALLONIE

SERVICE PUBLIC DE WALLONIE SERVICE PUBLIC DE WALLONIE Evaluation la tratégie régionale wallonne en matière programme opérationnel à caractère durable dan le ecteur fruit et légume Cahier Spécial Charge n MP2012_Eval_PO_2012 Rapport

Plus en détail

La direction des solidarités Se loger à Moissy

La direction des solidarités Se loger à Moissy La direction de olidarité Se loger à Moiy La direction de olidarité La Source - Place du Souvenir - BP24-77550 Moiy-Cramayel cedex Tél. : 01 64 88 15 80 - Fax : 01 64 88 15 26 QU EST CE QUE LA GUP LA GESTION

Plus en détail

COMMUNE DE FELLETIN. P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 septembre 2011

COMMUNE DE FELLETIN. P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 septembre 2011 R E P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E DEPARTEMENT DE LA CREUSE ARRONDISSEMENT D AUBUSSON COMMUNE DE FELLETIN P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 eptembre

Plus en détail

DOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.

DOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

Incertitudes expérimentales

Incertitudes expérimentales Incertitudes expérimentales F.-X. Bally et J.-M. Berroir Février 2013 Table des matières Introduction 4 1 Erreur et incertitude 4 1.1 Erreurs............................................. 4 1.1.1 Définition

Plus en détail

Trilax. Données Faits. La spécificité de ce siège tient à la découverte qu il faut trois points d articulation

Trilax. Données Faits. La spécificité de ce siège tient à la découverte qu il faut trois points d articulation Donnée Fait La pécificité de ce iège tient à la découverte qu il faut troi point d articulation pour aurer au corp un outien ergonomique efficace dan toute le poition. vou relaxe et vou accompagne comme

Plus en détail

Tests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique»

Tests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Tests de comparaison de moyennes Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Test de Z ou de l écart réduit Le test de Z : comparer des paramètres en testant leurs différences

Plus en détail

Mesures et incertitudes

Mesures et incertitudes En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé

Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 204 Corrigé EXERCICE 4 points Commun à tous les candidats. Proposition fausse. La tangente T, passant par les points A et B d abscisses distinctes, a pour coefficient

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html

Plus en détail

C f tracée ci- contre est la représentation graphique d une

C f tracée ci- contre est la représentation graphique d une TLES1 DEVOIR A LA MAISON N 7 La courbe C f tracée ci- contre est la représentation graphique d une fonction f définie et dérivable sur R. On note f ' la fonction dérivée de f. La tangente T à la courbe

Plus en détail

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences

Plus en détail

t 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :

t 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre : Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant

Plus en détail

Somm@ire. Édito. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Édito. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Depui maintenant ept an, l Univerité Numérique Pari Île-de France vou accompagne dan la découverte de

Plus en détail

Gestion des services IT Foundation basée sur la norme ISO/CIE 20000

Gestion des services IT Foundation basée sur la norme ISO/CIE 20000 Guide de Préparation Getion de ervice IT Foundation baée ur la norme ISO/CIE 20000 Édition Novembre 2013 Copyright 2013 EXIN All right reerved. No part of thi publication may be publihed, reproduced, copied

Plus en détail

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle

Plus en détail

Résolution d équations non linéaires

Résolution d équations non linéaires Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique

Plus en détail

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

Boas-vindas. Welkom. Bienvenido. Étudier. Bem-vindo. à Montpellier, Bienvenue. Welcome. GUIDE pratique. Willkommen. Bem-vindo.

Boas-vindas. Welkom. Bienvenido. Étudier. Bem-vindo. à Montpellier, Bienvenue. Welcome. GUIDE pratique. Willkommen. Bem-vindo. Welkom Boa-vinda Étudier Bienvenido Bem-vindo à Montpellier, Nîme, Perpignan Bienvenue Welcome Willkommen Benvenuto Bem-vindo GUIDE pratique POUR LES Étudiant internationaux EDITION 2015 SOMMAIRE 1 Préentation

Plus en détail

Introduction aux Statistiques et à l utilisation du logiciel R

Introduction aux Statistiques et à l utilisation du logiciel R Introduction aux Statistiques et à l utilisation du logiciel R Christophe Lalanne Christophe Pallier 1 Introduction 2 Comparaisons de deux moyennes 2.1 Objet de l étude On a mesuré le temps de sommeil

Plus en détail

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire CHAPITRE 3 Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire Parmi les analyses statistiques descriptives, l une d entre elles est particulièrement utilisée pour mettre en évidence

Plus en détail

M2 IAD UE MODE Notes de cours (3)

M2 IAD UE MODE Notes de cours (3) M2 IAD UE MODE Notes de cours (3) Jean-Yves Jaffray Patrice Perny 16 mars 2006 ATTITUDE PAR RAPPORT AU RISQUE 1 Attitude par rapport au risque Nousn avons pas encore fait d hypothèse sur la structure de

Plus en détail

Sciences et technologies de l information et de la communication

Sciences et technologies de l information et de la communication Science et technologie de l information et de la communication 174 page Contexte général 176 page 5 appel à projet en 2013 ChIST-ERA Edition 2013 Call 2012 Contenu numérique et interaction - CONTINT Infratructure

Plus en détail

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité

Plus en détail

Statistique Descriptive Élémentaire

Statistique Descriptive Élémentaire Publications de l Institut de Mathématiques de Toulouse Statistique Descriptive Élémentaire (version de mai 2010) Alain Baccini Institut de Mathématiques de Toulouse UMR CNRS 5219 Université Paul Sabatier

Plus en détail

DETERMINATION DE L INCERTITUDE DE MESURE POUR LES ANALYSES CHIMIQUES QUANTITATIVES

DETERMINATION DE L INCERTITUDE DE MESURE POUR LES ANALYSES CHIMIQUES QUANTITATIVES Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Administration des Laboratoires Procédure DETERMINATION DE L INCERTITUDE DE MESURE POUR LES ANALYSES CHIMIQUES QUANTITATIVES Date de mise en application

Plus en détail

Chapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul

Chapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul DERIVEES ET REGLES DE CALCULS 69 Chapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul Prérequis: Généralités sur les fonctions, Introduction dérivée Requis pour: Croissance, Optimisation, Études de fct.

Plus en détail

Soit la fonction affine qui, pour représentant le nombre de mois écoulés, renvoie la somme économisée.

Soit la fonction affine qui, pour représentant le nombre de mois écoulés, renvoie la somme économisée. ANALYSE 5 points Exercice 1 : Léonie souhaite acheter un lecteur MP3. Le prix affiché (49 ) dépasse largement la somme dont elle dispose. Elle décide donc d économiser régulièrement. Elle a relevé qu elle

Plus en détail

Probabilités sur un univers fini

Probabilités sur un univers fini [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur

Plus en détail

Centrale d'alarme SI 80-3

Centrale d'alarme SI 80-3 Centrale d'alarme SI 80-3 Notice d'intallation Siemen AG Siemen AG 01.011 Caractéritique technique ou réerve de modification. Livraion ou réerve de diponibilité. Le donnée et la conception peuvent être

Plus en détail

F7n COUP DE BOURSE, NOMBRE DÉRIVÉ

F7n COUP DE BOURSE, NOMBRE DÉRIVÉ Auteur : S.& S. Etienne F7n COUP DE BOURSE, NOMBRE DÉRIVÉ TI-Nspire CAS Mots-clés : représentation graphique, fonction dérivée, nombre dérivé, pente, tableau de valeurs, maximum, minimum. Fichiers associés

Plus en détail

Catalogue des FORMATIONS

Catalogue des FORMATIONS Catalogue de FORMATIONS 2015 Service Formation 17 cour Xavier Arnozan CS 71305 33082 Bordeaux Cedex Tél. 05 56 79 64 11 formation@gironde.chambagri.fr Reponable Béatrice HÉNOT Aitante Nathalie MÉLÉDO Anne-Marie

Plus en détail

s 1 un skatepark public 100 pages pour arrêter d improviser Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk

s 1 un skatepark public 100 pages pour arrêter d improviser Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk Contruire 1 un katepark public 100 page pour arrêter d improvier Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk 2 3 Contruire un katepark public 100 page pour arrêter d improvier Une publication

Plus en détail

Complément d information concernant la fiche de concordance

Complément d information concernant la fiche de concordance Sommaire SAMEDI 0 DÉCEMBRE 20 Vous trouverez dans ce dossier les documents correspondants à ce que nous allons travailler aujourd hui : La fiche de concordance pour le DAEU ; Page 2 Un rappel de cours

Plus en détail

Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables

Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières

Plus en détail

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases SINE QUA NON Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases Sine qua non est un logiciel «traceur de courbes planes» mais il possède aussi bien d autres fonctionnalités que nous verrons tout

Plus en détail

Programmation linéaire

Programmation linéaire Programmation linéaire DIDIER MAQUIN Ecole Nationale Supérieure d Electricité et de Mécanique Institut National Polytechnique de Lorraine Mathématiques discrètes cours de 2ème année Programmation linéaire

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Statistique : Résumé de cours et méthodes

Statistique : Résumé de cours et méthodes Statistique : Résumé de cours et méthodes 1 Vocabulaire : Population : c est l ensemble étudié. Individu : c est un élément de la population. Effectif total : c est le nombre total d individus. Caractère

Plus en détail

EVALUATION À 360 Demonstration MICHEL DUPONT RAPPORT PERSONNEL 360. rapport généré: 2010-01-05 http://compass360.net

EVALUATION À 360 Demonstration MICHEL DUPONT RAPPORT PERSONNEL 360. rapport généré: 2010-01-05 http://compass360.net Demonstration MIHEL DUPONT RAPPORT PERONNEL 360 rapport généré: 2010-01-05 http://compass360net TABLE DE MATIÈRE Michel Dupont Page 2 TABLE DE MATIÈRE omment utiliser votre rapport 3 GRILLE DE OMPETENE

Plus en détail

LE LIVRET DE L AIDANT

LE LIVRET DE L AIDANT LE LIVRET DE L AIDANT Vou accompagnez un parent âgé à domicile Ce livret et fait pour vou! Information, coneil, adree utile pour vou aider et vou accompagner au quotidien www.orpea.com www.afer.ao.fr www.afer.ao.fr

Plus en détail

a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe le nombre ax + b

a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe le nombre ax + b I Définition d une fonction affine Faire l activité 1 «une nouvelle fonction» 1. définition générale a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe

Plus en détail

Chapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne

Chapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation

Plus en détail

Fonction inverse Fonctions homographiques

Fonction inverse Fonctions homographiques Fonction inverse Fonctions homographiques Année scolaire 203/204 Table des matières Fonction inverse 2. Définition Parité............................................ 2.2 Variations Courbe représentative...................................

Plus en détail

Biostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke

Biostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke www.fundp.ac.be/biostats Module 140 140 ANOVA A UN CRITERE DE CLASSIFICATION FIXE...2 140.1 UTILITE...2 140.2 COMPARAISON DE VARIANCES...2 140.2.1 Calcul de la variance...2 140.2.2 Distributions de référence...3

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

Exercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA

Exercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA 75. Un plombier connaît la disposition de trois tuyaux sous des dalles ( voir figure ci dessous ) et il lui suffit de découvrir une partie de chacun d eux pour pouvoir y poser les robinets. Il cherche

Plus en détail

Table des matières. I Mise à niveau 11. Préface

Table des matières. I Mise à niveau 11. Préface Table des matières Préface v I Mise à niveau 11 1 Bases du calcul commercial 13 1.1 Alphabet grec...................................... 13 1.2 Symboles mathématiques............................... 14 1.3

Plus en détail

Statistiques Appliquées à l Expérimentation en Sciences Humaines. Christophe Lalanne, Sébastien Georges, Christophe Pallier

Statistiques Appliquées à l Expérimentation en Sciences Humaines. Christophe Lalanne, Sébastien Georges, Christophe Pallier Statistiques Appliquées à l Expérimentation en Sciences Humaines Christophe Lalanne, Sébastien Georges, Christophe Pallier Table des matières 1 Méthodologie expérimentale et recueil des données 6 1.1 Introduction.......................................

Plus en détail

info-réseau Un projet partagé Chaque situation locale est particulière, mais toutes répondent à un même projet, Sommaire Éditorial

info-réseau Un projet partagé Chaque situation locale est particulière, mais toutes répondent à un même projet, Sommaire Éditorial info-réeau Journal d information du Comité National de Liaion de Régie de Quartier 62 N juillet 2014 Un projet partagé Sommaire 2-3 En direct de Régie À Libourne (33) et à Saint-Pierre-d Albigny (73) Portrait

Plus en détail

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est

Plus en détail

Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles

Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles Quantiles En statistique, pour toute série numérique de données à valeurs dans un intervalle I, on définit la fonction quantile Q, de [,1] dans

Plus en détail

Séries Statistiques Simples

Séries Statistiques Simples 1. Collecte et Représentation de l Information 1.1 Définitions 1.2 Tableaux statistiques 1.3 Graphiques 2. Séries statistiques simples 2.1 Moyenne arithmétique 2.2 Mode & Classe modale 2.3 Effectifs &

Plus en détail

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh 2 Fonctions binaires 45 2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh On peut définir complètement une fonction binaire en dressant son tableau de Karnaugh, table de vérité à 2 n cases pour n variables

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Créer et modifier un fichier d'importation SAU avec Excel

Créer et modifier un fichier d'importation SAU avec Excel Créer et modifier un fichier d'importation SAU avec Excel Manuel d'utilisation Date : 26.03.2015 Version: 1.0 Collaborateur /-trice : Urs Matti Statut : en cours d élaboration validé Classification : public

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail