Programme Départemental d Insertion vers l Emploi

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Programme Départemental d Insertion vers l Emploi"

Transcription

1 Programme Départemental d Insertion vers l Emploi Appel à projet Complémentaire 2017 «Accompagnement des allocataires du RSA, travailleurs non-salariés et artistes» Territoires concernés : Tout le département et plus particulièrement les territoires du Voironnais Chartreuse, Grésivaudan, Sud Grésivaudan, et Vals du Dauphiné Contexte : La création de son propre emploi ou d une activité est une option de plus en plus adoptée par des publics ayant des difficultés sur le marché de l emploi. Dans un contexte économique dégradé et avec l accès facile à l auto entreprenariat, cette tendance est en constante augmentation. En 2015, l Isère comptait 2300 allocataires du RSA travailleurs non-salariés, dont 1552 soumis aux droits et devoirs et devant être accompagnés par un référent unique RSA. Témoignant d une démarche active de publics précaires, cette tendance réclame un soutien et une vigilance particulière (risque d endettement, méconnaissance des contraintes de gestion financière et de l environnement économique,..). Dans le cadre de ses obligations de désigner un référent unique pour les allocataires RSA, le Département a mis en place un accompagnement spécifique délivré par des professionnels du conseil en gestion d entreprise afin de répondre à leurs besoins. Descriptif et objectifs : L accompagnement des travailleurs non-salariés se concentre sur le développement des activités afin d accélérer l accès à une autonomie financière et exclut l ante création. Contractualisé avec l allocataire au sein du contrat d engagement réciproque (CER), après le démarrage de l activité, il est réalisé dans le cadre des missions du référent unique et doit répondre aux objectifs suivants (cf doc joint) : Contribuer au développement des activités viables et mixtes avec l élaboration d un projet plaçant l allocataire comme acteur central de sa mise en œuvre Fournir aux services insertion des territoires des diagnostics d activité (diagnostic d entrée dans l accompagnement et diagnostic au bout de 2 ans d accompagnement) leur permettant de valider ou d invalider la poursuite de l accompagnement dans le parcours Travailler le deuil de l activité lorsqu elle n est pas viable, avec le soutien des services des territoires Venir en conseil technique des référents uniques des autres accompagnements (PSSI et PER, PE) Réaliser les diagnostics à 2 ans des allocataires travailleurs non-salariés et artistes accompagnés par d autres référents uniques (PSSI et PER, PE) L accompagnement inclut des rendez-vous individuels et des actions collectives (ateliers thématiques, groupes d entraide entre allocataires ). Un ETP de référent unique accompagne en moyenne 70 allocataires en file active.

2 Attentes du département : Le Département attend une grande rigueur dans la gestion de la liste des allocataires accompagnés, en étroite collaboration avec les services insertion afin de garantir le potentiel d accueil des allocataires équitable, de contribuer au contrôle de l effectivité de l accompagnement et du respect des obligations qui y sont liées (cf référentiel du référent unique). Publics cibles : Allocataires du RSA orientés par le Département ayant créé une activité (SA, SARL, SAS, EURL, EARL, auto-entrepreneurs, artistes, ) Modalités de financement : Co-financement Département et FSE des référents et des charges liées à leur mission. Ce projet est susceptible d être financé par le Fonds social européen dans le cadre du programme opérationnel national «emploi et inclusion» Critères de sélection : Expertise dans la gestion d entreprise Réseau partenarial dans l environnement économique et social Maîtrise des processus d accompagnement des publics en difficulté d insertion Couverture territoriale Indicateurs de résultats : bilan d activité annuel Nombre de diagnostics Nombre de sorties du RSA pour autonomie financière (développement de l activité, retour à l emploi, mixité d activité) Nombre de réorientations Durée des accompagnements Contact : Pour tout complément d information : - Petit Emmanuelle : emmanuelle.petit@isere.fr - Boukhatem Meriem : meriem.boukhatem@isere.fr

3 Accompagnement des travailleurs non salariés (TNS) Procédure

4 Sommaire I. Les priorités de l accompagnement des allocataires TNS 1. L accompagnement post création 2. Le recentrage de l accompagnement des structures référentes 2. Mode opératoire 1. La gestion de la file active par les territoires et les structures 2. Le diagnostic d entrée dans l accompagnement 3. Le diagnostic «Etat des lieux à deux ans» 4. La décision du territoire

5 I. Les priorités de l accompagnement des allocataires du RSA travailleurs non salariés (TNS) 1. L ACCOMPAGNEMENT POST CREATION Le Département confirme son choix de concentrer les efforts des opérateurs qu il finance dans le cadre du programme départemental d insertion, sur le développement des activités des TNS en vue d une insertion durable et plus rapide, et d exclure l ante création de cet accompagnement. Ce choix est motivé par l existence d une offre de droit commun sur l ante-création. Le Département va cependant renforcer la lisibilité de l offre de prestations «ante création», qui limite les risques de créations non viables, en cohérence avec la Région, l Etat et Pôle emploi. Les animateurs des plates-formes Itinérair Rsa et les instructeurs seront donc vigilants sur la présentation des conditions d entrée en accompagnement TNS (pour lequel il est indispensable d avoir déjà créé son entreprise). Les allocataires n ayant pas encore créé leur activité seront orientés vers le parcours Santé Social Insertion ou le parcours Emploi droit commun, avec communication à la fois aux référents et aux allocataires concernés des contacts sur les dispositifs de l ante création. 2. LE RECENTRAGE DE L ACCOMPAGNEMENT DES STRUCTURES REFERENTES TNS Afin d optimiser leur potentiel face aux besoins croissants d accompagnement des territoires, le Département recentre les missions des opérateurs de l accompagnement de ces allocataires sur les objectifs suivants : Renforcer leur intervention sur le développement des activités viables, accessoirement en développement la mixité (cumul d activités salariées et non salariées) Adapter la durée des accompagnements aux besoins des allocataires selon les caractéristiques de leurs activités. (définition des activités ci-après) Fournir aux territoires des diagnostics sur les activités des allocataires RSA afin d anticiper la suite de l accompagnement. Travailler le deuil de l activité lorsqu elle n est pas viable, avec le soutien du Territoire Venir en appui technique des référents uniques des autres accompagnements du parcours emploi renforcé et du parcours social santé insertion : diagnostic, soutien dans le parcours, conformément au rôle du référent unique tel que décrit dans le document «Rôle et missions du référent unique».

6 II. Mode opératoire L orientation vers l accompagnement des allocataires TNS reste inchangée pour l ouverture des droits. Il s effectue par les services du Département, dans le cadre des procédures d orientation, ou de réorientation. Dans le cadre des réorientations, le Département souhaite que soit privilégié le démarrage de l accompagnement des allocataires soumis aux droits et devoirs les plus anciens dans le dispositif. 1. LA GESTION DE LA FILE ACTIVE PAR LES TERRITOIRES ET LES STRUCTURES CHARGEES DE L ACCOMPAGNEMENT DES TRAVAILLEURS NON SALARIES Comme tous les référents uniques RSA, les accompagnateurs TNS doivent veiller à la mise en place effective de l accompagnement. Chaque Direction Territoriale est donc chargée d informer la structure de sa désignation comme référent unique. L allocataire reçoit en parallèle une notification l en informant et lui demandant de prendre rendez-vous. A partir de la réception de la notification de son orientation ou de sa réorientation, l allocataire TNS doit se manifester auprès de son référent pour prendre ce RDV. Sans manifestation de l allocataire, le référent lui adresse une seule convocation pour un rendez-vous. En cas d absence au rendez-vous proposé, dès que possible, et dans un délai maximum de 2 mois après la décision d orientation, le référent informe le service insertion via la fiche de liaison départementale de cette absence de contact. Le service insertion adresse alors à l allocataire un courrier d avertissement pour non signature de CER. En fonction de l état de leur file active, les référents TNS pourront proposer ces place sen suspens à d autres allocataires sur une partie de ces accompagnements, (afin de tenir compte de la durée de la procédure et de la possibilité que l allocataire puisse reprendre contact à tout moment de la procédure). Pour rappel, et conformément à la note relative au contrôle de l effectivité de l accompagnement, un allocataire qui n a pas de CER six mois après l orientation fera l objet du déclenchement de la procédure de réduction-suspension. Dans un second temps, lorsque l accompagnement aura démarré, le référent devra être vigilant sur la tenue de l échéancier, grâce au listing de suivi transmis par le service insertion de la direction territoriale. 2. LE DIAGNOSTIC D ENTREE DANS L ACCOMPAGNEMENT La réalisation de ce diagnostic d activité rentre dans le cadre des missions des référents uniques TNS et doit être formalisé dans les six premiers mois dans le cadre du CER. Il doit permettre aux services insertion de valider ou d invalider la poursuite de l accompagnement travailleur non salarié. La décision sera basée le potentiel de développement de l activité de l allocataire, identifié en trois niveaux, correspondant à trois préconisations d orientation : Les activités avec potentiel de développement :

7 Poursuite dans l accompagnement, par le référent TNS, quand l activité est estimée viable à terme avec potentiel de développement, et jusqu à ce que l activité permette à l allocataire d être autonome financièrement Les activités non viables : Accompagnement à la cessation de l activité. Dans le cas où l activité est estimée non viable, le référent devra prévoir de cesser son accompagnement dans un délai de 6 mois, reconductible une fois, au travers d un ou deux CER maximum. L accompagnement au deuil sera travaillé en parallèle de la projection dans un autre projet professionnel. Certains référents ont exprimé leur difficulté à finaliser l accompagnement au deuil de l activité avec l allocataire, lorsque celui-ci est dans le déni. Les territoires devront veiller à ce que la demande de réorientation soit malgré tout effective dans cette durée maximum d un an. En amont de la demande de réorientation en équipe pluridisciplinaire, les référents TNS ont la possibilité de solliciter le soutien du service insertion pour porter la décision en vue de la cessation de l activité (rendez-vous avec l allocataire, entretien tri partite, appui sur d autres référents uniques). Le Département dispose d autres relais pour la poursuite de l accompagnement au deuil, si nécessité (psychologues, lieux d écoute, etc.). Selon le projet, le relais sera pris par un autre référent : AS, ALI, etc. Accompagnement à la mixité d activité (recherche d un emploi complémentaire), avec l objectif de relayer l accompagnement à court terme à un référent unique PER ou Pôle Emploi selon le cas. Les activités peu rentables mais socialement structurantes : Dans cette typologie de potentiel de développement, sont regroupés des situations d allocataires très diverses pour lesquels la préservation de l activité est l unique option envisageable à moyen et long terme (personnes proches de la retraite, vendeurs sur les marchés, gens du voyage, ). Les services insertion devront évaluer deux possibilités : La réorientation vers un parcours PSSI avec un CER d un an, quand prédominent des questions d accompagnement social ou d accès aux droits. Le référent TNS pourra être sollicité pour un soutien léger : aide au volet administratif de l entreprise (déclarations, etc.), conseils au référent unique, RDV téléphonique ou physique avec l allocataire (maximum 4 par an) La poursuite de l accompagnement allégé par un référent unique TNS avec un CER d un an, avec un maximum de 4 rendez-vous par an, quand aucune difficulté ni projet particulier ne se dessinent. Si au cours de l accompagnement, le référent souhaite informer ou alerter le territoire d une évolution de la situation modifiant le diagnostic initial, il peut utiliser le CER ou la fiche de liaison départementale, en prenant soin d y ajouter les éléments permettant de prendre une décision sur la suite de l accompagnement.

8 3. LE DIAGNOSTIC SPECIFIQUE «ETAT DES LIEUX» DE L ACTIVITE AUX TERMES DES DEUX ANS D ACCOMPAGNEMENT Le Département a fait le choix de fixer une étape d évaluation afin que les territoires décident de la pertinence de l accompagnement en cours des allocataires du RSA déclarés TNS depuis plus de deux ans et au RSA depuis plus de deux ans. Un diagnostic «état des lieux à deux ans» sera réalisé par les porteurs TNS, préconisant l une des trois orientations exposées ci-dessus : A partir de la liste de ces allocataires fournie par le service action sociale et insertion aux territoires deux fois par an, différentes modalités seront déployées : Pour les allocataires accompagnés par les référents uniques TNS Le diagnostic doit être réalisé dans le cadre de l accompagnement et transmis au territoire avant le terme du CER en cours. Si le diagnostic n est pas réalisé durant le CER pour des raisons dépendant de l allocataire (ex : absence aux rendez-vous fixés ou refus de fournir les éléments demandés), le référent envoie une fiche de liaison au service insertion. Ce dernier enclenche une procédure d avertissement pour non-respect du CER. Pour les allocataires TNS orientés PER et PSSI Le service insertion informe le référent unique PER ou la structure PSSI que le diagnostic est une démarche que l allocataire devra réaliser dans le prochain CER, ou avant le terme du CER en cours si l allocataire y est favorable (courrier au référent ou à la structure référente en pièce jointe). Le service insertion ou le responsable en charge de la signature du CER ne valideront pas le nouveau contrat si le diagnostic n y a pas été inscrit. Le service insertion enclenchera dans ce cas un courrier d avertissement pour non signature du CER. Les assistantes et gestionnaires des services insertion veilleront à instaurer une alerte dans leur liste de suivi ou dans les dossiers des allocataires pour contrôler les retours des CER concernés. Pour les allocataires TNS orientés Pôle emploi Droit commun Ces allocataires sont en mixité d activité car leur activité TNS ne leur permet pas une autonomie financière. Les services insertion demanderont à leurs agences Pôle emploi que leurs conseillers inscrivent le diagnostic dans le prochain PPAE ou dans le PPAE en cours si l allocataire y est favorable. Les diagnostics réalisés par les référents TNS seront transmis en temps réel aux services insertion qui les intégreront dans les dossiers des allocataires, pour appui à l EP si avis de réorientation. Il revient aux territoires de veiller à ce que la réalisation de l ensemble des diagnostics soit absorbable par les structures, en échangeant régulièrement avec ces dernières. L objectif pourrait être de ne pas dépasser 3 à 5 diagnostics/mois par ETP d accompagnement. Cas particuliers

9 Les allocataires sans référent Cette situation devrait se résorber progressivement, compte tenu de la réduction du stock d allocataires restant à orienter. Pour tenir compte de ces situations atypiques, il est proposé de rattacher temporairement ces allocataires à un référent virtuel ou au chef de service le temps de la réalisation du diagnostic et de l orientation qui en suivra. Les allocataires TNS orientés Pôle emploi qui, une fois leur activité créée, passent en catégorie 5 et ne sont plus accompagnés depuis plus de deux ans. Comme pour l ensemble des allocataires RSA passant dans cette catégorie, les agences Pôle emploi doivent envoyer une fiche de liaison aux services insertion, signalant un nouvel évènement dans le parcours. (passage en équipe pluridisciplinaire pour réorientation) 4. LA DECISION DU TERRITOIRE A partir des diagnostics, qu ils soient réalisés dans le cadre du démarrage de l accompagnement ou lors du diagnostic «état des lieux à deux ans», le territoire devra donc déterminer la forme que doit prendre la poursuite de l accompagnement : - Poursuite par le référent unique TNS (ou suite à réorientation si le référent unique n était pas accompagnateur TNS) - Réorientation vers des accompagnements Emploi droit commun, Emploi Renforcé, ou Santé/social/Insertion Cette décision sera prise soit par le chef de service dans le cadre de la validation des CER, soit dans le cadre d une instance telle que l équipe pluridisciplinaire ou une instance ad hoc permettant de croiser les regards. Points de vigilance : Les services insertion devront porter une attention particulière aux CER des allocataires qui poursuivent un accompagnement TNS au-delà de deux ans.

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier

Plus en détail

LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015

LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015 LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015 OBJET Le dispositif ENVOL est destiné aux personnes résidant en Champagne-Ardenne, désireuses de créer leur propre emploi par la

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail

PROTOCOLE D ACCORD CONCERNANT LE COMPTE EPARGNE TEMPS

PROTOCOLE D ACCORD CONCERNANT LE COMPTE EPARGNE TEMPS PROTOCOLE D ACCORD CONCERNANT LE COMPTE EPARGNE TEMPS Le présent protocole d accord crée un Compte Epargne Temps au sein de SGS et en définit les règles de fonctionnement et de gestion. Ce dispositif s

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DE VENTE

CONDITIONS GENERALES DE VENTE CONDITIONS GENERALES DE VENTE Contact : Bibliothèque nationale de France Adresse électronique : reabonnement-en-ligne@bnf.fr Téléphone : 01 53 79 49 49 du lundi au vendredi, de 9h à 17h Informations légales

Plus en détail

Dossier retraite. Profil 1B. Année de naissance. Profil 1A

Dossier retraite. Profil 1B. Année de naissance. Profil 1A Dossier retraite Mise à jour : 10/03/2014 Vos ressources De quelles ressources disposerez-vous lors de votre départ en retraite? Elles sont de 5 natures : - La retraite sécurité sociale dite retraite de

Plus en détail

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE DEPARTEMENT ENVELOPPES ET REVETEMENTS Constructions Légères et Couvertures Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE Livraison Cahier V1 de Mars 2010

Plus en détail

Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement

Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement Agence de Développement Social Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement SOMMAIRE 1. vision 2. Mission de l ADS dans le domaine de la Protection de l Environnement,

Plus en détail

SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR

SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR Utilisation du logigramme d activité dans un projet informatique, pour simuler les compétences futures, et évaluer la charge de travail. WWW.ANACT.FR OUTIL DE SIMULATION

Plus en détail

Résumé de la réforme des pensions février 2012

Résumé de la réforme des pensions février 2012 NOTE AU BUREAU DU PARTI 27 février 2012 Résumé de la réforme des pensions février 2012 Ce résumé ne concerne que les pensions du secteur privé. Un autre document suivra lorsque la réforme des pensions

Plus en détail

Convention d assurance chômage

Convention d assurance chômage Aux Union Départementales Aux Fédérations Nationales Paris, le 28 mars 2014 Secteur Formation Professionnelle Emploi/Assurance chômage Réf. : JCM/SL/DD Circ. : n 058-2014 Convention d assurance chômage

Plus en détail

Guide d utilisation. Logiciel de conseil patrimonial et d'aide àla vente

Guide d utilisation. Logiciel de conseil patrimonial et d'aide àla vente Guide d utilisation Logiciel de conseil patrimonial et d'aide àla vente Sommaire Vue d ensemble Présentation p. 3 Ergonomie générale Page d accueil Accès aux dossiers p. 4 Dossier, synthèse et objectifs

Plus en détail

LOCAL TRUST SUB. Guide d utilisation Tiers

LOCAL TRUST SUB. Guide d utilisation Tiers LOCAL TRUST SUB Guide d utilisation Tiers Sommaire Principes de l application Guide d utilisation Tous droits réservés 2 Principes généraux L application inclut un module extranet de gestion des aides

Plus en détail

CONTRAT DE SOUSCRIPTION «ALERTES par SMS ou e-mail» Compléter les zones grisées, signer et renvoyer à l adresse suivante :

CONTRAT DE SOUSCRIPTION «ALERTES par SMS ou e-mail» Compléter les zones grisées, signer et renvoyer à l adresse suivante : CONTRAT DE SOUSCRIPTION «ALERTES par SMS ou e-mail» Compléter les zones grisées, signer et renvoyer à l adresse suivante : Crédit agricole Centre-est Relation Clients 69541 CHAMPAGNE MONT D OR CEDEX Entre

Plus en détail

LOI ALUR Copropriétés dégradées prévention et traitement

LOI ALUR Copropriétés dégradées prévention et traitement LOI ALUR Copropriétés prévention et traitement Ministère Copropriétés les principales dispositions de la loi Alur Prévention de l endettement et de la dégradation Traitement curatif Prévention de l endettement

Plus en détail

LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins)

LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins) FÉDÉRATION DU PERSONNEL DE SOUTIEN DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GUIDE POUR LES MEMBRES DU PERSONNEL DE SOUTIEN DES COLLEGES LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et

Plus en détail

TRAITEMENT DU SURENDETTEMENT. Évolutions résultant de la loi portant réforme du crédit à la consommation

TRAITEMENT DU SURENDETTEMENT. Évolutions résultant de la loi portant réforme du crédit à la consommation Direction générale des activités fiduciaires et de place Direction de la surveillance des relations entre les particuliers et la sphère financière Service infobanque et surendettement TRAITEMENT DU SURENDETTEMENT

Plus en détail

Guide d auto-évaluation

Guide d auto-évaluation REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation

Plus en détail

Formulaire d inscription 2013

Formulaire d inscription 2013 En partenariat avec Formulaire d inscription 2013 Date limite de dépôt des candidatures : 15 juillet 2013 1/ PRESENTATION DU CANDIDAT (dans le cas d un projet collectif, un porteur de projet doit être

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

1. Instruction des demandes de permis de construire et des demandes de dérogation aux règles constructives

1. Instruction des demandes de permis de construire et des demandes de dérogation aux règles constructives ORDONNANCE N 2013-889 du 3 octobre 2013 relative au développement de la construction de logement FICHE N 6 : Instruction et motivation des demandes de dérogation 1. Instruction des demandes de permis de

Plus en détail

GROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG

GROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG GRANDS MOULINS DE STRASBOURG S.A. SERVICES ADMINISTRATIFS : 1, Place Henry Levy B.P. 10080-67016 STRASBOURG CEDEX SIEGE SOCIAL : 61, AVENUE D IENA 75116 PARIS CODE ISIN : FR0000064180 Strasbourg le 23

Plus en détail

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions

Plus en détail

La tranquillité est en vous.

La tranquillité est en vous. ( ) TELESECURITE EN LOCAUX PROFESSIONNELS La tranquillité est en vous. SYSTÈMES DE SÉCURITÉ SANS FIL Une protection vraiment globale de votre entreprise. En tant que dirigeant d entreprise, vous avez à

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE 25 mai 2011 Contact presse : Cécile Mériguet cecile.meriguet@savoie-technolac.com 06 45 48 38 58 Illustrations et photos sur demande

DOSSIER DE PRESSE 25 mai 2011 Contact presse : Cécile Mériguet cecile.meriguet@savoie-technolac.com 06 45 48 38 58 Illustrations et photos sur demande // La Base Académie // DOSSIER DE PRESSE 25 mai 2011 Contact presse : Cécile Mériguet cecile.meriguet@savoie-technolac.com 06 45 48 38 58 Illustrations et photos sur demande Dispositif d accompagnement

Plus en détail

I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée

I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée 1/13 Dans le cadre des dispositions issues du code du travail, il est établi une synthèse du plan d actions. I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée Salaires annuels moyens de

Plus en détail

I4 RÈGLEMENT EXTINCTEURS MOBILES SERVICE D INSTALLATION. Édition 12.2002.1 (février 2003)

I4 RÈGLEMENT EXTINCTEURS MOBILES SERVICE D INSTALLATION. Édition 12.2002.1 (février 2003) I4 RÈGLEMENT EXTINCTEURS MOBILES SERVICE D INSTALLATION Certification de service Édition 12.2002.1 (février 2003) ORGANISME CERTIFICATEUR RECONNU PAR LA PROFESSION DE L ASSURANCE PREAMBULE Le règlement

Plus en détail

Le droit de préemption en matière immobilière

Le droit de préemption en matière immobilière Le droit de préemption en matière immobilière C est le truc le plus grave à louper. I Le preneur à bail rural C est surement le texte le plus ancien dans notre droit positif actuel. Cela date de 1945.

Plus en détail

Les accueils de jour du Nord

Les accueils de jour du Nord PRÉFET DU NORD Les accueils de jour du Nord Avril 2014 Direction départementale de la cohésion sociale Mission urgence sociale hébergement insertion Le dispositif d Accueil, d Hébergement et d Insertion»

Plus en détail

Accompagnement amont court en parallèle de l étude du dossier. Proposer une solution d assurance adaptée aux besoins du chef d entreprise financé

Accompagnement amont court en parallèle de l étude du dossier. Proposer une solution d assurance adaptée aux besoins du chef d entreprise financé Adie et vous. Nos Missions: Des missions qui traduisent les valeurs de l ADIE fondées sur la confiance dans les capacités de chacun et le droit fondamental d entreprendre Financer les créateurs d entreprise

Plus en détail

ORGANISER PRÉVENIR MANAGER ACCOMPAGNER GÉRER FORMER Autant d actions quotidiennes pour vous développer avec succès!

ORGANISER PRÉVENIR MANAGER ACCOMPAGNER GÉRER FORMER Autant d actions quotidiennes pour vous développer avec succès! ORGANISER PRÉVENIR MANAGER ACCOMPAGNER GÉRER FORMER Autant d actions quotidiennes pour vous développer avec succès! Pourquoi nous choisir? Des formations de haut niveau sur les méthodologies Une équipe

Plus en détail

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président, Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o

Plus en détail

ROLLER : LA RENCONTRE DÉPARTEMENTALE USEP Parcours niveau 1

ROLLER : LA RENCONTRE DÉPARTEMENTALE USEP Parcours niveau 1 ROLLER : LA RENCONTRE DÉPARTEMENTALE USEP Parcours niveau 1 Toute chute annule le point de la zone arrivée r e t o u r Zone 5 Freinage arrêt Arrêt équilibré dans la zone : 1pt sinon : 0 pt 2 Pieds au sol

Plus en détail

RPS QVT. risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL. l expertise obea

RPS QVT. risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL. l expertise obea RPS QVT risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL l expertise obea RPS QVT l expertise obea Spécialiste des projets de transformations RH et Managériaux, Obea travaille à vos côtés autour des différentes

Plus en détail

ENTREPRISES EN DIFFICULTE. Gestion de la crise

ENTREPRISES EN DIFFICULTE. Gestion de la crise ENTREPRISES EN DIFFICULTE Gestion de la crise Gestion de la crise Faire face à la crise. S entourer: sortir de son environnement habituel pour s entourer de professionnels spécialisés: avocats, experts-comptables,

Plus en détail

Proximité Ethique Responsabilité

Proximité Ethique Responsabilité Qu est-ce que le développement durable à l échelle de ma TPE-PME? Proximité Ethique Responsabilité cgpme-idf@wanadoo.fr-tel: 01 56 89 09 30 www.cgpme-idf.fr Salon Entreprise Durable 20 octobre 2009 Qu

Plus en détail

LES ETAPES DE CREATION D UN ETABLISSEMENT D ACCUEIL DE JEUNES ENFANTS PAR UNE ENTREPRISE DE CRECHES

LES ETAPES DE CREATION D UN ETABLISSEMENT D ACCUEIL DE JEUNES ENFANTS PAR UNE ENTREPRISE DE CRECHES LES ETAPES DE CREATION D UN ETABLISSEMENT D ACCUEIL DE JEUNES ENFANTS PAR UNE ENTREPRISE DE CRECHES 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 INTRODUCTION... 4 PREMIERE ETAPE ELABORER LES GRANDES LIGNES D UN PROJET DE

Plus en détail

Pour faciliter l accès au crédit des personnes présentant un risque aggravé de santé,

Pour faciliter l accès au crédit des personnes présentant un risque aggravé de santé, Mini-guide téléchargé depuis le site www.lesclesdelabanque.com - e-mail : cles@fbf.fr Mini-guide n 25 - Janvier 2007 La Convention AERAS (s Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) Pour faciliter

Plus en détail

LES CONGES DU PRATICIEN HOSPITALIER FICHES PRATIQUES

LES CONGES DU PRATICIEN HOSPITALIER FICHES PRATIQUES LES CONGES DU PRATICIEN HOSPITALIER FICHES PRATIQUES 1 SOMMAIRE RTT / CET p. 4 et 5 LES CONGES FORMATION p. 6 LES CONGES MATERNITE ET PATERNITE p. 7 et 8 LE CONGE PARENTAL p. 9 et 10 LES AUTORISATIONS

Plus en détail

Textes de référence : articles 223-1, 223-2 et 223-9 du règlement général de l AMF

Textes de référence : articles 223-1, 223-2 et 223-9 du règlement général de l AMF Position AMF n 2009-14 Information financière diffusée par les sociétés en difficulté Textes de référence : articles 223-1, 223-2 et 223-9 du règlement général de l AMF L Autorité des marchés financiers,

Plus en détail

ACCESSION. Prêts ACCESSION dans le neuf (construction d une maison individuelle ou achat d un logement neuf) Prêt ACCESSION dans l ancien sans travaux

ACCESSION. Prêts ACCESSION dans le neuf (construction d une maison individuelle ou achat d un logement neuf) Prêt ACCESSION dans l ancien sans travaux FORMATION DROM 2014 ACCESSION Prêts ACCESSION dans le neuf (construction d une maison individuelle ou achat d un logement neuf) Prêt ACCESSION dans l ancien sans travaux Un projet immobilier? Oui, mais

Plus en détail

Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission

Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission Le réseau des Chambres d agriculture, l installation* et la transmission Un accompagnement historique! * Création ou reprise d entreprises agricoles Voyage de presse installation-transmission - 4 avril

Plus en détail

N contrat : 113 513 000

N contrat : 113 513 000 N contrat : 113 513 000 ASSURANCE MULTIRISQUE FEDERATION FRANCAISE DE CHAR A VOILE CONVENTIONS SPECIALES N 990 (Annexe aux Conditions Générales n 250) 2 FEDERATION FRANCAISE DE CHAR A VOILE TABLEAU DES

Plus en détail

Accéder au marché du gaz naturel

Accéder au marché du gaz naturel Accéder au marché du gaz naturel Guide opérationnel à destination des consommateurs Depuis l ouverture à la concurrence du marché du gaz naturel, les règles d accès au réseau de transport ont sans cesse

Plus en détail

CONVENTION DE MUTUALISATION DE SERVICES COMMUNS ET DE MISE A DISPOSITION DE LOCAUX

CONVENTION DE MUTUALISATION DE SERVICES COMMUNS ET DE MISE A DISPOSITION DE LOCAUX CONVENTION DE MUTUALISATION DE SERVICES COMMUNS ET DE MISE A DISPOSITION DE LOCAUX La présente convention de mutualisation de services communs et de mise à disposition de locaux est passée entre: d une

Plus en détail

L assurance Santé Entreprise

L assurance Santé Entreprise L assurance Santé Entreprise Rendre la prévention accessible! Extrait du Sic n 306 d avril 2012 Le magazine de l Ordre des Experts-Comptables AVRIL 2012 Sic 306 17 Le dirigeant lui-même peut être le déclencheur

Plus en détail

PROTéGER ÊTRE PROTéGÉ

PROTéGER ÊTRE PROTéGÉ prévoyance PROTéGER ÊTRE PROTéGÉ L OFFRE AG2R LA MONDIALE POUR LES PROFESSIONNELS AG2R LA MONDIALE offre une gamme étendue de solutions de santé, prévoyance, épargne, retraite. professionnels santé Complémentaire

Plus en détail

L ENTREPRENEUR ET LA SECURITE SOCIALE

L ENTREPRENEUR ET LA SECURITE SOCIALE L ENTREPRENEUR ET LA SECURITE SOCIALE Informations générales Auteur: Rose-Marie QUINTANA AVOCAT Categorie : Fiscalité Système de sécurité sociale Date de réalisation: 30 juin 2010 Introduction Le système

Plus en détail

FICHE PRATIQUE : LA DECISION UNILATERALE DE L EMPLOYEUR (DUE) (Version Frais de santé - Salariés cadres)

FICHE PRATIQUE : LA DECISION UNILATERALE DE L EMPLOYEUR (DUE) (Version Frais de santé - Salariés cadres) FICHE PRATIQUE : LA DECISION UNILATERALE DE L EMPLOYEUR (DUE) (Version Frais de santé - Salariés cadres) Avant toute communication de la DUE aux salariés bénéficiaires, vous devez la compléter à l aide

Plus en détail

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges. Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement

Plus en détail

Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution?

Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution? Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution? Constats LFSS 2014 : modification des taux obligatoires (TNS et salariés) Loi de finances 2013 : fiscalité des dividendes LFSS 2011 :

Plus en détail

Assurance Arrêt de Travail

Assurance Arrêt de Travail Solutions Assurances Agriculteurs Arrêt de Travail Assurance Arrêt de Travail des Agriculteurs Pour vous aider à ajuster vos garanties à votre situation et à votre type d activité, n hésitez pas à faire

Plus en détail

APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS

APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS Appel à projet hébergement et accompagnement éducatif MIE JMIE octobre 2014 1

Plus en détail

L essentiel sur. Le crédit immobilier

L essentiel sur. Le crédit immobilier L essentiel sur Le crédit immobilier Emprunter pour devenir propriétaire Le crédit immobilier est, pour la plupart des ménages, le passage obligé pour financer l achat d un bien immobilier. C est un poste

Plus en détail

Liste des pièces justificatives demandées

Liste des pièces justificatives demandées Liste des pièces justificatives demandées 1 DES PIECES A FOURNIR POUR UNE INSCRIPTION D AUTO ENTREPRENEUR - Photocopie de la pièce d identité : passeport, carte d identité, titre de séjour 2 LISTE DES

Plus en détail

1.2 AD Missions a pour vocation de prendre en charge la gestion du contrat de travail et des contrats commerciaux qu aura prospectés l Adhérent.

1.2 AD Missions a pour vocation de prendre en charge la gestion du contrat de travail et des contrats commerciaux qu aura prospectés l Adhérent. ENTRE LES SOUSSIGNES : La Société «AD Missions», SAS au capital de 150.000 Euros, RCS Paris 412 383 234 dont le siège social est situé 20 rue Brunel 75017 PARIS, représentée par Monsieur Sylvestre BLAVET,

Plus en détail

Hébergement TNT OM Important

Hébergement TNT OM Important O F F R E D E R E F E R E N C E 2 0 1 4 Hébergement TNT OM Important ANNEXE H7 REGLES D ACCES AUX SITES GERES PAR TDF Version 2014_1 du 09 janvier 2015 * Imaginer des solutions pour un monde numérique

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Guide des procédures administratives

CAHIER DES CHARGES Guide des procédures administratives AGEFOS PME LORRAINE PACK FORMATION 2010 CAHIER DES CHARGES Guide des procédures administratives A l attention des organismes de formation PACK FORMATION 2010 Actions collectives au profit des entreprises

Plus en détail

1 - Le contexte : l Internet mobile, un phénomène en pleine croissance

1 - Le contexte : l Internet mobile, un phénomène en pleine croissance Lancement de l application mobile TAN La TAN lance son application mobile le lundi 12 mars 2012. Elle est téléchargeable gratuitement sur 85% des smartphones (téléphones tactiles «intelligents») du marché,

Plus en détail

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques L insertion par l économique Un secteur fragilisé (Dossier réalisé par Sébastien Desitter, Expert-comptable, Commissaire aux comptes, In Extenso Rhône-Alpes) Né dans les

Plus en détail

Quelle garantie pour vos de po ts et vos titres?

Quelle garantie pour vos de po ts et vos titres? Quelle garantie pour vos de po ts et vos titres? Créé par la loi du 25 juin 1999 relative à l épargne et à la sécurité financière, le Fonds de Garantie des Dépôts et de Résolution (FGDR) est chargé d une

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

Ce qu il faut savoir en 20 points

Ce qu il faut savoir en 20 points Ce qu il faut savoir en 20 points 1. Comptabilité allégée : o registre des ventes : les obligations comptables des autoentrepreneurs sont réduites. Ils peuvent simplement tenir un livre chronologique mentionnant

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

LES GARANTIES DU REGIME CONVENTIONNEL DES CADRES DE LA PRODUCTION AGRICOLE

LES GARANTIES DU REGIME CONVENTIONNEL DES CADRES DE LA PRODUCTION AGRICOLE LES GARANTIES DU REGIME CONVENTIONNEL DES CADRES DE LA PRODUCTION AGRICOLE Dernière mise à jour : avril 2010 CPCEA 1 2 Préambule Le régime conventionnel des cadres de la production agricole est institué

Plus en détail

Page. LES FONDAMENTAUX Les savoirs généraux de l assurance 2

Page. LES FONDAMENTAUX Les savoirs généraux de l assurance 2 2014-2015 LES FONDAMENTAUX Les savoirs généraux de l assurance 2 ASSURANCES DE PERSONNES Les bases de l assurance collective et de la loi Madelin 3 Les régimes obligatoires de protection sociale 4 Santé

Plus en détail

Votre intervention se situe dans un cadre défini préalablement à votre venue avec le conseiller formation en charge de l action.

Votre intervention se situe dans un cadre défini préalablement à votre venue avec le conseiller formation en charge de l action. VOTRE PRESTATION : Votre intervention se situe dans un cadre défini préalablement à votre venue avec le conseiller formation en charge de l action. Dans le cadre de cette intervention, vous devez faire

Plus en détail

PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE

PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE

Plus en détail

Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010

Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement 28 janvier 2010 1 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement UNE ANNEE CONTRASTEE

Plus en détail

Il convient donc de continuer à renvoyer les fiches des prospects orientés vers d autres structures.

Il convient donc de continuer à renvoyer les fiches des prospects orientés vers d autres structures. MAISON DE L EMPLOI ET DE LA FORMATION DE STRASBOURG Formation des conseillers des Portes d entrée territoriale du réseau de la création/reprise d entreprise du bassin de Strasbourg Lundi 19 mai 2014 après

Plus en détail

GUIDE du créateur et du repreneur d'entreprise

GUIDE du créateur et du repreneur d'entreprise GUIDE du créateur et du repreneur d'entreprise Vous souhaitez créer ou reprendre une entreprise, le Crédit Agricole Alpes Provence vous accompagne. UNE RELATION DURABLE, ICI, ÇA CHANGE LA VIE www.ca-alpesprovence.fr

Plus en détail

L OFFRE MOBILITÉ EXPAT

L OFFRE MOBILITÉ EXPAT L OFFRE MOBILITÉ EXPAT Malakoff Médéric propose aux entreprises employant des salariés expatriés ou détachés, une solution d assurance collective spécialement conçue pour leurs besoins de protection sociale.

Plus en détail

SOMMAIRE QU EST-CE QU UNE SITUATION DE VENTE POUR LE REFERENTIEL BTS? ------------------------------------- 2

SOMMAIRE QU EST-CE QU UNE SITUATION DE VENTE POUR LE REFERENTIEL BTS? ------------------------------------- 2 SOMMAIRE QU EST-CE QU UNE SITUATION DE VENTE POUR LE REFERENTIEL BTS? ------------------------------------- 2 E4 : 12 SITUATIONS / COMPETENCES ------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.

Plus en détail

Programme Départemental

Programme Départemental Juin 2014 Programme Départemental d Insertion 2014-2017 Pôle développement durable Département insertion et économie solidaire Ce Programme départemental d insertion, adopté par les élus réunis en commission

Plus en détail

COPROPRIETE DU 24 RUE EDMOND BONTE RIS ORANGIS. Groupe ESSIA, 4 sociétés complémentaires au service de l habitat 1 FAITS MARQUANTS

COPROPRIETE DU 24 RUE EDMOND BONTE RIS ORANGIS. Groupe ESSIA, 4 sociétés complémentaires au service de l habitat 1 FAITS MARQUANTS COPROPRIETE DU 24 RUE EDMOND BONTE RIS ORANGIS Groupe ESSIA, 4 sociétés complémentaires au service de l habitat 1 FAITS MARQUANTS IMMEUBLE CONSTRUIT ENTRE 1920 ET 1930 168 LOGEMENTS DE PETITE SURFACE (35

Plus en détail

COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL

COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées La tenue de la comptabilité d engagement ou comptabilité administrative est de la responsabilité de l exécutif de la collectivité. Le CGCT prévoit

Plus en détail

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites ÉPARGNE SALARIALE SOLIDAIRE Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS Avec un encours de 3,15 milliards

Plus en détail

CONTRAT EDUCATIF LOCAL

CONTRAT EDUCATIF LOCAL CONTRAT EDUCATIF LOCAL Année 2002-2003 CANDIDATURE ET PROJET D ACTIONS SUR LES TEMPS PERI ET EXTRA-SCOLAIRES sur la commune ou le groupement de communes de... Ce dossier comprend : Page 2 : Page 3 : Page

Plus en détail

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l

Plus en détail

FAIRE APPEL À UN EXPERT

FAIRE APPEL À UN EXPERT FAIRE APPEL À UN EXPERT Décembre 2011 Afin d être en mesure d exercer ses missions, le comité d entreprise dispose de nombreux moyens d information, notamment par les documents que doit lui communiquer

Plus en détail

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 Document créé le 22/02/2011 Direction de l Education RHONE ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 En proposant aux collectivités territoriales de négocier et de signer les Contrats

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail

Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire

Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Étude de préfiguration Restitution aux acteurs 15 octobre 2008 Dossier remis aux participants 1 Version n 3 Sommaire Méthodologie Priorités

Plus en détail

MECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP)

MECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP) MAPPP/12-16 FICHE : CRISTALLISATION DES TAUX MECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP) Introduction Cette note examine les différentes modalités de couverture du risque

Plus en détail

Cahier des charges thématique - Couverture du territoire par le très haut débit et développement des usages du numérique

Cahier des charges thématique - Couverture du territoire par le très haut débit et développement des usages du numérique Cahier des charges thématique - Couverture du territoire par le très haut débit et développement des usages du numérique Actualisation et mise en œuvre d une Stratégie de Cohérence Régionale d Aménagement

Plus en détail

Comment répondre aux nouvelles exigences relatives aux règles destinées à assurer la protection de la clientèle?

Comment répondre aux nouvelles exigences relatives aux règles destinées à assurer la protection de la clientèle? FINANCIAL SERVICES Comment répondre aux nouvelles exigences relatives aux règles destinées à assurer la protection de la clientèle? Mai 2013 kpmg.fr TABLE DES MATIERES.CONTEXTE 2.ARCHITECTURE DU QUESTIONNAIRE

Plus en détail

www.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient»

www.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient» www.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient» C est sans surprise que dans la dernière enquête «CEO» de PwC, les dirigeants font état de leurs préoccupations

Plus en détail

«Participation assuré» de 18 euros

«Participation assuré» de 18 euros «Participation assuré» de 18 euros Médecins Sages Femme Centres de santé médicaux et polyvalents Logiciels 1.40 Un ticket modérateur forfaitaire sur les actes lourds est instauré par la Loi de Financement

Plus en détail

INSCRIPTION au RESTAURANT SCOLAIRE Année 2014 / 2015

INSCRIPTION au RESTAURANT SCOLAIRE Année 2014 / 2015 NOM DE L ENFANT :. PRENOM DE L ENFANT : Date de Naissance :.. Sexe de l enfant: Masculin Féminin 1 Dossier à compléter par enfant. Maternelle : Elémentaire : - petite section - moyenne section.. Classe

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

Manuel PRO G DIS / AHI

Manuel PRO G DIS / AHI Manuel PRO G DIS / AHI 30/01/2013 Manuel général Sommaire Lancement de Pro G Dis... 4 Ouverture de l application... 4 Gestion des Mots de Passe... 5 Système par Niveau :... 5 Modification des Password

Plus en détail

REFERENTIEL DE CERTIFICATION

REFERENTIEL DE CERTIFICATION REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU TITRE PROFESSIONNEL Technicien(ne) d'assistance en Informatique Niveau IV Site : http://www.emploi.gouv.fr REFERENTIEL DE CERTIFICATION D'UNE SPECIALITE DU TITRE PROFESSIONNEL

Plus en détail

L AUTO - ENTREPRENEUR

L AUTO - ENTREPRENEUR L AUTO - ENTREPRENEUR Présenté par le CGAHDF Y. GRANIER et M. VILLERS 15 Avril 2009 Y.GRANIER - M. VILLERS 1 Qui peut le devenir? Tous les Français à titre principal ou accessoire Les salariés, les chômeurs,

Plus en détail