Radiothérapie des tumeurs cérébrales après 75 ans. Jean-Jacques MAZERON
|
|
- Mireille Perrot
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Radiothérapie des tumeurs cérébrales après 75 ans Jean-Jacques MAZERON Service de radiothérapie oncologique Groupe Hospitalier Pitie-Salpêtrière, Paris Les irradiations les plus fréquentes 1. Les irradiations focales (conformationnelles, postopératoires ou exclusives) des tumeurs de haut grade (gliomes anaplasiques glioblastomes +++) 1. Les irradiations de métastases cérébrales
2 Les radiothérapies classiques Les irradiations focales (conformationnelles, postopératoires ou exclusives) : 1. Indications habituelles : tumeurs de haut grade (gliomes anaplasiques glioblastomes +++) 1. Volume-cible : lit tumoral + marge de tissus sains (1-3 cm) Essai randomisé 6901 du BTCG 222 gliomes de haut grade Médiane de survie : pas de radiothérapie : 14 semaines radiothérapie : 35 semaines p = 0,01 Influence de la radiothérapie sur la survie Walker MD et al., J Neurosurg 1978;49:333-43
3 Influence de la radiothérapie sur la survie Scandinavian Glioblastoma Study group 118 gliomes de haut grade Médiane de survie : pas de radiothérapie : 5,3 mois radiothérapie : 10,8 mois Kristiansen K et al., Cancer 1981;47: Réponse des tumeurs à la radiothérapie (haut grade) 71 gliomes de haut grade incomplètement réséqués. Radiothérapie de 58 Gy Taux de réponse : partielle : 30 % (Glioblastomes : 26 % ; gliomes anaplasiques : 52 %) ; complète : 5 % Gaspar LE et al., IJROBP 1992;24:55-7
4 Dose totale d irradiation Médiane de survie (RTOG ) Gliomes de haut grade 50 Gy 28 semaines 60 Gy 42 semaines p = 0,0004 Walker MD et al., IJROBP 1979;5: Essai randomisé de Stupp et al. (NEJM 2005;352:987-96) 573 patients âgés de moins de 70 ans. Survie médiane : 14,6 mois avec témozolomide, 12,1 mois sans témozolomide. Survie à 2 ans : 25,5 % contre 10,4 %. Témozolomide : effets hématologiques de grade 3 ou 4 : 7 %.
5 La chimioradiothérapie des glioblastomes La chimioradiothérapie des glioblastomes
6 Le protocole RSP de l Anocef (NEJM 2007;356: ) Glioblastome prouvé par biopsie 70 ans et plus 50 Gy 5 fractions de 1,8 Gy par semaine Volume cible : tumeur prenant le contraste (lit tumoral après chirurgie) + 2 cm Le protocole RSP de l Anocef (NEJM 2007;356: ) 85 patients (âge médian : 73 ans; Karnofsky minimum : 70). Essai randomisé terminé en 2004 : médiane de survie de 29 semaines mois avec RT (sans chimiothérapie), 17 sans RT et sans chimiothérapie (p = 0,04). Pas de différence de qualité de vie. Pas d effets secondaires sévères.
7 Essai randomisé de Roa et al. (J Clin Oncol 2004;22: ) Glioblastome ; 60 ans ou plus. Chirugie ou biopsie. Radiothérapie 60 Gy / 30 fractions / 6 semaines contre 40 Gy / 15 fractions / 3 semaines. Médiane de survie: 5,1 contre. 5,6 mois. Survie à 6 mois: 44,7 % contre 41,7 %.
8 Le protocole de radiothérapie hypofractionnée accélérée des glioblastomes de la Salpêtrière Nouvelle proposition : 40 Gy en 15 fractions et 3 semaines, même volume. Pas de Témodal pour l instant pendant la radiothérapie. Radiothérapie hypofractionnée accélérée pour glioblastome (Cancer Radiother 2008;12:788-92) PFS OS Probabilités de survie sans progression (a) et de survie globale (b) pour l ensemble de la population (n=28).
9 Radiothérapie hypofractionnée accélérée pour glioblastome (Cancer Radiother 2008;12:788-92) Probabilité de survie globale des patients dont l indice de Karnofsky est d au moins 90 (n=12 ; trait plein) en comparaison de celle des patients dont l indice de Karnofsky est de moins de 90 (n=16 ; ligne discontinue) (p=0,03, test du log-rank). Radiothérapie hypofractionnée accélérée pour glioblastome (Cancer Radiother 2008;12:788-92) Évolution de l indice de Karnofsky (a) et de la prise de corticoïdes (b) durant la radiothérapie. L indice de Karnofsky n a pas changé entre le début et la fin de la radiothérapie. La prise de corticoïdes n était pas significativement différente entre le début et la fin de la radiothérapie (p=0,942, test de Wilcoxon).
10 Temodal seul (Cancer 2004;100: ) Temozolomide : mg/m², j1-5 tous les 28 jours. Pas de radiothérapie. 32 patients (âge médian : 75 ans; Karnofsky médian : 70). Survie globale médiane de 6,4 mois. 9 (31%) réponses partielles, 12 stabilisations (41%), 8 progressions (28%). Thrombopénies et neutropénies de grade 3-4 chez 6% et 9% des patients. Pas de neurotoxicité. Essai randomisé de Malmstrom et al. (J Clin Oncol 2010;28:949s) Glioblastome ; 60 ans ou plus ; 342 patients 60 Gy en 30 fractions, 34 Gy en 10 fractions ou 6 cycles de 200 mg/m² de témozolomide. Médiane de survie: 6 mois contre 7,5 contre 8.
11 Essai randomisé de Wick et al. (J Clin Oncol 2010;28:949s) Glioblastome ou astrocytome anaplasique ; 65 ans ou plus ; 143 patients Gy ou témozolomide. Médiane de survie: 293 j contre 245. Le protocole de radiothérapie hypofractionnée accélérée des glioblastomes de la Salpêtrière Nouvelle proposition : 40 Gy en 15 fractions et 3 semaines, même volume. Temodal à la dose de 75 mg/m² du premier jour au dernier jour de la radiothérapie
12 Les radiothérapies classiques Les irradiations de l'encephale in toto : Métastases: traitement le plus souvent palliatif (diminuer les signes d'hypertension intra-crânienne et les déficits neurologiques) ; dose : 30 Gy en 10 fractions sur 12 jours. Médiane de survie : environ 5 mois. 30 à 50 % de rechutes. Les leucoencéphalites
13 La radiochirurgie Séquence : 1. Pose du cadre de stéréotaxie 2. Imagerie (IRM + TDM) 3. Dosimétrie en trois dimensions 4. Mise en place et traitement 5. Dépose du cadre de stéréotaxie Cadre de stéréotaxie de Leksell
14 La radiochirurgie La radiochirurgie
15 La radiochirurgie La radiochirurgie 1. Irradiation unique 2. Volume-irradié généralement de diamètre < 3 cm 3. Gamma Knife Unit ou accélérateur linéaire
16 La radiochirurgie Le Gamma Knife Unit : 1. Conçue par Leksell dans les années sources de cobalt 60 collimatées 3. Cibles de 4 à 18 mm de diamètre 4. Coût très élevé La radiochirurgie Gamma Knife Unit
17 La radiochirurgie L'accélérateur linéaire : 1. Technique conçue dans les années 1980 : arcthérapie 2. Faisceau de photons X collimaté 3. Cibles de 10 à 30 mm de diamètre 4. Coût relativement peu élevé La radiochirurgie Novalis
18 La radiochirurgie Zone à irradier
19 La radiochirurgie La radiochirurgie Cyberknife
20 Cancer du sein (4 mois) Adénocarcinome bronchique (3 mois)
21 Carcinome épidermoïde bronchique (8 mois) Adénocarcinome bronchique (7 mois) Nouvelle métastase
22 Nécrose 1 Elderly (53 pts 105 meta.) Local control Overall: 97% 6 months: 98% 1 year: 88% Free-brain disease survival median: 12 months 6 months: 69% 1 year: 47% Overall survival Median: 11 months 6 months: 65% 1 year: 36% Overall survival 1,8,6,4,2 0 Local control,8,6,4, Months RPA Ia RPA IIa RPA IIIa Months Free-brain disease survival 1,8,6,4, months Noël G et al. IJROBP 2005;63:
23 EORTC (JCO 2011;29: ) 1 à 3 métastases < 3 cm Chirurgie (160) ou radioradiochirugie (199) +/- 30 Gy/10 fractions/12 jours 359 patients Même médiane de survie (10,9 vs. 10,7 mois), même survie jusqu à dépendance fonctionelle, but moins de rechutes (à 2 ans, sur le site initial, chirurgie : 59% to 27%, p <.001; radiochirurgie: 31% to 19%, p =.040 ; sur un nouveau site : chirurgie : 42% to 23%, P =.008; radiochirurgie : 48% to 33%, p =.023), et de décès de cause neurologique Radiochirurgie contre chirurgie et radiothérapie (J Neurooncol 2008;87: ) Métastase unique résécable < 3 cm, KPS > or =70, maladie extracrânienne stable Essai stoppé après l inclusion de 64 patients. Même survie globale (p = 0,8), plus de rechutes distales avec la radiochirurgie (P = 0.04), différence qui disparaît en prenant en compte les traitements de rattrapage (p = 0,4). Radiochirurgie : hospitalisation plus courte, moins de corticoïdes (p < 0,001), moins de toxicité de grade 1/2 ( p < 0.01), meilleurs score sfonctionnels et de qualité de vie à 6 semaines (p < 0,05), différence disparue 6 mois après le traitement.
24 Métastases cérébrales : indication de l irradiation en conditions stéréotaxiques 1 à 3 métastases Diamètre < 3 cm Indice de Karnosky > 70 Cancer contrôlé en dehors de l encéphale Pas de radiothérapie de l encéphale en totalité 20 Gy au centre, environ 16 Gy à la périphérie Métastases cérébrales : l irradiation en conditions stéréotaxiques Hospitalisation très courte Pas d anesthésie générale Taux de contrôle local très élevé Très peu de complications, pas d alopécie Compatible avec tous les autres traitements Peut être répété
25 Métastases cérébrales : l irradiation en conditions stéréotaxiques Place de la chirurgie? Que faire si plus de 3 métastases? Que faire si métastase > 3 cm? Peut-on se passer du cadre de Leksell, de l anesthésie locale et de l hospitalisation)? Peut-on fractionner le traitement? La radiothérapie en conditions stéréotaxiques hypofractionnée Séquence : 1. Masque 2. Imagerie (IRM + TDM) 3. Dosimétrie en trois dimensions 4. 3 séances de 11 Gy en utilisant le système de repositionnement 5. Tumeurs de 3 à 6 cm
26 Imagerie embarquée (OBI cone beam) Métastases cérébrales : irradiation en conditions stéréotaxiques trifractionnée Contrôle local (Kaplan-Meier):rxch>mono vs. tri-fractionnée non contrôlé contrôlé 1,0 Test des Log-Rangs p =0,10867 Test Wilcoxon/Gehan p = 0, ,9 Probabilité de contrôle local 0,8 0,7 0,6 0,5 0,4 Nbre total de patients: 36 non contrôlés:10(25,00%) contrôles:27( 75,00%) Mono-fra: 24 Tri-frac: 12 non contrôlés: 7 (29,17%) 2(16,67%) contrôlés : 17(70,83%) 10 ( 83,33%) 0, Durée(jours) mono-frac tri-fract
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailCancer primitif du système nerveux central de l adulte
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE ALD 30 - Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer primitif du système nerveux central de l adulte Novembre 2010 Ce document a été
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailMétastases cérébrales
Métastases cérébrales Ce référentiel, dont l'utilisation s'effectue sur le fondement des principes déontologiques d'exercice personnel de la médecine, a été élaboré par un groupe de travail pluridisciplinaire
Plus en détailRADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE
RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE EN CONDITIONS STÉRÉOTAXIQUES Classement CCAM : 17 code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailSession plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438
CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détail6-7 OCTOBRE PROGRÈS EN NEURO-ONCOLOGIE. Coordinateurs. Comité scientifique. Rendez-vous sur : www.sfn-congres.org ADVANCES IN NEURO-ONCOLOGY
www.sf-neuro.org 6-7 OCTOBRE PROGRÈS EN NEURO-ONCOLOGIE ADVANCES IN NEURO-ONCOLOGY " Avec le parrainage de l ANOCEF Association des Neuro-Oncologues d'expression Française Coordinateurs Khê Hoang-Xuan
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailApplication des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires
Application des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires Combescure C (1), Perneger TV (1), Weber DC (2), Daurès J P (3), Foucher Y (4) (1) Service d épidémiologie clinique et Centre
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailCancer broncho-pulmonaire du sujet âgé. Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009
Cancer broncho-pulmonaire du sujet âgé Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009 Généralités Cancer bronchique primitif = cancer le plus fréquent en incidence dans le monde Incidence en
Plus en détailCancer du poumon chez le sujet âgé : traitement du carcinome bronchique non à petites cellules
Cancer du poumon chez le sujet âgé : traitement du carcinome bronchique non à petites cellules M.-C. Pailler et J.-F. Morère Introduction Avec plus de 700 000 nouveaux cas annuels, le cancer bronchique
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailL irradiation joue un rôle majeur dans la prise en. Place de la radiothérapie dans la prise en charge palliative des patients cancéreux SYNTHÈSE
Med Pal 2003; 2: 307-319 Masson, Paris, 2003, Tous droits réservés Place de la radiothérapie dans la prise en charge palliative des patients cancéreux Olivier Gallocher, Centre Henri Becquerel, Rouen.
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailONCOLOGIE PÉDIATRIQUE
ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE SURVOL ET PERSPECTIVES MARIE JUTRAS MAI 2014 Plan Modalités thérapeutiques Cancers pédiatriques les plus fréquents Impact des traitements à court et long termes 1 Introduction Grâce
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailDéficit moteur et/ou sentif des membres
Déficit moteur et/ou sentif des membres I. Causes non neurologiques de déficit moteur ou sensitif II. Stratégie diagnostique III. Examens complémentaires IV. Situations diagnostiques particulières V. Complications
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailCONSEIL SCIENTIFIQUE ET ADMINISTRATIF DE LA SFNC DU 27 11 2011
CONSEIL SCIENTIFIQUE ET ADMINISTRATIF DE LA SFNC DU 27 11 2011 Présents : Chazal J., Civit T., Cornu Ph., Dauger F., Devaux B., Hladky J.P.,, Lejeune J.P., Menei Ph., Mertens P., Moreau J.J., Mottolese
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailLA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi?
LA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi? P. Martinive (1), D. Vandaele (2), E. Lennerts (3), M. Polus (2), C. Coimbra (4), L. Kohnen (4), J. Vanderick (1), J. Collignon (5),
Plus en détailqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq
qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq Résumé ASCO 2013 POUR LA SFCP wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui 17/09/2013
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailÉtude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon
Delais-Cancer Sein Poumon:32 pages 6/06/12 12:39 Page 1 Mesure 19 SOINS ET VIE DES MALADES Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon DANS PLUSIEURS RÉGIONS DE FRANCE EN 2011
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailObjectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay
2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre
Plus en détailUtilisation de la radiothérapie stéréotaxique d ablation pour le traitement du cancer du poumon non à petites cellules
Utilisation de la radiothérapie stéréotaxique d ablation pour le traitement du cancer du poumon non à petites cellules Guide de pratique clinique du Comité de l évolution des pratiques en oncologie Juin
Plus en détailHADRONTHERAPIE PAR IONS CARBONE
HADRONTHERAPIE PAR IONS CARBONE Annexes au rapport préliminaire Février 2010 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La Plaine CEDEX Tél. : 01 55 93 70
Plus en détailLe point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes
Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailQu est-ce que le cancer du pancréas?
Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailLes tumeurs du cerveau
Juin 2010 Les tumeurs du cerveau collection GUIDEs de référence le CERVEAU LES TUMEURS DU CERVEAU LE DIAGNOSTIC LES TRAITEMENTS LA RECHERCHE LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr L Institut national du cancer
Plus en détailLe quizz des stats. Xavier Paoletti. Sce de biostatistiques / Inserm U900 Institut Curie
Le quizz des stats Xavier Paoletti Sce de biostatistiques / Inserm U900 Institut Curie Qques questions pour entamer les hostilités 1. Description de la population Pourquoi parler d'âge médian et non moyen?
Plus en détailGEMCITABINE. 38 mg/ml ; 1 g/ml, 200 mg et 1 000 mg poudre ou lyophilisat Publication Juillet 2010
I. GEMZAR et génériques- gemcitabine Nom commercial GEMZAR Dénomination commune internationale Laboratoire exploitant ou titulaire de l AMM GEMCITABINE LILLY FRANCE Génériques : ACTAVIS GROUP, EBEWE PHARMA
Plus en détailComprendre la radiothérapie
OCTOBRE 2009 Comprendre la radiothérapie collection guides de référence La radiothérapie externe La curiethérapie les effets secondaires La surveillance Mieux vivre la radiothérapie La sécurité et la qualité
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détail